Le blog de Bâstard à KC Sous Merde n°411-103-335

  Bienvenue sur le blog de Bâtard a KC : Sous Merde N° 411-103-335, sous le contrôle de Master Éric et Maître Michael. Il doit faire ce qui lui est demandé sans rechigner. N’hésitez pas à laisser des commentaires sur les différents articles qu'il publie sous nos ordres.

  Il fait aussi ce que les visiteurs demandent. Ce n'est pas un mâle mais une sous-merde, et il doit être traité comme tel.

  Sous cage de chasteté, nous seuls, ses Maîtres, décidons de ses jouissances afin de le purger de son jus pourris qui ne sert à rien.

  N'hésitez pas à laisser des commentaires dans les différents articles publiés ici par notre sous merde ou nous même. Cela l'humiliera  d'autant  plus.  Son  adresse  est  dorénavant  la  suivante  :        slave.411103335@gmail.com

   Nous la contrôlons entièrement. Nous nous chargerons de vous répondre ou notre slave vous transmettra nos commentaires.

  Notre Sous-Merde est à dispos de tous mâles souhaitant l'utiliser en Cam ou en Réel avec prises de photos et rapports publiés ensuite sur le blog. Même les soumis peuvent l'utiliser car son statut est inférieur à eux et il leur doit respect, soumission et obéissance.

Samedi 29 octobre 6 29 /10 /Oct 18:12

bonsoir a tous

 

De nouvelles règles sont imposées ce jour.

En effet, pour laisser dormir le batard la nuit, le separateur des couilles au niveau de la cage ne sera pas mis.  Le batard a reçu l'odre de faire attention a ce que la cage ne glisse pas pour laisser sa nouille et ses couilles a l'aire libre.

Dès son lever,  la sous merde devra remettre le separateur de couilles en place pour la journée. Comme cela il pouirra prendre sa douche sans que la cage ne glisse er reste bien place.

En attendant que le chauffage ne soit mis en route, il a l'autorisation de prendre seulement un tshirt.

quand il recoit du monde il portera un short blanc avec uniquement sa cage en dessous.

Par contre des que le chauffage sera en route, il sera a poil chez lui quand il est seul

Pour ses sorties, il se couvre bien et si il sort seul, la braguette de son pantalon doit etre ouverte.

Enfin, le batard a eu l'odre d'utiliser l'adresse mail que ses masters ont crée pour lui lorsqu'il passera des commandes ordoonnées par ses masters. pour tout le reste il utilisera son adresse personnelle.

Voici l'adresse mail que le batard utilisera : slave.411103335@gmail.com

Cette adresse mail est controlée par Master Mickael.

voici les photos qui montrent ses couilles avec et sans le séparaeur.

Cage + Nouilles 1Cage + Séparateur 1

Par Master Mickael - Publié dans : Mot des Masters - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 28 octobre 5 28 /10 /Oct 06:22

 

Bonjour à tous 

 

Vraiment désolé pour cette longue abscence du à l'hospitalisation du batard.

Il m'a recontacte il y a quelque jours pour m'annoncer son retour a domicile. Je lui ai dit de me faire photo pour voir comment il était.

En recevant les photos, j'ai vu beaucoup de négliger de sa part du à sa longue absence.

Aussitot, je lui ai donné ordre de realiser un rasage complet et de remettre la cage en place et de me faire les photos montraant qui'il a bien fait ce que j'ai demande.

De plus je lui ai demande de m ettre un cadenas numérote sur la cage. il est en cage depuis le 26 octobre 2022.

il m'a egalement informe qu'il fera prochainement de la piscine sur ordre de medecin suite a son hospitalisation. je lui ai choisi son boxer de bain. il a fait une photo avec et son boxer de bain lui va très bien.

Il y a quelque jours , il a reçu la visite de son medecin. il avait ordre de la recevoir en short blanc et t shirt sans rien sous le short mais uniquement la cage.

Je lui ai fait commander de nouveaux sous vetement et slips et short de bain. Des qu'il recevra tout, il devra faire des photos. Il devra faire un mot et mettre sur le blog.

Fini sa liberté, meme si il m'a dit qu'il ne s'est touché la nouille pour se branler et jouir pendant son hospitalisation.

Maintenant, il n'a plus le droit de dire penis et testiculess. Les bons termes sont nouille et couilles. Sa nouille lui sert qu'a pisser et ses couilles ne servent a rien. Son jus de sous merde ne sert a rien, n'est pas fertile. C'est une sous merde pas un male.

Numéro cadenas -1 -

Boxer de Bain - 5 -

Boxer de Bain - 1 -

Avec Cage - 2 -

Après rasasage - 1

.Avant rasasage - 2

Par Master Mickael - Publié dans : Mot des Masters - Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Samedi 11 septembre 6 11 /09 /Sep 09:50

bonjour à tous

 

Désolé pour cette si longue absence.

 

le batard va expliqué les raisons de son absence et qu'a t-il fait depuis son retour et sa reprise en mains par nos soins.

 

encore désolé

 

les maitres de la sous merde

Par Ses masters - Publié dans : Mot des Masters - Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Vendredi 4 janvier 5 04 /01 /Jan 10:00

Nos Vœux 2019

 

À tous les visiteurs,  nous vous souhaitons tous nos  meilleurs vœux 2019. 

     01 - Vœux - D - -.-      02 - Vœux - D - -.-       03 - Vœux - D - -.-

  05 - Vœux - D - -.-     04 - Vœux - D - -.-

06 - Vœux - D - -.-

        Cette année, la sous-merde sera encore plus obéissante et arrêtera de pigner tout le temps sur le moindre ordre de ses Masters. Le blog sera mis a jour régulièrement et plus rapidement. La sous-merde arrêtera de traîner des pieds et de freiner pour mettre à jour le blog. Le numéro du nouveau cadenas est le 73 86. il a été posé le mercredi 2 janvier à 14H00.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Exercices Divers - Ecrire un commentaire - Voir les 4 commentaires
Mercredi 2 janvier 3 02 /01 /Jan 12:40

Mes respects à Master Phoenix.

