Le blog de Bâstard a KC Sous merde n°411-103-335

Bienvenu sur le blog de Bâtard a KC : Sous merde N° 411-103-335. Sous le contrôle de ses Masters, il doit faire ce qui est demandé sans rechigner. N’hésitez pas à laisser des commentaires sur les différents articles qu'il publie sous les ordres de ses Masters.
Il fait aussi ce que les males demandent de faire après avoir reçu la validation de ses Masters. Ce n'est pas un male mais un slave, une sous-merde, un bâtard et il doit être traité comme tel.
Sous cage de chasteté, seuls ses Maîtres décident de ses jouissances afin de le purger de son jus pourris qui ne sert à rien.
N'hésitez pas à laisser des commentaires dans les différents articles publiés ici par notre slave ou nous même. Ça l'humilie encore plus. Le site ayant un bug, vous pouvez lui envoyer vos commentaires qu’il nous fera suivre. Son adresse est bastardakc@hotmail.fr ou en suivant ce lien
Notre slave est a dispos de tous mâles souhaitant l'utiliser et autres en Cam ou réel aussi avec prises de photos et rapports ensuite publiés sur le blog. Même les soumis peuvent l'utiliser car son statut est inférieur à eux et leur doit respect et leur obéir aussi

Les sorties du Slave

Jeudi 17 août 4 17 /08 /Août 06:29

Le mardi 15 août

02 - Piscine - D - -.-03 - Piscine - D - -.-        Une sortie à la piscine : Le soleil brillait et la chaleur était revenue. Il était un peu avant midi. Je me décidais à faire une sortie à la piscine. Suivant les instructions de mes Masters, je savais que je ne pourrai avoir une séance de vidange qu’après y être allé et faire une sortie au sauna. En ce jour de fête, je me décidais, à contre-cœur, à réaliser la première sortie. Je préparais dans un sac, une serviette, un livre, du gel pour remettre le plug en place et un boxer de bain atrophié de sa doublure. Je me préparais suivant les commandements que j’avais reçus.

01 - Piscine - D - -.-04 - Piscine - D - -.-        J’enlevais le pantalon que je portais, la ceinture et le double plug. J’introduisais le N°3 à la place, celui qui tient seul. Je positionnais la médaille sur le torse et j’enfilais un des shorts 05 - Piscine - D - -.-rognés de son slip intérieur. À mon grand désespoir, je m’apercevais que la cage dépassait de  celui-ci. 06 - Piscine - D - -.-J’essayais en vain de tirer dessus pour la cacher. Dès que je me déplaçais, il remontait pour dévoiler cette prison dégradante. Je commençais déjà à me sentir très mal à 07 - Piscine - D - -.-l’aise. Mon cœur battait de plus en plus fort et mon malheureux gland était de plus en plus empalé par les pics de sa prison. La sortie allait 08 - Piscine - D - -.-être très humiliante et dégradante ! Je passais le gilet sans manche où j’avais rangé le portable et je prenais mon sac. Je vérifiais que le couloir était vide avant de sortir et de refermer mon 09 - Piscine - D - -.-10 - Piscine - D - -.-appartement. J’appelais l’ascenseur et je montais dès les portes ouvertes. Ma grande peur était que je croise un voisin dans le hall d’entrée ou sur le parking. Mon palpitant, à cette idée se mit à battre encore plus fort et les pics empalaient un peu plus ma pauvre queue.  11 - Piscine - D - -.-12 - Piscine - D - -.-Je sortais après m’être assuré qu’il n’y avait personne à l’horizon. 13 - Piscine - D - -.-Comme il allait être midi, les voisins 14 - Piscine - D - -.-étaient déjà chez eux. Je sortais, mon sac à l’épaule, ma main gauche à la hauteur de l’avilissante geôle et je m’empressais à me rendre à mon véhicule. À chaque nouveau pas, je sentais les picots martyriser un peu plus mon pauvre gland. J’avais envie de tenir cette prison humiliante pour moins le martyriser. J’apercevais alors qu’il y avait du monde dans le square au pied de mon immeuble. Des enfants jouaient sous la vigilance de leurs parents. Je remerciais le soleil de briller. Je montais dans mon véhicule après avoir déposé mon sac. En m’assaillant, je sentis le plug pénétrer un peu plus 15 - Piscine - D - -.-16 - Piscine - D - -.-profondément, ce qui excita l’anneau du côlon. Je démarrais et je me rendais au centre aquatique de la ville. 17 - Piscine - D - -.-

