Le blog de Bâstard à KC Sous Merde n°411-103-335

  Bienvenue sur le blog de Bâtard a KC : Sous Merde N° 411-103-335, sous le contrôle de Master Éric et Maître Michael. Il doit faire ce qui lui est demandé sans rechigner. N’hésitez pas à laisser des commentaires sur les différents articles qu'il publie sous nos ordres.

  Il fait aussi ce que les visiteurs demandent. Ce n'est pas un mâle mais une sous-merde, et il doit être traité comme tel.

  Sous cage de chasteté, nous seuls, ses Maîtres, décidons de ses jouissances afin de le purger de son jus pourris qui ne sert à rien.

  N'hésitez pas à laisser des commentaires dans les différents articles publiés ici par notre sous merde ou nous même. Cela l'humiliera  d'autant  plus.  Son  adresse  est  dorénavant  la  suivante  :        slave.411103335@gmail.com

   Nous la contrôlons entièrement. Nous nous chargerons de vous répondre ou notre slave vous transmettra nos commentaires.

  Notre Sous-Merde est à dispos de tous mâles souhaitant l'utiliser en Cam ou en Réel avec prises de photos et rapports publiés ensuite sur le blog. Même les soumis peuvent l'utiliser car son statut est inférieur à eux et il leur doit respect, soumission et obéissance.

Mardi 2 octobre 2 02 /10 /Oct 13:00

Suivi de la commande :

 

01 - Humiliat. - D - -.-         La société "Ovemo" nous a fait savoir qu'ils étaient en rupture des produits de la marque "Joe Snyder". La livraison de ce fournisseur est prévue pour la fin du mois d'octobre. Ils se mettront à jour des commandes en suspens dès la réception des produits. Ils auront la possibilité de se mettre à jour avec les commandes en suspens. C'est pourquoi la livraison des sous-vêtements tarde. Elle sera honorée dès les premiers jours de novembre si aucun autre dysfonctionnement n'entrave cette commande.

 

        Le slave et ses Maîtres, Master Éric et Maître Michael.

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Lundi 1 octobre 1 01 /10 /Oct 13:00

Corvée du lundi 1er octobre 2018 :

 

01 - Corvée. - D - -.-         Je me levais et je me faisais un café le temps que mon ordinateur se mette en marche. Je saluais mes Masters. Après quelques échanges, je passais à la salle de bain. La veille, le dimanche, j'avais rafraîchi le rasage du corps. Ce matin je me retrouvais donc lisse comme un nouveau-né. Je faisais ma toilette et je prenais une douche pour me réveiller complètement. Avant de m'habiller, je prenais le marqueur noir, couleur du lundi, et je commençais à inscrire toutes les références sur le corps. Devoir chaque journée renouveler ces graffitis, devenait chaque jour un peu plus humiliant et dégradant ! Je débutais par la cuisse gauche, assis sur le rebord de la baignoire, j'inscrivais la date du jour, soit le lundi 1er octobre 2018. Je continuais par la cuisse droite qui recevait le numéro d'enregistrement du slave : 411-103-335. Je me levais face au miroir pour la suite des références. Sur le torse, je notais l'appartenance de la sous-merde et je terminais par le bas-ventre et le pubis qui recevaient la date de mise sous chasteté. Date de plus en plus dégradante et humiliante au fur et à mesure02 - Corvée. - D - -.- que les jours, les semaines et les mois passent. Quand le corps du slave avait sur lui toutes ses marques et ses références, je prenais le portable pour le premier cliché de pieds dans la salle de bain. Je m'habillais avec un jean, une paire de baskets blanche, un pull col roulé mi-saison et mon gilet sans manches qui me sert à ranger certaines affaires dont le portable dans une des poches frontales. Je me mis à sentir les picots empaler mon pauvre gland ! Une érection avortée 03 - Corvée. - D - -.-s'ensuivait. Plus je tentais de calmer mon pénis et plus mon gland s'excitait sur ses geôliers ! Je prenais ma veste, une écharpe et un bonnet car une pluie ininterrompue tombait depuis la veille. En sortant, le froid humide calmait ma trique. J'arrivais sur mon lieu de travail et je saluais la secrétaire déjà présente. Je montais à l'étage et je me rendais à mon bureau. Au passage, je saluais la secrétaire comptable qui m'avait devancée de quelques minutes. Je me mis à sentir04 - Corvée. - D - -.- de nouveau une érection qui s'empalait à nouveau sur les pics de la cage. Plus je m'interdisais de bander et plus les geôliers excitaient mon malheureux gland ! Je m'empressais de rejoindre mon poste de travail pour ne pas alerter ma collègue. Mon palpitant en profita pour s'emballer. Je posais ma veste, mon écharpe et mon bonnet sur le dossier de mon fauteuil. Je lançais mon ordinateur et je prenais place dans le siège. Je commençais à travailler lorsque le 05 - Corvée. - D - -.-directeur arriva. Il me saluait et nous échangions des politesses. J'essayais de me concentrer sur mes dossiers, mais mon gland continuait à jouer avec les picots. Je tentais de contrôler ma respiration en évitant des gémissements trop fort. J'avais de plus en plus de mal à canaliser mes esprits. Mon souffle devenait de plus en plus saccadé et rapide. Ne maîtrisant plus personne et sentant ma vessie de plus en plus remplie, je me résolvais à exécuter la séance photo aux toilettes. Je me levais sans avoir, auparavant, espionner le couloir. Un groupe de stagiaires montaient les escaliers et nous nous croisions dans le couloir. Mon cœur se remit à battre la chamade synchronisée avec les hallebardes qui tombaient à l'extérieur et se fracassaient sur les baies vitrées. Je fermais la porte derrière moi et je posais sur un coin du lavabo mon téléphone. Mon moteur était toujours emballé. Je posais sur mes chaussures mon pantalon, puis mon gilet et mon pull. Je sentais toujours les tortionnaires torturer leur prisonnier. Cette souffrance ne calmait pas mon palpitant qui continuait ses06 - Corvée. - D - -.- frasques. À contre cœur, je me déchaussais et j'enfournais dans ma gueule de slave, la plante des pieds des chaussettes. Ma plante des pieds nus sentit le froid du carrelage qui allait réfrigérer progressivement, non seulement mes pieds, mais aussi remonter dans mes mollets. Je prenais le portable et je débutais la séance photo. J'entendais dans le couloir, des voix qui allaient et venaient ce qui m’angoissait encore plus. Je photographiais mes vêtements au sol. Je 07 - Corvée. - D - -.-continuais par la date du jour et le numéro d'enregistrement du slave. Pour la première fois, je sollicitais ma malheureuse gueule gobant la plante des pieds de mes chaussettes. Je poursuivais par le torse où était transcrite l'appartenance de la sous-merde. Ensuite, la date de mise en cage de mon malheureux sexe était dans la boîte. Je prenais un dernier cliché du slave en entier. Le couvercle08 - Corvée. - D - -.- et la lunette des toilettes étaient restés ouverts. Je m’asseyais sur la faïence glacée qui refroidissait aussitôt mes petites fesses roses. Je poussais pour faire sortir les premières goûtes d'urine malgré l'érection avortée. De lâcher ainsi les vannes, me fit débander progressivement. J'en profitais pour prendre le dernier cliché de la journée assis sur le trône. Lorsque ma vessie fut vidangée, je secouais la cage de chasteté pour évacuer l'urine qui pouvait stagner. Je prenais un peu de papier toilette et je terminais de la sécher. Je me relevais frustré et humilié par cette nouvelle séance. Je tirais la chasse d'eau et je commençais à me rhabiller. J'enfilais mon pull, mon gilet, avec grand plaisir mes chaussettes que j'enlevais de leurs lieux de rangement et que je remettais à leur place initiale et mes chaussures. Je me lavais les mains, me les rinçais et je me les séchais. Mon cœur s'était régulièrement calmé 09 - Corvée. - D - -.-ainsi que mon pénis. Je rangeais mon téléphone dans une des poches frontales de mon gilet. Je vérifiais autour de moi et n'ayant rien oublié, j'ouvrais la porte. Je sortais dans le vestibule puis dans le couloir qui était devenu désert à ma grande satisfaction. Je regagnais mon bureau et je reprenais mon travail en cours.

