Le blog de Bâstard à KC Sous Merde n°411-103-335

  Bienvenue sur le blog de Bâtard a KC : Sous Merde N° 411-103-335, sous le contrôle de Master Éric et Maître Michael. Il doit faire ce qui lui est demandé sans rechigner. N’hésitez pas à laisser des commentaires sur les différents articles qu'il publie sous nos ordres.

  Il fait aussi ce que les visiteurs demandent. Ce n'est pas un mâle mais une sous-merde, et il doit être traité comme tel.

  Sous cage de chasteté, nous seuls, ses Maîtres, décidons de ses jouissances afin de le purger de son jus pourris qui ne sert à rien.

  N'hésitez pas à laisser des commentaires dans les différents articles publiés ici par notre sous merde ou nous même. Cela l'humiliera  d'autant  plus.  Son  adresse  est  dorénavant  la  suivante  :        slave.411103335@gmail.com

   Nous la contrôlons entièrement. Nous nous chargerons de vous répondre ou notre slave vous transmettra nos commentaires.

  Notre Sous-Merde est à dispos de tous mâles souhaitant l'utiliser en Cam ou en Réel avec prises de photos et rapports publiés ensuite sur le blog. Même les soumis peuvent l'utiliser car son statut est inférieur à eux et il leur doit respect, soumission et obéissance.

Mercredi 7 décembre 3 07 /12 /Déc 07:39

Le mercredi 23 novembre :

16 - Bureau - D - -         En arrivant au bureau j’avais mon malheureux trou tout excité. Il n’arrêtait pas de pousser et j’avais oublié de prendre des suppositoires pour le calmer mais la ceinture empêchait le plug de sortir ! J’avais eu du mal à conduire jusqu’au travail avec mon pauvre trou dans cet état. De plus, cette excitation s’était propagée à mon pauvre pénis en cage. À chaque pas, je sentais les picots exciter mon malheureux gland qui obligeait la verge à se gonfler encore un peu plus. Un vrai cercle vicieux, cette situation frustrante, humiliante et dégradante !17 - Bureau - D - - Je regagnais mon poste de travail tout en saluant mes collègues déjà concentrés sur leurs besognes. J’avais dans la poche de ma sous-veste un feutre noir ordinaire trouvé chez moi. J’avais fait un essai concluant. Pour enlever les marques avec celui-ci, un peu de savon sur un gant de toilette suffisait. Il n’y avait pas besoin de frotter pour enlever le marquage que je devais dorénavant  écrire sur la cuisse. Je le conserverai bien précieusement d’autant plus que ce midi j’aurai qu’un petit laps de temps pour ôter la date car je déjeunerai avec des cousins et l’après-midi j’avais rendez-vous chez le cardiologue. Je devais réaliser la prestation hebdomadaire impérativement ce matin. Une journée bien chargée en contraintes et humiliations de toutes sortes ! La journée allait être très longue, frustrante et dégradante. J’attendais le moment où j’aurai envie d’uriner pour aller aux toilettes et réaliser cette corvée avilissante. En attendant, je me mettais au travail. Je vérifiais les animations et les manifestations de la semaine prochaine. Je passais des appels téléphonique pour vérifier que tout serait prêt le jour et à l’heure prévu. Enfin, une envie commença à titiller ma vessie. Je terminais ce que je 18 - Bureau - D - -faisais pour rien oublier. Je vérifiais le portable et le feutre dans la poche frontale de la sous-veste. J’observais les allers et venus de mes collègues pour attendre un instant où je pourrai m’éclipser discrètement aux toilettes. Après une attente fructueuse, je me retrouvais seul. Je vérifiais qu’aucun collègue n’était en approche. Je me décidais d’en profiter pour me rendre aux toilettes discrètement. Je refermais derrière moi la porte à clef pour éviter tout malentendu ! Je posais le feutre et le téléphone sur le bord du lavabo. Je me déshabillais encore une nouvelle fois en stockant mes affaires sur le bord du lave-mains. Dès que je mis les pieds sur le carrelage, je sentis son froid glacé à travers mes chaussettes. Un petit frisson me secoua de la tête aux pieds et l’envie d’uriner devenait encore plus irrésistible. Avec le feutre, j’écrivais sur la cuisse gauche la date du jour soit le 23-11 pour confirmer que la servitude a bien été réalisée en temps et en heure. Le port du holter aurait pu suffire comme certification. Je m’empressais à lever la lunette des toilettes, à contre-cœur et je m’assaillais sur la faïence de la cuvette car l’envie devenait de plus en plus pressante. Dès19 - Bureau - D - - que je fus assis j’ouvrais le robinet et, avec soulagement, la vessie se vidait progressivement. J’en profitais pour prendre les premiers clichés. Devoir faire cette contrainte toutes les semaines, à date régulière, est de plus en plus frustrante, humiliante et dégradante ! Au fur et à mesure que je me soulageais, mon pauvre trou se mit à pousser. Heureusement la ceinture empêchait le plug de sortir ! Mais quelle humiliation et avilissement de ressentir un soulagement en urinant et en même temps la petite fleur s’exciter sur le plug ! Je n’avais toujours pas de suppositoires pour calmer le côlon. Je faisais mon possible pour l’apaiser sans faire de bruit et de gémissement. Mais quelle frustration de sentir son trou excité et ne pouvoir en profiter et se masturber ! À regret, je calmais tout ce petit monde et je séchais les gouttes d’urine sur le bout de la cage. J’allais me lever lorsqu’une personne essaya d’entrer. Je ne bougeais pas pour ne pas faire de bruit. Je l’entendis utiliser celle des femmes. J’attendais quelles que secondes et je me levais 20 - Bureau - D - -discrètement. Je prenais de nouvelles photos de mon pauvre pénis emprisonné dans sa cage et du slave en pieds. Quand j’avais terminé de photographier, sans faire de bruit, je m’empressais de me rhabiller pour la quatrième fois de la matinée. J’avais l’impression de faire que ça : me déshabiller et me rhabiller ! Quelle frustration et humiliation ! Je tirais la chasse d’eau et je me rinçais les mains. En me séchant les mains, j’entendis la porte voisine s’ouvrir. Je patientais encore un instant que mon voisin s’éloigne. Je pouvais enfin sortir pour rejoindre mon poste. J’inspectais autour de moi avant de le regagner mais, à chaque pas que je faisais, je sentais les picots exciter mon malheureux gland qui devait faire gonfler un peu plus le pauvre pénis qui s’empalait sur les pics. Encore et toujours ce cercle vicieux ! Je me remettais à l’ouvrage en m’assaillant et en espérant que tout mon petit monde se calmerait.

        Je dois tout de même remercier mes Masters de me faire évoluer bien que je maudisse encore parfois certaines directives frustrantes, humiliantes et dégradantes.

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Mardi 6 décembre 2 06 /12 /Déc 08:03

02---Medecin---D----.jpgUne nouvelle consultation.

