Le blog de Bâstard à KC Sous Merde n°411-103-335

  Bienvenue sur le blog de Bâtard a KC : Sous Merde N° 411-103-335, sous le contrôle de Master Éric et Maître Michael. Il doit faire ce qui lui est demandé sans rechigner. N’hésitez pas à laisser des commentaires sur les différents articles qu'il publie sous nos ordres.

  Il fait aussi ce que les visiteurs demandent. Ce n'est pas un mâle mais une sous-merde, et il doit être traité comme tel.

  Sous cage de chasteté, nous seuls, ses Maîtres, décidons de ses jouissances afin de le purger de son jus pourris qui ne sert à rien.

  N'hésitez pas à laisser des commentaires dans les différents articles publiés ici par notre sous merde ou nous même. Cela l'humiliera  d'autant  plus.  Son  adresse  est  dorénavant  la  suivante  :        slave.411103335@gmail.com

   Nous la contrôlons entièrement. Nous nous chargerons de vous répondre ou notre slave vous transmettra nos commentaires.

  Notre Sous-Merde est à dispos de tous mâles souhaitant l'utiliser en Cam ou en Réel avec prises de photos et rapports publiés ensuite sur le blog. Même les soumis peuvent l'utiliser car son statut est inférieur à eux et il leur doit respect, soumission et obéissance.

Vendredi 15 septembre 5 15 /09 /Sep 13:15

Chez l’anesthésiste :

01 - Anest. - D - -.-        Le lundi 11 septembre 2017 j’avais rendez-vous avec un anesthésiste en vue de ma prochaine hospitalisation. Maître Michael avait donné, auparavant, ses instructions. Je partais de chez moi avec le collier et sa médaille, le plug N° 03 qui tient seul et la cage de chasteté comme attributs. Je m’habillais avec le boxer blanc, un maillot de corps, une chemise, un jeans, une paire02 - Anest. - D - -.- de chaussettes, mes baskets et un blouson. Je me garais et, dans la voiture, j’enlevais le collier, suivant les consignes, que je rangeais dans une sacoche. En sortant du véhicule, je sentais la fraîcheur pénétrer par la braguette ouverte. Je tentais en vais de la cacher avec la veste que je portais. Je me rendais au secrétariat pour les formalités administratives et je passais dans la salle d’attente.

        Je sentais les pics empaler mon gland qui provoquait une érection contrariée par la geôle. Le plug était en place aussi et depuis la sortie du véhicule, il s’était calmé. Pendant le trajet il avait excité l’anneau du côlon qui jouait à monter dessus. Conduire et se concentrer sur la circulation avec des invités turbulents n’était pas de tout repos ! Le plus agressif se sont tous les passages 03 - Anest. - D - -.-surélevés. Je devais faire attention pour les prendre le plus délicatement possible, non pour les suspensions mais pour le plug qui en profitait alors pour agacer le côlon….

04 - Anest. - D - -.-        C’était la première fois que je devais porter un plug pour une visite médicale. J’espérais ne pas avoir besoin de me mettre en sous-vêtement. Dans la salle d’attente, j’évitais aussi de m’asseoir et je me dirigeais vers le rebord de la fenêtre où se trouvaient les revues. Je prenais la première que je feuilletais. Mon cœur s’accélérait de plus en plus et je le sentais battre dans ma poitrine. Après quelles que minutes d’attente, le médecin m’appelait. Je le suivais dans son bureau. Je lui donnais le dossier que j’avais rempli au préalable. Contraint après son invitation, je m’assaillais sur une des chaises. Je sentis le 05 - Anest. - D - -.-plug pénétrer plus profondément. J’essayais de trouver une position la moins douloureuse tout en répondant aux questions de l’anesthésiste. Après toute une série de demandes complémentaires, il m’invitait à me mettre torse nu et à m’allonger sur la table d’auscultation après avoir changé le papier protecteur. Mon palpitant se mit à battre la chamade en me levant pour ôter mes vêtements. Je remerciais Maître Michael pour avoir fait enlever le collier et sa médaille. Je déposais ma veste sur le dossier de la06 - Anest. - D - -.- chaise voisine. Je continuais par la chemise et le maillot de corps que je posais plié sur la chaise voisine. Torse nu, la braguette ouverte était mise en valeur ! Je m’allongeais sur la table. Une excitation 07 - Anest. - D - -.-involontaire et incontrôlable faisait gonfler ma queue et les pics en profitaient pour empaler mon pauvre gland. Plus il se faisait martyriser et plus l’excitation augmentait et plus cette érection était contrariée par la cage. Le médecin08 - Anest. - D - -.- faisait son travail après m’avoir fait remarquer que ma braguette était ouverte. Honteux et confus, je lui répondais qu’elle venait de sauter et que j’allais devoir la changer. Je le priais de bien vouloir m’excuser pour cet incident que je savais volontaire à cause des nouvelles instructions proposées par les 09 - Anest. - D - -.-visiteurs. Lorsqu’il avait terminé son examen, il m’invitait à me rhabiller. Je m’exécutais sans dire un mot trop honteux et humilié par cette maudite braguette. Il terminait par les dernières instructions avant mon hospitalisation et m’invitait à faire mon enregistrement le plutôt possible. Nous nous saluions et il me10 - Anest. - D - -.- raccompagnait dans le couloir. J’avais repris mes documents que j’avais rangés dans ma pochette. Je me dirigeais vers les toilettes pour l’étape suivante. Je fermais la porte à clef derrière moi. Je commençais à me déshabiller en déposant mes affaires pliées au sol suivant les nouvelles 11 - Anest. - D - -.-instructions. Heureusement le sol était très propre bien que ce rangement ne soit pas le plus hygiénique. Après avoir déposer la veste, je prenais les premières photographies de la braguette ouverte. Je continuais à déposer au sol mes autres vêtements. Quand je n’avais plus12 - Anest. - D - -.- que le boxer, je prenais une photo de mes vêtements pliés au sol et un nouveau cliché avant de d’ôter définitivement le sous-vêtement. Je faisais de même avec le plug dans mon trou. Après l’avoir sorti de son antre, l’envie d’uriner devint pressente. J’en profitais pour vider ma vessie avant de le remettre en place. Je séchais le bout de la cage et de mon gland des restes d’urine. Les pics ne cessaient d’empaler mon malheureux gland. Plus ils le martyrisaient, plus l’excitation grandissait et plus 13 - Anest. - D - -.-la frustration de ne pouvoir me masturber était grandissante. Je reprenais le plug et je le repositionnais dans mon côlon qui le gobait facilement. Je remettais en place le collier et sa médaille tout en prenant à chaque étape un cliché. Quand tous les attributs du slave avaient repris leur place, je me rhabillais. Je continuais des clichés d’archives à chaque étape. Je positionnais la médaille dans le dos et j’enfilais le blouson. Je prenais une dernière photo de la14 - Anest. - D - -.- braguette ouverte avec le blouson. Je rangeais dans ma sacoche le boxer. Je me lavais les mains et je tirais la chasse d’eau. Je vérifiais que je n’oubliais rien et j’ouvrais la porte pour me rendre à mon prochain rendez-vous en ville. Pour regagner mon véhicule, j’étais honteux et frustré d’avoir ma braguette ouverte. La froidure extérieure pénétrait par celle-ci. Ce qui excitait ma pauvre queue qui tentait en vain une érection. Les picots en profitaient pour empaler un peu plus le malheureux gland. Plus ils le martyrisaient, plus ils 15 - Anest. - D - -.-l’excitaient et plus ma pauvre bite tentait une érection contrariée par sa maudite prison. Chaque nouveau pas devenait une galère car la cage suivait le mouvement de la jambe et les picots accentuaient l’empalement du gland.16 - Anest. - D - -.- J’avais de plus en plus de mal à marcher ! J’essayais d’étouffer des râles de souffrances et de tortures. Plus 17 - Anest. - D - -.-je marchais et plus le martyre s’intensifiait. Je n’avais qu’une hâte, me retrouver assis dans ma voiture mais celle-ci était encore à plusieurs dizaines de mètres. Malgré la fraîcheur qui pénétrait par l’ouverture de la braguette, elle ne suffisait pas à calmer la maudite érection provoquée par la marche et les picots de la prison de ma malheureuse queue. Mon palpitant battait de plus en plus vite plus18 - Anest. - D - -.- la torture augmentait. J’essayais de faire des pas les plus petits possibles mais le moindre mouvement de la 19 - Anest. - D - -.-jambe provoquait un nouvel empalement et une excitation augmentant au fur et à mesure de mon déplacement. J’arrivais enfin à ma voiture et avec soulagement, je m’assaillais derrière le volant. Les pics se calmèrent mais le plug20 - Anest. - D - -.- pris la relève et commençait à exciter l’anneau du côlon. La conduite devenait de plus en plus compliquée….

 

 

         Je remercie tout de même mes Maîtres pour avoir autorisé le boxer pour cette visite. Je fais de mon mieux pour les honorer chaque jour et je les en remercie pour continuer mon éducation.

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Mercredi 13 septembre 3 13 /09 /Sep 18:01

1er Exercice du dimanche 10 septembre :

        À mon grand regret mes Masters ont prient connaissance des différents commentaires laissés ces dernières semaines par les visiteurs du blog. Après s’être consultés Maître Michael m’informait des nouvelles directives (publiées) et que je devais commencer le travail de mon trou avec les godemichés en ma possession dès ce week-end.

        Le samedi 9 septembre, à contrecœur, je préparais la série de godemichés que je possède après en avoir fait l’inventaire. J’allais chercher du poppers pour aider mon trou à supporter cette corvée. Le plus dégradant et humiliant dans ce travail de mon cul, c’est que Maître Michael a ordonné que je prenne des photographies recto et verso de chaque phallus utilisé ! Pour à terme, que mon malheureux trou arrive à s’empaler sur le "Titan - N° 10". Non seulement ce travail allait être dégradant et humiliant mais j’avais en plus le commandement de réaliser un rapport avec publication des clichés pris. Cette dernière directive serait d’autant plus humiliante et frustrante que chacun allait découvrir mon trou devenir un gouffre !!! J’installais mon appareil photographique dans mon dos et mon portable pour les prises de vues de face. Je déposais la ceinture qui maintenait le plug N° 01 - Exercice Recto - G - -.-04. Je préparais le premier gode et je le présentais à ma petite fleur. Je commençais à limer mon trou et je m’assaillais sur ce piquet. Je prenais les photos réclamées par mes Maîtres suivant les propositions faites dans les commentaires.

01 - Exercice Verso - G - -.-

02 - Exercice Recto - G - -.-   Je l’expulsais avec soulagement et je préparais le N° 02. Je le présentais à mon petit trou et j’attrapais la bouteille de poppers. Je humais plusieurs rasade et je commençais à descendre sur ce nouvel instrument de torture. Plus je limais mon trou avec des vas et viens et plus je sentais l’envie de jouir monter. Je sentis l’anneau 02 - Exercice Verso - G - -.-intérieur gober le gland de cet intrus. Assis, je m’empressais à réaliser les prises de vues commandées et j’expulsais avec soulagement ce pieu de mon côlon.

