Le blog de Bâstard a KC Sous merde n°411-103-335

Bienvenu sur le blog de Bâtard a KC : Sous merde N° 411-103-335. Sous le contrôle de ses Masters, il doit faire ce qui est demandé sans rechigner. N’hésitez pas à laisser des commentaires sur les différents articles qu'il publie sous les ordres de ses Masters.
Il fait aussi ce que les males demandent de faire après avoir reçu la validation de ses Masters. Ce n'est pas un male mais un slave, une sous-merde, un bâtard et il doit être traité comme tel.
Sous cage de chasteté, seuls ses Maîtres décident de ses jouissances afin de le purger de son jus pourris qui ne sert à rien.
N'hésitez pas à laisser des commentaires dans les différents articles publiés ici par notre slave ou nous même. Ça l'humilie encore plus. Le site ayant un bug, vous pouvez lui envoyer vos commentaires qu’il nous fera suivre. Son adresse est bastardakc@hotmail.fr ou en suivant ce lien
Notre slave est a dispos de tous mâles souhaitant l'utiliser et autres en Cam ou réel aussi avec prises de photos et rapports ensuite publiés sur le blog. Même les soumis peuvent l'utiliser car son statut est inférieur à eux et leur doit respect et leur obéir aussi

Labeurs Journaliers

Samedi 17 novembre 6 17 /11 /Nov 12:00

Corvée du jeudi1ernovembre2018 :

 

01 - Corvée. - D - -.-         Une nouvelle nuit d'inquisition où les tortionnaires n'avaient pas cessé d'embrocher mon malheureux gland. Cette torture incessante et permanente perturbait grandement ma nuit de repos. Lorsque je trouvais enfin le sommeil, un nouvel affront a fait son apparition. Le nouveau traitement préparatoire que je prenais, en vue de ma prochaine hospitalisation, depuis lundi, commençait à faire son effet. En cours de nuit, lors d'un endormissement, normalement, 02 - Corvée. - D - -.-bienfaiteur, le lavement des intestins débutait. Je me réveillais en sursaut, suite à un nouveau cauchemar où j'étais, une nouvelle fois, supplicié, je me rendais compte avec stupeur et effrois que mes draps avaient servis de réceptacle aux selles qui se liquéfiaient progressivement dans mes boyaux. Non seulement les draps en étaient immaculés, mais, en bougeant pendant le mauvais rêve, j'en avais, les fessiers et les cuisses, badigeonné de merde. Endormi, comme un automate, je devais prendre une douche. Je posais, ensuite, mon postérieur sur les toilettes. Le froid de la faïence me réveillait avec un gros frissonnement de honte, d'avanie et de vexation, qui secouait tout mon corps. Je devais, aussi, pour plus d'humiliation, changer mes draps et refaire le lit en milieu de nuit. Pour éviter de nouvelles mésaventures, je posais sur le lit un grand plastique recouvert d'une grande serviette de bain. Ainsi, je n'aurai que ces pièces de tissu à nettoyer. Auparavant, j'avais beaucoup de mal à trouver le sommeil à cause des inquisiteurs, mais une nouvelle complication dégradante s’ajoutait à mes veillées 03 - Corvée. - D - -.-nocturnes. Dès que je m'assoupissais, mon sphincter se relâchait, tous les excréments, liquéfiés par la nouvelle drogue médicamenteuse, s'écoulaient sans que je ne puisse les contenir et m'en rendre compte. Toutes les heures, après un somme, plus ou moins court, je me levais pour changer le drap de bain, prendre une douche et je buvais un verre d'eau pour tenter de dormir le plus longtemps possible. Pour ma malédiction, ces temps de repos étaient de plus en 04 - Corvée. - D - -.-plus courts, les inquisiteurs s'en donnaient à cœur-joie. Non seulement, je devais contenir mes tortionnaires, mais, en plus, je devais régenter cette nouvelle avanie avilissante, qui, dès que mes sens s'engourdissaient, je devenais incontinent. Nouvelle forme de honte, de frustration, d'humiliation et de déchéance. Je n'osais plus m'endormir, car je savais que les fuites de matières fécales se renouvelleraient. Après plusieurs douches nocturnes et entre deux 05 - Corvée. - D - -.-sommes, j'attendais avec nervosité et fébrilité, l'aube se lever. Sans attendre la sonnerie de réveil, je me levais, l'esprit dans le brouillard et les yeux embués. À l'aveuglette, je me rendais dans la cuisine et je me faisais couler un triple expresso. J'avais l'impression de ne pas avoir dormi. Je marchais au radar. Le premier café ne faisant pas effet, je m'en faisais couler un second. Je saluais mes Masters sans pouvoir leur avouer ma mésaventure de la nuit et qui n'était pas terminée ! Ce n'est que le début des humiliations, des frustrations et des outrages. J'avais tellement honte que je m'inquiétais pour mes engagements de la matinée. J'avais promis, à un couple d'amis âgé, de les emmener au cimetière, sur la tombe de leurs parents et de leur fils décédé subitement. Je passais à la salle de bain. Je commençais par un rinçage grossier des serviettes de toilette que j'avais mis, au fur et à mesure, à tremper dans la baignoire. Je les déposais, les unes après les autres, dans la machine à laver. Je lançais le programme de lavage immédiatement pour qu'à mon retour, je puisse les faire 06 - Corvée. - D - -.-sécher le plus rapidement. Elles allaient, encore, servir plusieurs nuits. Je rinçais la baignoire pour pouvoir faire ma toilette. Je prenais une nouvelle douche pour dissiper les brumes et la brouillasse qui obscurcissaient encore mes esprits. À moitié éveillé, assis sur le bord de la baignoire, je prenais le marqueur rouge, et j'inscrivais sur la cuisse gauche, la date du jour et sur la droite, le numéro d'enregistrement au registre des slaves. Debout sur la paillasse de 07 - Corvée. - D - -.-bain, devant le miroir, j'indiquais sur le torse, l'appartenance de la sous-merde à Master Éric et Maître Michael. Sur le pubis je répétais la date de la pose de la cage de chasteté. J'attrapais mon portable et je prenais le premier cliché dans la salle de bain. Je préparais les vêtements, que je porterais dans la journée, sur le sol, dans le couloir devant les toilettes. Je les photographiais et je passais dans le chiotte que j'avais, dans la 08 - Corvée. - D - -.-nuit, monopolisé. Je continuais en prenant un cliché de la date du jour, puis le numéro d'enregistrement. Je poursuivais par les chaussettes dans ma gueule, l'appartenance de la sous-merde, sur le torse et la date de mise en chasteté sur le pubis. Je terminais par une vue de pieds avant de m'asseoir sur le trône. Quand je posais, une nouvelle fois, mon postérieur sur la latrine, la froideur de la faïence le glaçait et provoquait un frisson qui me secouait de la tête aux pieds. Malgré l'envie d'uriner, les bourreaux continuaient, sans cesse, les tortures du malheureux gland. Je vidais ma vessie avec soulagement. Je réalisais une dernière photo. Je secouais le mitard et son pensionnaire pour évacuer les résidus, potentiels, de pisse. Je les séchais avec du papier-toilette pour éponger toutes traces éventuelles. Je me lavais les mains et je me les essuyais. L'heure tournante, je m'habillais. J'enfilais les chaussettes que j'avais, encore, dans la gueule, puis le maillot de corps, le pantalon où j’installais, contre mes fessiers, plusieurs couches de papier-absorbant. Cette précaution afin d'éviter, involontairement, de 09 - Corvée. - D - -.-chier directement dans le futal. Heureusement, je pensais à cette précaution, car, elle s'avérerait très utile ! Je terminais par mettre le pull à col roulé en laine et le gilet sans manches, où j'entreposais, comme de coutume, le portable dans une des poches frontales. Ce lavement des boyaux, ne faisait que débuter ! Je partais à mon rendez-vous. Pendant toute la journée, les déperditions fécales allaient continuer sans répit, ce qui allait causer 10 - Corvée. - D - -.-beaucoup d'humiliation, de frustration, de vexation et d'avilissement. Sans compter les ballonnements, les maux d'estomac et d'intestins, par moments, à se tordre de douleur, plus, une fatigue grandissante à cause d'un manque de sommeil accru. En fin d'après-midi, la douleur devenait de plus en plus intense. Je téléphonais au médecin. Je lui expliquais ma situation qui était devenue intenable. Elle me demandait de préparer ma valise car elle allait envoyer un VSL pour me chercher. Pendant ce temps, elle ferait préparer ma chambre pour une pré-hospitalisation d'urgence. Plié en quatre, je tentais de préparer ma valise. J'étais en plein préparatif lorsque l'on sonnait à la porte. J'allais ouvrir, toujours avec des douleurs insupportables. C'était l'ambulancier. Je le faisais rentrer et il allait m'aider à terminer ma valise. Tout d'un coup, je pensais, avec horreur, que la clef du cadenas était encore au congélateur dans son bloc de glace. Je prenais un sachet plastique où je plaçais le bloc et je l'enroulais dans une serviette de toilette. Mes affaires prêtes, l'infirmier prenait ma valise et je fermais ma porte à clef. Il m'aidait à m'asseoir dans le véhicule et nous partions en direction de l'hôpital.

