Le blog de Bâstard à KC Sous Merde n°411-103-335

  Bienvenue sur le blog de Bâtard a KC : Sous Merde N° 411-103-335, sous le contrôle de Master Éric et Maître Michael. Il doit faire ce qui lui est demandé sans rechigner. N’hésitez pas à laisser des commentaires sur les différents articles qu'il publie sous nos ordres.

  Il fait aussi ce que les visiteurs demandent. Ce n'est pas un mâle mais une sous-merde, et il doit être traité comme tel.

  Sous cage de chasteté, nous seuls, ses Maîtres, décidons de ses jouissances afin de le purger de son jus pourris qui ne sert à rien.

  N'hésitez pas à laisser des commentaires dans les différents articles publiés ici par notre sous merde ou nous même. Cela l'humiliera  d'autant  plus.  Son  adresse  est  dorénavant  la  suivante  :        slave.411103335@gmail.com

   Nous la contrôlons entièrement. Nous nous chargerons de vous répondre ou notre slave vous transmettra nos commentaires.

  Notre Sous-Merde est à dispos de tous mâles souhaitant l'utiliser en Cam ou en Réel avec prises de photos et rapports publiés ensuite sur le blog. Même les soumis peuvent l'utiliser car son statut est inférieur à eux et il leur doit respect, soumission et obéissance.

Dimanche 19 février 7 19 /02 /Fév 12:10

IRM :

         La veille, en rentrant chez moi, j’essayais d’effacer la date de la corvée du jour. Ayant eu un problème, j’avais dû faire une inscription beaucoup plus grosse qu’à l’habitude. Après un premier nettoyage le midi, il restait des traces malgré le scotch-britch et le savon. Je recommençais l’opération, le soir, sans pouvoir tout faire disparaître. Ce jeudi matin, en prenant ma douche, je renouvelais l’opération pour arriver à effacer, enfin, toutes les traces. En faisant ma toilette, je maudissais ce marqueur rebelle. Je me promettais de faire plus attention à l’avenir et de ne plus jamais écrire aussi gros et trop de mots. Pour la matinée au bureau, j’avais placé dans mon petit trou le plug N° 06. Ma pauvre rondelle était plus que dilaté car la base était juste à la limite ! Devant prendre ma voiture pour me rendre à l’hôpital, l’après-midi, après avoir déjeuné, je le remplaçais avec le N° 04. Je m’apprêtais à partir et suivant les instructions, je disposais dans ma sacoche, le short blanc, le lubrifiant et la clé pour ouvrir le collier. Je préparais mes papiers et ma prescription médicale. J’enfilais ma veste, mon bonnet, mon écharpe et mes gants comme le froid sibérien persistait. Le thermomètre n’arrivait pas à atteindre les - 5°C au plus chaud de la journée.

        Je partais en avance car je devais gratter le givre sur la voiture bien que l'on soit à la mi-journée. Malgré le froid ambiant, le plug jouait toujours avec mon petit trou et l’anneau du côlon en faisait autant avec les deux boules. Mon malheureux gland était, lui aussi, martyrisé et embroché par les pics de la maudite cage de chasteté. Ces empalements continues, l’excitait et provoquait une érection continue mais contrarié par cette détestable dernière. Je mettais le chauffage au maximum. Lorsque les vitres et le pare-brise étaient dégagés, je démarrais. Heureusement que j’étais parti en avance car la circulation était intense. Elle était aussi perturbée, soit par les engins municipaux de salage, soit par le plug qui stimulait ma petite fleur, soit par la cage qui enflammait mon pauvre gland avec des érections contrecarrées par celle-ci. J’arrivais à destination et j’utilisais la première place de stationnement que je trouvais.

01 - IRM - D - -.-        Arrivé dans le hall d’entré, je me dirigeais vers les toilettes pour enlever les attributs du slave que je rangeais dans ma sacoche et je préparais le short. Après m’être présenté à la secrétaire, j’attendais mon tour dans la salle d’attente. Un aide soignant venait me chercher après une quinzaine de minutes de patience. Il me faisait entrer dans une des cabines en me demandant de me mettre en sous-vêtement et en 02 - IRM - D - -.-m’annonçant que le médecin allait venir me voir. Je m’empressais à sortir le short de la sacoche. J’enlevais en premier mes chaussures et mon pantalon pour pouvoir l’enfiler avant qu’une nouvelle personne ne vienne et me voit avec cette maudite cage. Mon cœur se mit à battre la chamade et mes mains tremblaient d’appréhension. Je posais rapidement le jeans sur le dossier de la chaise et encore plus rapidement, j’enfilais le short. Je poussais, intérieurement, un "Ouf !!!" de soulagement. Malheureusement, les pics continuaient d’empaler mon pauvre gland, ce qui l’excitait et provoquait une maudite érection contrariée. Je maudissais, une nouvelle fois, les instructions humiliantes et dégradantes que j’avais reçu pour ces examens ! Je continuais à ôter mes pulls et mon maillot de corps. J’étais en train de ranger ce dernier sur la chaise lorsqu’une personne frappait à la porte et entra.

03 - IRM - D - -.-        Elle se présentait, c’était le médecin. Il m’invitait à m’asseoir et il en faisait autant sur un tabouret. Il avait besoin de renseignements que je lui donnais. Il m’annonça, à ma grande joie, que je pouvais remettre le pantalon mais en enlevant la ceinture et ce qu’il y avait dans les poches pour qu’il n’y ait pas de métal. Le 04 - IRM - D - -.-questionnaire terminé, il m’avisait qu’un technicien allait venir me chercher dans un instant. Rapidement et avec un grand soulagement, je prenais le pantalon que je m’empressais de le remettre. Je déposais la ceinture sur le siège avec le contenue des poches.

        Une troisième personne me faisait entrer dans une pièce où la température était un peu fraîche. J’appréciais d’avoir pût remettre mon jeans. Il débutait par me mettre une charlotte. Ensuite, il me proposait de m’allonger sur la table avec la tête sur un emplacement spécifique. Comme la séance serait bruyante, il m’installait un casque avec de la musique. Il m’expliqua qu’il allait baisser une grille, de ne pas prendre peur. Effectivement, une protection grillagée, comme les footballeurs américains ont sur leurs casques, venait d’être placé sur mon visage. Il y avait un petit miroir qui me permettait de voir mes jambes. Le programme d’une 05 - IRM - D - -.-émission radio se diffusait dans les écouteurs. Un bruit sourd se fit entendre quand l’examen démarra et étouffait la musique émise. Je restais ainsi allongé une petite demi-heure quand, avec soulagement, le brouhaha cessa. La musique stoppa aussi et un silence bruyant les remplaça. J’étais toujours prisonnier de ce masque, allongé sans pouvoir bouger.

        Le technicien releva la grille et enleva le06 - IRM - D - -.- casque. Mes oreilles continuaient de bourdonner de ce silence assourdissant. Il fut stoppé quand la personne me proposa de me relever. Elle me raccompagna à ma cabine et elle m’invita à me rhabiller en attendant le médecin. Je m’aperçus  que mes battements de cœur étaient toujours aussi rapide et résonnaient dans mes oreilles. Je refermais la porte derrière moi et je me rhabillais rapidement comme je n’avais que les 07 - IRM - D - -.-bricoles posées sur la chaise, la ceinture et le haut à remettre. Je renfilais ma veste et mon écharpe. Mes gants et mon bonnet, je les laissais en attente dans ma sacoche. Le médecin entra après avoir frappé à la porte et me donnait un premier compte rendu favorable de cet examen. Après s’être salué, je prenais mon sac à l’épaule et je sortais. Au passage, je souhaitais une bonne journée à la secrétaire et je retournais aux toilettes.

08 - IRM - D - -.-        Elles étaient toutes occupées. J’allais faire un petit tour dans le hall d’accueil et je revenais quelles que minutes plus tard. Une porte était entrouverte. J’entrais après avoir vérifié qu’il n’y avait personne et je la refermais à clef. Une nouvelle fois, je posais le téléphone sur le lave-mains et je sortais les attributs du slave de la sacoche. Sur le lavabo, je posais le collier, le lubrifiant, le plug, le harnais, je le déposais sur 09 - IRM - D - -.-le carrelage. J’accrochais aux patères de la porte, le sac et mes vêtements au fur et à mesure que je me déshabillais une nouvelle fois. Lorsqu’il ne me restait plus que mes chaussettes qui me protégeaient que très légèrement du froid glacial du carrelage et le short blanc, je le prenais en photo avec le portable. À regret, je l’enlevais et je prenais des clichés de la maudite cage qui, avec ses pics détestables, empalent mon 10 - IRM - D - -.-malheureux gland. Cette torture inhumaine l’excitait et provoquait une érection continue et contrariée par cette horrible prison qui enchâsse mon pauvre pénis et lui empêche toute masturbation et toute éjaculation. Il condamne mon sexe à une abstinence inhumaine de près de sept mois !!! Cette prise de vue permettra aux Masters et aux visiteurs de constater que le maudit cadenas est toujours le même.

11 - IRM - D - -.-        Je lubrifiais légèrement le plug que je présentais à mon petit trou. Progressivement il l’ouvrait et pénétrait dans le côlon jusqu’à ce qu’il bute contre le premier anneau. Après une nouvelle pression, celui-ci gobait la boule supérieure et ma petite fleur en faisait autant avec ce nouvel invité. Ayant oublié de mettre le harnais pour que ce convive ne bouge plus, je l’enfilais à la hâte. Je continuais, tout ce temps, à prendre des clichés comme ordonnés par les Masters. Après un instant, je m’apercevais que les sangles de la poitrine n’étaient pas correctement mises. Je les réajustais et je tenais les dernières photos.

        Quand tous les attributs du slave étaient en place, je me rhabillais une nouvelle fois. Je me lavais les mains et je me les 12 - IRM - D - -.-séchais. Je rangeais dans le sac le reliquat sur le lave-mains, le lubrifiant, la clef du collier et le short blanc. Le téléphone regagnait la poche frontale de la sous-veste. J’enfilais mon bonnet, mon écharpe, ma veste et mes gants. Par principe et pour que l’on ne puisse pas se poser des questions sur mon passage aux toilettes, je tirais la chasse d’eau, je baissais la lunette et le couvercle. Je vérifiais une dernière fois les lieux avant d’ouvrir et de sortir. Je regagnais ma voiture pour retourner terminer ma journée au bureau.

 

        Pour une fois, cet examen s’est mieux déroulé et surtout moins humiliant dégradant et avilissant malgré le port de la cage. Il y en 13 - IRM - D - -.-a encore un qui, je le crains, ne se déroulera pas aussi bien qu’aujourd’hui…. Je n’ai pas encore terminé de maudire les instructions des Maîtres et les commentaires des visiteurs. Tout de même merci à mes Masters pour cette nouvelle étape.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Les Consignes - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 17 février 5 17 /02 /Fév 06:52

Le mercredi 08 février :

        L’hôpital avait téléphoné la veille pour demander la possibilité de repousser de 24 heures l’IRM programmé ce jour. J’avais répondu qu’il n’y avait pas de problème pour moi. C’est ainsi que je partais au bureau, soulagé de ne pas avoir à effacer rapidement l’inscription du jour. Par contre les invités, malgré le froid, n’avait que ralenti leurs amusements…. Le plug N°04 continuait à jouer avec le premier anneau du côlon en montant et redescendant entre les deux boules. Mon trou en faisait tout autant en poussant et je sentais ma petite fleur s’ouvrir partiellement jusqu'à ce que le bloc-plug joue son rôle. À chaque pas, mon malheureux gland se faisait empaler par les pics de la cage ce qui l’excitait et provoquait une érection involontairement continue et contrariée par cette dernière. Si seulement il n’y avait que la journée où tout ce petit monde faisait les 400 coups…. Les nuits étaient, elles aussi, devenues un enfer où je me réveillais régulièrement en sur-saut au beau milieu de cauchemars. Mon gland surexcité par ses empalements et ma petite fleur en feu à force de pousser en vain en s’amusant avec son convive. Mes nuits étaient, en alternance, contrariées par ces réveils intempestifs à cause des festivités et des périodes d’insomnies où je n’arrivais plus à trouver le sommeil avec mes hôtes qui ne cessaient pas, un instant, leurs tortures. Je me réveillais généralement en avance et continuellement avec un sentiment de fatigue générale. Il faisait toujours aussi froid la nuit et l’aube était gratifiés de gelées matinales. Une mince épaisseur de givre recouvrait la nature et les véhicules qui devaient être grattés et dégivrés.

        J’arrivais au bureau sur ces réflexions. Je saluais les collègues présents et je gagnais mon poste. Je posais, sur le dossier de mon fauteuil, ma veste, mon bonnet et mon écharpe. Je cherchais dans le dernier tiroir du bureau, sous mes dossiers, le marqueur méprisable. Je le rangeais avec mon portable dans les poches frontales de ma sous-veste. Tous les outils étaient prêts pour la corvée hebdomadaire dévalorisante et dégradante. J’essayais de ne pas trop y penser et je me mettais au travail. Malheureusement les invités, avec la chaleur ambiante, redoublaient de vigueur ! Le plug excitait mon malheureux trou qui ne cessait de pousser. L’anneau du côlon n’en finissait pas de monter et descendre des boules ! Mon pauvre petit gland continuait à être empalé sur les pics, ce qui l’excitait et provoquait une érection incessante, contrariée par cette maudite cage ! Je faisais mon possible pour ne pas trop y penser en retenant des gémissements et en tentant de ne pas trop maudire mes Masters et les commentaires des visiteurs. Régulièrement, je regardais les vas et viens des collègues dans le couloir. J’attendais le moment ou j’aurai la vessie pleine et envie d’uriner.