 18 - Piscine - D - -.-  19 - Piscine - D - -.-

20 - Piscine - D - -.-À un feu rouge, je détachais la ceinture et j’en profitais pour photographier la cage qui dépassait du short, le collier et sa médaille. Mon trou jouait avec son invité et la cage maltraitait un peu plus ma queue. Plus je dois la porter et plus les pics empalent plus profondément mon pauvre gland de plus en plus à l’étroit et agressé. Je remettais la ceinture de sécurité et le feu passa au vert. Je démarrais pour me rendre à la piscine. Arrivé à destination, je me garais, je prenais un cliché du bâtiment et je prenais mon sac sur l’épaule avec ma main à la hauteur de la cage pour la dissimuler un minimum. Avant d’entrer, je tirais sur le short pour cacher quelles que secondes la cage. Chaque nouvelle marche que je gravissais21 - Piscine - D - -.- était un peu plus douloureuse. Je maudissais un peu plus les geôliers de ma queue qui 22 - Piscine - D - -.-l’empalaient au fur et à mesure que je gravissais l’escalier. J’arrivais enfin sur le palier. Je poussais la porte d’entrée pour la première fois. À mon grand soulagement, je voyais la caissière dans son aquarium ce qui limitait sa vision sur mon short mais pas sur la médaille. En m’approchant, elle la vit et ne la quittait plus des yeux. Un grand sourire se dessinait sur son visage ce qui me mis un peu plus mal à l’aise. Je23 - Piscine - D - -.- lui demandais des renseignements ce qui permit que ses yeux se détournent de la médaille. Je payais mon entrée et je me dirigeais vers les cabines. Je prenais un denier cliché de la cage qui dépassait du short et de la médaille en évidence sur mon torse. Je me déshabillais et je soulageais mon trou de son intrus. Ma petite fleur était toute humide et lorsqu’elle se referma, elle continua de mouiller. Je me sentais encore plus humilié et avili de voir mon trou humidifier de la sorte. J’abominais ces invités inopportuns pour éviter de maudire mes Masters. Ma pauvre queue emplissait toute la cage et 24 - Piscine - D - -.-tentait des sorties par les quelques orifices. Mon pauvre gland en faisant de même et était un peu plus empalé par les pics, à chaque instant. Je la maudis depuis plus d’un an et j’ai plus que hâte de m’en débarrasser ! J’enfilais le boxer de bain. À mon grand désespoir, je m’apercevais que la cage se devinait très bien sous ce vêtement atrophié ainsi que le cadenas. Je disposais mes affaires dans mon sac que je rangeais dans un casier. Je passais à la douche et je rentrais dans la piscine proprement dite. Je visitais le grand et le petit bassin où je piquais une tête. En sortant du bassin, je m’apercevais que la cage se devinait toujours autant. Je me séchais légèrement et je disposais ma serviette sur l’épaule pour dissimuler au mieux le boxer et ses protubérances inavouables. J’allais visiter les extérieurs et je m’installais à l’écart sur un transat. Je prenais25 - Piscine - D - -.- mon livre. Après plusieurs pages de lecture je faisais un petit somme. Les cris des enfants et leurs voix stridentes me réveillaient. Je m’apercevais que j’avais du dormir plus longtemps que prévu car des dizaines de familles étaient arrivées et les enfants jouaient un peu partout. Je prenais mes affaires et ma serviette sur l’épaule, je regagnais les douches. Deux hommes les utilisaient. Ils étaient à chaque extrémité. J’allais devoir utiliser une des douches centrales. Je suspendais ma serviette et je débutais ma douche. À mon grand avilissement, ils observaient mon 26 - Piscine - D - -.-boxer. J’avais beau me tourner d’un coté ou de l’autre ils continuaient leur inspection avec des clins d’œil furtifs. Je ne comprenais pas pourquoi ils prolongeaient leurs douches. Je prenais ma serviette et je passais prendre mon sac dans le casier que j’ouvrais avec la clef. En rentrant dans la cabine, je compris le problème ! En me douchant, le cadenas s’était déplacé et était encore plus en évidence ainsi que la cage. Mon sang fit qu’un tour et du monter au visage car je me sentais humilié. Mon cœur battait la chamade et je sentais les pics empaler mon27 - Piscine - D - -.- malheureux gland. J’ôtais le boxer de bain et je me séchais. Je préparais le plug que je lubrifiais légèrement et je le présentais à ma petite fleur. Quand ils fut en place, je me relevais. Ma pauvre queue était encore et toujours de plus en plus mal traité par sa prison. Je positionnais le collier, j’enfilais mon short et ma chemise. Après l’avoir boutonné et replacé la médaille sur le torse je vérifiais la cage qui dépassait de sous son mini 28 - Piscine - D - -.-vêtement. Son prisonnier était toujours aussi à l’étroit dans sa geôle et autant mal traité. Je29 - Piscine - D - -.- passais le gilet sans manche et je prenais le dernier cliché témoin. Je rangeais mes affaires dans le sac que je passais sur l’épaule. Je sortais et arrivé dans le hall, je jetais un coup d’œil. Malheureusement la caissière avait du passer le mot car six collègues étaient autour d’elle. Ils me regardaient avec insistance le temps que je passe devant eux. Je gardais la main gauche à la hauteur de la cage pour la dissimuler un minimum. Mon cœur battait toujours et encore de plus en plus vite et fort. Chaque nouveau pas était un calvaire pour ma malheureuse queue. Les pics en profitaient pour empaler de plus en plus le pauvre gland ce qui provoquait une érection contrariée par cette ignoble prison. Je sortais et je regagnais mon véhicule. Avec soulagement, je déposais le sac et je prenais place. De nouveau, en m’assaillant, le plug se remit à jouer avec le côlon et son anneau…. Je démarrais et je retournais à mon domicile avec consolation et apaisement.

 

        Je remercie mes Masters pour cette nouvelle épreuve en espérant que le compte à rebours pour la prochaine vidange s’approche de plus en plus. Elle sera non seulement bénéfique mais aussi utile pour la santé du slave.

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Mercredi 9 août 3 09 /08 /Août 06:25

Le lundi 7 août.

01 - Le Lac - D - -.-        Comme la météo annonçait le dernier jour de beau et que nous n’étions plus sous "Alerte canicule", je demandais à mon directeur une journée de congé, ce qu’il acceptait. Je me préparais en passant à la salle de bain pour parfaire le rasage du corps. Chaque fois que je dois le faire, je trouve ce travail toujours aussi humiliant et dégradant de devoir supprimer tout poil ! Je préparais mon sac avec une bouteille d’eau, un livre et une serviette. Comme me l’avait commandé Maître Michael, j’enfilais un short estropié de son slip intérieur, une chemise et mon gilet sans manche. Je portais aussi le collier et sa médaille que je positionnais sur le torse, la cage qui emprisonne ma malheureuse queue et le plug N°3 qui tient seul. Quand tout mon attirail était près, je regardais par le juda.

