Le blog de Bâstard à KC Sous Merde n°411-103-335

  Bienvenue sur le blog de Bâtard a KC : Sous Merde N° 411-103-335, sous le contrôle de Master Éric et Maître Michael. Il doit faire ce qui lui est demandé sans rechigner. N’hésitez pas à laisser des commentaires sur les différents articles qu'il publie sous nos ordres.

  Il fait aussi ce que les visiteurs demandent. Ce n'est pas un mâle mais une sous-merde, et il doit être traité comme tel.

  Sous cage de chasteté, nous seuls, ses Maîtres, décidons de ses jouissances afin de le purger de son jus pourris qui ne sert à rien.

  N'hésitez pas à laisser des commentaires dans les différents articles publiés ici par notre sous merde ou nous même. Cela l'humiliera  d'autant  plus.  Son  adresse  est  dorénavant  la  suivante  :        slave.411103335@gmail.com

   Nous la contrôlons entièrement. Nous nous chargerons de vous répondre ou notre slave vous transmettra nos commentaires.

  Notre Sous-Merde est à dispos de tous mâles souhaitant l'utiliser en Cam ou en Réel avec prises de photos et rapports publiés ensuite sur le blog. Même les soumis peuvent l'utiliser car son statut est inférieur à eux et il leur doit respect, soumission et obéissance.

Samedi 20 février 6 20 /02 /Fév 09:29

"30 minutes de souffrance et de plaisir"

 

     Je rentrais chez moi, jeudi midi après une matinée de travail en extérieur. Je démarrais mon ordinateur. Je me connectais sur Skype car Master Bastien m’avait demandé dans la nuit mes disponibilités du jour. Effectivement, il m’attendait. Il me commanda de me préparer. Lorsque je fus nu, je commençais par l’informer du contrôle de Master Eric et son colistier Maître Michael sur le slave que je suis. Je l'avisais des instructions que j’avais, des contraintes que je portais et de la création humiliante du blog que je dois tenir. Sur sa demande, je lui transmettais dévalorisé et à contre cœur l’adresse. À mon grand regret, il a dû aller le visiter car je restais un moment seul. Je lui demandais alors, l’autorisation d’aller boire un coup. Il me l’interdit et envoya de suite la web-cam. Il débuta par une inspection de la cage et de son plug, du ballstretcher et du plug anal en m’informant qu’il avait peut de temps. Cela me rassurait et j’espérais qu’il ne prendrait pas ou très peut de photos car je trouve cela très humiliant et dégradant. D’autant plus que je dois les publier sur le blog dans mon rapport. Il ordonna de gratter mon gland à travers la cage. Je m’exécutais. Le sang affluait de suite dans le corps spongieux de ma verge. Mon pénis essayait de grossir, mais les anneaux de la cage l’en empêchait. Plus je triturais le gland, plus mon sexe essayait de grossir, plus il était enchâssé dans les anneaux. Il me fit par de sa satisfaction mais pour ma part, je trouvais cela frustrant ! Je sentais chaque anneau pénétrer dans mon pénis. Il commanda alors de prendre le parachute. Alors que j’allais l’installer sous le ballstretcher, il ordonna de le placer au-dessus ! Je le maudissais car mes pauvres testicules allaient morfler encore plus ! Il réclama que j’accroche un poids de 2 kilos puis de 1 kilo ce qui faisait avec le ball. quasiment 4 kilos !!! Il m’enjoignait alors de les balancer. Après avoir pris plusieurs rasades de poppers, je débutais les vas et viens. C’est à ce moment là que j’aperçu dans la fenêtre de la web-cam une photo puis deux !

  Photo - 01 - - .   Photo - 02 - - .

     Je le maudissais et le suppliais d’en prendre le moins possible. Tout en faisant le balancier, je reprenais du poppers. Après un certain temps, il stoppa enfin et commandait de prendre les godes après avoir inspecté mon petit trou plugué. Je préparais la cam et je m’installais à genoux et en posant les poids à terre. Mes petites couilles apprécièrent d’être soulagé de ce fardeau. Il m’invita à prendre le plus petit noir. Je le graissais et le présentais à ma petite fleure. J’aperçu alors sur l’écran une nouvelle image !

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     Je le suppliais de ne plus prendre de photo avec les godes car c’est trop humiliant et dégradant ! Surtout que je dois les poster dans le rapport ! Je prenais le poppers d’une main et de l’autre j’introduisais le phallus dans mon petit trou. Tout en humant, je descendais progressivement. Je le sentais s’incérer dans mon côlon. Le gland butta contre le premier anneau. Je prenais une bonne rasade et je le sentis s’ouvrir et avaler progressivement celui-ci. Il pénétra et je m’essayais dessus.

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     Master Bastien m’intima à me baiser…. Je faisais plusieurs vas et viens. Tout d’un coup mon cul poussa et je me retirai de ce pieu. C’est alors que je vis apparaître une nouvelle photographie. Je le suppliais en lui disant que c’était trop humiliant de voir ma petite fleur ainsi !

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     Le maître m’intima à prendre le suivant, le gros chair. Après l’avoir graissé, je le présentais à mon malheureux orifice. Un nouveau tirage apparu à l’écran ! Je l’implorais en lui expliquant que je trouvais cela très avilissant et déplaisant d’exposer ainsi mes fesses et le reste.

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     Comme précédemment, je prenais la bouteille d’une main que je présentais à une narine et de l’autre je tenais ce sexe dressé, graissé et prêt à s’introduire. Je le sentis pénétrer en moi, mon anus s’ouvrait et glissait dessus. Le gland butait contre l’anneau, je sniffais un peut plus et il s’ouvrit à mon grand désespoir. Je m’enivrais des reflux pour que mon côlon continue à absorber ce gourdin. Il l'avalait progressivement mais sûrement, ce maudit jouet. Je maudissais et haïssais les instructions de Maître Michaël et de Master Eric. Je m’assaillais de nouveau sur celui-ci. Il ordonna de nouveau que je me baise dessus, quelle humiliation et dégradation cet ordre…. Je faisais donc des vas et vient.  S’entant mon jus monter comme j’ai les bourses pleines, je me retirais de ce godemiché. C’est à cet instant qu’il intima de prendre le gros noir à un anneau. Je le priais et suppliais, pas ce jour car je ne l’avais pas repris depuis plusieurs mois et que mon malencontreux trou était déjà en feu. Il était sourd à mes plaintes et me somma de le préparer. A contre cœur, j’exécutais sa demande. Il me demandais alors, de mettre ces deux derniers côte à côte. Mes craintes se réalisaient. Une nouvelle image apparu !!!

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     Le Master, incisif, ordonna que je m’empale dessus. Je prenais le poppers d’une main et de l’autre, je présentais ce pieu à mon malencontreux trou. Je dû me lever pour introduire ce phallus. Mon anus s’ouvrit difficilement et il commença à explorer mon côlon. Il butta sur l’anneau. Je prenais plusieurs rasades de poppers afin de l’aider à s’ouvrir. Ce lingam commença à pénétrer, mais à ce moment là, trop excité et sous cage depuis plus de 12 jours, je sentis mon sperme monter. Je stoppais mais cela n’eu pas d’effet. Je dus me retirer rapidement pour éviter d’enfreindre les consignes de mes Masters. Quelle frustration et humiliation de ne pouvoir jouir depuis si longtemps ! Maître Bastien ordonna que je me ré-empale dessus ! Je le suppliais en vain et je dû recommencer. Arrivé à l’anneau, mon jus remonta progressivement et je me retirai définitivement pour ne pas jouir, avili et contrarié de cette abstinence !

  Photo - 08 - - .   Photo - 09 - - .

Photo - 10 - - .