 

        Bonne journée à mes Masters et merci pour cette "aventure".

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Dimanche 30 septembre 7 30 /09 /Sep 08:00

Corvée du vendredi 28 septembre :

 

36 - Bureau. - D - -.-        Je saluais mes masters, dès que je me levais, comme à l'accoutumé. Suite à ma gaffe d'exploration du nouveau serveur où Maître Michael avait créé une nouvelle adresse e-mail et malgré mes excuses immédiates, il ordonnait une punition. Je faisais le cliché demandé dans mes toilettes avant de passer à la salle de bain pour réaliser les références journalière sur mon corps. Avant de réaliser ces écrits, je faisais ma toilette journalière et je terminais par une douche bienfaitrice. Sur le tapis de bain, debout, je me séchais le mieux possible. J'allais chercher le marqueur vert, couleur choisi par les Maîtres, pour le vendredi. Je débutais, assis sur le bord de la baignoire, par inscrire la date du jour sur la cuisse gauche. Je continuais par la droite en notant le numéro d'enregistrement du slave. Debout devant mon miroir, je transcrivais sur mon torse, l'appartenance de la sous-merde. Je terminais par le bas du ventre et le pubis en rappelant la date de mise sous cage de mon malheureux pénis en abstinence depuis plus d'un an ! Suivant les instructions, je prenais le premier cliché de37 - Bureau. - D - -.- pieds dans ma salle de bain avant de m'habiller pour me rendre au bureau. J'enfilais mes chaussettes, mon pantalon, un polo et mon gilet sans manche où je rangeais dans une des poches mon portable pour réaliser le reportage photo journalier à mon grand désespoir. Je buvais un dernier café après avoir avalé mes traitements. J'enfilais un gilet en laine et une petite écharpe que je garderai tout le temps où je travaillerait afin de dissimuler le collier et principalement la 38 - Bureau. - D - -.-médaille humiliante. Malgré la connaissance de cette parure dégradante par mes collègues, j'avais toujours, et encore plus chaque jours, de plus en plus honte de la porter en public. Malgré tous mes subterfuges pour la camoufler le mieux possible, principalement la médaille, je me sentais toujours autant frustré et humilié de la porter en permanence sur moi sauf de rares exceptions que je remercie mes Masters d'accepter ces dérogations. Je fermais ma porte39 - Bureau. - D - -.- à clef avec toutes ses pensées qui s'entrechoquaient dans ma petite tête. Arrivée sur mon lieux de travail, je saluais les collègues présents et quelles que mères de familles qui attendaient pour des inscriptions. Je montais à l'étage et je retrouvais mon poste de travail. Je posais sur le dossier de mon fauteuil, mon gilet. Je prenais place en attendant que mon ordinateur se mette en marche. Ma voisine et collègue arriva sur ses entre faits. Nous 40 - Bureau. - D - -.-échangions un instant sur nos projet de week-end. J’omettais délibérément quelles que détailles dégradants des desseins de mes Masters. Je me plongeais dans mes dossiers. En milieu de matinée, ma collaboratrice, proposait un pose café-cigarette. Cette coupure tombait à pic car une envie de plus en plus pressente me tiraillais le ventre. Je l'invitais à me servir un café en attendant que je me soulage d'une grosse commission. Excuse pour justifier mon absence prolongé dans les toilettes. Mon palpitant se mit à battre de plus en plus fort. Je refermais la porte à clef derrière moi. Je commençais à me déshabiller en posant mes vêtements sur mes chaussures. Le jeans en premier, puis l'écharpe, le gilet sans manche où je retirais le portable que je posais en attente sur le lavabo, le polo que je pliais et mes chaussettes. J'en laissais une avec mon tas d'habit au sol. La seconde, je la roulais sur elle même et je l'enfournais dans ma petite gueule de bâtard. Je relevais le couvercle et la lunette des toilettes. Tout était en place pour démarrer la chronique photo. Je prenais le portable et j’actionnais41 - Bureau. - D - -.- l'appareil photographique. Je débutais le reportage journalier, humiliant et frustrant, par mes affaires sur le carrelage. Je continuais par ma cuisse gauche avec la date du jour, la cuisse droite suivait avec le numéro d'enregistrement du slave. Je continuais par la chaussette roulée dans ma petite gueule, suivait l'appartenance de la sous-merde. Je poursuivais par la date dégradante de la mise en abstinence de ma malheureuse queue et je terminais cette première 42 - Bureau. - D - -.-série par un cliché de pieds. Mon cœur battait toujours aussi fort et je tendais l'oreille afin de vérifier que personne ne pouvait m'entendre. Je m'asseyais sur la faïence toujours aussi froide qui glaçait mes petites fesses. J'écartais un peu les cuisses pour apercevoir suffisamment la prison de mon pénis. Ayant la vessie pleine, je lâchais les vannes et un flot continue d'urine se dévidait dans les toilettes. Lorsqu'elle se retrouvait vide, je secouais un peu le carcan pour43 - Bureau. - D - -.- évacuer les goûtes qui pouvaient rester et je prenais du papier toilette afin de le sécher complètement. Je déposais l'appareil téléphonique sur le rebord du lave main et je commençais à m'habiller une nouvelle fois. Je débutais par les chaussettes afin d'ôter celle qui asséchait ma bouche. Je continuais par le jeans et le polo. Je terminais par le gilet sans manche et l'écharpe légère. Je tirais la chasse d'eau, j'abaissais la lunette et le couvercle des toilettes et je me rinçais les mains. Je me les séchais en jetant un dernier coups d’œil autour de moi. Mon palpitant n'avait cessé de battre la chamade. J'ouvrais délicatement la porte et je me retrouvais dans le vestibule. Au lieu de sortir par la porte qui donne directement dans le couloir, je passais par celle de côté. En regagnant le couloir principale, je croisais ma collègue qui se demandait ce que je pouvais faire et qui revenait de vérifier si j'étais encore aux toilettes. Je prétextais être passé dans la bibliothèque, qui justement, est dans cette partie excentrée des bureaux. Nous retournions dans la salle de pose boire notre café et grillé une tige de dix. Mon instinct avait eu raison de me faire sortir par la petite porte. 44 - Bureau. - D - -.-Ma tension était montée d'un cran et le moteur s'emballait encore plus. Ce repos écourté mais bienfaiteur me permettait de reprendre mes esprits et de calmer la mécanique. Nous retournions à nos postes de travail et reprenions nos dossiers.

 

        Merci à mes Masters, Master Eric et Maître Michael de faire progresser le slave que je suis.

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Samedi 29 septembre 6 29 /09 /Sep 08:00

Erreur fatale !

 

06 - Punition - D - -.-        Suite à la création d'un nouveau compte e-mail par Maître Michael, je me connectais pour me familiariser avec ce serveur. Ma première surprise humiliante fut la signature qu'il avait créée et qui serait en accompagnement de tous les mails en provenance de cette adresse. La seconde stupéfaction frustrante c'est que les Masters étaient avertis des mails arrivant et de toutes les réponses que je pouvais écrire. Ils en avaient un contrôle absolu au désespoir du slave. Je découvrais les différents onglets et par mégarde, je détruisais un e-mail reçu. Reconnaissant mon erreur, j'en avertissais immédiatement Maître Michael. Malheureusement toutes mes excuses ne l'émouvaient pas d'un yotta. Il commanda une punition dégradante ! Une photographie du slave à genoux, cuisses écartées, mains sur la tête dans ses toilettes. À mon grand regret je m'exécutais. Je renouvelle ici mes excuses à mes Maîtres.

        Je vous prie Masters, de bien vouloir me pardonner mon erreur fatale et d'accepter mes excuses les plus sincères.