    Je graissais le suivant. Après avoir pris plusieurs rasades de poppers, je présentais ce nouveau phallus à mon pauvre cul malmené. Dès que ma petite fleur s’ouvrit pour descendre sur ce nouvel engin de torture, je sentais de nouveau mon jus monter. Je reprenais de nouvelles rasades pour tenter de calmer cette montée. Plus je m’empalais sur ce phallus et plus l’envie de jouir devenait pressente. Je tentais en vain de contrôler cette montée de 03 - Exercice Recto - G - -.-sperme. La tête du gode butait contre l’anneau. Je tentais de l’ouvrir avec de nouveaux aller retour sur ce poteau. Je sentis l’anneau gober le gland de ce nouveau lingam. Sentant l’éjaculation arriver, je m’empressais pour prendre les clichés réclamés.

03 - Exercice Verso - G - -.-

    Malheureusement plus d’un an d’abstinence ne put retenir plus longtemps cette montée de jus. Quelle frustration et humiliation de jouir de cette manière !!! Sans se masturber, une érection contrariée par la cage et un gland martyrisé par des picots qui l’empalent accentuaient mes sentiments d’avilissements !!! 04 - Exercice - G - -.-Mon jus sortait par jets saccadés avec bonheur malgré la frustration de ne pas avoir pu me masturber. Malheureusement pour le slave que je suis, je savais que cette éjaculation inopinée allait coûter très cher…. J’expulsais le phallus avec satisfaction. À mon grand regret malgré la sensation furtive de soulagement dévalorisant de jouir de la sorte, je photographiais mon délit pernicieux. Je rebouchais mon trou pour la nuit avec le plug N° 03. Je nettoyais ces trois premiers répréhensibles jouets. Le lendemain je devrai recommencer ce travail dégradant, frustrant et humiliant pour connaître jusqu’où le "Titan" exploserait ma malheureuse petite fleur.

05 - Exercice Verso - G - -.-        Dimanche matin je commençais par réaliser un nouveau lavement car le port permanent d’un plug et le travail de la veille avait facilité le transit. Ce travail avait émoustillé l’anneau. Je devais le calmer avec un suppositoire avant de reprendre le travail de la veille. J'installais le08 - Exercice Recto - G - -.- plug N° 03 en attendant le moment propice pour reprendre cette corvée. Quand tout ce petit monde s’était calmé, je préparais la série de godes avec la bouteille de poppers. J’installais à nouveau l’appareil photo dans le dos en programmant le retardateur et le portable pour les prises de vues de face. Je reprenais le gode N° 01 et je recommençais le labeur dominical imposé. Après l’avoir lubrifié, je le présentais à ma petite fleur et je lançais l’appareil photo. J’entendais les bips du retardateur s’accélérer à l’approche de la prise de vue. Après deux ou trois allers retours, je m’assaillais sur ce pieu et prenais un nouveau cliché. Je faisais de même avec mon portable pour la prise de vue de face.


06 - Exercice Verso - G - -.- 07 - Exercice Verso - G - -.-

11 - Exercice Recto - G - -.-   Je l’expulsais et préparais le N° 02. j’humais quelles que rasades de poppers et je présentais ce nouveau jouet à mon petit trou qui commençait à s’échauffer. Les pics de la cage empalaient de plus en plus mon malheureux gland au fur et à mesure que j’avançais dans cet ignominieux travail. Je photographiais ce nouveau jouet puis, je descendais progressivement sur ce poteau. De nouveau le retardateur et j’attendais avec impatience la nouvelle photo. Je faisais de même avec le portable pour la prise de face. J’avais mon trou qui commençait sérieusement à s’échauffer. Quand j’étais certain que toutes les preuves étaient dans la boite, j’expulsais ce nouveau poteau.

 

 


09 - Exercice Verso - G - -.- 10 - Exercice Verso - G - -.-

14 - Exercice Recto - G - -.-   Je graissais le suivant, le N° 03 tout en sniffant plusieurs lampées de poppers. Je montrais à mon anus ce nouveau piquet. Je sentais mon trou s’ouvrir et avaler le gland de ce monstre. Je lançais une nouvelle fois le retardateur. Quand la preuve était dans la boite, je reprenais un peu de poppers et je faisais plusieurs montées et descentes sur cet épieu. Je le sentis butter contre l’anneau intérieur. Après plusieurs essais il acceptait de s’ouvrir et absorber ce nouveau venu qui explosait un peu plus mon trou. À force de faire des vas et viens, les parois de mon intestin devenaient de plus en plus irrité. Mon trou poussait de plus en plus. Je m’asseyais sur ce nouveau pieu tout en sniffant plusieurs goulées de poppers et je lançais le retardateur. Je restais encore quelles que secondes assis sur ce mât pour faire la prise de vue de face. J’expulsais avec soulagement ce monstrueux intrus.

12 - Exercice Verso - G - -.- 13 - Exercice Verso - G - -.-

17 - Exercice Recto - G - -.-   Je préparais le suivant et je présentais ce nouveau phallus à mon orifice enflammé. Ma petite fleur gobait le gland et tout en humant du poppers, je lançais le retardateur. Les secondes devenaient de plus en plus longues à force que j’avançais dans la taille des différents godemichés. Mon pauvre gland souffrait de plus en plus et était martyrisé par les picots de la cage. Plus j’avançais dans cette corvée et plus je sentais l’excitation monter. Je descendais jusqu'à ce que le bout de ce nouveau poteau bute contre l’anneau. Après plusieurs essais infructueux, il daignait s’ouvrir et gober ce nouveau gland. Je me retrouvais assis sur ce phallus. Je lançais une nouvelle prise de vue tout en humant du poppers. J’attrapais ensuite le portable pour faire la prise de vue de face. Je sentais progressivement une envie de jouir. Je faisais un travail surhumain pour ne pas me toucher ce qui augmentait la frustration et l’humiliation de ne pouvoir me masturber et jouir. Je sentais mon jus qui commençait à se regrouper.

15 - Exercice Verso - G - -.- 16 - Exercice Verso - G - -.-

18 - Exercice Recto - G - -.-   J’expulsais ce phallus et je graissais le  "Titan" pour la phase finale. Je m’assaillais et je sentais mon trou avaler le premier étage de 7 centimètres de diamètre. Avec soulagement je photographiais le résultat recto et verso. J’avais de plus en plus envie de me masturber et de jouir. Je m’empressais de me relever avant qu’un accident n’arrive comme la veille et que les problèmes s’accentuent. Je devais calmer mon petit monde et faire18 - Exercice Verso - G - -.- redescendre la montée de jus qui se préparait. Ce dernier travail fut le plus dégradant, frustrant et humiliant de ne pouvoir me masturber et jouir. Je faisais un travail inhumain sur moi-même pour ne pas me toucher ce qui augmentait d’autant plus mes frustrations.

19 - Exercice Verso - G - -.-   Pendant que mon cul était bien ouvert, je prenais le plug N° 04 et je le préparais. J’installais la ceinture pour le bloquer dès qu’il serra en place. Je présentais ce nouveau jouet à ma petite fleur qui s’ouvrit facilement et gobait ce nouvel intrus. L’anneau intérieur se plaçait immédiatement entre les deux boules. Cette histoire devenait de 22 - Exercice Verso - G - -.-plus en plus avilissante au fur et à mesure que mon trou s’ouvrait pour devenir un gouffre. J’immobilisais le nouveau venu en terminant d’installer le block-plug. Je nettoyais et je rangeais pour 48 heures ces nouveaux jouets qui allaient être utilisés régulièrement.

 

 

 


 23 - Exercice Verso - G - -.- 24 - Exercice Recto - G - -.-

        Je remercie mes Masters pour cette nouvelle étape dans mon éducation bien que devoir publier ma progression soit plus qu’humiliante, frustrante et dégradante. C’est à cause des propositions faites par les visiteurs et validées par mes Maîtres que je remercie une nouvelle fois de me faire progresser.

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Samedi 9 septembre 6 09 /09 /Sep 12:24

Les différents godes du slave.

Les godemichés en possession du bâtard :

00 - Tous les Gods - D+ - -.-

      À la demande expresse de ses Masters, le slave publie ici tous les godemichés en sa possession et qu’il devra utiliser pour ses exercices journaliers.

N° du Gode

Diamètre

Minimum

Diamètre

Maximum

Longueur

Insérable

Longueur totale

du Godemiché

01 4,5 cm 5 cm 18 cm 20 cm
02 5 cm 5,5 cm 20 cm 25 cm
03 5 cm

6,5 cm

24 cm 28 cm
04 4,5 cm 6,5 cm 27 cm 29 cm
05 4 cm 9 cm 26 cm 27 cm
06 4 cm 6 cm 30 cm 34 cm
07 6 cm 6,5 cm 30 cm 34 cm
08 3 cm 7 cm 39 cm 40 cm
09 6,5 cm 7,5 cm 38 cm 42 cm
10 7 cm 10 cm 19 cm 20 cm
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Samedi 9 septembre 6 09 /09 /Sep 09:25

Nouvelles directives :

 

       Suite à la lecture des commentaires de Mr Alain et de Master Phénix, Maître Michael a décidé de suivre leurs propositions soit :

1.    Pour son travail du mercredi :

-        Ses chaussettes doivent impérativement se trouver dans sa gueule de bâtard.
-        Inscrire sur sa cuisse gauche la date du jour en entier avec l’année.
-        Sur sa cuisse droite son numéro de matricule.
-        Sur son torse son appartenance (Slave de…).


2.    Les vêtements de notre pute :

-        À son travail ils seront accroché aux patères sinon sur le bord du lavabo.
-        Dans les autres lieux ils seront pliés correctement, étalés et disposés côte à côte sur le sol quel qu’en soit  la  matière  et  la  propreté !


3.    Pour ses exercices avec les godemichés :

-        Notre salope Devra les faire le week-end. (Il aura tout le temps pour tester tous ses jouets.)
-        Il a interdiction de jouir ! (Si notre sous-merde sent son jus monter, il devra stopper de suite et recommencer plus tard depuis le début.)
-        Pour chaque tentative notre bâtard devra prendre des photos recto, verso. Elles seront à publier dans son compte-rendu.
-        Si par malheur notre pute venait à jouir, il devra reprendre à zéro et une punition lui sera imposée.
-        Exercice à réaliser tous les week-ends avec un rapport et un soir sur deux en semaine sans rapport.

-       Ce travail commence dès ce week-end avec publication du rapport du bâtard.


4.    Autres remarques complémentaires de Master Phénix validés par les Maîtres :

-        Les pantalons de notre salope devront être en permanence déboutonnés ! Ils font partie de la braguette comme une ceinture assure leurs maintiens.
-        La tenue de notre sous-merde doit être impeccable et la chemise rentrée dans ses pantalons pour honorer ses Masters.

