Vendredi 18 août
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Mercredi 16 août 2017.
Corvée
hebdomadaire : Je partais au travail avec le collier et sa médaille, le plug N°4 tenue par la ceinture et la cage qui maltraitait ma pauvre queue. Je portais une chemisette, une veste sans
manche, un pantacourt, des socquettes et une paire de basket aux pieds. Chaque pas que je faisais pour gagner mon bureau était un calvaire ! Le plug jouait avec ma rondelle. Son anneau montait et
redescendait entre les deux boules. Je devais mouiller car je sentais mon trou pousser de plus en plus. Comme la cage était plaquée contre la cuisse à cause du bermuda qui était serré, chaque
fois que je bougeais la jambe gauche, la prison suivait le mouvement. Les pics en profitaient pour empaler un peu plus mon malheureux gland. Plus il était martyrisé et maltraité, plus cela le
faisait bander. Malencontreusement l’érection était contrariée et déjouée par la geôle qui emprisonnait ma pauvre
bite. J’arrivais à destination avec soulagement !
Je saluais les collègues, les parents et les enfants présents. Je
montais à mon bureau mais chaque nouvelle marche était une persécution de plus. Mon malheureux anneau continuait ses vas et viens. Mon pauvre gland était tellement excité qu’il devait, comme
d’habitude, emplir sa cavité et de plus en plus empalé par les picots. C’était un cercle vicieux et j’avais hâte d’arriver à mon poste de travail. de plus, régulièrement, je sentais des filaments
se coller sur la cuisse. Ma plus grande crainte en ce début de journée c’est qu’une perte, au lieu de se contenter de ma cuisse sorte par mon bermuda. C’est pourquoi, régulièrement je vérifiais
qu’il n’y avait pas de fuites désobligeantes. Plus cette abstinence forcée dure et plus elle
est humiliante, dégradante et frustrante ! Je déposais ma
veste sur le dossier du fauteuil. Je prenais ma bouteille que j’allais remplir d’eau pour la journée comme la chaleur était revenue.
Je tentais de faire des pas les plus
légers possibles pour ne pas trop exciter mes encombrants convives. En m’assoyant, je sentis le plug pénétrer plus profondément dans le côlon et son premier anneau jouer avec les deux boules. Je
prenais le marqueur dans son tiroir et je le plaçais dans une des poches frontales de ma veste avec le téléphone. Pour pouvoir me concentrer sur mon travail je devais
calmer tout ce petit monde en révolte. Mon collègue arriva
sur ces entres faits et me saluait en allant prendre sa place dans la même pièce que moi. J’avais une nouvelle contrainte, de faire attention de ne pas alerter mon voisin. Je me concentrais sur
mon labeur en étouffant tout gémissement. De temps en temps, je buvais une gorgée d’eau. Au fur et à mesure de mes absorptions, ma vessie se remplissait inexorablement. En milieu de matinée, mon
collègue m’informait qu’il prenait une pause et m’invitait à griller une cigarette. J’acceptais car ma vessie atteignait son remplissage maximum. Je lui répondais que je terminais la phrase que
je tapais et que je passerai aux toilettes avant de le rejoindre. Dès que je ne le voyais plus, je prenais ma veste et après avoir
vérifier qu’aucun collaborateur était en
approche, je me dirigeais vers les toilettes. Dès que je reprenais la marche et du mouvement, mes infortunés invités reprenaient du service. Ils agressaient ma pauvre queue et jouaient avec mon
côlon. Je refermais la porte immédiatement derrière moi. Je
déposais sur la tablette du lavabo le marqueur et le
téléphone que j’allais utiliser. Je commençais à me déshabiller et j’accrochais, au fur et à mesure, mes vêtements aux patères mises en place récemment. Je faisais attention de faire le moindre
bruit possible et d’éviter tout gémissement. Je déposais mes socquettes sur le bord du lavabo après avoir ôté mes baskets. Je sentis le froid du carrelage
dès que je
posais les pieds nus dessus mais sans résultat pour les geôliers qui continuaient leurs tortures. Les pics continuaient inlassablement à empaler ma pauvre queue et le plug jouait infatigablement
avec son anneau. Je m’assaillais sur le bord de la cuvette après avoir relevé la lunette des toilettes.
Mes malheureuses fesses furent saisies par le froid qui en
émanait sans résultat positif et calmant non plus. Je notais sur ma cuisse gauche la date du jour soit le : "Mercredi 16 août". J’attrapais, ensuite, le portable et je prenais les premiers
clichés de mes vêtements suspendus et de la date fraîchement inscrite. Je m’assaillais sur le
trône qui
glaçait mes pauvres fesses. J’ouvrais les vannes tout en prenant des clichés. J’espérais en vain que le fait d’uriner allait stopper pour un moment cette érection ignoble, dégradante,
involontairement continue et constamment contrariée par la maudite cage. Non seulement ma malheureuse queue emplissait toute sa geôle mais tentait aussi des sorties par les moindres trous. La
situation devenait de plus en plus frustrante, humiliante et dégradante !
Je me baissais
en posant le téléphone sur le carrelage et je prenais le plug en photo. Je le sortais de son habitacle. Je m’apercevais que j’avais tâché une fesse tellement j’avais dû mouiller. Je ne préférais
pas regarder le
pantancourt dans l’état où il pouvait être. Avec des feuilles de papier toilette humide je nettoyais la salissure et les pertes sur ma cuisse. Je
repositionnais l’invité devant ma petite fleur et je le remettais en place en bouchant cet orifice. L’anneau goba de suite la première boule et stationna entre les deux. Je continuais avec le
collier que je tournais pour placer la médaille sur le torse. Je sentis alors une coulure sur le long de ma cuisse. Je regardais mon pauvre gland qui continuait à avoir des fuites. Mouiller ainsi
de la queue et du cul devient de plus en plus frustrant, humiliant et avilissant ! Je nettoyais les salissures sur le carrelage. Je photographiais une
dernière fois
les attributs du slave en terminant par une prise de pieds du bâtard que je suis.
Mon collègue
s’inquiétait de ne pas me voir, venait frapper à la porte me demander si tout se passait bien. Honteux et confus je lui répondais par l’affirmatif et que j’arriverai dans un instant. Je
m’empressais à me rhabiller et à ranger le matériel dans les poches frontales de ma veste sans manche. Je tirais la chasse d’eau en remettant en place la lunette. Je me lavais les mains et je me
les séchais. Je vérifiais une dernière fois les lieux et j’ouvrais
la porte pour rejoindre mon collègue au coin fumeur. Au
passage, je me servais un bon café bien fort. Malheureusement les tortures continuaient. Les pics persévéraient à empaler mon pauvre gland et l’anneau du côlon continuait ses vas et viens entre
les deux boules ! Je devais me retenir pour éviter tous gémissements. Aux questionnements de mon collègue sur la durée de mon séjour aux toilettes je répondais que j’avais des problèmes
intestinaux ce qui coupait court à tout commentaire désobligeant. Après avoir bu nos cafés et grillés une tige de huit, nous regagnons respectivement nos postes de travail pour la fin de
matinée.
Je remercie de nouveau mes Masters pour cette nouvelle étape dans
l’éducation du bâtard que je suis. De continuer et de parfaire l’éducation de leur slave dévoué. De lancer le compte à rebours pour la prochaine vidange car la situation du slave devient de plus
en plus humiliante, dégradante et avilissante.
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