09 - Bureau - D - -.-        En milieu de matinée, je sentais le désir monter. Je me décidais donc à réaliser la besogne imposée. Je scrutais plus attentivement le couloir. Ne voyant personne à l’horizon, je me décidais à me lever et me rendre aux toilettes. Je refermais rapidement la porte derrière moi et je la verrouillais. Je posais sur le bord du lave-mains le téléphone et le marqueur. Je commençais à me déshabiller une nouvelle fois à contre-cœur. Lorsque je quittais mes chaussures, je sentais le froid glacial du carrelage monter dans les mollets malgré les chaussettes. Une nouvelle fois, je maudissais le commentaire qui avait réclamé que je ne porte plus ces dernières pour ce labeur ignoble. Je déposais mes vêtements pliés sur le bord du lavabo. Maître Michael avait ordonné que j’exécute les commentaires réclamant que je fourre complètement au moins une chaussette dans ma malheureuse bouche 10 - Bureau - D - -.-et la seconde, que je l’accroche sur moi. Je terminais donc par les ôter et j’en mettais une en attente sur le lavabo avec le reste de mes affaires et la seconde, je l’enfilais dans le harnais en exposition.

        Je relevais, à contre-cœur, le couvercle et la lunette des toilettes. Je prenais l’ignoble 11 - Bureau - D - -.-marqueur et je m’assaillais sur le bord de la cuvette pour inscrire la date du jour sur ma cuisse gauche. Je commençais à écrire le "L" lorsqu’une personne essaya d’ouvrir brusquement la porte des toilettes et jeta un juron quand elle ne s’ouvrit pas. Je l’entendis entrer et refermer rapidement la porte voisine. Le bruit sourd de la poignée et de la porte qui résistait m’avait fait sursauter, mon cœur se mit à battre la chamade et ma main, avec le maudit feutre indélébile, avaient dérapé. Pour rattraper la rature, j’allais devoir écrire en très gros sur mon infortunée cuisse. Je rectifiais donc le "L" pour que la rature se voie le moins possible et je continuais, à mon grand désespoir, d’inscrire la date du jour dans les mêmes dimensions. J’étais 12 - Bureau - D - -.-tellement perturbé par tout le branle bas que le voisin avait fait que je ne contrôlais plus vraiment ma main et elle inscrivit la date du jour beaucoup plus gros que je ne l’aurai souhaité : "Le 08 - 2". J’allais avoir des difficultés à la 13 - Bureau - D - -.-faire disparaître. Heureusement que le rendez-vous de l’IRM avait été reporté, j’allais avoir 24 heures pour supprimer toutes traces sur ma jambe. Mon palpitant battait toujours aussi fort et rapidement. Je prenais un premier cliché de cette maudite date et je m’assaillais sur la faïence glaciale de la cuvette, n’ayant plus le droit à la lunette. Avec le temps, c’est de plus en plus dégradant, humiliant et frustrant. Quand est ce que cette corvée se terminera-t-elle ?

        Je vidangeais ma vessie et je prenais des photos pour le rapport. Terminé, je séchais le bout de la cage et du gland en espérant qu’il n’y aura pas trop de fuites ignominieuses. 14 - Bureau - D - -.-J’immortalisais, ensuite, le convive dans ma petite fleur et sa ceinture de sécurité. Je continuais par des gros plan de cette maudite cage avec mon malheureux pénis enchâssé dans cette boîte siliconée et mon malencontreux gland empalé sur les pics. À reculons, je prenais la chaussette en attente. Je la roulais comme demandé et j’ouvrais grand ma bouche pour prendre, à regret, ce bâillon odorant. Je réalisais les derniers clichés de pieds, du harnais, des chaussettes et de la prison de mon pénis. J’’entendis, dans la pièce voisine, l’eau du lavabo couler, puis la chasse d’eau et la porte s’ouvrir. Mon voisin partait et je n’avais aucun moyen de savoir qui s’était soulagé en urgence. Je m’en 15 - Bureau - D - -.-fichais mais je craignais qu’il guette ma sortie et me fasse une réflexion. Je devais accélérer le mouvement car je prenais de plus en plus de temps pour réaliser cette maudite corvée dégradante.

        Quand toutes les photos étaient dans la boite pour illustrer et confirmer la réalisation de ce labeur, je me rhabillais en hâte. Mon pauvre trou et mon malheureux pénis étaient toujours martyrisés par les convives présents. Je baissais la lunette, le couvercle et je tirais la chasse d’eau. Je me rinçais les mains rapidement et je me les séchais. Je rangeais dans les poches frontales de ma sous-veste le téléphone et le marqueur délictueux. 16 - Bureau - D - -.-Après une vérification rapide des lieux, je sortais avec empressement, heureux de fuir cette pièce de débauche en maudissant en silence mes Masters et les commentaires des visiteurs qui en rajoutent quotidiennement.

        En me rendant à mon poste, je sentis sur ma cuisse une coulure qui descendait le long de ma jambe. Encore une nouvelle fuite d’urine ! Elles deviennent de plus en plus fréquentes, frustrantes, dégradantes et humiliantes, d’autant plus que je n’ai plus le droit de porter de papier absorbant pour les retenir. J’abominais et je haïssais de plus en plus toutes ces interdictions qui ne font qu’augmenter mon avilissement, mon désarrois et ma frustration. Je 17 - Bureau - D - -.-retrouvais mon poste et je reprenais place. Je frottais les jambes l’une contre l’autre pour éponger le restant de cette fuite involontaire et honteuse.

        Après quelles que minutes sur mon travail, un collègue vint me demander si j’avais des problèmes et si j’avais déjà eu des résultats des médecins. Ce devait être lui qui était entré en trombe dans les toilettes voisines. Je lui répondais qu’il n’y avait rien de grave mais avec les examens que j’étais en train de réaliser, j’en saurai plus au bilan. Hypocritement, je le remerciais pour sa courtoisie. Il acquiesçait et me proposait généreusement de me confier à lui si 18 - Bureau - D - -.-j’en avais besoin. Bien sûr je lui fais confiance mais comment pourrai-je lui révéler la raison réelle de mes séjours de plus en plus long aux toilettes ? J’espère qu’il ne pense que ce n’est qu’à cause des mes nouveaux examens. Si par malheur ils apprenaient ce que je faisais réellement dans ces lieux, ils seraient 19 - Bureau - D - -.-très surpris et/ou pourraient certainement ne pas comprendre….


 

        C’est pourquoi, des sentiments mitigés me tiraillaient. Je remerciais mes Masters de me faire évoluer dans le sens qu’ils désirent tout en maudissant et méprisant certaines évolutions et certaines résolutions prises suite aux commentaires des visiteurs.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Labeurs Journaliers - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 15 février 3 15 /02 /Fév 13:22

Le 1er scanner :

        À midi, ce mercredi, je m’empressais à rentrer chez moi. Je passais de suite à la salle de bain pour effacer l’inscription sur ma cuisse. Comme d’habitude, pour ôter ce graffiti, je devais prendre une éponge avec du scotch-britch et du savon. Malgré cela, je devais frotter fort pour arriver à enlever toutes traces. Je maudissais ce marqueur et les commentaires qui avaient réclamé que je le prenne à la place du feutre ! En plus de l’humiliation de devoir réaliser chaque semaine la corvée des toilettes au bureau, pour enlever toutes les inscriptions, il fallait que je frotte dur à faire rougir la cuisse parfois, ce qui était encore plus frustrant et dégradant.

        Ce labeur terminé, je me préparais à manger et je passais à table. Comme j’avais un peu d’avance, j’en profitais pour faire une petite sieste. Avant de me rendre à l’hôpital, je vérifiais mes papiers et je rangeais dans ma pochette le short blanc, du lubrifiant et une clé pour ôter le collier. Comme je devais prendre la voiture pour m’y rendre, j’avais placé dans mon petit trou le plug N°04, à deux boules. En m’assaillant dans le véhicule, ce dernier se remit à jouer avec le premier anneau du côlon et ma petite fleur. En conduisant, je le sentais pousser en vain et l’anneau faire des vas et viens sur les boules. Mon malheureux gland était, lui aussi martyrisé. Il se faisait empaler sur les pics de la cage, ce qui provoquait une excitation avec une érection contrariée par cette maudite cage ! J’arrivais enfin à destination après plus de 20 minutes. J’avais rarement vu autant de circulation et nous avancions au pas. Je garais ma voiture et je sortais pour me rendre au rendez-vous.

        Une bise glaciale vint cingler mon visage et un frisson parcouru tout du long de mon corps. Je pressais le pas pour entrer et me rendre, en premier lieu, aux toilettes pour ôter tous les attributs du slave que je rangeais dans la sacoche et j’enfilais le short blanc qui ne cache presque rien. Je me présentais à l’accueil du scanner. La secrétaire remplissait mon dossier et me dirigeât vers la salle d’attente. Après quelles que minutes, un infirmier me faisait entrer dans un boxe. Il m’expliquait le déroulement de l’examen et me demandât de me mettre en sous-vêtement. Il retournait ensuite dans la salle principale. Je me déshabillais avec angoisse et je posais mes vêtements sur le dos d’une chaise. Je me retrouvais rapidement avec seulement mon short blanc, qui si je le remontais trop à la taille laissait apparaître la maudite cage dessous. Mon cœur se mit à battre la chamade et l’attente accroissaient mes angoisses et mes frustrations.

        Une nouvelle personne venait me chercher et me mettait une charlotte sur la tête. J’entrais dans la salle principale avec le scanner. En m’approchant, je tirais sur le short pour que la cage n'apparaisse pas. Sur invitation, je m’assaillais sur le bord de la table. Le médecin-technicien me demandait de m’allonger la tête vers l’appareil et les pieds à l’autre bout. Je m’exécutais et je me retrouvais dos au médecin. L’appareil étant du coté du poste de commandes, je me retrouvais de l’autre côté avec soulagement. Les techniciens n’avaient pas de vues plongeantes sur mon maudit short ! En me mettant en position sur la table, ils avaient tout de même remarqué que j’étais rasé de près sur tout le corps et le pubis en particulier. Je me sentais très mal à l’aise et mon cœur battait toujours aussi rapidement, je sentais le sang affluer au visage. Je devais être tout rouge !

01 - Scanner - D - -.-        L’examen débutait et je fermais les yeux pour ne pas croiser ceux des personnes présentes. Un bruit sourd envahit la pièce lorsque l’appareil se mit en marche. Je restais ainsi allongé une quinzaine de minutes. Lorsque la machine stoppa, un silence assourdissant envahit la pièce d’examen. Avec soulagement j’entendais 02 - Scanner - D - -.-les pas d’un technicien s’approcher et m’autoriser à me relever. Discrètement je tirais sur le short pour, quand je plierais les jambes afin de me lever que la maudite cage n’apparaisse pas. Malencontreusement en me levant de la table, le short s’accrochât et je le sentis se relever inexorablement. Discrètement je m’empressais à le remettre en place en espérant que personne n’ai pu voir la cage sous ce maudit vêtement ! Un technicien me raccompagnât dans ma cabine et m’autorisait à me rhabiller. Il m’annonçait que le médecin viendrait m’apporter les clichés dans quelles que minutes. Je le remerciais et refermais rapidement la porte derrière lui. Je m’aperçus que je tremblais de la tête aux pieds tellement j’avais eu honte et je m’étais sentis frustré et humilié d’être dans cette tenue. J’aurai aimé que mes Masters me 03 - Scanner - D - -.-promettent que je n’aurai plus de tenue aussi humiliante pour des examens. Malheureusement je crains que cela n’arrive jamais….

        Je m’empressais à me rhabiller et j’attendais un instant assis sur la chaise. Le médecin entra après avoir frappé à la porte. Il me donnait les clichés sur un CD et m’annonçait que son rapport serait envoyé directement au médecin. Je le remerciais et je prenais congé de lui. Je sortais de mon boxe. Je saluais les personnes présentes ainsi que la secrétaire et je m’enfuyais de ce lieu. Malheureusement, je savais que je devrai y revenir à la fin du mois car un médecin a demandé un examen complémentaire et je n’ai pas pu le regrouper avec celui-ci. Je crains que le prochain soit encore 04 - Scanner - D - -.-plus humiliant et dégradant me voyant dans cette tenue.

        Je me rendais aux toilettes et je rentrais dans le premier libre. Je refermais la porte derrière moi et je sortais les attributs du slave de la sacoche que je déposais sur le lave-mains ainsi que mon téléphone portable. Le harnais, je le posais au sol. Je me déshabillais et j’accrochais les vêtements aux patères de la porte. Je me retrouvais une nouvelle fois en short que je prenais en photo. En posant les pieds sur le carrelage glacial, une envie d’uriner arriva soudain. Je déposais le short blanc et, n’ayant plus rien à part la cage, j’en profitais pour vider ma vessie. Comme l’avaient réclamé mes Masters, je prenais des clichés assis sur le trône après avoir relevé la lunette à mon grand désespoir. Je séchais la 05 - Scanner - D - -.-goutte qui perlait au bout du gland et sur la cage. J’en profitais pour la prendre en gros plan avec le numéro du cadenas inchangé.

