Le blog de Bâstard a KC Sous merde n°411-103-335

Bienvenu sur le blog de Bâtard a KC : Sous merde N° 411-103-335. Sous le contrôle de ses Masters, il doit faire ce qui est demandé sans rechigner. N’hésitez pas à laisser des commentaires sur les différents articles qu'il publie sous les ordres de ses Masters.
Il fait aussi ce que les males demandent de faire après avoir reçu la validation de ses Masters. Ce n'est pas un male mais un slave, une sous-merde, un bâtard et il doit être traité comme tel.
Sous cage de chasteté, seuls ses Maîtres décident de ses jouissances afin de le purger de son jus pourris qui ne sert à rien.
N'hésitez pas à laisser des commentaires dans les différents articles publiés ici par notre slave ou nous même. Ça l'humilie encore plus. Le site ayant un bug, vous pouvez lui envoyer vos commentaires qu’il nous fera suivre. Son adresse est bastardakc@hotmail.fr ou en suivant ce lien
Notre slave est a dispos de tous mâles souhaitant l'utiliser et autres en Cam ou réel aussi avec prises de photos et rapports ensuite publiés sur le blog. Même les soumis peuvent l'utiliser car son statut est inférieur à eux et leur doit respect et leur obéir aussi

Punitions

Dimanche 27 novembre 7 27 /11 /Nov 19:45

Mes regrets :

 

          Suite à une erreur de manipulation, j'ai supprimé par mégarde un commentaire de 22 - Cage - Punition -Maître Phénix. Maitre Mickael a été mis au courant en recevant un mail de Master Phénix dans ma boite mail de slave qu'il contrôle. Il m'a aussitot infligé une punition pour avoir commis cette faute d'enlever les commentaires et d'avoir reconnu les faits. Pour cela, Maître Mickaël a ordonné que je fasse une photo nu, à genoux, mains sur la tête avec toujours la maudite cage qui enchâsse ma malheureuse nouille et  qui m’empêche de retrouver mes érections habituelles qui sont réservées aux vrais mäles et aux slaves.

         Dans cette position je présente toutes mes excuses à Master Phénix pour avoir commis l'erreur d'enlever un ou plusieurs de ses commentaires et que je ne recommencerais pas cette faute.

         Moi étant qu'une sous merde inférieures aux maitres et aux slaves, je n 'ai pas à connaitre le plaisir d'avoir des érections. Ma pauvre nouille, gonflée à bloc, est à l'étroit dans cette prison et restera dans la cage tant que Maitre Mickael le decidera.

 

       J'espère, vivement, que Maître Phénix, dans sa bonté, acceptera mes sincères excuses et dans sa bonté et sa clémence pardonnera la sous merde  que je suis.

 

Bastard à KC slave n°411-103-335

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Mercredi 2 janvier 3 02 /01 /Jan 12:40

Mes respects à Master Phoenix.

 

       Je présente toutes mes excuses à Master Phoenix pour mon comportement envers lui dans nos différentes conversations et lui prie de bien vouloir me pardonner et d'accepter ma repentance.

Punition.

Bien respectueusement, la sous-merde.

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Lundi 24 décembre 1 24 /12 /Déc 13:34

06 - Punition - D - -.-
06 - Punition - D - -.-
par Bâstard a KC slave n°411-103-335

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Jeudi 1 novembre 4 01 /11 /Nov 06:00

Récidive de l'aller-retour à la cave.

 