     À genoux, je me rendis compte que plusieurs clichés avaient été pris. Je faisais part au maître mon désaccord, ma frustration et mon humiliation de me voir empaler sur ce gourdin et de devoir publier ces dernières clichés. Il fut sourds à mes remarques ce qui augmenta mon trouble, ma vexation et mon avilissement. Il me demanda de me lever car il lui restait peu de temps. Rapidement je me levais oubliant les poids posés au sol. Une douleur irradia dans mes bourses et remonta dans mon pubis. Il me fit part de son contentement de ce qui se déroulait. Je lui répondais que ce n’était pas mon cas. Il ordonna de poser les poids sur le bureau. Je m’exécutais. Il me soma alors de reculer en les laissant tomber. Je le suppliais en vain. Je prenais un peu de poppers et laissais la bouteille ouverte. Je reculais, je voyais les poids glisser puis tomber. De nouveau et plus intensément, une douleur rayonna dans mes malheureux testicules et se propagea dans tout mon bas ventre. Il me somma de recommencer. À contre cœur je m’exécutais. Dès que les poids étirèrent mes bijoux de famille et qu’un incendie les embrasait jusqu’au pubis, je m’empressais à sniffer pour essayer d’atténuer un peu la douleur qui rayonnait. 3 nouvelles épreuves apparurent à l’écran.

  Photo - 12 - - .   Photo - 11 - - .     Photo - 13 - - .

      Je faisais part à Maître Bastien ma contrariété et de la douleur de ce dernier commandement. Il m’autorisa à enlever les poids. Je m’exécutais soulagé. Le résultat apparu, mes infortunées couilles, elles étaient toutes violette…. Pendant que je terminais d’ôter le parachute une nouvelle image arriva.

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     Le résultat était que mes testicules étaient descendus de quelque dixième de millimètre…. Il exigea que je pose le deuxième ballstretcher. Je le suppliais en vain et je dû le mettre en place dans l’espace qui s’était créé ! Il m’informa que je devrai le garder une semaine sauf contre-ordre de mes Masters. Le résultat arriva à l’écran.

Photo - 15 - - .

     Le Maître me demanda de remettre en place le plug anal, de sa satisfaction de la demi-heure qu’il venait de passer et me salua. Je lui disais au revoir et la communication se termina.

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Vendredi 19 février 5 19 /02 /Fév 07:56

Nouvelle instruction :

     Ce matin, Maître Michael m’a informé d’une nouvelle instruction vraiment très humiliante et dégradante pour le slave que je suis. Il m’a commandé d’en informé Master Eric mais aussi de le poster sur mon blog. Je n’ai plus le droit d’uriner debout ! Bien sûr, lorsque j’ai mon malheureux pénis sous cage, je ne peux faire autrement mais il a ordonné que, même si je ne le suis pas, je dois pisser assis sur le trône comme une lope !!! Ses propres mots…. Cela va être vraiment très avilissant, dégradant et humiliant d’obéir en plus à cet ordre.

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Jeudi 18 février 4 18 /02 /Fév 08:23

Rapport de la visite médicale du mercredi 17 février

 

      Comme j’ai rendez-vous chez mon médecin pour le renouvellement de mon ordonnance, je me suis levé de bonne heure avec une trique malheureusement dans un carcan avec une difficulté à bander…. Une fois de plus, je maudissais mes Masters de m’avoir imposé cette cage ! Après avoir bu un café je passais à la salle de bain où j’ôtais cette prison. J’en profitais alors pour aller uriner debout car depuis que je porte cette astreinte, je ne peux plus que le faire assis sur le trône comme une pute ! Sous la douche, je lavais à fond mon sexe libéré avec une envie grandissante de me branler et de vider mes infortunés testicules. Je lutais contre ce désir avec frustration. Avec une grande difficulté, je m’obligeais à passer au reste du corps. Après m’être séché et fait le reste de la toilette, je m’habillais en commençant par le boxer blanc que Mater Eric m’avait autorisé à porter. J’espère que ce soit toujours ce style de sous-vêtement qui me sera permis de porter.

      Arrivé chez le médecin, j’attendais un instant le temps que la personne qui était devant moi sorte. Ma généraliste me fit entrer dans son cabinet. Je lui donnais mes papiers et elle m’invita à me mettre en petite tenue. Après être passé sur la balance, je m’allongeais sur la table où elle fit son travail. Terminé, elle retourna à son bureau. Pendant ce temps, je me rhabillais honteux en pensant à ce que je devrais faire de suite après. Je prenais mon ordonnance et je lui souhaitais une bonne journée. Je sortais de son bureau et au moment de partir, je demandais au secrétariat si je pouvais utiliser leurs toilettes. Je m’enfermais et me déshabillais de nouveau le bas. Après avoir ôté ma veste, j’enlevais mes chaussures, baissais mon treillis et prenais une dernière photo avec mon boxer en espérant pouvoir un reporter un.

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      Je le retirais et j’en profitais pour uriner une nouvelle fois debout. Je me rhabillais, je roulais le sous-vêtement et l’introduisait dans une poche du pantalon. Je sortais, saluais la secrétaire honteux en pensant ce que je venais de faire et je retournais à ma voiture. Je m’assaillais et je m’aperçu que j’avais la braguette ouverte. Embarrassé, je m’empressais à monter la fermeture éclaire. Je passais à la pharmacie déposer mon ordonnance en leur disant que je repasserai en fin d’après-midi. Je rentrais enfin chez moi ! Je me dépêchais à monter dans mon appartement. Je préparais la cage, le plug urétral, le Ballstretchers après l’avoir pesé pour connaître son poids exact et le plug anal qui tient seul pour ne pas devoir porter la ceinture "bloque-plug".

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      Je baissais mon pantalon sur les genoux avec regret. Je commençais à installer la cage et à mettre la malheureuse queue du slave dans son carcan. Je refermais avec regret et frustration le cadenas. Je prenais avec contrariété le plug métallique. Après l’avoir légèrement lubrifié, je l’introduisais progressivement dans mon infortunée méat urétral qui, au fur et à mesure, emplissait l’urètre du slave et fit grossir encore un peu plus la verge. Mon misérable pénis était enchâssé et comprimé dans les anneaux de la cage avec un pieu en son milieu. Je continuais par visser cet aiguillon au bout de la cage. Je prenais le Ballstretchers et, en étirant mes malencontreux testicules, je posais cette nouvelle contrainte. Je terminais en prenant le plug anal. Je le graissais légèrement et l’introduisais dans mon anus. Mon petit trou s’ouvrit et avala cette boule noire. J’étais confus et penaud que ma petite fleur avale aussi facilement ce pilori. Comme convenu avec mes Masters, je prenais en photo le résultat des instructions qu’ils m’avaient commandées.

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      Je remontais le treillis et je me rhabillais pour la troisième fois en moins d’une heure en constatant que ces astreintes faisait une bosse dans la jambe du treillis. Honteux et penaud, je me dépêchais à regagner mon bureau. Je débutais ma journée de travail frustré et un sentiment d’humiliation ainsi harnaché.

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      En m’assaillant sur mon siège. Je sentis le plug pénétrer encore plus profondément dans mon côlon. Je maudissais et haïssais un peu plus mes Maîtres et leurs nouvelles instructions en espérant qu’ils m’appellent rapidement pour me vider enfin les couilles débordantes.

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Mardi 16 février 2 16 /02 /Fév 13:02

Les Instructions de Master Eric et Maître Michael.

 

      Les instructions de Master Eric et Maître Michael à ce jour pour le slave que je suis, étaient :


  ⇛    Ne plus porter de sous-vêtements sauf lors des consultations chez les médecins.
  ⇛    D’avoir le torse, le pubis, les testicules et le cul lisse et rasés de près et propre.

  ⇛    De vider mes testicules que sur autorisation de mes Masters.

  ⇛    Depuis le 5 février au soir, de porter une cage de chasteté en silicone sur ma bite pour que le slave ne puisse plus se toucher ni se masturber.

