Mardi 2 octobre
2
02
/10
/Oct
13:00
Suivi de la commande :
La société "Ovemo" nous a fait savoir qu'ils étaient
en rupture des produits de la marque "Joe Snyder". La livraison de ce fournisseur est prévue pour la fin du mois d'octobre. Ils se mettront à jour des commandes en suspens dès la
réception des produits. Ils auront la possibilité de se mettre à jour avec les commandes en suspens. C'est pourquoi la livraison des sous-vêtements tarde. Elle sera honorée dès les premiers
jours de novembre si aucun autre dysfonctionnement n'entrave cette commande.
Le slave et ses Maîtres, Master Éric et Maître Michael.
Par Bâstard a KC slave n°411-103-335
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Publié dans : Nouvelles Infos
2
Lundi 1 octobre
1
01
/10
/Oct
13:00
Corvée du lundi 1er octobre
2018 :
Je me levais
et je me faisais un café le temps que mon ordinateur se mette en marche. Je saluais mes Masters. Après quelques échanges, je
passais à la salle de bain. La veille, le dimanche, j'avais rafraîchi le rasage du corps. Ce matin je me retrouvais donc lisse comme un nouveau-né. Je faisais ma toilette et je prenais une
douche pour me réveiller complètement. Avant de m'habiller, je prenais le marqueur noir, couleur du lundi, et je commençais à inscrire toutes les références sur le corps. Devoir chaque journée
renouveler ces graffitis, devenait chaque jour un peu plus humiliant et dégradant ! Je débutais par la cuisse gauche, assis sur le rebord de la baignoire, j'inscrivais la date du jour, soit
le lundi 1er octobre 2018. Je continuais par la cuisse droite qui recevait le numéro d'enregistrement du slave : 411-103-335. Je me levais face au miroir pour la suite des références.
Sur le torse, je notais l'appartenance de la sous-merde et je terminais par le bas-ventre et le pubis qui recevaient la date de mise sous chasteté. Date de plus en plus dégradante et humiliante
au fur et à mesure
que les jours, les semaines et les mois passent. Quand le corps du slave avait sur lui toutes ses marques et ses références, je prenais le portable pour le
premier cliché de pieds dans la salle de bain. Je m'habillais avec un jean, une paire de baskets blanche, un pull col roulé mi-saison et mon gilet sans manches qui me sert à ranger
certaines affaires dont le portable dans une des poches frontales. Je me mis à sentir les picots empaler mon pauvre gland ! Une érection avortée
s'ensuivait. Plus je tentais de calmer mon pénis et plus mon gland s'excitait sur ses geôliers ! Je prenais ma veste, une écharpe et un bonnet car une pluie
ininterrompue tombait depuis la veille. En sortant, le froid humide calmait ma trique. J'arrivais sur mon lieu de travail et je saluais la secrétaire déjà présente. Je montais à l'étage et je me
rendais à mon bureau. Au passage, je saluais la secrétaire comptable qui m'avait devancée de quelques minutes. Je me mis à sentir
de nouveau une érection qui s'empalait à nouveau sur les pics de la cage. Plus je m'interdisais de bander et plus les geôliers excitaient mon malheureux gland ! Je
m'empressais de rejoindre mon poste de travail pour ne pas alerter ma collègue. Mon palpitant en profita pour s'emballer. Je posais ma veste, mon écharpe et mon bonnet sur le dossier de mon
fauteuil. Je lançais mon ordinateur et je prenais place dans le siège. Je commençais à travailler lorsque le
directeur arriva. Il me saluait et nous échangions des politesses. J'essayais de me concentrer sur mes dossiers, mais mon gland continuait à jouer avec les picots. Je
tentais de contrôler ma respiration en évitant des gémissements trop fort. J'avais de plus en plus de mal à canaliser mes esprits. Mon souffle devenait de plus en plus saccadé et rapide. Ne
maîtrisant plus personne et sentant ma vessie de plus en plus remplie, je me résolvais à exécuter la séance photo aux toilettes. Je me levais sans avoir, auparavant, espionner le couloir. Un
groupe de stagiaires montaient les escaliers et nous nous croisions dans le couloir. Mon cœur se remit à battre la chamade synchronisée avec les hallebardes qui tombaient à l'extérieur et se
fracassaient sur les baies vitrées. Je fermais la porte derrière moi et je posais sur un coin du lavabo mon téléphone. Mon moteur était toujours emballé. Je posais sur mes chaussures mon
pantalon, puis mon gilet et mon pull. Je sentais toujours les tortionnaires torturer leur prisonnier. Cette souffrance ne calmait pas mon palpitant qui continuait ses
frasques. À contre cœur, je me déchaussais et j'enfournais dans ma gueule de slave, la plante des pieds des chaussettes. Ma plante des pieds nus sentit le froid du
carrelage qui allait réfrigérer progressivement, non seulement mes pieds, mais aussi remonter dans mes mollets. Je prenais le portable et je débutais la séance photo. J'entendais dans le couloir,