        Le couloir était éteint et donc personne en vue ! J’ouvrais02 - Le Lac - D - -.- ma porte et je gagnais l’ascenseur. La descente fut longue et mon palpitant se mit à battre de plus en plus vite. Quand les portes s’ouvraient, je regardais rapidement dans le hall d’entrée. J’étais rassuré car il n’y avait personne en vue. Avant de sortir, je vérifiais la cour. 03 - Le Lac - D - -.-Comme il y avait des voisins qui se rendaient dans la montée d’en face, j’attendais un instant. Mon cœur battait de plus en plus fort et ma malheureuse queue était martyrisée par les pics. Quand j’étais sûr que la cour était libre, je me rendais à ma voiture ! La médaille sautillait sur mon torse à chaque pas. Pire, quand j’avançais la jambe gauche, la saleté de cage sortait de plus en plus ! Je m’empressais à déposer le sac dans le04 - Le Lac - D - -.- coffre et je prenais place sur le siège conducteur. En m’assaillant, je sentis le plug pénétrer plus profondément ! Mon trou se mit à pousser et mon malheureux gland se faire empaler par les picots de la cage. Je m’apercevais que la cage sortait toujours du mini short. Suivant les ordres que j’avais reçus, je devais prendre des photographies de chaque étape. Je 05 - Le Lac - D - -.-commençais donc par la médaille sur le torse puis la maudite cage qui dépassait. J’avais 45 minutes de voiture pour me rendre à destination. Lors d’un arrêt, je vis à mon grand regret que le short s’était replié et remontait encore plus laissant voir, non seulement la cage mais aussi le cadenas ! Je maudissais les shorts qui avaient étés gardés et encore plus l’ablation des slips intérieurs. À cause de la coupe et de la matière, ils étaient tous06 - Le Lac - D - -.- aussi humiliants ! J’arrivais à destination et je garais le véhicule. Je sortais mon sac et le transat du coffre. J’allais me mettre en route lorsqu’un couple me dépassa. Je priais pour qu’ils ne se rendent pas à la petite plage à l’écart. J’essayais en vain de les dépasser. Chaque nouveau pas faisait remonter un peu plus le maudit short et faisait apparaître encore plus la maudite cage. Je regrettais de plus en 07 - Le Lac - D - -.-plus l’ablation des sous-vêtements. Mon palpitant battait toujours la chamade et les pics empalaient de plus en plus mon pauvre gland, ce qui provoquait une érection permanente. Par moments, je sentais un filament se coller sur ma cuisse. Mes pauvres couilles sont tellement pleines qu’elles demandent qu’a être vidangées. Devant moi, je voyais le couple quitter la plage et monter le talus. À mon grand regret, ils allaient prendre ma08 - Le Lac - D - -.- place dans la petite enclave à l’écart. Je devais donc rester au bout de la plage la plus étendue à mon grand regret. Je prenais la place à l’extrémité, ainsi il y aura moins de monde à passer devant moi pour gagner un emplacement. Je déposais le transat et j’immortalisais les lieux déserts. Je continuais par le short, la chemise et le collier avant de me mettre en tenue d’Adam. Je posais mon sac à dos. J’installais le transat et je sortais la serviette que j’étalais dessus. À la demande de Mr Alain, je prenais un cliché de face 09 - Le Lac - D - -.-et un de pieds avec le retardateur. J’espère qu’un minimum de personnes verront ces photos dégradantes. Je terminais par l’intrus qui obstruait mon petit trou. Je m’allongeais et je prenais un dernier cliché. Je m’allongeais sur le ventre pour faire une petite sieste. Je m’apercevais alors que le plug était mis en exposition ce qui n’est pas le cas sur le dos. Au bout d’un certain temps, j’entendis des voix s’approcher. Je me retournais pour regarder. Un couple s’approchait. Lorsqu’ils s’aperçurent que j’occupais le bout de place, ils s’installaient à quelles que mètres avant. Je prenais mon livre et continuais la lecture de10 - Le Lac - D - -.- mon roman. La cage, mon collier et sa médaille étaient en évidence. Je me sentais mal à l’aise ainsi. Surtout la cage en publique est encore plus humiliante et dégradante, surtout lorsque les pics s’amusent à supplicier ma pauvre queue. Pour une fois, il y avait peu de passage de voyeurs. Les lieux étaient surtout occupés par des couples que j’apercevais au loin. Je soufflais un moment et mon palpitant pu reprendre un rythme plus calme. En milieu d’après-midi, un homme passa devant moi avec un regard insistant sur les attributs du slave. Heureusement la conversation restait sur les politesses d’usages. Je maudissais ses yeux qui scrutaient chaque centimètre de mon pauvre corps.

11 - Le Lac - D - -.-        Le vent se mit à se lever et de gros nuages apparaîtrent au loin. Tout doucement les températures tombaient. Au fur et à mesure, je voyais mes voisins plier bagages. Au bout d’un certain temps, les nuages obscurcirent le soleil. Je me décidais à plier bagage. Je rangeais mes affaires dans le sac et je repliais le transat. Je me rhabillais avec le short la chemise, le gilet, des socquettes et mes baskets. Je regagnais ma voiture. L’humiliation reprenait de plus belle, à chaque nouveau pas le short remontait et laissait apparaître de plus en plus la cage. Je croisais des couples qui me dépassaient et examinaient longuement mes attributs, le collier, sa médaille et la cage où12 - Le Lac - D - -.- le cadenas se dévoilait de plus en plus sous le mini short. Les femmes semblaient les plus intéressées par ce carcan…. Je me sentais, pour ma part, de plus en plus mal, humilié et frustré par l’amputation du slip intérieur. J’arrivais enfin à ma voiture ! Je déposais dans le coffre, le sac et le transat. Je reprenais place sur le siège conducteur. En m’assaillant, le plug s’enfonçait plus profondément et excitait l’anneau. Les pics continuaient à empaler et supplicier ma pauvre queue. Je devais conduire avec tout ce petit monde en fête. Je rentrais chez moi avec difficulté. Arrivé au parking, j’attendais un instant que les voisins rentrent chez eux pour sortir de mon véhicule. Je prenais mon sac et rapidement je gagnais la porte d’entrée de ma montée. Je poussais un souffle de soulagement lorsque je me retrouvais seul dans l’ascenseur.

   13 - Le Lac - D - -.-   14 - Le Lac - D - -.-        Malgré les sentiments   de frustrations, d’humiliations et d’avilissements que j’ai eus pendant cette journée, je dois remercier mes Masters pour cette nouvelle étape dans mon éducation.

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Jeudi 2 mars 4 02 /03 /Mars 11:12

 

03 - Scanner - D - -.-Scanner du lundi 27 février.

        Pour ce nouvel examen, le médecin prescripteur avait recommandé que je sois à jeun depuis plus de 4 heures. Ayant rendez-vous en début d’après-midi, le matin, je faisais un bon petit-déjeuné et je prenais une collation pour la pause à la mi-matinée. Le midi, je rentrais chez moi. Un peu avant de partir, je préparais mes papiers d’assuré et la prescription médicale. Dans ma sacoche, je rangeais le lubrifiant, la clé pour le collier et le short blanc. Dans un petit sac, je rangeais mon dossier médical, un produit pris en pharmacie pour le scanner. Je démarrais de mon domicile en avance.

        Dans la voiture, dès que je prenais place, le plug à deux boules, numéro 04, redoublait de vigueur ! Mon petit cul ne cessait de pousser et je sentais le premier anneau dans le gros intestin qui faisait du gymkhana sur les deux boules. Je regrettais de ne pas avoir mis un suppositoire avant de partir afin de calmer ce petit monde festif. Ma malheureuse queue souffrait, elle aussi ! Le pauvre petit gland continuait inlassablement à être empalé par les pics de la cage et mon infortunée nouille tentait une érection impossible, enchâssé dans sa prison. Etant seul, je ne retenais pas mes gémissements.

        Nous sommes dans une petite ville de province où, il y a une course aux ronds points et aux passages sur-élevés. C’est très bien pour obliger certains conducteurs à ralentir, mais pour le slave que je suis, c’est une torture et un supplice supplémentaire à chaque passage ! Les secousses faisaient redoubler de vigueur le convive dans le côlon. Celui-ci transmettait les stimulations à mon cul qui ne cessait pas de pousser et à l’anneau qui faisait du toboggan permanent. Ma malheureuse queue n’était pas mieux lotie ! Elle se faisait empaler le gland par les maudits pics recouvrant la cage de chasteté en lui interdisant toute érection possible. Je sentais un filament humide coller à l’intérieur de la cuisse. Je devais mouiller ! Depuis le temps où je suis en manque ! Ces fuites et cette impossibilité de se masturber est chaque jour un peu plus frustrant, humiliant et avilissant !