        J’enfilais le harnais et refermais les sangles du torse. Celles du bloc-plug, je les 06 - Scanner - D - -.-mettais en attente. Je posais le portable au sol et je lubrifiais le plug N°04. Je le présentais à mon petit trou et progressivement je le faisais pénétrer dans ma petite fleur qui s’ouvrait inlassablement. Quand elle prit la première boule, la seconde recommença à la défoncer. La 07 - Scanner - D - -.-première vint butter contre le premier anneau du côlon. Après une nouvelle pression, ce dernier s’ouvrit aussi et goba la boule. Mon trou en faisait autant pour le reste du plug. Quand il fut en place je refermais le harnais sur le cockring en caoutchouc bien que l’anneau soit plus gros et 08 - Scanner - D - -.-donc, plus difficile à fermer les sangles dessus.

        Lorsque toutes les attaches étaient en place, je prenais de nouveaux clichés du harnais et du collier que je posais à la suite. Tous les attributs du slave étaient en place et les photos 09 - Scanner - D - -.-dans la boite. Je me rhabillais tout en maudissant ces directives humiliantes dégradantes et frustrantes que je devais suivre pour mes examens. Je rangeais dans la sacoche le short et le lubrifiant. J’y mettais aussi les documents que le technicien venait de me donner pour 10 - Scanner - D - -.-transmettre à mon médecin. Je triais la chasse d’eau, me lavais les mains et je me les séchais. Avant de sortir, je vérifiais les lieux pour ne rien oublier. Je pouvais enfin quitter l’hôpital et 11 - Scanner - D - -.-regagner mon travail.

 

Malgré la situation très humiliante, dégradante et frustrante de passer les examens avec seulement ce short blanc et la cage, je remercie mes Masters de m’avoir fait passer une nouvelle étape. J’espère seulement que cela ne se reproduira pas trop souvent avec cette tenue car je me suis senti très mal à l’aise. Heureusement que l’appareil était dans le bon sens mais je crains que ce ne soit pas toujours le cas….12 - Scanner - D - -.-

 

 

Bonne journée à Master Éric, Maître Michael et à tous les visiteurs.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Les sorties du Slave - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 14 février 2 14 /02 /Fév 08:19

Le mercredi 1er février.

        En me rendant au bureau, je repensais aux instructions de la journée. Comme j’avais rendez-vous pour un scanner l’après-midi, je devais réaliser, impérativement, la corvée hebdomadaire le matin même pour pouvoir effacer ce midi la date du jour sur la cuisse. En marchant, je ressentais les pics de la cage empaler mon malheureux gland ! Cela l’excitait et provoquait une érection contrariée par cette maudite cage. Je rageais après mes Masters qui m’avaient, la veille, fait changer de cadenas. Maître Michael avait demandé que je me masturbe mais quand je commençais à sentir mon jus monter, il avait ordonné de stopper !!! J’avais eu vraiment du mal à obéir et à ne pas continuer tellement j’étais excité ! Depuis la veille, je ne pouvais enlever de mon esprit ces sentiments de frustrations, d’humiliation et d’avilissement d’avoir du ainsi arrêter. Je m’étais remis à maudire mes Masters de  faire durer cette abstinence inhumaine ! Devoir ainsi stopper en cours de masturbation, après plus de 6 mois d’abstinence, est d’une barbarie ignoble.

        J’en étais sur ces réflexions en arrivant devant la porte du bureau. Heureusement le froid ambiant avait calmé un temps l’invité dans ma petite fleur. Mon pauvre trou avait eu un petit temps de répit. Je saluais les collègues déjà présents et je gagnais mon poste de travail. Je posais, sur le dossier de mon siège, ma veste, mon écharpe et mon bonnet. Je prenais place dans mon fauteuil et je vérifiais le téléphone portable dans la poche frontale de ma sous veste. Je recherchais dans un tiroir, sous mes dossiers, le marqueur sélectionné pour inscrire la date du jour. Je le maudissais car il est vraiment indélébile et difficile à enlever sur la peau. Je réprouvais la demande de Master Phénix de devoir utiliser ce marqueur et encore plus ces commentaires et ses demandes futures. Je me commençais mon travail en attendant d’avoir envie d’uriner. En m’assaillant sur le siège, j’avais réveillé mon petit trou. Le plug N°04 qui le bouchait, jouait avec le premier anneau du côlon qui montait et redescendait entre les deux boules de l’invité. Ma petite fleur essayait de pousser en vain. Étant assis, mon petit trou ne pouvait expulser son intrus. Debout, il n’aurait, non plus, pu faire autrement avec le bloc plug ajouté au harnais.

01 - Bureau - D - -.-        J’essayais de me concentrer sur mon labeur afin d’oublier un peu tout ce petit monde qui ne pense qu’à jouer ! En milieu de matinée, l’envie d’uriner se faisait de plus en plus intense. Je vérifiais, depuis un certain temps, les aller et venus des collègues. Je regardais une dernière fois avant de me décider à me lever. Ma main vérifiait le portable et le marqueur en place dans les poches thoraciques de ma sous veste. Avant d’entrer aux toilettes, je jetais un dernier coup d’œil au couloir et je refermais, derrière moi, la porte à clef. Je posais, sur le bord du lave-mains, le téléphone et le feutre. Je commençais à me déshabiller et je rangeais mes vêtements pliés sur le lavabo. Lorsque j’enlevais mes chaussures, je ressentais le froid pénétrer dans mes pieds malgré les chaussettes. Lorsque je dus les ôter, la froidure fut encore plus intense et remontait dans mes jambes. Je détestais cet ordre de ne plus rien 02 - Bureau - D - -.-porter aux toilettes du bureau ! Je les mettais en attente avec mes vêtements. Je relevais, à contre-cœur, le la lunette des toilettes. Le couvercle étant déjà relevé. Je prenais le marqueur et j’inscrivais sur ma cuisse gauche la date du jour : "Le 1 – 2". Je faisais attention d’écrire un peu plus gros qu’à l’habitude mais pas trop car le midi, je devais 03 - Bureau - D - -.-effacer cette inscription.

        Je reposais le feutre et je prenais d’une main le téléphone pour les étapes suivantes. J’immortalisais en premier ce graffiti sur ma cuisse. Je continuais en m’assaillant sur le trône et je commençais à vider ma vessie. Tout en me soulageant, je prenais les clichés suivants. Lorsque tout était évacué, je me relevais et je roulais mes chaussettes que je fourrais dans ma bouche. Devoir les porter ainsi augmente d’autant plus les humiliations, les frustrations et les avilissements que je ressentais. Je maudissais, une fois de plus, le commentaire qui avait proposé cette instruction ! Comme preuve et à la demande des messages sur le blog, je photographiais ces chaussettes, le harnais et la cage. Je réalisais différents clichés de pieds et en plus gros plan comme preuve de la 04 - Bureau - D - -.-réalisation de la corvée du jour. Quand tout était dans la boite, je reposais l’appareil et je me rhabillais avec soulagement.

        J’étais en train de remettre mon pantalon lorsqu’une personne essaya d’ouvrir la porte. Une nouvelle fois je maudissais cette prestation qui me prenait de plus en plus de temps ! Je lui demandais encore deux minutes. J’avais presque terminé. Personne ne répondit. Comme je n’entendais plus de bruit, j’en déduisais qu’elle attendait. Je me pressais à terminer de m’habiller et je rangeais dans les poches frontales de ma sous veste, le marqueur et le téléphone. Je tirais la chasse d’eau et je refermais la lunette et le couvercle. Je me rinçais les mains et je me les séchais. Avant de sortir, je vérifiais une dernière fois que je n’oubliais rien et j’ouvrais la porte. Je me retrouvais nez à nez avec un collègue. Je 05 - Bureau - D - -.-lui laissais la place toute chaude. J’espérais qu’il n’avait rien entendu de suspect. Je regagnais mon poste. En marchant le plug s’était remis à jouer ainsi que les pics de la cage qui empalaient mon pauvre gland. Ce midi je devrai me dépêcher à effacer l’inscription sur la cuisse. J’avais fait attention de ne pas trop écrire pour moins de difficultés.


 

        Je dois tout de même remercier mes Masters pour m’avoir fait passer une nouvelle étape.


 

 

 

06 - Bureau - D - -.-  07 - Bureau - D - -.-  08 - Bureau - D - -.-

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Labeurs Journaliers - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 13 février 1 13 /02 /Fév 07:29

Numéro 13 31 44

        Maître Michael avait donné rendez-vous le mardi matin pour changer de cadenas à cause des futurs examens du slave. Je me connectais avant de devoir réaliser un nouveau lavement. J’avais, au préalable, sorti du congélateur la clé du cadenas pis dans un bloc de glace et préparé un cadenas en plastique numéroté. Après s’être salué le master commandait de lancer la web-cam. Je m’exécutais et il demandait de présenter la nouvelle obturation avec son numéro. Il réalisait le premier cliché. Le Maître ordonnait que je recule un peu et il prenait un nouveau cliché de la prison de mon malheureux pénis.

 01 - Cadenas - D - -.-  02 - Cadenas - D - -.-

        Il me faisait ouvrir le cadenas en place et je le posais sur le bureau. Il me demandait d’ôter la cage qui emprisonnait mon pauvre sexe depuis plus de 6 mois et demi !!! Quel bonheur de l’avoir enfin libre, plus comprimé par ce carcan et le gland maltraité par les pics intérieurs. J’enlevais aussi le cockring et l’anneau du harnais. Une nouvelle photo apparaissait sur l’écran. Je ne pouvais pas contrôler le nombre de photographies prises et je maudissais intérieurement le Master d’en réaliser autant ! Il m’autorisait enfin à me masturber. Avec bonheur et satisfaction, je prenais mon pénis en pleine main et je débutais des vas et viens. J’allais pouvoir me vider enfin les couilles ! Je sentais, dans ma main, ma verge se gonfler et se raidir. J’appréciais de plus en plus. Mon jus commençait à monter doucement mais sûrement quand il ordonna de stopper la masturbation. Avec difficulté et frustration je m’exécutais à contre cœur. Un nouveau cliché de mon malheureux sexe en érection apparu à l’écran !

 03 - Cadenas - D - -.-  04 - Cadenas - D - -.-

        Je suppliais en vain le master de continuer la masturbation. À la place, il ordonnait que je remette le cockring caoutchouté en place. Je faisais passer mes testicules dans l’anneau. Avec grande difficulté, j’introduisais mon sexe dans l’orifice. Maître Michael commandait alors de reposer la cage sur mon malheureux phallus. Malgré mes supplications de me masturber et de me vider au préalable, le master faisait sourde oreille. Avec encore plus de difficulté j’essayais de tordre mon sexe pour le rentrer dans son carcan. Quand il fut en place le Maître demandait de poser la nouvelle fermeture numérotée ! À contre-cœur, je m’exécutais et je refermais définitivement cette nouvelle prison sur mon sexe avec une érection contrarié par ce carcan. Mon malheureux gland était de nouveau empalé sur les pics ! Après avoir pris de nouvelles photos, le Master autorisait que je me rende à la salle de bain pour réaliser le lavement. Avant de se quitter, il commandait que je prenne le numéro en gros plan et que je publie les photos réalisées dans le rapport.

 05 - Cadenas - D - -.-  06 - Cadenas - D - -.-

07 - Cadenas - D - -.-

 

        Merci Master pour ce nouveau cadenas.



        PS : Je prie les visiteurs de bien vouloir m’excuser pour le retard dans la publication des rapports. J’avais prévenu mes Maîtres que j’allais prendre du retard car j’avais 10 jours très chargés. Les rapports seront mis à jour dans la semaine avec une publication par jour. Je remercie tout le monde pour leur compréhension.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Consignes des Maîtres - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 29 janvier 7 29 /01 /Jan 07:40

Le mercredi 25 janvier :

38---Bureau---D----.-.jpg        Une nouvelle fois, je passais une nuit d’enfer et de torture ! Le plug N°04 avait joué avec son hôte et le premier anneau ! La cage de chasteté avait torturé mon pauvre pénis et ses pics s’étaient amusé à empaler mon malheureux gland ! Depuis un certain temps, j’étais éveillé en cherchant le sommeil que je ne retrouvais pas à cause des supplices que je subissais…. N’en pouvant plus, je me décidais à me lever. Je buvais un bon expresso pour me réveiller et je passais à la salle de bain. Je faisais ma toilette. Je me rasais de près et je prenais une bonne douche en réalisant un grand nettoyage de la cage et de son prisonnier. Je remettais les attributs du slave, le harnais, le collier et le plug N°04 car j’avais pris mon après-midi pour me rendre à la sépulture d’une amie intime décédée samedi soir. La cérémonie se faisant dans son village à plus de 100 kilomètres de mon domicile. Comme je devais prendre ma voiture, c’est pourquoi je choisissais cet invité contraint et forcé.

        Il fallait, en conséquence, que je réalise la corvée hebdomadaire impérativement dans la matinée. Je m’habillais avec un jeans sombre, un maillot de corps, un sous-pull, un pull à col roulé, une paire de chaussette propre et je me39---Bureau---D----.-.jpg chaussais avec des baskets. Je me connectais un instant pour saluer mes Maîtres et leur rappeler mon absence. Je saluais Maître Michael qui était en ligne et je lui souhaitais une excellente journée. J’enfilais mon bonnet, mon écharpe, une veste sombre et des gants. En ouvrant les volets j’avais regardé la température extérieure. Il faisait – 8°C vers 08h00 du matin. Comme je devais me rendre en montagne pour l’enterrement, je craignais que les températures soient encore plus sibériennes. J’emportais en plus, dans un sac, un pull supplémentaire au cas….