 

        Je prie mes Masters, Master Éric et Maître Michael, les visiteurs assidus ou de passage de bien vouloir m'excuser pour le retard pris dans la publication des rapports. Le traitement m'a valu une pré-hospitalisation en urgence, et donc, un séjour plus long et une absence accrus, avec des douleurs insupportables, une fatigue et une lassitude grandissantes avant que je puisse réaliser les examens.

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Jeudi 1 novembre 4 01 /11 /Nov 12:30

Corvée du mardi 30 octobre 2018 :

138 - Corvée. - D - -.-

         Une nouvelle fois, j'étais descendu dans les entrailles des enfers. La nuit devient un sacerdoce barbare et impitoyable de cruautés. Pas un instant de répit ! Les geôliers étaient inflexibles et cruels. Mon malheureux gland était embroché en permanence et continuellement torturé. Cette douleur intolérable provoquait un gonflement instantané de ma nouille entravée dans un carcan ignoble. Cette maltraitance infligeait une érection brimée et avortée. Lorsque j'arrivais enfin à trouver le sommeil, les tortionnaires en profitaient pour reprendre de plus belle les supplices. Les minutes s'égrainaient au compte-gouttes. J'attendais, exténué, pointer les premières lueurs du jour. Lorsque le réveil sonna, j'étais endormi profondément. Je sursautais dans le lit et je maudissais ce satané appareil. Juste au moment où je trouvais un repos réparateur après une nuit d'insomnie ! Il fallait que je me lève, car j'avais plusieurs rendez-vous dans la matinée. Une nouvelle fois, je haïssais cette maudite prison qui ne cessait de supplicier ma malheureuse nouille. Comme chaque matin, je me levais 139 - Corvée. - D - -.-crevé par une nuit blanche de tourment, l'esprit embrumé. Machinalement, je me faisais un double expresso pour dissiper, le plus rapidement possible, la brouillasse qui assombrissait mon cerveau. Je me connectais pour saluer mes Masters. Je les informais de mes prochaines têtes à têtes programmées pour la matinée. Maître Michael ordonnait, comme je n'avais pas à me déshabiller, donc, pas besoin de sous-vêtements, de conserver les attributs de la sous-140 - Corvée. - D - -.-merde, la méprisable cage, le collier et sa médaille. Il ajoutait, pour plus d'humiliation, de réaliser de suite, tous les graffitis journaliers et de les porter toute la journée. Je faisais ma toilette, puis, j'attrapais le marqueur bleu. Comme d'accoutumer, assis sur le bord de la baignoire, j'inscrivais la date du jour sur la cuisse gauche et le numéro d'enregistrement de la sous-merde, sur la droite. Debout sur le mini-tapis, devant le miroir, je notais l'appartenance 141 - Corvée. - D - -.-de la sous-merde sur le torse et la date de la pose de la cage de chasteté sur le pubis. J'en profitais pour réaliser immédiatement la série de photographies quotidienne. Je débutais par une prise de pieds sur le nouveau paillasson de bain. Je poursuivais, dans les toilettes, un cliché de la date et un autre du numéro d'enregistrement sur chacune des cuisses. Je poursuivais par la paire de chaussettes, que je porterai toute la journée, dans ma gueule. Pour suivre, j'immortalisais l'appartenance de la sous-merde à ses Masters sur le torse, puis la date de mise sous chasteté sur le pubis. Pour terminer cette série, avant de vidanger ma vessie, je prenais une photo de pieds avec mes chaussettes dans ma trombine. Comme le couvercle et la lunette des toilettes sont en permanence relevés quand je suis seul chez moi, je posais mon postérieur sur le réceptacle hygiénique. Lorsque mon cul rencontrait la faïenceglacée, un frisson parcourait mon corps de la tête aux pieds. J'ouvrais les vannes et je vidangeais ma vessie. Suivant les commandements, j'immortalisais cet exercice, 142 - Corvée. - D - -.-dégradant et frustrant de publier cet agissement. Terminé, je secouais le mitard et son pensionnaire pour évacuer l'urine qui pouvait résider. Avec du papier-toilette, je les séchais. Je retournais en cuisine pour faire un nouveau café. Je préparais mes différents traitements. Depuis lundi, la veille, le médecin de l'hôpital, en avait ordonnancé un nouveau remède en prévision de l'hospitalisation. Lors de mes derniers examens, la coloscopie n'avait pas pu être 143 - Corvée. - D - -.-réalisée, car les intestins n'étaient pas nickel. Le goût était exécrable. Je le mélangeais avec un autre légèrement aromatisé. J'avalais les comprimés avec ce breuvage imbuvable. Je l'absorbais, à la suite, mon café allait faire passer la mauvaise saveur de cette décoction médicamenteuse. Je m'habillais pour me rendre à mon premier entretient avec l’anesthésiste de l'hôpital. Je commençais par mes chaussettes. Je continuais par un maillot de corps et mon 144 - Corvée. - D - -.-pantalon. Je terminais en enfilant un pull à col roulé en laine et mon gilet sans manches. Je préparais les différents documents que je devais lui transmettre. Pendant tout ce temps, les tortionnaires ne cessaient d'empaler mon gland. Cette torture provoquait une érection de ma nouille avortée par le carcan qui l'enchâssait. Ce cercle vicieux ne prenait jamais fin, jamais de répit ! Parfois, étant seul, je laissais échapper un gémissement ou un râle de souffrance. J'attrapais ma veste, je verrouillais mon appartement et je partais pour une nouvelle journée en enfer. Les problèmes commençaient dès la voiture. En prenant place dans le siège conducteur, le mitard se retrouvait coincé entre la cuisse et le tissu du pantalon. Pour plus d'aise, j'avais remonté légèrement les jeans, ce qui permit aux geôliers d'empaler un peu plus mon pauvre gland souffrant mille supplices. Ma nouille en érection permanente, avortée et encastrée dans le carcan, était aussi dans une 145 - Corvée. - D - -.-mauvaise galère. La journée se déroulait ainsi, tout en tentant, à tout moment, de retenir ou de masquer le moins mal possible les gémissements de douleur qui montaient en moi.

 

        Je remercie tout de même mes Masters pour les différentes étapes de soumissions qu'ils imposent à la sous-merde que je suis.

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Mercredi 31 octobre 3 31 /10 /Oct 23:30

Corvée du lundi29 octobre 2018 :

 