des voix qui allaient et venaient ce qui m’angoissait encore plus. Je photographiais mes vêtements au sol. Je
continuais par la date du jour et le numéro d'enregistrement du slave. Pour la première fois, je sollicitais ma malheureuse gueule gobant la plante des pieds de mes
chaussettes. Je poursuivais par le torse où était transcrite l'appartenance de la sous-merde. Ensuite, la date de mise en cage de mon malheureux sexe était dans la boîte. Je
prenais un dernier cliché du slave en entier. Le couvercle
et la lunette des toilettes étaient restés ouverts. Je m’asseyais sur la faïence glacée qui refroidissait aussitôt mes petites fesses roses. Je poussais pour faire
sortir les premières goûtes d'urine malgré l'érection avortée. De lâcher ainsi les vannes, me fit débander progressivement. J'en profitais pour prendre le dernier cliché de la journée assis
sur le trône. Lorsque ma vessie fut vidangée, je secouais la cage de chasteté pour évacuer l'urine qui pouvait stagner. Je prenais un peu de papier toilette et je terminais de la sécher. Je me
relevais frustré et humilié par cette nouvelle séance. Je tirais la chasse d'eau et je commençais à me rhabiller. J'enfilais mon pull, mon gilet, avec grand plaisir mes chaussettes que j'enlevais
de leurs lieux de rangement et que je remettais à leur place initiale et mes chaussures. Je me lavais les mains, me les rinçais et je me les séchais. Mon cœur s'était régulièrement
calmé
ainsi que mon pénis. Je rangeais mon
téléphone dans une des poches frontales de mon gilet. Je vérifiais autour de moi et n'ayant rien oublié, j'ouvrais la porte. Je sortais dans le vestibule puis dans le couloir qui était devenu
désert à ma grande satisfaction. Je regagnais mon bureau et je reprenais mon travail en cours.
Bonne journée à mes Masters et merci pour cette
"aventure".
Par Bâstard a KC slave n°411-103-335
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Publié dans : Labeurs Journaliers
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Dimanche 30 septembre
7
30
/09
/Sep
08:00
Corvée du vendredi 28 septembre :
Je saluais mes masters, dès que je me levais, comme à l'accoutumé. Suite à ma gaffe d'exploration du nouveau serveur où Maître
Michael avait créé une nouvelle adresse e-mail et malgré mes excuses immédiates, il ordonnait une punition. Je faisais le cliché demandé dans mes toilettes avant de passer à la salle de bain pour
réaliser les références journalière sur mon corps. Avant de réaliser ces écrits, je faisais ma toilette journalière et je terminais par une douche bienfaitrice. Sur le tapis de bain, debout, je
me séchais le mieux possible. J'allais chercher le marqueur vert, couleur choisi par les Maîtres, pour le vendredi. Je débutais, assis sur le bord de la baignoire, par inscrire la date du jour
sur la cuisse gauche. Je continuais par la droite en notant le numéro d'enregistrement du slave. Debout devant mon miroir, je transcrivais sur mon torse, l'appartenance de la sous-merde. Je
terminais par le bas du ventre et le pubis en rappelant la date de mise sous cage de mon malheureux pénis en abstinence depuis plus d'un an ! Suivant les instructions, je prenais le premier
cliché de
pieds dans ma salle de bain avant de
m'habiller pour me rendre au bureau. J'enfilais mes chaussettes, mon pantalon, un polo et mon gilet sans manche où je rangeais dans une des poches mon portable pour réaliser le reportage photo
journalier à mon grand désespoir. Je buvais un dernier café après avoir avalé mes traitements. J'enfilais un gilet en laine et une petite écharpe que je garderai tout le temps où je travaillerait
afin de dissimuler le collier et principalement la
médaille humiliante. Malgré la
connaissance de cette parure dégradante par mes collègues, j'avais toujours, et encore plus chaque jours, de plus en plus honte de la porter en public. Malgré tous mes subterfuges pour la
camoufler le mieux possible, principalement la médaille, je me sentais toujours autant frustré et humilié de la porter en permanence sur moi sauf de rares exceptions que je remercie mes Masters
d'accepter ces dérogations. Je fermais ma porte
à clef avec toutes ses pensées qui
s'entrechoquaient dans ma petite tête. Arrivée sur mon lieux de travail, je saluais les collègues présents et quelles que mères de familles qui attendaient pour des inscriptions. Je montais à
l'étage et je retrouvais mon poste de travail. Je posais sur le dossier de mon fauteuil, mon gilet. Je prenais place en attendant que mon ordinateur se mette en marche. Ma voisine et collègue
arriva sur ses entre faits. Nous
échangions un instant sur nos projet
