Lundi 19 septembre
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22:15
Humiliation au bureau !
Ce matin, je saluais mes Maîtres. Ils me demandaient comment
s’était passé le week-end. Je leur répondais que j’avais eu du mal à supporter le plug 9 et que je n’avais pas pu mettre le 10, dimanche. Avec le N° 9, comme la base est plus large, mon pauvre
trou ne cessait de pousser !!! Au bout d’un certain temps, ne le supportant plus malgré les suppositoires, j’avais du mettre le plug N° 4, à deux boules. Pas content que je n’avais pas suivi les
instructions, ils décidèrent que je serai puni ! La punition démarrait immédiatement, en mettant de suite, avant de partir au bureau, le plug N° 8 avec toutes les photos nécessaires comme preuve.
Je les informais que, comme tous les lundis matin, j’avais une réunion de travail avec les autres collaborateurs. Assis toute la matinée avec ce plug, je risquais d’avoir des problèmes à le
garder. Ils répondaient que ce n’était pas leur problème et que ma désobéissance méritait une punition qui continuait avec, en fin de matinée, je devais me rendre aux toilettes, me mettre nu et
changer de plug avec le N° 9 aux toilettes du bureau. Ce soir en rentrant chez moi, de mettre le N° 10 pour la nuit avec tous les clichés nécessaires comme preuve et interdiction de mettre de
papier absorbant où que ce soit ! Malgré mes suppliques, ils ne voulaient rien savoir. Pour terminer, je devais poster avant de me coucher, le rapport de la journée. La journée allait être très
difficile, déshonorante et avilissante pour le slave que je suis. J’espérais ne pas trop mouiller pour ne pas trop tâcher le jeans que je porterai.
J’allais à ma salle de bain terminer ma toilette. Etant plugué en permanence, mon transit est accéléré et je devais faire un rinçage avant de mettre le
plug. J’ôtais celui à deux boules et je faisais cette toilette humiliante et dégradante du côlon. Terminé, je lui donnais un suppositoire pour le calmer avant de le maltraiter pour la journée. Je
graissais le plug N° 8 après avoir installé la ceinture, sans qui, je ne pourrai garder ces monstres. Je m’accroupissais et je prenais mon malheureux trou en photo. Je prenais le plug 8
et je le
présentais à mon anus. Tout en prenant des clichés, j’enfonçais doucement ce monstre. Je sentais ma petite fleur s’ouvrir à fond. Je poussais de plus en plus fort pour l’introduire. Je bloquais
le plug car mon pauvre trou se mettait déjà à pousser ! Quand il cessa et qu’il se refermait, j’en profitais pour lui faire avaler ce malabar.
Je m’habillais avec un jeans, comme les températures sont en
baisse. J’en profitais pour mettre un léger col rouler pour cacher le collier et surtout la médaille car elle me vaut des questionnements de la part de certain collègue. Je leur réponds que c’est
un présent de mon ami(e) avec son nom sur la médaille. Heureusement qu’ils ne peuvent voir ce qui est écrit car ils seraient vraiment surpris ! Sur le recto il y a : "Slave N° 411 103 335" et le
verso : "Slave de Master Éric et Maître Michael". Je serai vraiment trop humilié et avili si un collègue pouvait lire ce qui a dessus. C’est pourquoi, dès que je peux, je porte des cols roulés.
J’essaye le plus souvent possible de la cacher au mieux mais un jour, un moment d’inattention, j’ai oublié de fermer un polo et la femme de ménage a aperçu une inscription. C’est la première fois
que j’ai trouvé cette réponse. Je préparais dans ma sacoche le plug N° 9, du lubrifiant et un suppositoire. Le plug faisait un renflement. Je craignais d’avoir des questions désagréables !
J’arrivais au travail. Heureusement la plupart des collègues étaient déjà en salle de réunion au sous-sol. Je passais à mon bureau pour prendre mon dossier et je les rejoignais. Malheureusement
en m’assaillant, le plug pénétra encore plus profondément et mon pauvre trou se mit à pousser. Je serrais les dents en bloquant ma respiration tout en maudissant mes Masters de cette punition.
