Le blog de Bâstard a KC Sous merde n°411-103-335

Bienvenu sur le blog de Bâtard a KC : Sous merde N° 411-103-335. Sous le contrôle de ses Masters, il doit faire ce qui est demandé sans rechigner. N’hésitez pas à laisser des commentaires sur les différents articles qu'il publie sous les ordres de ses Masters.
Il fait aussi ce que les males demandent de faire après avoir reçu la validation de ses Masters. Ce n'est pas un male mais un slave, une sous-merde, un bâtard et il doit être traité comme tel.
Sous cage de chasteté, seuls ses Maîtres décident de ses jouissances afin de le purger de son jus pourris qui ne sert à rien.
N'hésitez pas à laisser des commentaires dans les différents articles publiés ici par notre slave ou nous même. Ça l'humilie encore plus. Le site ayant un bug, vous pouvez lui envoyer vos commentaires qu’il nous fera suivre. Son adresse est bastardakc@hotmail.fr ou en suivant ce lien
Notre slave est a dispos de tous mâles souhaitant l'utiliser et autres en Cam ou réel aussi avec prises de photos et rapports ensuite publiés sur le blog. Même les soumis peuvent l'utiliser car son statut est inférieur à eux et leur doit respect et leur obéir aussi

Récits des Plans

Samedi 23 juillet 6 23 /07 /Juil 09:04

Enfin la délivrance !

        Maître, Michael donnait rendez-vous au slave le samedi matin en Cam sur Skype. Il pouvait ainsi prendre toutes les photos qu’il désirait pour que le slave les publie ensuite. Je me présentais nu au Maître, tenue imposé à mon domicile. Il m’autorisait à enlever la cage, le ballestrecher, le plug et la ceinture. Mon malheureux pénis était enfin libre !

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        Le Maître commandait d’enfiler le short noir et jaune. De poser le plug électro en attende dans son trou. Après avoir pris connaissance du nombre de jour d’abstinence, le Master commandait au slave de se donner 3 X 30 + 27 coups dans les couilles. Le slave exécutait les séries de coups aux couilles tout en sniffant du poppers régulièrement.  A la fin, Maître Michael commandait de sortir la queue et les couilles du short. Le slave bandait, il avait envie de se masturber et de jouir enfin pour vider ses testicules. Le Master imposait les menottes aux chevilles et de les relier à la barre pour garder les jambes écartées.

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        Pour terminer, Maître Michael imposait, avec un lien, de faire un bondage aux couilles en les séparant et en y mettant un poids de 1 kilo à chacune d’elles. De prendre deux cotons tiges, de les imbiber d’alcool et de les introduire dans l’urètre. Un incendie irradia l’urètre du slave et remontait dans son pubis. Pour terminer le Master commandait de vider du Tabasco sur le gland et de bien le malaxer. La douleur augmenta de suite et l’incendie ravageait tout le pénis du slave qui le faisait encore bander plus fort.

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        Pour terminer, le Master demandait au slave de poser des électrodes sur sa queue et son gland et d’enfiler une capote pour tenir le tout. De les brancher sur une entrée et l’autre, le plug qui était déjà en place. De mettre l’appareil en marche sur 1, puis sur 2 et 3…. De l’accrocher au short et mettre les mains sur la tête. De petites piqûres se faisaient sentir dans le côlon et le pénis de plus en plus rapides au fur et à mesure que le Maître demandait d’augmenter l’intensité. Je sentais mon jus monter mais était bloqué par les cotons tiges.

07--.jpg         Le Maître commandait d’augmenter l’intensité au maximum. La sensation de piqûres devenait de plus en plus intenses. Ne tenant plus et ayant trop envie de jouir, j’attrapais mon pénis et je me masturbais. Je sentais mon jus monter enfin ! Malgré l’interdiction que le Master me commandait, je continuais jusqu’à enfin jouir. Je sentais mon jus sortir par à-coup. Que du bonheur après tant d’abstinence ! Maître Michael commandait au slave de poser la cage en silicone avec les pics après avoir ôter toutes les entraves. Je m’exécutais et remettais mon malheureux pénis en cage !

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        Merci Maître pour cette vidange tellement souhaitée et après une abstinence beaucoup trop longue.

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Dimanche 20 mars 7 20 /03 /Mars 20:42

Une vidange électrique.

 

      Samedi matin, Maître Michael me prévenait qu’une vidange sera programmée le soir avec Master Eric. Lorsque je rentrais chez moi, après avoir fait mes courses, je me connectais. Je rédigeais le rapport que Maître Michael m’avait demandé de faire au supermarché (conféré rapport précédent).
      Je me dépêchais à dîner pour être prêt lorsque mes Masters appelleraient. Malheureusement, je n’avais pas lu le dernier message de Maître Michael qu’il m’avait envoyé sur skype. Il me disait d’enlever la cage et de mettre le jock-strap.
      Master Éric m’appelait et j’appelais Maître Michael en triple appel. Après avoir pris connaissance du message, j’enlevais rapidement la cage et j’enfilais le jock-strap. J’avais toujours, sous ce dernier, mon trou bouché par le plug à deux boules et la ceinture cuir pour le tenir. Maître Michael m’intima de donner 10 coups de poings dans les couilles pour lui et 10 autres pour Master Éric. Je m’exécutais et une douleur irradia mes malheureuses testicules. Sans pouvoir prendre de poppers, je continuais la série du Master. Le supplice grandissait avec les heurts répétés. J’avais enfin terminé et je sentais le feu ravager mes testicules éprouvés. Ils m’ordonnèrent de poser 10 pinces à linges sur chaque couille. Je prenais en mains, les bourses mal-menées et tout en les pinçant, je posais une à une les pinces, en les comptant, sur une ligne comme pour faire une couronne. À la demande de Master Eric, je dus faire de même avec ma queue. J’accrochais donc sept nouvelles pinces à mon pénis en érection. Quand j’eus terminé, je dus remonter le jock en place ! La douleur se propageait dans tout mon bas-ventre comme un éclair zébrant la nuit noire. Un incendie de douleur se répandait dans mon hypogastre. Maître Michael m’intima de m’allonger et de ramper au sol. La douleur aux couilles ne fit qu’augmenter. Après avoir fait un bon mètre en avant en rampant, je dus faire le retour toujours à plat ventre. La douleur ne faisait qu’augmenter. J’avais mal aux burnes comme si un train était passé dessus. Les Maîtres demandèrent que je prenne en photo le jock après m’être relevé. J’en prenais une seconde après avoir enlever le sous-vêtement qui étreignait les pinces et qui augmentait la souffrance.

