À l’hôpital :
Le lundi 23 janvier, j’avais
rendez-vous à l’hôpital pour un doppler des artères. Après renseignements, j’avais informé mes Maîtres que je devrais être en sous-vêtements. Ils m’avaient donné leurs instructions publiées le
vendredi 13 janvier sous la rubrique "Les consignes". Comme toutes les nuits j’avais fait des cauchemars en alternance avec des insomnies à cause des invités ! Le plug n’avait cessé de jouer avec
la petite fleur et son anneau. Mon malheureux gland de se faire empaler par les pics de la cage, ce qui l’excitait et provoquait des érections contrariées par cette dernière ! Je me levais crevé
avec une frustration grandissante, un peu plus chaque matin. Une impatience grandissante m’envahis, chaque matin, un peu plus avec une obsession croissante de faire tomber cette maudite prison,
de pouvoir me masturber et finalement jouir afin de vidanger mes malheureuses couilles débordantes.
Je me faisais un café en espérant que ce tourment cesse un temps.
Je passais à la salle de bain où je prenais une bonne douche
et je faisais un nettoyage à fond de la geôle. Après m’être séché, je
repositionnais les attributs du slave. Je me connectais pour saluer mes Masters. Seul Maître Michael était en ligne ce matin. Je discutais un bref moment avec lui et nous nous saluions en nous
souhaitant une bonne journée réciproquement. Je m’habillais pour partir suffisamment tôt afin de me préparer dans les toilettes du centre hospitalier. Dès que le plug N°04 a été remis en place,
il se remit à
jouer avec ses hôtes et la cage en fit autant avec son prisonnier.
J’enfilais mon bonnet, mon écharpe, ma veste et mes gants. Je partais 40 minutes en avance de chez moi pour me rendre à l’hôpital.
Quand je sortais de mon domicile, un froid sibérien cinglait mon
visage. Ma voiture était couverte de givre. Je démarrais mon véhicule. Je branchais le chauffage au maximum. Je prenais une raclette et je grattais la glace sur les vitres et le par-brise de ma
voiture. Heureusement que j’avais pris de la marge car la circulation était intense à cause du froid glacial qui régnait, -8°C à –12°C ce matin ! La froidure régnante avait provoqué la fermeture
provisoire de certains tronçons de lignes de bus ce qui provoquait une augmentation, non négligeable, de la circulation. Elle avait aussi calmé pour un temps tous mes convives !
J’arrivais enfin à destination en mettant plus du double du temps
habituel. Lorsque je rentrais dans le hall, il ne me restait moins de 5 minutes. Je passais rapidement dans les toilettes pour
enfiler le short blanc et ôter tous les attributs du
slave. Je les rangeais dans ma sacoche et je montais à ma consultation. La secrétaire m’attendait. Elle prit ma carte pour remplir mon dossier et je passais un instant dans la salle d’attente.
Lorsque l’infirmière était venue me chercher un malaise envahissait tout mon être ! C’était une des soignantes présentes en cardiologie lors de la pose du MAPA fin novembre. Elle me souhaitait
ses meilleurs vœux
avec un grand sourire. Je les lui rendais mais moins enthousiaste ! Mon
cœur se mit à battre de plus en plus rapidement et je sentais le sang affluer à la tête ! Je devais rougir comme une tomate bien mûre ! De tout mon corps, un grand malaise transparaissait.
Elle me faisait entrer dans une pièce de consultation où un très
jeune médecin travaillait à son bureau. L’infirmière m’expliquait comment l’examen se déroulerait avec un petit sourire en coin. Elle m’invita à me déshabiller et me mettre en sous-vêtements en
me montrant une chaise près de la porte pour poser mes affaires. Pendant ce temps, elle échangeait avec le docteur. J’accrochais ma sacoche et je me déshabillais en rangeant mes vêtements pliés
dur le dossier du siège. J’allais ôter mes chaussures pour déposer mon pantalon lorsque l'infirmière sortit de la salle. Je terminais de me dévêtir et je m’assaillais sur le bord du fauteuil en
attendant le début de l’examen.