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Vendredi 28 septembre 5 28 /09 /Sep 07:00

Corvée du jeudi 27 septembre :

28 - Bureau. - D - -.-

          Ne travaillant pas ce jour, je me levais comme d'habitude pour saluer mes Maîtres avant qu'ils ne partent vaquer à leurs occupations. Après plusieurs échanges, Maître Michael me congédiait en me commandant de terminer ma grâce matinée nu sur le sol de ma chambre. Je m’exécutais en éteignant mon ordinateur. Je m'allongeais sur le sol dur et froid ! D'habitude, j'avais un tapis pour adoucir la dureté de la dalle et comme isolation contre la fraîcheur de celle-ci. Malheureusement, sur suggestion et recommandation de certains commentaires, Master Michael m'avait ordonner de supprimer tous les tapis dans ma chambre et les toilettes. Étant nu en permanence chez moi lorsque je suis seul,29 - Bureau. - D - -.- seule tenue autorisée par mes Masters, mes plantes de pieds ressentaient de plus en plus la froideur du sol. Me retrouver complètement nu, allongé sur cette dalle, le refroidissement gagnait progressivement tout mon corps. La dureté du planché ne facilitait pas le ré-endormissement ! 30 - Bureau. - D - -.- Àforce de me tourner dans tous les sens pour trouver une position la moins inconfortable possible, à regret, je n'avais plus envie de dormir. Dépité et désespéré de pouvoir faire une grâce matinée, je me résignais à me lever et je buvais un café pour dissiper les brumes matinales de mon cerveaux. Je passais31 - Bureau. - D - -.- ensuite à la salle de bain pour la toilette et pour, malheureusement, refaire tous les tags journaliers sur le corps. En prenant le feutre rouge, couleur du jeudi, je décidais pour une meilleur lecture, que les rapport serait de la 32 - Bureau. - D - -.-même couleur à l'exception du lundi. Le fond étant déjà noir, le texte sera donc blanc pour le contraste. Assis sur le bord de la baignoire, je débutais les graffitis sur ma cuisse gauche avec la date du jour, celle de droite le numéro d'enregistrement du slave. Je continuais, à contrecœur, par l'appartenance du slave. Je terminais, malgré moi, par la situation dégradante et humiliante de mon malheureux pénis, martyrisé en permanence par les picots et de mes testicules gonflées un maximum, débordantes de semence depuis plus d'un an d'abstinence et de frustration. Avant de sortir33 - Bureau. - D - -.- de la salle de bain, je prenais le premier cliché. Je passais dans ma chambre pour la séance photos. Avant de la débuter, je pliais mes vêtements en les déposant au sol. Je roulais une chaussette que j'enfournais dans ma malheureuse petite bouche. 34 - Bureau. - D - -.-La session pouvait alors démarrer. Je photographiais mes habits rangés suivant les directives. Je continuais par la date du jour sur la cuisse gauche. Celle de droite suivait en portant le35 - Bureau. - D - -.- numéro du slave. Je poursuivais par la chaussette dans ma déplorable bouche asséchée. La séance se prolongeais avec le torse qui porte l'appartenance du slave. La session continuait avec la situation déplorable de mon malchanceux pénis brimé dans son carcan. Enfin, se terminait cette séance par une prise de vue de pieds du bâtard. Je remballais tout mon matériel et je me rendais à mon ordinateur pour enregistrer ces cliché humiliants et dégradants. Sur ces entre-faits, le téléphone sonna. Je stoppais tout pour répondre et faire une petite pose.

 

          Merci à mes Maîtres pour cette journée de repos.

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Jeudi 27 septembre 4 27 /09 /Sep 12:15

bonjour a tous

 

Hesitez pas à contacter la sous merde avec la nouvelle adresse mail. Le batard et ses masters ont accès à cette boite mail. la sous merde  n'a pas le droit de supprimer le moindre messages sous peines de sanctions.

Master Mickael a de son coté crée une signature grâce au logiciel qu'il utilise pour réceptionner les messages. il a réussi à la mettre en place aussi quand la sous merde répondra depuis la boite de reception GMAIL

 

 

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Mercredi 26 septembre 3 26 /09 /Sep 18:30

Corvée du mardi 25 septembre :

 

