Vendredi 8 septembre
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Le Mercredi 6 septembre 2017 :
Je reprenais le travail, après quinze jours de congés, avec la corvée hebdomadaire à réaliser dans la journée. Le matin, je me
réveillais en sueur, le cœur battant la chamade avec une trique contrariée par la maudite cage. Mon malheureux gland était empalé sur les pics de celle-ci. Au début, la douleur était excitante et
accentuait l’érection dans mon rêve. La souffrance augmentant, le rêve devenait cauchemar. Ne supportant plus ce tourment, je me réveillais en sursaut. Je maudissais une fois de plus cette damnée
cage ! Je me levais et après un bon café serré, je passais à la salle de bain où je finalisais le rasage de la veille. Je m’habillais avec
un jeans, un maillot de corps,
une chemise, une paire de chaussettes et des baskets. les attributs du slave étaient aussi en place avec le collier et sa médaille, la cage, le plug N°04 et la ceinture pour le tenir en place. En
enfilant le pantalon, je le boutonnais tout en laissant la braguette ouverte et je serrais la ceinture. Suivant les nouvelles instructions de Maître Michael, je ne peux plus fermer la braguette
sauf au bureau. Pour la cacher un minimum, je laissais la chemise tomber sur le jeans. Je sentais l’anneau du côlon jouer entre les deux boules de l’intrus et les pics de la cage empalaient le
malheureux gland tout en l’excitant ce qui provoquait une érection contrariée. J’enfilais mon gilet sans manche et je sortais pour me rendre au travail.
À chaque nouveau pas, la cage plaquée contre la cuisse gauche, suivait le mouvement. Les pics en profitaient pour martyriser un
peu plus le pauvre gland. Le jouet, dans mon malheureux trou, s’amusait lui aussi avec l’anneau intérieur en suivant le mouvement des pas. Je sentais la fraîcheur extérieure pénétrer par
la
braguette ouverte. Un long filet se collait sur la cuisse. Je devais encore mouiller de la queue ! Cette situation était dégradante et humiliante toutes ces fuites
inopinées. Un peu avant d’arriver au bureau, discrètement, je fermais ma braguette ouverte. Je montais les quelles que
marches.
En arrivant dans le hall, le directeur discutait avec une maman. Je les saluais et mon chef m’expliquait qu’une secrétaire était en arrêt maladie et l’autre en congé. Il me demandait de bien
vouloir tenir l’accueil cette semaine et de prendre les inscriptions des enfants. Il m’expliquait les formalités à remplir et il
me souhaitait une bonne journée.
J’allais chercher le marqueur dans le tiroir de mon bureau à l’étage. Je regagnais mon poste au rez-de-chaussée et je faisais entrer la personne qui attendait. En m’assaillant, je dus retenir un
râle en sentant le plug pénétrer plus profondément et le gland se faire torturer et martyriser par les pics. Entre
deux
inscriptions, je prenais connaissance des dossiers en ma possession. Dans la matinée, à intervalle régulier, je sentais les pics empaler un peu plus ma pauvre queue. L’envie d’uriner devenait
aussi de plus en plus pressente. Je fermais pour quelles que minutes l’accueil et je me dirigeais vers les toilettes de l’entrée. Je refermais la porte derrière moi. À mon
grand regret, je m’apercevais que ces toilettes
n’avaient pas de patères accrochées à la porte. Je déposais mon portable et le marqueur sur la tablette. Je me déshabillais et je rangeais mes habits sur le coin du lavabo. Lorsque j’enlevais mes
chaussettes que je déposais sur le rebord du lave-mains. En posant les
pieds nus sur le carrelage, je sentais la fraîcheur
monter dans mes mollets. Je prenais le feutre et inscrivais la date du jour : "Mercredi 6 Septembre". Je devais l’inscrire sur deux lignes ne pouvant pas tout écrire à la suite. Les dates de fin
d’année étant longues, j’allais devoir renouveler cette inscription sur deux lignes jusqu’au nouvel an….
Je
photographiais la date. Je m’assaillais sur le trône après avoir relevé la lunette. Je sentis de suite la froidure de la faïence glacer mes petites fesses. J’ouvrais les vannes et je vidais ma
vessie. Je séchais avec du papier toilette le bout de la cage. Je m’accroupissais et je prenais des clichés de l’intrus qui squattait mon pauvre côlon en le sortant et en le remettant en place.
En me relevant, je m’apercevais que cette action m’avait fait mouiller et deux belles traces de ces fuites jonchaient le sol. Ma malheureuse queue tentait des sorties par les moindres
interstices. Je prenais une photo de pieds et je
m’apercevais que la médaille était restée en arrière. Je la passais devant et reprenais un nouveau cliché. Je terminais par un gros plan de la médaille. Quand toutes les prises de vues étaient
dans la boite, je posais le téléphone et je me rhabillais en fermant la braguette. En enfilant le jeans, je sentis une nouvelle fuite se coller sur ma cuisse. Le faite d’avoir sorti le plug de
son orifice avait excité le côlon et je sentais l’anneau faire des vas et viens entre les deux boules. Je positionnais la médaille dans le dos et j’enfilais le maillot puis la chemise. Je
continuais par les chaussettes et les baskets. Je terminais en enfilant le gilet sans manche où je
rangeais
le marqueur et le téléphone. Je tirais la chasse d’eau et fermais le couvercle des toilettes. Je me lavais les mains et je me les séchais. Je vérifiais que je n’oubliais rien et j’ouvrais la
porte pour reprendre ma place à l’accueil où une maman attendait pour inscrire ses enfants. Je la saluais et je la faisais entrer. Je m’essayais délicatement pour
ne pas
trop exciter l’intrus dans mon trou. Malheureusement ce ne fut pas le cas pour ma queue qui tentait une nouvelle érection contrariée ce qui empalait un peu plus mon pauvre gland sur les pics de
la cage. Je sentais une nouvelle perte couler le long de la cuisse. Le midi en sortant du centre après être descendu les marches du
perron,
discrètement je rouvrais la satanée braguette. Je rentrais chez moi pour déjeuner tandis que les pics continuaient de martyriser mon malheureux gland et l’anneau du côlon jouait avec les deux
boules du plug. Les supplices et les tourments continuaient tout
au long de la journée ! Je ne cessais de maudire cette
damnée cage et l’intrus dans mon trou qui excitaient tout mon petit monde et provoquaient des fuites impromptues.
Je dois tout de même remercier mes Masters pour les nouvelles
directives instaurées par Maître Michael. Je vais devoir apprendre à les gérer en public. Heureusement, la chemise est là pour camoufler un tant soit peu cet inconvénient. Je remercie aussi mes
Maîtres pour continuer l’éducation de leur soumis.
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