         Dans la nuit du lundi 29 au mardi 30 octobre, je réalisais la nouvelle descente à la07 - Punition - D - -.- cave. Vers trois heures du matin, je me levais et je commençais par regarder, au judas, le couloir. Il était plongé dans le noir absolu. Je déverrouillais délicatement la serrure en prévision de ma sortie nocturne et pour être le plus discret possible. Mon cœur se mettait à battre de plus en plus vite, la peur d'être surpris dans la tenue d'Adam. J'attrapais mon short blanc, un t-shirt et le marqueur noir. Je passais à la salle de bain. Devant le miroir, j'inscrivais la date du Mardi 30 octobre, jour08 - Punition - D - -.- de la réalisation de la punition. Les tortionnaires qui c'était un temps calmé, redoublaient de vigueur ! Ils empalaient, de nouveau, mon malheureux gland. Tout excité, il gonflait ma nouille qui se retrouvait en érection avortée par son carcan. Des gémissements de douleur s'échappaient de mes poumons. Mon palpitant accélérait le rythme. Une angoisse grandissante s'emparait de moi. J'enfilais le short et le t-shirt pour sortir. J'étais terrifié à la pensée de croiser un voisin. Je prenais mon portable dans une main. Je jetais un dernier regard au judas et j'ouvrais la porte délicatement. Je sortais dans le couloir et je refermais la porte sans faire de bruit. J'étais enveloppé de la nuit noire du couloir. À tâtons, je me dirigeais vers l'ascenseur. À l'aveuglette, je cherchais le bouton. Je le trouvais enfin dans cette noirceur. J'entendais la machine se mettre en marche. Mon palpitant battait encore plus fort. Je sentais les battements dans les veines du coup. Les bourreaux ne cessaient de supplicier le locataire de la prison. J'avais de plus en plus de mal à retenir les râles de douleur qui montaient. Enfin, l'ascenseur arrivait et les portes s'ouvraient en diffusant un halo de lumière dans ce09 - Punition - D - -.- gouffre noir. Rapidement, je montais dans la cabine et j'appuyais sur le bouton du sous-sol. L'appareil se remettait en marche et je sentais la cabine descendre régulièrement. Je me hâtais d'enlever le t-shirt et le short que je laissais tomber sur le sol. Je prenais mon portable que j'avais entreposé sur le sol. Je programmais le retardateur et je le plaçais contre la paroi la plus éloignée. Je me mettais à genoux contre les portes, les mains sur la tête, j'attendais le flash qui indiquerait que la photo a été bien prise. Juste après, les portes s'ouvraient.10 - Punition - D - -.- J'attendais qu'elles se referment pour prendre un second cliché. Dès que l'éclair scintillait dans cet habitacle, je m'empressais d'ouvrir les portes afin que personne ne puisse l'appeler et me trouver nu dans la cabine avec un collier au coup et une cage de chasteté. Mon cœur battait si fort que j'avais l'impression qu'il allait exploser. Je pliais mes deux vêtements que je posais au sol devant l'ascenseur. Je les photographiais pour les visiteurs. En tenue d'Adam, pieds-nus, je me rendais dans les caves. Le sol rugueux et froid râpait et glaçait la plante de mes pieds. Plusieurs frissons secouaient mon corps dénudé. Mon palpitant ne cessait de s'affoler et les geôliers s'en donnaient à cœur-joie. Ma pauvre nouille était torturée en permanence. Je préparais l'appareil photo et le retarder. Je le déposais contre un mur et je m'éloignais de deux pas. Je me mettais en position, à genoux, cuisses écartées, mains sur la tête. Mon cœur battait si fort que je sentais chaque pulsation dans mes veines. Mon pauvre gland empalé était en enfer. Enfin le flash sans bouger. Je me relevais de crainte de croiser une personne et je retournais à l'ascenseur. J'appuyais sur le bouton pour que les portes11 - Punition - D - -.- s'ouvrent et j'attrapais mes vêtements au sol. Je préparais une dernière fois l'appareil et je le déposais contre la paroi opposée aux portes, j'appuyais sur mon étage et je me remettais en position à genoux, main sur la tête. Le flash tardait à venir alors que la cabine ne cessait de monter. Dès qu'il explosait, j'attrapais mes vêtements et mon portable alors que les portes s'ouvraient. Mon palpitant n'en pouvait plus et ma pauvre nouille non plus d'être torturé en permanence. Mes vêtements, d'une main, devant la prison de ma nouille, le portable de l'autre, je m'empressais de retourner chez moi, de crainte qu'un voisin insomniaque regarde dans son judas. D'autant plus que les portes restaient ouvertes et diffusaient une clarté dans le couloir. Je rentrais précipitamment chez moi et je refermais de suite la serrure à double tour. Je restais plusieurs minutes contre la porte afin de calmer mon petit monde et de me remettre de cet aller-retour dégradant.

 

        J'espère que ce nouvel aller-retour satisfera mes Masters, Master Éric et Maître Michael et les visiteurs du blog qui suivent la sous-merde.

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Dimanche 14 octobre 7 14 /10 /Oct 12:00

A/R à la cave.

01 - Punition - D - -.-

 