 

      À partir de la parution sur ce blog, les nouvelles instructions  en plus sont :

  • De faire au fur et à mesure un rapport sur ce blog de l’évolution des différentes instructions ou ordres de Master Eric et de Maître Michael, mes Masters. 
  • D’envoyer tout e-mail à mes deux Maîtres, Master Eric et Maître Michael pour qu’ils puissent coordonner leurs instructions. 
  • Mercredi 16 février, j’ai rendez-vous chez ma généraliste pour le renouvellement de mon ordonnance comme je suis séropositif au VIH depuis plus de 20 ans et ce toutes les 4 semaines. Je peux y aller avec le boxer blanc. Mais, dès la fin de la consultation, je dois aller aux toilettes pour ôter le sous-vêtement.
  • Après avoir déposé mon ordonnance à la pharmacie, il faut que je rentre chez moi. Je dois :

        o    Poser une cage métal avec plug urétrale métallique dans ma pauvre queue de slave.
        o    Installer les ballestrechers sur mes malheureuses testicules de bâtard.
        o    Enfin, introduire le plug qui tient seul dans mon infortuné trou de salope.

  • De prendre en photo les entraves pour les mettre sur le blog avec un rapport.
  • Ainsi harnaché, je pourrai ensuite me rendre au bureau….
  • Pour Maître Bastien, d’accepter ses invitations d’utiliser le slave. De l'informer que j’ai du créer un blog à la demande de Master Eric et sous son contrôle. Que je devrai faire un rapport de la séance que je posterai dessus. De l’informer que je ne peux plus jouir sans l’autorisation de mes Masters. Si je sens mon jus monter de stopper un instant pour faire redescendre mon sperme. Enfin, qu’il prenne des photos pendant la séance pour que je puisse les introduire dans mon récit.
  • Si d’autres Maîtres m’abordent, je dois leur demander de contacter mes Masters soit sur Smboys soit par e-mail.
  • De supprimer tous les slips intérieurs de mes shorts.
  • De ne plus me plaindre lorsque Maître Michael me donne des instructions sous peine de sanctions de la part de Master Eric.
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Samedi 13 février 6 13 /02 /Fév 16:48

  Mes Sous-Vêtements

 

   À la demande de mes Maîtres :

            ⇛      Master Eric

                      &

            ⇛      Maître Mickael

 

   Voici les sous-vêtements que je possède. Ils pourront choisir lequel je dois porter et quand je peux le faire.

                          Bodys :

01 - Bodys A (Blanc)Strings

01 - Strings A (Noir)

et Les Stripper Strings

 01 - Strings B

Les Slips :

02 - Slips A (Bleu)

  Les Jockstraps03 - Jock-Straps B (Noir)

Les Boxers A et B :

04 - Boxers A (Bleu)

 04 - Boxers B (Bleu)

Les Boxers de Bains :

51-----Boxer-de-Bain---1--.jpg

Les Shorts :

06 - Shorts (B)

 

          De plus, les Masters ont commandé au slave de se prendre en photo avec certains sous-vêtements tout en gardant la cage de chasteté qu’il doit porter 10 jours.


          La queue du bâtard est de plus en plus à l’étroit dans ce carcan. Ne pouvant plus se toucher et encore moins se masturber, le slave se sent de plus en plus frustré et humilié de ne pas avoir vidé ses couilles depuis dimanche dernier.

 

          Voici le Slave avec la cage de chasteté et en :

 

           String :

    (On devine la cage sous le string)

  01---String---Bleu---01----jpg 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 En Slip Stripper :

  (On aperçoit le cadenas de la cage)

02---Slip---Orange--.jpg

 

     En Jock-Strap :

  03---Jock-Strap---Noir---01----jpg

 

 En Boxer :

04---Boxer---Blanc---01----jpg

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Dimanche 7 février 7 07 /02 /Fév 15:03

 

Enregistrement du Slave :

          À la demande des mes Maîtres :

  • Master Eric
  • et Maître Mickaël    

      Je me suis enregistré sur "slaveregister"

          

                      Voici mon certificat :

411-103-335

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Dimanche 7 février 7 07 /02 /Fév 08:44

3ème Plans en triple appel avec Master Eric & Maître Mickaël

 

     J’attendais donc que Master Eric me contacte comme il m’avait prévenu. Arrivé chez moi, je m’étais déshabillé et mis en peignoir, nu dessous. Je reçus un premier sms me demandant mon pseudo sur SmBoys et me disant qu’il allait chercher un autre Maître pour s’occuper du slave que je suis. Après plusieurs envois, il m’informait qu’un ami à lui allait m’appeler et s’occuper de moi. Qu’il lui avait donné des instructions, mais avant, je devais me connecter sur le site. Je m’exécutais et Maître Mickaël me contacta. Après m’avoir demandé mon matos, sollicité de préparer de l’alcool, du piment, le poppers, une règle…, il m’informa qu’il allait appeler.

      Je préparais ce que je n’avais pas sous la main, je posais mon peignoir et attendais nu son appel. Le téléphone sonna et je décrochais avec anxiété. J’entendis la voix de Maître Mickaël et après avoir fait les salutations d’usages, il me demanda d’enlever les ballstrechers que je portais et de prendre une règle. Je m’exécutais et il ordonna de donner 20 coups sur les couilles. Je commençais à donner les premiers coups mais la douleur, irradiait mes pauvres testicules. Je lui demandais l’autorisation de prendre du poppers. Il accepta 2 x 5 rasades, mais je devrai recommencer à zéro. Je prenais la bouteille et commençais à snifer. Lorsque je fus bien gazé, je reprenais la règle et recommençais les coups. Je supportais un peu mieux la douleur mais la douleur se diffusait tout de même dans mes pauvres couilles. Lorsque j’eus terminé, je dus prendre une photo des malheureuses valseuses. 

01 - Couilles après Règle - 01 - WP 20160205 23 18 53 Pro 02 - Couilles après Règle - 02 - WP 20160205 23 18 48 Pro

     Maître Mickaël, commanda de prendre l’alcool et d’en verser sur les couilles la queue et le gland après m’être poppérisé. Je prenais de grandes rasades de poppers et prenais la bouteille d’alcool. J’en vidais sur le gland, la queue et mes couilles. Une douleur et une chaleur se propagea dans toutes mes parties. J’ai eu du mal à retenir un gémissement, ce qui lui déplut et ordonna de me taire et de les malaxer. Avec difficulté je retenais mes geignements. La souffrance s’estompa progressivement et je remerciais le Maître. C’est alors qu’il exigea que j’enduise le gland de piment et que je pose au bout une pince à linge. Une douleur se répandit du bout de mon sexe et dans toute ma verge. Il commanda que je prenne une nouvelle photo :

04---Gland---Pince---WP_20160205_23_21_14_Pro.jpg

     La douleur ne faisait qu’augmenter mon érection. C’est à ce moment là qu’il m’imposa de prendre le premier god chair, de le graisser et d’enduire le gland de purée de piment comme je venais de faire avec le mien. Je le suppliais de ne pas mettre de piment mais il refusa catégoriquement et ordonna de le prendre en photo et de la lui envoyer afin qu’il vérifie.

05---God---01---WP_20160205_23_24_47_Pro.jpg

     Satisfait, il ordonna de préparer la Web-cam par terre et il exigeât que j’expulse le plug que j’avais sans le toucher devant et d’enregistrer le film, je m’exécutais :

 

Vidéo N° 01

 

     Ensuite, il exigeait que je prenne le god avec le piment. C’est à ce moment qu’il commanda que je m’empale dessus tout en me gazant. Je m’exécutais mais un incendie irradia mon côlon. Je dus faire des vas et viens dessus, ce qui augmenta la douleur et l’incendie qui se propageait dans mes entrailles. Après un moment, il commanda de m’asseoir dessus et de préparer le second god chair. Je m’asseyais donc dessus et graissais le second god. Après avoir éjecter le 1er god, je m’empalais sur le second en me gazant de nouveau. Il m’obligeait à m’asseoir dessus et à bouger mon pauvre cul en feu. J’avais du mal à rester ainsi car un brasier se consumait dans mon côlon et provoquait une poussé du cul. Je me forçais à exécuter les ordres de Maître Mickaël tout en le maudissant tout bas. Il m’imposa de faire des vas et viens dessus et de me rasseoir. Pour terminer ce travail, il voulut que j’expulse ce god et que je prépare le suivant. J’expulsais avec soulagement ce phallus en moi.