  01 - Pinces + Jock - A - -.-  02 - Pinces Debout - A - -.-

      Maître Michael, commanda que j’enlève la ceinture et que j’expulse le plug deux boules. Je m’exécutais et je poussais un bon coup pour faire sortir le bouchon qui obstruait mon orifice anal. Il demanda que je prenne le premier gode. Je le saisissais et après l’avoir légèrement graissé, je m’empalais dessus. Comme il rentra facilement, il commanda de prendre le deuxième. Je faisais de même et l’introduisais dans mon côlon. Pour l’introduire, comme il buttait contre l’anneau, je fus autorisé à prendre du popper03 - Pinces - A - -.-s. Maître Michael exigea que je m’assoye dessus et que j’allonge les jambes, Je me posais sur le gode et je m’installais par terre. Ils exigèrent de prendre le suivant. Ce fut donc le tour du troisième. Après autorisation, je sniffais un peu de poppers pour le rentrer. Je m’empalais donc sur ce dernier pieu. Lorsque je fus assis dessus, mon cul se mit à pousser. Je sentais l’anneau monter et descendre sur ce phallus. Je dus faire un mauvais mouvement car une douleur foudroyante explosa dans mes testicules qui me fit débander. La douleur était tellement intense et insupportable que je dus enlever précipitamment les pinces. Je m’empalais et je remettais les pinces aux couilles assis sur ce lingam. Les Masters me demandèrent de prendre une photo et de la leur envoyer. Je m’exécutais et j’envoyais le cliché.

 

      Après l’avoir reçu, les Masters me demandèrent de me relever. Je tenais le gode pour ne pas qu’il sorte de mon trou. Je n’arrivais pas à rebander tellement la douleur était intense. J’essayais de me masturber, malgré cela, je n’arrivais pas à avoir d’érection. Je me sentais vraiment humilié et avi04---Electro.---A----.-.jpgli de ne plus pouvoir raidir mon membre. Je n’arrivais pas à faire baisser la douleur qui tenaillait et irradiait mon bas ventre. Mes Maîtres m’autorisèrent à ôter enfin les pinces qui me prodiguait un supplice, un tourment insupportable et qui m’empêchait de bander, ce qui m’affligeait et m’insupportait ! Les Maîtres commandèrent que j’installe sur le lit tout l’électro et que je m’y installe allongé. J’avais toujours le godemiché en moi. Maître Michael demanda que je mette une électrode sur les couilles et une sur la queue avec une capote par-dessus. J’avais du mal à avoir une érection car la douleur était toujours présente. J’installais tout de même, comme je pouvais, le matériel. Ils me demandèrent de prendre en photo l’équipement.

 

      Sur leurs prérogatives, je démarrais l’électricité. Je sentis d’un coup, comme des aiguilles qui pénétraient, dans mes couilles et ma queue. Ils commandèrent que j’augmente l’intensité. Plus l’intensité augmentait et plus je sentais une montée de jus. Doucement mais sûrement, le sperme prenait le chemin de la sortie. C’était vraiment dégradant et froissant de sentir cette montée involontaire. Cette sensation était horrible, humiliante mais plaisante. Les Masters m’autorisaient à prendre un peu de poppers pour ralentir le montée et augmenter les sensations. Bien que je n’aie pas une érection normale à cause de la douleur qui continuait dans les bourses, la semence montait inexorablement. Un premier petit jet arriva dans la capote. Les Masters m’ordonnèrent de continuer l’électro. Je continuais à avoir comme des aiguilles dans les testicules et la verge. Je sentis une seconde et plus grosse montée de sperme qui explosa dans le récipient. Lorsque je me fut bien vidé involontairement, ce qui était frustrant et régressant, ils me demandèrent de mesurer dans la seringue, le volume de jus. Elle fut remplie et il y a resta dans la capote. Je prenais une photographie que j’avoyais aux Maîtres. Ils imposèrent que je vide la capote dans la crème dessert ainsi que la seringue et de leur envoyer le résultat. Je prenais un nouveau cliché que je leur faisais parvenir.

   05 - Capote Sperme - A - -.-  06 - Seringue - A - -.-

     Je saluais les Masters et je dégustais cette crème dessert parfumé spécialement. J’allais prendre une douche bienfaitrice. Je nettoyais le matériel. Suivant les instructions que j’avais eus en fin de séance, je remettais mon pénis en prison dans sa cage en acier à 21h20 et j’introduisais le plug urétral. Je bouchais aussi, avec un plug, mon trou pour ne pas qu’il se referme.

   07 - Crème Sperme - A - -.-  08 - Cage Posée - A - -.-

      Merci à mes Master, Master Éric et Maître Michael d’avoir permis cette vidange hygiénique et bienfaitrice.

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Dimanche 28 février 7 28 /02 /Fév 08:13

Décente  aux  Enfers  du  plaisir  :

          Master Eric m’avait appelé pour m’avertir que ce jeudi soir j’aurai le droit de vider enfin mes bourses. Je rentrais d’une journée bien chargée content mais anxieux de ce que je devrais subir pour avoir le droit de vidanger. Suivant les instructions de Maître Michael, je me déshabillais. Nu, je posais le collier métal. Je bondais mes malheureuses testicules séparées et j’accrochais 3 kilos, un poids de 1 kilo et un de 2 kilos. Après avoir dîné, j’attendais l’appel de mes Maîtres.

          Master Eric m’appela pour donner ses dernières instructions, je devais appeler Maître Michael à une heure précise et je devais le prévenir. J’appelais ce dernier qui me demanda des nouvelles des mes infortunées couilles. Comme elles étaient toutes violettes et glacées et que la séance allait attendre, il autorisa que je les soulage.

          Lorsque l’heure H arriva, j’appelais donc Maître Mike. Master Eric viendrait plus tard participer02---4-eme-Plan---B--.-.jpg à la soirée. Maître Michael me demanda de refaire le bondage. Avec un lien, je séparais mes malheureuses testicules, je les attachais et j’accrochais les deux poids. A sa demande, je prenais une photo. Il ordonna que je lève les poids et que je les lâche. Je prenais tout d’abord de bonnes rasades de poppers que je venais d’ouvrir avec sa permission. Je montais la charge à hauteur du nombril et je lâchais. Un flash de douleur irradia mes infortunées bourses. Je dû recommencer une deuxième fois. Lorsque mes couilles amortirent le choc, un cri jaillit de ma bouche, je prenais le poppers pour en inhaler afin de supporter le mal qui rayonnait jusque dans mon pubis. Il commanda que je recommence une troisième fois. Je levais avec anxiété le lest et je le laissais tomber. Une nouvelle fois un cri de douleur s ‘échappa, un éclair explosa de nouveau dans mes infortunés testicules et un incendie se propagea dans tout mon bas ventre. J’attrapais de nouveau le poppers pour en sniffer de bonnes rasades. Je maudissais ces saletés de poids qui me provoquaient un brasier dans tout mon abdomen et mes parties. C’est à ce moment là qu’il exigea que je prenne l’alcool et que j’en badigeonne les couilles et tout le sexe. Après avoir fait couler ce liquide inflammable, une chaleur se diffusa instantanément dans tous mes bijoux de famille et un brasier se propagea. Je reprenais la bouteille, et j’inspirais à fond de grandes bouffées.