        Dans la semaine, la sous-merde avait été inconvenante et irrespectueuse envers ses Masters. Maître Michael ordonna que la sous-merde descende à la cave avec seulement son short blanc et un t-shirt. Une nuit, je m'exécutais. Je me levais en regardant au judas le couloir. Celui-ci était noir et pas une âme à l'horizon. J'enfilais le short demandé en le02 - Punition - D - -.- tenant le plus bas possible pour dissimuler la maudite cage. Je prenais un t-shirt assez grand pour compléter le camouflage de cette prison dégradante. Je prenais mon portable avec moi pour photographier la salope dans l'ascenseur. 03 - Punition - D - -.-J'ouvrais la porte délicatement et la refermais encore plus doucement pour faire le moins de bruit possible. Mon cœur se mettait à battre la chamade et je ressentais les pics, empaler mon malheureux gland. Cette torture provoquait une érection avortée de ma nouille. À tâtons, j'avançais en recherchant le bouton de l'ascenseur. Je l’entendis se mettre en marche et la cabine monter. Je vérifiais dans le noir qu'aucune lumière n'apparaisse sous les seuils. Les portes de l'ascenseur s'ouvrir et je m'empressais de monter et de commander la descente. Je trouvais le temps interminable avant que les portes04 - Punition - D - -.- se referment et que l'appareil se mette en marche. Mon palpitant battait de plus en plus vite et fort. Je m’imaginais que les voisins étaient derrière leurs portes et regardaient par leurs judas. J'avais de plus en plus peur et honte de me retrouver dans cette boîte. Pieds nus, le plancher glacial me donna un frisson qui secouait tout mon corps. Dès qu'il se mit en marche, je m'empressais d'ôter mes deux vêtements et je prenais mon téléphone pour faire une photo dans l'ascenseur. Arrivé au sous-sol, les portes s'ouvrirent. Mon palpitant accéléra ! Je m'imaginais être en face d'un voisin. Heureusement, à cette heure tardive de la nuit, personne 05 - Punition - D - -.-n'attendait cet élévateur. Je sortais mes habits que j'entreposais dans un coin par terre. Je me rendais à ma cave, nu comme un ver, qui se trouve, tristement, une des plus éloignées. Le sol rugueux râpa la plante de mes pieds. Mon palpitant battait la chamade et les geôliers continuaient à torturer mon gland, qui, tout émoustillé, perpétrait cette ignoble érection, en permanence avortée. J'arrivais enfin et je prenais un nouveau cliché. Je revenais sur mes pas en priant ne croiser personne. Je revenais devant les portes et j'appuyais sur un bouton pour qu'elles s'ouvrent. Je prenais mes vêtements que je reposais au sol, les pieds glacés. Je06 - Punition - D - -.- remontais à mon étage, toujours à poil suivant les commandements. Au fur et à mesure que les étages défilaient, mon cœur battait de plus en plus fort. Les tortionnaires en profitèrent aussi pour empaler un peu plus mon malheureux gland, qui excité, provoquait une érection de nouveau avortée. Je me pressais de prendre un dernier cliché dans cette geôle. J'attrapais mes habits au moment où les portes de la cabine s'ouvraient à mon étage. La clarté de l'appareil inonda de lumière le couloir. Sans demander mon reste, je m'empressais de regagner mon appartement. J'ouvrais rapidement la porte et la refermais sur moi, encore plus vite, contrairement au départ.

 

        La sous-merde prie ses Masters, Master Éric et Maître Michael de bien vouloir le pardonner pour ses indélicatesses et d'accepter sa repentance.

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Samedi 29 septembre 6 29 /09 /Sep 08:00

Erreur fatale !

 

06 - Punition - D - -.-        Suite à la création d'un nouveau compte e-mail par Maître Michael, je me connectais pour me familiariser avec ce serveur. Ma première surprise humiliante fut la signature qu'il avait créée et qui serait en accompagnement de tous les mails en provenance de cette adresse. La seconde stupéfaction frustrante c'est que les Masters étaient avertis des mails arrivant et de toutes les réponses que je pouvais écrire. Ils en avaient un contrôle absolu au désespoir du slave. Je découvrais les différents onglets et par mégarde, je détruisais un e-mail reçu. Reconnaissant mon erreur, j'en avertissais immédiatement Maître Michael. Malheureusement toutes mes excuses ne l'émouvaient pas d'un yotta. Il commanda une punition dégradante ! Une photographie du slave à genoux, cuisses écartées, mains sur la tête dans ses toilettes. À mon grand regret je m'exécutais. Je renouvelle ici mes excuses à mes Maîtres.

        Je vous prie Masters, de bien vouloir me pardonner mon erreur fatale et d'accepter mes excuses les plus sincères.

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Mercredi 19 juillet 3 19 /07 /Juil 07:24

Nuit à la cave

        Mes Masters, sur proposition de Master Seb, m’ont infligé une punition pour les problèmes de piratage que j’ai subit. Suivant les directives de Master Seb., Je devais passer une nuit à la cave. Maître Michael avait ajouté que je devais partir de chez moi nu comme un ver.  Seul était autorisé les attributs du slave, une couverture à cause de la température dans les sous-sols et une paire de tatane aux pieds.

        Lundi 17 juillet au soir, je rentrais à mon appartement après ma journée de travail et comme d’habitude, je me mettais nu car c’est la seule tenue qui m’est autorisée. J’en profitais pour prendre les premières photos dans la tenue où je devrai me rendre pour dormir.