 

       Je présente toutes mes excuses à Master Phoenix pour mon comportement envers lui dans nos différentes conversations et lui prie de bien vouloir me pardonner et d'accepter ma repentance.

Punition.

Bien respectueusement, la sous-merde.

Par Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335 - Publié dans : Punitions - Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Mercredi 2 janvier 3 02 /01 /Jan 11:34

 Arrivage 2019

 

        Master Éric et Maître Michael, après concertation, ont choisis pour l'année 2019 les vêtements et les sous-vêtements qui suivent pour la sous-merde.

 

     Les shorts avant et après la suppression des slips intérieurs :

Short N° 01 :

Avant :

01 - Sous-Vêtements. - D - -.- 02 - Sous-Vêtements. - D - -.- 05 - Sous-Vêtements. - D - -.-

Après Amputation :

07 - Sous-Vêtements. - D - -.-     09 - Sous-Vêtements. - D - -.-

Short N° 02 :

Avant :

03 - Sous-Vêtements. - D - -.-  06 - Sous-Vêtements. - D - -.-  04 - Sous-Vêtements. - D - -.-

Après Amputation :

08 - Sous-Vêtements. - D - -.-     10 - Sous-Vêtements. - D - -.-

     Les boxers n'ayant pas de doublures, n'ont eu aucunes mutilations :

Boxer N° 01 :

11 - Sous-Vêtements. - D - -.-     14 - Sous-Vêtements. - D - -.-

Boxer N° 02 : 

13 - Sous-Vêtements. - D - -.-     15 - Sous-Vêtements. - D - -.-

Boxer N° 03 :

12 - Sous-Vêtements. - D - -.-     16 - Sous-Vêtements. - D - -.-

Par Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335 - Publié dans : Les Sous-Vêtements - Ecrire un commentaire - Voir les 4 commentaires
Lundi 24 décembre 1 24 /12 /Déc 13:35

bonjour à tous

 

Comme vous le remarquez , la sous merde met du temps à publier les rapports. Elle trouve toujours des excuses pour se faire pardonner. Ceci ne prend pas avec nous.

Par conéquent, les punitions sont arrivées.

Tout d'abord, elle a pris trop de temps pour faire les photos et le rapport sur ses nouveaux sous vetements et alors qu'elle avait ordre de le faire avant la fin du week end dernier. Vu que ce n'est pas fait et que son excuse était qu'elle recevait du monde chez elle, la punition a été de les recevoir en short noir et t shirt pendant tout leur séjour. De plus la décision a été prise que dorenavant c'est sa tenue obligatoire chez elle quand elle aura du monde. Tout le reste du temps elle est a poil bien sur.

Pour le premier janvier vu qu'elle ne sera pas chez elle, nous avons décidé de lui faire changer de cage là ou elle passera le 31 décembre. Elle devra le faire dès le 1er janvier avec photo a l'appui. Bien sur a poil a genoux mains sur la tete et photo non floutée. Elle a ordre de mettre tout cela sur le blog le 1er janvier. a partir du 1er janvier elle aura petite cage métal avec plug urétral et obliigatoire de mettre cadenas metal et cadenas plastique. Interdiction aussi de se branler et de gicler son jus pourris pendant le changement de cage.

De plus  vu son comportement envers l'un des abonnés du blog sur skype, la sous merde a obligation de lui présenter ses excuses avec photos a l'appui et publication de celle ci et des excuses sur le blog.

 

Ses masters

Par Ses masters - Publié dans : Mot des Masters - Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Lundi 24 décembre 1 24 /12 /Déc 13:34

06 - Punition - D - -.-
06 - Punition - D - -.-
par Bâstard a KC slave n°411-103-335

Par Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335 - Publié dans : Punitions - Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Jeudi 13 décembre 4 13 /12 /Déc 08:20

Dernière commande :

 

        N'ayant pas de nouvelles, je téléphonais à la société Ovémo pour savoir où en était la commande. Ils me répondaient qu'elle sera envoyée ce jour pour une réception en fin de semaine. Il a une rupture du boxer de bain  (www.ovemo.com/product_info.php?products_id=143168#.XBICbMRCcdU) "Shorty de bain Hotenc ".

        C'est pourquoi Master Éric et Maître Michael vous demandent de faire des propositions en commentaire ou par e-mail à l'adresse : slave.411103335@gmail.com.

Par Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335 - Publié dans : Nouvelles Infos - Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Mardi 27 novembre 2 27 /11 /Nov 19:00

Hospitalisation du 05 novembre 2018

 