01 - Scanner - D - -.-        J’arrivais au centre hospitalier où je me garais. Je passais aux toilettes pour enlever les attributs du slave. Je rangeais dans ma sacoche le harnais, le plug et le collier. Je passais au secrétariat me faire enregistrer. La secrétaire me donnait un dossier et m’indiquait la salle d’attente "B" du scanner "1". Étant encore un peu en avance, j’arrivais tranquillement. Je faisais mon entrée en même temps qu’un 02 - Scanner - D - -.-technicien qui m’appela. J’entrais directement dans une cabine avec un siège, un tabouret, une table technique avec tiroirs et des patères au mur. Il me les indiquait pour pendre mes affaires. Je refermais la porte à clef derrière moi. Je lui transmettais mon dossier et le produit pour l’examen.

        Il me demandait de me mettre en sous-vêtement. Il préparait le nécessaire pour poser un cathéter sur sa table. Je sortais mon short blanc en lui avouant honteusement que je ne portais pas de sous-vêtements. Je venais de suspendre la sacoche, ma veste, mon bonnet et le pull à col roulé aux patères. Mon cœur se mit à battre de plus en plus vite et je me sentais d’autant plus humilié, frustré et honteux devant ce jeune. Il m’annonça alors qu’il allait chercher une blouse. Dès qu’il sortit de la pièce je m’empressais à dévêtir le bas en accrochant le jeans. Je tournais le dos à la porte de trois 03 - Scanner - D - -.-quarts quand  il revint avec un tablier bleu d’hôpital. Il ne me restait que le maillot sur moi. Mon palpitant se mit à battre de plus bel en entendant la porte s’ouvrir. J’étais cul-nu, avec seulement cette maudite cage ! Je prenais au vol le short que j’enfilais le plus rapidement possible. Autant, lors du premier scanner, j’avais pu me changer tranquillement autant, aujourd’hui, 04 - Scanner - D - -.-devoir le faire en publique, augmentait grandement l’humiliation, la frustration et la félonie d’être ainsi exhibé ! Je maudissais de ne pas avoir pût mettre le short aux toilettes. Je suppliais intérieurement qu’il sorte chercher quelle que chose d’autre pour réaliser les clichés réclamés par Maître Michael. En entrant, il avait dû, au moins, apercevoir la maudite cage ! Je terminais par enlever le maillot.

        En me retournant pour lui faire face, de ma mains gauche, je vérifiais où était la cage par apport au short. Je le tirais et le descendais au maximum pour cacher cette maudite prison ce qui découvrit complètement le pubis lisse. Mon palpitant tambourinait toujours aussi fort dans ma cage thoracique. Je sentais chaque battement assourdissant, jusque dans les oreilles. Il m’invitait à enfiler la charlotte et la blouse qu’il venait d’apporter en m’expliquant que la pièce était un peu fraîche. Je m’exécutais sans mots dire. Je m’assaillais confortablement dans le fauteuil et je lui 05 - Scanner - D - -.-présentais mon bras droit pour poser le cathéter. Tout en faisant son travail, il m’expliquait le déroulement de l’examen. Je n’arrivais pas à calmer mon moteur qui battait la chamade. Il s’en aperçu et il voulut me rassurer. Je ne pouvais pas lui avouer que ce n’était pas celui-ci qui m’angoissait mais l’humiliation que je ressentais d’être, ainsi exhibé devant lui.

 06 - Scanner - D - -.-       J’essayais de me détendre en faisant un peu sa connaissance. Il était en stage et étudiant à Lyon en médecine nucléaire. Tout en me parlant, il avait, depuis son retour avec le tablier de patient, un petit sourire en coin. J’étais certain qu’il m’avait, non seulement aperçu mais vu, non pas uniquement mes fesses nues mais la cage et mon rasage intégrale. Je maudissais d’être ainsi exhibé, humilié et étant présent, je ne pouvais prendre les clichés demandés ! Lorsque qu’il eut terminé, il m’invitait à passer dans la pièce principale. Le scanner trônait au milieu. Nous nous en approchions et la doctoresse venait nous rejoindre avec, elle aussi un grand sourire. Le stagiaire avait dû faire son rapport sur l’excentricité de ce nouveau patient.

        Elle m’invitait à m’allonger sur la table, les pieds vers l’appareil. L’examen allait se faire sur la partie basse de mon corps à partir des hanches. Je m’exécutais et après quelles que modifications de positionnements, elle me demande de ne plus bouger pendant une trentaine de minutes. Le stagiaire terminait de relier le cathéter avec 05 - Scanner - D - -.-le produit que j’avais pris à la pharmacie et me demandait de garder les bras au-dessus de la tête. Je pouvais me détendre un peu le temps que je sois couché. Après une première séance, j’entendais le stagiaire annoncer que la perfusion démarrait. Je sentais le produit passer dans la veine. Après quelles que secondes, je sentais une sensation de chaleur envahir tout mon corps en commençant par la bouche, la tête, le torse et les bras, la taille et enfin les jambes. Cette sensation n’était pas désagréable à part un goût âpre dans la bouche. Deux nouveaux 06 - Scanner - D - -.-passages dans l’appareil en retenant la respiration et le plateau s’immobilisait de nouveau. Il se remit en marche et je faisais un dernier passage dans l’anneau de l’appareil. La table se stabilisait définitivement et le technicien venait m’aider à me relever avec la perfusion.

        Le médecin me raccompagnait à mon boxe. Je m’assaillais dans le fauteuil et je présentais mon bras au technicien pour enlever le cathéter. Après l’avoir retiré, il posait une compresse tenue par du sparadrap. Il sortait après avoir rangé son meuble de travail. De mon coté j’enlevais la blouse et la charlotte que je posais sur le fauteuil. Je faisais tomber au sol le short quand la porte s’ouvrit et la doctoresse venait me demander d’attendre avant de partir. J’étais nu devant elle avec seulement la maudite cage qu’elle scrutait. Je restais quelles que secondes interdit. Mon cœur se remit à battre la déroute ! J’acquiesçais et elle refermait la porte. Le stagiaire avait dû lui parler de ma tenue, c’est pourquoi elle entrait sans prévenir. Je maudissais encore plus cet examen ! J’aurai aimé être une souris pour m’enfuir dans le premier interstice ! Je priais pour être 07 - Scanner - D - -.-enfin tranquille et surtout, ne plus être dérangé pour pouvoir réaliser le reportage photo sereinement. Je prenais les premiers clichés, nu avec seulement la cage. Je posais l’appareil un instant pour remettre le short pour compléter la chronique. La porte s’ouvrit une nouvelle fois ! Le technicien me rapportait mon dossier. Son regard alla directement sur la maudite prison qu’il avait, dans toute sa splendeur, devant lui. Il le posait sur la table et ressortit avec un grand sourire illuminant son visage. Ce locale devenait un vrai moulin ! On y entre et ressort 08 - Scanner - D - -.-comme dans un magasin. Je maudissais une nouvelle fois de devoir être ainsi exhibé ! L’histoire allait faire le tour du service au moins….