 

Vidéo N° 02

 

      Je prenais le suivant, un noir et je le graissais. Je le présentais à ma petite fleur d’une main et de l’autre, prenais le poppers et l’offrais à mes narines. Tout en m’assaillant dessus, je me gazais pour essayer d’atténuer le brasier qui flambait dans mon côlon. Mon pauvre cul ne cessait de pousser et j’avais de plus en plus de mal à m’empaler sur ce lingam. Maître Mickaël accepta enfin de stopper le martyre de ma pauvre petite fleur et le sinistre qui irradiait dans mon côlon. Mon éducateur exigea de voir mon trou. Je prenais donc une photo. J’avais toujours la pince au bout du gland mais le feu avait cessé dans mon sexe.

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     Le Maître commanda de remettre en place le plug et de filmer l’introduction :

 

Vidéo N°03

 

      Après la remise en place du plug, Maître Mickaël exigea que je prenne en photo les différents godemichés :

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     Maître Mickaël me commanda de prendre la règle, le poppers, mon portable et de me coucher sur le lit. Je m’exécutais et m’allongeais sur le lit après avoir mis une serviette de toilette. Il ordonna de reprendre d’une main mes testicules et de l’autre la règle. Il exigea que j’administre 20 coups de règles dessus après m’être gazé. J’effectuais les ordres et commençais les coups après avoir bien reniflé du poppers. Mes plaintes lui déplaisaient et j’essayais de me taire. C’est alors que mon portable sonna. J’informais le Maître que c’était Master Eric. Avec son autorisation je prenais la communication. Mon Master me demanda ou nous en étions. Je lui racontais le début du plan et où nous en étions. Il me commanda de démarrer la conversation à 3. J’en informais Maître Mickaël, le mettais en attente et j’appelais Master Eric. J’avais mes deux Maîtres en ligne. Je pensais que j’allais encore plus dérouiller !!! Mes craintes furent confirmées très rapidement. Master Eric, après s’être concerté avec Maître Mickaël, m’enjoint de me relever et de reprendre le deuxième god chair en punition de mes manquements de la semaine écoulée. De m’accroupir et de m’empaler dessus après m’être bien gazé. Je me relevais donc et me préparais à croupis avec le phallus. Je me poppérisais bien et je lançais l’enregistrement de la caméra. Je présentais le phallus à ma petite fleur encore en feu et je l’introduisais en explosant mon pauvre trou. Je regrettais vivement mon manque de compréhension dans les instructions que mon Master m’avait commandé. Méritant un châtiment, je me taisais et acceptais la sanction résignée mais je me promettais de faire plus attention aux instructions et aux ordres de Master Eric et de ne plus jamais lui déplaire. Si je ne comprenais pas bien, de lui demander confirmation de ce que j’avais assimilé afin de ne plus commettre d’impair à son encontre. Je rentrais et ressortais le godemiché. Après plusieurs aller retour, les Masters me demandèrent de stopper et de le sortir.

 

Vidéo N°04

 

     Après s’être concerté, les Masters me commandèrent de me remettre en position, de rentrer et sortir jusqu’au gland, le jouet que j’avais précédemment. Je me remettais en position et représentais le jouet devant mon trou après avoir repris du poppers. Je le rentrais et le ressortais 20 fois suivant leurs instructions :

 

Vidéo N°05

 

     Ma petite fleur était explosé et une combustion consumait mon côlon. Malgré l’incendie et le cul qui poussait, je m’obligeais de ne pas trop geindre et me plaindre car je méritais cette punition. Lorsque j’eus terminé, les Maîtres commandèrent de retourner sur le lit avec toujours le phallus en moi. Leur faisant part de ma peur qu’il sorte, Master Eric ordonna de m’assoires sur le bord du lit. Je m’exécutais ce qui fit pénétrer encore plus profondément ce phallus. Je n’osais pas le dire, mais j’appréciais cette verge pénétrant au plus profond de moi. Où le premier anneau avait avalé le gland et jouait sur le haut du god ! Il me commanda de reprendre d’une main les testicules et de l’autre la règle après m’être gazé. Je commençais les coups en les comptant, mais ayant des gémissements trop forts, il décréta que ça n’allait pas et que je devais recommencer en me taisant. Je m’exécutais en essayant de gémir le moins fort possible. Cela n’allait toujours pas et je du recommencer deux fois la séance de 20 coups de règles. Mes pauvres couilles irradiaient de douleurs, un brasier se consumait à l’intérieur de mes testicules maltraités. J’avais pris un mouchoir dans la bouche afin d’atténuer le bruit de mes plaintes comme si c’était un bâillon car je n’avais aucune envie de recommencer une nouvelle fois la série. Je n’osais pas le dire à Master Eric bien qu’il ait douté que j’aie correctement réalisé ses instructions.

Les Maîtres demandèrent que je me rallonge sur le lit tout en gardant le phallus en place et de prendre avec moi une crème dessert pistache. Ils me demandèrent de prendre une photo de mes bourses normalement martyrisées à cause de mes manquements car seul le Master sait ce qu’il faut pour le slave que je suis. Malgré les maltraitances, je bandais toujours comme un âne…. À quel que part, je devais apprécier la situation… :

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     Pour terminer la séance, Maître Mickaël et Master Eric m’autorisèrent à me masturber mais sans juter. Lorsque je sentis la première montée de jus, je stoppais immédiatement. Une frustration et un sentiment d’humiliation m’envahissaient. Je faisais très attention de ne pas recommencer ma bêtise de dimanche dernier de jouir sans permission. Maître Mickaël ordonna de recommencer sans toutefois éjaculer. Je reprenais la masturbation et avec encore plus de difficulté, j’arrêtais lorsque je sentais la monté. La frustration et l’humiliation étaient à son comble avec un sentiment d’avilissement qui descendaient au plus profond de mes entrailles. Master Eric, pour la troisième fois, me demanda de me masturber et de me vider dans la crème dessert. Avec plaisir et soulagement je m’exécutais. Trop excité et en manque, j’astiquais vigoureusement ma verge. Doucement et sûrement, je sentais mon jus monter. Dans un gémissement de plaisir je me vidais dans le pot de crème pistache. Mon Master me commanda de continuer les vas et viens de ma queue pour faire sortir tout le sperme contenue dans mes testicules encore en feu. Je m’exécutais avec satisfaction. Lorsque j’eus extrait tout ce que j’avais en stock, il consentit d’arrêter la masturbation. Le slave que je suis vous remercie Maîtres de m’avoir permis d’extraire la provision qui était en réserve dans mes valseuses. Ils me demandèrent de prendre une photo du résultat. La crème étant claire, mon jus ne se voit pas bien mais on devine un liquide qui surmonte la crème :

10 - Crème - WP 20160206 00 20 37 Pro

     Master Eric réclama que je prenne une cuillère et de déguster la crème avec son nouvel arôme. J’en prenais une et je mangeais cette nouvelle recette originale. Lorsque j’eus terminé, après avoir apprécié ce nouveau mélange et informé que j’achèterai des crèmes chocolat pour un plus grand contraste, Maître Mickaël ordonna que je prenne une cage de chasteté. Avec contrariété, je lui demandais laquelle prendre en acier ou en silicone. Il choisit cette dernière et j’allais en chercher une. Après l’avoir mis en place, Master Eric m’informa que je devrai la porter 10 jours. Je n’osais pas me plaindre mais j’angoissais déjà à l’idée de devoir la porter si longtemps, d’autant que je les avais informés que je serai en déplacement toute la semaine. Ils commandèrent une photo pour voir le résultat :

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     Je remerciais les Masters et je leurs souhaitais un excellent week-end. Master Eric exigea que je décrive la séance et que je la mette en ligne sur mon blog ce week-end.  Seul eux savent ce qu’il faut pour le slave que je suis, ce qui est bon ou non pour un bâtard comme moi. Avec satisfaction et après avoir appris que le Master m’appellera dans la semaine, je coupais la communication.