21 - Bureau. - D - -.-

          Je me levais un peut plus tard que d'habitude pour saluer mes Masters avant qu'ils ne partent au travail. Maître Michael m'informait qu'il allait créer une nouvelle adresse e-mail pour le slave. Je ne disais rien mais j'avais des craintes sur le nom de cette nouvelle coordonnée et ce que j'allais trouver22 - Bureau. - D - -.- sans mon consentement. Maître Michael prenait congé et de mon coté je refermais mon ordinateur. Je terminais ma grâce matinée. Je me m'éveillais en sur saut car j'avais la trique. Contrarié par la cage et malmené par les picots mon malheureux 23 - Bureau. - D - -.-gland souffrant me réveilla en me rappelant à l'ordre…. Après avoir bu un bon café expresso pour reprendre mes esprits, je passais à la salle de bain pour ma toilette. Terminé, je prenais le marqueur bleu pour refaire les notations sur le corps. Le bleu étant attribué pour le mardi. 24 - Bureau. - D - -.-Je commençais par la cuisse gauche avec la date du jour. Je continuais avec la droite et le numéro du slave. Sur le torse j'inscrivais l'appartenance et je terminais par le pubis et son nouveau graffiti. La maudite cage continuait à martyriser le malheureux gland dans son carcan. Je passais dans la chambre et je posais au sol mes vêtements qui se trouvaient sur le lit. Je roulais mes chaussettes que j'enfournais, tant bien que mal, dans ma gueule. Je débutais par un cliché de la cuisse gauche, puis celle de droite, les chaussettes dans ma bouche, 25 - Bureau. - D - -.-le torse et le pubis. Je terminais ce travail quand le téléphone sonna. Un ami m'appelait et nous restions 40 minutes à échanger. Lorsque je raccrochais, je passais de nouveau à la salle de bain pour effacer tous ces graffitis ignobles. Je déteste ces marqueurs indélébile car seul le26 - Bureau. - D - -.- white spirit arrive à détruire ces tatouages. J'avais bien tenter, au début, un marqueur effaçable mais ce n'est possible que si on photographie de suite le marquage. Comme je dois maintenant le faire dans ma salle de bain en avance, ayant de 27 - Bureau. - D - -.-plus en plus de références, les vêtements estompaient les écris. Je m'étais donc résigner à en trouver sans odeur qui ne pouvaient être qu’indélébiles. Malheureusement, il a fallut que je prenne un lot complet des 4 couleurs de base car, ceux au détaille, avaient tous une odeur plus ou moins forte et très repérable. Lorsque tout le marquage avait disparu, je reprenais une douche en savonnant bien les parties du corps qui avait été en contact avec ce produit corrosif. Je me séchais après m'être bien rincé. Comme je devais sortir faire des courses, je m'habillais avec mes vêtements au sol.

          Merci à mes Masters pour les progressions du slave.

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Mardi 25 septembre 2 25 /09 /Sep 08:48

Bonjour à tous

 

une nouvelle adresse mail pour contacter notre slave vient d'être créee.

 

Dorenavant il est possible de le contacter sur l'adresse mail suivante : slave.411103335@gmail.com

 

 Nous controlerons tous les mails qui arriveront sur cette adresse mail

 

cordialement

 

Ses masters

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Lundi 24 septembre 1 24 /09 /Sep 18:30

Corvée du lundi 24 septembre :

 

12 - Bureau. - D - -.-

        Maître Michael donnait ce matin les instructions pour le changement du temps de travail. Les lundis et vendredis le travail aux toilettes continuera comme d'habitude. Un changement tout de même suite aux commentaires, je dois poser mes vêtements pliés au sol et mes chaussettes dans ma bouche. Pour les mardis et jeudis, ce travail se fera à mon domicile dans la chambre. Pour les différentes couleurs il a été décidé que le lundi le marqueur noire sera utilisé, le mardi sera le bleu, le jeudi le rouge et le vendredi, ce sera le vert. Ainsi chaque jour aura sa propre couleur. Les Masters rappelaient aussi les changements validés pour les inscriptions sur le torse et le pubis.