        Je me levais de bonne heure car j’allais avoir une journée très chargée. Avant que la famille se lève, je passais rapidement à la salle de bain pour faire ma toilette comme je pouvais avec le Holter que je portais. La veille au soir ils m’avaient demandé de voir l’appareil. J’avais levé le pull légèrement pour le faire voir tout en cachant les attributs du slave. Ils avaient plaisanté sur ma soi-disant pudeur. Comme je ne pouvais leur révéler les vrais raisons de cette pudeur, j’encaissais leurs remarques, frustré, humilié et avili par des proches que j’apprécie ce qui augmentaient encore plus mes sentiments d’infériorités humiliés. Heureusement, j’avais pris avec moi mes affaires pour m’habiller dans la salle de bain car j’entendis un de mes cousins se lever. Après s’être salué, je préparais le petit déjeuné et je lui expliquais que j’allais partir de bonne heure car j’avais ma consultation mensuelle chez ma généraliste sans pouvoir lui avouer les autres instructions. Je 01 - Médecin - D - -passais dans ma chambre pour enfiler ma veste et mettre le jock-strap avant de partir car j’étais déjà en retard. Je me garais un peu à l’écart pour enlever les attributs du slave soit le collier et sa médaille, le plug N° 04 que je roulais dans du sopalin et la ceinture. Je rangeais-le tout dans ma sacoche. J’essayais de repositionner le sous-vêtement qui cachait que pour le principe. Je craignais de mouiller car 03 - Médecin - D - -mon malheureux pénis était gonflé un maximum dans sa cage et les picots rentraient dedans et excitaient le pauvre gland d’autant plus que je n’ai pas de prépuce pour le protéger. Plus il était piqué, plus mon pénis essayait de grossir et plus la stimulation du gland s’accroissait, un vrai cercle vicieux, frustrant et humiliant. Heureusement, en sortant du véhicule, le froid glacial le calma un bref instant. Je rentrais chez le médecin. Je saluais le secrétaire et ma généraliste me fit entrer dans son cabinet. Comme d’habitude elle me convia à me déshabiller ! Tout en m’exécutant, je l’informais que je portais le Holter. Elle me répondit, à mon grand soulagement, que la consultation serait plus rapide ne pouvant prendre toutes les mesures. Elle m’invita à m’installer sur sa table. C’est à ce moment là qu’elle fit la remarque ironiquement :

  • "- Tu as remis ton super mini sous-vêtement ! Je n’avais pas fait 04 - Médecin - D - -attention que non seulement tu avais rasé ton corps de près mais tu as fait aussi ton pubis ! Marina n’aime pas les poils ?"

  Suite à cette réflexion, je ne savais quoi répondre et je me sentais, une  nouvelle fois, humilié et avili. Je maudissais les instructions de me raser entièrement et les sous-vêtements qui 05 - Médecin - D - -avaient été retenus ! À part le boxer blanc, les autres ne cachaient presque rien ! Je lui répondais humilié, honteux et sans conviction :

  • "- Quand on aime, on ne compte pas…"

        Elle continua son travail et lorsqu’elle eut terminé, elle m’invitait à me rhabiller. J’avais le cœur qui battait la chamade. Je me sentais très 06 - Médecin - D - -mal à l’aise une nouvelle fois. Ces consultations sont toujours autant humiliantes dégradantes et avilissantes ! J’ai du mal à m’habituer au corps imberbe forcé et à ces tenues et, surtout, aux réflexions et interrogations qui en découlent ! La cage faisait aussi des siennes avec ses pics ! Ils excitaient de plus en plus mon malheureux gland sans protection qui faisait gonfler mon pauvre 07 - Médecin - D - -pénis qui se retrouvait embroché sur les picots…. Sans demander mon reste, je m’empressais à me rhabiller le temps qu’elle remplisse mon ordonnance. Terminé, je la rageais dans une pochette que je glissais dans la sacoche. En me raccompagnant à la     porte elle me saluait. J’en faisais autant en retour. Je passais voir le secrétaire pour le prochain rendez-vous dans 08 - Médecin - D - -quatre semaines. Je le saluais et je regagnais ma voiture sans me retourner. Mon pauvre palpitant battait toujours aussi fort et rapidement. Malgré le froid, je sentais les picots torturer le malheureux gland…. Je montais dans ma voiture et je me dirigeais vers la galerie marchande la plus proche car Maître Michael avait demandé que je me change dans des toilettes publiques. Je 09 - Médecin - D - -me garais sur le parking qui se remplissait déjà malgré l’heure précoce. Je me dirigeais vers les toilettes qui étaient prises d’assaut par les premiers visiteurs. Un froid glacial y régnait car une porte de secours était restée ouverte non loin de là. Je dus attendre plus de quinze à vingt minutes pour que les plus grandes toilettes se libèrent car c’est la seul avec une cuvette et des 10 - Médecin - D - -patères les autres sont à la turque et n’ont rien pour accrocher ou poser des vêtements. Je me demandais qui était dedans et ce qu’elle pouvait faire tout ce temps. Mon imagination allait bon train quand la personne sortit enfin ! Je m’empressais à la remplacer et je commençais à me déshabiller une nouvelle fois après avoir bien refermé à clef la parte. Je posais mes premiers vêtements sur un accoudoir et je posais dessus le portable en équilibre. J’accrochais les autres avec la sacoche. Avant d’ôter le jock-strap, je prenais les premiers clichés. Malgré le froid du carrelage et la température ambiante glacée mon malheureux pénis était toujours maltraité par les picots de la cage. Je la prenais en gros plan. Mon gland continuait à s’exciter sur les pics ! Je ressentais une grande frustration, une humiliation dégradante. Je lubrifiais le plug à deux boules et je posais à terre le téléphone. Je prenais ma petite fleur soulagé de toutes contraintes. Ce qui n’allait plus durer ! Je présentais le plug 11 - Médecin - D - -à mon petit trou. Je le poussais pour l’ouvrir tout en prenant des photos. Je sentais mon orifice s’ouvrir et prendre la première boule. Je continuais la pression et mon petit trou goba la seconde boule. Je le maintenais un instant avant de poser la ceinture et de le bloquer définitivement. Je terminais par poser le collier et je prenais les derniers clichés. Le travail terminé et les attributs du slave en place, je me rhabillais précipitamment car j’étais frigorifié et qu’une personne avait essayé d’ouvrir la porte. Je rangeais rapidement dans la sacoche le jock et le lubrifiant. Je me lavais les mains et je regagnais ma voiture. En m’asseyant sur le siège, je sentis le plug pénétrer encore plus profondément. La première boule joua avec le premier anneau ! Je sentais mon trou tenter de pousser ! Conduire dans ces conditions avec un tel plug dans le cul n’est pas la solution idéale ! Je déposais l’ordonnance à la pharmacie avant de rejoindre mon bureau. Heureusement j’avais prévenu que je serai certainement en retard ce matin.

        Merci à mes Masters pour me faire évoluer dans l’obéissance, la soumission et aux visiteurs pour leurs commentaires instructifs.

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Dimanche 4 décembre 7 04 /12 /Déc 07:30

01---Holter---D----.jpgPose du holter.

        En premier, je prie mes Masters et les visiteurs du blog de bien vouloir m’excuser pour le retard que j’ai pris dans la rédaction 02 - Holter - D - -et la publication de mes rapports. J’ai reçu du monde chez moi pour visiter la personne hospitalisée. De plus, j’avais des dossiers en retard, des manifestations à organiser cette semaine et de nouveaux examens à réaliser que je vous communiquerai dès que j’ai les dates.