01 - Hôpital. - D - -.-         L'ambulancier qui était venu me chercher en urgence ce jeudi 1er novembre. Il m'aidait à me rendre dans le service de gastro-entérologie. J'avais tellement mal au ventre que je n'arrivais pas à marcher. Il empruntait donc, un fauteuil roulant à l'accueil. Ma chambre était prête. Dès mon arrivée, le médecin m’accueillait. Elle demandait à une infirmière de faire une injection de calmants pour que je puisse me déshabiller. Quand la douleur était supportable, je passais dans la salle de bain pour ôter mes vêtements et surtout, les attributs du slave. Je prenais le bloc de glace avec les clefs et je le faisais fondre rapidement sous l'eau chaude. Pendant ce temps, je me déshabillais rapidement. Avant d'enlever les attributs, je prenais un cliché de pieds. Pendant que je les ôtais, une infirmière vint frapper à la porte, demander si j'avais besoin d'assistance. Me voyant mal lui proposer de m'épauler avec la cage et le collier, je la remerciais gentiment. Je m'empressais à les retirer et à les cacher dans le tiroir à code de ma table de nuit, ainsi, personne à part moi, en avait l'accès. J'enfilais le short et le 02 - Hôpital. - D - -.-t-shirt, je rangeais mes affaires et je me mettais au lit après avoir fait un nouveau cliché. Une nouvelle infirmière arrivait avec une chemise d'hôpital, des protections, et le nécessaire pour poser un cathéter. Elle branchait une perfusion avec un calmant. Je devais continuer à boire la purge. Chaque jour, je devais m'enfiler plus d'un litre. Ce liquide faisait son effet. Malheureusement, les pertes se produisaient, de plus en plus, la nuit. Dans ces conditions, je n'avais aucun contrôle sur les pertes. Pour éviter des accidents, à contre cœur, j'enfilais une protection. J'avais l'impression d'être un nouveau-né avec ses couches. Cette situation devenait chaque nuit de plus en plus humiliante et dégradante. Le week-end se passait et je me retrouvais le lundi. Je devais encore boire deux litres dans la journée et autant dans la nuit. Les repas étaient de moins en moins consistants. À partir du dimanche soir, je n'avais le droit qu'a un bol de bouillon. Ainsi, mes intestins et mon côlon devenaient de plus en plus propres. Le mardi après-midi, un brancardier me descendait au bloc. Là, un infirmier m'accueillit. Il 03 - Hôpital. - D - -.-m'expliquait le déroulement. L'anesthésiste et le médecin en firent autant. On m'emmena au bloc glacial. J'acceptais la couverture qu'une aide-soignante me proposait. On brancha sur le cathéter le somnifère et en un rien de temps, je plongeais dans les bras de Morphée. Je me réveillais difficilement quand l'anesthésiste me donnait de petites gifles pour que je reprenne conscience. J'émergeais difficilement. Quand je fus complètement réveillé, une brancardière me 04 - Hôpital. - D - -.-ramena à ma chambre. Je replongeais dans un sommeil profond. Une aide-soignante m'apportait le premier repas correct. Je m'empressais d'avaler ce dîner et je me rendormais aussitôt. Le mercredi matin, la doctoresse passa en m'annonçant que tout allait bien dans le côlon. Avant de m'autoriser à sortir, elle m'auscultait. Quand elle palpa mon ventre, je fis un bond dans le lit. Ne comprenant pas, elle m'annonçait qu'un scanner en urgence était nécessaire. Après avoir pris contact avec le service, une nouvelle brancardière me descendait au service de radioscopie. Un assistant me prenait en charge et je passais, allongé, dans la gueule du monstre. L'examen terminé, on me remontait en chambre. L'après-midi, le médecin m'annonçait que mon séjour allait se prolonger, car j'avais des lésions dans l'intestin et une infection dans le sang. De suite, un antibiotique fut rajouté à ma perfusion et un traitement pour activer la cicatrisation des lésions. Je pouvais enfin déposer les protections et me rendre aux toilettes normalement. Je restais douze jours de plus dans cette résidence secondaire. 05 - Hôpital. - D - -.-Progressivement, l'infection se résorbait. Un matin, la doctoresse m'annonçait ma sortie pour l'après-midi et demandait un VSL. Je pouvais enfin retrouver mes pinacles. Après avoir pris mon dernier repas, un infirmier venait me débrancher et ôter le cathéter. Je pouvais me remettre en tenue. Je passais donc dans la salle de bain et je posais, à contre cœur, la cage en place avec un cliché. Je faisais de même avec le collier que j’immortalisais. Je prenais une dernière photo de pieds avec les attributs du slave avant de me rhabiller. Je faisais ma valise et j'attendais mon taxi. Un ambulancier arriva pour m'accompagner chez moi. Avec plaisir, je retrouvais mes habitudes. Je prévenais mes masters de mon retour. J'avais aussi une semaine d’arrêt que j'apportais au directeur pour qu'il puisse organiser le travail d'un chacun. Une cousine m'invitait à passer cette semaine chez elle. J'en profitais pour rendre visite à ma mère en milieu médicalisé. Une nuit, j'étais transporté dans un rêve. Je me sentais glissé après plusieurs péripéties et rebondissements, je me retrouvais momifié. J'avais la queue raide, 06 - Hôpital. - D - -.-plaquée contre le pubis et mon bas du ventre. Je sentais une montée de jus bienfaitrice qui ne se terminait pas. J'étais en pleine extase quand je faisais un bond dans le lit. Je venais de jouir inconsciemment et une belle carte de France, tout humide, trônait sur le drap. Honteux et humilié, je me rendormais contrarié. Le matin, je vérifiais le lit pour confirmer ou non ma mésaventure de la nuit. À mon grand désespoir, je n'avais pas rêvé. Une belle tâche trônait sur le drap. Le jour où je prenais congé de la famille, je roulais les draps que je déposais devant la machine à laver, espérant que ma cousine ne s’aperçoive pas de ma mésaventure d'une nuit. Je regagnais mon domicile le dimanche en fin d'après-midi. Le lundi matin, j'informais mes Masters de ma déconvenue nocturne. Ils m'ordonnaient de l'intégrer dans mon rapport.

 

        Je remercie mes Maîtres pour le soutien moral pendant ce séjour prolongé ainsi que les fidèles lecteurs.

Par Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335 - Publié dans : Chez le Médecin - Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Samedi 17 novembre 6 17 /11 /Nov 12:00

Corvée du jeudi1ernovembre2018 :

 