de week-end. J’omettais délibérément quelles que détailles dégradants des desseins de mes Masters. Je me plongeais dans mes dossiers. En milieu de matinée, ma collaboratrice, proposait un pose
café-cigarette. Cette coupure tombait à pic car une envie de plus en plus pressente me tiraillais le ventre. Je l'invitais à me servir un café en attendant que je me soulage d'une grosse
commission. Excuse pour justifier mon absence prolongé dans les toilettes. Mon palpitant se mit à battre de plus en plus fort. Je refermais la porte à clef derrière moi. Je commençais à me
déshabiller en posant mes vêtements sur mes chaussures. Le jeans en premier, puis l'écharpe, le gilet sans manche où je retirais le portable que je posais en attente sur le lavabo, le polo que je
pliais et mes chaussettes. J'en laissais une avec mon tas d'habit au sol. La seconde, je la roulais sur elle même et je l'enfournais dans ma petite gueule de bâtard. Je relevais le couvercle et
la lunette des toilettes. Tout était en place pour démarrer la chronique photo. Je prenais le portable et j’actionnais
l'appareil photographique. Je
débutais le reportage journalier, humiliant et frustrant, par mes affaires sur le carrelage. Je continuais par ma cuisse gauche avec la date du jour, la cuisse droite suivait avec le numéro
d'enregistrement du slave. Je continuais par la chaussette roulée dans ma petite gueule, suivait l'appartenance de la sous-merde. Je poursuivais par la date dégradante de la mise en abstinence de
ma malheureuse queue et je terminais cette première
série par un cliché de pieds. Mon
cœur battait toujours aussi fort et je tendais l'oreille afin de vérifier que personne ne pouvait m'entendre. Je m'asseyais sur la faïence toujours aussi froide qui glaçait mes petites fesses.
J'écartais un peu les cuisses pour apercevoir suffisamment la prison de mon pénis. Ayant la vessie pleine, je lâchais les vannes et un flot continue d'urine se dévidait dans les toilettes.
Lorsqu'elle se retrouvait vide, je secouais un peu le carcan pour
évacuer les goûtes qui pouvaient
rester et je prenais du papier toilette afin de le sécher complètement. Je déposais l'appareil téléphonique sur le rebord du lave main et je commençais à m'habiller une nouvelle fois. Je débutais
par les chaussettes afin d'ôter celle qui asséchait ma bouche. Je continuais par le jeans et le polo. Je terminais par le gilet sans manche et l'écharpe légère. Je tirais la chasse d'eau,
j'abaissais la lunette et le couvercle des toilettes et je me rinçais les mains. Je me les séchais en jetant un dernier coups d’œil autour de moi. Mon palpitant n'avait cessé de battre la
chamade. J'ouvrais délicatement la porte et je me retrouvais dans le vestibule. Au lieu de sortir par la porte qui donne directement dans le couloir, je passais par celle de côté. En regagnant le
couloir principale, je croisais ma collègue qui se demandait ce que je pouvais faire et qui revenait de vérifier si j'étais encore aux toilettes. Je prétextais être passé dans la bibliothèque,
qui justement, est dans cette partie excentrée des bureaux. Nous retournions dans la salle de pose boire notre café et grillé une tige de dix. Mon instinct avait eu raison de me faire sortir par
la petite porte.
Ma tension était montée d'un cran et le moteur s'emballait encore plus. Ce repos écourté mais bienfaiteur me permettait de reprendre mes esprits et de calmer la
mécanique. Nous retournions à nos postes de travail et reprenions nos dossiers.
Merci à mes Masters, Master Eric et Maître Michael de faire
progresser le slave que je suis.
Par Bâstard a KC slave n°411-103-335
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Publié dans : Labeurs Journaliers
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Samedi 29 septembre
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08:00
Erreur fatale !
Suite à la
création d'un nouveau compte e-mail par Maître Michael, je me connectais pour me familiariser avec ce serveur. Ma première surprise humiliante fut la signature qu'il avait créée et qui serait en
accompagnement de tous les mails en provenance de cette adresse. La seconde stupéfaction frustrante c'est que les Masters étaient avertis des mails arrivant et de toutes les réponses que je
pouvais écrire. Ils en avaient un contrôle absolu au désespoir du slave. Je découvrais les différents onglets et par mégarde, je détruisais un e-mail reçu. Reconnaissant mon erreur, j'en
avertissais immédiatement Maître Michael. Malheureusement toutes mes excuses ne l'émouvaient pas d'un yotta. Il commanda une punition dégradante ! Une photographie du slave à genoux, cuisses
écartées, mains sur la tête dans ses toilettes. À mon grand regret je m'exécutais. Je renouvelle ici mes excuses à mes Maîtres.