        Mardi 22 novembre, j’avais rendez-vous pour la pose du holter pendant 24 heures. Je me rendais donc à l’hôpital. Maître Michael m’avait demandé de porter le boxer blanc pour cette pose. J’arrivais et je passais rapidement aux toilettes pour me changer. J’enlevais 03---Holter---D----.jpgtous les attributs du slave et j’enfilais rapidement le boxer ayant pris du retard. Je montais en cardiologie où une infirmière m’accueillait. Elle m’introduisait dans une pièce de visite et me demandait de me mettre torse nu et baisser un peu mon pantalon. Je posais mes affaires sur la table d’auscultation. Je baissais mon jeans et elle commença à installer l’appareil. Elle débutait en posant les patchs sur le torse et s’aperçu que j’étais rasé de près. Tout en les posant, elle me faisait la remarque avec un petit sourire en coin. Honteux et humilié, je lui répondais d’une voix hésitante, après un instant d'incertitude, que c’était pour le lendemain quand elle devra les enlever pour éviter d’arracher les poils. Malheureusement, elle remarquait aussi que mon pubis était lisse comme le reste du corps et la bosse dans le sous-vêtement provoqué par la cage. Elle souriait de plus belle ! 04---Holter---D----.jpgJe me sentais très mal à cet instant. Elle installait une ceinture où elle accrochait l’appareil. Elle branchait tous les patchs au boîtier et, avec du sparadrap, elle faisait tenir toutes les connexions sur le torse. Lorsqu’elle eut terminé, elle m’invitait à me rhabiller. Je m’exécutais sans dire un mot. Après 05 - Holter - D - -avoir mis mon maillot de corps, je remontais mon pantalon par-dessus le boîtier. Je terminais en enfilant mon pull à col roulé et ma veste. Je la saluais et nous nous donnions rendez-vous le lendemain à la même heure pour enlever l’appareil et faire les examens avant la consultation. Je m’empressais à m’enfuir de ce service où je m’étais sentis très 06 - Holter - D - -humilié, frustré et avili par les regards, les sourires narquois et les réflexions de l’infirmière. Je regagnais le rez-de-chaussée et me dirigeais vers les toilettes pour la deuxième étape de mon humiliation du jour. À chaque pas que je faisais, je sentais mon malheureux pénis torturé par les pics de la cage. Encore plus humiliant, ces pics stimulaient mon pauvre gland ce qui augmentait 07---Holter---D----.jpgmon excitation. Après avoir fermé la porte à clé je me déshabillais une nouvelle fois suivant les ordres que j’avais reçus. Je prenais les premières photographies avec le boxer que j’avais été autorisé à porter avant de l’enlever sans savoir quand je pourrai le porter de nouveau. Malgré le froid du carrelage que je le sentais, à travers les chaussettes, remonter dans mes mollets. Mon pauvre pénis était toujours mal traité par les picots. Je prenais la 08 - Holter - D - -cage en gros plan. Je préparais le plug N° 04 par terre après l’avoir lubrifié. Je positionnais le portable à coté et après avoir pris ma petite fleur en photo. Je commençais l’introduction de la première boule. Je sentais mon trou s’ouvrir 09 - Holter - D - -et le gober. Je continuais à pousser pour rentrer la deuxième tout en faisant de nouveau clichés à chaque 10 - Holter - D - -étape. Devoir tout photographier augmentait ma frustration, mon humiliation et mon avilissement. Lorsqu’il fut en place, je m’empressais à fermer la ceinture pour le maintenir en place. Enfin, j’installais le collier et sa médaille autour du coup. Quand tous les attributs du slave ont été remis en place, je me rhabillais une nouvelle fois. Je sortais de l’hôpital et me dirigeais vers ma voiture pour regagner mon bureau.

        Merci à mes Masters pour cette nouvelle étape.

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Samedi 19 novembre 6 19 /11 /Nov 08:01

Le mercredi 16 novembre 2016 :

12 - Bureau - D - -         Mr Alain, dans ses commentaires, avait demandé que le slave note sur sa cuisse gauche la date de la corvée hebdomadaire. Il faisait part à Maître Michael de cette sollicitation qu’il, malheureusement, s’empressa de valider ! J’arrivais donc au bureau un peu en avance pour chercher un feutre pour cette nouvelle contrainte. J’essayais sur la paume de la main les stabilos que j’avais mais le résultat n’était pas concluant. Je cherchais donc un feutre noir ou bleu sur les autres bureaux. Je trouvais un marqueur noir chez le directeur que j’empruntais. Un groupe avait réservé une salle pour une formation. Mon malheureux pénis devait être gorgé car à chaque pas que je faisais, je sentais les picots de la cage pénétrer dans le gland et la verge. Plus ils pénétraient et plus mon pénis se gonflait et plus je les sentais pénétrer et exciter mon pauvre gland ! Cette torture devenait un cercle vicieux et je maudissais cette cage car ce n’était pas la première fois que ça arrivait ! Ce supplice me donnait une envie grandissante de me masturber, de jouir et me vider enfin les couilles…. Je haïssais cette maudite cage de chasteté et cette abstinence forcée !

          J’avais, en avance, rangé dans une des poches frontales de ma sous-veste, mon téléphone portable et dans l’autre, j’introduisais le marqueur. Je m’installais à mon poste et 11 - Bureau - D - -commençais mon travail. Les collègues me saluaient au fur et à mesure qu’ils arrivaient. Le groupe arriva aussi et s’installa dans notre salle de réunion. De mon poste de travail, je voyais un défilé permanent de personnes allant aux toilettes. Je ne comprenais pas pourquoi, certaines y retournaient plusieurs fois. Dans la matinée, une envie d’uriner se fit sentir. Je terminais ce que je faisais. Ne pouvant plus attendre, je me décidais à m’y rendre. Je rentrais dans les toilettes hommes et je compris de suite le problème. Il n’y avait plus de lumière ! L’ampoule avait rendu l’âme…. Étant libre, je passais dans les toilettes des femmes. Il n’y avait plus que celle-ci de disponible ! Elle était prise d’assaut ! J’avais, à 13 - Bureau - D - -peine, fermé la porte à clé que déjà une personne essayait d’entrer. Je l’entendis pénétrer à coté et ressortir aussitôt lorsqu’elle se rendit compte du manque de lumière. J’allais être plusieurs fois dérangées ! Je maudissais la corvée hebdomadaire ! Je posais sur le bord du lave-mains le marqueur et le téléphone. Je m’empressais à me déshabiller et je posais, au fur et à mesure, mes vêtements sur le bord du lavabo. Avec le marqueur, comme l’avais demandé Mr Alain, je notais sur ma cuisse gauche la date du jour soit le 16-11 ! Je relevais la lunette et je m’assaillais avec le portable d’une main. Le robinet ouvert, je vidais ma vessie avec soulagement. J’en profitais pour prendre les premiers clichés. Une nouvelle personne essaya d’ouvrir la porte. Impossible d’uriner tranquillement ce matin !!! Je sentais le froid du carrelage malgré les chaussettes aux pieds. Il fallait que j’accélère le mouvement mais avant, je devais me soulager entièrement. Je continuais en sentir les picots exciter mon malheureux gland ce qui faisait gonfler mon pauvre pénis encore plus martyrisé par ces pics ! Je haïssais de plus en plus cette cage qui, non seulement m’empêche de me masturber mais en plus maltraite ma pauvre petite queue, ce qui augmente encore plus ma frustration, mon humiliation et mon 14 - Bureau - D - -avilissement. Je maudissais aussi mes Masters de m’avoir imposer cette cage ! Ma vessie enfin vidangée, je la séchais avec du papier toilette. Je me relevais et je prenais en photo cette maudite cage de pieds puis en gros plan avec mon malheureux pénis maltraité. Je faisais un dernier cliché de pieds lorsqu’une nouvelle personne essaya d’ouvrir le porte des toilettes femmes. Je devais accélérer le mouvement. Je me dépêchais à me rhabiller et à ranger dans les poches frontales le marqueur et le téléphone. Je tirais la chasse d’eau et je m’empressais à me laver les mains. Une nouvelle personne était déjà à la porte. Je lui demandais encore 30 secondes le temps que je m’essuie les mains. J’ouvrais enfin la porte et je me retrouvais devant une femme. Je la priais de bien vouloir m’excuser d’avoir dû aller dans ces toilettes. Elle me répondit qu’elle comprenait. Je retournais à mon bureau mais à chaque pas je sentais les picots pénétrer et exciter mon malheureux pénis et ma pauvre verge. Encore plus humiliant, dégradant et frustrant. Impossible de ne pas penser à mes Maîtres ! Je sentis alors, une goutte d’urine couler le long de ma cuisse. Mon malheureux pénis, étant maltraité et gonflé un maximum, avait dû bloquer cette dernière réserve d'urée. Je maudissais cette ampoule grillée qui m’avait forcé d’utiliser les toilettes des femmes et qui m’avait obligé de me 15 - Bureau - D - -presser pour la réalisation de la contrainte hebdomadaire. Je reprenais le travail mais les problèmes n’étaient pas terminés ! Le midi, je rentrais chez moi pour déjeuner. Etant seul, j’en profitais pour passer à la salle de bain. Avec du savon, j’essayais d’ôter l’inscription sur la cuisse. Malheureusement le feutre que j’avais emprunté était un marqueur indélébile ! Impossible de faire disparaître cette maudite date avec seulement du savon ! Je prenais un "scotch-britch" et après l’avoir savonné, je frottais pour faire disparaître cette nouvelle contrainte. Ma malheureuse cuisse rougissait et chauffait de plus en plus. Les picots maltraitaient toujours mon pauvre gland et mon pénis éprouvé ! Je pensais, pour la semaine prochaine, je devais trouver un autre feutre car ce marqueur était le point d’orgue de mon humiliation, de ma frustration et de mon avilissement du jour !

