Le blog de Bâstard a KC Sous merde n°411-103-335

Bienvenu sur le blog de Bâtard a KC : Sous merde N° 411-103-335. Sous le contrôle de ses Masters, il doit faire ce qui est demandé sans rechigner. N’hésitez pas à laisser des commentaires sur les différents articles qu'il publie sous les ordres de ses Masters.
Il fait aussi ce que les males demandent de faire après avoir reçu la validation de ses Masters. Ce n'est pas un male mais un slave, une sous-merde, un bâtard et il doit être traité comme tel.
Sous cage de chasteté, seuls ses Maîtres décident de ses jouissances afin de le purger de son jus pourris qui ne sert à rien.
N'hésitez pas à laisser des commentaires dans les différents articles publiés ici par notre slave ou nous même. Ça l'humilie encore plus. Le site ayant un bug, vous pouvez lui envoyer vos commentaires qu’il nous fera suivre. Son adresse est bastardakc@hotmail.fr ou en suivant ce lien
Notre slave est a dispos de tous mâles souhaitant l'utiliser et autres en Cam ou réel aussi avec prises de photos et rapports ensuite publiés sur le blog. Même les soumis peuvent l'utiliser car son statut est inférieur à eux et leur doit respect et leur obéir aussi

Consignes des Maîtres

Vendredi 14 septembre 5 14 /09 /Sep 12:20

Les vêtements en attente de livraison.

 

      Après réflexion et concertation les Masters de la sous-merde ont décidés que la salope doit commander le plus rapidement les références suivantes en remplacement des sous-vêtements existants. Pour le string et le jock-strap il vous seront proposés très prochainement.


Chez INDERWEAR :    Livraison prévu Lundi 17 Septembre.

 

      FLIP Short Flip Blanc - Taille : S

Lien : https://www.inderwear.com/51-short-homme-sport/24591-short-flip-blanc-rufskin.html

 

   AND6415 Short Laurel Jogger Blanc - Taille : L      (il n'y avait plus que cette taille)

Lien : https://www.inderwear.com/51-short-homme-sport/25001-short-laurel-jogger-blanc-andrew-christian.html

 

          Chez OVEMO :     Livraison prévu Lundi 24 Septembre au plus tard.

 

   Lookme Shorty Agent double 1 - Taille : S    (Proposition de Master Phénix)

Lien : http://www.ovemo.com/product_info.php?products_id=115408#.W5tabc-YQdU

 

    Lookme Boxer Hunter - Taille : S

Lien : http://www.ovemo.com/product_info.php?products_id=900838#.W5tbBc-YQdU

 

   Joe SNYDER Boxer AW Boxer - Taille : S

Lien : http://www.ovemo.com/product_info.php?products_id=137612#.W5tbZM-YQdU

 

    GIGO Shorty de bain Hotenc - Taille : S

Lien : http://www.ovemo.com/product_info.php?products_id=143168#.W5tbo8-YQdU

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Samedi 4 mars 6 04 /03 /Mars 07:12

À vos claviers :

        Suite au comportement inadmissible du slave, ses Maîtres proposent aux visiteurs qui suivent notre sous-merde de nous proposer une punition. Nous vous ferons connaître la sanction retenue.

 

Commentaires :

 

  • Reçu le 04 mars :

Commentaire de Mr Alain44

Bonjour Master ERIC et Maître MICHAEL,
   Je rejoins votre idée de sévir à l' encontre de votre Slave pour son comportement inamissible depuis quelques temps .
    Pour ma part , compte tenu des conditions météo actuelles , je préconise une punition à réaliser au domicile. Voici quelques suggestions:
    - Douche périodique à l' urine à l' aide de deux bouteilles de 1,5 Litres utilisées l' une après l' autre
    - Le Slave étant nu , avec son collier, sa cage et son harnais, porter successivement 5 objets différents dans son cul ( balayette, cuillère en bois, poireau, ... )
    - Rédiger un article sur les bienfaits de l' exhibition inopinée subie le 27/02/2017 , pour la perte de pudeur d' un slave

   Pour les photos , les comptes-rendus devront avoir été validés par les MASTERS avant publications

Mr Alain44

  • Reçu le 05 mars :
Commentaire de Master Phénix  
   Bonjour Master Éric et Maître Michael,

     Ce mercredi, votre sous-merde pourrait utiliser toute la surface de ses deux cuisses pour inscrire la date du jour sur une et son appartenance "Slave de Master Éric et de Maître Michael" sur l’autre. Pour parfaire tout cela, il se noircirait tout son pubis rasé. En cas où cela ne serait pas bien réalisé, à refaire chaque semaine jusqu’à satisfaction.


   Master Phénix.
  • Reçu le 05 mars :
Commentaire de Alain
Bonjour
 
suite a la consultation du site voici une proposition de punition
 
lubrifier le plug d huile pimente avant introduction
et au prochain enleve de la cage faire de meme dans l uretre
au plaisir de vous lire
 
Alain
 
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Lundi 13 février 1 13 /02 /Fév 07:29

Numéro 13 31 44

        Maître Michael avait donné rendez-vous le mardi matin pour changer de cadenas à cause des futurs examens du slave. Je me connectais avant de devoir réaliser un nouveau lavement. J’avais, au préalable, sorti du congélateur la clé du cadenas pis dans un bloc de glace et préparé un cadenas en plastique numéroté. Après s’être salué le master commandait de lancer la web-cam. Je m’exécutais et il demandait de présenter la nouvelle obturation avec son numéro. Il réalisait le premier cliché. Le Maître ordonnait que je recule un peu et il prenait un nouveau cliché de la prison de mon malheureux pénis.

