Mercredi 13 septembre
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1er Exercice du dimanche 10 septembre
:
À mon grand regret mes Masters ont prient connaissance des
différents commentaires laissés ces dernières semaines par les visiteurs du blog. Après s’être consultés Maître Michael m’informait des nouvelles directives (publiées) et que je devais commencer
le travail de mon trou avec les godemichés en ma possession dès ce week-end.
Le samedi 9 septembre, à contrecœur, je préparais la série de
godemichés que je possède après en avoir fait l’inventaire. J’allais chercher du poppers pour aider mon trou à supporter cette corvée. Le plus dégradant et humiliant dans ce travail de mon cul,
c’est que Maître Michael a ordonné que je prenne des photographies recto et verso de chaque phallus utilisé ! Pour à terme, que mon malheureux trou arrive à s’empaler sur le "Titan - N° 10". Non
seulement ce travail allait être dégradant et humiliant mais j’avais en plus le commandement de réaliser un rapport avec publication des clichés pris. Cette dernière directive serait d’autant
plus humiliante et frustrante que chacun allait découvrir mon trou devenir un gouffre !!! J’installais mon appareil photographique dans mon dos et mon portable pour les prises de vues de face. Je
déposais la ceinture qui maintenait le plug N°
04. Je préparais le premier gode
et je le présentais à ma petite fleur. Je commençais à limer mon trou et je m’assaillais sur ce piquet. Je prenais les photos réclamées par mes Maîtres suivant les propositions faites dans les
commentaires.
Je l’expulsais avec soulagement et je préparais le N° 02. Je le présentais à mon petit trou et j’attrapais la bouteille de poppers. Je humais
plusieurs rasade et je commençais à descendre sur ce nouvel instrument de torture. Plus je limais mon trou avec des vas et viens et plus je sentais l’envie de jouir monter. Je sentis l’anneau
intérieur gober le gland de cet intrus. Assis, je m’empressais à réaliser les prises de vues commandées et j’expulsais avec soulagement ce
pieu de mon côlon.
Je graissais le suivant. Après avoir pris plusieurs rasades de poppers, je présentais ce
nouveau phallus à mon pauvre cul malmené. Dès que ma petite fleur s’ouvrit pour descendre sur ce nouvel engin de torture, je sentais de nouveau mon jus monter. Je reprenais de nouvelles rasades
pour tenter de calmer cette montée. Plus je m’empalais sur ce phallus et plus l’envie de jouir devenait pressente. Je tentais en vain de contrôler cette montée de
sperme. La tête du gode butait
contre l’anneau. Je tentais de l’ouvrir avec de nouveaux aller retour sur ce poteau. Je sentis l’anneau gober le gland de ce nouveau lingam. Sentant l’éjaculation arriver, je m’empressais pour
prendre les clichés réclamés.

Malheureusement plus d’un an d’abstinence ne put retenir plus longtemps cette montée de
jus. Quelle frustration et humiliation de jouir de cette manière !!! Sans se masturber, une érection contrariée par la cage et un gland martyrisé par des picots qui l’empalent accentuaient mes
sentiments d’avilissements !!!
Mon jus sortait par jets saccadés avec bonheur malgré la frustration de ne pas avoir pu me masturber. Malheureusement pour le slave que je suis, je savais que cette
éjaculation inopinée allait coûter très cher…. J’expulsais le phallus avec satisfaction. À mon grand regret malgré la sensation furtive de soulagement dévalorisant de jouir de la sorte, je
photographiais mon délit pernicieux. Je rebouchais mon trou pour la nuit avec le plug N° 03. Je nettoyais ces trois premiers répréhensibles jouets. Le lendemain je devrai recommencer ce travail
dégradant, frustrant et humiliant pour connaître jusqu’où le "Titan" exploserait ma malheureuse petite fleur.
Dimanche matin je commençais par réaliser un nouveau lavement car le port permanent d’un plug et le travail de la veille
avait facilité le transit. Ce travail avait émoustillé l’anneau. Je devais le calmer avec un suppositoire avant de reprendre le travail de la veille. J'installais le
plug N° 03 en attendant le moment propice pour reprendre cette corvée. Quand tout ce petit monde s’était calmé, je préparais la série de godes avec la bouteille
de poppers. J’installais à nouveau l’appareil photo dans le dos en programmant le retardateur et le portable pour les prises de vues de face. Je reprenais le gode N° 01 et je recommençais le
labeur dominical imposé. Après l’avoir lubrifié, je le présentais à ma petite fleur et je lançais l’appareil photo. J’entendais les bips du retardateur s’accélérer à l’approche de la prise de
vue. Après deux ou trois allers retours, je m’assaillais sur ce pieu et prenais un nouveau cliché. Je faisais de même avec mon portable pour la prise de vue de face.