          Je dois tout de même remercier mes Masters de me faire évoluer dans ma soumission.

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Vendredi 11 novembre 5 11 /11 /Nov 08:41

Le mercredi 9 novembre 2016 :

        L’hiver est arrivé ! En me rendant au bureau, les voitures étaient blanches de givre et 06 - Bureau - D - -la neige commençait à tomber. Heureusement dans la matinée, la température remontait et la neige se transformait en pluie diluvienne. Je m’installais à mon bureau et je me mettais au travail. Les collègues me saluaient au fur et à mesure qu’ils arrivaient et me croisaient. Je pensais, à regret, à la corvée hebdomadaire que je devais réaliser. Je devais attendre un moment07---Bureau---D----.jpg où je serai seul et que personne ne me voit aller aux toilettes. Par bonheur pour une fois, cela ne dura pas longtemps car mon collègue devait recevoir une personne en entretien. Lorsque son rendez-vous arriva, après m’avoir salué, ils allèrent dans la salle de réunion. J’allais être tranquille un moment. J’avais déjà mis mon téléphone portable dans une des poches frontales de ma sous-veste sans manche. Je me levais en jetant un coup d’œil autour de moi. Personne en approche ! Je prenais mon courage à deux mains et je me rendais aux toilettes. J’en avais bien besoin car ma vessie était pleine et commençait à être au maximum. L’envie d’uriner devenais vraiment très pressante. J’avais de plus en plus besoin de vider ma vessie rapidement. Je fermais la porte derrière moi. Je sortais le portable et je le posais sur le bord du lave-mains. Je me déshabillais et je plaçais les vêtements pliés sur le bord du lavabo. 08---Bureau---D----.jpgJ’enlevais les baskets et en posant les pieds sur le carrelage, je sentis le froid monter dans mes jambes malgré les chaussettes que je gardais. Les carreaux glacés me donnaient encore plus envie d’uriner et l’envie devint encore plus irrésistible. À contre cœur, je relevais la lunette des toilettes. Je prenais le mobile dans une main et je m’assaillais sur la faïence des toilettes. Suivant les instructions de mes Masters et des visiteurs, pour bien écarter les jambes, je me positionnais bien en arrière de la cuvette. En position, j’ouvrais le robinet et un jet ininterrompue commença à couler. Que cela faisait du bien ! Je sentais ma vessie se dégonfler enfin ! J’en profitais pour prendre les premiers clichés. Je trouvais toujours autant humiliant, frustrant et dégradant de devoir se photographier en urinant. J’urinais encore09---Bureau---D----.jpg et encore…. Que du bonheur et de soulagement ! Je faisais attention de ne pas faire de bruit comme la semaine précédente. Je m’étais senti vraiment très frustré, humilié et avilis par cette réflexion de mon collègue ! Je faisais très attention de ne pas recommencer cette maladresse. Quand ma vessie se trouva enfin vidée, je prenais du papier toilette pour éponger l’urine au bout de la cage. Mon pauvre pénis était toujours enchâssé dans sa boîte. Je sentais les picots pénétrer dans mon malheureux gland et dans ma  pauvre verge qui essayait de se gonfler de sang. À contre cœur, je prenais un cliché en gros plan du carcan qui compressait mon pénis pour le plaisir de mes Masters et des visiteurs. Cela fait plus de 116 jours que la queue du bâtard que je suis est emprisonnée et que je n’ai plus pu me masturber ! Pour terminer 10 - Bureau - D - -cette corvée hebdomadaire, je photographiais le slave de pieds, en entier. Cette dernière photo terminait cette servitude en amplifiant les sentiments de frustrations, d’humiliations, de dégradations et d’avilissements. Devoir refaire cette séance chaque semaine me fait ressentir la perfidie, la fourberie et la félonie de cet exercice. En me rhabillant, je remerciais pour une foi que personne n’ait entendu le slave et surtout, ne l’ait dérangé. Je me lavais les mains avant de sortir et je rangeais le portable dans sa poche frontale. Je tournais la clé et j’ouvrais très discrètement la porte. Je jetais un œil dehors pour vérifier que personne n’était en approche. Sur la pointe des pieds, je regagnais mon bureau. Pour une fois, tout s’était "bien passé"….

        Je dois tout de même remercier mes Masters, Master Éric et Maître Michael de faire évoluer leur slave que je suis comme ils le désirent et dans la voix qu’ils souhaitent.

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Dimanche 6 novembre 7 06 /11 /Nov 06:20

Récit du 2 novembre.

01---Bureau---D----.jpg         Mr Alain ayant fait une demande dans un de ses commentaires, dors et avant, j’intitulerai la date du jour où l’exposé se rapporte pour une meilleure lecture des visiteurs. Ainsi pour toutes les activités revenant régulièrement, une nouvelle catégorie est créée : "Labeurs hebdomadaires". Les rapports hebdomadaires y seront enregistrés. Je prie aussi mes Masters et les visiteurs de bien vouloir me pardonner pour le 02---Bureau---D----.jpgretard pris dans l'édition des rapports depuis 10 jours.

        Mercredi matin ayant une réunion, je ne pouvais me rendre tranquillement aux toilettes pour prendre les clichés commandés. Le midi, je me rendais comme tous les jours, au chevet de la personne hospitalisée et je mangeais mon sandwich en sa compagnie. Je fais la même visite le soir après le travail. Je ne repars que lorsqu’elle a dîné comme elle vient de sortir du coma après y être restée une semaine. L’après-midi, je devais donc trouver un moment tranquille pour y aller. J’avais une envie grandissante d’uriner mais un collègue était en face de moi. Je priais qu’il s’absente un instant pour me soulager et exécuter le labeur hebdomadaire. Me voyant dandiner sur ma chaise il me dit :

  • -    Tu ne vas pas bien ? Tu as un problème ?03 - Bureau - D - -
  • -   Je dois avoir des problèmes digestifs, rien de grave je te remercie.

  Je lui répondais honteux et frustré. Il travaillait toujours sur son dossier. Quand allait-il s’absenter ? Du coin de l’œil, je le voyais enfin rassembler son dossier et se lever avec. J’attendais encore quelques secondes et je me levais en prenant mon portable que j’enfilais dans une des poches de poitrine. Je fermais la porte à clef des toilettes. Je posais le mobile sur le lavabo et je me déshabillais. En enlevant les chaussures, je sentais le froid du carrelage monter dans mes chevilles malgré les chaussettes. Enfin j’allais pouvoir soulager ma vessie. Lorsque je fus nu, je relevais la lunette des toilettes pour m’asseoir sur la faïence. J’avais d’une main mon téléphone et je prenais un premier cliché tout en urinant. J’en profitais pour en prendre un second. Je ne pouvais plus stopper la fontaine ! Que du bonheur de pouvoir enfin vider ma 04 - Bureau - D - -vessie mais quelle humiliation et frustration de devoir photographier le moment ! Je poussais, malgré moi, un "Ouf !" De soulagement. Je dus le lâcher trop fort car le collègue frappa à ce moment là à la porte pour demander :

  • -    Ça va ? Tu ne te sens pas bien ?
  • -    Non, tout va bien merci ! Seulement mon transit qui se débloque….

  Je me sentais encore plus humilié frustré et avili qu’il soit passé à ce moment là devant les toilettes et qu’il m’ait entendu. Je me maudissais de ne pas avoir été plus discret ! Je faisais de même pour les instructions hebdomadaires ! Cela devient de plus en plus humiliant et dégradant de devoir réaliser ce rapport sans se faire prendre par les collègues. Quand ma vessie était enfin vidée, je prenais du papier toilette pour sécher le bout de la cage. Je me05 - Bureau - D - - levais et je prenais mon malheureux pénis enchâssé et maltraité par les picots intérieurs. Je les sens de plus en plus pénétrer dans mon pauvre gland et ma malheureuse verge. Cette cage, non seulement m’empêche de me masturber mais torture aussi mon pauvre pénis éprouvé. Lorsque j’avais les photos commandées par mes Masters et les visiteurs, je me rhabillais. Je me lavais les mains après avoir tiré la chasse d’eau des toilettes. Je sortais et je regagnais mon bureau. Mon collègue leva la tête sans rien dire mais avec un grand sourire qui en disait long. Je baissais la mienne déshonoré et frustré. Je maudissais une fois de plus cette corvée hebdomadaire. Honteux, lésé et avili, je reprenais mon travail quotidien.
        Je dois tout de même remercier mes Masters de me faire évoluer dans la soumission et dans la direction qu’ils désirent.