        Je fermais mon domicile et je descendais par l’ascenseur. Lorsque les portes s’ouvrirent au rez-de-chaussée, une vague de froid s’abattait sur moi. Il allait me préparer au froid glacial qui me gifla quand je sortis. Il y avait un petit blizzard. De petites billes de glace cinglaient mon visage comme autant d'aiguilles qui venaient perforer les parties du corps non protégé par un vêtement. Je me pressais pour me rendre à ma voiture qui était blanche de givre. Je démarrais le moteur et j’allumais le chauffage au maximum. Je branchais le dégivrage arrière et je prenais un racloir. Je refermais la 40---Bureau---D----.-.jpgportière et je grattais le pare-brise, les vitres des portières et le haillon arrière. Ce froid polaire avait, pour un temps, calmé tout le petit monde en moi ! Terminé, je grimpais dans ma voiture, content de fuir les froidures cinglantes ! Je me rendais au bureau comme cela j’aurai mon véhicule à midi pour partir rapidement. Je m’étais aussi préparé un petit casse-croûte pour me restaurer avant de prendre la route.

        Je me garais et je saluais les premiers collègues présents. Je déposais ma collation dans le réfrigérateur de la salle commune. Je gagnais mon poste de travail toujours congelé car mon véhicule n’avait pas eu le temps de se41---Bureau---D----.-.jpg réchauffer comme le bureau est près de mon domicile. Le temps que mon PC se mette en marche, comme les cancres à l’école, je m’appuyais contre le radiateur bien chaud. Doucement, une chaleur bienfaitrice envahissait mon être. Cette douceur eu comme conséquence, de réveiller mon invité qui se remettait progressivement à jouer avec ma petite fleur et l’anneau à faire ses exercices de gymnastique sur la première boule ! Les pics de la cage en faisaient autant ! Ils empalaient mon malheureux gland ce qui l’excitait et provoquait une érection contrariée de mon pauvre pénis.

42---Bureau---D----.-.jpg        Je me décidais à poser ma veste, mon bonnet et mon écharpe sur le dossier de mon siège. Mes gants, je le déposais sur le radiateur. Quand je les prendrai pour partir, j’apprécierai la chaleur qui régnera en enfilant mes mains. En m’assaillant sur mon fauteuil, je sentis le plug exciter un peu plus ma petite fleur et son anneau. Mon trou ne cessait de pousser ! Je faisais mon possible pour ne pas gémir et ne pas alerter les collègues ! Je vérifiais le téléphone portable dans la poche frontale de ma sous-veste que je boutonnais pour cacher les boucles et les sangles du harnais. Je recherchais le marqueur au fond de mon dernier tiroir et je le mettais en attente dans la seconde poche frontale. J’avais sur moi les ustensiles nécessaires à la corvée hebdomadaire. J’attendais d’avoir envie d’uriner pour me rendre aux toilettes et que mon petit monde accepte de se calmer un tant soit peu.

        En milieu de matinée, n’ayant toujours pas envie d’uriner mais voyant les aiguilles de l’horloge tournées et ne voyant personne à l’horizon, je me décidais à me rendre aux toilettes hommes pour exécuter mon labeur hebdomadaire. Je maudissais de devoir réaliser toutes les semaines,43 - Bureau - D - -.- cette besogne de plus en plus dégradante qui donne des commentaires tout autant rabaissant et déshonorant. Je vérifiais une dernière fois les alentours et ne voyant personne à l’horizon, je me décidais à me lever.

        Je refermais la porte à clef derrière moi. Je posais sur le bord du lave-mains le feutre indélébile et le téléphone. Je commençais à me déshabiller à contre cœur et je déposais les vêtements pliés sur le rebord du lavabo. Lorsque j’enlevais mes chaussures, en posant les pieds sur le carrelage, je sentis le froid traverser mes chaussettes et glacer la plante des pieds. J’achevais de me dévêtir en déposant mes 44 - Bureau - D - -.-affaires. Je terminais par mes chaussettes que je mettais en attente avec le reste de mes habits. En posant les pieds nus sur le carrelage gelé, je sentis mes pieds, mes mollets et mes jambes se frigorifier. Un frisson glacé secoua tout mon corps.

        Je prenais le marqueur et assis sur le bord des toilettes, après avoir relevé le couvercle et la lunette, j’inscrivais la date du jour soit : "Le 25 - 1". J’écrivais un peu moins petit que la semaine précédente en espérant que cela conviendrait à mes Masters et Maître Phénix. Plus je dois noter gros avec ce feutre et plus il m’est difficile d’effacer l’inscription ! Devoir réaliser cette prestation chaque semaine est déjà humiliant, frustrant et dégradant mais ce feutre augmente d’autant plus cette humiliation et ce déshonneur ! À L’idée que je dois aussi réaliser un reportage photo, un frisson de honte et d’avilissement parcourut de la tête aux pieds. Je devais accélérer le mouvement pour éviter tout quiproquo avec mes collaborateurs. J’aurai tout le temps ensuite, lorsque je serai assis derrière mon bureau ou dans ma voiture, pour maudire et être frustré de ce labeur. Je prenais le téléphone et je photographiais la date du jour.45 - Bureau - D - -.-

        Je sentais les pics continuer à empaler mon pauvre gland. Je pensais qu’en vidant ma vessie, je calmerai ce petit monde. Je m’assaillais sur la cuvette en faïence. Je ressentis de suite le froid glacer mes petites fesses ce qui excita un peu plus l’hôte de ma rondelle. Mon trou se mit à pousser et l’anneau monter sur la seconde boule. Étant arrivé presque à la moitié, il redescendait entre les deux en attendant de recommencer ce petit mouvement d’éducation physique dégradant ! J’en profitais pour ouvrir le robinet et vidanger le plus vite possible la réserve tout en continuant le reportage photos. La vessie vidée, je séchais le bout de la cage pour éviter au maximum toute fuite. Les picots ne s’étaient pas calmer pour autant ! Après avoir immortaliser le convive bloqué par le harnais, je faisais de même pour la prison et son misérable locataire qui débordait par les quelques trous de sa cellule.

46 - Bureau - D - -.-        Je priais en moi-même pour que mes Masters acceptent et décident de vidanger mes malheureux testicules. Je roulais mes chaussettes comme demandé par les commentaires. J’ouvrais ma gueule et j’enfournais un peu ce bâillon. Je serrais un peu les dents pour les tenir. Je terminais les derniers clichés de pieds avec le harnais, les chaussettes, de face et avec la cage. Quand j’estimais avoir tous les clichés nécessaires pour illustrer mon miséreux labeur hebdomadaire ! Je me rhabillais en débutant par mes chaussettes. Je continuais par mon maillot de corps et mon sous-pull. J’enfilais mon pantalon pour enfiler mes chaussures et je terminais par le pull à col roulé. Je prenais ma sous-veste et après l’avoir boutonné, je rangeais dans les poches frontales, le téléphone et le maudit marqueur. J’espérais qu’en ayant écris un peu plus gros, mes Masters et les visiteurs seraient satisfait et que cela leur suffirait. Je baissais la lunette et le couvercle des toilettes. Je tirais la chasse d’eau. Je me rinçais les mains et je me les séchais. Je vérifiais que je n’oubliais rien et j’ouvrais la porte.47 - Bureau - D - -.-

        Je sortais discrètement et après avoir jeté un coup d’œil, je regagnais mon poste de travail. En marchant, je sentais de nouveau le gland s'empaler sur ces maudits pics. Il était tellement excité par ces pervers qu’il provoquait une érection contrariée par cette prison. J’avais tellement envie de retourner aux toilettes me masturber mais cette geôle me l’interdisait ! Par contre, pour comble d’humiliation, je sentis une goutte couler le long de ma jambe. Certainement un restant d’urine qui daignait sortir un peu tard ! Le plug se remettait, lui aussi, à jouer avec ma petite fleur. Je ressentais mon trou pousser et l’anneau monter sur ce convive extravagant qui était bloqué par le harnais et ses bretelles. Contrairement à la ceinture, il ne pouvait pas prendre du jeu avec ce harnais. Cette camisole a cet avantage qu’il ne bouge pas et ne prend pas de mou, ce qui évite d’exciter encore plus le convive en place et ses hôtes.

        Je retrouvais mon bureau et je reprenais place dans mon fauteuil. En m’assaillant, j’immobilisais un peu plus l’intrus mais cela ne l’empêchait pas de 48---Bureau---F----.-.jpgse divertir avec les boules de plug. Je craignais de regretter le choix de ce convive pour la cérémonie de l’après-midi. Mon malheureux gland continuait aussi à être martyrisé et à être empalé par les pics qui ne faisaient que l’exciter un peu plus…. Je devais me concentrer sur mon labeur et oublier un temps soit peu tout ce petit monde qui ne demandent qu’à se divertir…. J’ouvrais le dernier tiroir pour cacher, sous mes dossiers, le marqueur malfaisant ! Je terminais le dossier en cours avant de me restaurer et de prendre la route.

 

        J’espère que mes Masters et les visiteurs seront satisfait que j’ai écrit la date un peu plus grand et que cette grosseur de lettres et chiffres leur conviennent. Je remercie aussi mes Maîtres qui me font évoluer dans la soumission et l’obéissance.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Labeurs Journaliers - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 27 janvier 5 27 /01 /Jan 12:10

À l’hôpital :

01 - Doppler - D - -.-        Le lundi 23 janvier, j’avais rendez-vous à l’hôpital pour un doppler des artères. Après renseignements, j’avais informé mes Maîtres que je devrais être en sous-vêtements. Ils m’avaient donné leurs instructions publiées le vendredi 13 janvier sous la rubrique "Les consignes". Comme toutes les nuits j’avais fait des cauchemars en alternance avec des insomnies à cause des invités ! Le plug n’avait cessé de jouer avec la petite fleur et son anneau. Mon malheureux gland de se faire empaler par les pics de la cage, ce qui l’excitait et provoquait des érections contrariées par cette dernière ! Je me levais crevé avec une frustration grandissante, un peu plus chaque matin. Une impatience grandissante m’envahis, chaque matin, un peu plus avec une obsession croissante de faire tomber cette maudite prison, de pouvoir me masturber et finalement jouir afin de vidanger mes malheureuses couilles débordantes.

        Je me faisais un café en espérant que ce tourment cesse un temps. Je passais à la salle de bain où je prenais une bonne douche 02 - Doppler - D - -.-et je faisais un nettoyage à fond de la geôle. Après m’être séché, je repositionnais les attributs du slave. Je me connectais pour saluer mes Masters. Seul Maître Michael était en ligne ce matin. Je discutais un bref moment avec lui et nous nous saluions en nous souhaitant une bonne journée réciproquement. Je m’habillais pour partir suffisamment tôt afin de me préparer dans les toilettes du centre hospitalier. Dès que le plug N°04 a été remis en place, il se remit à 03 - Doppler - D - -.-jouer avec ses hôtes et la cage en fit autant avec son prisonnier. J’enfilais mon bonnet, mon écharpe, ma veste et mes gants. Je partais 40 minutes en avance de chez moi pour me rendre à l’hôpital.

        Quand je sortais de mon domicile, un froid sibérien cinglait mon visage. Ma voiture était couverte de givre. Je démarrais mon véhicule. Je branchais le chauffage au maximum. Je prenais une raclette et je grattais la glace sur les vitres et le par-brise de ma voiture. Heureusement que j’avais pris de la marge car la circulation était intense à cause du froid glacial qui régnait, -8°C à –12°C ce matin ! La froidure régnante avait provoqué la fermeture provisoire de certains tronçons de lignes de bus ce qui provoquait une augmentation, non négligeable, de la circulation. Elle avait aussi calmé pour un temps tous mes convives !

        J’arrivais enfin à destination en mettant plus du double du temps habituel. Lorsque je rentrais dans le hall, il ne me restait moins de 5 minutes. Je passais rapidement dans les toilettes pour 04 - Doppler - D - -.-enfiler le short blanc et ôter tous les attributs du slave. Je les rangeais dans ma sacoche et je montais à ma consultation. La secrétaire m’attendait. Elle prit ma carte pour remplir mon dossier et je passais un instant dans la salle d’attente. Lorsque l’infirmière était venue me chercher un malaise envahissait tout mon être ! C’était une des soignantes présentes en cardiologie lors de la pose du MAPA fin novembre. Elle me souhaitait ses meilleurs vœux 05 - Doppler - D - -.-avec un grand sourire. Je les lui rendais mais moins enthousiaste ! Mon cœur se mit à battre de plus en plus rapidement et je sentais le sang affluer à la tête ! Je devais rougir comme une tomate bien mûre ! De tout mon corps, un grand malaise transparaissait.

        Elle me faisait entrer dans une pièce de consultation où un très jeune médecin travaillait à son bureau. L’infirmière m’expliquait comment l’examen se déroulerait avec un petit sourire en coin. Elle m’invita à me déshabiller et me mettre en sous-vêtements en me montrant une chaise près de la porte pour poser mes affaires. Pendant ce temps, elle échangeait avec le docteur. J’accrochais ma sacoche et je me déshabillais en rangeant mes vêtements pliés dur le dossier du siège. J’allais ôter mes chaussures pour déposer mon pantalon lorsque l'infirmière sortit de la salle. Je terminais de me dévêtir et je m’assaillais sur le bord du fauteuil en attendant le début de l’examen.

        Le praticien devait avoir moins de 30 ans ! Il avait les traits fin, un visage ovale et de fines mains. Mon palpitant battait de plus 06 - Doppler - D - -.-en plus rapidement ! Une angoisse incompréhensible emplissait tout mon corps. Je me sentais de plus en plus mal à l’aise et un sentiment de frustration emplissait mon être. L’échographiste se leva et vint me saluer en s’excusant de l’attente. Il m’invitait à m’allonger sur la table d’auscultation et m’expliquait qu’il allait réaliser une échographie des artères de mes hanches, de mes jambes et de mon coup. Le temps qu’il prépare son matériel il fit la réflexion que ce n’était pas nécessaire de me raser complètement pour cet examen ! La séance débutait sous de mauvais augures ! Je commençais à être mal à l’aise et je détournais la tête.