129 - Corvée. - D - -.-         Dimanche soir, je rentrais très tard des derniers événements familiaux. Je posais ma valise et je prenais la tenue imposée chez moi, soit à poil…. Je me couchais immédiatement, car le voyage avait été un cauchemar ! Les tortionnaires n'avaient pas cessé de martyriser ma pauvre nouille et son gland. De nouveau, dès que je trouvais le sommeil, les pics empalaient mon malheureux gland. Tout excité, il faisait gonfler ma nouille et provoquait une érection 130 - Corvée. - D - -.-avortée par la cage. Je me réveillais en sursaut. Une nouvelle fois, la nuit serait un calvaire. J'attendais avec impatience le levé du jour. Enfin, après maints supplices et des souffrances permanentes, l'aube daignait poindre son nez. Je me levais autant fatigué, si ce n'est plus, que la veille lorsque je me couchais. Je me préparais un double expresso bien tassé pour dissiper les brumes de mon cerveau. Comme les tortures incessantes des bourreaux, le brouillard tardait 131 - Corvée. - D - -.-à se disperser. Je me connectais et je saluais mes Maîtres en ligne. Je leur expliquais les déboires de la famille et la tenue que j'avais, seul dans la chambre pour dormir affublé des attributs. Les pics s'en étaient donné à cœur-joie, jour et nuit, ce qui m'avait posé des complications troubles et confuses. Au fur et à mesure que le jour se levait, les brumes de mon ciboulot se dissipaient inexorablement. Maître Michael m'avertissait qu'a la suite de ma prochaine hospitalisation, il y 132 - Corvée. - D - -.-aura un changement de cage avec, en prime, la pose d'une sonde urétrale. Les problèmes de fuites ne sont pas prêts de stopper avec les sondes…. Pour terminer, le Master imposait, pour ce lundi, le port du harnais en cuir toute la journée. Je les saluais et je m'empressais de boire un nouvel expresso, puis, j'allais faire ma toilette, car j'avais pris du retard. Dans la salle de bain, sur le maudit tapis, je regardais l'heure. Normalement, je devrais partir. J'étais vraiment à la bourre ! Rapidement, j'attrapais le marqueur noir.Comme d'ordinaire, assis sur le bord de la baignoire, j'inscrivais sur la cuisse gauche la date du jour. Plus tard, je m’apercevais l'oubli de l'année dans la date. Je continuais par la droite en notant le numéro d'enregistrement au répertoire des slaves. Debout, devant le miroir, j'écrivais l'appartenance de la sous-merde à Master Éric et Maître Michael. Pour terminer cette séance d'écriture, je marquais la date de mise en cage de ma nouille. J'enfilais promptement le harnais comme les Maîtres l'avaient imposé. À l'extérieur, comme il pleuvait des hallebardes 133 - Corvée. - D - -.-et la température avait considérablement chuté, j'enfilais un maillot de corps, une paire de chaussettes, un pantalon, un gros pull à col roulé et mon gilet sans manches que je fermais, contrairement aux autres jours, pour dissimuler, le mieux possible, le harnais en cuir. Dans une poche frontale, j’installais mon portable. Je passais une veste, un bonnet et une écharpe. J'attrapais mon parapluie pour me rendre au travail. En cours de route, les 134 - Corvée. - D - -.-tortionnaires s'en donnaient à cœur joie ! Plus ils empalaient mon pauvre gland, plus cela l'excitait et plus ma malheureuse nouille tentait une érection avortée à l'avance à cause de ce maudit mitard ! À chaque pas, des râles ou des gémissements de douleur et de plaisirs s'échappaient de mes poumons…. Dans la rue, ce n'était pas un gros problème, mais au bureau, ce serait un danger de plus. J'étais accueilli par les collègues et quelques parents. Ils s'enquéraient 135 - Corvée. - D - -.-du deuil qui s'était abattu sur la famille. Je les remerciais rapidement, car j'avais hâte d'être seul au bureau. Les bourreaux ne cessaient de maltraiter ma pauvre nouille et j'avais de plus en plus de mal à contenir les gémissements de souffrance. Je déposais ma veste, mon bonnet et l'écharpe sur le dossier du fauteuil. Je m'installais pour une journée de douleur interdite. Je buvais régulièrement une ou deux gorgées d'eau. Au bout d'un certain temps, ma vessie était pleine et l'envie d'uriner devenait de plus en plus pressente. Je vérifiais que personne n'était dans le couloir. Je refermais la porte derrière moi. Je relevais le couvercle et la lunette des toilettes. Je me déshabillais. Je mettais en attente, mon portable, sur le bord du lavabo. Lorsque je me retrouvais les pieds-nus, le carrelage glacé gelait la plante des pieds et un frisson secouait mon corps dénudé. J'avais déposé mes vêtements pliés sur le sol. J'enfilais, dans ma gueule de salope, la plante des pieds de mes chaussettes. Je prenais le téléphone et je débutais la série de photographies imposée par mes habits à terre. Je continuais par la 136 - Corvée. - D - -.-date du jour sur la cuisse gauche et le numéro de slave sur la droite. Je faisais la même chose avec l'appartenance de la sous-merde sur le torse et la date de mise en chasteté sur le pubis. Je poursuivais avec une prise de vues de pieds. Je posais mon postérieur sur la froide faïence qui, immédiatement, transissait mon cul. Un nouveau frissonnement parcourait de mes entrailles à mes extrémités. J'écartais au maximum mes cuisses comme le désirent mes 137 - Corvée. - D - -.-Masters sur la demande des visiteurs. Je me retrouvais comme une pute offrant sa chatte…. J'ouvrais les vannes et je soulageais ma vessie. Je profitais pour prendre un dernier cliché en train de pisser. Bien vidangé, je secouais la cage et son pensionnaire que je terminais de sécher avec du papier-toilette. Je me rhabillais en débutant par mes chaussettes. Je me rinçais les mains et je tirais la chasse d'eau. Avant de sortir, je regardais autour de moi, une dernière fois, pour vérifier que je n'oubliais rien. Je retrouvais mon poste de travail sans avoir croisé âme qui vive à mon grand soulagement. Le soir, dès que je rentrais à mon appartement, je prenais la tenue prescrite par mes Maîtres. Je déposais, avec soulagement, le harnais qui me serrait, un max, la poitrine. Je prenais le portable pour réaliser le cliché manqué le matin, debout sur le nouveau tapis. Je constatais, à mon grand regret, les traces, sur la peau, du harnais.

 

        Je remercie vivement mes Masters, Master Éric et Maître Michael, pour leur soutien pendant l'épreuve de la semaine passée. J'exprime aussi ma gratitude envers les visiteurs qui suivent le blog de la sous-merde.

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Mardi 30 octobre 2 30 /10 /Oct 07:00

120 - Corvée. - D - -.-Corvée du mardi 23 octobre 2018 :

 

         La nuit a été, de nouveau, une série d'inquisition. Les tortionnaires, régulièrement, suppliciaient ma malheureuse nouille. Graduellement, je sursautais en nage dans mon lit. Les minutes s'égrainaient avec une lenteur exaspérante. Quand j'arrivais enfin à retrouver le sommeil, de nouveaux cauchemars submergeaient et s'emparaient de mes neurones. Ils provoquaient des érections incontrôlables et insupportables qui déclenchaient d'abominables délires infernaux. Impatiemment, j'attendais avec fébrilité et nervosité le jour qui ne désirait pas se lever. L'aube pointait, enfin, son nez ! Je sortais du lit, l'esprit embrumé de fatigue. Je préparais un café bien corsé pour dissiper, le plus rapidement possible, ce brouillard qui assombrissait mon cerveau. Reprenant progressivement conscience, je saluais mes Masters sur le réseau. Après quelques renseignements sur ma prochaine hospitalisation, Maître Michael, suite à plusieurs commentaires sur le blog, 121 - Corvée. - D - -.-commandait que j'écarte un maximum mes jambes aux toilettes. Je lui faisais part que les entrouvrir comme je faisais, était suffisamment humiliant et dégradant. Il rétorquait, qu'il s'en foutait et que je devais obéir sous peine de sanctions. Il terminait en ordonnant que je porte l'inscription du jour toute la journée comme j'avais des rendez-vous en extérieur. Je passais à la salle de bain pour ma toilette et une bonne douche afin de me réveiller complètement. Je 122 - Corvée. - D - -.-prenais, ensuite, le marqueur bleu. Assis sur le bord de la baignoire, je débutais les inscriptions sur la cuisse gauche avec la date du jour. Je continuais par la droite et le numéro d'enregistrement. Je me levais face au miroir où je notais l'appartenance de la sous-merde sur le torse et la date de mise en chasteté sur le pubis. Terminé, debout sur le nouveau tapis, je prenais un cliché de pieds avant de m'habiller. Je m'habillais pour partir à mes rendez-vous avec 123 - Corvée. - D - -.-tous les attributs et les inscriptions sur moi. Heureusement, je n'avais pas d'examens. Terminé, je rentrais à la maison en fin de matinée. Dès mon arrivée, je me déshabillais en déposant sur le sol du couloir mes vêtements. Je me retrouvais nu comme un ver, unique tenue autorisée par mes Masters lorsque je suis seul chez moi. Je prenais mon portable et je réalisais les photographies journalières. Je débutais par mes vêtements au 124 - Corvée. - D - -.-sol. Je continuais par la cuisse gauche et la date du jour, puis la droite et le numéro d'enregistrement. Je poursuivais par le torse et mon appartenance, ensuite le pubis et la date, ignoble, de mise encage de ma nouille. Je terminais par une prise de pieds avant de m'asseoir sur la faïence des toilettes. Mon petit cul ressentit immédiatement la froideur de l'objet. À cause des commentaires et des dernières directives, j'écartais, à contre-cœur, mes cuisses au maximum, comme une pute offrant sa chatte. Cette nouvelle position était très humiliante et dégradante ! Je vidais ma vessie tout en prenant une dernière photo de ma nouille encagée. Terminé, je secouais ce mitard et je le séchais avec du papier toilette. Je tirais la chasse d'eau et j'allais me rincer les mains. Une nouvelle corvée de terminée.