 

5.    Dernières remarques :

-    Si la sous-merde continue à pigner, il rentre à l’hôpital en fin de mois sans vidange !
-    Note salope dois se rendre au sauna avant son hospitalisation sinon ses couilles resteront pleines et ne seront pas purgées.

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Vendredi 8 septembre 5 08 /09 /Sep 07:03

Le Mercredi 6 septembre 2017 :

01 - Corvée - D - -.-        Je reprenais le travail, après quinze jours de congés, avec la corvée hebdomadaire à réaliser dans la journée. Le matin, je me réveillais en sueur, le cœur battant la chamade avec une trique contrariée par la maudite cage. Mon malheureux gland était empalé sur les pics de celle-ci. Au début, la douleur était excitante et accentuait l’érection dans mon rêve. La souffrance augmentant, le rêve devenait cauchemar. Ne supportant plus ce tourment, je me réveillais en sursaut. Je maudissais une fois de plus cette damnée cage ! Je me levais et après un bon café serré, je passais à la salle de bain où je finalisais le rasage de la veille. Je m’habillais avec02 - Corvée - D - -.- un jeans, un maillot de corps, une chemise, une paire de chaussettes et des baskets. les attributs du slave étaient aussi en place avec le collier et sa médaille, la cage, le plug N°04 et la ceinture pour le tenir en place. En enfilant le pantalon, je le boutonnais tout en laissant la braguette ouverte et je serrais la ceinture. Suivant les nouvelles instructions de Maître Michael, je ne peux plus fermer la braguette sauf au bureau. Pour la cacher un minimum, je laissais la chemise tomber sur le jeans. Je sentais l’anneau du côlon jouer entre les deux boules de l’intrus et les pics de la cage empalaient le malheureux gland tout en l’excitant ce qui provoquait une érection contrariée. J’enfilais mon gilet sans manche et je sortais pour me rendre au travail.

03 - Corvée - D - -.-        À chaque nouveau pas, la cage plaquée contre la cuisse gauche, suivait le mouvement. Les pics en profitaient pour martyriser un peu plus le pauvre gland. Le jouet, dans mon malheureux trou, s’amusait lui aussi avec l’anneau intérieur en suivant le mouvement des pas. Je sentais la fraîcheur extérieure pénétrer par la04 - Corvée - D - -.- braguette ouverte. Un long filet se collait sur la cuisse. Je devais encore mouiller de la queue ! Cette situation était dégradante et humiliante toutes ces fuites inopinées. Un peu avant d’arriver au bureau, discrètement, je fermais ma braguette ouverte. Je montais les quelles que 05 - Corvée - D - -.-marches. En arrivant dans le hall, le directeur discutait avec une maman. Je les saluais et mon chef m’expliquait qu’une secrétaire était en arrêt maladie et l’autre en congé. Il me demandait de bien vouloir tenir l’accueil cette semaine et de prendre les inscriptions des enfants. Il m’expliquait les formalités à remplir et il06 - Corvée - D - -.- me souhaitait une bonne journée. J’allais chercher le marqueur dans le tiroir de mon bureau à l’étage. Je regagnais mon poste au rez-de-chaussée et je faisais entrer la personne qui attendait. En m’assaillant, je dus retenir un râle en sentant le plug pénétrer plus profondément et le gland se faire torturer et martyriser par les pics. Entre 07 - Corvée - D - -.-deux inscriptions, je prenais connaissance des dossiers en ma possession. Dans la matinée, à intervalle régulier, je sentais les pics empaler un peu plus ma pauvre queue. L’envie d’uriner devenait aussi de plus en plus pressente. Je fermais pour quelles que minutes l’accueil et je me dirigeais vers les toilettes de l’entrée. Je refermais la porte derrière moi. À mon 08 - Corvée - D - -.-grand regret, je m’apercevais que ces toilettes n’avaient pas de patères accrochées à la porte. Je déposais mon portable et le marqueur sur la tablette. Je me déshabillais et je rangeais mes habits sur le coin du lavabo. Lorsque j’enlevais mes chaussettes que je déposais sur le rebord du lave-mains. En posant les 09 - Corvée - D - -.-pieds nus sur le carrelage, je sentais la fraîcheur monter dans mes mollets. Je prenais le feutre et inscrivais la date du jour : "Mercredi 6 Septembre". Je devais l’inscrire sur deux lignes ne pouvant pas tout écrire à la suite. Les dates de fin d’année étant longues, j’allais devoir renouveler cette inscription sur deux lignes jusqu’au nouvel an…. 10 - Corvée - D - -.-Je photographiais la date. Je m’assaillais sur le trône après avoir relevé la lunette. Je sentis de suite la froidure de la faïence glacer mes petites fesses. J’ouvrais les vannes et je vidais ma vessie. Je séchais avec du papier toilette le bout de la cage. Je m’accroupissais et je prenais des clichés de l’intrus qui squattait mon pauvre côlon en le sortant et en le remettant en place. En me relevant, je m’apercevais que cette action m’avait fait mouiller et deux belles traces de ces fuites jonchaient le sol. Ma malheureuse queue tentait des sorties par les moindres 11 - Corvée - D - -.-interstices. Je prenais une photo de pieds et je m’apercevais que la médaille était restée en arrière. Je la passais devant et reprenais un nouveau cliché. Je terminais par un gros plan de la médaille. Quand toutes les prises de vues étaient dans la boite, je posais le téléphone et je me rhabillais en fermant la braguette. En enfilant le jeans, je sentis une nouvelle fuite se coller sur ma cuisse. Le faite d’avoir sorti le plug de son orifice avait excité le côlon et je sentais l’anneau faire des vas et viens entre les deux boules. Je positionnais la médaille dans le dos et j’enfilais le maillot puis la chemise. Je continuais par les chaussettes et les baskets. Je terminais en enfilant le gilet sans manche où je12 - Corvée - D - -.- rangeais le marqueur et le téléphone. Je tirais la chasse d’eau et fermais le couvercle des toilettes. Je me lavais les mains et je me les séchais. Je vérifiais que je n’oubliais rien et j’ouvrais la porte pour reprendre ma place à l’accueil où une maman attendait pour inscrire ses enfants. Je la saluais et je la faisais entrer. Je m’essayais délicatement pour 13 - Corvée - D - -.-ne pas trop exciter l’intrus dans mon trou. Malheureusement ce ne fut pas le cas pour ma queue qui tentait une nouvelle érection contrariée ce qui empalait un peu plus mon pauvre gland sur les pics de la cage. Je sentais une nouvelle perte couler le long de la cuisse. Le midi en sortant du centre après être descendu les marches du14 - Corvée - D - -.- perron, discrètement je rouvrais la satanée braguette. Je rentrais chez moi pour déjeuner tandis que les pics continuaient de martyriser mon malheureux gland et l’anneau du côlon jouait avec les deux boules du plug. Les supplices et les tourments continuaient tout 15 - Corvée - D - -.-au long de la journée ! Je ne cessais de maudire cette damnée cage et l’intrus dans mon trou qui excitaient tout mon petit monde et provoquaient des fuites impromptues.

 

        Je dois tout de même remercier mes Masters pour les nouvelles directives instaurées par Maître Michael. Je vais devoir apprendre à les gérer en public. Heureusement, la chemise est là pour camoufler un tant soit peu cet inconvénient. Je remercie aussi mes Maîtres pour continuer l’éducation de leur soumis.

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Samedi 19 août 6 19 /08 /Août 07:21

Invitation.

        Mes Masters m’ont demandé de vous informer que je serai absent du mardi 22 août au mercredi 6 septembre. Je suis invité par des amis. Maître Michael a donné ses instructions pour mon absence. Je dois entretenir le rasage intégral. Je garderai le collier, la cage et mon trou sera plugué en permanence pour le garder bien ouvert. En complément de ce dernier commandement, je devrai changer de plug chaque jour ! C’est pourquoi, j’emporterai les N° 01, 03 et 04. Je reprendrai contact avec les visiteurs à mon retour pour la corvée hebdomadaire du mercredi 6 septembre.

        Je devrai dormir nu comme un nouveau-né. Les jeans et les pantacourts auront en permanence la braguette ouverte. Je dois aussi emporter des shorts court atrophiés de leur slip intérieur.

        Je souhaite à tout le monde de bien terminer ce mois d’août et de débuter le mois de septembre le plus agréablement possible.

         Le slave

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Vendredi 18 août 5 18 /08 /Août 06:51

Mercredi 16 août 2017.

25 - Corvée - D - -.-        Corvée hebdomadaire : Je partais au travail avec le collier et sa médaille, le plug N°4 tenue par la ceinture et la cage qui maltraitait ma pauvre queue. Je portais une chemisette, une veste sans manche, un pantacourt, des socquettes et une paire de basket aux pieds. Chaque pas que je faisais pour gagner mon bureau était un calvaire ! Le plug jouait avec ma rondelle. Son anneau montait et redescendait entre les deux boules. Je devais mouiller car je sentais mon trou pousser de plus en plus. Comme la cage était plaquée contre la cuisse à cause du bermuda qui était serré, chaque fois que je bougeais la jambe gauche, la prison suivait le mouvement. Les pics en profitaient pour empaler un peu plus mon malheureux gland. Plus il était martyrisé et maltraité, plus cela le faisait bander. Malencontreusement l’érection était contrariée et déjouée par la geôle qui emprisonnait ma pauvre26 - Corvée - D - -.- bite. J’arrivais à destination avec soulagement !