01 - Corvée. - D - -.-         Une nouvelle nuit d'inquisition où les tortionnaires n'avaient pas cessé d'embrocher mon malheureux gland. Cette torture incessante et permanente perturbait grandement ma nuit de repos. Lorsque je trouvais enfin le sommeil, un nouvel affront a fait son apparition. Le nouveau traitement préparatoire que je prenais, en vue de ma prochaine hospitalisation, depuis lundi, commençait à faire son effet. En cours de nuit, lors d'un endormissement, normalement, 02 - Corvée. - D - -.-bienfaiteur, le lavement des intestins débutait. Je me réveillais en sursaut, suite à un nouveau cauchemar où j'étais, une nouvelle fois, supplicié, je me rendais compte avec stupeur et effrois que mes draps avaient servis de réceptacle aux selles qui se liquéfiaient progressivement dans mes boyaux. Non seulement les draps en étaient immaculés, mais, en bougeant pendant le mauvais rêve, j'en avais, les fessiers et les cuisses, badigeonné de merde. Endormi, comme un automate, je devais prendre une douche. Je posais, ensuite, mon postérieur sur les toilettes. Le froid de la faïence me réveillait avec un gros frissonnement de honte, d'avanie et de vexation, qui secouait tout mon corps. Je devais, aussi, pour plus d'humiliation, changer mes draps et refaire le lit en milieu de nuit. Pour éviter de nouvelles mésaventures, je posais sur le lit un grand plastique recouvert d'une grande serviette de bain. Ainsi, je n'aurai que ces pièces de tissu à nettoyer. Auparavant, j'avais beaucoup de mal à trouver le sommeil à cause des inquisiteurs, mais une nouvelle complication dégradante s’ajoutait à mes veillées 03 - Corvée. - D - -.-nocturnes. Dès que je m'assoupissais, mon sphincter se relâchait, tous les excréments, liquéfiés par la nouvelle drogue médicamenteuse, s'écoulaient sans que je ne puisse les contenir et m'en rendre compte. Toutes les heures, après un somme, plus ou moins court, je me levais pour changer le drap de bain, prendre une douche et je buvais un verre d'eau pour tenter de dormir le plus longtemps possible. Pour ma malédiction, ces temps de repos étaient de plus en 04 - Corvée. - D - -.-plus courts, les inquisiteurs s'en donnaient à cœur-joie. Non seulement, je devais contenir mes tortionnaires, mais, en plus, je devais régenter cette nouvelle avanie avilissante, qui, dès que mes sens s'engourdissaient, je devenais incontinent. Nouvelle forme de honte, de frustration, d'humiliation et de déchéance. Je n'osais plus m'endormir, car je savais que les fuites de matières fécales se renouvelleraient. Après plusieurs douches nocturnes et entre deux 05 - Corvée. - D - -.-sommes, j'attendais avec nervosité et fébrilité, l'aube se lever. Sans attendre la sonnerie de réveil, je me levais, l'esprit dans le brouillard et les yeux embués. À l'aveuglette, je me rendais dans la cuisine et je me faisais couler un triple expresso. J'avais l'impression de ne pas avoir dormi. Je marchais au radar. Le premier café ne faisant pas effet, je m'en faisais couler un second. Je saluais mes Masters sans pouvoir leur avouer ma mésaventure de la nuit et qui n'était pas terminée ! Ce n'est que le début des humiliations, des frustrations et des outrages. J'avais tellement honte que je m'inquiétais pour mes engagements de la matinée. J'avais promis, à un couple d'amis âgé, de les emmener au cimetière, sur la tombe de leurs parents et de leur fils décédé subitement. Je passais à la salle de bain. Je commençais par un rinçage grossier des serviettes de toilette que j'avais mis, au fur et à mesure, à tremper dans la baignoire. Je les déposais, les unes après les autres, dans la machine à laver. Je lançais le programme de lavage immédiatement pour qu'à mon retour, je puisse les faire 06 - Corvée. - D - -.-sécher le plus rapidement. Elles allaient, encore, servir plusieurs nuits. Je rinçais la baignoire pour pouvoir faire ma toilette. Je prenais une nouvelle douche pour dissiper les brumes et la brouillasse qui obscurcissaient encore mes esprits. À moitié éveillé, assis sur le bord de la baignoire, je prenais le marqueur rouge, et j'inscrivais sur la cuisse gauche, la date du jour et sur la droite, le numéro d'enregistrement au registre des slaves. Debout sur la paillasse de 07 - Corvée. - D - -.-bain, devant le miroir, j'indiquais sur le torse, l'appartenance de la sous-merde à Master Éric et Maître Michael. Sur le pubis je répétais la date de la pose de la cage de chasteté. J'attrapais mon portable et je prenais le premier cliché dans la salle de bain. Je préparais les vêtements, que je porterais dans la journée, sur le sol, dans le couloir devant les toilettes. Je les photographiais et je passais dans le chiotte que j'avais, dans la 08 - Corvée. - D - -.-nuit, monopolisé. Je continuais en prenant un cliché de la date du jour, puis le numéro d'enregistrement. Je poursuivais par les chaussettes dans ma gueule, l'appartenance de la sous-merde, sur le torse et la date de mise en chasteté sur le pubis. Je terminais par une vue de pieds avant de m'asseoir sur le trône. Quand je posais, une nouvelle fois, mon postérieur sur la latrine, la froideur de la faïence le glaçait et provoquait un frisson qui me secouait de la tête aux pieds. Malgré l'envie d'uriner, les bourreaux continuaient, sans cesse, les tortures du malheureux gland. Je vidais ma vessie avec soulagement. Je réalisais une dernière photo. Je secouais le mitard et son pensionnaire pour évacuer les résidus, potentiels, de pisse. Je les séchais avec du papier-toilette pour éponger toutes traces éventuelles. Je me lavais les mains et je me les essuyais. L'heure tournante, je m'habillais. J'enfilais les chaussettes que j'avais, encore, dans la gueule, puis le maillot de corps, le pantalon où j’installais, contre mes fessiers, plusieurs couches de papier-absorbant. Cette précaution afin d'éviter, involontairement, de 09 - Corvée. - D - -.-chier directement dans le futal. Heureusement, je pensais à cette précaution, car, elle s'avérerait très utile ! Je terminais par mettre le pull à col roulé en laine et le gilet sans manches, où j'entreposais, comme de coutume, le portable dans une des poches frontales. Ce lavement des boyaux, ne faisait que débuter ! Je partais à mon rendez-vous. Pendant toute la journée, les déperditions fécales allaient continuer sans répit, ce qui allait causer 10 - Corvée. - D - -.-beaucoup d'humiliation, de frustration, de vexation et d'avilissement. Sans compter les ballonnements, les maux d'estomac et d'intestins, par moments, à se tordre de douleur, plus, une fatigue grandissante à cause d'un manque de sommeil accru. En fin d'après-midi, la douleur devenait de plus en plus intense. Je téléphonais au médecin. Je lui expliquais ma situation qui était devenue intenable. Elle me demandait de préparer ma valise car elle allait envoyer un VSL pour me chercher. Pendant ce temps, elle ferait préparer ma chambre pour une pré-hospitalisation d'urgence. Plié en quatre, je tentais de préparer ma valise. J'étais en plein préparatif lorsque l'on sonnait à la porte. J'allais ouvrir, toujours avec des douleurs insupportables. C'était l'ambulancier. Je le faisais rentrer et il allait m'aider à terminer ma valise. Tout d'un coup, je pensais, avec horreur, que la clef du cadenas était encore au congélateur dans son bloc de glace. Je prenais un sachet plastique où je plaçais le bloc et je l'enroulais dans une serviette de toilette. Mes affaires prêtes, l'infirmier prenait ma valise et je fermais ma porte à clef. Il m'aidait à m'asseoir dans le véhicule et nous partions en direction de l'hôpital.