Je renfilais le short pour prendre les clichés. Je baissais une nouvelle fois ce, soit disant sous-vêtement. La porte s’ouvrit une nouvelle fois ! Le médecin, s’excusant de me déranger, me posait quelles que questions pour compléter le dossier d’examen. Je me trouvais une nouvelle fois, nu, face à elle. Un large sourire illuminait progressivement sa face. Je devenais la bête curieuse du service ! Ma mésaventure ferait, non seulement le tour du service mais certainement tout le bâtiment. Je me baissais pour remonter précipitamment le short tout en lui répondant. Ma plus grande crainte est que ça vienne aux oreilles de mon médecin ! Mon palpitant s’était emballé. Je devais être rouge de honte car je sentais la chaleur du sang affluer à mon visage. Je prenais mon pantalon que je me précipitais à porter. Elle me remerciait en me souhaitant une bonne journée et s’en alla. Jamais je n’avais été autant exhibé et surtout humilié et frustré ! Je maudissais d’avoir dû mettre le 09 - Scanner - D - -.-sous-vêtement seulement dans ce local. Ma grande crainte est que je devienne la risée de l’hôpital suite à cette extravagante démonstration d’exhibitionnisme. Jamais je n’avais été aussi humilié, frustré, déshonoré et avili ! Bien que cela me soit interdit, je maudissais les instructions que j’avais reçues pour cette journée.

        Je m’empressais à me rhabiller. J’avais été suffisamment exhibé et humilié pour un certain temps ! J’enfilais ma veste et je rangeais mes papiers. Je sortais de cet enfer honteux, frustré, déchu, mon palpitant toujours aussi paniqué et angoissé. Je me retrouvais dans la salle d’attente où deux autres personnes étaient assises. Après quelles que minutes, le technicien venait appeler le patient suivant avec un grand sourire en croisant mon regard. Après une dizaine de minutes, il revenait avec mon dossier. Il me le donnait en m’annonçant que les interprétations seraient envoyées directement au médecin prescripteur. Avec un petit sourire ironique et en coin, il me souhaitait une bonne fin de journée. Je lui rendais sa politesse et je m’enfuyais honteux de ce service, mon 10 - Scanner - D - -.-palpitant jouant toujours la chamade. Je me promettais de ne plus revivre un tel exhibitionnisme humiliant, frustrant, dégradant et déshonorant !

        J’utilisais les premières toilettes que je trouvais. Je refermais à clef la porte content que cette première étape humiliante soit terminée. Je sortais de la sacoche les attributs du slave. Sur le lave-mains, je posais le téléphone, le lubrifiant, le plug, le collier et sa clé. Le harnais, je l’installais sur le carrelage. Je me déshabillais une nouvelle fois et j’accrochais mes vêtements aux patères de la porte. Quand je retirais mes chaussures, en posant les pieds au sol, malgré les chaussettes, je sentais le froid glacial des carreaux monter dans mes jambes. Je me retrouvais avec seulement le short blanc. Je prenais le téléphone pour les premiers clichés. Je l’enlevais et le rangeais directement dans la 11 - Scanner - D - -.-sacoche. Je photographiais le sujet d’humiliation et de frustration de l’après-midi. Avec la perfusion, j’avais une envie pressente. À contre cœur, je relevais la lunette des toilettes et, comme une prostituée, je m’assaillais sur la faïence gelée qui glaçait mes pauvres petites fesses. Un frisson me 12 - Scanner - D - -.-parcouru tout le corps. Pour une fois, je pouvais pisser sans attributs. Je prenais le harnais que je mettais en place ainsi que le collier que je photographiais. Je lubrifiais le plug et je le présentais à mon petit cul. Au fur et à mesure qu’il pénétrait, mon trou l’accueillait. Il buttait contre le premier anneau du côlon. Une nouvelle 13 - Scanner - D - -.-poussée et il gobait la première boule. Ma petite fleur faisait de même avec le reste du nouvel invité. J’installais la ceinture de sécurité à ce nouveau convive. Je sentis le bout de ma queue se faire empaler par les pics de sa prison. Je me relevais et je terminais le reportage photo.

14 - Scanner - D - -.-        Quand toutes les caractéristiques du slave étaient en place, je me rhabillais une nouvelle fois. Je commençais par le pantalon. J’enfilais mes chaussures pour ne plus avoir les pieds frigorifiés. Je continuais avec le maillot, le pull, la sous-veste, la veste et 15 - Scanner - D - -.-le bonnet. Je rangeais dans la pochette le lubrifiant, la clef du collier et le short blanc. Je vérifiais que je n’oubliais rien. Après avoir tiré la chasse d’eau, je me lavais les mains et je me les séchais. J’ouvrais la porte et je m’enfuyais de ce 16 - Scanner - D - -.-lieu de tourments et dégradant la sacoche à l’épaule et le sac à la main. Mon cœur battait toujours la charge. J’étais venu à cet examen confiant suite au premier mais rien ne s’est déroulé de la même manière. Aujourd’hui, dès mon arrivé, ce ne fut qu’une succession d’humiliation, de frustration, dégradantes, déshonorantes et avilissantes. Je me promettais, un peu tard, que l’on ne m’y prendrait plus ! Du moins, je le souhaite et j’espère…. Je 17 - Scanner - D - -.-retrouvais mon véhicule et je m’enfuyais de lieu d’exhibition.


 

Je remercie, quand même, mes Masters pour cette nouvelle étape en suivant le mieux possible leurs désirs et leurs souhaits. Je les gratifie aussi pour leurs magnanimités, leurs altruismes et leurs dévouements. Je fais de même pour les visiteurs qui me font progresser grâce à leurs commentaires.