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14 - Cave - D - -.-15 - Cave - D - -.-        Je me préparais à dîner et je regardais un moment la télévision. Vers 10h00 du soir, je tournais la clef pour ouvrir le barillet. Plusieurs fois je regardais par le Juda si personne ne vaquait dans le couloir. Un peu avant minuit, la fatigue aidant et le sommeil venant, je me décidais à descendre dans les sous-sols pour la nuit. Je prenais un vieux sac de couchage et mon portable pour les photos. J’éteignais toutes les lumières de mon domicile. Je retirais délicatement la clef du barillet et j’ouvrais doucement la porte. Mon cœur se mit à battre de plus en plus fort, ma pauvre queue se gonfler et être martyrisé par les pics de la cage. Je jetais un regard derrière moi pour vérifier que la voisine n’était pas à sa porte. Je refermais16 - Cave - D - -.- délicatement la porte et j’introduisais la clef. Je lui faisais faire un tour et à tâtons, je me rendais à l’ascenseur dans le noir absolu. Je trouvais le bouton et je l’appelais. J’entendis le moteur se mettre en marche et progressivement la cabine arriver. Les portes s’ouvrirent et je rentrais précipitamment dedans. Mon palpitant battait si fort que j’entendais chaque battement de mon cœur. Mon pauvre gland s’était gonflé et sa torture continua de plus belle. Enfin les portes se refermèrent et l’ascenseur commençait sa descente. Je n’avais qu’une crainte, qu’il ne s’arrête en cours de route pour prendre un voisin. Je posais le sac et je prenais les clichés suivant. Mon pauvre gland était de plus en plus maltraité par les pics de la cage. Plus il l’était, plus cela m’excitait et j’essayais en vain de bander. Ce qui augmentait ma frustration et mon humiliation. Je prenais aussi le plug N°3 en place.

17 - Cave - D - -.-18 - Cave - D - -.-        La cabine arriva enfin à destination. Je sortais et j’allumais la première série d’ampoule. Je sentis sur ma peau comme un voile de fraîcheur m’enrober. J’ouvrais les deux portes me séparant des caves. J’arrivais à un angle droit et je lançais la seconde série de lumières pour que je puisse me19 - Cave - D - -.- rendre à ma cave. Je remerciais d’en avoir eu une des plus éloigné de l’entrée. Je commençais à frissonner de froid et de peur. Je tournais à gauche et j’arrivais face à ma porte. Je l’ouvrais au cas ou je serai dérangé dans la nuit, je pourrai rapidement m’y cacher. J’installais dans le couloir devant celle-ci le sac de couchage. Je prenais de nouveaux clichés. Je relançais la minuterie et je m’installais par terre. Que le sol était dur et rugueux malgré le couchage ! Je m’allongeais et essayais de trouver une position 20 - Cave - D - -.-pas trop inconfortable. Je regrettais de ne pas avoir pris un coussin. Je mettais en boule le haut du sac pour faire un semblant d’oreiller. La lumière s’éteignit sur ces entre-faits. Bien que je sois fatigué, j’avais du mal à trouver le sommeil. J’imaginais un voisin arrivant dans le couloir et me voyant nu comme un nouveau-né, ou presque comme je porte une paire de tatane, un collier, la médaille de slave, une cage et un plug. Heureusement ce dernier est le moins visible. Je me retenais de maudire qui que ce soit et surtout les propositions de Master Seb. !

 

 

 

 

 

 

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        Au bout d’un certain temps, le sommeil arriva enfin je tombais pour un moment dans les bras de Morphée. Je commençais à rêver ou plutôt à cauchemarder car je voyais un voisin à coté de moi, puis, de plus en plus qui arrivaient. Ils riaient et se moquaient du slave quand je voulus me lever, je me réveillais en sur-saut ! Je poussais en Ouf de soulagement, le cœur battant la chamade et ruisselant de sueur. Je me retournais pour retrouver le sommeil. Un moment plus tard je me réveillais de nouveau dans le noir en croyant que la lumière s’était allumé. J’étais près à bondir pour me cacher dans ma cave. Je savais que cette épreuve était pour le bien du slave que je suis, c’est pourquoi j’évitais de maudire qui que ce soit. La nuit se passait ainsi avec des temps de repos et des réveils en sur-saut, le palpitant battant la chamade et ruisselant de sueur. A chaque réveil, je regardais l’heure. Les minutes s’égrainaient très lentement. Lorsqu’il fut enfin 5h00 de matin, je me levais et allais appuyer à tâtons sur la minuterie. Mon cœur se mit à battre de plus en plus vite et fort. Ma pauvre queue se mit, elle aussi à se gonfler et je sentais les picots pénétrer de plus en plus dans mon malheureux gland. Un instant je fut aveuglé. Quand je m’habituais à la 26 - Cave - D - -.-lumière, je m’empressais de fermer à clef ma cave, de prendre mon sac, mes clefs et le portable. Je regagnais l’ascenseur. Pendant le trajet de retour, j’étais de nouveau enrobé par la fraîcheur des lieux qui me faisait grelotter, mon palpitant continuait à battre encore plus vite et fort. J’entendais chaque pulsation dans mes oreilles. Mon gland reprenait son calvaire et plus les pics essayaient de pénétrer et plus j’essayais d’avoir une érection contrariée par la cage ! En tendant l’oreille, j’attendais quelles que seconde avant d’appeler l’appareil. Les portes s’ouvrirent immédiatement et je montais dans l’habitacle. J’appuyais sur mon étage. L’ascenseur se mit en marche après quelles que secondes. Je préparais ma clef pour ouvrir doucement la porte après avoir pris les derniers clichés.