 

        Je prie mes Masters, Master Éric et Maître Michael, les visiteurs assidus ou de passage de bien vouloir m'excuser pour le retard pris dans la publication des rapports. Le traitement m'a valu une pré-hospitalisation en urgence, et donc, un séjour plus long et une absence accrus, avec des douleurs insupportables, une fatigue et une lassitude grandissantes avant que je puisse réaliser les examens.

Par Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335 - Publié dans : Labeurs Journaliers - Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Jeudi 1 novembre 4 01 /11 /Nov 12:30

Corvée du mardi 30 octobre 2018 :

138 - Corvée. - D - -.-

         Une nouvelle fois, j'étais descendu dans les entrailles des enfers. La nuit devient un sacerdoce barbare et impitoyable de cruautés. Pas un instant de répit ! Les geôliers étaient inflexibles et cruels. Mon malheureux gland était embroché en permanence et continuellement torturé. Cette douleur intolérable provoquait un gonflement instantané de ma nouille entravée dans un carcan ignoble. Cette maltraitance infligeait une érection brimée et avortée. Lorsque j'arrivais enfin à trouver le sommeil, les tortionnaires en profitaient pour reprendre de plus belle les supplices. Les minutes s'égrainaient au compte-gouttes. J'attendais, exténué, pointer les premières lueurs du jour. Lorsque le réveil sonna, j'étais endormi profondément. Je sursautais dans le lit et je maudissais ce satané appareil. Juste au moment où je trouvais un repos réparateur après une nuit d'insomnie ! Il fallait que je me lève, car j'avais plusieurs rendez-vous dans la matinée. Une nouvelle fois, je haïssais cette maudite prison qui ne cessait de supplicier ma malheureuse nouille. Comme chaque matin, je me levais 139 - Corvée. - D - -.-crevé par une nuit blanche de tourment, l'esprit embrumé. Machinalement, je me faisais un double expresso pour dissiper, le plus rapidement possible, la brouillasse qui assombrissait mon cerveau. Je me connectais pour saluer mes Masters. Je les informais de mes prochaines têtes à têtes programmées pour la matinée. Maître Michael ordonnait, comme je n'avais pas à me déshabiller, donc, pas besoin de sous-vêtements, de conserver les attributs de la sous-140 - Corvée. - D - -.-merde, la méprisable cage, le collier et sa médaille. Il ajoutait, pour plus d'humiliation, de réaliser de suite, tous les graffitis journaliers et de les porter toute la journée. Je faisais ma toilette, puis, j'attrapais le marqueur bleu. Comme d'accoutumer, assis sur le bord de la baignoire, j'inscrivais la date du jour sur la cuisse gauche et le numéro d'enregistrement de la sous-merde, sur la droite. Debout sur le mini-tapis, devant le miroir, je notais l'appartenance 141 - Corvée. - D - -.-de la sous-merde sur le torse et la date de la pose de la cage de chasteté sur le pubis. J'en profitais pour réaliser immédiatement la série de photographies quotidienne. Je débutais par une prise de pieds sur le nouveau paillasson de bain. Je poursuivais, dans les toilettes, un cliché de la date et un autre du numéro d'enregistrement sur chacune des cuisses. Je poursuivais par la paire de chaussettes, que je porterai toute la journée, dans ma gueule. Pour suivre, j'immortalisais l'appartenance de la sous-merde à ses Masters sur le torse, puis la date de mise sous chasteté sur le pubis. Pour terminer cette série, avant de vidanger ma vessie, je prenais une photo de pieds avec mes chaussettes dans ma trombine. Comme le couvercle et la lunette des toilettes sont en permanence relevés quand je suis seul chez moi, je posais mon postérieur sur le réceptacle hygiénique. Lorsque mon cul rencontrait la faïenceglacée, un frisson parcourait mon corps de la tête aux pieds. J'ouvrais les vannes et je vidangeais ma vessie. Suivant les commandements, j'immortalisais cet exercice, 142 - Corvée. - D - -.-dégradant et frustrant de publier cet agissement. Terminé, je secouais le mitard et son pensionnaire pour évacuer l'urine qui pouvait résider. Avec du papier-toilette, je les séchais. Je retournais en cuisine pour faire un nouveau café. Je préparais mes différents traitements. Depuis lundi, la veille, le médecin de l'hôpital, en avait ordonnancé un nouveau remède en prévision de l'hospitalisation. Lors de mes derniers examens, la coloscopie n'avait pas pu être 143 - Corvée. - D - -.-réalisée, car les intestins n'étaient pas nickel. Le goût était exécrable. Je le mélangeais avec un autre légèrement aromatisé. J'avalais les comprimés avec ce breuvage imbuvable. Je l'absorbais, à la suite, mon café allait faire passer la mauvaise saveur de cette décoction médicamenteuse. Je m'habillais pour me rendre à mon premier entretient avec l’anesthésiste de l'hôpital. Je commençais par mes chaussettes. Je continuais par un maillot de corps et mon 144 - Corvée. - D - -.-pantalon. Je terminais en enfilant un pull à col roulé en laine et mon gilet sans manches. Je préparais les différents documents que je devais lui transmettre. Pendant tout ce temps, les tortionnaires ne cessaient d'empaler mon gland. Cette torture provoquait une érection de ma nouille avortée par le carcan qui l'enchâssait. Ce cercle vicieux ne prenait jamais fin, jamais de répit ! Parfois, étant seul, je laissais échapper un gémissement ou un râle de souffrance. J'attrapais ma veste, je verrouillais mon appartement et je partais pour une nouvelle journée en enfer. Les problèmes commençaient dès la voiture. En prenant place dans le siège conducteur, le mitard se retrouvait coincé entre la cuisse et le tissu du pantalon. Pour plus d'aise, j'avais remonté légèrement les jeans, ce qui permit aux geôliers d'empaler un peu plus mon pauvre gland souffrant mille supplices. Ma nouille en érection permanente, avortée et encastrée dans le carcan, était aussi dans une 145 - Corvée. - D - -.-mauvaise galère. La journée se déroulait ainsi, tout en tentant, à tout moment, de retenir ou de masquer le moins mal possible les gémissements de douleur qui montaient en moi.