Je vous prie Masters, de bien vouloir me pardonner mon erreur fatale
et d'accepter mes excuses les plus sincères.
Par Bâstard a KC slave n°411-103-335
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Vendredi 28 septembre
5
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07:00
Corvée du jeudi 27 septembre :
Ne travaillant pas ce jour, je me levais
comme d'habitude pour saluer mes Maîtres avant qu'ils ne partent vaquer à leurs occupations. Après plusieurs échanges, Maître Michael me congédiait en me commandant de terminer ma grâce matinée
nu sur le sol de ma chambre. Je m’exécutais en éteignant mon ordinateur. Je m'allongeais sur le sol dur et froid ! D'habitude, j'avais un tapis pour adoucir la dureté de la dalle et comme
isolation contre la fraîcheur de celle-ci. Malheureusement, sur suggestion et recommandation de certains commentaires, Master Michael m'avait ordonner de supprimer tous les tapis dans ma chambre
et les toilettes. Étant nu en permanence chez moi lorsque je suis
seul,
seule tenue autorisée par mes Masters, mes plantes de pieds ressentaient de plus en plus la froideur du sol. Me retrouver complètement nu, allongé sur cette dalle, le
refroidissement gagnait progressivement tout mon corps. La dureté du planché ne facilitait pas le ré-endormissement !
Àforce de me tourner dans tous les sens pour trouver une position la moins inconfortable
possible, à regret, je n'avais plus envie de dormir. Dépité et désespéré de pouvoir faire une grâce matinée, je me résignais à me lever et je buvais un café pour dissiper les brumes matinales de
mon cerveaux. Je passais
ensuite à la salle de bain pour la toilette et pour, malheureusement, refaire tous les tags journaliers sur le corps. En prenant le feutre rouge, couleur du jeudi, je
décidais pour une meilleur lecture, que les rapport serait de la
même couleur à l'exception du lundi. Le fond étant déjà noir, le texte sera donc blanc pour le contraste. Assis sur le bord de la baignoire, je débutais les graffitis sur
ma cuisse gauche avec la date du jour, celle de droite le numéro d'enregistrement du slave. Je continuais, à contrecœur, par l'appartenance du slave. Je terminais, malgré moi, par la situation
dégradante et humiliante de mon malheureux pénis, martyrisé en permanence par les picots et de mes testicules gonflées un maximum, débordantes de semence depuis plus d'un an d'abstinence et de
frustration. Avant de sortir
de la salle de bain, je prenais le premier cliché. Je passais dans ma chambre pour la séance photos. Avant de la débuter, je pliais mes vêtements en les déposant au sol.
Je roulais une chaussette que j'enfournais dans ma malheureuse petite bouche.
La session pouvait alors démarrer. Je photographiais mes habits rangés suivant les directives. Je continuais par la date du jour sur la cuisse gauche. Celle de droite
suivait en portant le
numéro du slave. Je poursuivais par la chaussette dans ma déplorable bouche asséchée. La séance se prolongeais avec le torse qui porte l'appartenance du slave. La
session continuait avec la situation déplorable de mon malchanceux pénis brimé dans son carcan. Enfin, se terminait cette séance par une prise de vue de pieds du bâtard. Je remballais tout mon
matériel et je me rendais à mon ordinateur pour enregistrer ces cliché humiliants et dégradants. Sur ces entre-faits, le téléphone sonna. Je stoppais tout pour répondre et faire une petite
pose.
Merci à mes Maîtres pour cette journée de repos.
Par Bâstard a KC slave n°411-103-335
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Publié dans : Labeurs Journaliers
4
Jeudi 27 septembre
4
27
/09
/Sep
12:15
bonjour a tous
Hesitez pas à contacter la sous merde avec la nouvelle adresse mail. Le batard et ses masters ont accès à cette boite mail. la sous merde n'a pas le droit de supprimer le moindre messages
sous peines de sanctions.