        Il lubrifiait abondamment sa sonde et débutât son travail par les hanches. Il re-lubrifiait son appareil et continuât par la jambe droite qu’il demandât de plier légèrement pour la poser correctement sur la table. Il commençait par l’aine en remontant le short un maximum. Heureusement la cage se trouvait sur l’autre cuisse !  Il descendit tout le long de la jambe en suivant l’artère. Mon palpitant qui s’était, un temps calmé, se remit à s’accélérer ! Quand il eut terminé, il m’avertit qu’il passait sur l’autre jambe, en demandant de la 07 - Doppler - D - -.-positionner de la même manière, tout en lubrifiant son appareil.

        Je m’exécutais et discrètement, je tirais sur le seul vêtement qu’il me restait pour dissimuler un minimum la geôle. Mes craintes n’allais pas tarder à se réaliser ! Ma jambe gauche était légèrement plié et posé sur la table. J’évitais de regarder le médecin tellement mon mal-être augmentait. Pour continuer, il relevât, comme précédemment, le short et la cage apparut dans toute sa splendeur. Mon palpitant battait à tout rompre et voulait s’enfuir de la cage 08 - Doppler - D - -.-thoracique où il était, lui-même, emprisonné ! Un grand sourire narquois rayonnait son visage. Il me demandait :

  • -    "Très joli votre cage de chasteté…. C’est une maîtresse ou un maître qui vous l’a posée ? Je ne veux pas vous mettre mal à l’aise si cela vous dérange !"

     C’était trop tard ! Non seulement je me sentais mal et attendais un instant pour lui répondre, le temps de me calmer un peu. 09 - Doppler - D - -.-Honteux, humilié et frustré, je lui répondais avec angoisse et mal-être mais, tout de même content, que l’infirmière soit partie !

  • -    "Ce n’est que mon amie qui la met lorsqu’elle doit s’absenter…. 
  • -    Pas très sympa de sa part, vous ne pouvez plus vous masturber…. Vous devez d’autant mieux apprécier lorsqu’elle revient et vous l’enlève ?
  • -    Tout à fait ! Heureusement ce n’est que ponctuel et elle ne l’a met que de temps en temps….
  • 10 - Doppler - D - -.--    Vous êtes mal à l’aise ? Je vois votre cœur s’emballer ! Il n’y a pas de quoi avoir honte !
  • -    Non, pas du tout !"

        Ma réponse ne dut pas le satisfaire car il eut un sourire encore plus large et qui voulait en dire d’autant plus que tout ce qu’il aurait pu prononcer ! J’étais suffisamment humilié, frustré et avilis par cet échange que je ne savais plus quoi répondre. Ne pouvant  plus lui révéler la vérité, je continuais dans mon mensonge. Le 11 - Doppler - D - -.-praticien dut s’en apercevoir aussi car, à ma grande satisfaction, il continua son travail sans mot dire mais le mal était fait ! Je craignais qu’il en parle ensuite à l’infirmière à qui j’avais répondu à peut près la même chose. Il termina son examen par mon coup. Il me positionnait la tête pour réaliser la fin de son travail.

        Quand il a eu terminé, il me donnait du papier absorbant pour que je m’essuie. Il m’autorisa à me rhabiller pendant qu’il m’expliquait le résultat de son expertise. Il terminait en rédigeant une prescription pour 12 - Doppler - D - -.-réaliser un nouveau scanner en injectant un produit que je devrais au préalable retirer en pharmacie. Il en faisait une seconde pour une prise de sang, une semaine avant cet examen. Je terminais de me vêtir, content mais tout au tant frustré, dégradé et déshonoré ! Il me tendais les deux prescriptions en me disant :

  • -    "Continuez à bien vous amuser avec votre amie…. Il n’y a pas de mal à se faire du bien, monsieur. Au plaisir et bonne journée….
  • -    Bonne journée docteur."

13 - Doppler - D - -.-        Sur ces mots, mon cœur s’était remis à battre la chamade et je sentais le sang affluer au visage ! Je lui tournais le dos pour éviter qu’il s’en aperçoive après lui avoir serré la main. Je m’enfuyais de ce service honteux, humilié et frustré une nouvelle fois ! Je descendais prendre rendez-vous au scanner. Je demandais à la secrétaire si c’était possible de réaliser cet examen en même temps que celui déjà programmé. Après vérification, elle m’annonçait que ce n’était pas possible car le médecin qui était programmé pour mon premier scanner n’était pas habilité à réaliser celui-ci. Elle me présentait donc une nouvelle date. La première qu’elle pouvait me proposer était le lundi 27 février à 14h30. Je devrais être à jeun depuis plus de 4h00, soit prendre mon déjeuner avant 10h00 car, après 10h30, je n’aurais plus le droit de manger quoi que ce soit.

        Je la remerciais et je me dirigeais vers les toilettes du rez-de-chaussée. Elles étaient toutes occupées. J’allais faire un tour dans le hall avant de revenir les inspecter. Il y en avait une de 14 - Doppler - D - -.-libre et je m’empressais à rentrer. Je refermais la porte à clef et je vérifiais la condamnation de celle-ci. Je sortais tous les attributs du slave que je posais sur le bord du lave-mains et le harnais sur le sol. J’accrochais les vêtements aux patères contre la porte. Je me retrouvais enfin en short blanc que je redescendait pour cacher un peu la geôle et je prenais les premiers clichés avec le téléphone posé sur le lavabo.

        En posant les pieds sur le carrelage, j’avais ressenti le froid monter par la plante des pieds dans mes jambes. Une envie d’uriner s’en suivit ! Pour une fois que je me retrouvais sans attribut, j’en profitais ! Je levais le couvercle des toilettes et, à contre cœur, la lunette. Je m’assaillais et je vidais ma vessie tout en photographiant comme mes Masters me l’avaient, précédemment, commandés. Terminé, je refermais le collier autour du coup et j’enfilais le harnais sans l’attacher à l’anneau-cockrnig. Je devais au préalable mettre en place le plug N°04.

        Je le lubrifiais. Je posais le portable à terre et je 15 - Doppler - D - -.-m’accroupissais. Je prenais une photo de ma petite fleur avant de lui présenter son visiteur. Tout en le faisant pénétrer, je réalisais de nouveaux clichés. Lorsqu’il buttait contre l’anneau, je forçais la pression et il gobât la première boule. Mon trou en faisait autant avec son invité. Je positionnais et je fermais le bloc-plug du harnais à l’anneau. Je prenais un dernier cliché du convive immobilisé. Je boutonnais le devant du harnais avec son cockring. Je recommençais à sentir mon gland empalé sur les pics de sa prison et le nouvel hôte jouer avec l’anneau et sa petite fleur…. Je maudissais pour la énième fois les instructions de mes Maîtres et les commentaires des visiteurs qui réclament des rapports photographiques complets !

        Je réalisais donc, de nouveaux clichés de pieds avec le harnais. Je faisais de même avec la prison de mon malheureux pénis. Enfin terminé, je me rhabillais en oubliant le short blanc que je rangeais dans la sacoche avec le lubrifiant et la clef du collier. Je déposais, dans la poche frontale de ma sous-veste, mon téléphone 16 - Doppler - D - -.-portable avec, à regret, le reportage photographique. Avant de sortir, je baissais la lunette et le couvercle des toilettes. Je tirais la chasse d’eau. Je me lavais les mains et je me les séchais. Je vérifiais que je n’oubliais rien et j’ouvrais la porte. Heureusement que je n’avais pas été dérangé, personne n’attendait et pouvait s’imaginer ce qui venait de se dérouler dans ces toilettes publiques….

 

        Merci à mes Master pour cette nouvelle étape bien que je me sois retrouvé humilié, frustré et avilis d’avoir été ainsi exhibé devant un nouveau médecin ! J’essayais de ne pas trop maudire mes Maîtres et les commentaires des visiteurs qui imposent de plus en plus de servitudes…

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Les Consignes - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 23 janvier 1 23 /01 /Jan 07:31

De Master Phénix :

 

Reçu le lundi 9 janvier 2017 à 11h01 :

  • OBJET :  Corvée hebdomadaire :


   Bonjour Master Éric et Maître Michael,

     Votre sous-merde est un vrai poète ! Je vous souhaite aussi mes meilleurs vœux pour cette nouvelle année et de continuer à bien éduquer votre salope.
     Votre bâtard a du apprécier d’avoir les couilles entravées. Opération à renouveler !
     À mon grand regret, je constate que votre pute va à l’économie avec son marqueur ! Il a pourtant de belles cuisses et devrait en profiter pour l’utiliser en totalité…. En comparant les écritures entre le 21 décembre et le 4 janvier, la taille des lettres et chiffres ont beaucoup diminuées ! Il a pourtant bien démarrer l’année avec son nouveau feutre indélébile. Ce serait encore mieux s’il continuait à écrire en gros caractères pour utiliser sa cuisse dans toute sa largeur.
     Prochainement, il pourra passer :

  • ·    À la deuxième étape, écrire en toutes lettres la date du jour (ex : Mercredi 04 – 01).
  • ·    Deux à trois semaines plus tard, passer à l’étape suivante, utiliser les deux cuisses (ex : 1ère cuisse : Le Mercredi 4 - 01, 2ème cuisse : Le 4 janvier 2017)

     Et ce, en utilisant bien toutes ses cuisses et pas en caractères minuscules comme il vient de faire début janvier.

 
     Master Phénix.
 

 

Reçu : le Mardi 17 janvier 2017 à 09h39

 

  • OBJET :  Rapport hebdomadaire du mercredi 11 janvier.


   Bonjour Master ERIC et Maître MICHAEL,
     Je me permets de vous interpeller, au sujet de votre sous-merde, pour son dernier rapport de son exercice hebdomadaire, sur deux points : 

  1.         Votre salope reconnaît écrire le plus petit possible sur ses cuisses ! Certainement pour avoir plus de facilités pour ensuite l’effacer alors que ce devrait être son dernier souci ! C’est pourquoi, je consens à vous alerter sur ce sujet et de lui imposer une écriture la plus grande possible. Ce serait l’occasion de passer à la deuxième étape de la progression que je vous proposais en décembre, que vous avez publié le vendredi 23 décembre et que vous avez validé. D’écrire en toutes lettres : "Le Mercredi XX 01". Puis, le 1er mercredis de chaque mois, de passer à l’étape suivante du perfectionnement que je vous soumettais à l’époque.
  2.            Pour ses chaussettes, il est regrettable que votre bâtard les change le mercredi matin ! Il devrait garder celles portées depuis le lundi. Avec le froid actuel, ce n’est pas un problème et encore moins le sien ! De plus, il reconnaît les tenir seulement au bout de ses dents ! Alors que la sous-merde devrait en faire un bâillon bien serré et le fourrer un maximum dans sa gueule de pute ! Elles ne devraient pas dépasser ! Sa tronche doit être leur seul support dès qu’il les enlève ! Elles n’ont rien à faire avec ses vêtements.

     Votre pute s’est enfin rasé  les jambes. On ne voit plus ses poils. Il me semblait bien qu’il ne se soit pas rasé depuis un certain temps. Un bon progrès, Enfin !


     Master Phénix

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Commentaires - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 21 janvier 6 21 /01 /Jan 15:12

Du mercredi 18 janvier 2017 :

28---Bureau---D----.-.jpg        J’arrivais au bureau frigorifié par l’épreuve des toilettes. Je saluais les collègues déjà présents et je me rendais à mon bureau. Je faisais un détour à la salle commune pour prendre un café bien chaud. Je gagnais mon poste de travail et je lançais mon PC. Pendant qu’il se mettait en marche, je me collais au radiateur. Je buvais mon café en même temps pour arriver à me réchauffer un peu. Au bout d’un certain temps, sentant la chaleur revenir, je commençais à enlever les premières couches d’oignon. Je posais sur le dossier de mon fauteuil, ma veste, mon bonnet, mon écharpe, mes gants et je me mettais au travail.

        Progressivement je sentais la chaleur gagner tout mon corps. Au fur et à mesure que je me réchauffais, mon invité en faisait autant et commençait à jouer avec l’anneau et la petite fleur. Mon pénis en profitait aussi et le gland recommençait à être empalé par les pics de la cage ce qui l’excitait et faisait gonfler mon phallus 29---Bureau---D----.-.jpgcontrarié par cette dernière ! Je bougeais un peu sur mon siège en espérant calmer ce petit monde incontrôlable.

        En pensant à la corvée qu’il me restait à réaliser, je vérifiais que le téléphone était bien dans la poche frontale de ma sous veste. Je cherchais au fond de mon dernier tiroir le marqueur que j’avais caché à contre cœur et je le rangeais dans la seconde poche frontale. Je pourrais me rendre aux toilettes lorsque j’aurai besoin de vidanger ma vessie. En attendant que l’envie ne vienne, je continuais mon labeur. L’attente ne fut que de courte durée ! Le café et le froid aidant, très vite le désir d’uriner arriva ! Je contrôlais une dernière fois que tous les outils étaient en place.