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Mardi 1 novembre 2 01 /11 /Nov 18:22

01---Bureau---D----.jpgAu bureau

        En rentrant au bureau après la consultation, je déposais l’ordonnance à la pharmacie. Arrivé au bureau, je me mettais au travail en pensant à la directive quotidienne. J’attendais dans la matinée un moment où j’aurai envie d’uriner ce qui ne tarda pas car je bois plus de 2 litres d’eau par jour. Quand l’envie arriva, je prenais mon02---Bureau---D----.jpg portable que je glissais discrètement dans une poche du pantalon de treillis. Je faisais attention que personne ne me voit entrer aux toilettes. Je fermais la porte derrière moi. Je sortais le téléphone de la poche que je posais sur le rebord du lavabo. Je me déshabillais mais étant pieds nus depuis le matin, instruction de Maître Michael, je ressentais le froid du carrelage dès que j’enlevais mes chaussures. J’enlevais le pull et le maillot que je posais sur le rebord du lavabo. Je faisais de même pour le treillis. Je trouvais ça toujours autant humiliant et dégradant de devoir se mettre ainsi nu pour faire ses besoins. Je m’asseyais sur les toilettes après avoir relevé la lunette. Je prenais mon mobile et je commençais à uriner. J’en profitais pour prendre les premiers clichés comme commandés. Quand j’eus terminé, je séchais le bout de la cage avec du papier toilette. Je me levais et je prenais de nouvelles photos debout. Lorsque j’avais 03---Bureau---D----.jpgterminé, je me rhabillais rapidement. Je tirais la chasse d’eau quand une personne essaya d’entrer. Je lui demandais une minute et je me pressais à me laver les mains et de ranger le portable dans une poche. Je m’essuyais les mains et je sortais. Je saluais le collègue qui attendait et je retournais à mon bureau j’espérais qu’il ne m’avait pas vu entrer et le temps que j’étais resté aux toilettes. Dans l’après-midi je recevais un appel téléphonique m’annonçant l’hospitalisation en urgence d’une personne très proche ce qui allait me faire prendre beaucoup de retard le reste de la semaine.

        C’est pourquoi je tiens à présenter mes excuses auprès de tous les visiteurs pour le retard que j’ai pris cette semaine dans les rapports comme j’ai eu une personne très proche qui a été hospitalisée en urgence. Depuis mercredi soir, je passe la plus part de mon temps libre auprès d’elle. En conséquence, je prie les visiteurs de bien vouloir me pardonner pour les retards que j’ai pris.

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Dimanche 30 octobre 7 30 /10 /Oct 19:05

Nouvelle humiliation.

19---Toubib---D----.jpg        Le début de semaine avait été très chargé à cause du mauvais temps. Une pluie continue et abondante nous avait obligés à changer tous les programmes prévus. Ce mercredi matin j’étais à la bourre. Je me levais un peu plus tôt et je vérifiais les instructions de mes Masters pour cette nouvelle visite médicale. Je regardais la météo extérieur et avec soulagement je voyais plus qu’une petite pluie fine. Je faisais ma toilette et je me préparais à partir un peu en20---Toubib---D----.jpg avance. Arrivé près de mon rendez-vous, je me garais à l’écart des autres véhicules déjà présents. Je passais sur la banquette arrière pour me préparer à la visite médicale. Je posais sur le siège une serviette avant de m’apprêter. Comme avaient demandé mes Maîtres, j’étais parti sans chaussettes. Je sentais le froid du plancher de la voiture.  J’ôtais le bas, c’est à dire mon pantalon de treillis pour mettre le boxer autorisé. Avant de changer de plug, je prenais tous les clichés pour que mes Masters puissent vérifier ma tenue. Je positionnais le plug qui tient seul N° 03 après avoir sortit de son logement le N° 04 à deux boules. Je pouvais enlever la ceinture et le collier du slave. Je rangeais dans une sacoche ces derniers avec le plug roulé dans un papier absorbant que j’avais pris en prévision. J’enfilais le boxer blanc et je me rhabillais une première fois. En sortant de la voiture je remarquais que j’avais mouillé du trou. La serviette était tâchée. Heureusement que j’avais anticipé cette complication ! Je la plais et la rangeais dans la sacoche. Je reprenais la place du chauffeur et je me garais au plus près de mon rendez-vous.

 21---Toubib---D----.jpg  22---Toubib---D----.jpg

        Je sonnais à la porte du cabinet et je rentrais. Le secrétaire était assis à sa place, je le saluais. Le médecin m’avait entendu et elle m’invita à entrer dans son bureau étant son premier rendez-vous. Je refermais la porte derrière moi et lui donnais ma carte Vitale. Elle m’invita à me mettre en "tenue". Sans crainte pour une fois, je me déshabillais. Lorsque je fus en sous-vêtement elle me lança avec ironie.

    • -    Je me demandais dans quelle tenue excentrique tu seras aujourd’hui. Je vois pour une fois que tu as une tenue à peu près décente….

Je ne pouvais pas lui dire toute la vérité et surtout pas que j’avais un plug dans mon pauvre trou. Pour la cage, elle n’allait pas tarder à s’en rendre compte. Mon palpitant battait de plus en plus vite et fort. Honteux je lui répondais.

    • -    Tout de même j’ai du respect pour vous Docteur.

Après avoir vérifié mon poids, elle m’invita à m’asseoir sur le bord de la table d’auscultation. Je dus le faire un peu brusquement malgré le molleton car je sentis l’intrus en moi pénétrer plus profondément et exciter le premier anneau du côlon. Il tenta de monter dessus et un râle m’échappa. Le médecin demanda alors avec un petit sourire narquois.

    • -    Tu as un problème ?
    • -    Je pense que j’ai du déjeuné trop vite ce matin. Je viens d’avoir un renvoi.

Humilié et frustré j’essayais de la convaincre. Je me sentais tout honteux de ce petit cri de surprise d’autant plus qu’elle continua.

    • -    Je devine que Marina a remis son jouet. Difficile pour toi de te masturber avec, non ?

J’étais tout honteux de cette nouvelle remarque et mon humiliation croissait. Mon cœur battait la chamade et ma tension était à son plus haut. Je ne savais quoi répondre à cette répartie. Je balbutiais :

    • -    Oui effectivement je ne peux pas.
    • -    Elle a de drôles d’idées de te laisser en permanence avec.
    • -    Seulement la semaine, heureusement le week-end je n’ai rien.

Je rétorquais en lui mentant. Je ne pouvais lui dire que cela faisait malheureusement plus de 102 jours que je portais cette maudite cage et que cela devenait de plus en plus frustrant dégradant et avilissant de ne plus pouvoir me toucher et encore moins me vider les couilles. Je maudissais les commentaires et les instructions qui en découlaient. J’ai de plus en plus de mal à supporter ces railleries déplaisantes. D’un mois sur l’autre, je me sens de plus en plus frustré, humilié… surtout lorsqu’elle ajouta.

    • -    Mais tu es tout rouge, tu es honteux ? Il n’y a pas de quoi !
    • -    Non, je pense que c’est mon estomac qui me joue des tours….

23 - Toubib - D - -  J’avais l’impression que mon palpitant voulait sortir de ma cage thoracique tellement il battait vite et fort. Je maudissais encore plus mes Masters et les visiteurs car, à cause des commandements, elle devinait mes sentiments. Je m’allongeais pour la suite de la visite. Quand elle eut terminé, elle m’invita à me rhabiller. Je m’empressais à le faire le temps qu’elle remplisse le renouvellement. En me raccompagnant à la porte, nous nous saluions et elle me souhaitait, avec ironie, une bonne continuation. Je soufflais enfin. Je pensais que la visite était terminée. Je prenais mon prochain rendez-vous au près du secrétaire. Malheureusement en le saluant, il me dit.