 

        Je remercie tout de même mes Masters pour les différentes étapes de soumissions qu'ils imposent à la sous-merde que je suis.

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Jeudi 1 novembre 4 01 /11 /Nov 06:00

Récidive de l'aller-retour à la cave.

 

         Dans la nuit du lundi 29 au mardi 30 octobre, je réalisais la nouvelle descente à la07 - Punition - D - -.- cave. Vers trois heures du matin, je me levais et je commençais par regarder, au judas, le couloir. Il était plongé dans le noir absolu. Je déverrouillais délicatement la serrure en prévision de ma sortie nocturne et pour être le plus discret possible. Mon cœur se mettait à battre de plus en plus vite, la peur d'être surpris dans la tenue d'Adam. J'attrapais mon short blanc, un t-shirt et le marqueur noir. Je passais à la salle de bain. Devant le miroir, j'inscrivais la date du Mardi 30 octobre, jour08 - Punition - D - -.- de la réalisation de la punition. Les tortionnaires qui c'était un temps calmé, redoublaient de vigueur ! Ils empalaient, de nouveau, mon malheureux gland. Tout excité, il gonflait ma nouille qui se retrouvait en érection avortée par son carcan. Des gémissements de douleur s'échappaient de mes poumons. Mon palpitant accélérait le rythme. Une angoisse grandissante s'emparait de moi. J'enfilais le short et le t-shirt pour sortir. J'étais terrifié à la pensée de croiser un voisin. Je prenais mon portable dans une main. Je jetais un dernier regard au judas et j'ouvrais la porte délicatement. Je sortais dans le couloir et je refermais la porte sans faire de bruit. J'étais enveloppé de la nuit noire du couloir. À tâtons, je me dirigeais vers l'ascenseur. À l'aveuglette, je cherchais le bouton. Je le trouvais enfin dans cette noirceur. J'entendais la machine se mettre en marche. Mon palpitant battait encore plus fort. Je sentais les battements dans les veines du coup. Les bourreaux ne cessaient de supplicier le locataire de la prison. J'avais de plus en plus de mal à retenir les râles de douleur qui montaient. Enfin, l'ascenseur arrivait et les portes s'ouvraient en diffusant un halo de lumière dans ce09 - Punition - D - -.- gouffre noir. Rapidement, je montais dans la cabine et j'appuyais sur le bouton du sous-sol. L'appareil se remettait en marche et je sentais la cabine descendre régulièrement. Je me hâtais d'enlever le t-shirt et le short que je laissais tomber sur le sol. Je prenais mon portable que j'avais entreposé sur le sol. Je programmais le retardateur et je le plaçais contre la paroi la plus éloignée. Je me mettais à genoux contre les portes, les mains sur la tête, j'attendais le flash qui indiquerait que la photo a été bien prise. Juste après, les portes s'ouvraient.10 - Punition - D - -.- J'attendais qu'elles se referment pour prendre un second cliché. Dès que l'éclair scintillait dans cet habitacle, je m'empressais d'ouvrir les portes afin que personne ne puisse l'appeler et me trouver nu dans la cabine avec un collier au coup et une cage de chasteté. Mon cœur battait si fort que j'avais l'impression qu'il allait exploser. Je pliais mes deux vêtements que je posais au sol devant l'ascenseur. Je les photographiais pour les visiteurs. En tenue d'Adam, pieds-nus, je me rendais dans les caves. Le sol rugueux et froid râpait et glaçait la plante de mes pieds. Plusieurs frissons secouaient mon corps dénudé. Mon palpitant ne cessait de s'affoler et les geôliers s'en donnaient à cœur-joie. Ma pauvre nouille était torturée en permanence. Je préparais l'appareil photo et le retarder. Je le déposais contre un mur et je m'éloignais de deux pas. Je me mettais en position, à genoux, cuisses écartées, mains sur la tête. Mon cœur battait si fort que je sentais chaque pulsation dans mes veines. Mon pauvre gland empalé était en enfer. Enfin le flash sans bouger. Je me relevais de crainte de croiser une personne et je retournais à l'ascenseur. J'appuyais sur le bouton pour que les portes11 - Punition - D - -.- s'ouvrent et j'attrapais mes vêtements au sol. Je préparais une dernière fois l'appareil et je le déposais contre la paroi opposée aux portes, j'appuyais sur mon étage et je me remettais en position à genoux, main sur la tête. Le flash tardait à venir alors que la cabine ne cessait de monter. Dès qu'il explosait, j'attrapais mes vêtements et mon portable alors que les portes s'ouvraient. Mon palpitant n'en pouvait plus et ma pauvre nouille non plus d'être torturé en permanence. Mes vêtements, d'une main, devant la prison de ma nouille, le portable de l'autre, je m'empressais de retourner chez moi, de crainte qu'un voisin insomniaque regarde dans son judas. D'autant plus que les portes restaient ouvertes et diffusaient une clarté dans le couloir. Je rentrais précipitamment chez moi et je refermais de suite la serrure à double tour. Je restais plusieurs minutes contre la porte afin de calmer mon petit monde et de me remettre de cet aller-retour dégradant.

 

        J'espère que ce nouvel aller-retour satisfera mes Masters, Master Éric et Maître Michael et les visiteurs du blog qui suivent la sous-merde.