 

     L’idée de devoir porter cette cage me provoquait un sentiment de frustration, d’humiliation, d’avanie et de honte, mais en même temps et bizarrement j’appréciais la situation et je remerciais intérieurement les Masters de cette décision.

Merci Maître pour cette séance, je vous souhaite un excellent week-end et à bientôt. Master Eric, j’ai bien compris où j’avais fait une faute et ma mauvaise compréhension de vos instructions et de vos ordres. À l’avenir, je ferai en sorte que ça ne se reproduise plus car mes testicules et vont s’en souvenir un moment.

 

     Samedi, réalisant ce travail, Maître Mickaël me commanda, après en avoir informé Master Eric et avoir eu son accord, de ne plus porter de sous-vêtements sauf lorsque je suis en consultation chez le médecin. Dans ce cas, il me donnait la permission de porter un jock-strap. Après lui avoir informé que j’avais une femme comme généraliste, je sollicitais l'accord de porter, dans ce cas, un boxer. Il refusa catégoriquement ! Il m’imposa, dans cette situation, de mettre un string ! Je lui faisais remarquer la sensation d’humiliation si je me présentais ainsi devant une aie de longue date. Il rétorqua que je n’avais pas le choix et que seul les Maîtres savent ce qu’il faut et ce qui est bon pour le slave que je suis. J’acquiesçais avec regret et j’acceptais les nouvelles instructions. Il réclama aussi que je prenne en photo tous mes sous-vêtements et que je les mette en ligne sur mon blog pour que Master Eric ou lui-même puissent choisir lequel je devrai porter lorsque j’ai rendez-vous et ce, après avoir appris que ma prochaine rencontre avec ma généraliste sera le 17 février et ce, toutes les 4 semaines. Ayant déjà un travail ce week-end, il accepta que je fasse ce dernier devoir le week-end prochain. Malgré mes craintes et mes sentiments de frustration, d’humiliation et de honte que j’aurai lorsque je me présenterai ainsi devant mes médecins, j’appréciais l’idée si Master Eric accepte ses nouvelles contraintes de Maître Mickaël.


     PS : N’étant pas arrivé et ne sachant pas encore comment faire pour mettre des vidéos en ligne, vous pouvez me les demander par e-mail : bastardakc@hotmail.fr

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Mercredi 3 février 3 03 /02 /Fév 12:32

1ère Punition :

          Lundi :

          Le matin je me levais de bonne heure pour prendre ma douche et faire ma toilette. Lorsque je me lavais le sexe, je me forçais à ne pas trop me toucher bien que l’envie de jouir me prenait. Une frustration et une humiliation de ne pas pouvoir faire ce que je voulais m’envahit. Je me dépêchais à reposer les ballstrechers après les avoir lavés. Je m’habillais et partais pour une journée de travail. Dans la journée, plusieurs fois je me touchais sous mon bureau en pensant à la punition. Ça ne fit qu’augmenter ma frustration et l’humiliation de devoir garder tout ce jus en moi. Je rentrai le soir et après avoir dîné, je me couchais.

          Mardi :

          Ayant une grosse journée, je me levais et passais rapidement à la salle de bain pour éviter d’avoir trop envie de jouir. Malheureusement ça n’empêchait pas la trique du matin. Quelle frustration de ne pas pouvoir jouir !!! Je me touchais un peu tout de même en évitant de faire monter le jus. Je sentis une humiliation de plus en plus grande. Je me hâtais pour ne pas faire de bêtises. J’avais une journée de formation et étais une bonne partie de la journée assis. Ça ne m’empêchais, pas de temps en temps, de sentir une érection sous mon pantalon. J’avais envie d’aller aux toilettes me vider mais je me forçais à rester assis. Le soir j’avais un CA et ne pensais qu’à la punition, ce qui m’excitais et me faisais encore plus bander. Je sens l’excitation en moi et une frustration de plus en plus grande. Comme je rentrais tard, je me dépêchais à manger et me coucher afin d’éviter de faire une bêtise.

         Mercredi :

        Je me réveillais avec la trique et un désir grandissant de me branler. Je me touchais tranquillement dans mon lit mais lorsque je sentis l’extase monter en moi, je stoppais net afin d’éviter de vidanger. Une frustration et une humiliation grandissant m’envahie. Je m’obligeais à sortir du lit pour ne pas faire de bêtises. Je buvais mon café et je passais à la salle de bain. Après avoir fait ma toilette, je m’habillais avec toujours mes deux ballstrchers aux couilles qui font une belle grosseur dans la jambe gauche. Malgré l’habitude, j’ai toujours honte et me demande ce que s’imaginent les personnes qui aperçoivent ce renflement. Pendant la journée, plusieurs fois l’envie de me branler m’envahissait. Je touchais ma queue raide dans le pantalon en faisant attention que personne ne passait dans le couloir. Lorsque l’excitation devient trop grande ou que je dois aller aux toilettes, j’en profite pour me caresser et me toucher un peu sans trop faire monter le jus. Malheureusement ça ne fait qu’augmenter la frustration, l’humiliation et la consternation de ne plus pouvoir jouir comme je le désire. Heureusement pour le slave, Master Eric ne lui a pas imposé de porter une cage ! Ça me permet de pouvoir me toucher et me caresser comme je le désire. L’après-midi, je m’occupais d’un groupe d’ados. J’avais l’impression que certains s’attardaient sur la grosseur dans la jambe du pantalon. Ce qui augmentait mon humiliation mais me faisait bander et je ne pouvais pas me caresser devant eux. Enfin la journée se terminait et je rentrais chez moi. Je me mettais en peignoir pour la soirée et me préparais à manger. Après avoir dîner, je regardais la télé dans mon lit ce qui me permit de bichonner ma pauvre queue sans pouvoir vider mes testicules de plus en plus pleines. Je m’endormais avec une frustration grandissante.

          Jeudi :

      Après une nuit mouvementée où j’ai fait des "Cauchemars"…. Où je me branlais régulièrement sans pouvoir jouir ou je sentais le jus monter mais pas d’éjaculation ! Ou encore une envie de jouir sans arriver à me branler, je me réveillais avec une trique du matin et en profitais pour me caresser un peu sans jouir où ma frustration se trouvait au comble. Avec difficulté, je me tirais du lit et j’enfilais mon peignoir pour aller boire mon café et passer à la salle de bain avec toujours mon érection. Malgré la douche, j’ai eu du mal à débander et je m’habillais avec, toujours ma queue raide. Je déjeunais et je partais au travail. La matinée fut longue car je ne pensais qu’à me branler. Sous mon treillis, je caressais mon sexe en faisant attention de ne pas jouir et surtout ne pas le tacher. A midi je rentrais chez moi déjeuner avec une obsession dans la tête, enfin pouvoir jouir !!! Heureusement pour le slave, je ne portais pas de cage de chasteté, ce qui me permettait de pouvoir me caresser un me branler doucement sans pouvoir jouir. Ma frustration ne faisait qu’augmenter ainsi que l’humiliation de ne plus pouvoir jouir tout en cajolant mon sexe et en devant stopper avant. Je retournais au travail avec ses sentiments et en maudissant Master Eric qui m’avait imposé cette punition humiliante. L’après-midi n’en terminait pas car je n’avais que cette obsession en tête : Me branler et éjaculer pour vider enfin mes misérables couilles pleines !!! Je n’arrivais pas à sortir de ma pauvre tête de slave cette obsession, ce qui me provoquait une érection quasi-permanente. Lorsque j’eu terminé mon travail, je partais faire des courses et acheter un nouveau téléphone fixe afin de pouvoir passer les triples appels. Je rentrais chez moi, rangeais mes courses au frigo et mettais le téléphone en charge. Comme tous les soirs, lorsque je rentre chez moi, je me déshabille et je me mets en peignoir, tenue décontracté. Je me faisais à dîner et je passais à table. Après avoir fait la vaisselle avec toujours une trique qui revient régulièrement, je passais au lit pour regarder la télé. Comme je ne débandais pas, j’en profitais pour me caresser doucement sans éjaculer malheureusement. Lorsque je sens le jus qui va arriver, je prends ma queue et je la serre très fort pour ne pas me vider. La frustration, l’humiliation et un sentiment de honte m’envahi de nouveau. J’essaye de ne plus me toucher et de me concentrer sur la télé mais rien à faire. Je n’arrive pas à me défaire de cette obsession. Enfin le sommeil arrive et j’arrive finalement à m’endormir.