    • -    Tu ne vas pas aux toilettes cette semaine ? Je pensais que tu allais prendre un abonnement….

 Ne m’attendant pas du tout à une telle réflexion, le sang monta au visage et je devins tout rouge !

    • -    Tu es tout rouge, ça ne va pas ?

Il avait un large sourire en faisant cette remarque. Il avait compris mon désarroi. Les24 - Toubib - D - - humiliations et les frustrations continuaient. Je me sentais très mal à l’aise. Je balbutiais :

    • -    Non, simplement j’ai des problèmes de digestions…. Bonne journée.

Je m’empressais à lui serrer la main et je m’enfuyais de ce maudit cabinet médical. Lorsque je sortais sur le perron, j’étais en nage de hontes et de frustrations. Mon cœur battait la chamade. Je sentais chaque pulsation gonfler mes tempes. Je regagnais ma voiture pour la suite des instructions de la matinée. Je me rendais à une galerie marchande, pas loin de mon rendez-vous. Je me garais et je prenais ma pochette pour me rendre aux toilettes publiques. Malheureusement elles sont à l’autre extrémité et je devais remonter toute la galerie pour y accéder. Je rentrais dans la première toilette libre. Je sortais le plug à deux boules de la sacoche et je le rinçais au lave-mains. Je sortais la serviette 25---Toubib---D----.jpgtâchée que je posais au sol et je me déshabillais une nouvelle fois. Malgré le tissu, je sentais le froid du carrelage sous mes pieds nus. Je prenais une photo du boxer avant de l’enlever pour cette visite.

        Je plongeais la main dans le sac et je sortais le collier. Je le mettais en place. Je m’accroupissais pour changer de plug. Je positionnais à contre-cœur le portable par terre26---Toubib---D----.jpg afin de prendre les clichés nécessaires commandés par mes Masters. Je sortais le plug N° 03 qui tient seul de son logement. Mon petit trou était soulagé pour un instant. Étant nu, je ressentais le froid pénétrer tout mon pauvre corps. Un frisson me secoua de la tête aux pieds. Je devais accélérer le programme. J’entendais les voix des personnes derrière la cloison. Je vérifiais qu’ils ne pouvaient pas m’apercevoir sous la porte comme il y avait un jeu d’une vingtaine de centimètre.

 27---Toubib---D----.jpg  28---Toubib---D----.jpg

        Je lubrifiais légèrement le plug N° 04 à deux boules qui avait quitté son logement 29---Toubib---D----.jpgavant la consultation. Je le présentais à ma petite fleur et je commençais à le rentrer. Je sentais mon trou s’ouvrir, s’ouvrir. La première boule était en place. Je continuais de pousser et je le sentis buter contre l’anneau intérieur. Je poussais pour qu’il s’ouvre. Je le sentais monter dessus en s’ouvrant. Mon anus continuait son ouverture au fur et à mesure que je forçais la pression d’une main et de l’autre, je prenais les30---Toubib---D----.jpg photographies commandées. D’un coup, je sentis le premier anneau gober la boule et mon trou se refermer sur la base du plug. Il était en place mais ma petite fleur poussait. Je tenais le plug le temps que ma petite fleur se calme. Je regrettais d’être parti si précipitamment ce matin sans prendre de suppositoire pour calmer la cavité et de ne pas avoir mis la ceinture avant pour bloquer cet intrus. Je m’aperçus qu’un gros 31---Toubib---D----.jpgtas de mouille était sur la serviette. Quand j’avais ôté le N° 03 elle était sortie en même temps ! Je ne m’en étais pas rendus compte. Je trouvais la situation encore plus frustrante, humiliante et dégradante. J’avais honte ! J’aurai pu le prévoir avec la tâche que j’avais déjà faite dans la voiture. De plus, je devais faire attention de ne pas gémir car il y avait du monde à coté de moi. Je bloquais la respiration pour éviter tout geignement. Quand tout le monde reprit son calme, je positionnais rapidement la ceinture pour bloquer ce nouveau gêneur.

 32---Toubib---D----.jpg  33---Toubib---D----.jpg

34---Toubib---D----.jpg        Je lubrifiais légèrement le plug N° 04 à deux boules qui avait quitté son logement avant la consultation. Je le présentais à ma petite fleur et je commençais à le rentrer. Je sentais mon trou s’ouvrir, s’ouvrir. La première boule était en place. Je continuais de pousser et je le sentis buter contre l’anneau intérieur. Je poussais pour qu’il s’ouvre. Je le sentais monter dessus en s’ouvrant.35---Toubib---D----.jpg Mon anus continuait son ouverture au fur et à mesure que je forçais la pression d’une main et de l’autre, je prenais les photographies commandées. D’un coup, je sentis le premier anneau gober la boule et mon trou se refermer sur la base du plug. Il était en place mais ma petite fleur poussait. Je tenais le plug le temps que ma petite fleur se calme. Je regrettais d’être parti si précipitamment ce matin sans prendre de suppositoire pour calmer la cavité et de ne pas avoir mis la ceinture avant pour bloquer cet intrus. Je m’aperçus qu’un gros tas de mouille était sur la serviette. 36---Toubib---D----.jpgQuand j’avais ôté le N° 03 elle était sortie en même temps ! Je ne m’en étais pas rendus compte. Je trouvais la situation encore plus frustrante, humiliante et dégradante. J’avais honte ! J’aurai pu le prévoir avec la tâche que j’avais déjà faite dans la voiture. De plus, je devais faire attention de ne pas gémir car il y avait du monde à coté de moi. Je bloquais la respiration pour éviter tout geignement. Quand tout le monde reprit son calme, je positionnais rapidement la ceinture pour bloquer ce nouveau gêneur.

        Une nouvelle consultation frustrante, humiliante et avilissante était terminée. Je pensais alors au mois prochain où j’aurai plusieurs consultation en quelques jours. Je me demandais ce que les visiteurs allaient proposer à mes Masters et ce qu’ils décideront de faire. En avance, je craignais déjà le pire.

        Merci Maîtres pour votre bienveillance envers votre slave.

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Samedi 29 octobre 6 29 /10 /Oct 06:37

Nuit douloureuse

        Lundi matin, je saluais mes Masters. Je leur avais laissé un commentaire, pendant le 01 - Barre - H - -week-end, sur les modifications qu’ils avaient apportées sur le blog. Malheureusement ils ne l’ont pas bien apprécié et ils ont donné des impératifs au slave. Je devrai dormir cette nuit, bien sur nu comme je le fais d’habitude mais les chevilles attachées à la barre et mes pauvres testicules tendus avec celle-ci. Pour répondre à certaines commentaires et de demandes, la voici en détail :

14---Au-Lit---D----.jpg        Le soir, je positionnais le plug à deux boules N° 04 dans ma petite fleur en rentrant du travail. Je préparais une serviette sur le lit pour passer la nuit, la barre, les menottes en cuir, des mousquetons et un lien. À l’heure du couché, je m’installais sur le lit et je positionnais les menottes aux chevilles. Je les attachais, chacune d’elle à l’anneau extérieur de la barre avec un15---Au-Lit---D----.jpg mousqueton. Je repliais les jambes. Mon petit trou se mit à jouer sur une des boules du plug et je regrettais déjà de ne pas l’avoir tempéré avec un suppositoire. Je bondais mes misérables testicules et les reliais à l’anneau du milieu de la tige en fer. Je photographiais le tout comme me l’avaient commandé mes Maîtres et je m’allongeais pour la nuit. J’avais oublié en faisant le bondage que j’avais les cuisses pliées.16---Au-Lit---D----.jpg Dans cette position, le plug que j’avais dans mon trou voulait sortir et ma petite fleur se mettait à pousser. La ceinture empêchait toute expulsion. Quand je voulais resserrer les fesses en tendant les jambes pour retenir l’intrus, c’était le lien qui tirait encore plus sur mes infortunées bourses. La nuit allait être très longue….