 

        L’appareil arriva à destination et avant de sortir, j’attendais un instant. À la lueur de la cabine, je regagnais mon logis. Le temps que j’insère la clef les portes se refermaient. Je me retrouvais une nouvelle fois dans le noir complet le cœur battant toujours la chamade et mon malheureux gland qui ne cessait d’être torturé par les pics. Je tournais ma clef délicatement pour faire le moins de bruit possible. Je jetais un coup d’œil à la porte derrière moi, une commère de voisine, et j’ouvrais précautionneusement la mienne. Je me faufilais dans mon appartement en reprenant ma clef et je refermais la porte aussi rapidement. Je m’appuyais un moment contre en soufflant et pour calmer tout mon petit monde ! J’allumais la lumière du couloir et je refermais la porte à clef. Cet aller-retour à la cave et la nuit dans le couloir nu comme un ver fut une expérience très humiliante et dégradante. Je priais pour qu’il n’y ait pas d’autre humiliation de la sorte. Je repliais le sac de couchage le temps qu’un café bienfaiteur coule.

 

        Merci à mes Masters pour cette nouvelle expérience qui fut très dégradante et humiliante mais bénéfique pour le slave que je suis.

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Lundi 19 septembre 1 19 /09 /Sep 22:15

Humiliation au bureau !

        Ce matin, je saluais mes Maîtres. Ils me demandaient comment s’était passé le week-end. Je leur répondais que j’avais eu du mal à supporter le plug 9 et que je n’avais pas pu mettre le 10, dimanche. Avec le N° 9, comme la base est plus large, mon pauvre trou ne cessait de pousser !!! Au bout d’un certain temps, ne le supportant plus malgré les suppositoires, j’avais du mettre le plug N° 4, à deux boules. Pas content que je n’avais pas suivi les instructions, ils décidèrent que je serai puni ! La punition démarrait immédiatement, en mettant de suite, avant de partir au bureau, le plug N° 8 avec toutes les photos nécessaires comme preuve. Je les informais que, comme tous les lundis matin, j’avais une réunion de travail avec les autres collaborateurs. Assis toute la matinée avec ce plug, je risquais d’avoir des problèmes à le garder. Ils répondaient que ce n’était pas leur problème et que ma désobéissance méritait une punition qui continuait avec, en fin de matinée, je devais me rendre aux toilettes, me mettre nu et changer de plug avec le N° 9 aux toilettes du bureau. Ce soir en rentrant chez moi, de mettre le N° 10 pour la nuit avec tous les clichés nécessaires comme preuve et interdiction de mettre de papier absorbant où que ce soit ! Malgré mes suppliques, ils ne voulaient rien savoir. Pour terminer, je devais poster avant de me coucher, le rapport de la journée. La journée allait être très difficile, déshonorante et avilissante pour le slave que je suis. J’espérais ne pas trop mouiller pour ne pas trop tâcher le jeans que je porterai.
        J’allais à ma salle de bain terminer ma toilette. Etant plugué en permanence, mon transit est accéléré et je devais faire un rinçage avant de mettre le plug. J’ôtais celui à deux boules et je faisais cette toilette humiliante et dégradante du côlon. Terminé, je lui donnais un suppositoire pour le calmer avant de le maltraiter pour la journée. Je graissais le plug N° 8 après avoir installé la ceinture, sans qui, je ne pourrai garder ces monstres. Je m’accroupissais et je prenais mon malheureux trou en photo. Je prenais le plug 8 01 - Le Trou - B - -.-et je le présentais à mon anus. Tout en prenant des clichés, j’enfonçais doucement ce monstre. Je sentais ma petite fleur s’ouvrir à fond. Je poussais de plus en plus fort pour l’introduire. Je bloquais le plug car mon pauvre trou se mettait déjà à pousser ! Quand il cessa et qu’il se refermait, j’en profitais pour lui faire avaler ce malabar.