        J’allais me lever lorsqu’un collègue me devança et se rendit aux toilettes. Je continuais mon travail comme je pouvais car plus 30 - Bureau - D - -.-je me réchauffais et plus mes hôtes prenaient leurs aises…. Un moment plus tard, le collaborateur regagnait son bureau. J’attendais encore quelles que minutes avant d’inspecter les alentours, que personne n’était en vue. La voie semblait être libre et je me décidais à me lever. Sans enthousiasme, je me rendais aux toilettes sachant la corvée que je devais réaliser une nouvelle fois ! Je refermais la porte à clef derrière moi et je 31 - Bureau - D - -.-vérifiais le verrouillage. Je posais le téléphone et le marqueur sur le bord du lave-mains. Je commençais à me déshabiller pour la troisième fois en un peu plus de deux heures ! Je rangeais mes vêtements en les pliant sur le bord du lavabo.

        Quand je me déchaussais et que je posais les pieds au sol, je ressentis de suite la froidure 32 - Bureau - D - -.-du carrelage. Je me remémorais avec anxiété le froid sibérien lors de la pose des attributs du slave aux toilettes de la galerie marchande. Un frisson me parcourut de la tête aux pieds juste en me rappelant cette besogne contraignante. À ce moment là, une personne essaya d’ouvrir la porte. Il frappa à la porte pour demander si j’en avais pour longtemps. Mon cœur se mit à battre la chamade et je me sentais vraiment très mal à l’aise. Je maudissais cette corvée hebdomadaire qui me prend du temps à réaliser. Je lui répondais que certainement car j’avais des problèmes de transit…. Je l’entendis entrer et fermer la porte voisine. Je devais essayer de réaliser cet asservissement le plus rapidement possible. J’enlevais en dernier mes chaussettes et je ressentis un peu plus la froideur du revêtement du sol. Je les mettais en attente sur le bord du lavabo avec le reste des habits. Je prenais le marqueur et j’inscrivais sur ma cuisse gauche, le moins gros possible, la date du 33 - Bureau - D - -.-jour soit "Le 18 / 01". Je pensais aux difficultés pour enlever cette inscription et je trouvais que j’avais écris encore trop gros. Avec l’ancien feutre ce n’était pas un problème mais avec celui-ci c’était difficile d’écrire très petit et encore plus de faire disparaître celle-ci. Je maudissais le Master qui avait proposé ce matériel ! Ce, n’est pas lui qui devait effacer ce graffiti ! Même écrit petit, ce n’était pas facile !

        Je prenais le téléphone pour réaliser le premier cliché tout en maudissant les instructions de plus en plus humiliantes, dégradantes et avilissantes. Je tendais l’oreille pour vérifier qu’aucune personne ne m’entendait. Je relevais le couvercle et la lunette des toilettes et je m’assaillais sur la faïence à contrecœur. Mes malheureuses fesses nues ressentirent le froid du matériau qui rappela au corps l’épreuve glaciale précédente. Elle provoqua un 34 - Bureau - D - -.-nouveau frisson qui parcourut tout le corps. J’entendis le verrou de la porte voisine s’ouvrir et le collègue sortir. J’avais l’impression qu’elle essayait d’écouter et de s’imaginer ce que je pouvais faire si longtemps enfermer…. J’espérais qu’elle ne pourrait pas échafauder ce qui se tramait derrière cette porte. Mon cœur jouait toujours la chamade et je sentais chaque pulsation défoncer ma cage thoracique. Je devais continuer et surtout précipiter le mouvement !

        J’ouvrais le robinet et je sentais ma vessie se vider. Je prenais de nouveaux clichés toujours autant humiliant. Terminé, je séchais avec du papier toilette le bout de la geôle de mon pauvre pénis. Je prenais une photo de l’invité de ma petite fleur. En me relevant, je sentis les picots de la cage empaler une nouvelle fois mon malheureux gland qui excita de nouveau mon pauvre pénis. Il essayait en vain une érection contrariée. Sachant que mes Masters 35 - Bureau - D - -.-voudraient une preuve, je photographiais cette prison. J’installais le collier autour du cou et je roulais les chaussettes que je positionnais dans ma pauvre bouche. Je prenais de nouveaux clichés en terminant par le harnais que je porte depuis une semaine.

        Lorsque tout était dans la boite, je posais le portable et je commençais à me rhabiller en débutant par les chaussettes. Quand j’avais remis en place toutes les couches d’oignons, je rangeais dans les poches frontales de ma sous-veste, le portable et le marqueur. Je tirais la chasse d’eau, je rebaissais la lunette et le couvercle des toilettes. Je me rinçais les mains et je me les séchais. Je vérifiais que je n’oubliais rien et je déverrouillais la porte.

        Je l’ouvrais discrètement et j’examinais qu’aucun collègue n’était en vue. Je regagnais mon bureau et, intérieurement, je 36 - Bureau - D - -.-poussais un "Ouf !" de soulagement. Je reprenais place dans mon siège et je cachais le marqueur dans le dernier tiroir sous des dossiers. Je devais faire attention que personne ne me l’emprunte et oublie de me le rapporter. Dans ce dernier cas, je devrais au pied levé, en trouver un nouveau comme les Masters ne veulent plus du feutre pour le moment. Je ne désespère pas qu’un jour je serais autorisé à le prendre de nouveau car ce marqueur est vraiment humiliant, dégradant et avilissant tellement il est compliqué d’effacer ses traces. J’essaye bien d’écrire le plus petit possible mais cela n’enlève pas les difficultés à supprimer toutes les traces….

        Une nouvelle corvée de terminé mais jusqu'à quand je pourrais dissimuler les instructions humiliantes, dégradantes et déshonorantes que je dois réaliser chaque semaine dans ces toilettes. Dans la journée le collègue qui m’avait dérangé et était 37 - Bureau - D - -.-allé dans les toilettes voisine, m’avait interpellé et demandé ce qui m’arrivait. Il avait remarqué avec d’autres compagnons, lorsque je me rendais aux toilettes, je mettais de plus en plus de temps. Ils s’inquiétaient sur mon état de santé et me demandaient si je n’avais pas de problèmes ? D’autant plus qu’ils savaient que j’avais de nouveaux examens à faire. J’avais essayé de le rassurer et promis de lui dire si j’avais des complications. Je ne pouvais lui avouer les raisons réelles de mes visites de plus en plus longues aux toilettes bien que j’essaye d’y aller le moins souvent possible.


        Malgré ces déboires, je remercie mes Masters pour la nouvelle étape réalisée, de bien vouloir me suivre et me diriger.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Labeurs Journaliers - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 20 janvier 5 20 /01 /Jan 13:12

Rendez-vous de janvier :

01 - Docteur - D - -.-        Comme toutes les nuits, je faisais des cauchemars et je me réveillais plusieurs fois. Je me levais une nouvelle fois avant l’aube et voyant l’heure nocturne, je me décidais à me recoucher un moment. Bien mal m’a pris car, pour une fois, je m’endormais plus profondément. Je me réveillais en sur-saut et voyant l’heure, je comprenais de suite que j’étais en retard. J’allais 02 - Docteur - D - -.-devoir faire très vite la toilette pour pouvoir me raser complètement car, la veille, Maître Michael avait prévenu que si un seul poil dépassait, il y aurait des sanctions !

        Je me faisais un café bien corsé pour me réveiller et je passais de suite à la salle de bain. Je me rasais la tête, le torse et le pubis. Je regardais les jambes et les bras qui n’en avaient pas besoin. Je passais à la douche après m’être lavé les dents. Il était déjà 07h20 ! Je m’habillais rapidement avec le harnais qui bloquait le plug n°04, le collier et la cage qui était, malheureusement, toujours en place ! Elle continuait à mal-traiter mon malheureux pénis et mon pauvre gland empalé sur ses picots. J’enfilais le boxer blanc comme l’avaient commandé mes Masters. La météo annonçant de grand froid, je mettais plusieurs couche pour me protéger. Je 03 - Docteur - D - -.-prenais aussi le téléphone portable que je rangeais dans la poche frontale de ma sous-veste. J’éteignais mon ordinateur portable que j’avais oublié la veille. J’enfilais rapidement mon bonnet, mon écharpe, ma veste et une paire de gants. Je sortais et j’appelais l’ascenseur.

        Je regardais l’heure et je compris que j’avais du retard. Mon pauvre gland était toujours martyrisé par les picots de la cage et qui empêchait à mon malheureux pénis d’avoir une érection correcte. Le plug s’amusait aussi avec le premier anneau et la petite fleur qui l’accueillait. Je sortais et un blizzard glacial vint cingler mon visage ! Les -8°C ambiants mais en ressentit –12/-13°C calma d’un coup tout mon petit monde pour un certain temps. Je démarrais ma voiture et je réglais le chauffage à fond. Je prenais le grattoir pour décoller la glace sur le par brise et sur les vitres 04 - Docteur - D - -.-des portières. Je m’assaillais et l’invité du côlon, qui s’était calmé un moment, se réveilla et se remit à jouer malgré le froid ambiant. Je démarrais et je partais pour mon rendez-vous. Je prenais encore un peu plus de retard car ma bretelle de sortie était bouché. Je prenais mon mal en patience ! Je défaisais les boucles du harnais et j’ôtais le plug. Je retirais aussi le 05 - Docteur - D - -.-collier. Enfin arrivé au parking, je me garais à l’écart. Je terminais d’enlever le harnais et je rangeais le-tout dans ma pochette. Il faisait un froid de canard malgré le chauffage. Le véhicule n’avait pas eu le temps de vraiment se réchauffer. Heureusement que dans le bouchon, j’avais pu enlever la plus part des attributs de slave. J’arrivais à la consultation avec plus de dix 06 - Docteur - D - -.-minutes de retard. J’entrais et je m’excusais. Le médecin me rassurait alors en me confiant qu’elle avait, elle aussi, été retardé par les encombrements. Le secrétaire arriva sur ces entre-faits. Ce qui me rassura, je n’étais pas seul en retard.

        Je passais directement dans son cabinet. 07 - Docteur - D - -.-Je lui donnais mes papiers puis elle m’invita à me déshabiller. Lorsque je me retrouvais en boxer, elle me remerciait d’avoir une tenue "plus descente !". Je remerciais Maître Michael d’avoir consenti que le slave porte ce sous-vêtement moins humiliant. Elle aperçut tout de même la cage et le cadenas mais heureusement 08 - Docteur - D - -.-elle ne faisait aucune allusion à son sujet. Lorsqu’elle eu terminé, elle m’autorisait à me rhabiller. Je m’empressais à lui obéir pendant qu’elle remplissait le renouvellement de l’ordonnance. Terminé, nous nous saluions et je passais voir le secrétaire pour ma prochaine visite.

        Je regagnais ma voiture dans un froid 09 - Docteur - D - -.-intense. La température extérieure était toujours de –8°C ! Je gagnais le parking de la galerie commerciale et je me rendais aux toilettes avec ma sacoche à l’épaule. Je refermais à clef la porte et je vérifiais sa condamnation. Il ne faisait guère plus chaud qu’à l’extérieur. Je vérifiais la température sur mon 10 - Docteur - D - -.-téléphone qui affichait à peine +11°C. La femme de ménage avait dû ouvrir la porte de secours adjacente un certain temps pour qu’il fasse si froid. Il ne devait pas faire longtemps qu’elle l’avait refermée. La corvée de remettre les attributs du slave allait être plus difficile avec ce froid ambiant glacial ! Je commençais à me déshabiller pour la seconde fois de la journée. Au fur et à mesure que j’ôtais un vêtement, je sentais l’ambiance glacée me refroidir. Je devais enlever mes baskets et quand je posais les pieds sur le carrelage, je commençais à frissonner de froid malgré le port des chaussettes. Le sol n’était pas froid mais gelé ! Je devais accélérer le plus possible le mouvement ! Chaque minute qui passait me glaçait un peu plus et des frissons parcouraient tout mon corps, de la tête aux pieds !

11 - Docteur - D - -.-        J’avais préparé le téléphone sur le distributeur de papier toilette et je prenais les premiers clichés avec le boxer. Rapidement je le retirais et j’enfilais ensuite le harnais pour pouvoir bloquer au plus vite l’intrus dans mon pauvre petit trou. Je le photographiais et je posais le téléphone à terre. Je lubrifiais rapidement le plug et après avoir pris un cliché de la petite fleur, je le faisais pénétrer progressivement dans son garage. Lorsque la première boule butta contre l’anneau, je forçais la pression et il la goba. Ma petite fleur en faisait autant avec son invité. À chaque étape, je prenais une nouvelle photo pour le rapport. Elles deviennent de plus en plus humiliantes, frustrantes et dégradantes ! Je fermais le harnais en 12 - Docteur - D - -.-bloquant l’intrus sur l’anneau cockring et je faisais de même sur la fermeture de devant. Mon malheureux gland, malgré le froid ambiant, était toujours et encore maltraité par les pics de la cage qui l’empalaient ! Je prenais les dernières photographies après avoir mis le collier autour du coup du slave.

        Je posais rapidement le téléphone et j’essayais de me rhabiller encore plus vite que je n’avais enlevé mes vêtements. Je m’empressais à remettre mes chaussures car j’avais de plus en plus froid et je grelottais encore plus. Je craignais d’attraper froid avec l’épidémie de rhume ! Je sentis une goutte perler au bout du nez. Je m’empressais à me moucher et à terminer de m’habiller. Quand j’avais tout revêtu, je rangeais le boxer dans la sacoche et le téléphone dans la poche frontale de ma sous-veste. Je vérifiais que 13 - Docteur - D - -.-je n’oubliais rien et je m’empressais de m’enfuir de ce lieu glacial et inhospitalier.

        Je regagnais ma voiture et je me rendais au bureau. Au passage, je déposais l’ordonnance à la pharmacie où je récupèrerais le soir mes prescriptions. J’avais remis le chauffage du véhicule à fond mais je n’arrivais pas à me réchauffer pour autant. Il me faudrait plusieurs heures pour arriver à retrouver ma température malgré les couches d’oignon que je portais.