 01 - Cadenas - D - -.-  02 - Cadenas - D - -.-

        Il me faisait ouvrir le cadenas en place et je le posais sur le bureau. Il me demandait d’ôter la cage qui emprisonnait mon pauvre sexe depuis plus de 6 mois et demi !!! Quel bonheur de l’avoir enfin libre, plus comprimé par ce carcan et le gland maltraité par les pics intérieurs. J’enlevais aussi le cockring et l’anneau du harnais. Une nouvelle photo apparaissait sur l’écran. Je ne pouvais pas contrôler le nombre de photographies prises et je maudissais intérieurement le Master d’en réaliser autant ! Il m’autorisait enfin à me masturber. Avec bonheur et satisfaction, je prenais mon pénis en pleine main et je débutais des vas et viens. J’allais pouvoir me vider enfin les couilles ! Je sentais, dans ma main, ma verge se gonfler et se raidir. J’appréciais de plus en plus. Mon jus commençait à monter doucement mais sûrement quand il ordonna de stopper la masturbation. Avec difficulté et frustration je m’exécutais à contre cœur. Un nouveau cliché de mon malheureux sexe en érection apparu à l’écran !

 03 - Cadenas - D - -.-  04 - Cadenas - D - -.-

        Je suppliais en vain le master de continuer la masturbation. À la place, il ordonnait que je remette le cockring caoutchouté en place. Je faisais passer mes testicules dans l’anneau. Avec grande difficulté, j’introduisais mon sexe dans l’orifice. Maître Michael commandait alors de reposer la cage sur mon malheureux phallus. Malgré mes supplications de me masturber et de me vider au préalable, le master faisait sourde oreille. Avec encore plus de difficulté j’essayais de tordre mon sexe pour le rentrer dans son carcan. Quand il fut en place le Maître demandait de poser la nouvelle fermeture numérotée ! À contre-cœur, je m’exécutais et je refermais définitivement cette nouvelle prison sur mon sexe avec une érection contrarié par ce carcan. Mon malheureux gland était de nouveau empalé sur les pics ! Après avoir pris de nouvelles photos, le Master autorisait que je me rende à la salle de bain pour réaliser le lavement. Avant de se quitter, il commandait que je prenne le numéro en gros plan et que je publie les photos réalisées dans le rapport.

 05 - Cadenas - D - -.-  06 - Cadenas - D - -.-

07 - Cadenas - D - -.-

 

        Merci Master pour ce nouveau cadenas.



        PS : Je prie les visiteurs de bien vouloir m’excuser pour le retard dans la publication des rapports. J’avais prévenu mes Maîtres que j’allais prendre du retard car j’avais 10 jours très chargés. Les rapports seront mis à jour dans la semaine avec une publication par jour. Je remercie tout le monde pour leur compréhension.

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Dimanche 18 décembre 7 18 /12 /Déc 07:02

Publication de vos commentaires :

        Nous venons de nous apercevoir qu’il n’était plus possible de poster des commentaires. Le temps que l’hébergeur fasse le nécessaire vous pouvez :

  • ⇛    Soit  les  poster  sur  la  page  face  book  du  slave  en  cliquant  sur  ce lien : - Face book - ou en recopiant l’adresse suivante : www.facebook.com/BastardaKC

  • ⇛    Soit en envoyant vos commentaires par mail au slave qui les fera suivre à ses Masters. En cliquant sur le lien suivant – Bastard-à-KC - ou en recopiant son adresse : bastardakc@hotmail.fr

        Nous vous prions de bien vouloir nous excuser pour ce disfonctionnement indépendant de notre volonté. Les articles continueront à être publié régulièrement en attendant la remise en état. Si vous avez des pistes pour contacter la direction du site merci de nous les transmettre ou si vous avez de connaissances n’hésitez pas à faire le nécessaire de votre coté. Dans ce dernier cas, nous vous remercions par avance. 


        Nous vous avertirons lorsque ce problème sera réglé.


        Bonne lecture et bonne continuation pour le suivi du slave.

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Vendredi 9 décembre 5 09 /12 /Déc 08:05

Chez le cardio.