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        Je m’habillais avec un jeans, comme les températures sont en baisse. J’en profitais pour mettre un léger col rouler pour cacher le collier et surtout la médaille car elle me vaut des questionnements de la part de certain collègue. Je leur réponds que c’est un présent de mon ami(e) avec son nom sur la médaille. Heureusement qu’ils ne peuvent voir ce qui est écrit car ils seraient vraiment surpris ! Sur le recto il y a : "Slave N° 411 103 335" et le verso : "Slave de Master Éric et Maître Michael". Je serai vraiment trop humilié et avili si un collègue pouvait lire ce qui a dessus. C’est pourquoi, dès que je peux, je porte des cols roulés. J’essaye le plus souvent possible de la cacher au mieux mais un jour, un moment d’inattention, j’ai oublié de fermer un polo et la femme de ménage a aperçu une inscription. C’est la première fois que j’ai trouvé cette réponse. Je préparais dans ma sacoche le plug N° 9, du lubrifiant et un suppositoire. Le plug faisait un renflement. Je craignais d’avoir des questions désagréables ! J’arrivais au travail. Heureusement la plupart des collègues étaient déjà en salle de réunion au sous-sol. Je passais à mon bureau pour prendre mon dossier et je les rejoignais. Malheureusement en m’assaillant, le plug pénétra encore plus profondément et mon pauvre trou se mit à pousser. Je serrais les dents en bloquant ma respiration tout en maudissant mes Masters de cette punition. Les collègues en face de moi ont du me voir rougir car ils me demandèrent si ça allait. Je leur répondais entre les dents que ça irait que j’avais seulement des problèmes intestinaux. Quand mon trou se calma, je pus reprendre ma respiration et parler normalement ! Malheureusement, dans la matinée, le problème se répéta plusieurs fois. Je m’assaillais alors sur le bord de la chaise pour soulager un peu mon côlon et mon anus maltraités. Des collègues me conseillaient de voir mon médecin. J'acquiesçais tout en sachant qu’elle ne pouvait rien faire, seul mes Masters pouvaient soulager ma petite fleur. Ayant du mal à me concentrer, je jetais furtivement des coups d’œil à l’horloge en face de moi au-dessus de mes collèges. Enfin 11h30 arriva et chacun se levait et prenait ses documents. Je traînais un peu pour être le dernier à sortir afin de me rendre aux toilettes pour la suite de la punition de la journée. J’ôtais mes chaussures et je sentis le froid glacial du carrelage. Je sortais de ma sacoche le plug, le lubrifiant et le suppositoire car mon trou avait besoin d’être un peu soulagé. Je me déshabillais totalement tout en gardant mes chaussettes aux pieds. Accroupis, je déplaçais le bloc-plug tout en tenant le numéro 8. J’avais installé par terre le téléphone pour prendre les clichés nécessaires. J’en prenais un premier. Je tenais le plug pour le faire sortir progressivement tout en prenant de nouvelles photos. Enfin !!! Mon malheureux trou était soulagé pour un instant.

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        Une envie d’uriné me pris. Je relevais la lunette des toilettes car je n’ai plus le droit de m ‘asseoir dessus mais seulement sur la faïence. C’est encore plus frustrant, humiliant et dégradant comme je ne peux qu’uriner assis lorsque je suis encagé. Je sentais les picots pénétrer dans mon gland et mon pénis. Je prenais aussi des clichés pour preuve. C’est encore plus dégradant et avilissant de devoir tout prendre en photo maintenant ! Je positionnais le portable par terre pour continuer les justificatifs. Je me remettais à genoux et j’introduisais le suppositoire.

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        Je prenais le nouveau plug N° 9 que je lubrifiais. Je le présentais à ma petite fleur tout en la prenant en photo. Je l’introduisais doucement et je sentais mon trou s’ouvrir de plus en plus. D’une main je poussais ce monstre et de l’autre, je prenais des clichés comme preuves. Je sentais mon trou s’éclater avec ce nouvel intrus. Enfin, la base arrivait mais mon anus était toujours autant maltraité ! La base étant beaucoup plus large que les autres, j’avais l’impression d’avoir un phallus en moi ! Le reste de la journée allait être encore plus difficile, frustrante, humiliante et dégradante. Je remettais le bloc-plug en place pour tenir ce nouveau malabar.

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        Je me rhabillais et je nettoyais le plug au lave-mains. Je le séchais et le rangeais dans ma serviette. Je montais à mon bureau. Heureusement il y avait l’ascenseur car mon cul était explosé ! J’attendais midi avec impatience à mon bureau. Lorsqu’il fut l’heure, mes collègues et moi-même regagnons nos domiciles pour déjeuner. Arrivé chez moi, je transférais les photos du portable et je les effaçais immédiatement pour éviter un impair si un collègue utilisait mon téléphone et tombait par malheur sur ces clichés. Je commençais mon rapport car je devais le publier avant de me coucher. Tout en le tapant, je mangeais rapidement. Quand il fut l’heure, je regagnais mon bureau le cul explosé ! En arrivant, une collègue me demandait si j’allais mieux ? Ne pouvant lui dire la vérité, honteux et humilié, je lui répondais que j’avais pris un traitement et que ça ira mieux demain…. Je crains le pire pour le futur ! Je me rendais à mon bureau mais ma rondelle était explosée avec ce plug horrible. Je m’assaillais et je sentais le monstre pénétrer un peu plus profondément. Je maudissais la punition des Masters et je priais pour tenir tout l’après-midi. Quand mon trou poussait trop, je me levais pour ranger un dossier ou en prendre un autre. En fin d’après-midi, ne tenant plus car mon trou ne cessait de pousser. Je me rendais aux archives classer des dossiers. Je pouvais mettre la main sur le bloc-plug pour tenir cet intrus ce qui soulageait un instant ma petite fleur. Enfin l’heure arriva où je pouvais rentrer chez moi. Avec plaisir et angoisse je regagnais mon domicile à 18h30. Suivant les ordres que j’avais et comme d’habitude, dès que je rentre chez moi, je me déshabille pour être nu car je n’ai plus le droit aux vêtements à mon appartement.