Master Mickael a de son coté crée une signature grâce au logiciel qu'il utilise pour réceptionner les messages. il a réussi à la mettre en place aussi quand la sous merde répondra depuis la boite
de reception GMAIL
Par Bâstard a KC slave n°411-103-335
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Publié dans : Mot des Masters
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Mercredi 26 septembre
3
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18:30
Corvée du mardi 25 septembre :
Je me levais un peut plus tard que d'habitude pour
saluer mes Masters avant qu'ils ne partent au travail. Maître Michael m'informait qu'il allait créer une nouvelle adresse e-mail pour le slave. Je ne disais rien mais j'avais des craintes sur le
nom de cette nouvelle coordonnée et ce que j'allais trouver
sans mon consentement. Maître
Michael prenait congé et de mon coté je refermais mon ordinateur. Je terminais ma grâce matinée. Je me m'éveillais en sur saut car j'avais la trique. Contrarié par la cage et malmené par les
picots mon malheureux
gland souffrant me réveilla en me
rappelant à l'ordre…. Après avoir bu un bon café expresso pour reprendre mes esprits, je passais à la salle de bain pour ma toilette. Terminé, je prenais le marqueur bleu pour refaire les
notations sur le corps. Le bleu étant attribué pour le mardi.
Je commençais par la cuisse gauche
avec la date du jour. Je continuais avec la droite et le numéro du slave. Sur le torse j'inscrivais l'appartenance et je terminais par le pubis et son nouveau graffiti. La maudite cage continuait
à martyriser le malheureux gland dans son carcan. Je passais dans la chambre et je posais au sol mes vêtements qui se trouvaient sur le lit. Je roulais mes chaussettes que j'enfournais, tant bien
que mal, dans ma gueule. Je débutais par un cliché de la cuisse gauche, puis celle de droite, les chaussettes dans ma bouche,
le torse et le pubis.
Je terminais ce travail quand le téléphone sonna. Un ami m'appelait et nous restions 40 minutes à échanger. Lorsque je raccrochais, je passais de nouveau à la salle de bain pour effacer tous ces
graffitis ignobles. Je déteste ces marqueurs indélébile car seul le
white spirit arrive à détruire ces
tatouages. J'avais bien tenter, au début, un marqueur effaçable mais ce n'est possible que si on photographie de suite le marquage. Comme je dois maintenant le faire dans ma salle de bain en
avance, ayant de
plus en plus de références, les
vêtements estompaient les écris. Je m'étais donc résigner à en trouver sans odeur qui ne pouvaient être qu’indélébiles. Malheureusement, il a fallut que je prenne un lot complet des 4 couleurs de
base car, ceux au détaille, avaient tous une odeur plus ou moins forte et très repérable. Lorsque tout le marquage avait disparu, je reprenais une douche en savonnant bien les parties du corps
qui avait été en contact avec ce produit corrosif. Je me séchais après m'être bien rincé. Comme je devais sortir faire des courses, je m'habillais avec mes vêtements au sol.
Merci à mes Masters pour les progressions du
slave.
Par Bâstard a KC slave n°411-103-335
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Publié dans : Labeurs Journaliers
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Mardi 25 septembre
2
25
/09
/Sep
08:48
Bonjour à tous
une nouvelle adresse mail pour contacter notre slave vient d'être créee.
Dorenavant il est possible de le contacter sur l'adresse mail suivante : slave.411103335@gmail.com
Nous controlerons tous les mails qui arriveront sur cette adresse mail
cordialement
Ses masters
Par Ses masters
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Publié dans : Mot des Masters
1
Lundi 24 septembre
1
24
/09
/Sep
18:30
Corvée du lundi 24 septembre
:
Maître Michael donnait ce matin les instructions pour le changement du
temps de travail. Les lundis et vendredis le travail aux toilettes continuera comme d'habitude. Un changement tout de même suite aux commentaires, je dois poser mes vêtements pliés au sol et mes
chaussettes dans ma bouche. Pour les mardis et jeudis, ce travail se fera à mon domicile dans la chambre. Pour les différentes couleurs il a été décidé que le lundi le marqueur noire sera
utilisé, le mardi sera le bleu, le jeudi le rouge et le vendredi, ce sera le vert. Ainsi chaque jour aura sa propre couleur. Les Masters rappelaient aussi les changements validés pour les
inscriptions sur le torse et le pubis.