Les collègues en face de moi ont du me voir rougir car ils me demandèrent si ça allait. Je leur répondais entre les dents que ça irait que j’avais seulement des problèmes intestinaux. Quand mon
trou se calma, je pus reprendre ma respiration et parler normalement ! Malheureusement, dans la matinée, le problème se répéta plusieurs fois. Je m’assaillais alors sur le bord de la chaise pour
soulager un peu mon côlon et mon anus maltraités. Des collègues me conseillaient de voir mon médecin. J'acquiesçais tout en sachant qu’elle ne pouvait rien faire, seul mes Masters pouvaient
soulager ma petite fleur. Ayant du mal à me concentrer, je jetais furtivement des coups d’œil à l’horloge en face de moi au-dessus de mes collèges. Enfin 11h30 arriva et chacun se levait et
prenait ses documents. Je traînais un peu pour être le dernier à sortir afin de me rendre aux toilettes pour la suite de la punition de la journée. J’ôtais mes chaussures et je sentis le froid
glacial du carrelage. Je sortais de ma sacoche le plug, le lubrifiant et le suppositoire car mon trou avait besoin d’être un peu soulagé. Je me déshabillais totalement tout en gardant mes
chaussettes aux pieds. Accroupis, je déplaçais le bloc-plug tout en tenant le numéro 8. J’avais installé par terre le téléphone pour prendre les clichés nécessaires. J’en prenais un premier. Je
tenais le plug pour le faire sortir progressivement tout en prenant de nouvelles photos. Enfin !!! Mon malheureux trou était soulagé pour un instant.
Une envie d’uriné me pris. Je relevais la lunette des toilettes
car je n’ai plus le droit de m ‘asseoir dessus mais seulement sur la faïence. C’est encore plus frustrant, humiliant et dégradant comme je ne peux qu’uriner assis lorsque je suis encagé. Je
sentais les picots pénétrer dans mon gland et mon pénis. Je prenais aussi des clichés pour preuve. C’est encore plus dégradant et avilissant de devoir tout prendre en photo maintenant ! Je
positionnais le portable par terre pour continuer les justificatifs. Je me remettais à genoux et j’introduisais le suppositoire.
Je prenais le nouveau plug N° 9 que je lubrifiais. Je le
présentais à ma petite fleur tout en la prenant en photo. Je l’introduisais doucement et je sentais mon trou s’ouvrir de plus en plus. D’une main je poussais ce monstre et de l’autre, je prenais
des clichés comme preuves. Je sentais mon trou s’éclater avec ce nouvel intrus. Enfin, la base arrivait mais mon anus était toujours autant maltraité ! La base étant beaucoup plus large que les
autres, j’avais l’impression d’avoir un phallus en moi ! Le reste de la journée allait être encore plus difficile, frustrante, humiliante et dégradante. Je remettais le bloc-plug en place pour
tenir ce nouveau malabar.