        Ayant rendez-vous avec mes cousins pour déjeuner, je faisais un saut chez moi pour passer à la salle de bain afin d’effacer l’inscription sur la cuisse. J’appréciais ce feutre 02 - Cardio. - D - -car un peu de savon et la date était effacer. Je vais bien le mettre de coté pour les prochaines inscriptions. Je vérifiais mes affaires dans la sacoche et j’y mettais le short blanc. Maître Michael avait donné comme consigne de le porter pour le test à l’effort et la consultation médicale mais de le porter à la dernière minute. Je me rendais au restaurant et je retrouvais la famille. Après s’être restauré nous retournions en groupe à l’hôpital. Je passais dire bonjour à la personne hospitalisé. Je prenais congé de notre hospitalisée et je donnais rendez-vous ce soir au reste de la famille. Ayant envie d’uriner, je retournais au rez-de-chaussée. Je me mettais nu pour me soulager et j’en profitais pour prendre un premier cliché. Je séchais le bout de la cage et je me lavais les mains. Je me rhabillais une nouvelle fois et je montais en cardiologie. J’attendais quelles que minutes et une infirmière m’invita à entrer dans une salle et de me mettre en sous-vêtement. Il y avait une table d’auscultation, plusieurs moniteurs et un par à vent pour se changer. Je lui faisais remarquer que je devais réaliser 01---Cardio.---D----.jpgun test à l’effort et qu’il n’y avait pas l’appareil. Elle me répondit qu’une collègue allait arriver et m’expliquerait comment se déroulerait l’examen. Je posais mes affaires sur une chaise et je me déshabillais encore une nouvelle fois ! Je jetais un œil dans la pièce avant d’ôter le jeans pour vérifier que l’infirmière ne regardait pas dans ma direction bien qu’elle ne puisse pas voir à travers le par à vent. Mon cœur se mit à battre de plus en plus vite et fort. Mon palpitant n’attendait pas pour démarrer le test. J’avais sorti le short de la pochette et posé dessus. Je le prenais à la volé et le plus rapidement possible, je l’enfilais. Ouf !!! Personne n’avait encore pu voir la cage mais malheureusement cela n’allait pas durer. Je le descendais un maximum sur la taille pour cacher la cage. Malheureusement il se retrouvait à la base du pubis rasé. Je commençais à me sentir mal à l’aise et je maudissais ce rasage intégral frustrant et humiliant ! Je sortais de mon alcôve. Une seconde infirmière était arrivée. Tout en enlevant le Holter, elle m’expliquait ce qui allait se passer car je ne ferai pas le test habituel :

  • 03 - Cardio. - D - --     "Vous serez allongé sur la table d’auscultation. Je vais vous poser un cathéter pour une perfusion. Un premier produit vous sera injecté pour visualiser vos artères puis un second qui vous accélèrera le cœur artificiellement. Vous pourrez avoir une sensation de chaleur au moment où le produit pénétrera dans votre corps. Je vais poser sur votre torse, vos jambes et vos bras différents capteurs reliés aux monitorings. Un médecin fera en parallèle, une échographie du cœur et des coronaires. Lorsque le test sera terminé, je vous injecterai un nouveau produit pour que votre 04 - Cardio. - D - -cœur reprenne son rythme normal. Je vous laisse les patchs en place car je vais en avoir besoin. Je vous les enlèverai tous lorsque ce sera fini. Si vous avez des questions ou si vous vous sentez mal, je serai à coté de vous. N’hésitez pas à nous faire part de vos sensations. Vous avez des questions avant de vous installer ?"

  Je lui demandais :

  • -    "C’est mon cardiologue qui fera l’examen ?
  • -    Non, c’est une spécialiste qui va arriver et qui lui ferra un rapport. Vous verrez votre médecin après l’examen. Vous êtes imberbe ou vous vous êtes rasé ?
  • -    Je me suis rasé en vu de l’examen du holter et du test à l’effort. Je répondais en lui mentant…. Ne pouvant lui révéler la vrai raison de mon rasage intégral !
  • -    Vous avez eu raison monsieur. Quand j’enlèverai tous les patchs, se sera moins douloureux ! Le pubis ce n’était pas nécessaire !"

05---Cardio.---D----.jpg        Honteux, humilié, ne sachant quoi répondre, je m’installais sur la table. Horreur !!! Dans cette position, ne pouvant écarter les jambes, le short ne cachait plus du tout la cage ! Je ne pouvais pas le toucher étant regardé. L’infirmière terminait de préparer le matériel. Dès qu’elle eut le dos tourné j’essayais en vain de cacher la cage qui faisait une montagne sous le short et qui devait apparaître lorsque l’on est aux pieds car elle était à la limite ! On pouvait donc voir ce que je portais dessous ! Mon malheureux pénis en cage et mes testicules séparées ! Mon 06---Cardio.---D----.jpgcœur se mit à battre de plus en plus vite et fort ! J’étais vraiment très mal à l’aise ! L’infirmière commença par poser le cathéter et la première perfusion. Elle installait des patchs et des pinces aux bras, sur le torse et aux mollets qu’elle reliait aux différents appareils. Un grand sourire irradia son visage lorsqu’elle s’occupa de mes jambes et qu’elle dut apercevoir la cage. Je faisais semblant de ne pas avoir vu mais je devais être écarlate de honte, de frustration et d’humiliation ! Elle alla voir sa collègue et lui parla discrètement. Elle se leva et en passant devant moi, elle jeta un coup d’œil sur le short et sorti avec un grand sourire. Elle revint 07 - Cardio. - D - -peut de temps après avec deux autres collègues. Quand la porte s’ouvrit et que je vis le défilé qui allait débuter, je fermais les yeux. Je les gardais très légèrement entre-ouvert pour regarder mes visiteuses me déshabiller des yeux, le peu qu’il me restait. Elles chuchotaient en me jetant des regards furtifs. Chacune à son tour, elles se mettaient en face de moi et avaient une vue plongeante sur la cage. Les commentaires allaient de bon train quand la spécialiste arriva. Avec soulagement je la saluais et les visiteuses en profitèrent pour quitter la pièce. Le médecin me ré-expliquait le déroulement et invita l’infirmière à lancer la première 08 - Cardio. - D - -injection et à installer un brassard pour la tension. Il allait la prendre toutes les minutes. Elles vérifiaient les appareils et la doctoresse débuta l’échographie des coronaires et du cœur en prenant des mesures. Elle invita l’infirmière à injecter le second produit. Dès qu’il arriva dans la veine du bras et se diffusait dans tout le corps je sentis une sensation de chaleur qui se propageait ! Mon palpitant se mit à battre de plus en plus vite. À intervalle régulier, je sentais le brassard se gonfler. Mon cœur battait de plus en plus vite et fort et des bouffées de chaleurs s’échappaient de mon corps. Après une vingtaine de minutes, le médecin demanda 09 - Cardio. - D - -d’injecter le dernier produit. Je sentis de suite mon cœur reprendre son cour normal. Après quelles que minutes, elle vérifia que tout était entrer dans l’ordre et demanda à l’infirmière de tout stopper. Elle m’expliqua qu’elle ferait un rapport qu’elle transmettrait à mon cardiologue. Avec soulagement, je voyais débrancher toutes les connexions et ôter de mon corps les patchs. L’infirmière, quand elle eut terminé, m’invita à passer dans la pièce contiguë où mon cardiologue attendait. Il m’invita à m’allonger sur sa table après s’être salué. Il fit à son tour une échographie et notait les différents résultats. Lorsqu’il eut terminé son examen, il m’invita 10 - Cardio. - D - -à me rhabiller et revenir le voir. Je repassais dans la première pièce et avec soulagement, je me rhabillais une nouvelle fois. Je retournais voir mon médecin. Il m’expliqua qu’il désirait un nouvel examen : la MAPA tensionelle car il avait remarqué de petites anomalies. Je lui demandais de m’expliquer la différence entre le Holter et la MAPA. Il me répondit !