Je passais à la salle de bain pour ma toilette. Terminé, je prenais le
marqueur noir et, assis sur le bord de la baignoire, j'inscrivais la date du jour sur ma cuisse gauche et le numéro du slave sur celle de droite. Devant le miroir j'inscrivais à
l'envers
sur mon torse : "Sous-merde de
Master Eric et de Maître Michael" suite à la validation du commentaire réclamant cette modification. En ce qui concerne mon pubis, j'écrivais pour la première fois, à contre-cœur, "Nouille en
cage depuis le 16-07-17." Les inscriptions ne sont pas toujours lisible pour une première fois. Elles ne
pourront que s’améliorer. Cela fait
plus d'un an que je n'ai pu me masturber et jouir !!! Lors de mes différentes hospitalisations, n'ayant pas pû avoir d'instructions, je m'étais obligé et contraint à ne pas jouir, me toucher
le moins possible, ayant dû ôter la cage. C'était d'autant plus humiliant et frustrant cette astreinte que je
m'imposais. Parfois, les traitements
lourd aidaient à cette abstinence. Après avoir réalisé tous ses écris sur le corps, je photographiais ces références suivant les nouvelles directives et je m'habillais pour partir au travail. En
arrivant, je saluais les personnes présentes qui me demandaient de mes nouvelles. Après les avoir
informé de mon mi-temps, je me
rendais à mon bureau. Je posais mon gilet sur le dossier du fauteuil et je me mettais au travail. Dans la matinée, une envie d'uriner se faisais de plus en plus pressente. Je vérifiais que
personne ne me voyais et je me rendais aux toilettes. Les picots de la cage ne cessaient de martyriser mon pauvre gland et mon palpitant se mit à battre la chamade. Je refermais rapidement la
porte derrière moi. Je commençais à me déshabiller et à plier mes vêtements suivant les dernières instructions. Je les posais au sol, les uns sur les autres. Mes chaussettes, je les roulais en
boule et je les enfournais dans ma malheureuse bouche. Elle devint sèche très rapidement sans pouvoir la ré-humidifier. Mon cœur continuait à battre de plus en plus fort et rapidement ! Je
prenais les premiers clichés de mes vêtements au sol, de la date inscrite sur ma cuisse gauche, le
numéro de slave sur celle de droite,
les chaussettes dans la gueule, l'appartenance de la sous-merde sur le torse et, pour terminer, la nouvelle inscription sur le bas du ventre et le pubis. J'avais l'impression de devenir un homme
sandwich avec toutes ces références qualifiant le slave que je suis. Je terminais par une photo de
pieds. Je relevais le couvercle et la
lunette des toilettes à contre cœur. Je m'asseyais sur la faïence glacée qui refroidissait mes pauvres petites fesses. J'écartais les cuisses et je lâchais les vannes. Je prenais une nouvelle
photo. Terminé, je séchais le bout de la cage où quelles que goûtes stagnaient.
J'enlevais les chaussettes pour
pouvoir ré-humidifier mon malheureux palais. Je posais un instant le téléphone sur le bord du lavabo. Je me rhabillais en me hâtant. Le palpitant allait exploser et sortir de ma cage thoracique.
Mon pauvre gland ne cessait d'être supplicié. Je tirais la chasse d'eau. Je rabattais la lunette et le couvercle. Je me lavais les mains et je me les séchais. Je repositionnais le téléphone dans
la poche frontale de mon gilet sans manche. Je jetais un dernier coups d’œil autour de moi pour vérifier que je n'avais rien oublié. Entendant des voix dans le couloir, j'ouvrais la porte
délicatement. Je sortais des toilettes dans un vestibule et je regardais discrètement d'où venait ces voix. Elle sortaient du bureau du directeur qui se trouve juste en face de la porte de ce
local. Heureusement pour le slave, sa porte était au trois quart fermée. Je regagnais avec
soulagement mon poste de travail tout en étant frustré et humilié de porter tous ses écris sur moi et encore plus, d'avoir du faire tout ce reportage photo qui sera
publié sur le blog. Je n'avais plus qu'une hâte, de rentrer chez moi ce midi afin d'effacer tous ces slogans humiliants et dégradants.
Je remercie mes Masters et les visiteurs de ce blog pour
leurs compréhensions lors de mon absence de la semaine dernière.
Par Bâstard a KC slave n°411-103-335
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Publié dans : Labeurs Journaliers
3
Lundi 24 septembre
1
24
/09
/Sep
06:30
Malaise à domicile.
Jeudi matin, en faisant ma toilette dans la salle de bain, je
faisais un malaise. Je restais un certain temps sur le sol. Quand j'avais enfin repris conscience, je téléphonais à ma doctoresse car, le jeudi, elle fait des consultations à domicile. Elle
m'annonçait qu'elle arrivait de suite étant en route pour son premier rendez-vous et se trouvant proche de mon domicile. Me regardant dans la miroir, je réalisais que j'avais les attributs du
slave sur moi. J'enlevais précipitamment le collier que je cachais entre deux serviettes de toilette. Je me rendais en cuisine pour prendre les clefs du cadenas de la cage qui se trouve dans un
bloc de glace au congélateur. J'allais le prendre quand on sonna à la porte. C'était déjà le médecin qui arrivait. J'enfilais rapidement mon pantalon et j'allais lui ouvrir torse nu. Heureusement
pour moi, je n'avais pas encore fait les inscriptions du jour. Assis sur le canapé, elle me prenais la tension qui était basse. Elle m'annonçait que je faisais une hypotension et que je devais me
rendre aux urgences de l'hôpital pour plus d'examens.