        Je saluais les collègues, les parents et les enfants présents. Je montais à mon bureau mais chaque nouvelle marche était une persécution de plus. Mon malheureux anneau continuait ses vas et viens. Mon pauvre gland était tellement excité qu’il devait, comme d’habitude, emplir sa cavité et de plus en plus empalé par les picots. C’était un cercle vicieux et j’avais hâte d’arriver à mon poste de travail. de plus, régulièrement, je sentais des filaments se coller sur la cuisse. Ma plus grande crainte en ce début de journée c’est qu’une perte, au lieu de se contenter de ma cuisse sorte par mon bermuda. C’est pourquoi, régulièrement je vérifiais qu’il n’y avait pas de fuites désobligeantes. Plus cette abstinence forcée dure et plus elle 27 - Corvée - D - -.-est humiliante, dégradante et frustrante ! Je déposais ma veste sur le dossier du fauteuil. Je prenais ma bouteille que j’allais remplir d’eau pour la journée comme la chaleur était revenue.28 - Corvée - D - -.- Je tentais de faire des pas les plus légers possibles pour ne pas trop exciter mes encombrants convives. En m’assoyant, je sentis le plug pénétrer plus profondément dans le côlon et son premier anneau jouer avec les deux boules. Je prenais le marqueur dans son tiroir et je le plaçais dans une des poches frontales de ma veste avec le téléphone. Pour pouvoir me concentrer sur mon travail je devais 29 - Corvée - D - -.-calmer tout ce petit monde en révolte. Mon collègue arriva sur ces entres faits et me saluait en allant prendre sa place dans la même pièce que moi. J’avais une nouvelle contrainte, de faire attention de ne pas alerter mon voisin. Je me concentrais sur mon labeur en étouffant tout gémissement. De temps en temps, je buvais une gorgée d’eau. Au fur et à mesure de mes absorptions, ma vessie se remplissait inexorablement. En milieu de matinée, mon collègue m’informait qu’il prenait une pause et m’invitait à griller une cigarette. J’acceptais car ma vessie atteignait son remplissage maximum. Je lui répondais que je terminais la phrase que je tapais et que je passerai aux toilettes avant de le rejoindre. Dès que je ne le voyais plus, je prenais ma veste et après avoir30 - Corvée - D - -.- vérifier qu’aucun collaborateur était en approche, je me dirigeais vers les toilettes. Dès que je reprenais la marche et du mouvement, mes infortunés invités reprenaient du service. Ils agressaient ma pauvre queue et jouaient avec mon côlon. Je refermais la porte immédiatement derrière moi. Je 31 - Corvée - AD - -.-déposais sur la tablette du lavabo le marqueur et le téléphone que j’allais utiliser. Je commençais à me déshabiller et j’accrochais, au fur et à mesure, mes vêtements aux patères mises en place récemment. Je faisais attention de faire le moindre bruit possible et d’éviter tout gémissement. Je déposais mes socquettes sur le bord du lavabo après avoir ôté mes baskets. Je sentis le froid du carrelage32 - Corvée - D - -.- dès que je posais les pieds nus dessus mais sans résultat pour les geôliers qui continuaient leurs tortures. Les pics continuaient inlassablement à empaler ma pauvre queue et le plug jouait infatigablement avec son anneau. Je m’assaillais sur le bord de la cuvette après avoir relevé la lunette des toilettes. 33 - Corvée - D - -.-Mes malheureuses fesses furent saisies par le froid qui en émanait sans résultat positif et calmant non plus. Je notais sur ma cuisse gauche la date du jour soit le : "Mercredi 16 août". J’attrapais, ensuite, le portable et je prenais les premiers clichés de mes vêtements suspendus et de la date fraîchement inscrite. Je m’assaillais sur le34 - Corvée - D - -.- trône qui glaçait mes pauvres fesses. J’ouvrais les vannes tout en prenant des clichés. J’espérais en vain que le fait d’uriner allait stopper pour un moment cette érection ignoble, dégradante, involontairement continue et constamment contrariée par la maudite cage. Non seulement ma malheureuse queue emplissait toute sa geôle mais tentait aussi des sorties par les moindres trous. La situation devenait de plus en plus frustrante, humiliante et dégradante ! 35 - Corvée - D - -.-Je me baissais en posant le téléphone sur le carrelage et je prenais le plug en photo. Je le sortais de son habitacle. Je m’apercevais que j’avais tâché une fesse tellement j’avais dû mouiller. Je ne préférais pas regarder le 36 - Corvée - D - -.-pantancourt dans l’état où il pouvait être. Avec des feuilles de papier toilette humide je nettoyais la salissure et les pertes sur ma cuisse. Je repositionnais l’invité devant ma petite fleur et je le remettais en place en bouchant cet orifice. L’anneau goba de suite la première boule et stationna entre les deux. Je continuais avec le collier que je tournais pour placer la médaille sur le torse. Je sentis alors une coulure sur le long de ma cuisse. Je regardais mon pauvre gland qui continuait à avoir des fuites. Mouiller ainsi de la queue et du cul devient de plus en plus frustrant, humiliant et avilissant ! Je nettoyais les salissures sur le carrelage. Je photographiais une 37 - Corvée - D - -.-dernière fois les attributs du slave en terminant par une prise de pieds du bâtard que je suis.

38 - Corvée - D - -.-        Mon collègue s’inquiétait de ne pas me voir, venait frapper à la porte me demander si tout se passait bien. Honteux et confus je lui répondais par l’affirmatif et que j’arriverai dans un instant. Je m’empressais à me rhabiller et à ranger le matériel dans les poches frontales de ma veste sans manche. Je tirais la chasse d’eau en remettant en place la lunette. Je me lavais les mains et je me les séchais. Je vérifiais une dernière fois les lieux et j’ouvrais 39 - Corvée - D - -.-la porte pour rejoindre mon collègue au coin fumeur. Au passage, je me servais un bon café bien fort. Malheureusement les tortures continuaient. Les pics persévéraient à empaler mon pauvre gland et l’anneau du côlon continuait ses vas et viens entre les deux boules ! Je devais me retenir pour éviter tous gémissements. Aux questionnements de mon collègue sur la durée de mon séjour aux toilettes je répondais que j’avais des problèmes intestinaux ce qui coupait court à tout commentaire désobligeant. Après avoir bu nos cafés et grillés une tige de huit, nous regagnons respectivement nos postes de travail pour la fin de matinée.

 

        Je remercie de nouveau mes Masters pour cette nouvelle étape dans l’éducation du bâtard que je suis. De continuer et de parfaire l’éducation de leur slave dévoué. De lancer le compte à rebours pour la prochaine vidange car la situation du slave devient de plus en plus humiliante, dégradante et avilissante.

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Jeudi 17 août 4 17 /08 /Août 06:29

Le mardi 15 août

02 - Piscine - D - -.-03 - Piscine - D - -.-        Une sortie à la piscine : Le soleil brillait et la chaleur était revenue. Il était un peu avant midi. Je me décidais à faire une sortie à la piscine. Suivant les instructions de mes Masters, je savais que je ne pourrai avoir une séance de vidange qu’après y être allé et faire une sortie au sauna. En ce jour de fête, je me décidais, à contre-cœur, à réaliser la première sortie. Je préparais dans un sac, une serviette, un livre, du gel pour remettre le plug en place et un boxer de bain atrophié de sa doublure. Je me préparais suivant les commandements que j’avais reçus.

01 - Piscine - D - -.-04 - Piscine - D - -.-        J’enlevais le pantalon que je portais, la ceinture et le double plug. J’introduisais le N°3 à la place, celui qui tient seul. Je positionnais la médaille sur le torse et j’enfilais un des shorts 05 - Piscine - D - -.-rognés de son slip intérieur. À mon grand désespoir, je m’apercevais que la cage dépassait de  celui-ci. 06 - Piscine - D - -.-J’essayais en vain de tirer dessus pour la cacher. Dès que je me déplaçais, il remontait pour dévoiler cette prison dégradante. Je commençais déjà à me sentir très mal à 07 - Piscine - D - -.-l’aise. Mon cœur battait de plus en plus fort et mon malheureux gland était de plus en plus empalé par les pics de sa prison. La sortie allait 08 - Piscine - D - -.-être très humiliante et dégradante ! Je passais le gilet sans manche où j’avais rangé le portable et je prenais mon sac. Je vérifiais que le couloir était vide avant de sortir et de refermer mon 09 - Piscine - D - -.-10 - Piscine - D - -.-appartement. J’appelais l’ascenseur et je montais dès les portes ouvertes. Ma grande peur était que je croise un voisin dans le hall d’entrée ou sur le parking. Mon palpitant, à cette idée se mit à battre encore plus fort et les pics empalaient un peu plus ma pauvre queue.  11 - Piscine - D - -.-12 - Piscine - D - -.-Je sortais après m’être assuré qu’il n’y avait personne à l’horizon. 13 - Piscine - D - -.-Comme il allait être midi, les voisins 14 - Piscine - D - -.-étaient déjà chez eux. Je sortais, mon sac à l’épaule, ma main gauche à la hauteur de l’avilissante geôle et je m’empressais à me rendre à mon véhicule. À chaque nouveau pas, je sentais les picots martyriser un peu plus mon pauvre gland. J’avais envie de tenir cette prison humiliante pour moins le martyriser. J’apercevais alors qu’il y avait du monde dans le square au pied de mon immeuble. Des enfants jouaient sous la vigilance de leurs parents. Je remerciais le soleil de briller. Je montais dans mon véhicule après avoir déposé mon sac. En m’assaillant, je sentis le plug pénétrer un peu plus 15 - Piscine - D - -.-16 - Piscine - D - -.-profondément, ce qui excita l’anneau du côlon. Je démarrais et je me rendais au centre aquatique de la ville. 17 - Piscine - D - -.-