        Je passais à la salle de bain pour ma toilette. Terminé, je prenais le marqueur noir et, assis sur le bord de la baignoire, j'inscrivais la date du jour sur ma cuisse gauche et le numéro du slave sur celle de droite. Devant le miroir j'inscrivais à l'envers13 - Bureau. - D - -.- sur mon torse : "Sous-merde de Master Eric et de Maître Michael" suite à la validation du commentaire réclamant cette modification. En ce qui concerne mon pubis, j'écrivais pour la première fois, à contre-cœur, "Nouille en cage depuis le 16-07-17." Les inscriptions ne sont pas toujours lisible pour une première fois. Elles ne 14 - Bureau. - D - -.-pourront que s’améliorer. Cela fait plus d'un an que je n'ai pu me masturber et jouir !!! Lors de mes différentes hospitalisations, n'ayant pas pû avoir d'instructions, je m'étais obligé et contraint à ne pas jouir, me toucher le moins possible, ayant dû ôter la cage. C'était d'autant plus humiliant et frustrant cette astreinte que je15 - Bureau. - D - -.- m'imposais. Parfois, les traitements lourd aidaient à cette abstinence. Après avoir réalisé tous ses écris sur le corps, je photographiais ces références suivant les nouvelles directives et je m'habillais pour partir au travail. En arrivant, je saluais les personnes présentes qui me demandaient de mes nouvelles. Après les avoir 16 - Bureau. - D - -.-informé de mon mi-temps, je me rendais à mon bureau. Je posais mon gilet sur le dossier du fauteuil et je me mettais au travail. Dans la matinée, une envie d'uriner se faisais de plus en plus pressente. Je vérifiais que personne ne me voyais et je me rendais aux toilettes. Les picots de la cage ne cessaient de martyriser mon pauvre gland et mon palpitant se mit à battre la chamade. Je refermais rapidement la porte derrière moi. Je commençais à me déshabiller et à plier mes vêtements suivant les dernières instructions. Je les posais au sol, les uns sur les autres. Mes chaussettes, je les roulais en boule et je les enfournais dans ma malheureuse bouche. Elle devint sèche très rapidement sans pouvoir la ré-humidifier. Mon cœur continuait à battre de plus en plus fort et rapidement ! Je prenais les premiers clichés de mes vêtements au sol, de la date inscrite sur ma cuisse gauche, le17 - Bureau. - D - -.- numéro de slave sur celle de droite, les chaussettes dans la gueule, l'appartenance de la sous-merde sur le torse et, pour terminer, la nouvelle inscription sur le bas du ventre et le pubis. J'avais l'impression de devenir un homme sandwich avec toutes ces références qualifiant le slave que je suis. Je terminais par une photo de 18 - Bureau. - D - -.-pieds. Je relevais le couvercle et la lunette des toilettes à contre cœur. Je m'asseyais sur la faïence glacée qui refroidissait mes pauvres petites fesses. J'écartais les cuisses et je lâchais les vannes. Je prenais une nouvelle photo. Terminé, je séchais le bout de la cage où quelles que goûtes stagnaient.19 - Bureau. - D - -.- J'enlevais les chaussettes pour pouvoir ré-humidifier mon malheureux palais. Je posais un instant le téléphone sur le bord du lavabo. Je me rhabillais en me hâtant. Le palpitant allait exploser et sortir de ma cage thoracique. Mon pauvre gland ne cessait d'être supplicié. Je tirais la chasse d'eau. Je rabattais la lunette et le couvercle. Je me lavais les mains et je me les séchais. Je repositionnais le téléphone dans la poche frontale de mon gilet sans manche. Je jetais un dernier coups d’œil autour de moi pour vérifier que je n'avais rien oublié. Entendant des voix dans le couloir, j'ouvrais la porte délicatement. Je sortais des toilettes dans un vestibule et je regardais discrètement d'où venait ces voix. Elle sortaient du bureau du directeur qui se trouve juste en face de la porte de ce local. Heureusement pour le slave, sa porte était au trois quart fermée. Je regagnais avec 20 - Bureau. - D - -.-soulagement mon poste de travail tout en étant frustré et humilié de porter tous ses écris sur moi et encore plus, d'avoir du faire tout ce reportage photo qui sera publié sur le blog. Je n'avais plus qu'une hâte, de rentrer chez moi ce midi afin d'effacer tous ces slogans humiliants et dégradants.