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Mercredi 31 octobre 3 31 /10 /Oct 23:30

Corvée du lundi29 octobre 2018 :

 

129 - Corvée. - D - -.-         Dimanche soir, je rentrais très tard des derniers événements familiaux. Je posais ma valise et je prenais la tenue imposée chez moi, soit à poil…. Je me couchais immédiatement, car le voyage avait été un cauchemar ! Les tortionnaires n'avaient pas cessé de martyriser ma pauvre nouille et son gland. De nouveau, dès que je trouvais le sommeil, les pics empalaient mon malheureux gland. Tout excité, il faisait gonfler ma nouille et provoquait une érection 130 - Corvée. - D - -.-avortée par la cage. Je me réveillais en sursaut. Une nouvelle fois, la nuit serait un calvaire. J'attendais avec impatience le levé du jour. Enfin, après maints supplices et des souffrances permanentes, l'aube daignait poindre son nez. Je me levais autant fatigué, si ce n'est plus, que la veille lorsque je me couchais. Je me préparais un double expresso bien tassé pour dissiper les brumes de mon cerveau. Comme les tortures incessantes des bourreaux, le brouillard tardait 131 - Corvée. - D - -.-à se disperser. Je me connectais et je saluais mes Maîtres en ligne. Je leur expliquais les déboires de la famille et la tenue que j'avais, seul dans la chambre pour dormir affublé des attributs. Les pics s'en étaient donné à cœur-joie, jour et nuit, ce qui m'avait posé des complications troubles et confuses. Au fur et à mesure que le jour se levait, les brumes de mon ciboulot se dissipaient inexorablement. Maître Michael m'avertissait qu'a la suite de ma prochaine hospitalisation, il y 132 - Corvée. - D - -.-aura un changement de cage avec, en prime, la pose d'une sonde urétrale. Les problèmes de fuites ne sont pas prêts de stopper avec les sondes…. Pour terminer, le Master imposait, pour ce lundi, le port du harnais en cuir toute la journée. Je les saluais et je m'empressais de boire un nouvel expresso, puis, j'allais faire ma toilette, car j'avais pris du retard. Dans la salle de bain, sur le maudit tapis, je regardais l'heure. Normalement, je devrais partir. J'étais vraiment à la bourre ! Rapidement, j'attrapais le marqueur noir.Comme d'ordinaire, assis sur le bord de la baignoire, j'inscrivais sur la cuisse gauche la date du jour. Plus tard, je m’apercevais l'oubli de l'année dans la date. Je continuais par la droite en notant le numéro d'enregistrement au répertoire des slaves. Debout, devant le miroir, j'écrivais l'appartenance de la sous-merde à Master Éric et Maître Michael. Pour terminer cette séance d'écriture, je marquais la date de mise en cage de ma nouille. J'enfilais promptement le harnais comme les Maîtres l'avaient imposé. À l'extérieur, comme il pleuvait des hallebardes 133 - Corvée. - D - -.-et la température avait considérablement chuté, j'enfilais un maillot de corps, une paire de chaussettes, un pantalon, un gros pull à col roulé et mon gilet sans manches que je fermais, contrairement aux autres jours, pour dissimuler, le mieux possible, le harnais en cuir. Dans une poche frontale, j’installais mon portable. Je passais une veste, un bonnet et une écharpe. J'attrapais mon parapluie pour me rendre au travail. En cours de route, les 134 - Corvée. - D - -.-tortionnaires s'en donnaient à cœur joie ! Plus ils empalaient mon pauvre gland, plus cela l'excitait et plus ma malheureuse nouille tentait une érection avortée à l'avance à cause de ce maudit mitard ! À chaque pas, des râles ou des gémissements de douleur et de plaisirs s'échappaient de mes poumons…. Dans la rue, ce n'était pas un gros problème, mais au bureau, ce serait un danger de plus. J'étais accueilli par les collègues et quelques parents. Ils s'enquéraient 135 - Corvée. - D - -.-du deuil qui s'était abattu sur la famille. Je les remerciais rapidement, car j'avais hâte d'être seul au bureau. Les bourreaux ne cessaient de maltraiter ma pauvre nouille et j'avais de plus en plus de mal à contenir les gémissements de souffrance. Je déposais ma veste, mon bonnet et l'écharpe sur le dossier du fauteuil. Je m'installais pour une journée de douleur interdite. Je buvais régulièrement une ou deux gorgées d'eau. Au bout d'un certain temps, ma vessie était pleine et l'envie d'uriner devenait de plus en plus pressente. Je vérifiais que personne n'était dans le couloir. Je refermais la porte derrière moi. Je relevais le couvercle et la lunette des toilettes. Je me déshabillais. Je mettais en attente, mon portable, sur le bord du lavabo. Lorsque je me retrouvais les pieds-nus, le carrelage glacé gelait la plante des pieds et un frisson secouait mon corps dénudé. J'avais déposé mes vêtements pliés sur le sol. J'enfilais, dans ma gueule de salope, la plante des pieds de mes chaussettes. Je prenais le téléphone et je débutais la série de photographies imposée par mes habits à terre. Je continuais par la 136 - Corvée. - D - -.-date du jour sur la cuisse gauche et le numéro de slave sur la droite. Je faisais la même chose avec l'appartenance de la sous-merde sur le torse et la date de mise en chasteté sur le pubis. Je poursuivais avec une prise de vues de pieds. Je posais mon postérieur sur la froide faïence qui, immédiatement, transissait mon cul. Un nouveau frissonnement parcourait de mes entrailles à mes extrémités. J'écartais au maximum mes cuisses comme le désirent mes 137 - Corvée. - D - -.-Masters sur la demande des visiteurs. Je me retrouvais comme une pute offrant sa chatte…. J'ouvrais les vannes et je soulageais ma vessie. Je profitais pour prendre un dernier cliché en train de pisser. Bien vidangé, je secouais la cage et son pensionnaire que je terminais de sécher avec du papier-toilette. Je me rhabillais en débutant par mes chaussettes. Je me rinçais les mains et je tirais la chasse d'eau. Avant de sortir, je regardais autour de moi, une dernière fois, pour vérifier que je n'oubliais rien. Je retrouvais mon poste de travail sans avoir croisé âme qui vive à mon grand soulagement. Le soir, dès que je rentrais à mon appartement, je prenais la tenue prescrite par mes Maîtres. Je déposais, avec soulagement, le harnais qui me serrait, un max, la poitrine. Je prenais le portable pour réaliser le cliché manqué le matin, debout sur le nouveau tapis. Je constatais, à mon grand regret, les traces, sur la peau, du harnais.