  • -    " Le "Holter" consiste à enregistrer le cœur de manière continue c'est à dire un électrocardiogramme sur une période de 24 heures. La "MAPA"  est la Mesure Ambulatoire de la Pression Artérielle c'est à dire 11 - Cardio. - D - -la prise de la tension à intervalle régulier sur une période de 24 heures.
  • -    Je vous remercie docteur."

        Il dictait un mot pour ma généraliste. Terminé, nous nous rendions à son secrétariat pour prendre rendez-vous pour l’examen. Il me proposait le mardi prochain à 14h00. Je lui expliquais que j’avais rendez-vous à 10h00 chez le pneumologue et je lui demandais si je pouvais passer de suite après pour éviter un aller-retour. Il accepta à condition que je sois là avant 11h30. Je devrai le rapporter le lendemain à 14h00. Il attendait tous les résultats pour faire le renouvellement de l’ordonnance. Je le remerciais12 - Cardio. - D - - et nous nous saluions. Je devais encore retourner aux toilettes repositionner tous les attributs du slave. À chaque pas je ressentais les picots pénétrer dans le gland et l’excité. Cette cage est vraiment trop humiliante et dégradante ! J’arrivais dans le hall lorsque j’aperçus mes cousins en train de boire à une table. Heureusement les toilettes étaient proches de moi. Rapidement et discrètement, je traversais et je rentrais dans les premières ouvertes. Je fermais la porte à clef. Pour la septième fois de la journée, je me déshabillais. Je préparais le portable sur le bord du lave-mains et je sortais de la sacoche le collier et sa médaille, le plug N° 04, le lubrifiant et la ceinture. Avant d’enlever définitivement le short, je le photographiais. Je posais le téléphone sur le carrelage et je lubrifiais le plug. Je prenais en gros plan la petite fleur du slave. Je lui présentais son visiteur graissé et je commençais à l’introduire. Je la sentais s’ouvrir progressivement et avaler la première boule. Je maintenais le pression et elle s’ouvrit un peu plus lorsque le plug butta contre le premier anneau. Il s’ouvrit aussi sous la pression du visiteur et quand la petite fleur avala son hôte, l’anneau gobait sa boule. Je le sentais positionné entre les deux mais il se mit à pousser. Je le 13 - Cardio. - D - -maintenais un instant en place, le temps que tout le monde se calme. Je prenais alors la ceinture et je le bloquais avec. Je fermais le collier à sa place avec la médaille en avant comme commandé par Maître Michael. Je prenais les derniers clichés du slave nu avec ses attributs. Je me rhabillais enfin pour la dernière fois de la journée. Je me lavais les mains et je rageais dans la sacoche le lubrifiant et le short. Quand je fus prêt, j’ouvrai la porte et je sortais. La famille n’était plus à leur place. Je regardais autour de moi mais personne. Je sortais donc de cet établissement pour rejoindre mon véhicule et me rendre au bureau terminer ma journée de travail. Sur le trajet, je me remémorais cette journée frustrante, humiliante et avilissante pour le slave que je suis. Je me rendais compte que j’avais évité un maximum de maudire les instructions de mes Masters et les commentaires des visiteurs.

        C’est pourquoi, je remercie vivement Master Éric et Maître Michael, mes Masters, pour me faire évoluer dans la soumission et l’obéissance. Je gratifie aussi les visiteurs du blog et leurs commentaires qui alertent mes Maîtres pour mes manquements et leurs appréciations.

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Vendredi 21 octobre 5 21 /10 /Oct 06:30

Initiation hebdomadaire.