          Vendredi :

          Je me réveillais plusieurs fois dans la nuit avec une trique et une envie grandissante de me vider enfin. Malheureusement, je savais qu’il ne fallait pas le faire mais ne plus pouvoir jouir, devient de plus en plus dur à tenir. Comme je n’ai pas envie d’une autre punition, je me forçais à ne pas me toucher et essayais de retrouver le sommeil. Les cauchemars revenaient aussi vite et la nuit fut très longue avec plusieurs épisodes d’insomnie et une envie grandissante d’enfreindre les ordres de Master Eric. Le réveil sonna enfin ! Avant de me lever, je me caressais un moment et je devais stopper rapidement plusieurs fois pour ne pas éjaculer. Je remerciais tout bas Maître Eric de ne pas m’avoir imposé une cage de chasteté, ce qui aurai été encore plus frustrant et humiliant. L’heure tournant, je me décidais à me lever et je préparais mon petit-déjeuner. Je passais à la salle de bain avec toujours la trique et prenais une douche afin de ne plus bander. Elle n’eu pas l’effet escompté et je me séchais en reprenant une érection. Après avoir nettoyé les ballstrechers, je les repositionnais sur mes couilles et je m’habillais. Le renflement dans le pantalon de treillis accentuait l’érection que j’avais. J’espérais que ça ne se voit pas trop. Bien que je trouve très humiliant cette bosse, j’apprécie d’avoir des contraintes. Je sais, c’est paradoxal, mais étant un slave, j’aime ces entraves, cette sensation de frustration et d’humiliation en les portant en public, ne sachant pas si les personnes en face, les remarques. Lorsqu’il fut l’heure, je prenais ma veste et partais au bureau. J’arrivais dans les premiers et je m’empressais de m’asseoir à ma place. Je commençais mon travail et régulièrement, ma main descendait sous le bureau pour caresser ma queue qui était en érection. J’avais trop envie de jouir mais je me forçais à ne pas aller aux toilettes. La matinée se passait ainsi avec deux rendez-vous. A midi je m’empressais de rentrer chez moi et je faisais un essaye d’appel à 3. Quand j’eu terminé et compris comment faire, je me hâtais d’en informer Master Eric. Il me répondit qu’il m’appellera dans la soirée. J’avais hâte qu’il m’autorise à me vider. Après avoir déjeuné et bu un bon expresso je regardais les infos à la télévision. Commençant un peu lus tard cet après-midi, j’en profitais pour faire un lavement. Quand il fut l’heure, je repartais au bureau en informant mon Maître. Animant un groupe d’écriture, j’avais du mal à me caresser. J’allais donc aux toilettes et j’en profitais pour malaxer un peu mon sexe en faisant attention de ne pas jouir, ce qui augmenta ma frustration. Je n’avais plus qu’une obsession, jouir enfin et vider mes pauvres testicules qui débordaient. Enfin, l’atelier se terminait et je rangeais mon bureau pour le week-end. Après avoir tout mis en ordre, je sortais faire une course et je rentrais chez moi. Arrivé, je me mettais en tenue légère et j’enfilais mon peignoir avec une érection qui revint de suite, dès que je fut nu. J’attendais ainsi l’appel de Master Eric.

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Mercredi 3 février 3 03 /02 /Fév 12:13

2ème plan avec Maître Eric

 

          Dimanche matin, mon Maître m’appelle et dès que j’entends sa voix, je me mets à bander comme un âne. Plus la conversation se faisait, plus j’étais excité. Après avoir pris des nouvelles d’un chacun, d’apprendre que j’avais les burnes pleines depuis jeudi soir, il m’ordonna de ne pas me les vider. Il le ferra dans la soirée. Lorsqu’il raccrocha, j’ai eu de très grosses difficultés à ne pas me branler et à juter tellement le slave était excité.

          La journée se déroulait et le bâtard pensait au prochain appel de son Master. Plus il pensait à lui et plus l’excitation remontait et je me remettais à raidir mon membre. La frustration de ne pas pouvoir me toucher montait de plus en plus. Je ressentais l’humiliation s’insérer dans tout mon corps. La grande difficulté était de faire redescendre l’agitation qui secouait toutes mes cellules.

       Plus la journée avançait, plus l’humiliation augmentait, plus la frustration s’amplifiait, plus l’excitation du slave se décuplait et plus il appréciait cette situation. J’attendais avec une grande impatience l’appel de Maître Eric. J’avais de plus en plus de mal à ne pas me toucher et me branler pour me vider. Heureusement, le Master ne m’avait pas imposé de cage, ce qui me permettait d’être en érection et de frôler mon sex. Je portais seulement les ballstrechers, ce qui aggravait tout de même ma fébrilité.

          Le téléphone sonna enfin et je m’empressais de répondre. Une fébrilité envahit toutes mes cellules dès que j’entendis la première sonnerie. La voix de Maître Eric résonna dans l’écouteur et l’excitation revint immédiatement. Je m’assaillais sur le lit avec mon pénis en érection et commençais à me toucher tout en répondant au Master. Après avoir discuter un instant, il m’ordonna de prendre le poppers et le god chair moyen. Je m’empressais a aller chercher le matériel. 

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          Je graissais le god et le posais à terre sur sa ventouse. L’excitation avait envahi toutes mes cellules. J’informais que tout était prêt. Maître Eric ordonna de prendre le poppers et de sniffer 2 X 4 bonnes rasades. Je présentais la bouteille sous la première narine et je humais à fond 4 fois et je passais à la seconde narine. Je recommençais une deuxième fois. Bien gazé, il commanda de m’asseoir dessus. Je sentis le gland du god ouvrir mon petit trou et s’introduire dans le côlon. Il s’insinuait progressivement jusqu’à butter contre le premier anneau. Quelle enchantement ! Je gloussais comme une pute. L’anneau s’ouvrit enfin et avala avec bonheur le gland et jouait avec. Ma petite fleure appréciait d’avoir avalé ce phallus. L’enthousiasme du slave grandissait de secondes en secondes. C’est à ce moment là que le Master demanda de m’asseoir ailleurs. Je lui proposais un siège ou le canapé. Il opta pour ce dernier et ordonna de me rendre dans le salon. D’une main, je tenais le god en place et de l’autre je prenais une serviette, le poppers et le téléphone. Avec empressement je posais l’essuie-mains sur le canapé, le poppers sur la table basse et Maître Eric ordonna de m’asseoir ! Je m’exécutais et sentis les 20 bon centimètres (voir, un peu plus) du lingam s’enfoncer au plus profond du slave. Lorsque je fut bien installé, le god à fond dans le slave, les ballstrechers étirant bien les couilles posés sur le canapé, il demanda au bâtard de prendre une photo et de la lui envoyer. Je m’exécutais et je faisais parvenir la photo par sms.