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        Le plug N° 9 sorti, je mouillais du trou comme un ruisseau. J’avais aussi envie de vider ma vessie. J’allais aux toilettes, je séchais mon trou et j’urinais assis comme une salope sur la faïence de la cuvette. Même chez moi je n’ai pas le droit à la lunette et quand je suis seul, je dois laisser la porte ouverte. Je n’arrive pas à m’y habituer. Avec le temps, je trouve ça de plus en plus humiliant et dégradant. Je prenais des clichés assis sur le trône et mon gland compressé dans la cage.

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        Je retournais dans la chambre et je préparais un nouveau suppositoire car je ne contrôlais plus mon trou. il ne faisait que pousser. Je m’inquiétais pour le plug suivant le N° 10 car il est énorme et je n’ai jamais pu le prendre à cause de sa base monstrueuse. Pour calmer une nouvelle fois mon côlon, je préparais un suppositoire et je positionnais le téléphone au sol. Je m’accroupissais et, tout en prenant des clichés témoins, j’introduisais le suppositoire. Je dus l’introduire bien profondément car mon trou ne cessait de pousser. C’est de plus en plus frustrant, humiliant et avilissant de prendre des clichés de chaque petite étape ! Je maudis les instructions de mes Maîtres et surtout les humiliations des clichés !

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        J’attendais un instant que mon orifice se calme et je graissais le plug N° 10. je le présentais à ma petite fleur et, difficilement en forçant, je l’introduisais progressivement. Je devais mettre les deux mains pour pouvoir le mettre en place dans mon malheureux trou. Comme je devais aussi prendre des clichés comme preuve, chaque fois que je l’introduisais un peu, je devais stopper pour prendre un cliché. Je sentais mon cul en feu ! J’avais l’impression qu’il allait exploser ! Avec grande difficulté, je l’introduisais progressivement. Enfin, je le mettais en place et je prenais un cliché avant de mettre le bloc-plug en place pour le maintenir en position dans son trou.

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        Lorsqu’il fut enfin en place et que mon trou se calmait doucement j’allumais mon ordinateur pour rédiger mon rapport car je dois le poster avant de me coucher. J’essayais de m’asseoir mais mon trou se rebellait. Je me positionnais donc sur le bord de ma chaise pour ne pas m’assoire sur ce mastodonte ! Je traitais les photos en réduisant la taille des clichés pris. Plus je les voyais défiler et plus j’avais honte de devoir les publier sur le blog. Lorsque le rapport sera publié, je serai vraiment humilié comme jamais je n’ai été. Je continuais la rédaction de se maudit rapport en ayant hâte de terminer mais je voyais les heures tournées et mon trou de plus en plus explosé ! J’avais de plus en plus de mal à me concentrer pour écrire cet exposé. Enfin j’arrivais à la fin ! J’allais pouvoir le mettre en ligne et l’annoncer à mes Masters.

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Dimanche 28 août 7 28 /08 /Août 14:02

Un retour humiliant.

         Maître Michael a donné une punition au slave pour se plaindre continuellement. Des voisins faisant une fête il a du attendre dans la nuit pour réaliser la punition. Comme demandé, samedi dans la nuit, il descendait dans sa cave. Il posait toutes ses affaires dedans et enfilait seulement son nouveau short blanc.
        Avant de sortir de la cave, j’écoutais avec attention que personne ne venait. Je refermais la porte à clef d’une main et de l’autre j’avais mon portable. Pieds nus avec seulement le collier au coup et sa médaille, le nouveau short blanc dessus la ceinture bloc-plug et un plug au cul. Je ne rentrais pas la cage dans la poche intérieure mais je tirais un maximum sur le short pour le descendre et la cacher. Je prenais des clichés dans le couloir des caves. J’avais le cœur qui battait la chamade et je craignais à tout moment de croiser un voisin. Je regagnais l’ascenseur. Après une attente interminable, il arrivait enfin ! Les portes s’ouvraient et je jetais un œil pour vérifier qu’il était bien vide. J’appuyais sur mon étage et le temps qu’il monte, je m’empressais de prendre deux photos suivant les ordres du master. Mon cœur battait de plus en plus fort.