        Depuis un commentaire fait au mois de juin je n’ai plus le droit de m’asseoir sur la lunette des toilettes. Je dois le faire directement sur la faïence. Suite à différentes observations, je dois uriner les jambes écartées "comme une pute" ce qui augmente l’humiliation et la frustration d’être sous cage depuis plus de trois mois ! Des visiteurs ayant fait aussi la remarque, je n’avais jamais publié de nouveaux articles sur les toilettes du bureau depuis fin juin, mes Masters ont donc décrété, je devrais en faire un tous les mercredis jusqu’à nouvel ordre avec les photographies justificatives. Dans l’après-midi, un moment où j’étais seul, je me décidais à faire les clichés. Je prenais mon portable discrètement et je me rendais aux toilettes. Je fermais bien la porte à clef derrière moi. Je n’avais pas envie d’avoir de mauvaises surprises. Suivant les dernières remarques de mes Maîtres, je me déshabillais car, désormais, mes besoins, je dois les faire nu ce qui augmente la frustration, l’humiliation suivant le lieu. Il n’y a que les attributs du slave que je ne peux pas poser. Je gardais donc le collier et sa médaille, la cage comme la clé est au congélateur, le plug et la ceinture qui le maintien. Comme le carrelage était glacé, je gardais aussi les chaussettes. Je m’assaillais en écartant bien les cuisses conformément aux ordres et je 11---Bureau---E----.jpgprenais les premiers clichés. J’avais l’impression de pisser comme une salope. Lorsque j’avais terminé, j’essuyais les gouttes d’urine restées sur le bout de la cage. Une personne essaya alors d’ouvrir la porte. Mon cœur se mit à battre de plus en plus vite. Même aux toilettes, je ne pouvais pas être tranquille. J’avais l’impression que des collègues se doutaient de quelque chose.12 - Bureau - E - - Je me levais et je prenais rapidement une nouvelle photo de pieds. En hâte, je me rhabillais avec mon palpitant qui jouait toujours la chamade. Je tirais la chasse d’eau et j’abaissais la lunette et son couvercle pour que personne ne puisse imaginer quoi que ce soit. Je me rinçais les mains et j’ouvrais la porte. Je m’attendais à voir quelqu’un qui attendrait mais personne ! Je regardais à droite et à gauche discrètement mais rien ! Mon cœur battait toujours à tout rompre. Je me demandais et j’allais me poser la question, plusieurs fois dans l’après-midi, si un collègue avait remarqué tout le temps que j’aie passé aux toilettes ! Ne sachant pas qui était venu et encore mois si la personne m’avait vu sortir, j’avais envie de maudire mes Masters, leurs directives et les 13 - Bureau - E - -commentaires des visiteurs. Un sentiment grandissant de frustration, d’humiliation et d’avilissement envahissaient tout mon être et n’alla qu’en s’amplifiant tout le restant de l’après-midi.

        En dépit de mes sentiments de frustrations, d’humiliations et d’avilissements et un peu à contre-cœur, je remercie mes Masters de ne pas avoir eu de réflexion mais en craignant que ce ne soit pas toujours le cas. Je devrais renouveler cette opération de photo toutes les semaines et chaque fois que j’aurais envie d’uriner, je devrais me déshabiller complètement. Mes sentiments de frustrations, d’humiliations et d’avilissements ne peuvent qu’aller en grandissant ! À force, quelqu’un remarquera mes longues absences aux toilettes et se posera des questions. Je serai alors en porte à faux ! Je dois dès maintenant réfléchir à une explication plausible !

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Samedi 3 septembre 6 03 /09 /Sep 12:46

À la plage :

        J’avais pris deux jours de congés pour profiter des derniers jours ensoleillés. Mes Masters m’avaient malheureusement donné des instructions pour cette journée. Je me préparais donc pour partir de bonne heure comme j’avais un peu de route à faire. Je faisais un sac à dos avec serviettes et une bouteille d’eau comme il faisait grand beau. Je mettais en place le plug qui tient seul, j’enfilais le boxer de bain et un polo à manche courte. Toujours suivant les instructions, je prenais les premiers clichés de ma tenue. Pendant que je les faisais, je priais pour ne pas rencontrer de voisin jusqu’à la voiture et, comme nous sommes début septembre, qu’il y ait moins de monde qu’au mois d’août !

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        Avant de partir, j’enfilais un gilet sans manche où je mettais mes papiers et le portable pour prendre les clichés demandés par les Maîtres. Avant de sortir, je jetais un œil au judas pour vérifier que personne n’était dans le couloir. Je sortais et appelais l’ascenseur tout en écoutant que personne ne sorte de chez lui. Je montais dedans et j’appuyais sur le rez-de-chaussée. Lorsque les portes s’ouvrirent, j’aperçus le local de la femme de ménage ouverte. Mes plus grandes craintes se réalisaient !!! Mon cœur se mit à battre de plus en plus fort ! Je sentais le sang affluer au visage et je me sentais de plus en plus mal à l’aise. Elle avait  du  entendre  les portes  car  dès  qu’elle  m’aperçut,  elle  me saluait  et  me  disait :

  • - Vous sortez Monsieur ?

          Je lui répondais :

  • - Oui Madame, je vais au lac. 
  • - Vous êtes déjà en maillot de bain ?

          Honteux, humilié, sur le coup je ne savais quoi lui répondre. Enfin je lui disais :

  • - Effectivement Madame, comme cela je serai en tenu dès mon arrivé….