Elle appelait les pompiers qui arrivaient une dizaines de minutes plus tard. Ils
m’emmenèrent et j'étais pris en main par le service médicale. Le plus compliqué a été de me déshabiller en dissimulant tant que possible la cage. Mon palpitant battait à tout rompre. J'avais
l'impression qu'il allait défoncer ma cage thoracique. Je me sentais honteux et humilié avec cette maudite cage. Me retrouvant seul, un instant, dans un boxe, j'en profitais pour ôter le jeans et
mettre leur blouse. Le médecin ordonnait une prise de sang après avoir repris ma tension toujours basse. J'allais rester 24 heures aux urgences en observation. Le vendredi matin, mon cardiologue
et mon chirurgien passaient me voir. Ils m'annonçaient que ce n'était qu'une baisse de tension lié certainement à de la fatigue car j'avais demandé à reprendre le travail à plein temps contre
leur avis. Ils me faisaient un arrêt de trois jours. Les documents pour une reprise à mi-temps pendant trois mois comme ils avaient préconisés début septembre à ma sortie et que j'avais refusé.
Un rendez-vous était pris pour décembre, juste avant les fêtes pour décider de la suite à donner. Un ambulancier arriva pour me ramener chez moi. Je me rendais au bureau pour apporter les
certificats médicaux au directeur. Nous nous mettions d'accord pour mes prochains horaires. Je travaillerai le lundi au bureau toute la journée. Le mercredi, je continuerai le suivi des familles
à domicile. Le vendredi matin, je compléterai mes heures manquantes de la semaine pour arriver à 17h30 hebdomadaire. Je retournais chez moi avertir mes Masters qui réclamèrent un mot explicatif
sur le blog et une photo du slave à genoux dans ses toilettes, cuisses écartées, mains sur la tête et porte ouverte. Ce dernier commandement était de nouveau humiliant et dégradant. Ce cliché
allait compléter l'explication de mes déboires ci-dessus.
Je prie mes Masters, les Maîtres et les Visiteurs du blog de bien
vouloir me pardonner pour ce contre temps et cette modification de mes horaires de travail.
Par Bâstard a KC slave n°411-103-335
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Publié dans : Les Consignes
4
Jeudi 20 septembre
4
20
/09
/Sep
07:30
Nouvelle
corvée.
Maître Michael me faisait part de la demande de Monsieur Alain qui désirait voir l'état de ma rondelle. Quand je passais à la salle de bain pour ma toilette et mettre à jour les inscriptions
journalières, j'en profitais pour satisfaire la réclamation de ce Maître. Je m'habillais et je me préparais à partir au bureau affublé, non seulement des attribut du slave mais
aussi de toutes ses références
sur son corps ! J'arrivais dans les premiers et après avoir salué les personnes présentes je regagnais mon poste de travail. Dans la matinée une grosse commission se préparait. Je vérifiais
que personne n'était dans les parages et honteux des tatouages que je
devais porter, je me rendais aux
toilettes. Je me déshabillais en accrochant mes vêtements aux patères sur la porte. Je déposais le portable sur le bord du lavabo. Quand je me retrouvais dans la tenue d'un nouveau né, je
préparais l'appareil photo. Je prenais un premier cliché de la date du jour. Je continuais avec le numéro du slave et je
poursuivais par son
appartenance. Pour terminer, je photographiais le bâtard de pieds. La grosse commande devenait de plus en plus pressente. Je relevais le couvercle et la lunette à contre cœur. Je m’asseyais sur
le bord de la faïence de la cuvette. Le froid de celle-ci glaçait mes petites fesses. J'écartais un peu les cuisses suivant les
instructions. Je
lâchais les vannes. Je sentais le flot remonter dans l’urètre et sortir en flot continu. J'en profitais pour immortaliser le jet. Avec soulagement, je ressentais ma vessie se vider. Lorsqu'elle
avait presque terminé sa vidange, c'est la côlon qui se mettait à pousser ! Un gros bronze en sorti. Je me retrouvais soulager d'une grosse commission. Je nettoyais ma rondelle et je séchais
le bout de la cage où des gouttes d'urine perlaient. Les picots recommençaient à maltraiter mon malheureux gland. Je me rhabillais rapidement et je rangeais la téléphone dans sa poche. Je me
lavais les mains et je me les séchais. Je tirais la chasse d'eau et je remettais la lunette et le couvercle des toilettes
en place. Je
vérifiais sur moi et autour de moi si je n'avais rien oublié et j'ouvrais la porte. Mon palpitant jouait la chamade. J'avais l'impression qu'il allait défoncer ma poitrine. Je jetais un coups
d’œil et je regagnais mon poste de travail.
Merci à mes Masters.