         Le lendemain, mercredi 24 octobre, j'apprenais avec tristesse le décès accidentel d'un neveu. Je contactais mon directeur. Ayant son accord pour ne pas travailler le vendredi matin, dès que je 125 - Corvée. - D - -.-rentrais chez moi, après mes visites, je préparais ma valise. J'avertissais aussi mes Masters pour mon absence forcée. Le soir même, je me dirigeais vers mon pays natal. J'avais demandé confirmation à une cousine pour m'héberger. Régulièrement, lorsque je me rends au village, elle me loge dans l'ancienne chambre de sa fille. Cela facilite grandement les commandements de mes Masters. Je ne peux dormir que nu dans le lit. Étant seul dans la 126 - Corvée. - D - -.-chambre, je n'ai pas d'angoisse à dissimuler la cage. Par contre, les inquisiteurs ne cessaient de torturer ma malheureuse nouille toute la fin de semaine, ce qui par moments, devenait frustrant et très humiliant dans de telles circonstances.

 

        Je prie mes Masters, Master Éric et Maître Michael ainsi que tous les visiteurs du blog de la sous-merde de bien vouloir l'excuser 127 - Corvée. - D - -.-pour le retard pris, indépendant de sa volonté. Je les remercie vivement pour leur compréhension.


128 - Corvée. - D - -.-

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Mercredi 24 octobre 3 24 /10 /Oct 07:00

110 - Corvée. - D - -.-Corvée du lundi 22 octobre 2018 :

 

         Je passais une nouvelle nuit en enfer ! Les tortionnaires du carcan de ma nouille ne cessaient de la brimer et d'empaler son gland. Lorsque je trouvais enfin le sommeil, ils redoublaient de vigueur en la brimant, me réveillant en sursaut. J'attendais avec impatience que l'aube se lève pour que j'en fasse 111 - Corvée. - D - -.-autant. Bien que je l'attendais avec impatience, j'avais des difficultés à me sortir du lit. L’esprit embrumé, je buvais un double expresso pour dissiper le brouillard assombrissant mon cerveau et voilant mes yeux. Je saluais mes Maîtres. Comme personne n'était connecté, je passais à la salle de bain pour ma toilette et une douche réparatrice d'une nuit de divagations psychotiques. Je prenais le marqueur noir, couleur du lundi et je débutais une nouvelle fois, 112 - Corvée. - D - -.-assis sur le bord de la baignoire, les écrits du jour. Sur la cuisse gauche, la date du jour, sur la droite, le numéro d'enregistrement au répertoire des slaves. Sur le torse, l’appartenance de la sous-merde pour terminer par le pubis et la date de mise en prison de ma malheureuse nouille. Elle est tellement en manque qu'elle ne désenfle plus c'est pourquoi mon pauvre gland est en permanence embrochée par les pics de l'abominable pénitencier. Cette séquestration, 113 - Corvée. - D - -.-imposée sans avoir de date libératoire, est un calvaire de chaque instant, jour et nuit ! Je m'habillais avec un pull en laine avec un col roulé qui permet de dissimuler le collier et surtout la médaille. J'enfilais un jean, une paire de chaussettes propre, le gilet sans manches avec son hôte dans une des poches frontales. Ayant du mal à mettre la machine en marche, ce lundi, je m’apercevais que j'allais être en retard. J'attrapais ma veste et je partais au travail. Malgré la froideur humide de l'atmosphère, chaque nouveau pas était un supplice. Mon malheureux gland, une nouvelle fois, se retrouvait en enfer. Ma pauvre nouille ne débandait pas malgré les températures automnales. Les bourreaux du mitard s'en donnaient à cœur joie. De petits râles s'échappaient de mes entrailles que je tentais, en vain, d'atténuer. Entre deux soupirs, je constatais que j'avais oublié de prendre le premier cliché dans la salle de bain après avoir réalisé les graffitis. Je le ferai dans la soirée, lorsque je rentrerai chez moi et avant d'effacer ces ignobles inscriptions. Arrivé à destination, je gagnais mon poste de travail après avoir, 114 - Corvée. - D - -.-très rapidement, salué les personnes présentes dans le hall. Je posais ma veste sur le dossier de mon fauteuil et je prenais place. En m'assaillant, la cage, immobilisée entre ma cuisse et le tissu du pantalon, fit un mouvement de recul, qui permit aux inquisiteurs d'empaler encore plus leur otage. Un râle de surprise et de souffrance s'échappa de mes entrailles. Honteux, je vérifiais avec angoisse, la présence d'oreilles curieuses. À mon grand soulagement, le couloir et le bureau contigu étaient déserts. Je me mettais au travail. Ma collègue arrivait peu de temps après moi. J'allais devoir faire très attention à mes soupirs et aux râles intempestifs qui s'échappaient régulièrement de mes tripes. Je prenais, de nouveau, l'excuse de remontées gastriques insupportables. Régulièrement, je buvais une gorgée de la bouteille d'eau qui trône dans un coin, sur mon bureau. Tout liquide qui pénètre par un bout doit ressortir de l'autre. C'est pourquoi, dans la matinée, l'envie d'uriner devenait de plus en plus présente et je n'en pouvais plus de retenir ou d'étouffer mes gémissements. Je 115 - Corvée. - D - -.-refermais la porte derrière moi et, à l'accoutumée, je posais le téléphone sur le lave-mains. Je déposais mes vêtements sur le sol au fur et à mesure que je me déshabillais. Je me retrouvais rapidement nu comme un nouveau-né. Je roulais mes chaussettes et j'enfournais, dans ma petite gueule, la plante des pieds suivant les directives. Pieds-nus, le froid de la dalle glaçait mes chevilles et un frisson secouait tout mon corps dénudé. J'attrapais mon portable et je 116 - Corvée. - D - -.-débutais par photographier mes vêtements sur le carrelage. Je continuais par la date sur une cuisse et le numéro d'enregistrement sur l'autre. Malgré la froideur du sol, les bourreaux continuaient sans cesse de perforer mon gland. Ma nouille, gonflée à bloc, se retrouvait enchâssée dans son carcan en étant immortalisée. Les chaussettes dans ma gueule suivaient. Je poursuivais par l'appartenance de la sous-merde et je terminais cette partie par la 117 - Corvée. - D - -.-date, haïssable, inscrite sur mon pubis. Une dernière prise de pieds avant de m’installer sur les toilettes, le couvercle et la lunette relevés. Au contact de la faïence glacée, mon postérieur se frigorifiait. Un nouveau frissonnement agitait mon corps nu. J’entrouvrais mes cuisses pour prendre un cliché, dégradant, de ma vessie se vider. Quand elle fut complètement vidangée, je secouais précautionneusement le pénitencier afin de ne pas accroître les tortures de son locataire. Peine perdue ! Le moindre mouvement de ce mitard réactivait instantanément les persécuteurs qui, revigorés, maltraitaient de plus belle leur otage.  Un nouveau gémissement de douleur, et de plaisir, s'échappait instinctivement. Je séchais délicatement cette cellule avec du papier toilette. Je me rhabillais, en faisant très attention de ne pas accentuer les souffrances abominables du réclusionnaire. Je tirais la chasse d'eau et j'abaissais la lunette et le couvercle. Je me rinçais les mains. Je repositionnais le portable dans son repaire. Après un dernier coup d’œil autour de moi, j'ouvrais la porte. Je retournais 118 - Corvée. - D - -.-au bureau et j'invitais ma collègue à prendre une pause-café-cigarette qui acceptait immédiatement. La journée se déroulait avec des hauts et beaucoup de bas, car les picots ne cessaient d'embrocher mon malheureux gland, qui, excité, accentuait l'érection avortée de la nouille de la sous-merde. En rentrant le soir, je passais de nouveau à la salle de bain. Avant d'effacer les tags, je prenais le cliché de pieds, manqué le matin, sur ma nouvelle paillasse.

119 - Corvée. - D - -.-

         Une nouvelle fois, je gratifie mes Masters, Master Éric et Maître Michael, pour leur persévérance à suivre et faire évoluer la sous-merde que je suis.