        Je me gardais de lui dire que, suivant les commandements, je devrai me mettre nu comme j’avais eu comme instruction, d’aller à la plage naturiste (naturiste officieusement). Après s’être souhaité une bonne journée, je m’empressais de gagner ma voiture. Je maudissais les instructions des Masters et d’avoir, surtout, croisé cette personne car, étant un peu commère, tout le quartier risquerait de connaître ma tenue dans quelques jours ! Je me sentais de plus en plus humilié, déshonoré et avili en pensant à cette conséquence ! Je posais le sac dans le coffre et je m’empressais à monter dans mon véhicule. Heureusement pour le slave, je ne croisais pas d’autre personne. Je me rendais donc à cette plage. Il me fallait plus de 45 minutes pour m’y rendre. Après avoir garé la voiture, sorti le sac du coffre et un transat pliant, je prenais de nouvelles photos.

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        Je prenais tout mon barda et je me rendais à la plage. Je traversais le voie ferrée et je remontais le chemin qui longe la plage. Tout le long, j’apercevais des personnes déjà en place. Je ne pensais pas qu’il y ait autant de monde à cette époque et craignais le pire pour cette journée. J’espérais que mon petit coin discret serait libre. Arrivé en bout de plage, je voyais un homme dans l’eau en face de mon petit endroit. J’en déduisais qu’il y avait déjà une personne et je posais mes affaires où j’étais arrivé. Cette plage discrète est parallèle à la voie de chemin de fer et séparée par une rangée d’arbuste et de petits arbres qui forment de petites alcôves de 15 à 30 mètres de long. Où je m’étais rendu, elle faisait une quinzaine de mètres sur deux à trois mètres de large. Je posais le sac à dos et j’ouvrais le transat car la plage est de galets et de graviers. J’installais une serviette dessus et avant de me déshabiller, je prenais de nouveaux clichés. J’enlevais le gilet et le polo et je reprenais des photos.

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        J’enlevais le boxer de bain et je remerciais mes Maîtres de ne pas avoir fait enlever la doublure noire du boxer car je m’apercevais qu’il n’était pas opaque et qu’ils n’aient pas imposé de photos dans cette tenue. Je voulais me baigner mais il y avait déjà des personnes dans l’eau. Avec le plug dans mon petit trou, le collier, la médaille de slave et surtout la cage j’hésitais à y aller et me disais qu’il valait mieux attendre qu’il y ait moins de monde dans l’eau. Je prenais mes lunettes de soleil et je m’allongeais sur le transat en priant qu’il y ait le moins de monde possible ce vendredi. Malheureusement, peu de temps après cette réflexion, un couple s’installait sur l’alcôve d’à cotée après m’avoir salué. Je leur répondais en maudissant les directives des Masters de devoir garder la cage et un plug. Heureusement, quelques arbres nous séparaient légèrement et je souhaitais qu’ils n’aient pas vu les attributs du slave. Je prenais mon livre et je commençais à lire. Au bout d’un moment, un bruit de pas dans les galets au bord de l’eau, me fit tendre l’oreille. Mon cœur se mit à battre de plus en plus vite. Sans relever la tête, je guettais l’arrivée de cette personne. Il me saluait, c’était un homme avec un min slip de bain. Je lui répondais, honteux, en espérant sans convictions, qu’il n’ait pas vu toutes les marques du slave, surtout la cage et le plug. Mon palpitant battait de plus en plus fort et je me sentais de plus en plus mal à l’aise. Il continuait son chemin jusqu’au petit coin suivant où il discutait avec la personne présente. Ils devaient se connaître. À partir de 13h00, de nouveaux couples se présentaient et, voyant ma présence, faisaient demi-tour. Heureusement pour moi, précédemment des personnes avaient fait un barbecue en faisant un foyer avec des pierres. Ils avaient aussi apporté deux troncs d’arbres pour s’asseoir, ce qui occupaient le petit bout de plage où j’étais en plus des deux ou trois rochers présents. Je m’allongeais sur le ventre pour cacher la cage mais je craignais que la base du plug se voie ! J’entendais la personne qui discutait, revenir sur ses pas. Elle s’éloignait enfin. Je faisais semblant de dormir tout en jetant un coup d’œil discrètement lorsque j’entendais un bruit de pas. Un nouvel homme s’approchait. Il me dépassait et, quelques mètres plus loin, faisait demi-tour. Je sentais ses yeux caresser mon corps, surtout le plug et la cage. Une fois de plus je maudissais les ordres de mes Maîtres, l’humiliation et la frustration que je ressentais d’être dans cette tenue. Mon cœur battait la chamade. Je voulais m’enfuire ! Malheureusement pour le bâtard, il y avait de plus en plus de monde. Si je me levais pour m’habiller, les voisins verraient les attributs. Je me sentais encore plus mal à l’aise. Dans le désagrément, plusieurs fois dans l’après midi, j’en profitais pour boire un peu d’eau. Un couple s’installait avec celui qui était près de moi. Ce devait être des amis car, après s’être fait la bise, ils se mettaient aussi nues et discutaient avec mes voisins. Plusieurs hommes passaient devant moi en scrutant mes contraintes. Je trouvais que les minutes s’égrainaient vraiment trop doucement. Une femme arriva, me saluait et elle me demandait s’il elle pouvait s’installer à coté de moi. Je la saluais à mon tour et ne pouvant refuser, je l’autorisais à s’installer ainsi j’étais certain que personne d’autre ne viendrait trop près de moi ! Après s’être mise nue, elle allait se baigner. J’en profitais pour me mettre sur le dos en essayant de cacher la cage en repliant une jambe dessus. De nouveaux hommes venaient mater le slave et ses contraintes. Mon pauvre cœur s’emballait à chaque visite. Je devais être tout rouge car je sentais le sang affluer au visage. Lorsque ma voisine revint s'étendre sur sa serviette, les curieux se firent moins présents ou plus discrets. J’avais hâte de fuir cette maudite plage. Il y avait encore trop de monde près de moi dans l’eau pour que je puisse me lever en toute discrétion. J’avais le cœur qui battait de plus en plus la chamade. Lorsque mes voisins et ma voisine allaient se baigner. Rapidement je vérifiais que personne ne pouvait me voir et j’en profitais pour vite enfiler le boxer. Mon cœur battait à tout rompre. Je pliais les serviettes et les rangeais dans le sac avec mon livre. Je repliais le transat quand ma voisine sortait du lac. Après s’être salué et souhaité une bonne soirée, je prenais mon équipement. Je regagnais ma voiture après avoir traversé la voie ferrée. Il était déjà 19h00 ! Je maudissais mes Masters pour m’avoir obligé d’allé à la plage naturiste avec la cage et le plug. Le collier et sa médaille sont déjà humiliant mais les autres attributs sont encore plus dégradants, déshonorants et avilissants ! Le temps que je regagne mon appartement et que je défasse mon sac à dos, il était 20h00. Je n’avais pas imaginé qu’il pouvait y avoir autant de monde un début septembre et encore moins rester aussi longtemps au lac. Bien humilié, frustré, déshonoré et avili, je préparais mon dîner.