Le praticien devait avoir moins de 30 ans ! Il avait les traits
fin, un visage ovale et de fines mains. Mon palpitant battait de plus
en plus rapidement ! Une angoisse incompréhensible emplissait tout mon
corps. Je me sentais de plus en plus mal à l’aise et un sentiment de frustration emplissait mon être. L’échographiste se leva et vint me saluer en s’excusant de l’attente. Il m’invitait à
m’allonger sur la table d’auscultation et m’expliquait qu’il allait réaliser une échographie des artères de mes hanches, de mes jambes et de mon coup. Le temps qu’il prépare son matériel il fit
la réflexion que ce n’était pas nécessaire de me raser complètement pour cet examen ! La séance débutait sous de mauvais augures ! Je commençais à être mal à l’aise et je détournais la
tête.
Il lubrifiait abondamment sa sonde et débutât son travail par les
hanches. Il re-lubrifiait son appareil et continuât par la jambe droite qu’il demandât de plier légèrement pour la poser correctement sur la table. Il commençait par l’aine en remontant le short
un maximum. Heureusement la cage se trouvait sur l’autre cuisse ! Il descendit tout le long de la jambe en suivant l’artère. Mon palpitant qui s’était, un temps calmé, se remit à
s’accélérer ! Quand il eut terminé, il m’avertit qu’il passait sur l’autre jambe, en demandant de la
positionner de la même manière, tout en lubrifiant son appareil.
Je m’exécutais et discrètement, je tirais sur le seul vêtement
qu’il me restait pour dissimuler un minimum la geôle. Mes craintes n’allais pas tarder à se réaliser ! Ma jambe gauche était légèrement plié et posé sur la table. J’évitais de regarder le médecin
tellement mon mal-être augmentait. Pour continuer, il relevât, comme précédemment, le short et la cage apparut dans toute sa splendeur. Mon palpitant battait à tout rompre et voulait s’enfuir de
la cage
thoracique où il était, lui-même, emprisonné ! Un grand sourire narquois
rayonnait son visage. Il me demandait :
-
- "Très joli votre cage de chasteté…. C’est une maîtresse ou un maître qui vous l’a posée
? Je ne veux pas vous mettre mal à l’aise si cela vous dérange !"
C’était trop tard ! Non seulement je me sentais mal et attendais un instant pour lui
répondre, le temps de me calmer un peu.
Honteux, humilié et frustré, je lui répondais avec angoisse et mal-être
mais, tout de même content, que l’infirmière soit partie !
-
- "Ce n’est que mon amie qui la met lorsqu’elle doit s’absenter….
-
- Pas très sympa de sa part, vous ne pouvez plus vous masturber…. Vous devez d’autant
mieux apprécier lorsqu’elle revient et vous l’enlève ?
-
- Tout à fait ! Heureusement ce n’est que ponctuel et elle ne l’a met que de temps en
temps….
-
- Vous êtes mal à l’aise ? Je vois votre cœur
s’emballer ! Il n’y a pas de quoi avoir honte !
-
- Non, pas du tout !"
Ma réponse ne dut pas le satisfaire car il eut un sourire encore
plus large et qui voulait en dire d’autant plus que tout ce qu’il aurait pu prononcer ! J’étais suffisamment humilié, frustré et avilis par cet échange que je ne savais plus quoi répondre. Ne
pouvant plus lui révéler la vérité, je continuais dans mon mensonge. Le
praticien dut s’en apercevoir aussi car, à ma grande satisfaction, il
continua son travail sans mot dire mais le mal était fait ! Je craignais qu’il en parle ensuite à l’infirmière à qui j’avais répondu à peut près la même chose. Il termina son examen par mon coup.
Il me positionnait la tête pour réaliser la fin de son travail.
Quand il a eu terminé, il me donnait du papier absorbant pour que
je m’essuie. Il m’autorisa à me rhabiller pendant qu’il m’expliquait le résultat de son expertise. Il terminait en rédigeant une prescription pour
réaliser un nouveau scanner
en injectant un produit que je devrais au préalable retirer en pharmacie. Il en faisait une seconde pour une prise de sang, une semaine avant cet examen. Je terminais de me vêtir, content mais
tout au tant frustré, dégradé et déshonoré ! Il me tendais les deux prescriptions en me disant :
-
- "Continuez à bien vous amuser avec votre amie…. Il n’y a pas de mal à se faire du bien,
monsieur. Au plaisir et bonne journée….