Plan-N--02-2880-3.JPG            Mon excitation était à son comble et mon envie de jouir de plus en plus forte. Il m’autorisa à astiquer mon érection. Je m’exécutais en le remerciant. C’est là qu’il commanda au bâtard de ne pas jouir !!! Quelle frustration et humiliation !!! La petite pute du stopper sur le champ ! Mais trop excité et s’étant masturbé trop rapidement, il sentit, du plus profond de sens entrailles, une extase augmenter en lui. Bien qu’il eu stoppé net, le slave perçut le jus monter inexorablement dans la racine du pénis. S’engouffrer dans l’urètre et l’envahir. Enfin, dans un râle, le sperme explosa en dehors par petits jets. Le bâtard mis sa main pour récupérer sa semence. Master Eric, très contrarié de la jouissance précoce du slave, demanda une photo de la bévue du slave.

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          Le Maître ordonna que le slave boive sa semence. Lui demanda son goût ? Il était légèrement salé.

          Master Eric, très mécontent, ordonna au slave de ne plus jouir les prochains jours. Il verrait lui même en fin de semaine la suite à donner. Cet infamie méritait une punition. Je ne put que valider le châtiment.

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Dimanche 31 janvier 7 31 /01 /Jan 18:20

Le Slave en tenue d’ Adam :

 

  Le Bâtard, Bite au Repos :

                      16---Slave-nu-queue-au-repos.jpg  

  Le Bâtard, Bite Raide :  

                                        17---Slave-nu-queue-Raide-.jpg   

  La Queue du Bâtard

  36---La-queue-du-Slave.jpg

 

    Longueur   Bite                                 

       34 - Mesure de la queue du Slave

            et Circonférence ( en érection ) :

35 - Mesure de la queue du Slave

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Dimanche 31 janvier 7 31 /01 /Jan 15:22

Le  Slave en sous-vêtements :

 

      Présentation de quelques sous-vêtements du Slave  : 

 

          La bite  AU  REPOS :

 

          Boxer :                                           Slip  Tanga :       

      06 - SV queue repos   07 - SV queue repos

                                               Slips   Stripper   :

       08 - SV queue repos   09 - SV queue repos 

           Slip  Stripper :                             Boxer  Stripper  :

      09 - SV queue repos   11 - SV queue repos

          Slip  Stripper :                              Slip  semi-transparent

      12 - SV queue repos   13 - SV queue repos

          La bite  RAIDE  dans  des sous-vêtements :

  19---SV-queue-Raide.jpg   21---SV-queue-Raide.jpg  22---SV-queue-Raide.jpg     23---SV-queue-Raide.jpg

  37 - La queue du Slave Hors du Slip

Par bastardakc - Publié dans : Les Sous-Vêtements - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 31 janvier 7 31 /01 /Jan 13:17

1er  Plan téléphonique avec  Master  Eric :

          Après que Master Eric m' ait envoyé ses instructions par sms, je préparais le matos demandé pour notre premier plan de Domination par téléphone et je l' attendais en slip orange, comme il l' avait souhaité. Je bandais déjà comme un âne et mon gland mouillait déjà bien...  

Le téléphone sonna.

Je m' empressais de répondre. Maître  Eric était à l'autre bout du fil, prêt à jouer avec le Slave.

Le Matos pour la séance :  01 - Plan 1 - Matos - - .

            02 - --Plan-1---01------jpg                            03 - --La-queue-du-Slave-Hors-du-Slip

  Le slave bande dans son slip et le mouille.       Le gland du slave hors du slip. 

        Master Eric m'ordonna de m'allonger sur mon lit et de malaxer mon paquet, la main posée sur mon slip bien gonflé à bloc. Je bandais de plus en plus fort et je mouillais grave le slip. Après l'avoir bien taché, il me commanda de sortir le gland et de prendre une photo et de la lui envoyer de suite. Puis, il me demanda de descendre le slip et de le poser à côté de moi. Le Master m'enjoignit de prendre le sachet de pinces à linge et d'en poser une sur chaque seins. Toujours sur le lit, ma queue bien raide sur le pubis, il me dicta de poser des pinces à linge sur ma bite, de la base des couilles jusqu'au frein de ma bite. Le Maître m'autorisa à prendre du poppers pour supporter la douleur de mon pauvre pénis maltraité ainsi.... Mais, plus je posais des pinces et plus je bandais...!!! Il m'ordonna de  prendre ma bite ainsi équipée en photo, afin de vérifier que je jouais bien le jeu. 9 Pinces à linge avaient été posées sur ma Teub, sur toute sa longueur. 

04 - Plan 1 - - .

          Il me commanda d'en faire autant sur mon sac de burnes qui contient mes pauvres couilles, en comptant les pinces à linge à haute voix au fur et à mesure de leur pose, après m'être bien gazé au Poppers auparavant. Je réussis à en poser 19 pour faire un beau diadème au niveau de mes valseuses. Afin d'évaluer le travail effectué, il me réclama une photo pour apprécier le chef-d'œuvre....:  05 - Plan 1 - - .

          Puis, Master Eric m'a  demandé de me lever, de remettre mon slip en place pour bien faire tenir les pinces, et d' enfermer mes burnes et ma bite à l' intérieur du slibard ! Mes pauvres couilles et ma malheureuse queue étaient en feu, sans compter le bout de mes misérables tétons. Afin d'apprécier la merveille réalisée, j'envoyais une nouvelle photo par MMS, que le Maître apprécia à sa juste valeur. Le slave continuait son érection, savourant sa douleur.

          Le Maître m'invita à me remettre sur mon lit, à me gazer au poppers et à malaxer ce joli jouet. Ma Pauvre queue et mon malheureux paquet gonflés allaient exploser de douleur et un " incendie " se propageait dans mes parties les plus fragiles... Savourant la douleur, je continuais à mouiller mon bas ventre : je mouillais toujours autant du gland...

06 - Plan 1 - - .          Master Eric m'invita enfin au bout de quelques longues minutes de souffrance, à stopper cette torture et à ôter le slip. Je m'exécutais avec entrain. Le Master convia le Slave à enlever toutes les pinces une à une, en les comptant à haute voix, pour chaque pince retirée. Il m' ordonna de commencer par ma queue. Je m'exécutais mais à chaque pince que je retirais, une douleur extrême se diffusait dans ma verge. Maître Eric commanda au slave de continuer le retrait des pinces se trouvant sur la peau des burnes. La douleur irradiait le scrotum et mes malheureuses prunes. Lorsque toutes les pinces eurent rejoint leur emballage, je me popperisais une nouvelle fois avec l' autorisation de Master Eric.

          Il m'invita à en reprendre encore et encore. Je compris bientôt pourquoi Master Eric me voulait gazé à fond. Il me commanda ensuite de prendre le flacon d'alcool  à 90° et d' en faire couler sur mes couilles. Un brasier explosa dans mes funestes glandes génitales. Appréciant mes gémissements, il ordonna au slave de les malaxer afin de bien faire pénétrer l' alcool à travers la peau. La fournaise qui irradiait mes misérables roubignoles, me faisait bander comme un âne malgré le gazage qui me permettait de supporter un peu mieux la cuisson qui se propageait dans mes parties génitales.

          Lorsque la douleur s'atténua, il m'invita à me lever et à préparer les deux godes avec la graisse et le poppers. Je m'installais par terre accroupi et je commençais à graisser le plus petit gode. Lorsque je fut prêt, Master Eric exigeât que je m'empale dessus.  Je débutais par prendre un peu de poppers et j'introduisais doucement le gland du gode dans mon pauvre trou. En pénétrant de plus en plus profond, j'introduisais le gode dans mon côlon. Je le sentais pénétrer de plus en plus loin en moi. Enfin je m'asseyais dessus, cette verge rigide en moi.  Le Master me commanda de monter et descendre de plus en plus vite. Je reprenais du poppers avec son autorisation pour aider ma petite fleur à avaler cet objet. Le Master m'invita à m'asseoir dessus et à préparer le second gode. Je m'y installais et je graissais le second. Lorsqu'il fut prêt, le Maître m'invita à me gazer et à retirer le premier gode.Je positionnais le second à sa place et je commençais à m'empaler dessus. Doucement mais sûrement, je l'introduisais en moi. Je descendais avec bonheur sur ce gode plus important. Quand je le pris bien à fond, je sniffais une nouvelle fois du poppers et je commençais à défoncer mon trou avec, sur les ordres de Master Eric !  Quel délice de ressentir ma petite fleur s'ouvrir et s'exploser dessus ce phallus. J'étais au comble de l'excitation. Mon trou chauffait de plus en plus et malgré le gazage, un brasier montait en moi. Quand le Maître sentit que le slave n'en pouvait plus, il m'invita à m'asseoir dessus et à bien m'empaler sur ce phallus. J'avais le cul explosé et un brasier irradiait mon côlon.