        Malgré toutes les humiliations, frustrations et avilissement que le slave a pu ressentir, merci à mes Masters.

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Jeudi 1 septembre 4 01 /09 /Sep 08:40

Recto – Verso.

        Maître Michael validait la demande de Mr Alain de prendre en photo le dos du slave avec son string de bain.

 01---String-Bain---Recto---B----.-.jpg  02---String-Bain---Verso---B----.-.jpg

        Les Masters du slave lui commandèrent d’en profiter pour faire de même avec les deux derniers strings à choisir.

         Faîtes votre choix :

                                                String  1  :

 03---String---Recto---B----.-.jpg  04---String---Verso---B----.-.jpg

                                                String  2  :

 05---String---Recto---B----.-.jpg  06---String---Verso---B----.-.jpg

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Mardi 30 août 2 30 /08 /Août 12:10

Humiliant !

        Dans le récit précédent, lorsque j’ai rentré le plug dans le trou, comme il était très gros, je devais forcer pour arriver à le prendre. Lorsqu’il était enfin en place, je m’apercevais que je venais d’éjaculer ! Ce fut une frustration, une humiliation de jouir ainsi sans s’en apercevoir. Il n’y a pas plus dégradant et déshonorant que de ne pas sentir son jus monter ! J’en faisais part à mes masters ce matin. Ils m’ont alors commandés de faire un rectificatif ! C’est encore plus avilissant de devoir le reconnaître publiquement.

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Lundi 29 août 1 29 /08 /Août 12:22

Une nuit torride !

        Suite à la validation de mes Masters, je préparais les instructions de maître Dédé pour la nuit. À la fin du film, je regardais par le judas si le couloir était allumé. Comme il faisait noir, je tournais délicatement la clef et l’enlevais de la serrure. J’enfilais le short blanc, suivant les instructions de Master Michael, pour rechercher mes vêtements à la cave. Après avoir jeté un nouveau coup d’œil au judas, j’ouvrais la porte et la refermais délicatement. À tâtons, dans le noir, j’accédais à l’ascenseur et je l’appelais. Mon cœur battait de plus en plus rapidement. J’entendais la machinerie et, avec impatience, j’attendais l’ascenseur. Je n’étais vêtu que du short dessus la ceinture, le collier au coup avec sa médaille et j’étais pieds nus. Je maudissais les directives du Maître ! Lorsque les portes s’ouvrirent, j’entendais une clef tourner dans sa serrure. Je montais rapidement et appuyais sur le sous-sol. Mon cœur battait de plus en plus fort. J’entendais une porte s’ouvrir et la clef la refermer. Les portes de l’ascenseur se refermèrent aussi et il descendait. Je venais d’échapper de justesse à la confrontation d’un voisin dans une tenue plus qu’humiliante, dégradante et avilissante. Je prenais deux clichés comme preuve de ma tenue. Arrivé au sous-sol je gagnais ma cave. Avant de me rhabiller, je prenais de nouvelles photos.

 01---Ascenseur---B----.-.jpg 02---Ascenseur---B----.-.jpg 03---La-Cave---B----.-.jpg 04---Le-Short---B----.-.jpg

        Je m’empressais à m’habiller et je remontais dans mon appartement. Heureusement, il n’y avait plus personne dans le couloir et la lumière s’était éteinte. Dans le noir je regagnais mon logement et je refermais la porte à clef. Je préparais le lit suivant les instructions de Maître Dédé. Je posais une paire de pince aux seins. Après avoir graissé le plus gros plug de 7,5 cm  de diamètre par 16 cm de long, j’ôtais celui qui était en place et j’introduisais dans la petite fleur ce nouvel appendice. Fur et à mesure que le trou le gobait, je sentis mon jus monter d’un coup ! Cela faisait trop longtemps que je n’avais pu jouir étant sous cage depuis plus de 43 jours. Juste en introduisant ce nouveau jouet, je venais d’éjaculer et jouir. Je trouvais ça encore plus frustrant, humiliant et dégradant ! Je haïssais de nouveau Maître Michael et ses commandements ! Cette abstinence forcée était de plus en plus frustrante, déshonorante et avilissante. Lorsque mon trou avait gobé ce nouveau phallus, je remettais la ceinture pour le maintenir en place. Je regagnais mon lit et j’attachais les chevilles aux pieds. Je prenais de nouveaux clichés suivant les ordres de maître Dédé.