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Dimanche 21 octobre 7 21 /10 /Oct 14:00

100 - Corvée. - D - -.-Corvée du vendredi 19 octobre 2018 :

 

         Ayant eu une migraine la veille, je trouvais difficilement le sommeil. Quand le mal de tête diminua dans la nuit, je pouvais enfin m'endormir. J'espérais passer une nuit correcte et sans encombre. Je me retrouvais nu sur une île paradisiaque. Mes pieds foulaient du sable chaud et fin. Des vagues venaient mourir sur ce rivage. Une jungle épaisse se déployait à l’opposé. Je m'allongeais sur cette plage sous un soleil radieux. Je ressentais la tiédeur des grains de sable sous mon corps. Je me sentais au paradis et je fermais les yeux pour profiter de cet instant de bonheur. Tout d'un coup, des mains agrippaient mes pieds et mes poignets qui se retrouvaient aussitôt entravés sans que je puisse bouger. J'ouvrais les yeux et des indigènes me faisaient prisonnier. Ils parlaient un langage inconnu. Deux colosses arrivaient avec une grande perche de bois. Ils la passèrent entre mes poignets et mes chevilles. Ils la 101 - Corvée. - D - -.-levèrent sans difficulté et je me retrouvais suspendu à cette poutre la tête retombant en arrière comme une truie partant au sacrifice. Ils pénétraient dans cette forêt vierge. Les hautes herbes, de petits arbustes et des branches 102 - Corvée. - D - -.-mortes tombées au sol lacéraient mon dos. J'étais ballotté d'un côté et de l'autre. Une chaleur agréable envahissait mon bas-ventre et je ressentais une érection venir. Je relevais difficilement la tête et j’apercevais ma nouille droite comme un I. Je ressentais une humiliation et une grande frustration de bander dans cette situation dégradante. Mes kidnappeurs s'en aperçurent aussi. Je ne comprenais pas, mais je me doutais que les commentaires et les rires 103 - Corvée. - D - -.-devaient être méprisants. Nous arrivions enfin à un village et les molosses me suspendaient par les pieds à un portique. Les femmes et les enfants accouraient voir le butin des hommes. Les gamins avaient des boules de boue qu'ils me jetaient sur tout le corps. J'étais l’attraction du village et la risée des Autochtones. À mon grand désespoir, je bandais comme un âne. Au bout d'un certain temps, les adultes projetaient des aiguilles et des pointes fines. Le but était de les planter dans ma 104 - Corvée. - D - -.-nouille. J'avais de plus en plus mal. Je voulais hurler, mais aucun son ne sortait de mon gosier. Mon malheureux gland devenait un hérisson hérissé d'aiguilles. La douleur devenait de plus en plus intense et insupportable. Un hurlement s'échappait de ma gueule et je me retrouvais assis dans mon lit, haletant, mon palpitant battant la chamade et mon corps ruisselant de sueur. Je poussais un "OUF !" de soulagement. Je me levais pour boire un verre d'eau et je me recouchais espérant ne plus faire de cauchemars. Le réveil sonna et, avec apaisement, je me levais. Mon cœur battait encore très vite quand je me remémorais ma nuit douloureuse. Je buvais un bon expresso pour dissiper les brumes de mon cerveau. Je saluais mes Masters et je passais à la salle de bain. En repensant à ma nuit et au mauvais rêve, je le mettais sur le compte de ma migraine de la veille. J'avais encore une légère douleur. Je reprenais un cachet espérant que le mal n'aille pas plus loin. J'attrapais le marqueur vert, couleur du vendredi. Assis comme d'habitude sur le rebord de la baignoire je commençais la séance d'écriture. Sur la cuisse 105 - Corvée. - D - -.-gauche, la date du jour, sur la droite, le numéro d'enregistrement au registre des slaves, sur le torse, l'appartenance de la sous-merde et sur le bas-ventre, la date de mise sous cage de la nouille. Les graffitis terminés, je prenais mon portable et j'enregistrais le premier cliché de pieds. Je m'habillais, et après avoir souhaité une bonne journée à mes Maîtres, je partais pour une matinée de travail.  À mon grand regret, les tortionnaires continuaient de tourmenter mon 106 - Corvée. - D - -.-pauvre gland à chaque nouveau pas. Plus il était malmené et plus son excitation augmentait en produisant une érection avortée de la nouille. Je tentais de ne pas gémir dans la rue en croisant d'autres personnes. Je maudissais cette ignoble cage avec ses pics toujours aussi actifs. Enfin, j'arrivais à destination. Après avoir salué les collègues et les parents présents, je regagnais mon bureau en tentant de contenir mes gémissements. Après une bonne heure de travail, 107 - Corvée. - D - -.-la vessie de plus en plus pleine, je me décidais à me rendre aux toilettes et à réaliser la corvée du jour. Je me déshabillais et je posais au sol mes vêtements. Pieds nus, je ressentais le froid du carrelage qui glaçait mes chevilles. La dalle se refroidit chaque jour un peu plus. Je photographiais mes vêtements au sol et les chaussettes dans ma gueule. Je continuais par la date et le numéro d'enregistrement. Je poursuivais par l'appartenance de la sous-merde et la date de mise sous cage de la nouille. Je terminais par une prise de vues de pieds avant de m’asseoir sur la faïence glacée du trône qui gelait mon petit cul. Je lâchais les vannes en espérant que ma nouille débande. Ma vessie vidée, je secouais précautionneusement la cage espérant ne pas réveiller les matons. Cause perdue ! Ils redoublaient de vigueur en empalant de plus en plus le gland. Je faisais un cliché de ces tortionnaires et de leur détenu qui, gonflé à bloc dans un carcan trop petit, sortait par le moindre orifice. Je me rhabillais espérant ne pas trop souffrir. Mon mal de tête recommençant à faire des siennes, je 108 - Corvée. - D - -.-prenais un nouveau comprimé. Je me rinçais les mains, je tirais la chasse d'eau et je jetais un dernier coup d’œil autour de moi avant de sortir. Je n'avais pas fait trois mètres dans le couloir quand je sentis une coulée humide descendre sur ma cuisse. La nouille gonflée à bloc avait retenu un peu d'urine dans l'urètre, qui, en marchant, s'en était échappée. Je m'empressais de m'asseoir dans mon fauteuil et 109 - Corvée. - D - -.-je séchais cette ignoble coulure avec le jean que je portais.


         Une nouvelle corvée de réaliser dans des conditions dégradantes. Je dis Merci à mes Masters et aux lecteurs en leur souhaitant un excellent week-end.

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Samedi 20 octobre 6 20 /10 /Oct 10:00

91 - Corvée. - D - -.-Corvée du jeudi 18 octobre 2018 :

 

         Je réalisais ce rapport le vendredi 19 après-midi en présence de ma femme de ménage. Suivant les commandements de Maître Michael, je portais seulement mon short noir à bande jaune et un t-shirt. Après lui avoir ouvert la porte, honteux, ayant descendu le short au maximum afin de masquer le plus possible la maudite cage de chasteté, je m'assaillais à mon bureau dans la chambre les jambes écartées. Je me rapprochais le plus possible pour que mes cuisses soient cachées par le meuble, car la cage sortait du short ! Sachant les recommandations pour écrire ce rapport, dès que je rentrais du bureau à midi, je passais à la salle de bain afin d’effacer au white-spirit les inscriptions du vendredi. Je prenais une douche en frictionnant bien pour évacuer toutes traces de ce produit corrosif. J'enfilais un t-shirt et le short noir que je baissais au maximum afin de camoufler la prison de ma nouille. Je 92 - Corvée. - D - -.-terminais de m'habiller lorsque la femme de ménage sonnait à la porte. Je lui ouvrais et après s'être salué, elle me faisait remarquer que c'était la seconde fois que je la recevais dans cette tenue. Je lui répondais que je venais de me doucher et que je me mettais en tenue décontractée. Je l'informais que ce n'était pas la peine de faire la chambre. Elle répondait, dans ce cas, je vais faire le repassage en retard. Nous allions chacun de son côté. Je m'assaillais à mon bureau, les cuisses ouvertes, comme me l'avait recommandé Maître Michael. Malheureusement, dans cette position, la cage ressortait du short. Comme elle se voyait de plus en plus, 93 - Corvée. - D - -.-je m'avançais au maximum pour que l'aide ménagère ne s’aperçoive de rien. Je débutais, dans cette position et cette tenue, la rédaction du rapport de la veille. Le jeudi matin, après une nouvelle nuit de torture, je me levais avec un mal de tête. Je prenais un cachet avec mon café pensant que cela suffirait pour faire passer cette nouvelle torture. Je saluais mes Maîtres qui me faisaient part de quelques changements de vocabulaire dans le rapport du 94 - Corvée. - D - -.-mardi. Je ne pouvais qu’acquiescer à mon grand désespoir. Je passais dans ma salle de bain pour faire ma toilette et prendre une bonne douche en espérant que mon mal de tête s'atténue. Après m'être séché, je prenais le marqueur rouge pour réaliser les inscriptions du jour. Assis sur le bord de la baignoire, j'inscrivais la date du jour sur la cuisse gauche, mon numéro d'enregistrement de slave sur la droite. Les tortionnaires de ma nouille continuaient sans 95 - Corvée. - D - -.-cesse à empaler mon malheureux gland, qui, excité, faisait perdurer l’érection avortée de ma pauvre nouille. J'attrapais mon téléphone et je prenais un cliché de ce supplice quotidien. Impossible de faire cesser ce martyre. Je continuais avec une photo de pieds avant de passer dans mes toilettes, car je m'étais retenu lors de la douche, de pisser. Je continuais le reportage photo avec mes chaussettes dans ma gueule, la date du jour, puis le numéro d'enregistrement. Je continuais par l'appartenance de la sous-merde pour terminer par la date de mise en cage de ma malheureuse nouille. Avant de me soulager, un cliché de pieds et je m'assaillais sur la faïence des toilettes, car le couvercle et la lunette étaient relevés. Mon cul sentait la froideur de ce trône. J'ouvrais les vannes et je vidais ma vessie. Terminé, je secouais la cage puis je la séchais avec du papier toilette. Malgré cette vidange, mon malheureux gland continuait de subir les outrages de ses geôliers. Mon mal de tête s'accentuait et je supportais de moins en 96 - Corvée. - D - -.-moins la lumière. Je comprenais que ce mal n'était pas anodin et que j'avais une migraine. Cela faisait des années que je n'en avais pas eu et je savais que je devais me coucher avec les volets fermés pour me retrouver dans le noir 97 - Corvée. - D - -.-total. Je prenais des médicaments espérant atténuer le mal.