          Il m’enjoignit de prendre les godes. Je préparais donc le gel avec la boite de jouets anaux et je me mettais à genoux. Il demanda de préparer le premier. Je le graissais et le présentais à mon petit trou. Il exigeât que je m’empale dessus ! Je sentis le gland du gode ouvrir ma petite fleur et pénétrer dans le côlon. Il s’introduisait progressivement en moi. Avec son accord, je prenais du poppers pour faciliter l’introduction de cet appendice. Je m’assaillais dessus. À sa demande, je le sortais complètement et je devais me rassoire de suite dessus cinq fois en les comptant. J’entreprenais l’ouverture de mon orifice tout en énumérant les descentes. A la cinquième descente, je restais assis dessus, à terre. J’avais honte, je bandais comme un âne et je sentis mon jus monter. Je restais un moment empalé pour faire redescendre mon sperme. Cela faisait tellement longtemps que je n’avais pas jouis que ma semence ne demandait qu’à s’enfuir. Quelle infamie ! Il m’interdisait en plus de me toucher le pénis ! Je dû lutter pour que ma main ne le masturbe pas. Enfin le jus retrouva son hall d’attente. C’est à ce moment là qu’il ordonna cinq nouveaux aller-retour. Tout en comptant, je reprenais mes allers et venus sur ce jouet et je m’assaillais de nouveau. Je reniflais un peu de poppers pour laisser ma semence dans son garage. Le Maître demanda que je prépare le suivant. Je prenais donc le second gode, le graissais et le présentais. Il ordonna que j’éjecte le premier et que je m’empale sur celui-ci. Je me redressais et évacuais le premier. Je présentais le second à ma petite rondelle qui s’ouvrit un peu plus au contact du gland. Mon côlon avalait ce nouveau phallus qui vint butter contre le premier anneau. Avec l’autorisation de Maître Michael, je prenais un peu de stimulant pour aider son ouverture. Je sentis l’anneau s’ouvrir et avaler la tête. Je me retrouvais progressivement assis sur ce nouveau pieu tout en gardant mon érection. Je trouvais la situation humiliante de bander ainsi et en même temps, j’appréciais être empaler sur ce plaisir. Il ordonna, après m’être gazé, de faire cinq nouveau aller retour sur ce nouveau gode et sans pouvoir éjaculer ! Je commençais les monter et les descentes. Arrivé au cinquième, je m’assaillais rapidement sans plus bouger car je sentais mon jus remonter. Je dû lutter de toutes mes forces pour ne pas me toucher et me branler. Quand mon sperme repris sa place, le Maître ordonna cinq nouvelles montées. Je repris les allers et retours. À la fin je ressentis une nouvelle fois ma semence en action. Avec l’autorisation du Maître, je reprenais du poppers pour aider à stopper son mouvement. Un râle d’insatisfaction et de frustration sortit de mes entrailles. Il me commanda de rester assis sur ce phallus et de prendre une règle. Avec difficultés et angoisses je tendais la main et la prenais sur le bord du bureau. Il m’obligea à donner dix coups sur mes misérables couilles bondées. D’une main je tenais mon paquet et de l’autre la règle. Je commençais à les frapper tout en devant compter les coups. A chaque heurt, une violente douleur irradiait mes bourses et remontait progressivement au pubis. Je comptais les coups et un gémissement de plainte sortaient de mon gosier chaque fois que la règle heurtait mes bijoux de famille. Au dixième, il m’annonça que cette série était pour lui et qu’une seconde s’imposait pour Master Eric. Bien qu’elles soit violacées, je recommençais une nouvelle série de dix coups. Arrivé au dixième, il me contraignit de défaire le bondage pour ôter les poids tout en restant empalé sur le gode. Je m’exécutais avec soulagement. Maître Michael voulu que je prépare le gode numéro 3. Je le prenais, le graissais et le présentais derrière moi. Je me levais et je sentais, celui en moi, sortir progressivement de mon côlon. Je montrais le suivant à mon petit trou. Je commençais à m’asseoir dessus et senti mon anus s’ouvrir. Je reprenais un peu de poppers et continuais ma descente. Je sentais ce pieu pénétrer dans mon côlon. Arrivé à l’anneau, je dû sniffer quelles que rasade pour qu’il s’ouvre et avale ce nouveau gland. Lorsque je fus enfin assis sur ce phallus, il ordonna que je refasse cinq montées. Tout en comptant, je sortais ce lingam de moi et je m’empalais de suite. Arrivé à la cinquième descente, et avant que j’aie pu me rasseoir sur ce pieu, je sentis mon jus monter. Avec angoisse mon côlon s’empressait à l’avaler. Avec grande difficulté et l’autorisation de prendre du poppers, j’arrivais à faire stopper cette montée de sperme. J’avais une envie présente de me masturber et jouir mais je me l’interdisais car la punition de Master Eric serait impitoyable. Qu’elle frustration et humiliation car le jus redescendait que très lentement ! Je dû refaire une nouvelle série mais, arrivé à la quatrième monté, mon sperme en fit autant. J’attendais un instant qu’il stoppe et veuille bien retourner dans son garage. Je m’empalais alors pour la cinquième fois de cette série. Cela faisait trop longtemps que je n’avais pas vidangé mes couilles que j’avais de plus en plus de mal à contrôler mon jus qui recommençait sa montée. Que de frustration et d’humiliation de devoir stopper ainsi la jouissance ! Je dû me retirer du lingam, après accord, pour enfin le faire retourner d’où il venait. Je me trouvais de plus en plus lésé, abattu et avili de sentir mon sperme monter en me faisant baiser par ces jouets. Je faisais part de mes sentiments et de la difficulté à maîtriser les montées de jus. Je n’eu, comme réponse du Maître, que mépris et sarcasme.