QUE DU BONHEUR.

Après avoir bien savouré cet enfer, je suppliais le Maître qui m'autorisa à le retirer de mon trou et à retourner m'allonger sur le lit. Mon Maître m'invita à me branler sans jouir. Je m'exécutais avec empressement tellement j'étais excité. Lorsque je sentis le jus qui allait monter, je stoppais avec difficulté les va-et-viens de mon pénis. Je faisais part au Master de mon sentiment de frustration et d'humiliation d'arrêter ainsi !!! Ce qui lui plut et il me fit part de sa satisfaction et du contrôle qu' il avait sur moi. Il me fit renouveler cet exercice plusieurs fois. Mon excitation montante à chaque arrêt brutal augmentait ma frustration et mon humiliation.

          Enfin, Master Eric me demanda de me gazer à fond, de rester allongé sur le dos et de préparer l'assiette avec la tranche de jambon blanc sur mon bas ventre. Il m' ordonna de recommencer ma branlette et de jouir sur la tranche de charcuterie dans l' assiette posée sur mon ventre. Après avoir pris plusieurs rasades de poppers dans chaque narine, je recommençais avec plaisir à me branler. Progressivement je sentais mon jus monter en moi. Je gémissais comme une chienne, de plus en plus fort. Dans un râle d'extase, je me vidais enfin les burnes complètement dans l'assiette, sur la tranche de jambon.

          Master Eric me demanda de lui envoyer le résultat de ma vidange de couilles. Ce que je m'empressais de faire.  

Avant :  07 - Plan 1 - - . 

Après avec le jus du slave ( bon, on voit pas terrible...) :

08 - Plan 1 - - .

          Pour terminer, Master Eric m'a fait part de sa satisfaction et de mon obéissance. Pour remercier son Slave, il l'autorisa à manger la tranche de jambon en la roulant et en la dégustant ainsi aromatisée avec le jus craché. Je m'empressais de la déguster et remerciais mon Maître.

          Merci Master Eric et à très bientôt.

Par Bâstard à KC - Publié dans : Récits des Plans - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 31 janvier 7 31 /01 /Jan 10:17

Le  Bâtard  :

 

        À la demande de  Master Eric ( pseudoERICPLANSMTEL , sur SMBOY

               

http://smboy.net/ERICPLANSMTEL  ), j' ai dû créer ce blog.

 

         Si des Maîtres désirent me connaître mieux, ils devront prendre contact avec lui via le site Smboy, pour pouvoir m' utiliser en réel ou en séances de domination à distance, en tant que bâtard et slave que je suis. 

 

          Le Slave à 49 ans

          Taille : 165 cm

          Poids : 58 kg

          Petit bouc, la tête, le torse et le pubis rasés.

Portrait - 1 -

        Le slave est à la disposition des Maîtres et Masters qui désirent jouer avec pour leurs seuls plaisirs. Le bâtard se fera un devoir de satisfaire tous leurs souhaits et leurs ordres.

          Seul le Master sait ce qui est bon ou non pour le slave.

Portrait - 2 -

  Le slave a une queue circoncise :

 36 - La queue du Slave 

        Il est un peu poilu des jambes, des bras et des aisselles. Bien sûr, il est rasable intégralement si un Maître en fait la demande.

        Le slave est très soumis et obéissant aux directives et aux souhaits des Masters.

         Si, par hasard, celui-ci n’était pas satisfait du bâtard, il pourra lui donner la punition ou la sanction qui s’ imposera.

        Le slave pourra porter toutes les contraintes imposées chez lui et/ou au travail      ainsi que la tenue que le Master décidera. Il pourra aussi lui envoyer la preuve de cette ou ces contraintes par SMS / emails, sur simple demande du Maître. Ceci, le plus tôt possible après la requête et à toute heure pour satisfaire son Master.

 

CE BLOG RESTE SOUS LE CONTROLE DE :

MASTER ERIC.

 

          RAPPELS et REGLES DE MASTER ERIC    :    LES RELATIONS DE DOMINATION / SOUMISSION, réelles ou virtuelles , doivent se faire de manière intelligentes, consententes entre le Master et le Slave, sans risques et doivent rester un " JEU " de rôles entre Master et Slaves, de façon que chacun y trouve son plaisir.
Par bastardakc - Publié dans : Les sorties du Slave - Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Samedi 16 janvier 6 16 /01 /Jan 11:43

Le  Matos du Bâtard :

 

          Pour satisfaire les Masters qui désireraient jouer avec le Slave, voici le matos dont il dispose :

 

 Cagoules : en Cuir avec bâillon, en Lycra,                  en Latex

      01 - Matos - 02 - .       02 - Matos - 02 B - Latex - .

        Godes  * :

        03 - Matos - 03 - .                   04 - Matos - 04 - .

 * Taille Insérable des Godes :               Menottes et Colliers en cuir ou métal,             De Gauche à Droite :                                 Baillon et Plug avec queue.

En Haut :
1 )  ( chair ) long. 17 cm, diam. 4,5 cm.
2 )  ( chair ) long. 20 cm, diam. 5 cm.
3 )  ( chair ) long. 23,5 cm, diam. 6cm.
4 )  ( noir ) long. 26 cm, diam. 6,2 cm.
En Bas :
1 )  ( noir ) long. 28 cm, diam. 6,5 cm, anneau 7 cm.
2 )  ( noir ) long. 33 cm, diam. 6,8 cm, anneaux 7,5 cm.
3 )  ( noir ) long. 26 cm, diam. min 4 cm - maxi 9 cm.
4 )  ( noir ) long. 31 cm, diam. min 4 cm - maxi 6 cm.

   Plugs :

    05 - Matos - 05 - .             06 - Matos - 06 - .                                              Plugs (suite ), Boules Anales et Ceinture en cuir pour bloquer les plugs dans le trou du slave.

 

 

     Différents Cockrings dont

      cockrings méchants avec pointes,

      Ballstretchers :                     

    07 - Matos - 07 - .       

      Cages de Chasteté ( métal, silicone avec

     Plugs pour urètre ), Sceptres Princiers,

     Baillon, Ecrasse - Couilles :

    08 - Matos - 08 - .

    09 - Matos - 09 - .                                   

 Martinet, Sondes Urétrales en métal, Crochet Anal,

 Cockring et Boules Anales, Spéculum, Double

Roulette avec piquants, Pinces à Seins et Pinces à linge.

      10 - Matos - 10 - .

Boîte pour Electro , Humbler, Poppers ,

Bougies , Poids ( 2 X 500 gr ; 2 X 1 Kg ; 1 X 2 Kg) :

                                    Harnais cuir :

11 - Matos - 11 - .

            Harnais cuir ( devant ) :                          

    12 - Harnais---01-- 

    Harnais cuir ( arrière ) :

13 - Harnais---02--    Possibilité d'adapter le " bloque - plug " de la ceinture en cuir pour entraver les plugs avec le harnais.

Par Bâstard à KC - Publié dans : Le Matos du Slave - Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires

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  • : Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335
  • Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335
  • : gay Gay
  • : Sous-Merde propriété de Master Eric et Maître Mickaël. Il fait aussi ce que les Visiteurs demandent. Ce n'est pas un mâle mais une sous-merde, et il doit être traité comme tel. À la disposition de tous les Maîtres et slaves au Téléphone, en Web-cam sur Smboy ou Skype... Prises de photo et rapports publiés ensuite sur le blog sous le contrôle de ses Maîtres.
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