        Merci à mes Masters de m’avoir permis de porter le boxer et pour cette nouvelle étape dans l’éducation du slave. Malgré cela, le froid glaciale ambiant avait rendu l’exercice encore difficile, frustrant, humiliant et avilissant.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Chez le Médecin - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 18 janvier 3 18 /01 /Jan 13:38

De Mr Alain 44 :

 

Reçu le samedi /14/janvier/2017 à 02h43 

  • OBJET : Prochaines visites :

Bonjour Master ERIC et Maître MICHAEL,


 J' ai bien reçu le programme des rencontres à visées médicales de votre Larve.

  •   - 18/01/2017 : Dernière visite classique, sur le mode usuel, à la Doctoresse qui attend certainement la Larve avec impatience , pour cette première visite de l'année 2017. Par contre, ce jour là,  la Larve  pensera certainement déjà à sa visite programmée pour 15/02/2017 
  •   - 23/01/2017 : Visite à l' angiologue : la Larve semble avoir décidé de porter le short blanc , à partir de quel moment précis sera t elle autorisée à porter le short ? 
  •   - Pour les visites 3 ( scanner ) et 4 (IRM) ,je préconise que le changement de cadenas soit fait sous surveillance webcam de l' un des Maîtres au moins, afin d' éviter une vidange manuelle inopinée et non autorisée.
  •   - 15/02/2017 : Larve encagée et pluguée chez la Doctoresse. Cela sera une étape importante dans l' éducation de votre sous-merde dans le cadre de ses soirées à venir aux saunas.
  •    - 17/02/2017 : Visite à l' ORL : A ce sujet il est fait mention du harnais,or votre Larve ne l' a jamais mentionné  récemment.

 

  Je vous souhaite bonne réception de ce message,


 Mr Alain44

 


Reçu le lundi 16 janvier 2017 à 20h58

  • OBJET : Exercice hebdomadaire du Mercredi 11 Janvier 2017

Bonjour Master ERIC et Maître MICHAEL,

    Bon déroulement de cet exercice . Le port du harnais complet est une bonne idée car cela amène un supplément d' obéissance lors de ces mercredis. Master PHOENIX avait eu une bonne idée d' imposer l' usage du marqueur .

 Mr Alain44

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Commentaires - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 15 janvier 7 15 /01 /Jan 11:29

Le mercredi 11 janvier :

        Après une nuit toujours mouvementée où je faisais des cauchemars, je me levais de très bonne heure car je devais faire un nouveau lavement. Je buvais un café et je passais à 10---Bureau---D----.-.jpgla salle de bain. Je remplissais d’eau les boyaux. Je serrais les fesses pour garder le liquide le plus longtemps possible. Bien que je le fais depuis des années, c’est toujours aussi frustrant humiliant et dégradant de réaliser tous ces lavages ! Pendant ce temps, je me connectais et je saluais Maître Michael qui était en ligne. À mon grand regret, il m’annonçait de nouvelles instructions pour la journée sur proposition de Mr Alain. Je devais changer la ceinture contre le harnais, insérer dans la petite fleur un nouvel invité et me raser intégralement, en intégrant le récit dans le rapport du jour. Je lui faisais remarquer en vain que mes poils sur les jambes et les bras se voyaient à peine comme ils étaient châtains très clair presque blond. Malgré mes pour-parler, il ne voulut rien savoir et annonçait des sanctions en cas de non-réalisation de cette humiliation. De temps en temps, je devais m’absenter et je me rendais aux toilettes pour évacuer le liquide. Je retournais à la 17 - Bureau - D - -.-salle de bain, je me rasais la tête, et à contre cœur, je continuais par les jambes et les bras. Je terminais par les aisselles. Tout en réalisant cette instruction et en méditant que je devais incorporer dans le rapport ces directives, je ressentais, de plus en plus, des sentiments d’humiliations, de frustrations et d’avilissement. Ils étaient accrus en pensant qu’il avait commandé de photographier chaque étape de la corvée et de les intégrer dans le récit !

        Après avoir pris une bonne douche en faisant un nettoyage à fond de la cage, j’enfilais le harnais. Je choisissais le plug N°06 d’une longueur totale de près de 17,00 Cm, 15,5 Cm insérable, une base de 4,2 Cm et une largeur maximale de 7,00 Cm. Mon petit trou allait souffrir ! Je passais aux toilettes pour vider la vessie et je 12 - Bureau - D - -.-profitais d’insérer dans le côlon, un suppositoire afin de calmer le premier anneau. Accroupi, je graissais le nouveau venu et je le présentais à ma petite fleur. À son contact, il l’ouvrait de plus en plus et vint buter contre l’anneau. Je forçais la pression. Je le sentis s’entrouvrir et monter sur le cône. Pendant ce 13 - Bureau - D - -.-temps, l’anus s’ouvrait un maximum avant de gober ce monstre. Je le bloquais avec le harnais car mon trou poussait et l’anneau jouait avec son nouvel amusement ! À chaque étape, je prenais des clichés à contre-cœur. Terminé, je me relevais et un dernier cliché avec le harnais bloquant ce 14 - Bureau - D - -.-nouvel invité qui explosait ma rondelle et qui s’amusait avec le premier anneau du côlon. Quand tout le monde avait pris sa place, je m’habillais. J’en profitais pour prendre une paire de chaussette propre car je devrai les rouler pour les mettre dans ma bouche. Je n’avais pas envie d’une paire qui avait 15 - Bureau - D - -.-été portée plusieurs jours. C’était suffisamment humiliant et dégradant comme cela ! J’enfilais le maillot de corps et le jeans. Lorsque le pull était passé, je m’apercevais que la boucle de devant du harnais s’apercevait trop. Je prenais la sous-veste que, pour une fois, je boutonnais. Je pouvais ainsi cacher le bourrelet que produisait celui-ci. 16 - Bureau - D - -.-J’éviterai ainsi des réflexions ou des questions déplaisantes ! J’en profitais pour ranger dans les poches frontales le marqueur et le téléphone. Je terminais à peine de m’habiller qu’une nouvelle fuite d’urine s’écoulait le long de la jambe. Ces fuites et ces sécrétions inopinées deviennent de plus en plus frustrantes, humiliantes et 17 - Bureau - D - -.-dégradantes ! L’heure du départ avait sonné et j’enfilais une veste après avoir mis une écharpe au coup et un bonnet pour les froidures extérieur.

18---Bureau---D----.-.jpg        Je sortais et le froid vint cingler le visage mais ne calma pas l’anneau qui montait et descendait sur le nouveau venu ! Je m’apercevais que je marchais un peu en canard avec l’appendice qui obstruait mon malheureux trou. Je faisais alors plus attention à ma démarche pour éviter des remarques désobligeantes. Le froid n’avait pas non plus calmé la cage et ses picots qui venaient s’empaler sur mon pauvre gland excité qui provoquait des érections contrariées. À chaque pas, je sentais chaque pic sur mon malencontreux gland et l’anneau qui jouait avec le nouveau convive. De plus avec les bretelles du harnais, le nouvel intrus était très bien bloqué et le bloc-plug ne pouvait plus prendre de jeux, ce qui évitait de trop exciter la 19 - Bureau - D - -.-petite fleur. C’était le seul avantage par apport à la ceinture qui arrivait à bouger, à prendre du jeu ce qui augmentait l’excitation du trou et de ses habitants qui, par-là même, était toujours aussi humiliant frustrant et désagréable. Je souhaitais que cet immobilisme atténue les sécrétions fortuites. Je devais juste faire attention à ma démarche comme le plug ne pouvait plus avoir de jeu dans son nouveau harnachement. Je devais juste boutonner la sous-veste pour mieux dissimuler la grosseur sur le ventre et très certainement dans le dos. J’arrivais enfin sur le lieu de travail et je commençais par saluer les quelques collègues déjà présents. Arrivé à mon bureau, je posais ma veste, l’écharpe et le bonnet sur le dossier du fauteuil. En m’assaillant, je sentais un filament humide s’accrocher sur le devant de la cuisse. C’était la première sécrétion de la journée ! Contrairement aux autres jours où elles démarraient dès le saut du lit et ce, grâce au harnais qui empêchait de prendre du jeu. Il permettait au plug en 20---Bureau---D----.-.jpgplace de stimuler encore plus le côlon et à la cage d’exciter mon pauvre pénis emprisonné. Comme il était bien bloqué et n’avait pas de jeu, il bougeait que très peu quand je voulus m’asseoir et me mettre au travail. Si le harnais est un peu plus contraignant, parfois je dois bouger légèrement les bretelles qui endolorissent mes omoplates, il évite à l’invité d’exciter mon anneau. Mon petit trou allait rester plus calme tout au long de la journée. Cela m’évitera des situations ambiguës et déplaisantes.

        Je savais que le matin nous serions peu présent car était programmé pour le soir une réunion et pour suivre, une rencontre avec le tirage des rois. J’allais donc profiter de cette matinée tranquille pour exécuter cette corvée hebdomadaire. J’attendrais d’avoir besoin de vider ma vessie. C’est ce qui arriva en milieu de matinée. Je vérifiais que personne n’était en vu et que tout le 21 - Bureau - D - -.-matériel était en place dans les poches. Je pouvais me rendre aux toilettes. Je refermais la porte à clef derrière moi et je posais sur le lave-mains le mobile et le marqueur. Je me déshabillais et je posais sur le bord du lavabo mes vêtements pliés. Lorsque j’enlevais les chaussures, je sentis le froid du carrelage à 22---Bureau---D----.-.jpgtravers mes chaussettes. J’attendais d’être complètement nu pour me décider à les ôter. Je les posais un instant avec mes affaires. Je relevais le couvercle et la lunette des toilettes, je prenais le marqueur et je m’assaillais sur le bord de la cuvette. Je notais la date du jour sur ma cuisse gauche soit le "Le 11 - 01" en faisant attention de ne pas faire de trop grosses lettres et chiffres. Je me relevais et je prenais le portable. Je photographiais l’écris du jour. Je m’asseyais de nouveau et je commençais à vidanger ma vessie tout en prenant les clichés suivant. Je ressentais le froid de la faïence glacer mes petites fesses ce qui augmentait mes sentiments d’humiliations, de frustrations et d’avilissement de devoir réaliser cette besogne 20---Bureau---D----.--copie-1.jpghebdomadaire ! Terminé, je séchais les dernières gouttes sur la cage.

        En me relevant, je photographiais mon malheureux pénis emprisonné dans son cachot. Je m’accroupissais pour faire de même avec le plug qui dilatait ma pauvre petite fleur. Etant bien bloqué par le harnais, il n’avait pas pris de jeu ce qui évitait qu’il joue avec l’anneau, et ne pouvant exciter son hôte, il évitait des excrétions inopinées. Je prenais mes chaussettes que je roulais suivant les instructions des visiteurs et je les enfilais dans ma bouche. Je les tenais entre mes dents. Heureusement, j’avais pris une paire propre, ce qui était un peu moins humiliant et dégradant. Je continuais à faire des photos du slave avec ses socquettes, son harnais et de pieds. Je prenais un dernier cliché de la cage et des jambes. Je pouvais me rhabiller !

21---Bureau---D----.--copie-1.jpg        J’enfilais en premier mes chaussettes puis mon maillot, le jeans, le pull et la sous-veste. Je disposais dans les poches frontales de ce dernier, le téléphone et le marqueur que je rangerai dans mon bureau jusqu’à la semaine prochaine. Je tirais la chasse d’eau et je baissais la lunette et le couvercle. Je 22---Bureau---D----.--copie-1.jpgme lavais les mains et je me les essuyais. Avant de sortir, je vérifiais que je n’avais rien oublié dans la pièce. Je déverrouillais la porte et je sortais des toilettes. Je regagnais mon poste de travail. À chaque pas, je sentais les pics de la cage empaler mon malheureux gland. Heureusement, le plug ne bougeais pas ce qui évitait d’exciter l’anneau intérieur et, surtout, mon pauvre trou ne poussait plus. Merci au harnais ! Bien qu’il soit un peu plus humiliant et dégradant de le porter car il faut cacher les grosses boucles, il évite au plug de prendre du jeu et de s’amuser avec ses hôtes en provoquant des fuites ou des excrétions fortuites. L’inconvénient était bien minime par apports aux avantages qu’il procurait. Il empêchait les inviter de déranger, de perturber ou d’exciter leur logeur. Dans un tiroir, je cachais le marqueur et je reprenais mon travail.


        Merci à mes Masters pour cette nouvelle étape.

 23---Bureau---D----.-.jpg  24---Bureau---D----.-.jpg

 25---Bureau---D----.-.jpg  26---Bureau---D----.-.jpg  27---Bureau---D----.-.jpg

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Labeurs Journaliers - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 13 janvier 5 13 /01 /Jan 08:31

Pour les prochains examens ou visites

Voici mes prochains R.D.V. :

  1. Mercredi 18 janvier à 08h00 Chez la généraliste :  -> Être en sous-vêtement.
  2. Lundi 23 Janvier à 09h15    Angiologie (Doppler) : -> Être à jeun (seulement 1 café) et en sous-vêtement ou en short.
  3. Jeudi 2 février à 16h15   Scanner :  -> Être en sous-vêtements ou en short et pas de métal.
  4. Mercredi 8 février à 15h30  IRM :   -> Être en sous-vêtements ou en short et pas de métal.
  5. Mercredi 15 février à 08h00 Chez la généraliste : -> Être en sous-vêtement.
  6. Vendredi 17 février à 09h45 ORL :   -> Être torse-nu et à jeun (seulement 1 café).
  7. Lundi 27 février à 14h30 Scanner :   -> Être en sous-vêtements ou en short, pas de métal et à jeun depuis plus de 04h00.