          Lorsque mon sperme fut enfin vraiment redescendu, Maître Michael demanda les pinces à linge. Il ordonna que j’en pose cinq sur les bourses. Q12---4-eme-Plan----.-.jpgue je prenne le plug qui tient seul de le graisser et de boucher mon trou ! De reprendre deux fois quatre pinces et de faire deux rangées sur mon pubis et une dernière au bout du gland pour le fermer. Je prenais de nouveau un peu de poppers. Il ordonna que je prenne le boxer, que je l’enfile et de m’allonger sur le ventre au sol. Une douleur irradiait dans toutes mes couilles et ma bite malgré le poppers. Le sous-vêtement compressait les pinces et accentuait la souffrance. Je transpirais comme en plein soleil un été de canicule. Au bout d’un certain temps, il autorisa à me lever mais je dû prendre une photo avec le boxer puis avec les pinces. La douleur m’avait fait débander. Il me commanda d’attendre car Master Eric ne devrait plus tarder à participer à cette soirée. Je prenais du poppers pour supporter l’incendie qui irradiait dans mes bijoux de famille avec l’accord du Maître. Nous attendions que Master Eric prenne part à la séance.

          En attendant Maître Michael me commanda de remettre le boxer et de l’appeler. Master Eric répondit et prit part à la séance. Je me remettais allongé sur ordre de Maître Michael. Le Master me dem08---4-eme-Plan----.-.jpganda de décrire ce que j’avais sur moi, ma position puis de lui décrire la séance avec le Maître. Il m’ordonna enfin de ramper au sol. La douleur s’amplifia dans toutes mes parties génitales. Après avoir stoppé, il commanda que je me lève puis que je me remette au sol à plat ventre. La souffrance ne se fit pas attendre et irradiait mes bijoux de famille. Le Master décida que je me relève et que j’enlève le boxer, j’avais débandé, puis que j’expulse le plug. Je poussais au maximum et je sentais ma rondelle s’ouvrir et chasser cet intrus. Il ordonna que je prenne le gode de 20 cm et que je remplisse mon trou avec. Je le prenais et l’enfonçais à fond. Il exigea que je le sorte vingt fois et le rentre à fond. Je débutais les aller retour dans mon infortuné côlon. Je faisais bien buter les couilles du gode contre mes fesses. Je dû stopper un instant à dix allers retour car mon jus recommençais à monter. Après un instant de répit, je reprenais la série jusqu’à vingt. Le Master ordonna que je m’assoye dessus et que j’enlève la pince du gland puis les autres pinces. Assis par terre, chaque fois que j’enlevais une pince, une douleur irradiait d’abord mon pénis puis mes malheureuses testicules. Lorsque j’eu terminé, il exigea que je malaxe mon paquet avec de l’alcool. J’envidais dans la paume de la main et je malaxais donc toutes mes parties avec. Un nouvel incendie vint embraser mes parties génitales. Je soufflais de brefs coups pour atténuer le brasier. Lorsque le feu s’estompa, Master Eric m’autorisa à me lever et ôter le godemiché et enfiler mon boxer. Il me fit asseoir à la tête de lit les jambes écartées. Je prenais de bonnes rasades de poppers avec son autorisation et je dû donner vingt coups de poi15---4-eme-Plan----.-.jpgngs sur mon paquet. À chaque coup, un éclair de douleur irradiait dans mes couilles.

          Maître Michael me fit prendre la seringue à coté de moi et enfiler 18---4-eme-Plan----.-.jpg

 

la capote. Il m’autorisa enfin à me branler. Je prenais dans ma main mon pénis en érection et me masturbais. Doucement mais sûrement, je sentais mon jus monter. Quel bonheur de pouvoir enfin vidanger mes pauvres couilles ! Je continuais encore quelles qu’instant à me masser. Mes Masters voulurent que je prenne en photo mon jus, puis la capote suspendue. Enfin je devais le pomper dans la seringue. Après l’avoir pris en photo le résultat, ils me demandèrent de la mettre dans la bouche et d’avaler ma semence.

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27 - 4 ème Plan - -.-

 

 

 

 

  

 

 

            Master Eric demanda à Maître Michael de choisir une cage. Il choisit la silicone lisse et ordonna de mettre la clef dans un verre d’eau au congélateur. Lorsque je poserai la cage, de la prendre en photo et la mettre en ligne aussi. Je remerciais mes Maîtres et je leurs souhaitais une bonne nuit.


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

    

          Merci Masters pour cette soirée et pour cette vidange tellement attendue.

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Dimanche 7 février 7 07 /02 /Fév 08:44

3ème Plans en triple appel avec Master Eric & Maître Mickaël

 

     J’attendais donc que Master Eric me contacte comme il m’avait prévenu. Arrivé chez moi, je m’étais déshabillé et mis en peignoir, nu dessous. Je reçus un premier sms me demandant mon pseudo sur SmBoys et me disant qu’il allait chercher un autre Maître pour s’occuper du slave que je suis. Après plusieurs envois, il m’informait qu’un ami à lui allait m’appeler et s’occuper de moi. Qu’il lui avait donné des instructions, mais avant, je devais me connecter sur le site. Je m’exécutais et Maître Mickaël me contacta. Après m’avoir demandé mon matos, sollicité de préparer de l’alcool, du piment, le poppers, une règle…, il m’informa qu’il allait appeler.

      Je préparais ce que je n’avais pas sous la main, je posais mon peignoir et attendais nu son appel. Le téléphone sonna et je décrochais avec anxiété. J’entendis la voix de Maître Mickaël et après avoir fait les salutations d’usages, il me demanda d’enlever les ballstrechers que je portais et de prendre une règle. Je m’exécutais et il ordonna de donner 20 coups sur les couilles. Je commençais à donner les premiers coups mais la douleur, irradiait mes pauvres testicules. Je lui demandais l’autorisation de prendre du poppers. Il accepta 2 x 5 rasades, mais je devrai recommencer à zéro. Je prenais la bouteille et commençais à snifer. Lorsque je fus bien gazé, je reprenais la règle et recommençais les coups. Je supportais un peu mieux la douleur mais la douleur se diffusait tout de même dans mes pauvres couilles. Lorsque j’eus terminé, je dus prendre une photo des malheureuses valseuses. 