 18 - Piscine - D - -.-  19 - Piscine - D - -.-

20 - Piscine - D - -.-À un feu rouge, je détachais la ceinture et j’en profitais pour photographier la cage qui dépassait du short, le collier et sa médaille. Mon trou jouait avec son invité et la cage maltraitait un peu plus ma queue. Plus je dois la porter et plus les pics empalent plus profondément mon pauvre gland de plus en plus à l’étroit et agressé. Je remettais la ceinture de sécurité et le feu passa au vert. Je démarrais pour me rendre à la piscine. Arrivé à destination, je me garais, je prenais un cliché du bâtiment et je prenais mon sac sur l’épaule avec ma main à la hauteur de la cage pour la dissimuler un minimum. Avant d’entrer, je tirais sur le short pour cacher quelles que secondes la cage. Chaque nouvelle marche que je gravissais21 - Piscine - D - -.- était un peu plus douloureuse. Je maudissais un peu plus les geôliers de ma queue qui 22 - Piscine - D - -.-l’empalaient au fur et à mesure que je gravissais l’escalier. J’arrivais enfin sur le palier. Je poussais la porte d’entrée pour la première fois. À mon grand soulagement, je voyais la caissière dans son aquarium ce qui limitait sa vision sur mon short mais pas sur la médaille. En m’approchant, elle la vit et ne la quittait plus des yeux. Un grand sourire se dessinait sur son visage ce qui me mis un peu plus mal à l’aise. Je23 - Piscine - D - -.- lui demandais des renseignements ce qui permit que ses yeux se détournent de la médaille. Je payais mon entrée et je me dirigeais vers les cabines. Je prenais un denier cliché de la cage qui dépassait du short et de la médaille en évidence sur mon torse. Je me déshabillais et je soulageais mon trou de son intrus. Ma petite fleur était toute humide et lorsqu’elle se referma, elle continua de mouiller. Je me sentais encore plus humilié et avili de voir mon trou humidifier de la sorte. J’abominais ces invités inopportuns pour éviter de maudire mes Masters. Ma pauvre queue emplissait toute la cage et 24 - Piscine - D - -.-tentait des sorties par les quelques orifices. Mon pauvre gland en faisant de même et était un peu plus empalé par les pics, à chaque instant. Je la maudis depuis plus d’un an et j’ai plus que hâte de m’en débarrasser ! J’enfilais le boxer de bain. À mon grand désespoir, je m’apercevais que la cage se devinait très bien sous ce vêtement atrophié ainsi que le cadenas. Je disposais mes affaires dans mon sac que je rangeais dans un casier. Je passais à la douche et je rentrais dans la piscine proprement dite. Je visitais le grand et le petit bassin où je piquais une tête. En sortant du bassin, je m’apercevais que la cage se devinait toujours autant. Je me séchais légèrement et je disposais ma serviette sur l’épaule pour dissimuler au mieux le boxer et ses protubérances inavouables. J’allais visiter les extérieurs et je m’installais à l’écart sur un transat. Je prenais25 - Piscine - D - -.- mon livre. Après plusieurs pages de lecture je faisais un petit somme. Les cris des enfants et leurs voix stridentes me réveillaient. Je m’apercevais que j’avais du dormir plus longtemps que prévu car des dizaines de familles étaient arrivées et les enfants jouaient un peu partout. Je prenais mes affaires et ma serviette sur l’épaule, je regagnais les douches. Deux hommes les utilisaient. Ils étaient à chaque extrémité. J’allais devoir utiliser une des douches centrales. Je suspendais ma serviette et je débutais ma douche. À mon grand avilissement, ils observaient mon 26 - Piscine - D - -.-boxer. J’avais beau me tourner d’un coté ou de l’autre ils continuaient leur inspection avec des clins d’œil furtifs. Je ne comprenais pas pourquoi ils prolongeaient leurs douches. Je prenais ma serviette et je passais prendre mon sac dans le casier que j’ouvrais avec la clef. En rentrant dans la cabine, je compris le problème ! En me douchant, le cadenas s’était déplacé et était encore plus en évidence ainsi que la cage. Mon sang fit qu’un tour et du monter au visage car je me sentais humilié. Mon cœur battait la chamade et je sentais les pics empaler mon27 - Piscine - D - -.- malheureux gland. J’ôtais le boxer de bain et je me séchais. Je préparais le plug que je lubrifiais légèrement et je le présentais à ma petite fleur. Quand ils fut en place, je me relevais. Ma pauvre queue était encore et toujours de plus en plus mal traité par sa prison. Je positionnais le collier, j’enfilais mon short et ma chemise. Après l’avoir boutonné et replacé la médaille sur le torse je vérifiais la cage qui dépassait de sous son mini 28 - Piscine - D - -.-vêtement. Son prisonnier était toujours aussi à l’étroit dans sa geôle et autant mal traité. Je29 - Piscine - D - -.- passais le gilet sans manche et je prenais le dernier cliché témoin. Je rangeais mes affaires dans le sac que je passais sur l’épaule. Je sortais et arrivé dans le hall, je jetais un coup d’œil. Malheureusement la caissière avait du passer le mot car six collègues étaient autour d’elle. Ils me regardaient avec insistance le temps que je passe devant eux. Je gardais la main gauche à la hauteur de la cage pour la dissimuler un minimum. Mon cœur battait toujours et encore de plus en plus vite et fort. Chaque nouveau pas était un calvaire pour ma malheureuse queue. Les pics en profitaient pour empaler de plus en plus le pauvre gland ce qui provoquait une érection contrariée par cette ignoble prison. Je sortais et je regagnais mon véhicule. Avec soulagement, je déposais le sac et je prenais place. De nouveau, en m’assaillant, le plug se remit à jouer avec le côlon et son anneau…. Je démarrais et je retournais à mon domicile avec consolation et apaisement.

 

        Je remercie mes Masters pour cette nouvelle épreuve en espérant que le compte à rebours pour la prochaine vidange s’approche de plus en plus. Elle sera non seulement bénéfique mais aussi utile pour la santé du slave.

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Vendredi 11 août 5 11 /08 /Août 07:15

Mercredi 9 août.

11 - Corvée - D - -.-        Je passais une nuit blanche. Chaque fois que j’essayais de m’endormir, les pics de la cage empalaient mon malheureux gland. Plus je tentais de me détendre et plus la cage martyrisait ma pauvre queue ! À mon grand désespoir, elle avait des fuites et drainait des secrétions séminales qui mouillait ma cuisse. Sur le matin, je me décidais à me lever. Après un bon café pour démarrer la journée, je passais à la salle de bain. Je faisais un nettoiement complet de la geôle et de son prisonnier espérant que cela le calmerait ! Après la douche, je mettais en place pour la journée, le plug N° 04 et sa ceinture pour le maintenir en place. Cette mise en place provoquait la reprise du problème ! Je me remettais à mouiller de la queue. Je séchais cette fuite incongrue. N’ayant pas l’anneau adéquat pour la ceinture, j’utilisais le cockring en12 - Corvée - D - -.- place pour fermer cette dernière. Le problème est que son diamètre est plus petit que l’anneau d’origine ce qui augmente la compression de la base de la bite du slave. Cela cause aussi, avec le temps des 13 - Corvée - D - -.-sensations de brûlures au pubis et au périnée. La journée serait longue et humiliante !

        Je me rendais au travail sous une pluie battante. Chaque nouveau pas était devenu un calvaire ! Le plug jouait avec le côlon et la cage empalait ma malheureuse queue. Je sentais se coller sur la cuisse des fuites inopinées. Heureusement, j’avais un pantalon et donc aucun risque de14 - Corvée - D - -.- mauvaise surprise qui dépasserait d’un short. J’arrivais à destination et je saluais les collègues, les parents et les enfants présents. Je montais à l’étage. Chaque nouvelle marche était, elles aussi, dégradantes pour les mêmes raisons. Je mouillais de la queue de plus en plus ! Je ressentais ces fuites indécentes se coller sur la cuisse gauche. En prenant place à mon poste de travail, je sentis l’intrus pénétrer un peu plus profondément dans mon côlon. Le premier anneau en profitait pour gober la boule supérieure et se stabiliser entre les deux. J’ouvrais le tiroir du bureau pour prendre le marqueur et je l’installais dans la poche frontale de la chemise. Je me mettais au travail. Sans bouger, mon petit monde se calmait progressivement et je pouvais me concentrer sur mon labeur. 15 - Corvée - D - -.-Depuis la canicule, j’ai une bouteille d’eau sur le coin de mon plan de travail et régulièrement, j’en bois une gorgée. Tout ce qui entre par un bout doit ressortir par son extrémité…. Un peu avant 11 heures du matin, ma vessie atteignait le seuil critique. L’envie devenait de plus en plus pressente. Je me décidais à prendre une pause pour me rendre aux toilettes. Je vérifiais que personne était en vue dans le couloir. Dès que je me levais et que je me mettais en route, mon petit monde se réveillait.16 - Corvée - D - -.- L’anneau faisait des vas et viens entre les boules. Les pics de la cage empalaient le pauvre gland excité. Je pressais le pas et je fermais derrière moi, la porte des toilettes. J’installais sur la tablette le téléphone et le marqueur. À la demande de plusieurs utilisateur, l’homme d’entretien venait d’installer des patères sur les portes intérieures.  J’ôtais ma chemise, mon jeans que j’accrochais. Mes baskets et mes socquettes patientaient sur le carrelage. Pieds nus, je sentais le froid de celui-ci monter dans mes jambes. Je relevais, à contre-cœur, la lunette des toilettes. Une nouvelle fois en tenue d’Adam, assis sur le bord de la cuvette, je notais sur ma cuisse gauche la date du jour : "Mercredi 9 août". J’attrapais le téléphone et je la photographiais. Je m’asseyais 17 - Corvée - D - -.-sur la faïence glacée, les fesses gelées, les jambes écartées comme le demandent mes Masters. Je prenais les clichés suivant tout en soulageant ma vessie. C’est vraiment trop humiliant et dégradant de devoir prendre ces photos intimes. En me relevant, je prenais une photographie du collier.   18 - Corvée - D - -.-   19 - Corvée - D - -.-

 20 - Corvée - D - -.-   21 - Corvée - D - -.-

22 - Corvée - D - -.- M’apercevant que la médaille était restée dans le dos, je la plaçais sur le torse. Les pics n’avaient pas arrêté d’empaler le gland qui, excité, provoquaient une érection contrariée par la cage. Ma malheureuse queue est tellement à l’étroit dans celle-ci qu’elle tente une sortie par les trous d’aération. Mon pauvre gland est, lui aussi, tellement enserré que la collerette tente un échappement par une autre alvéole. Il est de plus en plus empalé par son geôlier. Je ne cesse de la maudire ! Mon trou poussait toujours. Je me baissais et déplaçais le bloc-plug. Je retenais en vain l’intrus qui sorti instantanément. Un gémissement s’échappa ! Mon 23 - Corvée - D - -.-palpitant se mit à battre la chamade. Je faisais silence et vérifiais que personne ne m’avait entendu. Ma petite fleur mouillait comme une vraie s…. Je le remettais en place et je l’immobilisais avec la ceinture. En me relevant, humiliation ultime ! Le faite d’avoir aéré l’invitée, je mouillais aussi de la bite. Je savais, à contre-cœur, que mes Masters seraient heureux de voir cela. En regardant dans le miroir, je vis que la médaille n’était pas dans le bon sens. Je lui faisais faire un demi-tour pour que le N° du slave apparaisse. Je prenais un dernier24 - Corvée - D - -.- cliché de pieds. Tous les témoins dans la boite, je déposais le téléphone sur le bord du lavabo. J’enfilais mes chaussettes et je me rhabillais avec soulagement. Je rangeais l’appareil photo et le marqueur dans la poche frontale de ma chemise. Je tirais la chasse d’eau et je me rinçais les mains. Après les avoir séchés, je faisais un instant silence. N’entendant aucun bruit, je me décidais à sortir. Je passais à la salle de repos pour boire un jus de fruit. De nouveau, à chaque pas le convive jouait avec le côlon et la cage empalait ma malheureuse queue à l’étroit. Lorsque j’étais bien rafraîchi, je regagnais mon poste de travail. Avec soulagement, je reprenais place sur mon fauteuil. Je rangeais dans son tiroir le marqueur et le téléphone dans ma veste. Je reprenais mon labeur.

 

        Je remercie mes Maîtres pour cette nouvelle journée. De continuer mon éducation et de la faire évoluer dans les sphères de la soumission.

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Mercredi 9 août 3 09 /08 /Août 06:25

Le lundi 7 août.

01 - Le Lac - D - -.-        Comme la météo annonçait le dernier jour de beau et que nous n’étions plus sous "Alerte canicule", je demandais à mon directeur une journée de congé, ce qu’il acceptait. Je me préparais en passant à la salle de bain pour parfaire le rasage du corps. Chaque fois que je dois le faire, je trouve ce travail toujours aussi humiliant et dégradant de devoir supprimer tout poil ! Je préparais mon sac avec une bouteille d’eau, un livre et une serviette. Comme me l’avait commandé Maître Michael, j’enfilais un short estropié de son slip intérieur, une chemise et mon gilet sans manche. Je portais aussi le collier et sa médaille que je positionnais sur le torse, la cage qui emprisonne ma malheureuse queue et le plug N°3 qui tient seul. Quand tout mon attirail était près, je regardais par le juda.