 

 

Commentaires :

 

  • Reçu le 02 mars :
Commentaire de Mr Alain44 :
  Bonjour Master ERIC  et Maître MICHAEL,
     Le délai de rédaction et de publication est cette fois justifié par la qualité de la rédaction , celle des photos, et la recherche des mots pour exprimer les ressentis de votre Larve . L' épreuve s' est révélée être  plus importante que initialement suggérée par moi car elle ne prévoyait que une nudité totale dans le box/sas dont les deux portes sont habituellement fermables à clef.  Que la Larve publie les commentaires des visiteurs et des MASTERS à la suite des compte rendu , si cela est techniquement possible .
 Si l' anneau métallique apporte confort et sécurité à la Larve un compte rendu détaillé devrait en être réalisé .
   Bon compte rendu détaillé, explicite pour les ressentis. Une grande étape de franchie grâce à ce technicien et cette médecin qui visiblement attendaient ce patient depuis le dernier passage de la Larve dans ce service. La soirée au sauna ne sera pas une nouveauté !  A noter : Les remerciements de la Larve envers ses MASTERS.
  Mr Alain44
 
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Mercredi 15 février 3 15 /02 /Fév 13:22

Le 1er scanner :

        À midi, ce mercredi, je m’empressais à rentrer chez moi. Je passais de suite à la salle de bain pour effacer l’inscription sur ma cuisse. Comme d’habitude, pour ôter ce graffiti, je devais prendre une éponge avec du scotch-britch et du savon. Malgré cela, je devais frotter fort pour arriver à enlever toutes traces. Je maudissais ce marqueur et les commentaires qui avaient réclamé que je le prenne à la place du feutre ! En plus de l’humiliation de devoir réaliser chaque semaine la corvée des toilettes au bureau, pour enlever toutes les inscriptions, il fallait que je frotte dur à faire rougir la cuisse parfois, ce qui était encore plus frustrant et dégradant.

        Ce labeur terminé, je me préparais à manger et je passais à table. Comme j’avais un peu d’avance, j’en profitais pour faire une petite sieste. Avant de me rendre à l’hôpital, je vérifiais mes papiers et je rangeais dans ma pochette le short blanc, du lubrifiant et une clé pour ôter le collier. Comme je devais prendre la voiture pour m’y rendre, j’avais placé dans mon petit trou le plug N°04, à deux boules. En m’assaillant dans le véhicule, ce dernier se remit à jouer avec le premier anneau du côlon et ma petite fleur. En conduisant, je le sentais pousser en vain et l’anneau faire des vas et viens sur les boules. Mon malheureux gland était, lui aussi martyrisé. Il se faisait empaler sur les pics de la cage, ce qui provoquait une excitation avec une érection contrariée par cette maudite cage ! J’arrivais enfin à destination après plus de 20 minutes. J’avais rarement vu autant de circulation et nous avancions au pas. Je garais ma voiture et je sortais pour me rendre au rendez-vous.

        Une bise glaciale vint cingler mon visage et un frisson parcouru tout du long de mon corps. Je pressais le pas pour entrer et me rendre, en premier lieu, aux toilettes pour ôter tous les attributs du slave que je rangeais dans la sacoche et j’enfilais le short blanc qui ne cache presque rien. Je me présentais à l’accueil du scanner. La secrétaire remplissait mon dossier et me dirigeât vers la salle d’attente. Après quelles que minutes, un infirmier me faisait entrer dans un boxe. Il m’expliquait le déroulement de l’examen et me demandât de me mettre en sous-vêtement. Il retournait ensuite dans la salle principale. Je me déshabillais avec angoisse et je posais mes vêtements sur le dos d’une chaise. Je me retrouvais rapidement avec seulement mon short blanc, qui si je le remontais trop à la taille laissait apparaître la maudite cage dessous. Mon cœur se mit à battre la chamade et l’attente accroissaient mes angoisses et mes frustrations.

        Une nouvelle personne venait me chercher et me mettait une charlotte sur la tête. J’entrais dans la salle principale avec le scanner. En m’approchant, je tirais sur le short pour que la cage n'apparaisse pas. Sur invitation, je m’assaillais sur le bord de la table. Le médecin-technicien me demandait de m’allonger la tête vers l’appareil et les pieds à l’autre bout. Je m’exécutais et je me retrouvais dos au médecin. L’appareil étant du coté du poste de commandes, je me retrouvais de l’autre côté avec soulagement. Les techniciens n’avaient pas de vues plongeantes sur mon maudit short ! En me mettant en position sur la table, ils avaient tout de même remarqué que j’étais rasé de près sur tout le corps et le pubis en particulier. Je me sentais très mal à l’aise et mon cœur battait toujours aussi rapidement, je sentais le sang affluer au visage. Je devais être tout rouge !

01 - Scanner - D - -.-        L’examen débutait et je fermais les yeux pour ne pas croiser ceux des personnes présentes. Un bruit sourd envahit la pièce lorsque l’appareil se mit en marche. Je restais ainsi allongé une quinzaine de minutes. Lorsque la machine stoppa, un silence assourdissant envahit la pièce d’examen. Avec soulagement j’entendais 02 - Scanner - D - -.-les pas d’un technicien s’approcher et m’autoriser à me relever. Discrètement je tirais sur le short pour, quand je plierais les jambes afin de me lever que la maudite cage n’apparaisse pas. Malencontreusement en me levant de la table, le short s’accrochât et je le sentis se relever inexorablement. Discrètement je m’empressais à le remettre en place en espérant que personne n’ai pu voir la cage sous ce maudit vêtement ! Un technicien me raccompagnât dans ma cabine et m’autorisait à me rhabiller. Il m’annonçait que le médecin viendrait m’apporter les clichés dans quelles que minutes. Je le remerciais et refermais rapidement la porte derrière lui. Je m’aperçus que je tremblais de la tête aux pieds tellement j’avais eu honte et je m’étais sentis frustré et humilié d’être dans cette tenue. J’aurai aimé que mes Masters me 03 - Scanner - D - -.-promettent que je n’aurai plus de tenue aussi humiliante pour des examens. Malheureusement je crains que cela n’arrive jamais….

        Je m’empressais à me rhabiller et j’attendais un instant assis sur la chaise. Le médecin entra après avoir frappé à la porte. Il me donnait les clichés sur un CD et m’annonçait que son rapport serait envoyé directement au médecin. Je le remerciais et je prenais congé de lui. Je sortais de mon boxe. Je saluais les personnes présentes ainsi que la secrétaire et je m’enfuyais de ce lieu. Malheureusement, je savais que je devrai y revenir à la fin du mois car un médecin a demandé un examen complémentaire et je n’ai pas pu le regrouper avec celui-ci. Je crains que le prochain soit encore 04 - Scanner - D - -.-plus humiliant et dégradant me voyant dans cette tenue.

        Je me rendais aux toilettes et je rentrais dans le premier libre. Je refermais la porte derrière moi et je sortais les attributs du slave de la sacoche que je déposais sur le lave-mains ainsi que mon téléphone portable. Le harnais, je le posais au sol. Je me déshabillais et j’accrochais les vêtements aux patères de la porte. Je me retrouvais une nouvelle fois en short que je prenais en photo. En posant les pieds sur le carrelage glacial, une envie d’uriner arriva soudain. Je déposais le short blanc et, n’ayant plus rien à part la cage, j’en profitais pour vider ma vessie. Comme l’avaient réclamé mes Masters, je prenais des clichés assis sur le trône après avoir relevé la lunette à mon grand désespoir. Je séchais la 05 - Scanner - D - -.-goutte qui perlait au bout du gland et sur la cage. J’en profitais pour la prendre en gros plan avec le numéro du cadenas inchangé.