01 - Couilles après Règle - 01 - WP 20160205 23 18 53 Pro 02 - Couilles après Règle - 02 - WP 20160205 23 18 48 Pro

     Maître Mickaël, commanda de prendre l’alcool et d’en verser sur les couilles la queue et le gland après m’être poppérisé. Je prenais de grandes rasades de poppers et prenais la bouteille d’alcool. J’en vidais sur le gland, la queue et mes couilles. Une douleur et une chaleur se propagea dans toutes mes parties. J’ai eu du mal à retenir un gémissement, ce qui lui déplut et ordonna de me taire et de les malaxer. Avec difficulté je retenais mes geignements. La souffrance s’estompa progressivement et je remerciais le Maître. C’est alors qu’il exigea que j’enduise le gland de piment et que je pose au bout une pince à linge. Une douleur se répandit du bout de mon sexe et dans toute ma verge. Il commanda que je prenne une nouvelle photo :

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     La douleur ne faisait qu’augmenter mon érection. C’est à ce moment là qu’il m’imposa de prendre le premier god chair, de le graisser et d’enduire le gland de purée de piment comme je venais de faire avec le mien. Je le suppliais de ne pas mettre de piment mais il refusa catégoriquement et ordonna de le prendre en photo et de la lui envoyer afin qu’il vérifie.

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     Satisfait, il ordonna de préparer la Web-cam par terre et il exigeât que j’expulse le plug que j’avais sans le toucher devant et d’enregistrer le film, je m’exécutais :

 

Vidéo N° 01

 

     Ensuite, il exigeait que je prenne le god avec le piment. C’est à ce moment qu’il commanda que je m’empale dessus tout en me gazant. Je m’exécutais mais un incendie irradia mon côlon. Je dus faire des vas et viens dessus, ce qui augmenta la douleur et l’incendie qui se propageait dans mes entrailles. Après un moment, il commanda de m’asseoir dessus et de préparer le second god chair. Je m’asseyais donc dessus et graissais le second god. Après avoir éjecter le 1er god, je m’empalais sur le second en me gazant de nouveau. Il m’obligeait à m’asseoir dessus et à bouger mon pauvre cul en feu. J’avais du mal à rester ainsi car un brasier se consumait dans mon côlon et provoquait une poussé du cul. Je me forçais à exécuter les ordres de Maître Mickaël tout en le maudissant tout bas. Il m’imposa de faire des vas et viens dessus et de me rasseoir. Pour terminer ce travail, il voulut que j’expulse ce god et que je prépare le suivant. J’expulsais avec soulagement ce phallus en moi.

 

Vidéo N° 02

 

      Je prenais le suivant, un noir et je le graissais. Je le présentais à ma petite fleur d’une main et de l’autre, prenais le poppers et l’offrais à mes narines. Tout en m’assaillant dessus, je me gazais pour essayer d’atténuer le brasier qui flambait dans mon côlon. Mon pauvre cul ne cessait de pousser et j’avais de plus en plus de mal à m’empaler sur ce lingam. Maître Mickaël accepta enfin de stopper le martyre de ma pauvre petite fleur et le sinistre qui irradiait dans mon côlon. Mon éducateur exigea de voir mon trou. Je prenais donc une photo. J’avais toujours la pince au bout du gland mais le feu avait cessé dans mon sexe.

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     Le Maître commanda de remettre en place le plug et de filmer l’introduction :

 

Vidéo N°03

 

      Après la remise en place du plug, Maître Mickaël exigea que je prenne en photo les différents godemichés :

07---Gods---WP_20160205_23_32_25_Pro.jpg

     Maître Mickaël me commanda de prendre la règle, le poppers, mon portable et de me coucher sur le lit. Je m’exécutais et m’allongeais sur le lit après avoir mis une serviette de toilette. Il ordonna de reprendre d’une main mes testicules et de l’autre la règle. Il exigea que j’administre 20 coups de règles dessus après m’être gazé. J’effectuais les ordres et commençais les coups après avoir bien reniflé du poppers. Mes plaintes lui déplaisaient et j’essayais de me taire. C’est alors que mon portable sonna. J’informais le Maître que c’était Master Eric. Avec son autorisation je prenais la communication. Mon Master me demanda ou nous en étions. Je lui racontais le début du plan et où nous en étions. Il me commanda de démarrer la conversation à 3. J’en informais Maître Mickaël, le mettais en attente et j’appelais Master Eric. J’avais mes deux Maîtres en ligne. Je pensais que j’allais encore plus dérouiller !!! Mes craintes furent confirmées très rapidement. Master Eric, après s’être concerté avec Maître Mickaël, m’enjoint de me relever et de reprendre le deuxième god chair en punition de mes manquements de la semaine écoulée. De m’accroupir et de m’empaler dessus après m’être bien gazé. Je me relevais donc et me préparais à croupis avec le phallus. Je me poppérisais bien et je lançais l’enregistrement de la caméra. Je présentais le phallus à ma petite fleur encore en feu et je l’introduisais en explosant mon pauvre trou. Je regrettais vivement mon manque de compréhension dans les instructions que mon Master m’avait commandé. Méritant un châtiment, je me taisais et acceptais la sanction résignée mais je me promettais de faire plus attention aux instructions et aux ordres de Master Eric et de ne plus jamais lui déplaire. Si je ne comprenais pas bien, de lui demander confirmation de ce que j’avais assimilé afin de ne plus commettre d’impair à son encontre. Je rentrais et ressortais le godemiché. Après plusieurs aller retour, les Masters me demandèrent de stopper et de le sortir.

 

Vidéo N°04

 

     Après s’être concerté, les Masters me commandèrent de me remettre en position, de rentrer et sortir jusqu’au gland, le jouet que j’avais précédemment. Je me remettais en position et représentais le jouet devant mon trou après avoir repris du poppers. Je le rentrais et le ressortais 20 fois suivant leurs instructions :

 

Vidéo N°05

 

     Ma petite fleur était explosé et une combustion consumait mon côlon. Malgré l’incendie et le cul qui poussait, je m’obligeais de ne pas trop geindre et me plaindre car je méritais cette punition. Lorsque j’eus terminé, les Maîtres commandèrent de retourner sur le lit avec toujours le phallus en moi. Leur faisant part de ma peur qu’il sorte, Master Eric ordonna de m’assoires sur le bord du lit. Je m’exécutais ce qui fit pénétrer encore plus profondément ce phallus. Je n’osais pas le dire, mais j’appréciais cette verge pénétrant au plus profond de moi. Où le premier anneau avait avalé le gland et jouait sur le haut du god ! Il me commanda de reprendre d’une main les testicules et de l’autre la règle après m’être gazé. Je commençais les coups en les comptant, mais ayant des gémissements trop forts, il décréta que ça n’allait pas et que je devais recommencer en me taisant. Je m’exécutais en essayant de gémir le moins fort possible. Cela n’allait toujours pas et je du recommencer deux fois la séance de 20 coups de règles. Mes pauvres couilles irradiaient de douleurs, un brasier se consumait à l’intérieur de mes testicules maltraités. J’avais pris un mouchoir dans la bouche afin d’atténuer le bruit de mes plaintes comme si c’était un bâillon car je n’avais aucune envie de recommencer une nouvelle fois la série. Je n’osais pas le dire à Master Eric bien qu’il ait douté que j’aie correctement réalisé ses instructions.

