Samedi 3 septembre
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12:46
À la plage :
J’avais pris deux jours de congés pour profiter des derniers jours
ensoleillés. Mes Masters m’avaient malheureusement donné des instructions pour cette journée. Je me préparais donc pour partir de bonne heure comme j’avais un peu de route à faire. Je faisais un
sac à dos avec serviettes et une bouteille d’eau comme il faisait grand beau. Je mettais en place le plug qui tient seul, j’enfilais le boxer de bain et un polo à manche courte. Toujours suivant
les instructions, je prenais les premiers clichés de ma tenue. Pendant que je les faisais, je priais pour ne pas rencontrer de voisin jusqu’à la voiture et, comme nous sommes début septembre,
qu’il y ait moins de monde qu’au mois d’août !
Avant de partir, j’enfilais un gilet sans manche où je mettais mes
papiers et le portable pour prendre les clichés demandés par les Maîtres. Avant de sortir, je jetais un œil au judas pour vérifier que personne n’était dans le couloir. Je sortais et appelais
l’ascenseur tout en écoutant que personne ne sorte de chez lui. Je montais dedans et j’appuyais sur le rez-de-chaussée. Lorsque les portes s’ouvrirent, j’aperçus le local de la femme de ménage
ouverte. Mes plus grandes craintes se réalisaient !!! Mon cœur se mit à battre de plus en plus fort ! Je sentais le sang affluer au visage et je me sentais de plus en plus mal à l’aise. Elle
avait du entendre les portes car dès qu’elle m’aperçut, elle me saluait et me disait :
Je lui répondais :
-
- Oui Madame, je vais au lac.
-
- Vous êtes déjà en maillot de bain ?
Honteux, humilié, sur le coup je ne savais quoi lui
répondre. Enfin je lui disais :
-
- Effectivement Madame, comme cela je serai en tenu dès mon arrivé….
Je me gardais de lui dire que, suivant les commandements, je
devrai me mettre nu comme j’avais eu comme instruction, d’aller à la plage naturiste (naturiste officieusement). Après s’être souhaité une bonne journée, je m’empressais de gagner ma voiture. Je
maudissais les instructions des Masters et d’avoir, surtout, croisé cette personne car, étant un peu commère, tout le quartier risquerait de connaître ma tenue dans quelques jours ! Je me sentais
de plus en plus humilié, déshonoré et avili en pensant à cette conséquence ! Je posais le sac dans le coffre et je m’empressais à monter dans mon véhicule. Heureusement pour le slave, je ne
croisais pas d’autre personne. Je me rendais donc à cette plage. Il me fallait plus de 45 minutes pour m’y rendre. Après avoir garé la voiture, sorti le sac du coffre et un transat pliant, je
prenais de nouvelles photos.
Je prenais tout mon barda et je me rendais à la plage. Je
traversais le voie ferrée et je remontais le chemin qui longe la plage. Tout le long, j’apercevais des personnes déjà en place. Je ne pensais pas qu’il y ait autant de monde à cette époque et
craignais le pire pour cette journée. J’espérais que mon petit coin discret serait libre. Arrivé en bout de plage, je voyais un homme dans l’eau en face de mon petit endroit. J’en déduisais qu’il
y avait déjà une personne et je posais mes affaires où j’étais arrivé. Cette plage discrète est parallèle à la voie de chemin de fer et séparée par une rangée d’arbuste et de petits arbres qui
forment de petites alcôves de 15 à 30 mètres de long. Où je m’étais rendu, elle faisait une quinzaine de mètres sur deux à trois mètres de large. Je posais le sac à dos et j’ouvrais le transat
car la plage est de galets et de graviers. J’installais une serviette dessus et avant de me déshabiller, je prenais de nouveaux clichés. J’enlevais le gilet et le polo et je reprenais des
photos.
