Vendredi 11 août
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/Août
07:15
Mercredi 9 août.
Je passais une
nuit blanche. Chaque fois que j’essayais de m’endormir, les pics de la cage empalaient mon malheureux gland. Plus je tentais de me détendre et plus la cage martyrisait ma pauvre queue ! À mon
grand désespoir, elle avait des fuites et drainait des secrétions séminales qui mouillait ma cuisse. Sur le matin, je me décidais à me lever. Après un bon café pour démarrer la journée, je
passais à la salle de bain. Je faisais un nettoiement complet de la geôle et de son prisonnier espérant que cela le calmerait ! Après la douche, je mettais en place pour la journée, le plug N° 04
et sa ceinture pour le maintenir en place. Cette mise en place provoquait la reprise du problème ! Je me remettais à mouiller de la queue. Je séchais cette fuite incongrue. N’ayant pas l’anneau
adéquat pour la ceinture, j’utilisais le cockring en
place pour fermer cette dernière. Le problème est que son
diamètre est plus petit que l’anneau d’origine ce qui augmente la compression de la base de la bite du slave. Cela cause aussi, avec le temps des
sensations de
brûlures au pubis et au périnée. La journée serait longue et humiliante !
Je me rendais au travail sous une pluie battante. Chaque nouveau
pas était devenu un calvaire ! Le plug jouait avec le côlon et la cage empalait ma malheureuse queue. Je sentais se coller sur la cuisse des fuites inopinées. Heureusement, j’avais un pantalon et
donc aucun risque de
mauvaise surprise qui dépasserait d’un short. J’arrivais à
destination et je saluais les collègues, les parents et les enfants présents. Je montais à l’étage. Chaque nouvelle marche était, elles aussi, dégradantes pour les mêmes raisons. Je mouillais de
la queue de plus en plus ! Je ressentais ces fuites indécentes se coller sur la cuisse gauche. En prenant place à mon poste de travail, je sentis l’intrus pénétrer un peu plus profondément dans
mon côlon. Le premier anneau en profitait pour gober la boule supérieure et se stabiliser entre les deux. J’ouvrais le tiroir du bureau pour prendre le marqueur et je l’installais dans la poche
frontale de la chemise. Je me mettais au travail. Sans bouger, mon petit monde se calmait progressivement et je pouvais me concentrer sur mon labeur.
Depuis la
canicule, j’ai une bouteille d’eau sur le coin de mon plan de travail et régulièrement, j’en bois une gorgée. Tout ce qui entre par un bout doit ressortir par son extrémité…. Un peu avant 11
heures du matin, ma vessie atteignait le seuil critique. L’envie devenait de plus en plus pressente. Je me décidais à prendre une pause pour me rendre aux toilettes. Je vérifiais que personne
était en vue dans le couloir. Dès que je me levais et que je me mettais en route, mon petit monde se réveillait.
L’anneau
faisait des vas et viens entre les boules. Les pics de la cage empalaient le pauvre gland excité. Je pressais le pas et je fermais derrière moi, la porte des toilettes. J’installais sur la
tablette le téléphone et le marqueur. À la demande de plusieurs utilisateur, l’homme d’entretien venait d’installer des patères sur les portes intérieures. J’ôtais ma chemise, mon jeans que
j’accrochais. Mes baskets et mes socquettes patientaient sur le carrelage. Pieds nus, je sentais le froid de celui-ci monter dans mes jambes. Je relevais, à contre-cœur, la lunette des toilettes.
Une nouvelle fois en tenue d’Adam, assis sur le bord de la cuvette, je notais sur ma cuisse gauche la date du jour : "Mercredi 9 août". J’attrapais le téléphone et je la photographiais. Je
m’asseyais
sur la faïence glacée, les fesses gelées, les jambes écartées
comme le demandent mes Masters. Je prenais les clichés suivant tout en soulageant ma vessie. C’est vraiment trop humiliant et dégradant de devoir prendre ces photos intimes. En me relevant, je
prenais une photographie du collier.
M’apercevant que la médaille était restée dans le dos, je la
plaçais sur le torse. Les pics n’avaient pas arrêté d’empaler le gland qui, excité, provoquaient une érection contrariée par la cage. Ma malheureuse queue est tellement à l’étroit dans celle-ci
qu’elle tente une sortie par les trous d’aération. Mon pauvre gland est, lui aussi, tellement enserré que la collerette tente un échappement par une autre alvéole. Il est de plus en plus empalé
par son geôlier. Je ne cesse de la maudire ! Mon trou poussait toujours. Je me baissais et déplaçais le bloc-plug. Je retenais en vain l’intrus qui sorti instantanément. Un gémissement s’échappa
! Mon
palpitant se mit à battre la chamade. Je faisais silence et
vérifiais que personne ne m’avait entendu. Ma petite fleur mouillait comme une vraie s…. Je le remettais en place et je l’immobilisais avec la ceinture. En me relevant, humiliation ultime ! Le
faite d’avoir aéré l’invitée, je mouillais aussi de la bite. Je savais, à contre-cœur, que mes Masters seraient heureux de voir cela. En regardant dans le miroir, je vis que la médaille n’était
pas dans le bon sens. Je lui faisais faire un demi-tour pour que le N° du slave apparaisse. Je prenais un dernier
cliché de
pieds. Tous les témoins dans la boite, je déposais le téléphone sur le bord du lavabo. J’enfilais mes chaussettes et je me rhabillais avec soulagement. Je rangeais l’appareil photo et le marqueur
dans la poche frontale de ma chemise. Je tirais la chasse d’eau et je me rinçais les mains. Après les avoir séchés, je faisais un instant silence. N’entendant aucun bruit, je me décidais à
sortir. Je passais à la salle de repos pour boire un jus de fruit. De nouveau, à chaque pas le convive jouait avec le côlon et la cage empalait ma malheureuse queue à l’étroit. Lorsque j’étais
bien rafraîchi, je regagnais mon poste de travail. Avec soulagement, je reprenais place sur mon fauteuil. Je rangeais dans son tiroir le marqueur et le téléphone dans ma veste. Je reprenais mon
labeur.
Je remercie mes Maîtres pour cette nouvelle journée. De continuer
mon éducation et de la faire évoluer dans les sphères de la soumission.
Bonjour Master ERIC et Maître MICKAEL,
Beaucoup d'efforts pour les photos, MAIS rasage incorrect, non présentation des socquettes, datation incomplète, keyholder illisible. ( soit 4 rappels réitérées ).
Aucune mention du nettoyage de la mouille bien visible qui s' est accumulée au sol.
L' on imagine les pensées de votre bastard qui provoquent ces tentatives d' érection nocturne.
Belles photos bien faites, espérant que la Larve sera jalousée par d'autres soumis lecteurs
Mr Alain44
Bonjour Master Éric et Maître Michael,
Je remercie Mr Alain pour être d’accord avec ma proposition sur l’ouverture de la rondelle de votre sous-merde. Nous espérons donc que cette proposition sera appréciée et validée par les Maîtres de la salope.
Je propose pour votre pute :
Je rejoins Mr Alain :
Je préconise pour la rentrée et pour passer un nouveau cap :
Master Phénix.