        En tournant un peu les jambes, j’essayais de trouver le sommeil. Elles voulaient se tendre pour une meilleure position mais le lien tirait sur mes burnes. Je maudissais ma franchise d’avoir dit à mes Maîtres ce que je pensais de leurs changements. À force de tester différentes positions, j’arrivais enfin à trouver le sommeil. Je ne sais pas depuis combien de temps je m’étais assoupi lorsqu’une douleur irradia mes testicules et je me réveillais en sur-saut ! J’avais du vouloir tendre une jambe en dormant…. J’allais regretter toute la nuit mes écrits. Je me tournais un peu et je retrouvais le sommeil pour un temps. Je me mis à faire un rêve qui se transformait au fur et à mesure en cauchemar. J’étais nu dans une forêt et j’essayais de fuir, je ne sais quoi, en courant. Les brindilles et tout ce qui jonchait le sol écorchaient et blessaient mes plantes des pieds. Je voyais derrière moi de petites flaques de sang où j’avais marché. J’entendais des voix se17 - Au Lit - D - - rapprocher. J’essayais de courir plus vite sans pouvoir y arriver. Mon cœur battait de plus en plus vite et fort. Plus je tentais de courir et moins je parvenais à avancer comme dans un mauvais film au ralenti. C’est quand je passais sur un lit de feuilles mortes qu’un piège se referma sur moi. Un filet caché par ces dernières se referma sur moi-même et je fut projeter en l’air coincé dedans. Plus j’essayais de bouger et plus il se resserrait. J’étais comme un saucisson ficelé. Je vis arriver un groupe de personnes qui me raillaient en me voyant nu dans ce filin. Ils descendaient leur prise et menottaient mes poignets. Après quelques dizaines de pas, ils m’allongeaient à terre les poignets écartés maintenus par des piquets. Les jambes tendues en l’air accrochées à deux arbres. Mon trou leur était offert et ils commençaient à le travailler en y introduisant des objets que je ne pouvais voir. Une souffrance irradia d’un coup mon bas-ventre. Je me réveillais une nouvelle fois en nage et je compris que le premier anneau du côlon jouait avec l’intrus qui obstruait mon anus. Il montait et redescendait de la première boule ou essayait de monter sur la seconde. Il était tout excité ! Je mis un certain temps à calmer tout le monde dans la position inconfortable que j’étais. Lorsque tout cette société retrouva son calme, j’essayais de me rendormir. Je ne tardais pas à 18 - Au Lit - D - -trouver le sommeil mais pour combien de temps ? Très peu car, à peine je m’assoupissais, une nouvelle douleur irradia mes couilles. Je compris de suite que j’avais dû essayer d’allonger une jambe. Je me repositionnais pour retrouver le sommeil. Il ne durait jamais longtemps car, après un temps de somnolence plus ou moins longue, je me réveillais en sur-sauts et en nage au milieu d’un cauchemar ! Soit mon petit trou s’amusait avec son jouet soit une douleur irradiait mes testicules éprouvés soit les deux en même temps ! Sur le matin, je mettais un terme à cette nuit déplaisante et pénible.

        Cette épreuve et ce châtiment ont fait comprendre au slave son erreur ! Je ferai plus attention, à l’avenir, dans mes commentaires. En conséquence, je dois remercier mes Masters pour cette leçon douloureuse.

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Vendredi 21 octobre 5 21 /10 /Oct 06:30

Initiation hebdomadaire.

        Depuis un commentaire fait au mois de juin je n’ai plus le droit de m’asseoir sur la lunette des toilettes. Je dois le faire directement sur la faïence. Suite à différentes observations, je dois uriner les jambes écartées "comme une pute" ce qui augmente l’humiliation et la frustration d’être sous cage depuis plus de trois mois ! Des visiteurs ayant fait aussi la remarque, je n’avais jamais publié de nouveaux articles sur les toilettes du bureau depuis fin juin, mes Masters ont donc décrété, je devrais en faire un tous les mercredis jusqu’à nouvel ordre avec les photographies justificatives. Dans l’après-midi, un moment où j’étais seul, je me décidais à faire les clichés. Je prenais mon portable discrètement et je me rendais aux toilettes. Je fermais bien la porte à clef derrière moi. Je n’avais pas envie d’avoir de mauvaises surprises. Suivant les dernières remarques de mes Maîtres, je me déshabillais car, désormais, mes besoins, je dois les faire nu ce qui augmente la frustration, l’humiliation suivant le lieu. Il n’y a que les attributs du slave que je ne peux pas poser. Je gardais donc le collier et sa médaille, la cage comme la clé est au congélateur, le plug et la ceinture qui le maintien. Comme le carrelage était glacé, je gardais aussi les chaussettes. Je m’assaillais en écartant bien les cuisses conformément aux ordres et je 11---Bureau---E----.jpgprenais les premiers clichés. J’avais l’impression de pisser comme une salope. Lorsque j’avais terminé, j’essuyais les gouttes d’urine restées sur le bout de la cage. Une personne essaya alors d’ouvrir la porte. Mon cœur se mit à battre de plus en plus vite. Même aux toilettes, je ne pouvais pas être tranquille. J’avais l’impression que des collègues se doutaient de quelque chose.12 - Bureau - E - - Je me levais et je prenais rapidement une nouvelle photo de pieds. En hâte, je me rhabillais avec mon palpitant qui jouait toujours la chamade. Je tirais la chasse d’eau et j’abaissais la lunette et son couvercle pour que personne ne puisse imaginer quoi que ce soit. Je me rinçais les mains et j’ouvrais la porte. Je m’attendais à voir quelqu’un qui attendrait mais personne ! Je regardais à droite et à gauche discrètement mais rien ! Mon cœur battait toujours à tout rompre. Je me demandais et j’allais me poser la question, plusieurs fois dans l’après-midi, si un collègue avait remarqué tout le temps que j’aie passé aux toilettes ! Ne sachant pas qui était venu et encore mois si la personne m’avait vu sortir, j’avais envie de maudire mes Masters, leurs directives et les 13 - Bureau - E - -commentaires des visiteurs. Un sentiment grandissant de frustration, d’humiliation et d’avilissement envahissaient tout mon être et n’alla qu’en s’amplifiant tout le restant de l’après-midi.

        En dépit de mes sentiments de frustrations, d’humiliations et d’avilissements et un peu à contre-cœur, je remercie mes Masters de ne pas avoir eu de réflexion mais en craignant que ce ne soit pas toujours le cas. Je devrais renouveler cette opération de photo toutes les semaines et chaque fois que j’aurais envie d’uriner, je devrais me déshabiller complètement. Mes sentiments de frustrations, d’humiliations et d’avilissements ne peuvent qu’aller en grandissant ! À force, quelqu’un remarquera mes longues absences aux toilettes et se posera des questions. Je serai alors en porte à faux ! Je dois dès maintenant réfléchir à une explication plausible !

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Mercredi 19 octobre 3 19 /10 /Oct 22:22

Une douche ignominieuse.