         Je remercie mes Masters et les visiteurs de ce blog pour leurs compréhensions lors de mon absence de la semaine dernière.

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Lundi 24 septembre 1 24 /09 /Sep 06:30

Malaise à domicile.

 

        Jeudi matin, en faisant ma toilette dans la salle de bain, je faisais un malaise. Je restais un certain temps sur le sol. Quand j'avais enfin repris conscience, je téléphonais à ma doctoresse car, le jeudi, elle fait des consultations à domicile. Elle m'annonçait qu'elle arrivait de suite étant en route pour son premier rendez-vous et se trouvant proche de mon domicile. Me regardant dans la miroir, je réalisais que j'avais les attributs du slave sur moi. J'enlevais précipitamment le collier que je cachais entre deux serviettes de toilette. Je me rendais en cuisine pour prendre les clefs du cadenas de la cage qui se trouve dans un bloc de glace au congélateur. J'allais le prendre quand on sonna à la porte. C'était déjà le médecin qui arrivait. J'enfilais rapidement mon pantalon et j'allais lui ouvrir torse nu. Heureusement pour moi, je n'avais pas encore fait les inscriptions du jour. Assis sur le canapé, elle me prenais la tension qui était basse. Elle m'annonçait que je faisais une hypotension et que je devais me rendre aux urgences de l'hôpital pour plus d'examens. 05 - Présent. - D - -.-Elle appelait les pompiers qui arrivaient une dizaines de minutes plus tard. Ils m’emmenèrent et j'étais pris en main par le service médicale. Le plus compliqué a été de me déshabiller en dissimulant tant que possible la cage. Mon palpitant battait à tout rompre. J'avais l'impression qu'il allait défoncer ma cage thoracique. Je me sentais honteux et humilié avec cette maudite cage. Me retrouvant seul, un instant, dans un boxe, j'en profitais pour ôter le jeans et mettre leur blouse. Le médecin ordonnait une prise de sang après avoir repris ma tension toujours basse. J'allais rester 24 heures aux urgences en observation. Le vendredi matin, mon cardiologue et mon chirurgien passaient me voir. Ils m'annonçaient que ce n'était qu'une baisse de tension lié certainement à de la fatigue car j'avais demandé à reprendre le travail à plein temps contre leur avis. Ils me faisaient un arrêt de trois jours. Les documents pour une reprise à mi-temps pendant trois mois comme ils avaient préconisés début septembre à ma sortie et que j'avais refusé. Un rendez-vous était pris pour décembre, juste avant les fêtes pour décider de la suite à donner. Un ambulancier arriva pour me ramener chez moi. Je me rendais au bureau pour apporter les certificats médicaux au directeur. Nous nous mettions d'accord pour mes prochains horaires. Je travaillerai le lundi au bureau toute la journée. Le mercredi, je continuerai le suivi des familles à domicile. Le vendredi matin, je compléterai mes heures manquantes de la semaine pour arriver à 17h30 hebdomadaire. Je retournais chez moi avertir mes Masters qui réclamèrent un mot explicatif sur le blog et une photo du slave à genoux dans ses toilettes, cuisses écartées, mains sur la tête et porte ouverte. Ce dernier commandement était de nouveau humiliant et dégradant. Ce cliché allait compléter l'explication de mes déboires ci-dessus.

        Je prie mes Masters, les Maîtres et les Visiteurs du blog de bien vouloir me pardonner pour ce contre temps et cette modification de mes horaires de travail.

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Jeudi 20 septembre 4 20 /09 /Sep 07:30

Nouvelle corvée.

