Mercredi 19 juillet
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Nuit à la cave
Mes Masters, sur proposition de Master Seb, m’ont infligé une
punition pour les problèmes de piratage que j’ai subit. Suivant les directives de Master Seb., Je devais passer une nuit à la cave. Maître Michael avait ajouté que je devais partir de chez moi nu
comme un ver. Seul était autorisé les attributs du slave, une couverture à cause de la température dans les sous-sols et une paire de tatane aux pieds.
Lundi 17 juillet au soir, je rentrais à mon appartement après ma
journée de travail et comme d’habitude, je me mettais nu car c’est la seule tenue qui m’est autorisée. J’en profitais pour prendre les premières photos dans la tenue où je devrai me rendre pour
dormir.

Je me préparais à dîner et je regardais un moment la télévision. Vers 10h00 du soir, je tournais la clef pour ouvrir le barillet.
Plusieurs fois je regardais par le Juda si personne ne vaquait dans le couloir. Un peu avant minuit, la fatigue aidant et le sommeil venant, je me décidais à descendre dans les sous-sols pour la
nuit. Je prenais un vieux sac de couchage et mon portable pour les photos. J’éteignais toutes les lumières de mon domicile. Je retirais délicatement la clef du barillet et j’ouvrais doucement la
porte. Mon cœur se mit à battre de plus en plus fort, ma pauvre queue se gonfler et être martyrisé par les pics de la cage. Je jetais un regard derrière moi pour vérifier que la voisine n’était
pas à sa porte. Je refermais
délicatement la porte et j’introduisais la clef. Je lui faisais faire un tour et à tâtons, je me rendais à l’ascenseur dans le noir absolu. Je trouvais le
bouton et je l’appelais. J’entendis le moteur se mettre en marche et progressivement la cabine arriver. Les portes s’ouvrirent et je rentrais précipitamment dedans. Mon palpitant battait si fort
que j’entendais chaque battement de mon cœur. Mon pauvre gland s’était gonflé et sa torture continua de plus belle. Enfin les portes se refermèrent et l’ascenseur commençait sa descente. Je
n’avais qu’une crainte, qu’il ne s’arrête en cours de route pour prendre un voisin. Je posais le sac et je prenais les clichés suivant. Mon pauvre gland était de plus en plus maltraité par les
pics de la cage. Plus il l’était, plus cela m’excitait et j’essayais en vain de bander. Ce qui augmentait ma frustration et mon humiliation. Je prenais aussi le plug N°3 en place.

La cabine arriva enfin à destination. Je sortais et j’allumais la première série d’ampoule. Je sentis sur ma peau comme un voile
de fraîcheur m’enrober. J’ouvrais les deux portes me séparant des caves. J’arrivais à un angle droit et je lançais la seconde série de lumières pour que je puisse me
rendre à ma cave. Je
remerciais d’en avoir eu une des plus éloigné de l’entrée. Je commençais à frissonner de froid et de peur. Je tournais à gauche et j’arrivais face à ma porte. Je l’ouvrais au cas ou je serai
dérangé dans la nuit, je pourrai rapidement m’y cacher. J’installais dans le couloir devant celle-ci le sac de couchage. Je prenais de nouveaux clichés. Je relançais la minuterie et je
m’installais par terre. Que le sol était dur et rugueux malgré le couchage ! Je m’allongeais et essayais de trouver une position
pas trop inconfortable. Je
regrettais de ne pas avoir pris un coussin. Je mettais en boule le haut du sac pour faire un semblant d’oreiller. La lumière s’éteignit sur ces entre-faits. Bien que je sois fatigué, j’avais du
mal à trouver le sommeil. J’imaginais un voisin arrivant dans le couloir et me voyant nu comme un nouveau-né, ou presque comme je porte une paire de tatane, un collier, la médaille de slave, une
cage et un plug. Heureusement ce dernier est le moins visible. Je me retenais de maudire qui que ce soit et surtout les propositions de Master Seb. !