-
- Bonne journée docteur."
Sur ces mots, mon cœur s’était
remis à battre la chamade et je sentais le sang affluer au visage ! Je lui tournais le dos pour éviter qu’il s’en aperçoive après lui avoir serré la main. Je m’enfuyais de ce service honteux,
humilié et frustré une nouvelle fois ! Je descendais prendre rendez-vous au scanner. Je demandais à la secrétaire si c’était possible de réaliser cet examen en même temps que celui déjà
programmé. Après vérification, elle m’annonçait que ce n’était pas possible car le médecin qui était programmé pour mon premier scanner n’était pas habilité à réaliser celui-ci. Elle me
présentait donc une nouvelle date. La première qu’elle pouvait me proposer était le lundi 27 février à 14h30. Je devrais être à jeun depuis plus de 4h00, soit prendre mon déjeuner avant 10h00
car, après 10h30, je n’aurais plus le droit de manger quoi que ce soit.
Je la remerciais et je me dirigeais vers les toilettes du
rez-de-chaussée. Elles étaient toutes occupées. J’allais faire un tour dans le hall avant de revenir les inspecter. Il y en avait une de
libre et je m’empressais à rentrer. Je refermais la
porte à clef et je vérifiais la condamnation de celle-ci. Je sortais tous les attributs du slave que je posais sur le bord du lave-mains et le harnais sur le sol. J’accrochais les vêtements aux
patères contre la porte. Je me retrouvais enfin en short blanc que je redescendait pour cacher un peu la geôle et je prenais les premiers clichés avec le téléphone posé sur le lavabo.
En posant les pieds sur le carrelage, j’avais ressenti le froid
monter par la plante des pieds dans mes jambes. Une envie d’uriner s’en suivit ! Pour une fois que je me retrouvais sans attribut, j’en profitais ! Je levais le couvercle des toilettes et, à
contre cœur, la lunette. Je m’assaillais et je vidais ma vessie tout en photographiant comme mes Masters me l’avaient, précédemment, commandés. Terminé, je refermais le collier autour du coup et
j’enfilais le harnais sans l’attacher à l’anneau-cockrnig. Je devais au préalable mettre en place le plug N°04.
Je le lubrifiais. Je posais le portable à terre et je
m’accroupissais. Je prenais une photo de ma petite fleur avant de lui
présenter son visiteur. Tout en le faisant pénétrer, je réalisais de nouveaux clichés. Lorsqu’il buttait contre l’anneau, je forçais la pression et il gobât la première boule. Mon trou en faisait
autant avec son invité. Je positionnais et je fermais le bloc-plug du harnais à l’anneau. Je prenais un dernier cliché du convive immobilisé. Je boutonnais le devant du harnais avec son cockring.
Je recommençais à sentir mon gland empalé sur les pics de sa prison et le nouvel hôte jouer avec l’anneau et sa petite fleur…. Je maudissais pour la énième fois les instructions de mes Maîtres et
les commentaires des visiteurs qui réclament des rapports photographiques complets !
Je réalisais donc, de nouveaux clichés de pieds avec le harnais.
Je faisais de même avec la prison de mon malheureux pénis. Enfin terminé, je me rhabillais en oubliant le short blanc que je rangeais dans la sacoche avec le lubrifiant et la clef du collier. Je
déposais, dans la poche frontale de ma sous-veste, mon téléphone
portable avec, à regret, le reportage photographique. Avant de sortir, je
baissais la lunette et le couvercle des toilettes. Je tirais la chasse d’eau. Je me lavais les mains et je me les séchais. Je vérifiais que je n’oubliais rien et j’ouvrais la porte. Heureusement
que je n’avais pas été dérangé, personne n’attendait et pouvait s’imaginer ce qui venait de se dérouler dans ces toilettes publiques….
Merci à mes Master pour cette nouvelle étape bien que je me sois
retrouvé humilié, frustré et avilis d’avoir été ainsi exhibé devant un nouveau médecin ! J’essayais de ne pas trop maudire mes Maîtres et les commentaires des visiteurs qui imposent de plus en
plus de servitudes…
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