 

06 - Bureau. - D - -.-        Maître Michael me faisait part de la demande de Monsieur Alain qui désirait voir l'état de ma rondelle. Quand je passais à la salle de bain pour ma toilette et mettre à jour les inscriptions journalières, j'en profitais pour satisfaire la réclamation de ce Maître. Je m'habillais et je me préparais à partir au bureau affublé, non seulement des attribut du slave mais07 - Bureau. - D - Copie aussi de toutes ses références sur son corps ! J'arrivais dans les premiers et après avoir salué les personnes présentes je regagnais mon poste de travail. Dans la matinée une grosse commission se préparait. Je vérifiais que personne n'était dans les parages et honteux des tatouages que je 08 - Bureau. - D - -.-devais porter, je me rendais aux toilettes. Je me déshabillais en accrochant mes vêtements aux patères sur la porte. Je déposais le portable sur le bord du lavabo. Quand je me retrouvais dans la tenue d'un nouveau né, je préparais l'appareil photo. Je prenais un premier cliché de la date du jour. Je continuais avec le numéro du slave et je09 - Bureau. - D - -.- poursuivais par son appartenance. Pour terminer, je photographiais le bâtard de pieds. La grosse commande devenait de plus en plus pressente. Je relevais le couvercle et la lunette à contre cœur. Je m’asseyais sur le bord de la faïence de la cuvette. Le froid de celle-ci glaçait mes petites fesses. J'écartais un peu les cuisses suivant les 10 - Bureau. - D - -.-instructions. Je lâchais les vannes. Je sentais le flot remonter dans l’urètre et sortir en flot continu. J'en profitais pour immortaliser le jet. Avec soulagement, je ressentais ma vessie se vider. Lorsqu'elle avait presque terminé sa vidange, c'est la côlon qui se mettait à pousser ! Un gros bronze en sorti. Je me retrouvais soulager d'une grosse commission. Je nettoyais ma rondelle et je séchais le bout de la cage où des gouttes d'urine perlaient. Les picots recommençaient à maltraiter mon malheureux gland. Je me rhabillais rapidement et je rangeais la téléphone dans sa poche. Je me lavais les mains et je me les séchais. Je tirais la chasse d'eau et je remettais la lunette et le couvercle des toilettes11 - Bureau. - D - -.- en place. Je vérifiais sur moi et autour de moi si je n'avais rien oublié et j'ouvrais la porte. Mon palpitant jouait la chamade. J'avais l'impression qu'il allait défoncer ma poitrine. Je jetais un coups d’œil et je regagnais mon poste de travail.

        Merci à mes Masters.

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Lundi 17 septembre 1 17 /09 /Sep 20:00

Nouvelle corvée.

 

01 - Bureau. - D - -.-        Le mercredi j'avais la corvée hebdomadaire avec les inscriptions sur mon corps. Le marqueur ordinaire que j'utilisais avait une odeur forte et très repérable. En fin d'année, je me rendais dans une papeterie pour en trouver un sans odeur. La vendeuse me conseillait une boite de 4 marqueurs, sans odeurs, les 4 couleurs de bases : noir, rouge, bleu et vert. Elle n'avait pas de couleur noir en individuel n'ayant aucune odeur. Je me résignais à acheter ce lot ne sachant pas ce que je ferai des couleurs que je n'aurai pas besoin.

        Mon planning ayant évolué je me retrouve dans l'incapacité d'honorer mes Masters réalisant cette maudite corvée ce jour là. Je les en informais. Après concertation, ils décidèrent que ce travail de soumission deviendrai, cette année, à mon grand désespoir, journalier ! Chaque jour où je serai au bureau, soit le02 - Bureau. - D - -.- lundi, mardi, jeudi et vendredi. Je devrai noter sur une cuisse la date du jour, sur l'autre mon numéro de slave et sur le torse mon appartenance. À ma grande déception, ce matin, Maître Michael m'ordonnait de débuter cette routine dégradante dès aujourd'hui. Allant partir, je me résignais à passer avant à la salle de bain pour réaliser tous les écrits. Sur la cuisse droite je notais la date du jour : Lundi 17 septembre 2018, sur la gauche mon numéro : Slave N° 411-103-335. Je terminais par le torse en écrivant mon appartenance : Slave de Master Éric et de Maître Michael. Je me rhabillais précipitamment. J'arrivais un peu en retard prétextant que la reprise était difficile, ce qui n'est pas tout à fait faux. Heureusement seul l'hôtesse d'accueil et le directeur étaient présent à l'ouverture. En fin de matinée, une 03 - Bureau. - D - -.-envie d'uriner se faisait de plus en plus pressente. Contraint et résigné, je me rendais aux toilettes les plus proches. Je sortais le portable de la poche frontale de mon gilet sans manche et je le posais sur le rebord du lavabo. Je continuais à me dévêtir. Je me retrouvais nu comme un vers. Je préparais l'appareil photo du téléphone en activant le retardateur car Maître Michael, suite aux commentaires désobligeants des Maîtres qui me suivent, avait réclamé que je refasse la photo à genoux mains sur la tête, en plus les cuisses bien écartées ! Je me résignais à réaliser sa demande. Je lançais le retardateur et positionnais le téléphone contre une de mes basket pour qu'il soit en bonne position. Je me mettais à genoux écartant mes cuisses et je positionnais mes mains sur ma tête. J'attendais quelles que04 - Bureau. - D - -.- secondes le déclenchement de l'appareil. Je me relevais et je prenais un cliché de la date, du numéro de slave et je terminais par le torse et son inscription d'appartenance. J'avais de plus en plus envie d'uriner. Je relevais la lunette de je m’asseyais sur la faïence glacée des toilettes les cuisses bien écartées suivant les injonctions de mes Masters. Une position humiliante, dégradante et frustrante ! Je lâchais les vannes et j'asséchais ma vessie. J’immortalisais, à contre cœur, cette vidange. Terminé, j'essuyais le bout de la cage avec du papier toilette où des goûtes d'urines perlaient encore. Les picots intérieurs ne cessaient de martyriser mon malheureux gland. Je tirais la chasse d'eau et je remettais en place la lunette. Je m'empressais à me rhabiller et je camouflais mon portable dans la poche du gilet. Je sortais et je regagnais mon 05 - Bureau. - D - -.-poste. Heureusement ce matin, je me retrouvais seul avec le directeur qui avait son bureau en face de la porte du vestibule des toilettes. S'étant rendu à l'accueil, j'en avais profité pour m'éclipser à l'anglaise. Il n'était toujours par revenu quand je regagnais mon bureau pour mon grand soulagement. Je devrai recommencer cette corvée humiliante et dégradante demain !