 

        Je remercie vivement mes Masters, Master Éric et Maître Michael, pour leur soutien pendant l'épreuve de la semaine passée. J'exprime aussi ma gratitude envers les visiteurs qui suivent le blog de la sous-merde.

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Mardi 30 octobre 2 30 /10 /Oct 07:00

120 - Corvée. - D - -.-Corvée du mardi 23 octobre 2018 :

 

         La nuit a été, de nouveau, une série d'inquisition. Les tortionnaires, régulièrement, suppliciaient ma malheureuse nouille. Graduellement, je sursautais en nage dans mon lit. Les minutes s'égrainaient avec une lenteur exaspérante. Quand j'arrivais enfin à retrouver le sommeil, de nouveaux cauchemars submergeaient et s'emparaient de mes neurones. Ils provoquaient des érections incontrôlables et insupportables qui déclenchaient d'abominables délires infernaux. Impatiemment, j'attendais avec fébrilité et nervosité le jour qui ne désirait pas se lever. L'aube pointait, enfin, son nez ! Je sortais du lit, l'esprit embrumé de fatigue. Je préparais un café bien corsé pour dissiper, le plus rapidement possible, ce brouillard qui assombrissait mon cerveau. Reprenant progressivement conscience, je saluais mes Masters sur le réseau. Après quelques renseignements sur ma prochaine hospitalisation, Maître Michael, suite à plusieurs commentaires sur le blog, 121 - Corvée. - D - -.-commandait que j'écarte un maximum mes jambes aux toilettes. Je lui faisais part que les entrouvrir comme je faisais, était suffisamment humiliant et dégradant. Il rétorquait, qu'il s'en foutait et que je devais obéir sous peine de sanctions. Il terminait en ordonnant que je porte l'inscription du jour toute la journée comme j'avais des rendez-vous en extérieur. Je passais à la salle de bain pour ma toilette et une bonne douche afin de me réveiller complètement. Je 122 - Corvée. - D - -.-prenais, ensuite, le marqueur bleu. Assis sur le bord de la baignoire, je débutais les inscriptions sur la cuisse gauche avec la date du jour. Je continuais par la droite et le numéro d'enregistrement. Je me levais face au miroir où je notais l'appartenance de la sous-merde sur le torse et la date de mise en chasteté sur le pubis. Terminé, debout sur le nouveau tapis, je prenais un cliché de pieds avant de m'habiller. Je m'habillais pour partir à mes rendez-vous avec 123 - Corvée. - D - -.-tous les attributs et les inscriptions sur moi. Heureusement, je n'avais pas d'examens. Terminé, je rentrais à la maison en fin de matinée. Dès mon arrivée, je me déshabillais en déposant sur le sol du couloir mes vêtements. Je me retrouvais nu comme un ver, unique tenue autorisée par mes Masters lorsque je suis seul chez moi. Je prenais mon portable et je réalisais les photographies journalières. Je débutais par mes vêtements au 124 - Corvée. - D - -.-sol. Je continuais par la cuisse gauche et la date du jour, puis la droite et le numéro d'enregistrement. Je poursuivais par le torse et mon appartenance, ensuite le pubis et la date, ignoble, de mise encage de ma nouille. Je terminais par une prise de pieds avant de m'asseoir sur la faïence des toilettes. Mon petit cul ressentit immédiatement la froideur de l'objet. À cause des commentaires et des dernières directives, j'écartais, à contre-cœur, mes cuisses au maximum, comme une pute offrant sa chatte. Cette nouvelle position était très humiliante et dégradante ! Je vidais ma vessie tout en prenant une dernière photo de ma nouille encagée. Terminé, je secouais ce mitard et je le séchais avec du papier toilette. Je tirais la chasse d'eau et j'allais me rincer les mains. Une nouvelle corvée de terminée.


         Le lendemain, mercredi 24 octobre, j'apprenais avec tristesse le décès accidentel d'un neveu. Je contactais mon directeur. Ayant son accord pour ne pas travailler le vendredi matin, dès que je 125 - Corvée. - D - -.-rentrais chez moi, après mes visites, je préparais ma valise. J'avertissais aussi mes Masters pour mon absence forcée. Le soir même, je me dirigeais vers mon pays natal. J'avais demandé confirmation à une cousine pour m'héberger. Régulièrement, lorsque je me rends au village, elle me loge dans l'ancienne chambre de sa fille. Cela facilite grandement les commandements de mes Masters. Je ne peux dormir que nu dans le lit. Étant seul dans la 126 - Corvée. - D - -.-chambre, je n'ai pas d'angoisse à dissimuler la cage. Par contre, les inquisiteurs ne cessaient de torturer ma malheureuse nouille toute la fin de semaine, ce qui par moments, devenait frustrant et très humiliant dans de telles circonstances.

 

        Je prie mes Masters, Master Éric et Maître Michael ainsi que tous les visiteurs du blog de la sous-merde de bien vouloir l'excuser 127 - Corvée. - D - -.-pour le retard pris, indépendant de sa volonté. Je les remercie vivement pour leur compréhension.


128 - Corvée. - D - -.-

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  • : Sous-Merde propriété de Master Eric et Maître Mickaël. Il fait aussi ce que les Visiteurs demandent. Ce n'est pas un mâle mais une sous-merde, et il doit être traité comme tel. À la disposition de tous les Maîtres et slaves au Téléphone, en Web-cam sur Smboy ou Skype... Prises de photo et rapports publiés ensuite sur le blog sous le contrôle de ses Maîtres.
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