Je me rhabillais et je nettoyais le plug au lave-mains. Je le
séchais et le rangeais dans ma serviette. Je montais à mon bureau. Heureusement il y avait l’ascenseur car mon cul était explosé ! J’attendais midi avec impatience à mon bureau. Lorsqu’il fut
l’heure, mes collègues et moi-même regagnons nos domiciles pour déjeuner. Arrivé chez moi, je transférais les photos du portable et je les effaçais immédiatement pour éviter un impair si un
collègue utilisait mon téléphone et tombait par malheur sur ces clichés. Je commençais mon rapport car je devais le publier avant de me coucher. Tout en le tapant, je mangeais rapidement. Quand
il fut l’heure, je regagnais mon bureau le cul explosé ! En arrivant, une collègue me demandait si j’allais mieux ? Ne pouvant lui dire la vérité, honteux et humilié, je lui répondais que j’avais
pris un traitement et que ça ira mieux demain…. Je crains le pire pour le futur ! Je me rendais à mon bureau mais ma rondelle était explosée avec ce plug horrible. Je m’assaillais et je sentais
le monstre pénétrer un peu plus profondément. Je maudissais la punition des Masters et je priais pour tenir tout l’après-midi. Quand mon trou poussait trop, je me levais pour ranger un dossier ou
en prendre un autre. En fin d’après-midi, ne tenant plus car mon trou ne cessait de pousser. Je me rendais aux archives classer des dossiers. Je pouvais mettre la main sur le bloc-plug pour tenir
cet intrus ce qui soulageait un instant ma petite fleur. Enfin l’heure arriva où je pouvais rentrer chez moi. Avec plaisir et angoisse je regagnais mon domicile à 18h30. Suivant les ordres que
j’avais et comme d’habitude, dès que je rentre chez moi, je me déshabille pour être nu car je n’ai plus le droit aux vêtements à mon appartement.
Le plug N° 9 sorti, je mouillais du trou comme un ruisseau.
J’avais aussi envie de vider ma vessie. J’allais aux toilettes, je séchais mon trou et j’urinais assis comme une salope sur la faïence de la cuvette. Même chez moi je n’ai pas le droit à la
lunette et quand je suis seul, je dois laisser la porte ouverte. Je n’arrive pas à m’y habituer. Avec le temps, je trouve ça de plus en plus humiliant et dégradant. Je prenais des clichés assis
sur le trône et mon gland compressé dans la cage.
Je retournais dans la chambre et je préparais un nouveau
suppositoire car je ne contrôlais plus mon trou. il ne faisait que pousser. Je m’inquiétais pour le plug suivant le N° 10 car il est énorme et je n’ai jamais pu le prendre à cause de sa base
monstrueuse. Pour calmer une nouvelle fois mon côlon, je préparais un suppositoire et je positionnais le téléphone au sol. Je m’accroupissais et, tout en prenant des clichés témoins,
j’introduisais le suppositoire. Je dus l’introduire bien profondément car mon trou ne cessait de pousser. C’est de plus en plus frustrant, humiliant et avilissant de prendre des clichés de chaque
petite étape ! Je maudis les instructions de mes Maîtres et surtout les humiliations des clichés !
J’attendais un instant que mon orifice se calme et je graissais le
plug N° 10. je le présentais à ma petite fleur et, difficilement en forçant, je l’introduisais progressivement. Je devais mettre les deux mains pour pouvoir le mettre en place dans mon malheureux
trou. Comme je devais aussi prendre des clichés comme preuve, chaque fois que je l’introduisais un peu, je devais stopper pour prendre un cliché. Je sentais mon cul en feu ! J’avais l’impression
qu’il allait exploser ! Avec grande difficulté, je l’introduisais progressivement. Enfin, je le mettais en place et je prenais un cliché avant de mettre le bloc-plug en place pour le maintenir en
position dans son trou.
Lorsqu’il fut enfin en place et que mon trou se calmait doucement
j’allumais mon ordinateur pour rédiger mon rapport car je dois le poster avant de me coucher. J’essayais de m’asseoir mais mon trou se rebellait. Je me positionnais donc sur le bord de ma chaise
pour ne pas m’assoire sur ce mastodonte ! Je traitais les photos en réduisant la taille des clichés pris. Plus je les voyais défiler et plus j’avais honte de devoir les publier sur le blog.
Lorsque le rapport sera publié, je serai vraiment humilié comme jamais je n’ai été. Je continuais la rédaction de se maudit rapport en ayant hâte de terminer mais je voyais les heures tournées et
mon trou de plus en plus explosé ! J’avais de plus en plus de mal à me concentrer pour écrire cet exposé. Enfin j’arrivais à la fin ! J’allais pouvoir le mettre en ligne et l’annoncer à mes
Masters.
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