        Mardi matin, mes Masters me demandaient d’uriner dans une bouteille toute la journée. Le soir en rentrant chez moi, faire de même. Prendre la bouteille et la vider sur moi dans la douche. À contre-cœur, je préparais une bouteille et, avant de partir au bureau, j’urinais une première fois. Le midi je faisais de même en rentrant déjeuner. Le soir je renouvelais l’opération à mon grand désespoir. Je me déshabillais et je changeais de plug pour enlever la ceinture. Je posais celui qui tient seul dans ma petite fleur et j’attrapais mon courage à deux mains. Je prenais un premier cliché de la bouteille et de son contenant d’urine de la journée. Une fragrance ammoniaqué s’en émanait. Je réglais mon appareil pour prendre plusieurs clichés à la suite. Lorsque tout était prêt, je lançais le compte à rebours. Je montais dans la baignoire et je prenais d’une main la bouteille d’urine d’où émanait cette odeur nauséabonde et pestilentielle d’ammoniaque. Un sentiment de honte et d’humiliation montait en moi et j’avais envie de tout interrompre et de stopper là ! J’approchais la bouteille de mon corps et lorsque j’entendis le premier cliché, je me la vidais sur moi.01 - Uro - E - - Un relent de dégoût montait dans mes narines. L’odeur ammoniaqué m’enrobait et me faisait frissonner de froid et d’écœurement. Je m’interdisais de maudire les commandements de mes Maîtres mais je n’en pensais pas moins. Je finissais de vider entièrement la bouteille lorsque la dernière photo s’enclenchait. Mon corps était enrobé d’effluves nauséabonds, pestilentiels et fétides. Un frison de répugnance d’écœurement secouait tout mon être, de la tête aux pieds. Je m’empressais à prendre la pomme de douche et je me rinçais une première fois. J’avais l’impression que l’odeur ammoniaquée avait pénétré touts mes pores. Je me savonnais énergiquement afin d’essayer d’enlever ces effluves putrides et écœurants qui émanait de moi. Après m’être savonné et rincé plusieurs fois pour ôter toutes les odeurs pestilentielles, nauséabondes et répugnantes, je prenais une dernière douche bienfaitrice. Bien que je me sois douché plusieurs fois, j’avais toujours l’impression de porter en moi cette odeur ammoniaquée de l’urine. Pendant toute cette douche je m’étais senti de plus en plus humilié frustré et avili. Je me forçais, à contre-cœur, à ne pas maudire et mépriser mes Masters et leurs directives humiliantes dégradantes et déshonorantes. J’essayais, je me forçais surtout à me convaincre que c’était pour le bien du slave qu’ils faisaient cela.

 02---Uro---E----.jpg 03 - Uro - E - - 04---Uro---E----.jpg

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 08---Uro---E----.jpg 09---Uro---E----.jpg 10---Uro---E----.jpg

        Merci à mes Masters et aux visiteurs de prendre du temps pour le slave que je suis.

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Dimanche 16 octobre 7 16 /10 /Oct 17:03

Le Titan.

14 - Plug N° 14 - Le Titan - -        Plusieurs visiteurs avaient laissé des commentaires sur cette nouvelle acquisition. Afin de vérifier la progression de l’ouverture du trou du slave. Ils avaient réclamé des clichés de contrôles, le slave assis dessus pour voir ce que son trou pouvait déjà avaler. Mes Maîtres donnaient l’accord pour que je réalise cette rubrique. Je préparais une chaise et je graissais bien ce monstre. Avant de prendre les premiers clichés, je m’exerçais à m’asseoir dessus. Je sentais le premier étage pénétrer, arriver au premier anneau. Lorsque ce dernier s’ouvrait pour monter dessus, ma petite fleur continuait à s’ouvrir sur un anneau nouveau, encore plus gros. Ma rondelle était dilatée au maximum et mon05 - Plug N° 14 - C - - trou se mit à pousser. Je restais assis un instant, le temps qu’il se calme et je prenais la première photo. Je me tournais légèrement pour le second cliché. Le troisième et dernier je me positionnais de dos. J’avais l’impression que ma pauvre petite rondelle était défoncée ! Je ne pouvais plus maudire mes Masters et les visiteurs, ayant promis de ne plus le faire sous peine de sanction, mais je n’en pensais pas moins….

 06---Plug-N--14---C----.jpg  07---Plug-N--14---C----.jpg

         Mes Masters avaient, par malheur, donné le feu vert à la requête de Mr Alain44 pour afficher chez moi, les emplois du temps des saunas. Je rédigeais une affiche avec les coordonnées et les horaires d’ouverture des deux retenus. Après l’avoir éditée, je cherchais une place dans mon entrée où je pourrai la poser. Je choisissais de l'accrocher, sous un cadre, entre la porte de la salle de bain et celle de la chambre d’amis. À mon grand regret, toutes les personnes qui viendront chez moi dans le futur seront obligées de passer devant et malheureusement, de la voir. À contre cœur et ne pouvant plus faire autrement, je remercie mes Masters et les visiteurs pour me suivre, donner des conseils et prendre soin du slave que je suis.

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Dimanche 16 octobre 7 16 /10 /Oct 08:41

De la piscine

        Mes Masters ont exigé que je publie les horaires de la piscine que je vais prochainement fréquenter comme je l’ai déjà fait pour les saunas.

 

Horaires d'ouverture de la piscine

  • En période scolaire (jusqu'au 25 juin 2017) :


Lundi de 9h à 20h30
Mardi et vendredi de 12h à 21h *
Mercredi de 11h30 à 17h30
Jeudi de 12h à 20h*
Samedi de 10h30 à 18h
Dimanche de 9h à 18h


*Attention :

Les mardis, jeudis et vendredis en période scolaire de 14h à 16h :

⇛    Le petit bassin n'est pas accessible.

⇛    Le grand bassin est réservé aux personnes sachant nager.

Les lundis en période scolaire de 9h à 11h30 :

⇛    le grand bassin est réservé aux personnes sachant nager.


  • En période de petites vacances scolaires :

Lundi de 10h à 20h30
Mardi et vendredi de 10h à 21h
Mercredi de 10h à 19h
Jeudi de 10h à 20h
Samedi de 10h à 18h
Dimanche de 9h à 18h
Fermetures : Les jours fériés.


        Vous pouvez connaître la configuration des bassins hors vacances scolaires en suivant ce lien.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Nouvelles Infos - Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Vendredi 14 octobre 5 14 /10 /Oct 08:00

Prochaines visites medicales

      À la demande de mes Maîtres et de plusieurs visiteurs voici les dates et horaires de mes prochaines visites médicales.

  • Mois d’octobre :
  • Le mercredi 26 octobre 2016 :
    • 08h00 du matin, rendez-vous chez ma généraliste en ville. Je serai le Premier rendez-vous.
  • Mois de novembre :
  • Mardi 22 novembre 2016 :
    • 14h00 - Pose d’une holter (tensiomètre) pour 24h00 à l’hôpital
  • Mercredi 23 novembre 2016 :
    • 08h00 rendez-vous chez la généraliste en ville
    • 13h30 dépose de l’holter, teste à l’effort en short et torse-nu à l'hôpital.
    • 14h00 rendez-vous chez le cardiologue à l’hôpital.
  • Mardi 29 novembre 2016 :
    • 10h00 rendez-vous chez le pneumologue à l’hôpital.

        Je n’ai pas encore les dates pour le mois de décembre et la  suite.  Je vous les transmettrai dès que je les ai ainsi que les horaires.
      Mes Masters vous laissent le choix du sous-vêtement (Boxer blanc, jock-strap blanc, string noir) et du short que je devrais porter pour chacune des consultations. Vous pouvez proposer toutes les instructions que vous pensez nécessaires pour chacune d’elle.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Nouvelles Infos - Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Vendredi 14 octobre 5 14 /10 /Oct 07:09

Notre slave est sous cage de chasteté depuis le 16 juillet 2016. soit 90 jours aujourd'hui 14 octobre 2016. Sa prochaine purge n'est pas d'actualité pour le moment à son grand désespoir. mais comme vous le savez, ce que pense notre slave et ce qu'il aimerait faire ne sert a rien. il restera en cage . meme après la purge il retournera de nouveau en cage.

justement pour sa prochaine purge, nous cherchons des idées , des techniques pour le faire gicler sans qu'il se touche la nouille qu'il a entre les jambes et qui ne sert a rien. il n'a pas le droit de prendre de plaisir et le fait qu'il ne sente rien au moment ou son jus pourri sort est encore mieux.

donnez vos idées et autres dans les commentaires et nous choisirons ensuite.

 

les masters du slave

Par ses masters - Publié dans : Mot des Masters - Ecrire un commentaire - Voir les 9 commentaires

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  • : Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335
  • Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335
  • : gay Gay
  • : Sous-Merde propriété de Master Eric et Maître Mickaël. Il fait aussi ce que les Visiteurs demandent. Ce n'est pas un mâle mais une sous-merde, et il doit être traité comme tel. À la disposition de tous les Maîtres et slaves au Téléphone, en Web-cam sur Smboy ou Skype... Prises de photo et rapports publiés ensuite sur le blog sous le contrôle de ses Maîtres.
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