Les Maîtres demandèrent que je me rallonge sur le lit tout en gardant le phallus en place et de prendre avec moi une crème dessert pistache. Ils me demandèrent de prendre une photo de mes bourses normalement martyrisées à cause de mes manquements car seul le Master sait ce qu’il faut pour le slave que je suis. Malgré les maltraitances, je bandais toujours comme un âne…. À quel que part, je devais apprécier la situation… :

08---Sur-le-Lit---Queue---WP_20160205_23_39_35_Pro.jpg

     Pour terminer la séance, Maître Mickaël et Master Eric m’autorisèrent à me masturber mais sans juter. Lorsque je sentis la première montée de jus, je stoppais immédiatement. Une frustration et un sentiment d’humiliation m’envahissaient. Je faisais très attention de ne pas recommencer ma bêtise de dimanche dernier de jouir sans permission. Maître Mickaël ordonna de recommencer sans toutefois éjaculer. Je reprenais la masturbation et avec encore plus de difficulté, j’arrêtais lorsque je sentais la monté. La frustration et l’humiliation étaient à son comble avec un sentiment d’avilissement qui descendaient au plus profond de mes entrailles. Master Eric, pour la troisième fois, me demanda de me masturber et de me vider dans la crème dessert. Avec plaisir et soulagement je m’exécutais. Trop excité et en manque, j’astiquais vigoureusement ma verge. Doucement et sûrement, je sentais mon jus monter. Dans un gémissement de plaisir je me vidais dans le pot de crème pistache. Mon Master me commanda de continuer les vas et viens de ma queue pour faire sortir tout le sperme contenue dans mes testicules encore en feu. Je m’exécutais avec satisfaction. Lorsque j’eus extrait tout ce que j’avais en stock, il consentit d’arrêter la masturbation. Le slave que je suis vous remercie Maîtres de m’avoir permis d’extraire la provision qui était en réserve dans mes valseuses. Ils me demandèrent de prendre une photo du résultat. La crème étant claire, mon jus ne se voit pas bien mais on devine un liquide qui surmonte la crème :

10 - Crème - WP 20160206 00 20 37 Pro

     Master Eric réclama que je prenne une cuillère et de déguster la crème avec son nouvel arôme. J’en prenais une et je mangeais cette nouvelle recette originale. Lorsque j’eus terminé, après avoir apprécié ce nouveau mélange et informé que j’achèterai des crèmes chocolat pour un plus grand contraste, Maître Mickaël ordonna que je prenne une cage de chasteté. Avec contrariété, je lui demandais laquelle prendre en acier ou en silicone. Il choisit cette dernière et j’allais en chercher une. Après l’avoir mis en place, Master Eric m’informa que je devrai la porter 10 jours. Je n’osais pas me plaindre mais j’angoissais déjà à l’idée de devoir la porter si longtemps, d’autant que je les avais informés que je serai en déplacement toute la semaine. Ils commandèrent une photo pour voir le résultat :

12---Cage-Silicone---03---WP_20160206_00_27_06_Pro.jpg

     Je remerciais les Masters et je leurs souhaitais un excellent week-end. Master Eric exigea que je décrive la séance et que je la mette en ligne sur mon blog ce week-end.  Seul eux savent ce qu’il faut pour le slave que je suis, ce qui est bon ou non pour un bâtard comme moi. Avec satisfaction et après avoir appris que le Master m’appellera dans la semaine, je coupais la communication.

 

     L’idée de devoir porter cette cage me provoquait un sentiment de frustration, d’humiliation, d’avanie et de honte, mais en même temps et bizarrement j’appréciais la situation et je remerciais intérieurement les Masters de cette décision.

Merci Maître pour cette séance, je vous souhaite un excellent week-end et à bientôt. Master Eric, j’ai bien compris où j’avais fait une faute et ma mauvaise compréhension de vos instructions et de vos ordres. À l’avenir, je ferai en sorte que ça ne se reproduise plus car mes testicules et vont s’en souvenir un moment.

 

     Samedi, réalisant ce travail, Maître Mickaël me commanda, après en avoir informé Master Eric et avoir eu son accord, de ne plus porter de sous-vêtements sauf lorsque je suis en consultation chez le médecin. Dans ce cas, il me donnait la permission de porter un jock-strap. Après lui avoir informé que j’avais une femme comme généraliste, je sollicitais l'accord de porter, dans ce cas, un boxer. Il refusa catégoriquement ! Il m’imposa, dans cette situation, de mettre un string ! Je lui faisais remarquer la sensation d’humiliation si je me présentais ainsi devant une aie de longue date. Il rétorqua que je n’avais pas le choix et que seul les Maîtres savent ce qu’il faut et ce qui est bon pour le slave que je suis. J’acquiesçais avec regret et j’acceptais les nouvelles instructions. Il réclama aussi que je prenne en photo tous mes sous-vêtements et que je les mette en ligne sur mon blog pour que Master Eric ou lui-même puissent choisir lequel je devrai porter lorsque j’ai rendez-vous et ce, après avoir appris que ma prochaine rencontre avec ma généraliste sera le 17 février et ce, toutes les 4 semaines. Ayant déjà un travail ce week-end, il accepta que je fasse ce dernier devoir le week-end prochain. Malgré mes craintes et mes sentiments de frustration, d’humiliation et de honte que j’aurai lorsque je me présenterai ainsi devant mes médecins, j’appréciais l’idée si Master Eric accepte ses nouvelles contraintes de Maître Mickaël.


     PS : N’étant pas arrivé et ne sachant pas encore comment faire pour mettre des vidéos en ligne, vous pouvez me les demander par e-mail : bastardakc@hotmail.fr

Par Bâstard à KC - Publié dans : Récits des Plans - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 3 février 3 03 /02 /Fév 12:13

2ème plan avec Maître Eric

 

          Dimanche matin, mon Maître m’appelle et dès que j’entends sa voix, je me mets à bander comme un âne. Plus la conversation se faisait, plus j’étais excité. Après avoir pris des nouvelles d’un chacun, d’apprendre que j’avais les burnes pleines depuis jeudi soir, il m’ordonna de ne pas me les vider. Il le ferra dans la soirée. Lorsqu’il raccrocha, j’ai eu de très grosses difficultés à ne pas me branler et à juter tellement le slave était excité.