        La sous-merde remercie ses Masters et les lecteurs en leur souhaitant une excellente journée.98 - Corvée. - D - -.-


 

 


99 - Corvée. - D - -.-


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Jeudi 18 octobre 4 18 /10 /Oct 07:00

83 - Corvée. - D - -.-Corvée du mardi 16 octobre 2018 :

 

         Une nouvelle nuit de supplice qui occasionnait un sommeil par intermittence. Plus le temps passe et plus cette prison et ses geôliers deviennent insupportables. Ils prennent un malin plaisir à perforer le malheureux gland pour l'enflammer et le surexciter afin de faire perdurer l'érection permanente et destructrice d'une trique avortée de ma pauvre nouille. L'aube approchant, résigné, je me levais pour me faire un café. Pendant que la machine se mette en marche, je lançais mon ordinateur. Je buvais un double expresso pour tenter de dissiper les brumes matinales de mon esprit. Chaque pas que j'effectuai, faisait balancer la cage de chasteté et les picots intérieurs se mettaient aussi en mouvement et perforaient mon infortuné gland. Mon cœur prenait part aux festivités en se mettant à battre la chamade. Je laissais échapper des gémissements de douleur et de souffrances en subissant cette funeste réjouissance. Je prenais place devant mon portable et je 84 - Corvée. - D - -.-saluais mes Masters. Maître Michael, en premier, ordonnait de lire et de répondre aux derniers messages laissés sur le blog. Je lui proposais les réponses qu'il validait. Il ordonnait de recommencer la punition suite aux commentaires avec de nouvelles instructions. Les photos seront prises à genoux les mains sur la tête avec la date sur le torse. J'essayais de garder mon calme, mais les geôliers continuaient sans cesse leurs supplices ! Ils ne cessaient d'empaler mon pauvre gland quoique je sois assis. Cette géhenne attisait ses souffrances qui faisait gonfler la nouille de la sous-merde. Plus le gland était maltraité et plus l’érection avortée de la nouille de la salope perdurait. Je poussais des gémissements de douleur et de plaisirs d'être ainsi torturé. J'avais beau tenter de calmer ma nouille et plus elle se gonflait pour faire embrocher le gland. Je poussais de gros soupirs de douleurs, de délectations douloureuses. Plus j'avais honte de la situation et plus ma nouille tentait des érections avortées. Les plus heureux dans l'affaire, c'étaient les tortionnaires qui pouvaient s'en donner à cœur-joie. Les 85 - Corvée. - D - -.-différentes recommandations terminées, je passais à la salle de bain pour ma toilette. Après la douche, je prenais le marqueur bleu, couleur du mardi, pour réaliser les différents graffitis. Assis sur le bord de la baignoire, j'inscrivais la date du jour sur la cuisse gauche, le numéro d'enregistrement au registre des slaves sur la droite, sur le torse l'appartenance de la sous-merde et, pour terminer, sur le pubis le jour de mise en cage de la nouille de la sous-merde. Mon 86 - Corvée. - D - -.-gland était toujours aussi douloureux de plaisirs d'être ainsi malmené. Le vermicelle de la salope tentait en vain une érection impossible. Mes frustrations de ne plus pouvoir me toucher et me masturber étaient à son comble. De longs et forts gémissements sortaient s'échappaient de la pute. Je prenais mon téléphone, et pour changer, je photographiais ma nouille et mon gland avec leurs tortionnaires enchâssés dans leur cachot. Par moments, des frissons ou des tremblements 87 - Corvée. - D - -.-de souffrances et de délectations secouaient tout mon être. Je passais dans les toilettes en laissant la porte ouverte étant seul chez moi et je continuais les clichés. Je débutais par les chaussettes dans ma gueule. Je continuais avec la date du jour sur la cuisse gauche, le numéro d'enregistrement, l'appartenance de la sous-merde pour terminer par la date de mise en chasteté de ma malheureuse nouille. Je continuais par une photographie de pieds avant de m'asseoir 88 - Corvée. - D - -.-sur la faïence glacée des toilettes. Un nouveau frisson parcourait tout mon corps. Malgré le carcan, je ne cessais d'avoir une gaule avortée. Par intermittence, je laissais échapper de longs soupirs. J'ouvrais les vannes et ma vessie se vidait progressivement. Quand elle fut vidangée, je secouais le mitard pour évacuer les éventuels résidus d'urine. Je séchais ce pénitencier avec du papier toilette. Je tirais la chasse d'eau et j'allais me rincer les mains. La 89 - Corvée. - D - -.-nouille gonflée dans son carcan avait gardé, dans l'urètre, quelques gouttes de pisse qui s’échappaient progressivement. Heureusement, j'étais chez moi, mais cette infamie arrivait aussi au travail ! Je devais, alors, les sécher discrètement avec le tissu du pantalon. De nouveau, ce désagrément régulier, intensifiait mon humiliation et mes frustrations.

90 - Corvée. - D - -.-

        La sous-merde souhaite une excellente journée à ses Masters, Master Éric et Maître Michael ainsi qu'aux visiteurs qui liront ce rapport.

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Mercredi 17 octobre 3 17 /10 /Oct 18:00

74 - Corvée. - D - -.-Corvée du lundi 15 octobre 2018 :

 

         Comme toutes les nuits, depuis mon inconsciente et humiliante éjaculation involontaire, les tortionnaires ne cessaient de brimer ma pauvre nouille. J'essayais de me détendre, mais ma nouille se raidissait inexorablement et les pics transperçaient mon malheureux gland, qui, tout excité, provoquait une nouvelle érection involontaire. C'était un mauvais cercle vicieux m’empêchant de dormir correctement. Au bout d'un certain temps, j'arrivais enfin à m'endormir, mais les tortionnaires revenaient en force quelques quarts heures plus tard. Je me réveillais en sursaut tout en maudissant cette maudite prison et ses matons qui torturaient ma nouille. Enfin, l'aube arrivante, je me levais avec soulagement, mais l'esprit embrumé et exténué. Je me faisais un double expresso pour reprendre toute ma conscience. Je saluais mes Masters, mais personne n'était en ligne. Je passais directement dans la salle de bain pour ma toilette et une nouvelle 75 - Corvée. - D - -.-fois, entretenir un rasage intégral. Après une douche pour terminer de me réveiller, je prenais le marqueur noir, couleur du lundi. Assise sur le bord de la baignoire, la sous-merde débutait ses graffitis. Sur sa cuisse gauche, elle notait la date du jour, sur la droite son numéro d'enregistrement, sur son torse, son appartenance en terminant par son bas-ventre et son pubis en inscrivant sa mise sous chasteté. Terminée, elle attrapait son téléphone pour 76 - Corvée. - D - -.-prendre la première photographie du jour de pieds dans sa salle de bain sur son nouveau tapis. La cage et ses matons continuaient de torturer le gland, qui, excité, tentait une érection avortée à cause du pénitencier qui enchâssait la nouille de la salope. Elle s'habillait pour partir au travail. En sortant, le froid matinal calmait pour un temps, les gorilles avec leurs pics.