        Le couloir était éteint et donc personne en vue ! J’ouvrais02 - Le Lac - D - -.- ma porte et je gagnais l’ascenseur. La descente fut longue et mon palpitant se mit à battre de plus en plus vite. Quand les portes s’ouvraient, je regardais rapidement dans le hall d’entrée. J’étais rassuré car il n’y avait personne en vue. Avant de sortir, je vérifiais la cour. 03 - Le Lac - D - -.-Comme il y avait des voisins qui se rendaient dans la montée d’en face, j’attendais un instant. Mon cœur battait de plus en plus fort et ma malheureuse queue était martyrisée par les pics. Quand j’étais sûr que la cour était libre, je me rendais à ma voiture ! La médaille sautillait sur mon torse à chaque pas. Pire, quand j’avançais la jambe gauche, la saleté de cage sortait de plus en plus ! Je m’empressais à déposer le sac dans le04 - Le Lac - D - -.- coffre et je prenais place sur le siège conducteur. En m’assaillant, je sentis le plug pénétrer plus profondément ! Mon trou se mit à pousser et mon malheureux gland se faire empaler par les picots de la cage. Je m’apercevais que la cage sortait toujours du mini short. Suivant les ordres que j’avais reçus, je devais prendre des photographies de chaque étape. Je 05 - Le Lac - D - -.-commençais donc par la médaille sur le torse puis la maudite cage qui dépassait. J’avais 45 minutes de voiture pour me rendre à destination. Lors d’un arrêt, je vis à mon grand regret que le short s’était replié et remontait encore plus laissant voir, non seulement la cage mais aussi le cadenas ! Je maudissais les shorts qui avaient étés gardés et encore plus l’ablation des slips intérieurs. À cause de la coupe et de la matière, ils étaient tous06 - Le Lac - D - -.- aussi humiliants ! J’arrivais à destination et je garais le véhicule. Je sortais mon sac et le transat du coffre. J’allais me mettre en route lorsqu’un couple me dépassa. Je priais pour qu’ils ne se rendent pas à la petite plage à l’écart. J’essayais en vain de les dépasser. Chaque nouveau pas faisait remonter un peu plus le maudit short et faisait apparaître encore plus la maudite cage. Je regrettais de plus en 07 - Le Lac - D - -.-plus l’ablation des sous-vêtements. Mon palpitant battait toujours la chamade et les pics empalaient de plus en plus mon pauvre gland, ce qui provoquait une érection permanente. Par moments, je sentais un filament se coller sur ma cuisse. Mes pauvres couilles sont tellement pleines qu’elles demandent qu’a être vidangées. Devant moi, je voyais le couple quitter la plage et monter le talus. À mon grand regret, ils allaient prendre ma08 - Le Lac - D - -.- place dans la petite enclave à l’écart. Je devais donc rester au bout de la plage la plus étendue à mon grand regret. Je prenais la place à l’extrémité, ainsi il y aura moins de monde à passer devant moi pour gagner un emplacement. Je déposais le transat et j’immortalisais les lieux déserts. Je continuais par le short, la chemise et le collier avant de me mettre en tenue d’Adam. Je posais mon sac à dos. J’installais le transat et je sortais la serviette que j’étalais dessus. À la demande de Mr Alain, je prenais un cliché de face 09 - Le Lac - D - -.-et un de pieds avec le retardateur. J’espère qu’un minimum de personnes verront ces photos dégradantes. Je terminais par l’intrus qui obstruait mon petit trou. Je m’allongeais et je prenais un dernier cliché. Je m’allongeais sur le ventre pour faire une petite sieste. Je m’apercevais alors que le plug était mis en exposition ce qui n’est pas le cas sur le dos. Au bout d’un certain temps, j’entendis des voix s’approcher. Je me retournais pour regarder. Un couple s’approchait. Lorsqu’ils s’aperçurent que j’occupais le bout de place, ils s’installaient à quelles que mètres avant. Je prenais mon livre et continuais la lecture de10 - Le Lac - D - -.- mon roman. La cage, mon collier et sa médaille étaient en évidence. Je me sentais mal à l’aise ainsi. Surtout la cage en publique est encore plus humiliante et dégradante, surtout lorsque les pics s’amusent à supplicier ma pauvre queue. Pour une fois, il y avait peu de passage de voyeurs. Les lieux étaient surtout occupés par des couples que j’apercevais au loin. Je soufflais un moment et mon palpitant pu reprendre un rythme plus calme. En milieu d’après-midi, un homme passa devant moi avec un regard insistant sur les attributs du slave. Heureusement la conversation restait sur les politesses d’usages. Je maudissais ses yeux qui scrutaient chaque centimètre de mon pauvre corps.

11 - Le Lac - D - -.-        Le vent se mit à se lever et de gros nuages apparaîtrent au loin. Tout doucement les températures tombaient. Au fur et à mesure, je voyais mes voisins plier bagages. Au bout d’un certain temps, les nuages obscurcirent le soleil. Je me décidais à plier bagage. Je rangeais mes affaires dans le sac et je repliais le transat. Je me rhabillais avec le short la chemise, le gilet, des socquettes et mes baskets. Je regagnais ma voiture. L’humiliation reprenait de plus belle, à chaque nouveau pas le short remontait et laissait apparaître de plus en plus la cage. Je croisais des couples qui me dépassaient et examinaient longuement mes attributs, le collier, sa médaille et la cage où12 - Le Lac - D - -.- le cadenas se dévoilait de plus en plus sous le mini short. Les femmes semblaient les plus intéressées par ce carcan…. Je me sentais, pour ma part, de plus en plus mal, humilié et frustré par l’amputation du slip intérieur. J’arrivais enfin à ma voiture ! Je déposais dans le coffre, le sac et le transat. Je reprenais place sur le siège conducteur. En m’assaillant, le plug s’enfonçait plus profondément et excitait l’anneau. Les pics continuaient à empaler et supplicier ma pauvre queue. Je devais conduire avec tout ce petit monde en fête. Je rentrais chez moi avec difficulté. Arrivé au parking, j’attendais un instant que les voisins rentrent chez eux pour sortir de mon véhicule. Je prenais mon sac et rapidement je gagnais la porte d’entrée de ma montée. Je poussais un souffle de soulagement lorsque je me retrouvais seul dans l’ascenseur.

   13 - Le Lac - D - -.-   14 - Le Lac - D - -.-        Malgré les sentiments   de frustrations, d’humiliations et d’avilissements que j’ai eus pendant cette journée, je dois remercier mes Masters pour cette nouvelle étape dans mon éducation.

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Dimanche 6 août 7 06 /08 /Août 07:04

Mercredi 2 août

        J’arrivais au bureau et je garais ma voiture. Sur le trajet, les pics n’avaient pas cessé de martyriser mon pauvre gland et le côlon n’arrêtait pas de se distraire avec son jouet. Avec soulagement, je sortais du véhicule. Je me rendais au bureau mais à chaque nouveau pas les tortures continuaient de plus belle. Pour cette journée spéciale, elle allait être très longue….

01 - Corvée - D - -.-        J’arrivais à destination et en entrant, je saluais les collègues déjà présents, les parents qui amenaient leurs enfants et ces derniers. Je gagnais mon poste de travail à l’étage. Chaque nouvelle marche gravit, aggravait le martyre de ma malheureuse queue et de mon pauvre petit trou. Enfin arrivé à mon bureau, je préparais le marqueur que je rangeais02 - Corvée - D - -.- dans une des poches frontales de ma veste sans manche. Je m’assaillais délicatement sur mon fauteuil en lançant mon ordinateur. Je sentais progressivement le plug N°4 pénétrer plus profondément. L’anneau intérieur en profitait pour jouer avec celui-ci en montant et descendant entre les boules. La cage exploitait cette 03 - Corvée - D - -.-excitation et spéculait avec ses picots. Je me concentrais sur le dossier que je devais rendre pour calmer ce petit monde en effervescence. Pour éviter tout gémissement incongru, je retenais ma respiration. Je soufflais et je reprenais ma respiration doucement et04 - Corvée - D - -.- régulièrement en évitant tout geignement. Je maintenais ainsi mes garnements dans un calme approximatif. En me concentrant sur mon travail, j’arrivais avec difficulté à canaliser mes chenapans de contraintes. Avec la canicule, j’avais pris une bouteille d’eau que je gardais près de moi. Régulièrement, j’en buvais quelles que gorgées. Tout liquide qui pénètre doit ressortir…. Doucement mais sûrement, ma vessie se remplissait. En milieu de matinée, l’envie de me rendre aux 05 - Corvée - D - -.-toilettes devenait de plus en plus urgente. Je vérifiais une dernière fois le couloir. Ne voyant pas âmes à l’horizon, je prenais mon courage à deux mains et je me levais. En maîtrisant ma respiration et en se concentrant sur le dossier, j’étais arrivé à contrôler, à peu près, mes excentriques convives. Mais dès que je commençais à marcher,  tout ce petit monde reprirent leurs œuvres dissidentes. J’arrivais aux toilettes et je fermais à clef la porte derrière moi. Je devais contenir une mutinerie tout en me déshabillant. Je déposais06 - Corvée - D - -.- mes vêtements sur le bord du lavabo. En ôtant mes socquettes, je ressentis le froid du carrelage qui calma un temps mes garnements. Je prenais le marqueur que j’avais déposé sur la tablette. Assis sur le coin de la cuvette, je notais la date du jour : "Mercredi 2 août". J’attrapais ensuite le portable et je photographiais ce graffiti. Je relevais la lunette et je lâchais les vannes. La vidange terminée, je séchais le bout de la cage et mon méat afin d’éviter des pertes inopinées. Je prenais de nouveaux clichés de la jambe taguée, de la geôle de ma malheureuse queue et de la ceinture en cuir. Accroupi, j’immortalisais l’intrus dans ma rondelle en le sortant à moitié et son bloc-plug ce qui raviva ses débordements. En me relevant, 07 - Corvée - D - -.-je positionnais la médaille du collier de slave sur le devant. Je la remettais en place avant de me rhabiller. J’entendis 08 - Corvée - D - -.-dans le couloir deux personnes qui s’approchaient. J’évitais tout bruit et je retenais ma respiration. Mon palpitant se mit à battre de plus en plus fort et rapidement. Heureusement ils continuèrent leur chemin. Je terminais de me rhabiller pour la troisième fois de la matinée. Je tirais la chasse d’eau et je me lavais les mains. Je rangeais le matériel dans les poches frontales de mon gilet sans manche. Avant d’ouvrir la porte je tendais l’oreille.09 - Corvée - D - -.- N’entendant plus de bruit, je me décidais à sortir et regagner mon poste.10 - Corvée - D - -.- Le temps que j’arrive à mon bureau, les convives avaient repris leurs excentricités. Je m’assaillais et je reprenais ma respiration et ma concentration pour faire patienter les clandestins jusqu’à la pause de midi. Ces extravagances perpétuelles sont toujours aussi humiliantes, dégradantes et avilissantes. Je replaçais le marqueur à sa place dans son tiroir jusqu’à la prochaine fois. Je reprenais la rédaction de mon dossier.

 

        Merci mes Masters pour cette nouvelle épreuve, pour continuer à faire évoluer   votre slave dans la soumission et sur les chemins que vous désirez.

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Samedi 5 août 6 05 /08 /Août 07:49

Mercredi 2 août.

