Dimanche 6 août
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Mercredi 2 août
J’arrivais au bureau et je garais ma voiture. Sur le trajet, les
pics n’avaient pas cessé de martyriser mon pauvre gland et le côlon n’arrêtait pas de se distraire avec son jouet. Avec soulagement, je sortais du véhicule. Je me rendais au bureau mais à chaque
nouveau pas les tortures continuaient de plus belle. Pour cette journée spéciale, elle allait être très longue….
J’arrivais à
destination et en entrant, je saluais les collègues déjà présents, les parents qui amenaient leurs enfants et ces derniers. Je gagnais mon poste de travail à l’étage. Chaque nouvelle marche
gravit, aggravait le martyre de ma malheureuse queue et de mon pauvre petit trou. Enfin arrivé à mon bureau, je préparais le marqueur que je rangeais
dans une des
poches frontales de ma veste sans manche. Je m’assaillais délicatement sur mon fauteuil en lançant mon ordinateur. Je sentais progressivement le plug N°4 pénétrer plus profondément. L’anneau
intérieur en profitait pour jouer avec celui-ci en montant et descendant entre les boules. La cage exploitait cette
excitation et
spéculait avec ses picots. Je me concentrais sur le dossier que je devais rendre pour calmer ce petit monde en effervescence. Pour éviter tout gémissement incongru, je retenais ma respiration. Je
soufflais et je reprenais ma respiration doucement et
régulièrement en évitant tout geignement. Je maintenais
ainsi mes garnements dans un calme approximatif. En me concentrant sur mon travail, j’arrivais avec difficulté à canaliser mes chenapans de contraintes. Avec la canicule, j’avais pris une
bouteille d’eau que je gardais près de moi. Régulièrement, j’en buvais quelles que gorgées. Tout liquide qui pénètre doit ressortir…. Doucement mais sûrement, ma vessie se remplissait. En milieu
de matinée, l’envie de me rendre aux
toilettes devenait de plus en plus urgente. Je vérifiais une
dernière fois le couloir. Ne voyant pas âmes à l’horizon, je prenais mon courage à deux mains et je me levais. En maîtrisant ma respiration et en se concentrant sur le dossier, j’étais arrivé à
contrôler, à peu près, mes excentriques convives. Mais dès que je commençais à marcher, tout ce petit monde reprirent leurs œuvres dissidentes. J’arrivais aux toilettes et je fermais à clef
la porte derrière moi. Je devais contenir une mutinerie tout en me déshabillant. Je déposais
mes vêtements sur le bord du lavabo. En ôtant mes
socquettes, je ressentis le froid du carrelage qui calma un temps mes garnements. Je prenais le marqueur que j’avais déposé sur la tablette. Assis sur le coin de la cuvette, je notais la date du
jour : "Mercredi 2 août". J’attrapais ensuite le portable et je photographiais ce graffiti. Je relevais la lunette et je lâchais les vannes. La vidange terminée, je séchais le bout de la cage et
mon méat afin d’éviter des pertes inopinées. Je prenais de nouveaux clichés de la jambe taguée, de la geôle de ma malheureuse queue et de la ceinture en cuir. Accroupi, j’immortalisais l’intrus
dans ma rondelle en le sortant à moitié et son bloc-plug ce qui raviva ses débordements. En me relevant,
je positionnais la médaille du collier de slave sur le
devant. Je la remettais en place avant de me rhabiller. J’entendis
dans le couloir deux personnes qui s’approchaient. J’évitais
tout bruit et je retenais ma respiration. Mon palpitant se mit à battre de plus en plus fort et rapidement. Heureusement ils continuèrent leur chemin. Je terminais de me rhabiller pour la
troisième fois de la matinée. Je tirais la chasse d’eau et je me lavais les mains. Je rangeais le matériel dans les poches frontales de mon gilet sans manche. Avant d’ouvrir la porte je tendais
l’oreille.
N’entendant plus de bruit, je me décidais à sortir et regagner mon poste.
Le temps que
j’arrive à mon bureau, les convives avaient repris leurs excentricités. Je m’assaillais et je reprenais ma respiration et ma concentration pour faire patienter les clandestins jusqu’à la pause de
midi. Ces extravagances perpétuelles sont toujours aussi humiliantes, dégradantes et avilissantes. Je replaçais le marqueur à sa place dans son tiroir jusqu’à la prochaine fois. Je reprenais la
rédaction de mon dossier.
Merci mes Masters pour cette nouvelle épreuve, pour continuer à
faire évoluer votre slave dans la soumission et sur les chemins que vous désirez.
Par Bâstard a KC slave n°411-103-335
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Publié dans : Labeurs Journaliers
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