        J’enfilais le harnais et refermais les sangles du torse. Celles du bloc-plug, je les 06 - Scanner - D - -.-mettais en attente. Je posais le portable au sol et je lubrifiais le plug N°04. Je le présentais à mon petit trou et progressivement je le faisais pénétrer dans ma petite fleur qui s’ouvrait inlassablement. Quand elle prit la première boule, la seconde recommença à la défoncer. La 07 - Scanner - D - -.-première vint butter contre le premier anneau du côlon. Après une nouvelle pression, ce dernier s’ouvrit aussi et goba la boule. Mon trou en faisait autant pour le reste du plug. Quand il fut en place je refermais le harnais sur le cockring en caoutchouc bien que l’anneau soit plus gros et 08 - Scanner - D - -.-donc, plus difficile à fermer les sangles dessus.

        Lorsque toutes les attaches étaient en place, je prenais de nouveaux clichés du harnais et du collier que je posais à la suite. Tous les attributs du slave étaient en place et les photos 09 - Scanner - D - -.-dans la boite. Je me rhabillais tout en maudissant ces directives humiliantes dégradantes et frustrantes que je devais suivre pour mes examens. Je rangeais dans la sacoche le short et le lubrifiant. J’y mettais aussi les documents que le technicien venait de me donner pour 10 - Scanner - D - -.-transmettre à mon médecin. Je triais la chasse d’eau, me lavais les mains et je me les séchais. Avant de sortir, je vérifiais les lieux pour ne rien oublier. Je pouvais enfin quitter l’hôpital et 11 - Scanner - D - -.-regagner mon travail.

 

Malgré la situation très humiliante, dégradante et frustrante de passer les examens avec seulement ce short blanc et la cage, je remercie mes Masters de m’avoir fait passer une nouvelle étape. J’espère seulement que cela ne se reproduira pas trop souvent avec cette tenue car je me suis senti très mal à l’aise. Heureusement que l’appareil était dans le bon sens mais je crains que ce ne soit pas toujours le cas….12 - Scanner - D - -.-

 

 

Bonne journée à Master Éric, Maître Michael et à tous les visiteurs.

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Mercredi 29 juin 3 29 /06 /Juin 08:48

Insomnie :

        Maître Dédé avait donné de nouvelles instructions pour la nuit que Maître Michael avait validées. Ce dernier avait ordonné de prendre une photo. Toute la journée je réfléchissais comment j’allais faire pour la réaliser car Maître Dédé avait commandé de dormir attaché en croix à chaque coin du lit avec le bâillon boule et les autres contraintes, extinction des feux à 22h00.
        Je rentrais donc chez moi et après avoir dîné, je préparais le lit avec les menottes en cuir attachées à une corde aux pieds du lit. J’installais l’appareil photo sur un échafaudage au pied de celui-ci pour que je puisse l’atteindre avec les menottes aux chevilles. Je programmais le retardateur.
        Vers 21h30 je commençais à poser le bâillon et attacher les chevilles aux menottes et je préparais celles des poignets. Je gardais le collier et sa médaille, la cage de chasteté, le ballestrecher, le plug deux boules et la ceinture. J’atteignais l’appareil et je lançais les 10 secondes de retardateur. Je m’empressais à passer les poignets dans les menottes à la tête du lit et la photo était prise.

03 - Au lit - B - -.-

        Je détachais un instant les poignets pour éteindre la lumière et je les renfilais dans les menottes. Il était un peu moins de 22h00 comme maître Dédé avait ordonné. Je sentais mes testicules étirés par le ballestrecher reposer sur le lit. Ma petite fleur ouverte par le plug bloqué par la ceinture. J’étais donc en croix et j’essayais de trouver le sommeil. Je me tournais légèrement sur le côté pour m’endormir. Après plusieurs dizaines de minutes, je m’assoupissais. Un moment plus tard, voulant me retourner, les entraves me réveillais. Je maudissais les directives de Maître Dédé et Maître Michael de les avoir approuvées. Je recherchais le sommeil. Lorsque ce n’était pas les entraves qui me réveillaient c’était mon trou qui faisait des siennes. Il se mettait à pousser ce qui me réveillait. La ceinture l’empêchait de sortir et je le sentais revenir en place. Cela provoquait une nouvelle érection. Je sentais mon malheureux pénis enchâssé dans la cage. Malgré que ce soit la plus grande cage, la queue du slave était à l’étroit. J’avais alors une envie de me masturber mais je ne pouvais plus bouger étant attaché. Je maudissais un peu plus les ordres des Masters.
05---Menottes-aux-Pieds---B----.-.jpg         La nuit se déroulait ainsi avec des assoupissements, des réveils contrariés par les entraves ou par le plug et sa ceinture. Je me sentais vraiment humilié et frustré de passer la nuit ainsi. Je maudissais à chaque réveil Maître Dédé et Maître Michael. Ces directives pour la nuit ont été vraiment très dégradantes, avilissantes et méprisantes. Vers 05h30 du matin étant réveiller et n’arrivant pas à trouver le sommeil, je me décidais à me lever.
        Après avoir bu un café je démontais l’échafaudage et je regardais la photo. Je rédigeais mon rapport.
        Je dois tout de même remercier mes Maîtres car ils savent ce qui est bon et ce qu’il faut pour le slave que je suis malgré leurs directives humiliantes, dégradantes et avilissantes qui sont pour le bien du slave.

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Mardi 28 juin 2 28 /06 /Juin 12:28

Sans lunette

        Suite au précédent article, un master : "Eric Maître" sur face book a fait un commentaire. Comme j’avais répondu que mes Masters étaient sympas, Maître Michael a ordonné au slave que je suis, de ne plus baisser la lunette et de s’assoire directement sur la faïence, quel qu’en soit son état de propreté. Il lui a aussi demandé de faire, au bureau, une photo du slave nu, assis sur le trône.

04---Bureau-Nu---B----.-.jpg

Dans la matinée, j’allais donc aux toilettes et je me déshabillais suivant les instructions de mon Master. Je relevais la lunette à contre cœur et je m’assaillais pour uriner. Je gardais la ceinture pour que le plug qui bouche le trou du slave ne puisse sortir. Devoir s’asseoir directement sur la faïence, c’est déjà très humiliant et frustrant mais se déshabiller et être nu, c’est encore plus humiliant, dégradant et avilissant. En plus, comme la petite fleur du slave a un plug, le deux boules actuellement, ça le fait bander quasiment en permanence. Malheureusement mon pauvre pénis est en cage en m’empêche de me masturber ! Cela fait plus de trois mois que je n’ai pas pu jouir…. Comme je suis en érection contrarié, je mouille continuellement et je dois poser un papier absorbant au bout du gland pour ne pas tacher mon pantalon, n’ayant plus le droit aux sous-vêtements sauf pour mes visites médicales. Toutes ces contraintes sont de plus en plus humiliantes, frustrantes et avilissantes.