01 - Médecin - D - -.-        Après une nuit difficile, je me levais. Je me faisais un bon café et je passais à la salle de bain. Je réalisais un bon nettoyage de la cage avec mon index. J’avais pris mes instructions auprès de Maître Michael. Comme c’était un jour spécial, il m’autorisait à porter le boxer blanc. Je le préparais dans un sac avec une serviette et du gel. Je partais en avance car j’avais pris le premier rendez-vous. En me rendant à ma voiture, les pics s’étaient remis à torturer mon pauvre gland. Je sentais dans mon côlon, le premier anneau jouer avec les boules du plug N°4. En m’asseyant dans le véhicule, il pénétrait encore plus profondément ce qui excita encore plus mon trou qui tentait de pousser et de mouiller. Les pics en profitaient pour maltraiter un peu plus ma pauvre queue.02 - Médecin - D - -.-

 

        Suivant les commandements, je stationnais à l’écart pour me changer. J’installais sur la banquette arrière la serviette. J’enlevais mon pantalon et je prenais un cliché avant d’enlever la ceinture et le plug. Mon trou 03 - Médecin - D - -.-libéré, je le séchais et je faisais un nouvelle photo de la cage. Je prenais le boxer que j’enfilais toujours assis à l’arrière de la voiture. De temps en temps, je jetais un coup d’œil à l’extérieur pour vérifier que personne n’arrivait. Je le photographiais avant de renfiler le jeans. Je déverrouillais la collier que je rangeais dans le sac avec les autres attributs. Je sortais et je reprenais ma place pour me garer au plus près de cabinet.

 

        Je rentrais par la porte arrière qui était ouverte pour aérer le cabinet médical. Les portes du médecin étaient04 - Médecin - D - -.- fermées et j’entendais, au loin, des paroles étouffées. Je saluais le secrétaire qui m’informait que la doctoresse avait une urgence. Je discutais un moment avec lorsque la porte du cabinet s’ouvrit après un bref coup de sonnette. Une femme entrait et nous saluait. Nous lui répondions et elle allait s’asseoir. Nous continuions notre 05 - Médecin - D - -.-conversation le temps que le médecin termine sa consultation. Des paroles étouffées nous parvenaient sans pouvoir en comprendre le sens. Au bout d’un certain temps, la porte s’ouvrait et la doctoresse raccompagnait un jeune homme. Elle m’invitait à entrer. Mon palpitant si mit à battre la chamade, les pics empalaient ma pauvre queue et je serrais les dents pour retenir mon trou qui voulait jouer. Je m’assaillais et je lui donnais mes papiers. Elle m’invitait à me mettre en sous-vêtement. Je m’exécutais et je me retrouvais avec seulement le boxer. La cage se devinait à cause de l'amputation de la doublure. Après avoir pris les premières mesures, elle me demandait de m’allonger. Mon cœur se mit à battre encore plus fort. Je sentais chaque pulsation dans la poitrine jusqu’aux oreilles. La cage se trouvait mise en évidence. Le médecin me dit alors : "Tu porte toujours ton jouet ! " Ne sachant quoi répondre, me sentant humilié et frustré, je me taisais. Je06 - Médecin - D - -.- sentais le sang affluer au visage. Quand elle eut terminé son auscultation, elle m’invitait à me rhabiller. Sans mot dire, je m’exécutais le temps qu’elle rédige le renouvellement. Comme elle avait pris du retard, j’abrégeais la discussion en prétextant qu’elle jouait les prolongations. 07 - Médecin - D - -.-J’avais trop envie de m’enfuir. Après avoir rangé l’ordonnance et mes papiers nous nous disions au revoir. Comme la porte arrière était encore ouverte je sortais par-là. Cela m’évitait de repasser devant le secrétaire. Je regagnais ma voiture et j’allais stationner dans un coin pour remettre tous les attributs du slave. J’installais une nouvelle fois la serviette de toilette sur la banquette arrière. Je m’assaillais dessus et je baissais mon pantalon. Avant d’ôter le boxer, à contre-cœur, je le reprenais en photo une dernière fois. Les pics de la cage ne cessaient de martyriser mon malheureux gland, ce qui l’excitait et provoquait une érection incessante et contrariée. Par intermittence, je regardais à08 - Médecin - D - -.- l’extérieur pour vérifier qu’il n’y avait personne à l’horizon. Je posais la ceinture pour maintenir plus facilement l’intrus qui allait se présenter à mon trou éprouvé. Je graissais légèrement le plug et mon trou. Je levais les jambes et je posais les pieds contre le dossier du siège devant moi pour présenter la nouvelle entrave à mon orifice. J’enfonçais la première boule puis la seconde. Je sentis l’anneau intérieur monter sur la première sphère et la gober. Je le bloquais immédiatement en repositionnant le bloc-plug. Je terminais les 09 - Médecin - D - -.-attributs en installant le collier. Je commençais par présenter la médaille puis, je tournais le collier pour l’installer en arrière et je la cachais sous le col de chemise. Lorsque tous les attributs étaient en place, je remettais le jeans et mes baskets. Je rangeais dans le sac, le lubrifiant et la serviette.

 

        Je reprenais place sur le siège conducteur. En me rendant au bureau pour une nouvelle journée de labeur, je déposais mon ordonnance à la pharmacie. Je la reprendrais le soir en sortant du travail.

 

        Je remercie vivement mes Maîtres pour avoir pris en compte ce jour spécial et d’avoir permis le port du boxer blanc


 10 - Médecin - D - -.- 11 - Médecin - D - -.- 12 - Médecin - D - -.-

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Samedi 29 juillet 6 29 /07 /Juil 14:44

Mercredi 26 juillet.

        La nuit a été longue et douloureuse avec un trou aux enfers, qui ne cessait de mouiller, de jouer avec son invité, le plug N°3. Soit des cauchemars avec des réveilles en sursaut, soit des stages aux toilettes pour calmer ce petit monde composait la nuit du slave. Ma pauvre queue n’était pas, elle non plus au paradis. Les pics martyrisaient le malheureux gland qui, plus il se gonflait, plus il s’empalait sur les pieux et plus cela l’excitait….

01 - Corvée - D - -.-        L’heure du réveil sonnait enfin ! Je me levais, après avoir déjeuné et fait ma toilette, je me préparais à partir au bureau. J’avais mis un jeans, une chemisette, un gilet sans manche et une paire de socquette. Maître Michael avait commandé, à mon grand regret, que je reprenne la corvée hebdomadaire tous les mercredis. Au préalable, j’avais installé le plug N°4 après avoir calmé l’anneau intérieur avec un suppositoire et bloqué le tout grâce à la ceinture. J’en prenais en réserve dans une poche pour le travail.

        Le premier anneau avait gobé la boule supérieure du plug avant de partir. Je me rendais à mon travail. À chaque pas, je le sentais tenter de faire de même, sans succès, avec la seconde boule. Il montait et redescendait malgré le suppositoire que j’avais posé. De même pour la cage, les picots empalaient mon malheureux gland. Plus ils pénétraient et plus02 - Corvée - D - -.- cela excitait ma pauvre queue. J’arrivais enfin à destination. Je saluais les collègues et je prenais place à mon bureau. La veille, j’avais préparé le marqueur dans le tiroir supérieur. Je le rangeais dans la poche de la chemisette. En m’asseyant, je sentis le plug 03 - Corvée - D - -.-pénétrer un peu plus profondément dans le côlon. Quand mon trou redoublait de vigueur, je bloquais ma respiration pour éviter tout gémissement. J’essayais difficilement de me concentrer sur mon travail. En milieu de matinée, je me décidais à me rendre aux toilettes pour réaliser la corvée hebdomadaire. Je pourrai renouveler le suppositoire afin de tenir jusqu’à la04 - Corvée - D - -.- pause de midi car l’invité était en train, de plus en plus, exciter mon malheureux trou. Je jetais un œil au couloir et ne voyant personne à l’horizon, je me décidais à me lever. Chaque pas que je devais faire pour atteindre les toilettes, augmentait le calvaire de ma queue et de mon cul ! Je refermais la porte derrière moi. Je posais le marqueur et le portable sur la tablette. Je me déshabillais et posais mes affaires sur le bord du lavabo. Je prenais le marqueur à contre-cœur et je notais la date du jour : 05 - Corvée - D - -.- "Mercredi 26 juillet 2017." Après avoir pris un cliché, je relevais la lunette des toilettes et je vidais ma vessie.

06 - Corvée - D - -.-        Heureusement la ceinture maintenait le plug car l’anneau ne cessait de jouer avec. Avant de m’en occuper, je prenais des photos de la médaille que j’avais mise sur le devant et de la prison de ma queue. Je posais le portable à terre et je m’accroupissais. Je déplaçais légèrement le bloc-plug pour libérer celui-ci. Mon trou poussait tellement que je devais le tenir pour ne pas l’expulser d’un coup. Je prenais un suppositoire dans la poche de la veste que je présentais à ma petite fleur. Je le faisais pénétrer pour qu’il atteigne l’anneau. Je reprenais le plug et le présentais à mon petit trou qui se mis à pousser. La première boule pénétrait. Je sentis ma pauvre queue se gonfler encore plus et les pics empaler mon malheureux gland. Ces différentes piqûres avaient pour conséquence de l’exciter et d’augmenter07 - Corvée - D - -.- l’envie d’une érection contrariée par sa prison. Je poussais pour faire pénétrer le convive et qu’il reprenne sa place. Je ressentais de plus en plus les picots martyriser mon pauvre appendice. Je repositionnais la ceinture pour tenir ce petit monde.

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16 - Corvée - D - -.-        Je me relevais et je prenais un nouveau cliché de pieds du slave. La cage suppliciait de plus en plus ma queue. Je n’arrivais pas à la calmer. Chaque pic qui pénétrait dans le gland, l’excitait un peu plus. Elle était tellement compressée, qu’elle tentait de sortir par les petits trous de coté. Le gland emplissait le bout de celle-ci où les pics se situent. Plus ils l’empalaient et plus j’essayais en vain de bander. J’avais de plus en plus envie de pouvoir me masturber et enfin jouir. C’est devenu une telle obsession que la nuit j’en fais des cauchemars. Plusieurs fois le matin, je me réveillais avec une tache au drap. Je maudissais de ne pas avoir pu plus en profiter car ce n’était qu’un vague souvenir. Parfois, le jus coulait encore sur la cuisse ce qui augmentait ma frustration et mon humiliation d’être contraint à l’abstinence depuis si longtemps. Lorsque j’avais toutes les preuves dans mon téléphone, je me rhabillais avec17 - Corvée - D - -.- ces pensées en tête. Chaque jour j’espère  que mes Masters me convoque pour enfin pouvoir vidanger mes couilles débordantes. Je replaçais le marqueur et le téléphone dans les poches frontales. Discrètement, j’ouvrais la porte et n’entendant pas de bruit, je retournais à mon poste. Mon trou se calmait progressivement mais mon gland maltraité maintenait une érection contrariée.