          La journée se déroulait et le bâtard pensait au prochain appel de son Master. Plus il pensait à lui et plus l’excitation remontait et je me remettais à raidir mon membre. La frustration de ne pas pouvoir me toucher montait de plus en plus. Je ressentais l’humiliation s’insérer dans tout mon corps. La grande difficulté était de faire redescendre l’agitation qui secouait toutes mes cellules.

       Plus la journée avançait, plus l’humiliation augmentait, plus la frustration s’amplifiait, plus l’excitation du slave se décuplait et plus il appréciait cette situation. J’attendais avec une grande impatience l’appel de Maître Eric. J’avais de plus en plus de mal à ne pas me toucher et me branler pour me vider. Heureusement, le Master ne m’avait pas imposé de cage, ce qui me permettait d’être en érection et de frôler mon sex. Je portais seulement les ballstrechers, ce qui aggravait tout de même ma fébrilité.

          Le téléphone sonna enfin et je m’empressais de répondre. Une fébrilité envahit toutes mes cellules dès que j’entendis la première sonnerie. La voix de Maître Eric résonna dans l’écouteur et l’excitation revint immédiatement. Je m’assaillais sur le lit avec mon pénis en érection et commençais à me toucher tout en répondant au Master. Après avoir discuter un instant, il m’ordonna de prendre le poppers et le god chair moyen. Je m’empressais a aller chercher le matériel. 

Plan-N--02-2880-2.JPG

          Je graissais le god et le posais à terre sur sa ventouse. L’excitation avait envahi toutes mes cellules. J’informais que tout était prêt. Maître Eric ordonna de prendre le poppers et de sniffer 2 X 4 bonnes rasades. Je présentais la bouteille sous la première narine et je humais à fond 4 fois et je passais à la seconde narine. Je recommençais une deuxième fois. Bien gazé, il commanda de m’asseoir dessus. Je sentis le gland du god ouvrir mon petit trou et s’introduire dans le côlon. Il s’insinuait progressivement jusqu’à butter contre le premier anneau. Quelle enchantement ! Je gloussais comme une pute. L’anneau s’ouvrit enfin et avala avec bonheur le gland et jouait avec. Ma petite fleure appréciait d’avoir avalé ce phallus. L’enthousiasme du slave grandissait de secondes en secondes. C’est à ce moment là que le Master demanda de m’asseoir ailleurs. Je lui proposais un siège ou le canapé. Il opta pour ce dernier et ordonna de me rendre dans le salon. D’une main, je tenais le god en place et de l’autre je prenais une serviette, le poppers et le téléphone. Avec empressement je posais l’essuie-mains sur le canapé, le poppers sur la table basse et Maître Eric ordonna de m’asseoir ! Je m’exécutais et sentis les 20 bon centimètres (voir, un peu plus) du lingam s’enfoncer au plus profond du slave. Lorsque je fut bien installé, le god à fond dans le slave, les ballstrechers étirant bien les couilles posés sur le canapé, il demanda au bâtard de prendre une photo et de la lui envoyer. Je m’exécutais et je faisais parvenir la photo par sms.

Plan-N--02-2880-3.JPG            Mon excitation était à son comble et mon envie de jouir de plus en plus forte. Il m’autorisa à astiquer mon érection. Je m’exécutais en le remerciant. C’est là qu’il commanda au bâtard de ne pas jouir !!! Quelle frustration et humiliation !!! La petite pute du stopper sur le champ ! Mais trop excité et s’étant masturbé trop rapidement, il sentit, du plus profond de sens entrailles, une extase augmenter en lui. Bien qu’il eu stoppé net, le slave perçut le jus monter inexorablement dans la racine du pénis. S’engouffrer dans l’urètre et l’envahir. Enfin, dans un râle, le sperme explosa en dehors par petits jets. Le bâtard mis sa main pour récupérer sa semence. Master Eric, très contrarié de la jouissance précoce du slave, demanda une photo de la bévue du slave.

Plan-N--02-2880-4.JPG

          Le Maître ordonna que le slave boive sa semence. Lui demanda son goût ? Il était légèrement salé.

          Master Eric, très mécontent, ordonna au slave de ne plus jouir les prochains jours. Il verrait lui même en fin de semaine la suite à donner. Cet infamie méritait une punition. Je ne put que valider le châtiment.

Par Bâstard à KC - Publié dans : Récits des Plans - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 31 janvier 7 31 /01 /Jan 13:17

1er  Plan téléphonique avec  Master  Eric :

          Après que Master Eric m' ait envoyé ses instructions par sms, je préparais le matos demandé pour notre premier plan de Domination par téléphone et je l' attendais en slip orange, comme il l' avait souhaité. Je bandais déjà comme un âne et mon gland mouillait déjà bien...  

Le téléphone sonna.

Je m' empressais de répondre. Maître  Eric était à l'autre bout du fil, prêt à jouer avec le Slave.

Le Matos pour la séance :  01 - Plan 1 - Matos - - .

            02 - --Plan-1---01------jpg                            03 - --La-queue-du-Slave-Hors-du-Slip

  Le slave bande dans son slip et le mouille.       Le gland du slave hors du slip. 

        Master Eric m'ordonna de m'allonger sur mon lit et de malaxer mon paquet, la main posée sur mon slip bien gonflé à bloc. Je bandais de plus en plus fort et je mouillais grave le slip. Après l'avoir bien taché, il me commanda de sortir le gland et de prendre une photo et de la lui envoyer de suite. Puis, il me demanda de descendre le slip et de le poser à côté de moi. Le Master m'enjoignit de prendre le sachet de pinces à linge et d'en poser une sur chaque seins. Toujours sur le lit, ma queue bien raide sur le pubis, il me dicta de poser des pinces à linge sur ma bite, de la base des couilles jusqu'au frein de ma bite. Le Maître m'autorisa à prendre du poppers pour supporter la douleur de mon pauvre pénis maltraité ainsi.... Mais, plus je posais des pinces et plus je bandais...!!! Il m'ordonna de  prendre ma bite ainsi équipée en photo, afin de vérifier que je jouais bien le jeu. 9 Pinces à linge avaient été posées sur ma Teub, sur toute sa longueur. 

04 - Plan 1 - - .