J’enlevais le boxer de bain et je remerciais mes Maîtres de ne pas
avoir fait enlever la doublure noire du boxer car je m’apercevais qu’il n’était pas opaque et qu’ils n’aient pas imposé de photos dans cette tenue. Je voulais me baigner mais il y avait déjà des
personnes dans l’eau. Avec le plug dans mon petit trou, le collier, la médaille de slave et surtout la cage j’hésitais à y aller et me disais qu’il valait mieux attendre qu’il y ait moins de
monde dans l’eau. Je prenais mes lunettes de soleil et je m’allongeais sur le transat en priant qu’il y ait le moins de monde possible ce vendredi. Malheureusement, peu de temps après cette
réflexion, un couple s’installait sur l’alcôve d’à cotée après m’avoir salué. Je leur répondais en maudissant les directives des Masters de devoir garder la cage et un plug. Heureusement,
quelques arbres nous séparaient légèrement et je souhaitais qu’ils n’aient pas vu les attributs du slave. Je prenais mon livre et je commençais à lire. Au bout d’un moment, un bruit de pas dans
les galets au bord de l’eau, me fit tendre l’oreille. Mon cœur se mit à battre de plus en plus vite. Sans relever la tête, je guettais l’arrivée de cette personne. Il me saluait, c’était un homme
avec un min slip de bain. Je lui répondais, honteux, en espérant sans convictions, qu’il n’ait pas vu toutes les marques du slave, surtout la cage et le plug. Mon palpitant battait de plus en
plus fort et je me sentais de plus en plus mal à l’aise. Il continuait son chemin jusqu’au petit coin suivant où il discutait avec la personne présente. Ils devaient se connaître. À partir de
13h00, de nouveaux couples se présentaient et, voyant ma présence, faisaient demi-tour. Heureusement pour moi, précédemment des personnes avaient fait un barbecue en faisant un foyer avec des
pierres. Ils avaient aussi apporté deux troncs d’arbres pour s’asseoir, ce qui occupaient le petit bout de plage où j’étais en plus des deux ou trois rochers présents. Je m’allongeais sur le
ventre pour cacher la cage mais je craignais que la base du plug se voie ! J’entendais la personne qui discutait, revenir sur ses pas. Elle s’éloignait enfin. Je faisais semblant de dormir tout
en jetant un coup d’œil discrètement lorsque j’entendais un bruit de pas. Un nouvel homme s’approchait. Il me dépassait et, quelques mètres plus loin, faisait demi-tour. Je sentais ses yeux
caresser mon corps, surtout le plug et la cage. Une fois de plus je maudissais les ordres de mes Maîtres, l’humiliation et la frustration que je ressentais d’être dans cette tenue. Mon cœur
battait la chamade. Je voulais m’enfuire ! Malheureusement pour le bâtard, il y avait de plus en plus de monde. Si je me levais pour m’habiller, les voisins verraient les attributs. Je me sentais
encore plus mal à l’aise. Dans le désagrément, plusieurs fois dans l’après midi, j’en profitais pour boire un peu d’eau. Un couple s’installait avec celui qui était près de moi. Ce devait être
des amis car, après s’être fait la bise, ils se mettaient aussi nues et discutaient avec mes voisins. Plusieurs hommes passaient devant moi en scrutant mes contraintes. Je trouvais que les
minutes s’égrainaient vraiment trop doucement. Une femme arriva, me saluait et elle me demandait s’il elle pouvait s’installer à coté de moi. Je la saluais à mon tour et ne pouvant refuser, je
l’autorisais à s’installer ainsi j’étais certain que personne d’autre ne viendrait trop près de moi ! Après s’être mise nue, elle allait se baigner. J’en profitais pour me mettre sur le dos en
essayant de cacher la cage en repliant une jambe dessus. De nouveaux hommes venaient mater le slave et ses contraintes. Mon pauvre cœur s’emballait à chaque visite. Je devais être tout rouge car
je sentais le sang affluer au visage. Lorsque ma voisine revint s'étendre sur sa serviette, les curieux se firent moins présents ou plus discrets. J’avais hâte de fuir cette maudite plage. Il y
avait encore trop de monde près de moi dans l’eau pour que je puisse me lever en toute discrétion. J’avais le cœur qui battait de plus en plus la chamade. Lorsque mes voisins et ma voisine
allaient se baigner. Rapidement je vérifiais que personne ne pouvait me voir et j’en profitais pour vite enfiler le boxer. Mon cœur battait à tout rompre. Je pliais les serviettes et les rangeais
dans le sac avec mon livre. Je repliais le transat quand ma voisine sortait du lac. Après s’être salué et souhaité une bonne soirée, je prenais mon équipement. Je regagnais ma voiture après avoir
traversé la voie ferrée. Il était déjà 19h00 ! Je maudissais mes Masters pour m’avoir obligé d’allé à la plage naturiste avec la cage et le plug. Le collier et sa médaille sont déjà humiliant
mais les autres attributs sont encore plus dégradants, déshonorants et avilissants ! Le temps que je regagne mon appartement et que je défasse mon sac à dos, il était 20h00. Je n’avais pas
imaginé qu’il pouvait y avoir autant de monde un début septembre et encore moins rester aussi longtemps au lac. Bien humilié, frustré, déshonoré et avili, je préparais mon dîner.
Malgré toutes les humiliations, frustrations et avilissement que le slave a pu ressentir, merci à mes Masters.
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