        Je dois tout de même remercier mes Masters car ils savent ce qu’ils font et surtout ce qu’il faut ou non pour le slave que je suis.
        Merci Master Éric et Maître Michael.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Les sorties du Slave - Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Jeudi 10 mars 4 10 /03 /Mars 19:07

Certificat sur l’honneur

 

      À la demande de mes Masters, Master Éric et Maître Michael, voici le certificat sur l’honneur du slave Bâstard à KC :

       Je soussigné Bâstard à KC,
      Slave N° 411 103 335, déclare aimer le traitement que m’infligent mes Masters, Master Éric et Maître Michael, depuis que je suis sous leur contrôle.
      Je m’engage à leur obéir pour le bien du slave que je suis et je ne me considère plus être un homme mais une sous-merde, une lope, un bâtard.
     Je m’engage aussi à ne plus commettre de faute, bêtise ou autre chose sous peine de sanctions méritées et infligées par mes Maîtres.
          Fait ce jour : le jeudi 10 mars 2016
          Signé : Le Slave N° 411 103 335
          Bâstard à KC,

Par Bâstard à KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Les sorties du Slave - Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Mercredi 2 mars 3 02 /03 /Mars 07:10

Instructions pour un week-end prolongé :

 

      Mardi soir, lorsque je rentrais chez moi, à mon grand désespoir, la médaille était dans la boîte aux lettres. À la demande de mes Masters j’ai dû la prendre en photo, l’accrocher à mon collier et prendre une nouvelle photo que voici :

06---Medaille-du-Slave---Recto---Verso---C2----.-.jpg

08---Medaille-du-Slave---Recto---Verso---C1----.-.jpg

      Comme mes Masters ont le contrôle de ma page facebook, de smboy et du blog, Maître Michael à fait des modifications sur ce dernier et à mis en ligne tous mes dossiers photos dans un module en directe. Je trouve cela très humiliant et dégradant…. Mais mes Maîtres savent ce qu’ils font et je dois m’y habituer car ils connaissent ce qui est bon ou non pour le slave que je suis.

02---Medaille-du-Slave-au-coups---Recto----.-.jpg      Jeudi soir je vais devoir m’absenter pour raisons personnelles jusqu’à dimanche. Je vais en famille mais sur ordres de mes Maîtres, je dois garder la cage, le balle, le plug, le collier et la médaille accroché. Vendredi, nous aurons une cérémonie, mes Masters m’ont autorisé à porter un caleçon long comme je vais en montagne mais je devrais le poser dès mon retour à mon logement en famille car je n'ai plus le droit de porter de sous-vêtements sauf exception.

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Lundi 29 février 1 29 /02 /Fév 12:02

Ordres de Maître Michael :

À la demande de Maître Michael :

  • j’ai dû créer une page face book
  • dont le lien est :  link    
  • Nom : Bâstard à KC
  • De plus il a modifié l’en-tête de ce blog comme mes Masters en ont le contrôle.
  • Voici mon certificat d’enregistrement :

Certificat - 411-103-335 - -.-

          À la demande de Maître Bastien j’ai dû poser un ballstrecher. Sur ordre de Maître Michael, un de mes Masters, je dois poster la photo de la cage avec le ball :

06---Cage---Balle----.-.jpg

Par Bâstard à KC - Publié dans : Les sorties du Slave - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 7 février 7 07 /02 /Fév 15:03

 

Enregistrement du Slave :

          À la demande des mes Maîtres :

  • Master Eric
  • et Maître Mickaël    

      Je me suis enregistré sur "slaveregister"

          

                      Voici mon certificat :

411-103-335

Par Bâstard à KC - Publié dans : Les sorties du Slave - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 31 janvier 7 31 /01 /Jan 10:17

Le  Bâtard  :

 

        À la demande de  Master Eric ( pseudoERICPLANSMTEL , sur SMBOY

               

http://smboy.net/ERICPLANSMTEL  ), j' ai dû créer ce blog.

 

         Si des Maîtres désirent me connaître mieux, ils devront prendre contact avec lui via le site Smboy, pour pouvoir m' utiliser en réel ou en séances de domination à distance, en tant que bâtard et slave que je suis. 

 

          Le Slave à 49 ans

          Taille : 165 cm

          Poids : 58 kg

          Petit bouc, la tête, le torse et le pubis rasés.

Portrait - 1 -

        Le slave est à la disposition des Maîtres et Masters qui désirent jouer avec pour leurs seuls plaisirs. Le bâtard se fera un devoir de satisfaire tous leurs souhaits et leurs ordres.

          Seul le Master sait ce qui est bon ou non pour le slave.

Portrait - 2 -

  Le slave a une queue circoncise :

 36 - La queue du Slave 

        Il est un peu poilu des jambes, des bras et des aisselles. Bien sûr, il est rasable intégralement si un Maître en fait la demande.

        Le slave est très soumis et obéissant aux directives et aux souhaits des Masters.

         Si, par hasard, celui-ci n’était pas satisfait du bâtard, il pourra lui donner la punition ou la sanction qui s’ imposera.

        Le slave pourra porter toutes les contraintes imposées chez lui et/ou au travail      ainsi que la tenue que le Master décidera. Il pourra aussi lui envoyer la preuve de cette ou ces contraintes par SMS / emails, sur simple demande du Maître. Ceci, le plus tôt possible après la requête et à toute heure pour satisfaire son Master.

 

CE BLOG RESTE SOUS LE CONTROLE DE :

MASTER ERIC.

 

          RAPPELS et REGLES DE MASTER ERIC    :    LES RELATIONS DE DOMINATION / SOUMISSION, réelles ou virtuelles , doivent se faire de manière intelligentes, consententes entre le Master et le Slave, sans risques et doivent rester un " JEU " de rôles entre Master et Slaves, de façon que chacun y trouve son plaisir.
Par bastardakc - Publié dans : Les sorties du Slave - Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires

Présentation

  • : Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335
  • Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335
  • : gay Gay
  • : Sous-Merde propriété de Master Eric et Maître Mickaël. Il fait aussi ce que les Visiteurs demandent. Ce n'est pas un mâle mais une sous-merde, et il doit être traité comme tel. À la disposition de tous les Maîtres et slaves au Téléphone, en Web-cam sur Smboy ou Skype... Prises de photo et rapports publiés ensuite sur le blog sous le contrôle de ses Maîtres.
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