Je l’expulsais et préparais le N° 02. j’humais quelles que rasades de poppers et je présentais ce nouveau jouet à mon petit trou qui commençait à
s’échauffer. Les pics de la cage empalaient de plus en plus mon malheureux gland au fur et à mesure que j’avançais dans cet ignominieux travail. Je photographiais ce nouveau jouet puis, je
descendais progressivement sur ce poteau. De nouveau le retardateur et j’attendais avec impatience la nouvelle photo. Je faisais de même avec le portable pour la prise de face. J’avais mon trou
qui commençait sérieusement à s’échauffer. Quand j’étais certain que toutes les preuves étaient dans la boite, j’expulsais ce nouveau poteau.
Je graissais le suivant, le N° 03 tout en sniffant plusieurs lampées de poppers. Je montrais à mon anus ce nouveau piquet. Je sentais mon trou
s’ouvrir et avaler le gland de ce monstre. Je lançais une nouvelle fois le retardateur. Quand la preuve était dans la boite, je reprenais un peu de poppers et je faisais plusieurs montées et
descentes sur cet épieu. Je le sentis butter contre l’anneau intérieur. Après plusieurs essais il acceptait de s’ouvrir et absorber ce nouveau venu qui explosait un peu plus mon trou. À force de
faire des vas et viens, les parois de mon intestin devenaient de plus en plus irrité. Mon trou poussait de plus en plus. Je m’asseyais sur ce nouveau pieu tout en sniffant plusieurs goulées de
poppers et je lançais le retardateur. Je restais encore quelles que secondes assis sur ce mât pour faire la prise de vue de face. J’expulsais avec soulagement ce monstrueux intrus.
Je préparais le suivant et je présentais ce nouveau phallus à mon orifice enflammé. Ma petite fleur gobait le gland et tout en humant du poppers, je
lançais le retardateur. Les secondes devenaient de plus en plus longues à force que j’avançais dans la taille des différents godemichés. Mon pauvre gland souffrait de plus en plus et était
martyrisé par les picots de la cage. Plus j’avançais dans cette corvée et plus je sentais l’excitation monter. Je descendais jusqu'à ce que le bout de ce nouveau poteau bute contre l’anneau.
Après plusieurs essais infructueux, il daignait s’ouvrir et gober ce nouveau gland. Je me retrouvais assis sur ce phallus. Je lançais une nouvelle prise de vue tout en humant du poppers.
J’attrapais ensuite le portable pour faire la prise de vue de face. Je sentais progressivement une envie de jouir. Je faisais un travail surhumain pour ne pas me toucher ce qui augmentait la
frustration et l’humiliation de ne pouvoir me masturber et jouir. Je sentais mon jus qui commençait à se regrouper.
J’expulsais ce phallus et je graissais le "Titan" pour la phase finale. Je m’assaillais et je sentais mon trou avaler le premier étage de 7
centimètres de diamètre. Avec soulagement je photographiais le résultat recto et verso. J’avais de plus en plus envie de me masturber et de jouir. Je m’empressais de me relever avant qu’un
accident n’arrive comme la veille et que les problèmes s’accentuent. Je devais calmer mon petit monde et faire
redescendre la montée de jus qui se préparait. Ce dernier travail fut le plus dégradant, frustrant et humiliant de ne pouvoir me masturber et jouir. Je faisais un
travail inhumain sur moi-même pour ne pas me toucher ce qui augmentait d’autant plus mes frustrations.
Pendant que mon cul était bien ouvert, je prenais le plug N° 04 et je le préparais. J’installais la ceinture pour le bloquer dès qu’il serra en place.
Je présentais ce nouveau jouet à ma petite fleur qui s’ouvrit facilement et gobait ce nouvel intrus. L’anneau intérieur se plaçait immédiatement entre les deux boules. Cette histoire devenait de
plus en plus avilissante au fur et à mesure que mon trou s’ouvrait pour devenir un gouffre. J’immobilisais le nouveau venu en terminant
d’installer le block-plug. Je nettoyais et je rangeais pour 48 heures ces nouveaux jouets qui allaient être utilisés régulièrement.

Je remercie mes Masters pour cette nouvelle étape dans mon
éducation bien que devoir publier ma progression soit plus qu’humiliante, frustrante et dégradante. C’est à cause des propositions faites par les visiteurs et validées par mes Maîtres que je
remercie une nouvelle fois de me faire progresser.
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