        Je dois remercier mes Maîtres pour faire reculer mes limites et pour continuer à suivre le slave que je suis. Eux seuls savent ce qui est bon ou non pour un bâtard comme moi. C’est pourquoi ils ont toujours raison !

 

Merci à mes Masters !

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Mercredi 19 juillet 3 19 /07 /Juil 07:24

Nuit à la cave

        Mes Masters, sur proposition de Master Seb, m’ont infligé une punition pour les problèmes de piratage que j’ai subit. Suivant les directives de Master Seb., Je devais passer une nuit à la cave. Maître Michael avait ajouté que je devais partir de chez moi nu comme un ver.  Seul était autorisé les attributs du slave, une couverture à cause de la température dans les sous-sols et une paire de tatane aux pieds.

        Lundi 17 juillet au soir, je rentrais à mon appartement après ma journée de travail et comme d’habitude, je me mettais nu car c’est la seule tenue qui m’est autorisée. J’en profitais pour prendre les premières photos dans la tenue où je devrai me rendre pour dormir.

 11 - Cave - D - -.-  12 - Cave - D - -.-  13 - Cave - D - -.-

14 - Cave - D - -.-15 - Cave - D - -.-        Je me préparais à dîner et je regardais un moment la télévision. Vers 10h00 du soir, je tournais la clef pour ouvrir le barillet. Plusieurs fois je regardais par le Juda si personne ne vaquait dans le couloir. Un peu avant minuit, la fatigue aidant et le sommeil venant, je me décidais à descendre dans les sous-sols pour la nuit. Je prenais un vieux sac de couchage et mon portable pour les photos. J’éteignais toutes les lumières de mon domicile. Je retirais délicatement la clef du barillet et j’ouvrais doucement la porte. Mon cœur se mit à battre de plus en plus fort, ma pauvre queue se gonfler et être martyrisé par les pics de la cage. Je jetais un regard derrière moi pour vérifier que la voisine n’était pas à sa porte. Je refermais16 - Cave - D - -.- délicatement la porte et j’introduisais la clef. Je lui faisais faire un tour et à tâtons, je me rendais à l’ascenseur dans le noir absolu. Je trouvais le bouton et je l’appelais. J’entendis le moteur se mettre en marche et progressivement la cabine arriver. Les portes s’ouvrirent et je rentrais précipitamment dedans. Mon palpitant battait si fort que j’entendais chaque battement de mon cœur. Mon pauvre gland s’était gonflé et sa torture continua de plus belle. Enfin les portes se refermèrent et l’ascenseur commençait sa descente. Je n’avais qu’une crainte, qu’il ne s’arrête en cours de route pour prendre un voisin. Je posais le sac et je prenais les clichés suivant. Mon pauvre gland était de plus en plus maltraité par les pics de la cage. Plus il l’était, plus cela m’excitait et j’essayais en vain de bander. Ce qui augmentait ma frustration et mon humiliation. Je prenais aussi le plug N°3 en place.

17 - Cave - D - -.-18 - Cave - D - -.-        La cabine arriva enfin à destination. Je sortais et j’allumais la première série d’ampoule. Je sentis sur ma peau comme un voile de fraîcheur m’enrober. J’ouvrais les deux portes me séparant des caves. J’arrivais à un angle droit et je lançais la seconde série de lumières pour que je puisse me19 - Cave - D - -.- rendre à ma cave. Je remerciais d’en avoir eu une des plus éloigné de l’entrée. Je commençais à frissonner de froid et de peur. Je tournais à gauche et j’arrivais face à ma porte. Je l’ouvrais au cas ou je serai dérangé dans la nuit, je pourrai rapidement m’y cacher. J’installais dans le couloir devant celle-ci le sac de couchage. Je prenais de nouveaux clichés. Je relançais la minuterie et je m’installais par terre. Que le sol était dur et rugueux malgré le couchage ! Je m’allongeais et essayais de trouver une position 20 - Cave - D - -.-pas trop inconfortable. Je regrettais de ne pas avoir pris un coussin. Je mettais en boule le haut du sac pour faire un semblant d’oreiller. La lumière s’éteignit sur ces entre-faits. Bien que je sois fatigué, j’avais du mal à trouver le sommeil. J’imaginais un voisin arrivant dans le couloir et me voyant nu comme un nouveau-né, ou presque comme je porte une paire de tatane, un collier, la médaille de slave, une cage et un plug. Heureusement ce dernier est le moins visible. Je me retenais de maudire qui que ce soit et surtout les propositions de Master Seb. !

 

 

 

 

 

 

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 24 - Cave - D - -.-  25 - Cave - D - -.-

        Au bout d’un certain temps, le sommeil arriva enfin je tombais pour un moment dans les bras de Morphée. Je commençais à rêver ou plutôt à cauchemarder car je voyais un voisin à coté de moi, puis, de plus en plus qui arrivaient. Ils riaient et se moquaient du slave quand je voulus me lever, je me réveillais en sur-saut ! Je poussais en Ouf de soulagement, le cœur battant la chamade et ruisselant de sueur. Je me retournais pour retrouver le sommeil. Un moment plus tard je me réveillais de nouveau dans le noir en croyant que la lumière s’était allumé. J’étais près à bondir pour me cacher dans ma cave. Je savais que cette épreuve était pour le bien du slave que je suis, c’est pourquoi j’évitais de maudire qui que ce soit. La nuit se passait ainsi avec des temps de repos et des réveils en sur-saut, le palpitant battant la chamade et ruisselant de sueur. A chaque réveil, je regardais l’heure. Les minutes s’égrainaient très lentement. Lorsqu’il fut enfin 5h00 de matin, je me levais et allais appuyer à tâtons sur la minuterie. Mon cœur se mit à battre de plus en plus vite et fort. Ma pauvre queue se mit, elle aussi à se gonfler et je sentais les picots pénétrer de plus en plus dans mon malheureux gland. Un instant je fut aveuglé. Quand je m’habituais à la 26 - Cave - D - -.-lumière, je m’empressais de fermer à clef ma cave, de prendre mon sac, mes clefs et le portable. Je regagnais l’ascenseur. Pendant le trajet de retour, j’étais de nouveau enrobé par la fraîcheur des lieux qui me faisait grelotter, mon palpitant continuait à battre encore plus vite et fort. J’entendais chaque pulsation dans mes oreilles. Mon gland reprenait son calvaire et plus les pics essayaient de pénétrer et plus j’essayais d’avoir une érection contrariée par la cage ! En tendant l’oreille, j’attendais quelles que seconde avant d’appeler l’appareil. Les portes s’ouvrirent immédiatement et je montais dans l’habitacle. J’appuyais sur mon étage. L’ascenseur se mit en marche après quelles que secondes. Je préparais ma clef pour ouvrir doucement la porte après avoir pris les derniers clichés.

 

        L’appareil arriva à destination et avant de sortir, j’attendais un instant. À la lueur de la cabine, je regagnais mon logis. Le temps que j’insère la clef les portes se refermaient. Je me retrouvais une nouvelle fois dans le noir complet le cœur battant toujours la chamade et mon malheureux gland qui ne cessait d’être torturé par les pics. Je tournais ma clef délicatement pour faire le moins de bruit possible. Je jetais un coup d’œil à la porte derrière moi, une commère de voisine, et j’ouvrais précautionneusement la mienne. Je me faufilais dans mon appartement en reprenant ma clef et je refermais la porte aussi rapidement. Je m’appuyais un moment contre en soufflant et pour calmer tout mon petit monde ! J’allumais la lumière du couloir et je refermais la porte à clef. Cet aller-retour à la cave et la nuit dans le couloir nu comme un ver fut une expérience très humiliante et dégradante. Je priais pour qu’il n’y ait pas d’autre humiliation de la sorte. Je repliais le sac de couchage le temps qu’un café bienfaiteur coule.

 

        Merci à mes Masters pour cette nouvelle expérience qui fut très dégradante et humiliante mais bénéfique pour le slave que je suis.

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Dimanche 16 juillet 7 16 /07 /Juil 19:28

Récupération du matos.

        J’avais du descendre à la cave mes jouets comme j’avais régulièrement la visite des autorités pour régler mon problème. Maître Michael donnait ses instructions et une nuit je me décidais à chercher ma mallette. Suivant ses commandements j’enfilais seulement le short blanc. J’ouvrais la porte de l’appartement très discrètement et je regardais par le judas si personne n’était dans le couloir. Il était éteint. Je me décidais à sortir et mon cœur se mit à battre de plus en plus fort. J’appelais l’ascenseur. Le temps qu’il monte, je sentais les pics de la cage maltraiter mon pauvre gland. Je devais essayer de bander mais celle-ci contrariait mon érection et faisait pénétrer les picots plus profondément. Plus ils pénétraient et plus cela m’excitait et faisait gonfler ma queue. Les portes de l’ascenseur s’ouvrirent et je montais. J’appuyais sur le –1 et il commença à descendre. Je prenais mon portable pour faire le premier cliché. J’enlevais mon short à contre-cœur et en espérant que personne ne se trouvait dans les sous-sols. Je prenais un nouveau cliché.

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        Je sortais et déposais devant la porte le short. Je me rendais à ma cave qui se trouve être une des plus éloignées. Mon cœur battait la chamade et ma pauvre queue continuait à être martyrisée. J’ouvrais la porte de ma cave et je cherchais un plug, du lubrifiant et la ceinture. je relançais la minuterie et je m’installais dans le couloir devant la porte de ma cave. je commençais par installer la ceinture autour de la taille pour n’avoir plus qu’à la faire tenir sur le cockring en caoutchouc. Je présentais le plug N°4. mon malheureux trou n’avait plus été travaillé depuis plus de trois mois et je dus forcer pour arriver à le mettre en place. J’avais le cul explosé et mon trou se mit de suite à pousser. Je sentais le premier anneau tenter de monter en vain sur la première boule. Avec difficulté, je clipsais les bouts du bloc-plug à l’anneau. Comme le diamètre est plus petit que celui en métal, je forçais pour arriver à fermer le bouton-clips. L’invité en place et bloqué torturait de plus en plus mon pauvre cul.

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09 - Cave - D - -.-        La lumière s’éteignit et je relançais la minuterie. Je prenais en photo les attributs du slave : la ceinture et son plug, la cage de chasteté et le collier que je retournais pour avoir les deux faces. Je m’empressais à sortir la mallette et je refermais à10 - Cave - D - -.- clef la porte de la cave. Je revenais à l’ascenseur et remettais le short qui traînait par terre. La porte s’ouvrait et je me pressais de monter. J’appuyais sur mon étage. Quand il s’arrêtait, je sortais avec mon matériel et à la lueur de l’ascenseur je gagnais mon logement ! J’ouvrais délicatement la porte et je me précipitais dedans. Je refermais la porte à clef en poussant un "Ouf" de soulagement. J’avais de plus en plus mal au cul et ma queue était torturée par la cage. Mon palpitant n’avait pas cessé de battre la chamade.

 

        Merci à mes Masters de continuer à parfaire mon éducation pour leurs plaisirs.

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