 

        J'arrivais à destination sans trop de 77 - Corvée. - D - -.-souffrance. Je saluais les collègues et je montais à mon bureau. Je posais ma veste sur le dossier du fauteuil et je prenais mon dossier pour me rendre à une réunion matinale. Arrivé dans la salle où je retrouvais mes collègues, je prenais place sur un des sièges. Malheureusement, la douceur ambiante réveillait les geôliers qui se remettaient à empaler le gland. Le processus infernal se réactivait à mon grand désespoir. Je tentais, tant bien que mal, à retenir des 78 - Corvée. - D - -.-gémissements. Mon voisin, m'ayant entendu geindre, me demandait ce dont il m'arrivait. Ne pouvant lui dire la vérité, je prenais l'excuse de douleurs gastriques. Le rassurant, je continuais en lui disant que j'avais pris ce matin du gel et que j'en avais, pour la matinée, dans la poche si les douleurs continuaient. Le directeur et la présidente arrivaient. Après avoir salué la table, nous débutions la réunion. J'avais de plus en plus de mal à me concentrer, car les picots ne cessaient d'empaler ma pauvre nouille. J'avais beau tenter de me décontracter, pour stopper son excitation afin qu'elle devienne un vermicelle, les bourreaux réactivaient leurs maltraitances. Après une bonne heure de souffrance, je m'excusais de m'absenter un moment. L'assemblée pensait que j'allais prendre mon traitement. Je n'en faisais rien, j'allais aux toilettes faire la corvée du lundi en espérant qu'une pause calmerait les tortionnaires. Je me déshabillais en posant mes vêtements au sol. J'avais déposé mon téléphone sur le bord du lavabo. Lorsque je me retrouvais à poil, mes plantes de pieds nus sur le carrelage 79 - Corvée. - D - -.-ressentaient le froid et un frisson secouait tout mon corps. Je prenais le portable et je photographiais mes habits sur le carrelage. Je continuais les clichés par la date du jour, le numéro d'enregistrement, mon appartenance à Master Éric et Maître Michael, puis la date de mise en cage et je terminais par une photo de pieds. J'avais relevé le couvercle et la lunette des toilettes en arrivant. Je m'assaillais sur ce trône. La froideur de la faïence refroidissait 80 - Corvée. - D - -.-mon cul. L'appareil photo dans les mains, je lâchais les vannes et je sentais ma vessie se vider. J'en profitais pour prendre un nouveau cliché. Toutes ces photographies quotidiennes deviennent de plus en plus humiliantes et dégradantes. Je secouais la cage pour évacuer l'urine qui pouvait rester et je terminais par la sécher avec du papier toilette. Malheureusement, cette pause n'avait pas calmé les gardiens de cette prison et ils redoublaient de vigueur en 82 - Corvée. - D - -.-perforant le gland. Le cercle vicieux redoublait de vigueur et je ne pouvais stopper ce processus. Je me rhabillais en rangeant le téléphone dans une des poches frontales de mon gilet. Je tirais la chasse d'eau. Je me rinçais les mains et je me les séchais. Un dernier coup d’œil autour de moi et j'ouvrais la porte. Je regagnais mon siège à la réunion. En arrivant, les collègues me demandaient si j'allais un peu mieux. Je leur répondais que je venais de reprendre le traitement en espérant que ça me calmerait. À mon grand désespoir, il n'en fut rien.81 - Corvée. - D - -.-

 

        La sous-merde remercie ses Masters, Master Éric, Maître Michael et les lecteurs réguliers

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Samedi 13 octobre 6 13 /10 /Oct 20:00

Corvée du vendredi 12 octobre 2018 :

64 - Corvée. - D - -.-

         Le maudit cachot et ses cerbères avaient une nouvelle fois torturé et empalé le malheureux gland de la sous-merde. Toute la nuit, l'excitation de celui-ci provoquait des érections avortées par son exécrable cellule de détention. Je dormais par intermittence, lorsque les gardiens voulaient bien se calmer 65 - Corvée. - D - -.-momentanément. L'aube arrivante, je me décidais à me lever ne pouvant dormir et me reposer normalement. Je mettais la machine à café en marche ainsi que l'ordinateur. Je me faisais un expresso bien serré afin de dissiper l'épais brouillard qui mettait la confusion dans le cerveau de la salope. Je revenais saluer mes Masters qui m'annonçaient, à mon grand désespoir, les modifications de vocabulaire lié à la rétrogradation du statut de slave en devenant, seulement, une sous-merde. Cette régression impliquait explicitement de nouvelles consignes et règlements dégradants et humiliants. Tout en essayant de digérer ce nouveau protocole indigeste, je faisais des va-et-vient à la salle de bain pour ma toilette. Mon palpitant s'était mis à battre la chamade en66 - Corvée. - D - -.- contestation de ce nouvel asservissement. Les pics en profitaient aussi pour redoubler de vigueur en empalant le gland gonfler de la salope. De nouveau, plus ils maltraitaient celui-ci et plus l'excitation augmentait. Cette dernière faisait gonfler la nouille enchâssée dans son carcan, avortant une 67 - Corvée. - D - -.-érection inexécutable. Une envie irrésistible de me toucher, de me masturber, et enfin, de jouir accaparait mon esprit et ses neurones. Au bout d'un effort surhumain, je stabilisais ce soulèvement et j'arrivais à calmer tout ce petit monde. Je terminais ma toilette et je prenais une nouvelle fois le marqueur vert, couleur du vendredi. À contrecœur, la sous-merde inscrivait sur la cuisse gauche la date du jour, sur la droite, le numéro d'enregistrement de la sous merde. Je continuais, debout devant mon miroir miroir, par mon appartenance à Master Éric et Maître Michael. Pour terminer, la salope indiquait la date dégradante de mise en chasteté de sa nouille. Je prenais mon téléphone et photographiais le nouveau tapis autorisé pour la salle de bain. Debout sur celui-ci, je faisais un cliché de pieds. Je m'habillais pour partir au travail. Entre-temps, je saluais mes masters qui partaient à leurs occupations. De même, je prenais ma veste pour me rendre au68 - Corvée. - D - -.- bureau. Je saluais les personnes présentes et je montais à mon bureau. Je déposais ma veste sur le dossier du fauteuil en démarrant mon ordinateur. Après une bonne heure de travail, la secrétaire me prévenait de l'arrivée d'un rendez-vous. La personne étant en fauteuil roulant et notre ascenseur en panne suite à une effraction de nos locaux, je prenais le dossier et je la retrouvais au rez-de-chaussée. 69 - Corvée. - D - -.-En redescendant, les geôliers qui s'étaient calmé un moment, trop court, se remettaient à l'ouvrage en empalant de nouveau mon malheureux gland. Excité, il faisait gonfler ma nouille avec une érection avortée par un exécrable mitard. Mon palpitant prenait le rythme des tortionnaires et se mit à battre la chamade. Je devais retenir des gémissements inopportuns. Dans une pièce libre, nous nous installions. Un certain temps s'écoulait70 - Corvée. - D - -.- en travaillant pensant calmer ce petit monde révolté. Malheureusement, il n'en fut rien et plus je tentais de me concentrer sur le dossier et plus les révolutionnaires se déchaînaient. Nous terminions avec une envie irrésistible d'uriner. Je saluais mon interlocuteur et je me rendais aux toilettes les plus proches. Je laissais les dossiers sur une table. Je refermais la porte derrière moi et je posais le téléphone sur le rebord du lavabo. Je me déshabillais pour une nouvelle 71 - Corvée. - D - -.-séance dégradante. Au sol, je déposais mes vêtements et sur le bord du lave-main, le téléphone pour la nouvelle séance photo. Je prenais mes chaussettes, porté lundi, mercredi et ce vendredi, et je les enfournais dans ma petite gueule. Je prenais l'appareil photographique pour un premier cliché des habits par terre. Je continuais par les chaussettes dans le gosier, la72 - Corvée. - D - -.- date sur la cuisse gauche et le numéro d'enregistrement sur celle de droite. Je poursuivais avec l'appartenance de la sous-merde sur le torse et la date de mise en cage de la nouille de la salope. Je prenais une nouvelle photo de pieds. Je posais mon cul sur la faïence glacée des toilettes. La froidure remontait dans tout mon arrière-train et refroidissait tout le corps de la sous-merde ce qui calma un temps les révoltés. Ma vessie pleine, je lâchais les vannes et je prenais une dernière photo en train de pisser, assis sur le trône. Terminé, je secouais la cage pour expulser les gouttes d'urine et je la séchais avec du papier toilette. Je me rinçais les mains et je me rhabillais. Je rangeais le téléphone dans la poche frontale du gilet sans manches. La chasse d'eau tirée, je regardais une dernière fois autour de moi avant de sortir. Je prenais mes dossiers en attente 73 - Corvée. - D - -.-sur une table et je remontais à mon poste de travail. Les marches de l'escalier réveillèrent les assoupis et le calvaire redoublait de vigueur. Mon cœur se remit à battre à tout rompre. Les pics de la cage empalaient une nouvelle fois mon pauvre gland, qui, excité, provoquait une érection avortée de ma nouille….