Au bout d’un certain temps, le sommeil arriva enfin je tombais
pour un moment dans les bras de Morphée. Je commençais à rêver ou plutôt à cauchemarder car je voyais un voisin à coté de moi, puis, de plus en plus qui arrivaient. Ils riaient et se moquaient du
slave quand je voulus me lever, je me réveillais en sur-saut ! Je poussais en Ouf de soulagement, le cœur battant la chamade et ruisselant de sueur. Je me retournais pour retrouver le sommeil. Un
moment plus tard je me réveillais de nouveau dans le noir en croyant que la lumière s’était allumé. J’étais près à bondir pour me cacher dans ma cave. Je savais que cette épreuve était pour le
bien du slave que je suis, c’est pourquoi j’évitais de maudire qui que ce soit. La nuit se passait ainsi avec des temps de repos et des réveils en sur-saut, le palpitant battant la chamade et
ruisselant de sueur. A chaque réveil, je regardais l’heure. Les minutes s’égrainaient très lentement. Lorsqu’il fut enfin 5h00 de matin, je me levais et allais appuyer à tâtons sur la minuterie.
Mon cœur se mit à battre de plus en plus vite et fort. Ma pauvre queue se mit, elle aussi à se gonfler et je sentais les picots pénétrer de plus en plus dans mon malheureux gland. Un instant je
fut aveuglé. Quand je m’habituais à la
lumière, je m’empressais de fermer à clef ma cave, de prendre mon sac, mes clefs et le portable. Je regagnais l’ascenseur. Pendant le trajet de retour,
j’étais de nouveau enrobé par la fraîcheur des lieux qui me faisait grelotter, mon palpitant continuait à battre encore plus vite et fort. J’entendais chaque pulsation dans mes oreilles. Mon
gland reprenait son calvaire et plus les pics essayaient de pénétrer et plus j’essayais d’avoir une érection contrariée par la cage ! En tendant l’oreille, j’attendais quelles que seconde avant
d’appeler l’appareil. Les portes s’ouvrirent immédiatement et je montais dans l’habitacle. J’appuyais sur mon étage. L’ascenseur se mit en marche après quelles que secondes. Je préparais ma clef
pour ouvrir doucement la porte après avoir pris les derniers clichés.
L’appareil arriva à destination et avant de sortir, j’attendais un
instant. À la lueur de la cabine, je regagnais mon logis. Le temps que j’insère la clef les portes se refermaient. Je me retrouvais une nouvelle fois dans le noir complet le cœur battant toujours
la chamade et mon malheureux gland qui ne cessait d’être torturé par les pics. Je tournais ma clef délicatement pour faire le moins de bruit possible. Je jetais un coup d’œil à la porte derrière
moi, une commère de voisine, et j’ouvrais précautionneusement la mienne. Je me faufilais dans mon appartement en reprenant ma clef et je refermais la porte aussi rapidement. Je m’appuyais un
moment contre en soufflant et pour calmer tout mon petit monde ! J’allumais la lumière du couloir et je refermais la porte à clef. Cet aller-retour à la cave et la nuit dans le couloir nu comme
un ver fut une expérience très humiliante et dégradante. Je priais pour qu’il n’y ait pas d’autre humiliation de la sorte. Je repliais le sac de couchage le temps qu’un café bienfaiteur
coule.
Merci à mes Masters pour cette nouvelle expérience qui fut très
dégradante et humiliante mais bénéfique pour le slave que je suis.
Bonjour Master Éric et Maître Michael,
Je me permets de vous faire part de plusieurs disfonctionnements dans le suivi de votre bâtard.
Master Phénix.
Bonjour Master Éric et Maître Michael,
Master Phénix.
Bonjour Master ERIC et Maître MICKAEL,
Je constate la rapidité de rédaction de votre Bastard, et c' est bonne chose! Voilà une bonne punition , avec quelques heures de réflexion au calme sans bruit ni télé ni ordi. Très bon compte-rendu d' un exercice dont le Bastard tirera profit même inconsciemment. L' on peut noter que cette situation d'attente de l' ascenceur a été une source de plaisirs pour le soumis, plaisirs qu' il ne pouvait maîtriser malgré les effets des picots sur son vermicelle. J' ai également constaté que le soumis n' émets plus de plaintes ni de jérémiades, et que l' on ressent une sincérité dans ses remerciements à ses Maîtres.
Mr Alain44
Je trouve que le port de la cage de chasteté blanche avec les couilles et le sexe rasé de près très joli !