        Merci à mes Maîtres pour la confiance qu'ils ont mis dans ma personne de slave.

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Dimanche 16 septembre 7 16 /09 /Sep 18:00

Repentance du slave.

 

04 - Présent. - D - -

      Comme je recommençais à pigner à chaque fois que mes Masters donnaient des ordres humiliant et dégradant, cela, de nouveau, les agaçaient. C'est pourquoi je présentes toutes mes excuses envers mes Maîtres et que, dorénavant je dois ne plus pigner chaque fois qu'ils demandent à leur sous-merde, que je suis, un travail. Ceci est valable aussi vis a vis des commentaires mis en ligne par les Masters ou les différents visiteurs du blog du bâtard dans les différents articles . C'est pourquoi, comme sanction, les Masters du slave ont décidés qu'il poste, en complément de ces excuses, une photo du bâtard à genoux, les mains sur la tête non floutée. Ce cliché nu, tondu intégralement, à genoux, mains sur la tête, le collier au coup avec sa médaille et le pénis dans une cage avec des pics intérieurs pour mieux maltraiter le gland est très humiliant et dégradant. C'est pourquoi, je ferai mon possible pour ne plus faire des observations médisantes ou des commentaires déplacés. Un bâtard comme moi ne peut avoir des états d'âme. Il ne vit que pour plaire et satisfaire ses Masters et réaliser les propositions validées par eux.

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Dimanche 16 septembre 7 16 /09 /Sep 17:40

Rasage Complet.

03 - Présent. - D - -

      Maître Michael commandait que je sois lisse et plus un poil sur le corps. À contre cœur, je me décidais à exécuter cette corvée car un bâtard comme moi ne peut être viril ! Il me fallait donc raser toute ma pilosité. Je commençais par le crâne puis le visage. Je continuais par le torse, les jambes, les bras et les aisselles. Je redonnais une fraîcheur à mon pubis pour terminer cette tonte intégrale du slave. Afin que mes Masters puissent vérifier ainsi que les visiteurs du blog de "bastardakc", je prenais un cliché de pieds, la tête non floutée, suivant les consignes reçues de mes Maîtres. Après avoir rédigé un mot pour accompagner cette photo dégradante du slave, je mettais en ligne cette présentation de mon retour en activité après une longue convalescence.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Instructions - Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Vendredi 14 septembre 5 14 /09 /Sep 12:20

Les vêtements en attente de livraison.

 

      Après réflexion et concertation les Masters de la sous-merde ont décidés que la salope doit commander le plus rapidement les références suivantes en remplacement des sous-vêtements existants. Pour le string et le jock-strap il vous seront proposés très prochainement.


Chez INDERWEAR :    Livraison prévu Lundi 17 Septembre.

 

      FLIP Short Flip Blanc - Taille : S

Lien : https://www.inderwear.com/51-short-homme-sport/24591-short-flip-blanc-rufskin.html

 

   AND6415 Short Laurel Jogger Blanc - Taille : L      (il n'y avait plus que cette taille)

Lien : https://www.inderwear.com/51-short-homme-sport/25001-short-laurel-jogger-blanc-andrew-christian.html

 

          Chez OVEMO :     Livraison prévu Lundi 24 Septembre au plus tard.

 

   Lookme Shorty Agent double 1 - Taille : S    (Proposition de Master Phénix)

Lien : http://www.ovemo.com/product_info.php?products_id=115408#.W5tabc-YQdU

 

    Lookme Boxer Hunter - Taille : S

Lien : http://www.ovemo.com/product_info.php?products_id=900838#.W5tbBc-YQdU

 

   Joe SNYDER Boxer AW Boxer - Taille : S

Lien : http://www.ovemo.com/product_info.php?products_id=137612#.W5tbZM-YQdU

 

    GIGO Shorty de bain Hotenc - Taille : S

Lien : http://www.ovemo.com/product_info.php?products_id=143168#.W5tbo8-YQdU

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Présentation

  • : Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335
  • Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335
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  • : Sous-Merde propriété de Master Eric et Maître Mickaël. Il fait aussi ce que les Visiteurs demandent. Ce n'est pas un mâle mais une sous-merde, et il doit être traité comme tel. À la disposition de tous les Maîtres et slaves au Téléphone, en Web-cam sur Smboy ou Skype... Prises de photo et rapports publiés ensuite sur le blog sous le contrôle de ses Maîtres.
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