        La sous-merde salue ses Masters, les lecteurs du blog et leur souhaite un très bon week-end.

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Samedi 13 octobre 6 13 /10 /Oct 10:00

55 - Corvée. - D - -.--copie-1Corvée du jeudi 11 octobre 2018 :

 

         Une nouvelle nuit de tourments perpétrée par les tortionnaires du pénitencier de ma malheureuse nouille, m’empêchait de passer une bonne nuit réparatrice. Je me levais avec soulagement et je me faisais un expresso pour dissiper le brouillard de mon esprit. Je saluais mes Masters comme tous les matins. Tout en discutant, je faisais des va et vient dans la salle de bain afin de faire ma toilette. Suite à des commentaires, Maître Michael avait commandé que je trouve un tapis de porte pour le changer avec celui de bain. La veille au soir, avant de me rendre à une réunion, j'avais fait un saut au supermarché. Je choisissais56 - Corvée. - D - -.- celui qui serait le moins agressif à mes plantes de pieds. J'excluais tout tapis en paille de riz trop abrasif. J'en trouvais un suffisamment doux que je privilégiais. Je changeais à contre-cœur mon tapis de bain avec celui-ci. Après avoir fait ma 57 - Corvée. - D - -.-toilette, je prenais le marqueur rouge pour écrire sur le corps les différentes inscriptions. Assis sur le rebord de la baignoire, je commençais par la cuisse gauche et la date du jour. Je poursuivais par la droite et j'inscrivais le numéro de la sous-merde. Je continuais avec le torse et58 - Corvée. - D - -.- l'appartenance de la sous-merde. Pour terminer, sur le pubis, je rappelais la date ignoble de la mise en cage de ma nouille. Je montais, pour la première fois, sur la nouvelle paillasse, qui 59 - Corvée. - D - -.-dorénavant, remplacera défavorablement mon tapis de bain. Je m’apercevais que ce paillasson était moins rêche que je ne craignais. Je prenais le premier cliché de la série du jour. Sachant que des voisins viendraient commenter la réunion de la veille au soir, je préparais des vêtements que je posais au sol. Dans la boîte, je photographiais la date du jour puis le numéro d'enregistrement du slave. Je continuais par le torse et l'appartenance de la sous-merde. Je poursuivais par la date de mise sous cage de la nouille de la sous-merde. Je terminais cette série par un cliché de pieds avec, toujours les maudites chaussettes dans ma gueule. J'avais la vessie pleine. Je60 - Corvée. - D - -.- posais mes petites fesses sur la faïence des toilettes. Le couvercle et la lunette étaient en permanence relevés sauf quand mon aide de ménage partait. Elle les remettait en place systématiquement. Je sentais la fraîcheur de la céramique refroidir mon postérieur. La froideur 61 - Corvée. - D - -.-activait la vidange et je lâchais les vannes. Honteux, je prenais la dernière photo de la série du jour, en train d'uriner. Mon pauvre gland continuait à être maltraité par ses geôliers malgré la purge. Lorsque j'étais certain que ma62 - Corvée. - D - -.- vessie était vide, je secouais le pénitencier qui retenait, contre sa volonté, ma malheureuse nouille. Je terminais en la séchant avec du papier toilette et en espérant qu'il n'y ait pas de fuites intempestives. Le fait de manipuler cette abominable prison, les tortionnaires en profitaient pour renouveler leurs tortures et empaler mon misérable gland, immobilisé dans ce détestable cachot. Plus il était maltraité et plus j'avais envie de bander, de me toucher, de me masturber et surtout de jouir enfin ! À mon grand regret, cette érection était avortée par ce maudit mitard, infligé 63 - Corvée. - D - -.-par mes Masters, depuis plus d'un an ! Il va y avoir 15 mois où ma pauvre nouille est incarcée dans ce pitoyable bagne contre son gré.

 

        Je remercie mes Maîtres, Master Éric et Maître Michael, pour cette nouvelle journée.

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Vendredi 12 octobre 5 12 /10 /Oct 07:00

47 - Corvée. - D - -.-Corvée du mardi 9 octobre 2018 :

 

         La nuit fut de nouveau longue et douloureuse. Je me levais avec soulagement et je me faisais un café pour remettre mes idées en place. Je saluais mes Masters qui me donnaient de nouvelles instructions douloureuses. Je devais acheter un tapis de sol pour remplacer le tapis de bain. Avec regret, je les informais que je ferais l'achat mercredi ou jeudi, car ce jour, des ouvriers devaient débuter des travaux. Maître Michael donnait ses instructions au Slave pour les accueillir. Je dois être avec le short noir avec bande jaune, un t-shirt et une paire de claquettes. La journée allait être compliquée pour dissimuler la maudite cage qui avait 48 - Corvée. - D - -.-de grandes chances d’apparaître. Non seulement la nuit avait été mouvementée mais la journée serait dégradante et humiliante pour le slave. Mes Maîtres m'annonçaient qu'il y avait de nouveaux e-mails avec des propositions de Master Phénix qui seront mises en application prochainement. Avec angoisse, je me connectais sur ce nouveau serveur et je me connectais au compte que Maître Michael avait créé pour le slave que je suis. Mon cœur se mettait à battre la chamade au fur et à mesure que je me raccordais au compte avec des craintes de plus en plus angoissantes. Mes appréhensions se confirmaient au fur et à mesure que je lisais ce nouveau message. Je priais intérieurement pour que mes Masters ne mettent pas toutes les propositions ou le plus tard49 - Corvée. - D - -.- possible. Avec une angoisse grandissante, je continuais le dialogue et je lisais avec une anxiété grandissante les différents messages qui arrivaient de mes Maîtres. Je ne disais rien, mais j'en pensais pas moins. Je maudissais de plus en plus toutes ces contraintes humiliantes et dégradantes. 50 - Corvée. - D - -.-Enfin, je souhaitais une bonne journée à mes Masters et je passais à la salle de bain. Je faisais ma toilette quotidienne et j'attrapais avec désolation le marqueur bleu, couleur du jour pour les inscriptions sur le corps du slave. Comme d'habitude, je m'asseyais sur le bord de la51 - Corvée. - D - -.- baignoire et j'écrivais la date du jour sur ma cuisse gauche et mon numéro d'enregistrement sur celle de droite. Je continuais, avec tristesse, l'appartenance à Master Éric et Maître Michael. Je terminais par le pubis qui reçoit la date ignoble, de mise en chasteté. Comme je ne 52 - Corvée. - D - -.-sortirais pas, je laissais mes vêtements sur le lit. Le téléphone en main, je commençais les différents clichés. Une dernière photo sur mon tapis de bain, avec regret et des idées de meurtres ! Je prenais une nouvelle paire de chaussettes que j'enfournais dans ma bouche.53 - Corvée. - D - -.- Dans mes toilettes, le couvercle et la lunette en permanence relevés, avec mécontentement, je continuais avec la date du jour et le numéro du slave. La paire de chaussettes prenait la suite. Pour continuer le torse et le pubis étaient aussi en boîte. Je finissais par un cliché de pieds avant de m'asseoir sur la faïence de mes toilettes. C'est une position tellement humiliante et dégradante que j'attends d'avoir ma vessie extra-pleine pour la vidanger. Je photographiais avec désarroi mon malheureux pénis encagé et maltraité par ses tortionnaires. La vidange terminée, je tirais la chasse d'eau et je me rinçais les mains. Je téléchargeais 54 - Corvée. - D - -.-de suite les différents clichés pour les supprimer de mon téléphone afin que personne, accidentellement ou non, en l'utilisant pour appeler quelqu'un, ne tombe sur ces photographies humiliantes et dégradantes.

 

        Je remercie mes Maîtres pour les objectifs qu'ils espèrent que le slave accomplira.

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  • : Sous-Merde propriété de Master Eric et Maître Mickaël. Il fait aussi ce que les Visiteurs demandent. Ce n'est pas un mâle mais une sous-merde, et il doit être traité comme tel. À la disposition de tous les Maîtres et slaves au Téléphone, en Web-cam sur Smboy ou Skype... Prises de photo et rapports publiés ensuite sur le blog sous le contrôle de ses Maîtres.
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