Instructions des Masters pour les visites et examens :

  1. Chez la généraliste :  En boxer blanc et cage silicone.
  2. Angiologie : Short blanc uniquement à mettre en place une fois arrivé dans le bureau de l'angiologue.
  3. Scanner :  Short blanc et cage silicone. Là, tu changes le cadenas métal et tu mets cadenas plastique à la place (photo obligatoire pour contrôle du cadenas plastique avec le numéro). Changement du cadenas et du cockring métallique en Cam la veille sous contrôle de ses Masters.
  4. IRM :   Même tenue que la trois. Short blanc et cage silicone. Entre les rendez-vous 3 et 4 tu ne changes pas le cadenas plastique bâtard.
  5. Chez la généraliste : Boxer blanc cage et plug qui tient tout seul salope.
  6. ORL :   Tu enlèves le harnais et le collier en arrivant à l’hôpital sous-merde.
  7. Scanner :  Short blanc et cage silicone. Entre les rendez-vous 4 et 7 tu ne changes pas le cadenas plastique bâtard.


À chaque fois reportage complet avec photo bâtard !

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Les Consignes - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 12 janvier 4 12 /01 /Jan 09:03

De Mr Alain.

 

    Le lundi 9 janvier :

 

Objet : Comportement de votre bastard le Mercredi. 04/01/2017

Bonjour Master ERIC  et Master MICHAEL,
   Nous sommes le samedi 07/01 et votre sous-merde n'a pas mis en ligne un quelconque message au sujet de son exercice hebdomadaire du mercredi. J'espère que vous ne laisserez pas votre larve impunie pour cette absence d'information à  son sujet
Mr Alain44


Objet : Les vœux de votre sous-merde pour 2017

Bonjour Master ERIC et Maître MICHAEL,
   Je viens de découvrir les talents artistiques et poétiques de votre larve (choix de la photo et texte de vœux).
    Ces talents artistiques qui montrent une très grande imagination.
    Une imagination qui doit d'ailleurs lui être utile pour vivre heureux dans son obéissance
   Vous avez bien fait de lui imposer l'épreuve des poids pour lui faire commencer l' année avec un rappel de l' obéissance et des sensations physiques qui en découlent. Il est certain que durant cette demi-journée l'encombrement des masses en pendant entre les cuisses lui ont également remis en mémoire les conditions de vie d'un slave, et cela à son domicile sans difficultés de déplacement.
Mr Alain44


Objet : Progression de l'éducation de votre Sous-Merde.

Pour vous Master ERIC et Master MICHAEL ,
    J'ai remarqué que votre larve a une imagination très efficace et que cela lui permet de vivre dans le bonheur de l'obéissance à vous deux.
     La Doctoresse qui reçoit votre larve chaque mois ( 4 semaines ) a désormais bien compris les besoins d'obéissance de votre larve. Il serait difficile - voir impossible- que votre larve porte moins que le jock-strap. Cependant je pense qu'il nécessaire que cette éducation progresse.
    Je vous suggère donc que votre larve porte en ces occasions, un collier léger avec une médaille - non encore gravée à son N° -.
    Ce collier peut être facilement réalisé en lacets de chaussures ( couleur noire ) afin d' être porté lors de toutes les visites médicales à venir.
 Collier en cuir / Port gratuit


Objet : TR: Votre sous-Merde et sa cage à picots

Master Eric et Maître MICHAEL,
  Lors de l’expression des ses vœux pour 2017, votre larve exprime à nouveaux ses lancinantes plaintes au sujet de sa cage.
   Nous savons tous que les émissions inopinées de sperme que subit votre larve sont bénéfiques à sa santé.
 Cependant afin que cessent ces jérémiades je vous suggère de programmer un changement de cage:

  • - Prise de rendez-vous afin qu vous puissiez suivre ce changement sous surveillance par Webcam 
  • -    Retrait de la cage à picots
      
  • -    Nettoyage de la nouille, des balloches, du pubis à l’alcool.
  • -    Vidange mécanique/ manuelle des sources de production et de stockage du liquide séminal.
  • -    Mise en place d’une cage métallique plus grande que la cage actuellement en place.
  • -    Mise en place d’un plug urétral en concordance avec la cage installée.
  • -    Fixation par lien définitif du plug à la cage.


 Un tel choix doit être donné au soumis afin qu’en pleine réflexion bien pensée, celui-ci vous fasse connaître clairement son choix.
 J’appelle votre attention sur le fait que je vous avais suggéré une solution de vidange sans les mains, solution restée sans réponse à ce jour.
Mr Alain4


Objet : TR: Occupation de l 'espace entre les cuisses de votre larve

Bonjour Master ERIC  et Maître MICHAEL,
   Pour le début de l’année 2017 vous avez pensé à imposé à votre sous-merde la présence de poids en pendant entre ses cuisses.
   En lisant cette partie du compte rendu rédigé par votre larve, il m’est revenu en mémoire mon idée de lui faire porter une barre d’entrave aux chevilles ( bracelet de cuir + barre métallique ), quotidiennement. Mais cela serait trop contraignant ! Je vous suggère donc de lui faire porter, en pendant de son anneau métallique une balle de tennis de couleur jaune ( intérêt du faible coût, de la solidité, du contraste sur les photos !) , Ou un ballon de baudruche (intérêt du diamètre variable selon votre décision, et de la couleur.)
Mr Alain44

    Le mardi 10 janvier :

 

Objet : Un nouvel article sur le blog www.bastardakc.eu

Bonjour Master ERIC et Maître MICHAEL,
    J’avais bien pensé que votre larve qui est désormais respectueuse de son exercice hebdomadaire aux toilettes au travail (périodicité, marquage apparent de la date, port des socquettes entre les dents), était en congé professionnel.
    Il est bien dommage que vous ne lui ayez pas imposé le maintien de cet exercice en un lieu différent, et/ou tout au moins un compte rendu pour signaler son congé professionnel.
    Nota : cet exercice hebdomadaire aurait pu être réalisé soit à la cave soit dans les WC du super marché.
Mr Alain44

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Commentaires - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 9 janvier 1 09 /01 /Jan 07:13

Le mercredi 4 janvier 2017 :

01 - Bureau - D - -.-         En premier lieu, je prie mes Masters et les visiteurs du blog de bien vouloir m’excuser pour le retard que j’ai pris. Mon poste a eu un bug et je n’arrivais plus ni à rédiger mes rapports ni à télécharger mes photos. J’ai mis plus de 4 jours (depuis mercredi après-midi) pour comprendre et réparer ce bug. Je vous remercie pour votre compréhension.

        Dans la nuit, j’avais du enlever le plug car il y avait du monde à la porte du côlon. Ma petite fleur et son anneau avaient pu se reposer un petit peu, le temps où ils étaient seuls. Par contre, la cage en avait profité pour jouer et s’amuser à empaler mon malheureux gland sur ses picots. Une nouvelle fois j’avais fait des cauchemars me voyant dans l’incapacité d’éjaculer bien que je sente mon jus monter. J’avais fait de petites taches aux draps avec mes excrétions. Je me levais, une nouvelle fois, humilié, avili avec une 02 - Bureau - D - -.-frustration de manque, grandissante de jour en jour.

        Je devais donc passer le turbot car il fallait que je réalise un lavement avant de partir au bureau pour pouvoir remettre en place l’invité de ma petite fleur et de l’anneau. Je me faisais rapidement un café pour me réveiller et je me rendais à la salle de bain pour démarrer le nettoyage du côlon et faire ma toilette. Je gardais un temps l’eau en moi, puis, régulièrement, je me retrouvais aux toilettes pour évacuer les surplus. Devoir réaliser des lavements régulièrement est déjà humiliant et dégradant : mais devoir les réaliser sans pouvoir utiliser la lunette et en étant obligé de s’asseoir sur la faïence face au réservoir d’eau, devient le comble de la frustration et du déshonneur !

03 - Bureau - D - -.-        Terminé, j’en profitais pour réaliser une épilation de mes petites fesses et de mon trou. Je prenais une douche bienfaitrice pour terminer cette toilette du matin. Je repositionnais le plug N° 04 et je le maintenais en place avec la ceinture. Dès qu’il fut dans son logis, l’anneau goba la première boule pour jouer avec ! C’est d’autant plus frustrant et humiliant qu’il soit ainsi ouvert car maintenant, dès qu’un hôte s’invite, il joue avec ! Je choisissais cet invité car l’après-midi j’avais un rendez-vous en extérieur où j’aurai besoin de ma voiture.

        Je me rendais au travail et à chaque pas les boules du plug jouaient avec l’anneau et ma petite fleur. La cage en profitait aussi pour empaler ses pics dans mon malheureux gland ce qui l’excitait et provoquait des érections contrariées par ce même carcan…. J’arrivais enfin à destination. Je saluais les collègues déjà 04 - Bureau - D - -.-présents tout en me gardant de gémir. Je retrouvais mon poste et je me mettais au travail. Mon voisin me saluait en arrivant et pris un dossier car il avait une réunion de concertation avec d’autres collègues. Je m’imaginais que je serai un peu plus libre pour la corvée du jour. Lorsque tous les collègues furent en réunion, 05 - Bureau - D - -.-j’attendais encore une trentaine de minutes avant de me décider à me rendre aux toilettes.

        Je vérifiais que j’avais bien pris le marqueur et mon portable dans la poche frontale de ma sous-veste. Je me remémorais les directives de Maître Michael qui avait rappelé que le feutre n’était plus d’actualité et que ce serait de nouveau le marqueur indélébile comme l’avait proposé master Phénix. Ce sera plus compliqué pour enlever chaque semaine les inscriptions. Je fermais à clef la porte et je posais sur le bord du lave-mains le marqueur et le mobile. Je commençais à me déshabiller et je posais mes vêtements pliés sur le bord du lavabo. Je posais mes chaussures et je sentis le froid à travers mes chaussettes. J’allais devoir les enlever aussi. Pour vérification, je prenais en photo le marqueur 06 - Bureau - D - -.-comme preuve qu’il est bien indélébile. J’enlevais les chaussettes que je repliais suivant les commentaires de master Phénix. J’en faisais une boule que je bourrais dans ma pauvre gueule. Elles faisaient un gros bâillon qui emplissait ma bouche. Plus un mot ne pouvait sortir, seulement de légers gémissements que j’étouffais. Mes pieds se refroidissaient de plus en plus au contact du carrelage. C’est encore plus frustrant, humiliant et dégradant d’être ainsi, pieds nus ! Je relevais la lunette des toilettes et je m’assaillais sur le bord de la cuvette pour écrire la date du jour. Devant utiliser le nouveau marqueur, je faisais très attention pour ne pas faire de trop grosses lettres et chiffres. Je rédigeais donc sur la cuisse : "Le 04 – 01 – 2017" ! Je photographiais cette inscription debout.

07---Bureau---D----.-.jpg        Ma vessie étant presque pleine, je me posais sur le trône en faïence et je commençais à vidanger la réserve. À contre cœur, je continuais le reportage photographique. Une personne essaya d’ouvrir la porte et pesta se voyant interdire l’accès. J’entendis qu’il entrait dans les toilettes voisine tout en continuant de rouspéter ! L’année 08---Bureau---D----.-.jpgdémarrait sur les chapeaux de roues, encore et toujours aussi humiliante dégradante et avilissante. Un jour je me ferai prendre dans les corvées et les réflexions n’en seraient que plus déshonorantes ! Bien que j’urinais, je sentais encore les pics exciter mon pauvre gland. Quand je me levais, l’empalement en fut accentué ! Je prenais un cliché en gros plan de cette geôle et de son prisonnier torturé puis un de pieds avec la date du jour. J’en profitais aussi pour immortaliser l’invité de ma petite fleur. Pour terminer, je faisais de même pour le bâillon dans ma pauvre gueule et je prenais une dernière photographie de pieds du slave.

        Quand tout était dans la boite, je m’empressais d’enlever mon bâillon et je remettais mes chaussettes. Je continuais par me rhabiller. Je rangeais le marqueur et le portable dans une poche 09---Bureau---D----.-.jpgfrontale de la sous-veste. Je baissais la lunette et je tirais la chasse d’eau. Je me lavais et me séchais les mains. Je vérifiais que je n’oubliais rien et j’ouvrais la porte. Je regagnais mon poste de travail et je reprenais mon labeur. En m’assaillant, je sentais le plug pénétrer un peu plus profondément ce qui excita l’anneau qui se mit à faire des vas et viens dessus. Je retenais des gémissements lorsque mon malheureux trou essayait en vain de pousser ! J’espérais en silence que cette corvée cesse rapidement car plus elle dur, plus elle est humiliante, dégradante et avilissante.

        Je remercie une nouvelle fois mes Masters pour leur patience et leur magnanimité. Bonne journée à vous tous et une nouvelle fois, meilleurs vœux 2017 à tous les visiteurs.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Labeurs Journaliers - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

  • : Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335
  • Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335
  • : gay Gay
  • : Sous-Merde propriété de Master Eric et Maître Mickaël. Il fait aussi ce que les Visiteurs demandent. Ce n'est pas un mâle mais une sous-merde, et il doit être traité comme tel. À la disposition de tous les Maîtres et slaves au Téléphone, en Web-cam sur Smboy ou Skype... Prises de photo et rapports publiés ensuite sur le blog sous le contrôle de ses Maîtres.
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>

Derniers Commentaires

Album photos

Voir tous les albums

Recherche

Syndication

  • Flux RSS des articles
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés