Jeudi 17 août
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Le mardi 15 août

Une sortie à
la piscine : Le soleil brillait et la chaleur était revenue. Il était un peu avant midi. Je me décidais à faire une sortie à la piscine. Suivant les instructions de mes Masters, je savais que je
ne pourrai avoir une séance de vidange qu’après y être allé et faire une sortie au sauna. En ce jour de fête, je me décidais, à contre-cœur, à réaliser la première sortie. Je préparais dans un
sac, une serviette, un livre, du gel pour remettre le plug en place et un boxer de bain atrophié de sa doublure. Je me préparais suivant les commandements que j’avais reçus.

J’enlevais
le pantalon que je portais, la ceinture et le double plug. J’introduisais le N°3 à la place, celui qui tient seul. Je positionnais la médaille sur le torse et j’enfilais un des shorts
rognés de son slip intérieur. À mon grand désespoir, je m’apercevais
que la cage dépassait de celui-ci.
J’essayais en vain de tirer dessus pour la cacher. Dès que je me
déplaçais, il remontait pour dévoiler cette prison dégradante. Je commençais déjà à me sentir très mal à
l’aise. Mon cœur battait de plus en plus fort et mon malheureux gland
était de plus en plus empalé par les pics de sa prison. La sortie allait
être très humiliante et dégradante ! Je passais le gilet sans manche où
j’avais rangé le portable et je prenais mon sac. Je vérifiais que le couloir était vide avant de sortir et de refermer mon 
appartement. J’appelais
l’ascenseur et je montais dès les portes ouvertes. Ma grande peur était que je croise un voisin dans le hall d’entrée ou sur le parking. Mon palpitant, à cette idée se mit à battre encore plus
fort et les pics empalaient un peu plus ma pauvre queue. 
Je sortais après m’être assuré qu’il n’y avait personne
à l’horizon.
Comme il allait être midi, les voisins
étaient déjà chez
eux. Je sortais, mon sac à l’épaule, ma main gauche à la hauteur de l’avilissante geôle et je m’empressais à me rendre à mon véhicule. À chaque nouveau pas, je sentais les picots martyriser un
peu plus mon pauvre gland. J’avais envie de tenir cette prison humiliante pour moins le martyriser. J’apercevais alors qu’il y avait du monde dans le square au pied de mon immeuble. Des enfants
jouaient sous la vigilance de leurs parents. Je remerciais le soleil de briller. Je montais dans mon véhicule après avoir déposé mon sac. En m’assaillant, je sentis le plug pénétrer un peu plus

profondément, ce qui excita l’anneau du côlon. Je
démarrais et je me rendais au centre aquatique de la ville.

À un feu rouge, je détachais la ceinture et j’en profitais pour
photographier la cage qui dépassait du short, le collier et sa médaille. Mon trou jouait avec son invité et la cage maltraitait un peu plus ma queue. Plus je dois la porter et plus les pics
empalent plus profondément mon pauvre gland de plus en plus à l’étroit et agressé. Je remettais la ceinture de sécurité et le feu passa au vert. Je démarrais pour me rendre à la piscine. Arrivé à
destination, je me garais, je prenais un cliché du bâtiment et je prenais mon sac sur l’épaule avec ma main à la hauteur de la cage pour la dissimuler un minimum. Avant d’entrer, je tirais sur le
short pour cacher quelles que secondes la cage. Chaque nouvelle marche que je gravissais
était un peu plus douloureuse. Je maudissais un peu plus les geôliers
de ma queue qui
l’empalaient au fur et à mesure que je gravissais l’escalier.
J’arrivais enfin sur le palier. Je poussais la porte d’entrée pour la première fois. À mon grand soulagement, je voyais la caissière dans son aquarium ce qui limitait sa vision sur mon short mais
pas sur la médaille. En m’approchant, elle la vit et ne la quittait plus des yeux. Un grand sourire se dessinait sur son visage ce qui me mis un peu plus mal à l’aise. Je
lui demandais
des renseignements ce qui permit que ses yeux se détournent de la médaille. Je payais mon entrée et je me dirigeais vers les cabines. Je prenais un denier cliché de la cage qui dépassait du short
et de la médaille en évidence sur mon torse. Je me déshabillais et je soulageais mon trou de son intrus. Ma petite fleur était toute humide et lorsqu’elle se referma, elle continua de mouiller.
Je me sentais encore plus humilié et avili de voir mon trou humidifier de la sorte. J’abominais ces invités inopportuns pour éviter de maudire mes Masters. Ma pauvre queue emplissait toute la
cage et
tentait des sorties par les quelques orifices. Mon pauvre gland en
faisant de même et était un peu plus empalé par les pics, à chaque instant. Je la maudis depuis plus d’un an et j’ai plus que hâte de m’en débarrasser ! J’enfilais le boxer de bain. À mon grand
désespoir, je m’apercevais que la cage se devinait très bien sous ce vêtement atrophié ainsi que le cadenas. Je disposais mes affaires dans mon sac que je rangeais dans un casier. Je passais à la
douche et je rentrais dans la piscine proprement dite. Je visitais le grand et le petit bassin où je piquais une tête. En sortant du bassin, je m’apercevais que la cage se devinait toujours
autant. Je me séchais légèrement et je disposais ma serviette sur l’épaule pour dissimuler au mieux le boxer et ses protubérances inavouables. J’allais visiter les extérieurs et je m’installais à
l’écart sur un transat. Je prenais
mon livre. Après plusieurs pages de lecture je faisais un petit somme.
Les cris des enfants et leurs voix stridentes me réveillaient. Je m’apercevais que j’avais du dormir plus longtemps que prévu car des dizaines de familles étaient arrivées et les enfants jouaient
un peu partout. Je prenais mes affaires et ma serviette sur l’épaule, je regagnais les douches. Deux hommes les utilisaient. Ils étaient à chaque extrémité. J’allais devoir utiliser une des
douches centrales. Je suspendais ma serviette et je débutais ma douche. À mon grand avilissement, ils observaient mon
boxer. J’avais beau me tourner d’un coté ou de l’autre ils
continuaient leur inspection avec des clins d’œil furtifs. Je ne comprenais pas pourquoi ils prolongeaient leurs douches. Je prenais ma serviette et je passais prendre mon sac dans le casier que
j’ouvrais avec la clef. En rentrant dans la cabine, je compris le problème ! En me douchant, le cadenas s’était déplacé et était encore plus en évidence ainsi que la cage. Mon sang fit qu’un tour
et du monter au visage car je me sentais humilié. Mon cœur battait la chamade et je sentais les pics empaler mon
malheureux gland. J’ôtais le boxer de bain et je me séchais. Je
préparais le plug que je lubrifiais légèrement et je le présentais à ma petite fleur. Quand ils fut en place, je me relevais. Ma pauvre queue était encore et toujours de plus en plus mal traité
par sa prison. Je positionnais le collier, j’enfilais mon short et ma chemise. Après l’avoir boutonné et replacé la médaille sur le torse je vérifiais la cage qui dépassait de sous son mini
vêtement. Son prisonnier était toujours aussi à l’étroit dans sa geôle
et autant mal traité. Je
passais le gilet sans manche et je prenais le dernier cliché témoin.
Je rangeais mes affaires dans le sac que je passais sur l’épaule. Je sortais et arrivé dans le hall, je jetais un coup d’œil. Malheureusement la caissière avait du passer le mot car six collègues
étaient autour d’elle. Ils me regardaient avec insistance le temps que je passe devant eux. Je gardais la main gauche à la hauteur de la cage pour la dissimuler un minimum. Mon cœur battait
toujours et encore de plus en plus vite et fort. Chaque nouveau pas était un calvaire pour ma malheureuse queue. Les pics en profitaient pour empaler de plus en plus le pauvre gland ce qui
provoquait une érection contrariée par cette ignoble prison. Je sortais et je regagnais mon véhicule. Avec soulagement, je déposais le sac et je prenais place. De nouveau, en m’assaillant, le
plug se remit à jouer avec le côlon et son anneau…. Je démarrais et je retournais à mon domicile avec consolation et apaisement.
Je remercie mes Masters pour cette nouvelle épreuve en espérant
que le compte à rebours pour la prochaine vidange s’approche de plus en plus. Elle sera non seulement bénéfique mais aussi utile pour la santé du slave.
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