          Il me commanda d'en faire autant sur mon sac de burnes qui contient mes pauvres couilles, en comptant les pinces à linge à haute voix au fur et à mesure de leur pose, après m'être bien gazé au Poppers auparavant. Je réussis à en poser 19 pour faire un beau diadème au niveau de mes valseuses. Afin d'évaluer le travail effectué, il me réclama une photo pour apprécier le chef-d'œuvre....:  05 - Plan 1 - - .

          Puis, Master Eric m'a  demandé de me lever, de remettre mon slip en place pour bien faire tenir les pinces, et d' enfermer mes burnes et ma bite à l' intérieur du slibard ! Mes pauvres couilles et ma malheureuse queue étaient en feu, sans compter le bout de mes misérables tétons. Afin d'apprécier la merveille réalisée, j'envoyais une nouvelle photo par MMS, que le Maître apprécia à sa juste valeur. Le slave continuait son érection, savourant sa douleur.

          Le Maître m'invita à me remettre sur mon lit, à me gazer au poppers et à malaxer ce joli jouet. Ma Pauvre queue et mon malheureux paquet gonflés allaient exploser de douleur et un " incendie " se propageait dans mes parties les plus fragiles... Savourant la douleur, je continuais à mouiller mon bas ventre : je mouillais toujours autant du gland...

06 - Plan 1 - - .          Master Eric m'invita enfin au bout de quelques longues minutes de souffrance, à stopper cette torture et à ôter le slip. Je m'exécutais avec entrain. Le Master convia le Slave à enlever toutes les pinces une à une, en les comptant à haute voix, pour chaque pince retirée. Il m' ordonna de commencer par ma queue. Je m'exécutais mais à chaque pince que je retirais, une douleur extrême se diffusait dans ma verge. Maître Eric commanda au slave de continuer le retrait des pinces se trouvant sur la peau des burnes. La douleur irradiait le scrotum et mes malheureuses prunes. Lorsque toutes les pinces eurent rejoint leur emballage, je me popperisais une nouvelle fois avec l' autorisation de Master Eric.

          Il m'invita à en reprendre encore et encore. Je compris bientôt pourquoi Master Eric me voulait gazé à fond. Il me commanda ensuite de prendre le flacon d'alcool  à 90° et d' en faire couler sur mes couilles. Un brasier explosa dans mes funestes glandes génitales. Appréciant mes gémissements, il ordonna au slave de les malaxer afin de bien faire pénétrer l' alcool à travers la peau. La fournaise qui irradiait mes misérables roubignoles, me faisait bander comme un âne malgré le gazage qui me permettait de supporter un peu mieux la cuisson qui se propageait dans mes parties génitales.

          Lorsque la douleur s'atténua, il m'invita à me lever et à préparer les deux godes avec la graisse et le poppers. Je m'installais par terre accroupi et je commençais à graisser le plus petit gode. Lorsque je fut prêt, Master Eric exigeât que je m'empale dessus.  Je débutais par prendre un peu de poppers et j'introduisais doucement le gland du gode dans mon pauvre trou. En pénétrant de plus en plus profond, j'introduisais le gode dans mon côlon. Je le sentais pénétrer de plus en plus loin en moi. Enfin je m'asseyais dessus, cette verge rigide en moi.  Le Master me commanda de monter et descendre de plus en plus vite. Je reprenais du poppers avec son autorisation pour aider ma petite fleur à avaler cet objet. Le Master m'invita à m'asseoir dessus et à préparer le second gode. Je m'y installais et je graissais le second. Lorsqu'il fut prêt, le Maître m'invita à me gazer et à retirer le premier gode.Je positionnais le second à sa place et je commençais à m'empaler dessus. Doucement mais sûrement, je l'introduisais en moi. Je descendais avec bonheur sur ce gode plus important. Quand je le pris bien à fond, je sniffais une nouvelle fois du poppers et je commençais à défoncer mon trou avec, sur les ordres de Master Eric !  Quel délice de ressentir ma petite fleur s'ouvrir et s'exploser dessus ce phallus. J'étais au comble de l'excitation. Mon trou chauffait de plus en plus et malgré le gazage, un brasier montait en moi. Quand le Maître sentit que le slave n'en pouvait plus, il m'invita à m'asseoir dessus et à bien m'empaler sur ce phallus. J'avais le cul explosé et un brasier irradiait mon côlon.

QUE DU BONHEUR.

Après avoir bien savouré cet enfer, je suppliais le Maître qui m'autorisa à le retirer de mon trou et à retourner m'allonger sur le lit. Mon Maître m'invita à me branler sans jouir. Je m'exécutais avec empressement tellement j'étais excité. Lorsque je sentis le jus qui allait monter, je stoppais avec difficulté les va-et-viens de mon pénis. Je faisais part au Master de mon sentiment de frustration et d'humiliation d'arrêter ainsi !!! Ce qui lui plut et il me fit part de sa satisfaction et du contrôle qu' il avait sur moi. Il me fit renouveler cet exercice plusieurs fois. Mon excitation montante à chaque arrêt brutal augmentait ma frustration et mon humiliation.

          Enfin, Master Eric me demanda de me gazer à fond, de rester allongé sur le dos et de préparer l'assiette avec la tranche de jambon blanc sur mon bas ventre. Il m' ordonna de recommencer ma branlette et de jouir sur la tranche de charcuterie dans l' assiette posée sur mon ventre. Après avoir pris plusieurs rasades de poppers dans chaque narine, je recommençais avec plaisir à me branler. Progressivement je sentais mon jus monter en moi. Je gémissais comme une chienne, de plus en plus fort. Dans un râle d'extase, je me vidais enfin les burnes complètement dans l'assiette, sur la tranche de jambon.

          Master Eric me demanda de lui envoyer le résultat de ma vidange de couilles. Ce que je m'empressais de faire.  

Avant :  07 - Plan 1 - - . 

Après avec le jus du slave ( bon, on voit pas terrible...) :

08 - Plan 1 - - .

          Pour terminer, Master Eric m'a fait part de sa satisfaction et de mon obéissance. Pour remercier son Slave, il l'autorisa à manger la tranche de jambon en la roulant et en la dégustant ainsi aromatisée avec le jus craché. Je m'empressais de la déguster et remerciais mon Maître.

          Merci Master Eric et à très bientôt.

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  • : Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335
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  • : Sous-Merde propriété de Master Eric et Maître Mickaël. Il fait aussi ce que les Visiteurs demandent. Ce n'est pas un mâle mais une sous-merde, et il doit être traité comme tel. À la disposition de tous les Maîtres et slaves au Téléphone, en Web-cam sur Smboy ou Skype... Prises de photo et rapports publiés ensuite sur le blog sous le contrôle de ses Maîtres.
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