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        J’arrivais à mon étage et sans allumer la lumière je regagnais rapidement mon appartement que je n’avais pas fermé à clef pour pouvoir rentrer le plus rapidement possible de crainte que les voisins qui avaient fait la fête ne sortent dans le couloir. Comme il était très tard, j’ôtais le short et je me couchais.
        Le lendemain matin, après avoir fait une grâce matinée et déjeuner, je rédigeais le rapport demandé tout en maudissant le maître et sa punition. Je me sentais humilié rabaissé et avili d’avoir du laisser mes affaires à la cave et devoir regagner mon appartement presque nu. Heureusement je n’avais croisé personne pour la monté mais je devrai faire le voyage à sens inverse, dans la même tenue, lorsque le master me l’autorisera pour rechercher mes affaires. Je vais essayer d’attendre le plus tard possible pour les rechercher pour éviter de croiser quelqu’un.

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Vendredi 29 juillet 5 29 /07 /Juil 19:58

Quelle punition ?

        Le slave a demandé de porter le moins possible le jock-strap pour ses visites médicales. Il mérite une punition pour avoir fait une telle demande ! Il ne peut qu’exécuter les instructions de ses Masters qui savent ce qui est bon ou non pour les slaves comme lui.
        Ses Maîtres vous laissent le choix de la punition que le slave va avoir et subir. Alors à vos claviers et merci d’avance.

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Jeudi 28 juillet 4 28 /07 /Juil 18:48

Une punition humiliante.

        J’ai eu le malheur de demander que la mise sous cage ne dure pas aussi longtemps que la dernière fois. Maître Michael commanda au slave, après son travail de retour chez lui de se mettre en t-shirt plus le short noir et jaune. De descendre dans sa cave et se prendre en photo. Puis, se mettre nu à genoux et de faire de même. Le soir de retour chez moi, je me mettais en tenue et je descendais dans ma cave. Je regardais d’abord au judas que personne ne soit dans le couloir. J’avais le cœur qui battait la chamade et je craignais de croiser un voisin ainsi habillé. Je sortais dans le couloir et appelais l’ascenseur. Je tendais l’oreille pour écouter si une porte s’ouvrait. J’attendais les jambes tremblantes. Je n’avais qu’une peur, croiser un voisin. Mon cœur battait à tout rompre en attendant l’arrivée de l’ascenseur. Enfin je montais et appuyais sur le –1 ! Je descendais enfin. Il arriva au sous-sol et je me dirigeais vers ma cave qui est une des dernières au bout du couloir. Je pressais le pas. J’avais préparé la clé et j’ouvrais de suite la porte. J’allumais une lampe torche et je refermais la porte. Je prenais une première photo du slave en tenue. Je me déshabillais, à genoux les mains sur la tête je prenais un deuxième cliché. J’avais les tétons en feu avec les pinces depuis près d’une semaine. Je n’en pouvais plus et je les supportais de moins en moins. Mon pénis essayait de se gonfler mais était contrarié dans son érection par la cage et les picots qui rentraient de plus en plus dans la verge et le gland.

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        Je m’empressais à me rhabiller lorsque j’entendis des pas dans le couloir. Je m’immobilisais pour ne plus faire de bruit. Une clé s’introduisait dans une serrure et une porte s’ouvrait. J’entendais des bruits furtifs. Enfin la clé refermait la porte et les pas s’éloignaient. Heureusement que j’avais la porte de ma cave fermé mais mes clés étaient restées dessus ! Je me maudissais de les avoir oubliées ! Je sortais en faisant toujours très attention aux bruits qui me parvenaient. J’appelais l’ascenseur et l’attendais un moment qui me parut une éternité. Il mettait trop de temps et je craignais de voir sortir un voisin. Il arriva enfin et la porte s’ouvrit. Heureusement pour le slave, il était vide ! Je maudissais les punitions du Master ! Elles sont de plus en plus humiliantes, frustrantes et avilissantes. De plus, il sait que je n’aime pas être ainsi exhibé mais n’en tiens pas compte. Je remontais chez moi et faisais mon rapport.

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Dimanche 24 juillet 7 24 /07 /Juil 12:58

Idées de punitions ?

          Le slave n’a pu se tenir et s’est branler lors de sa dernière purge. Pour la peine, il a des pinces aux seins pour une semaine. Comme il s’est branler et n’a pas eu de regret, donnez vos idées de punitions à lui infliger.

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  • : Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335
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  • : Sous-Merde propriété de Master Eric et Maître Mickaël. Il fait aussi ce que les Visiteurs demandent. Ce n'est pas un mâle mais une sous-merde, et il doit être traité comme tel. À la disposition de tous les Maîtres et slaves au Téléphone, en Web-cam sur Smboy ou Skype... Prises de photo et rapports publiés ensuite sur le blog sous le contrôle de ses Maîtres.
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