 06 - Le Lit - B - -.-  08 - Le Lit - B - -.-

07---Le-Lit---B----.-.jpg

 09---Le-Lit---B----.-.jpg 10---Le-Lit---B----.-.jpg

        Je posais l’appareil à coté de moi et j’attachais les poignets. La nuit fut très très longue ! J’avais l’impression que les minutes s’égrainaient au ralenti. Par épisodes, j’arrivais à m’assoupir un moment. Malheureusement la douleur aux seins et mon trou explosé me réveillais rapidement. J’entendais le tic tac du réveil et j’essayais de me rendormir. Je passais une nuit presque blanche où mes temps de repos étaient de plus en plus court. Quand les mamelons ne faisaient pas souffrir, s’était mon pauvre trou qui essayait en vain de pousser ! Je méprisais de nouveau les instructions que j’avais eus dans l’après-midi. La journée allait être très longue avec le peu de temps que j’arrive à me reposer. La position était de plus en plus humiliante, dégradante et déshonorante. Lorsque le réveil sonna enfin, il était 6h00 du matin ! Je venais de m’assoupir peu de temps avant. Trop content que le matin arriva enfin, je me détachais et j’ôtais les pinces. Je prenais en photo mes pauvres seins endoloris.

11 - Le Torse - B - -.-

 12 - Le Torse - B - -.- 13---Le-Torse---B----.-.jpg

        Je me levais, et suivant les dernières instructions, je prenais des clichés du plug qui sortait de son garage de la nuit. Je mouillais comme un âne. C’était encore plus frustrant, humiliant et méprisable !

 14---Le-Plug---B----.-.jpg 16---Le-Plug---B----.-.jpg 17---Le-Plug---B----.-.jpg

 18---Le-Trou---B----.-.jpg 19---Le-Trou---B----.-.jpg 20---Le-Trou---B----.-.jpg

        Après être allé aux toilettes uriner, je remettais en place un plug dans la petite fleur du slave pour la journée. Je commençais la rédaction du rapport et je saluais Maître Michael qui me rappelait les futures directives qui seront tout aussi humiliantes, dégradantes et avilissantes. Le prochain mois de septembre allait être encore plus difficile, plus déshonorant et plus méprisable pour le slave. Je crains que les humiliations aillent crescendo….

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Dimanche 28 août 7 28 /08 /Août 16:27

La petite fleur du slave :

        À la demande de maître Dédé, je préparais le portable par terre et je m’accroupissais pour prendre mon petit trou. Je trouvais la situation vraiment très humiliante, dégradante et avilissante. Je maudissais ses instructions et mes Masters de les avoir validées. Je sortais le plug et avant que ma petite fleur ne se referme, je prenais les premiers clichés.

01---Le-Trou---B----.-.jpg

 02---Le-Trou---B----.-.jpg  03---Le-Plug---B----.-.jpg

 04---Le-Plug---B----.-.jpg  05---Le-Plug---B----.-.jpg

06---Le-Plug---B----.-.jpg

        Je prenais le nouveau plug (7 cm X 16 cm) que j’avais graissé. Je le présentais à mon petit trou et je l’enfonçais progressivement. Je sentais ma petite fleur s’ouvrir et avaler ce nouveau plug. Je prenais des clichés au fur et à mesure que mon trou avalait ce nouveau plug. Lorsqu’il était rentré à fond, je prenais un dernier cliché et je remettais la ceinture pour le bloquer en place.

        L’entraînement continue pour ouvrir ce trou afin de pouvoir prendre le nouveau plug que maître Dédé a demandé de commander.

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Samedi 23 juillet 6 23 /07 /Juil 08:39

Des tétons en feu !

        Maître Dédé donnait au slave des instructions pour sa sieste du dimanche. Il se préparait suivant ses directives. Il posait un bâillon cuir et des pinces aux seins. Il avait comme à l’accoutumé, son collier et sa médaille de slave, sa cage qui emprisonne son pénis, un ballestrecher pour étirer ses testicules et un plug pour boucher son trou avec la ceinture afin qu’il ne puisse pas bouger. Il s’allongeait pour une sieste. Les tétons du slave étaient en feu et le faisaient bander. Il avait envie de se branler pour jouir mais impossible avec cette malencontreuse cage !  Le slave arrivait enfin à s’assoupir et restait ainsi plus de 40 minutes. La sieste terminée, il ôtait le bâillon et les pinces mais gardait le reste.

  02---La-Sieste---B----.-.jpg 03---La-Cage---B----.-.jpg 04---La-Chaine---B----.-.jpg

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  • : Sous-Merde propriété de Master Eric et Maître Mickaël. Il fait aussi ce que les Visiteurs demandent. Ce n'est pas un mâle mais une sous-merde, et il doit être traité comme tel. À la disposition de tous les Maîtres et slaves au Téléphone, en Web-cam sur Smboy ou Skype... Prises de photo et rapports publiés ensuite sur le blog sous le contrôle de ses Maîtres.
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