Par Bâstard a KC slave n°411-103-335
-
Publié dans : Labeurs Journaliers
4
Lundi 17 septembre
1
17
/09
/Sep
20:00
Nouvelle corvée.
Le
mercredi j'avais la corvée hebdomadaire avec les inscriptions sur mon corps. Le marqueur ordinaire que j'utilisais avait une odeur forte et très repérable. En fin d'année, je me rendais dans une
papeterie pour en trouver un sans odeur. La vendeuse me conseillait une boite de 4 marqueurs, sans odeurs, les 4 couleurs de bases : noir, rouge, bleu et vert. Elle n'avait pas de couleur
noir en individuel n'ayant aucune odeur. Je me résignais à acheter ce lot ne sachant pas ce que je ferai des couleurs que je n'aurai pas besoin.
Mon planning ayant évolué je me retrouve dans l'incapacité d'honorer
mes Masters réalisant cette maudite corvée ce jour là. Je les en informais. Après concertation, ils décidèrent que ce travail de soumission deviendrai, cette année, à mon grand désespoir,
journalier ! Chaque jour où je serai au bureau, soit le
lundi, mardi, jeudi et vendredi. Je
devrai noter sur une cuisse la date du jour, sur l'autre mon numéro de slave et sur le torse mon appartenance. À ma grande déception, ce
matin, Maître Michael m'ordonnait de débuter cette routine dégradante dès aujourd'hui. Allant partir, je me résignais à passer avant à la salle de bain pour réaliser tous les écrits. Sur la
cuisse droite je notais la date du jour : Lundi 17 septembre 2018, sur la gauche mon numéro : Slave N° 411-103-335. Je terminais par le torse en écrivant mon appartenance : Slave
de Master Éric et de Maître Michael. Je me rhabillais précipitamment. J'arrivais un peu en retard prétextant que la reprise était difficile, ce qui n'est pas tout à fait faux. Heureusement seul
l'hôtesse d'accueil et le directeur étaient présent à l'ouverture. En fin de matinée, une
envie d'uriner se faisait de plus en
plus pressente. Contraint et résigné, je me rendais aux toilettes les plus proches. Je sortais le portable de la poche frontale de mon gilet sans manche et je le posais sur le rebord du lavabo.
Je continuais à me dévêtir. Je me retrouvais nu comme un vers. Je préparais l'appareil photo du téléphone en activant le retardateur car Maître Michael, suite aux commentaires désobligeants des
Maîtres qui me suivent, avait réclamé que je refasse la photo à genoux mains sur la tête, en plus les cuisses bien écartées ! Je me résignais à réaliser sa demande. Je lançais le retardateur
et positionnais le téléphone contre une de mes basket pour qu'il soit en bonne position. Je me mettais à genoux écartant mes cuisses et je positionnais mes mains sur ma tête. J'attendais quelles
que
secondes le déclenchement de
l'appareil. Je me relevais et je prenais un cliché de la date, du numéro de slave et je terminais par le torse et son inscription d'appartenance. J'avais de plus en plus envie d'uriner. Je
relevais la lunette de je m’asseyais sur la faïence glacée des toilettes les cuisses bien écartées suivant les injonctions de mes Masters. Une position humiliante, dégradante et frustrante !
Je lâchais les vannes et j'asséchais ma vessie. J’immortalisais, à contre cœur, cette vidange. Terminé, j'essuyais le bout de la cage avec du papier toilette où des goûtes d'urines perlaient
encore. Les picots intérieurs ne cessaient de martyriser mon malheureux gland. Je tirais la chasse d'eau et je remettais en place la lunette. Je m'empressais à me rhabiller et je camouflais mon
portable dans la poche du gilet. Je sortais et je regagnais mon
poste. Heureusement ce matin, je me
retrouvais seul avec le directeur qui avait son bureau en face de la porte du vestibule des toilettes. S'étant rendu à l'accueil, j'en avais profité pour m'éclipser à l'anglaise. Il n'était
toujours par revenu quand je regagnais mon bureau pour mon grand soulagement. Je devrai recommencer cette corvée humiliante et dégradante demain !
Merci à mes Maîtres pour la confiance qu'ils ont mis dans ma
personne de slave.
Par Bâstard a KC slave n°411-103-335
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Publié dans : Labeurs Journaliers
2
Dimanche 16 septembre
7
16
/09
/Sep
18:00
Repentance du slave.
Comme je recommençais à pigner à chaque fois que mes Masters donnaient des
ordres humiliant et dégradant, cela, de nouveau, les agaçaient. C'est pourquoi je présentes toutes mes excuses envers mes Maîtres et que, dorénavant je dois ne plus pigner chaque fois qu'ils
demandent à leur sous-merde, que je suis, un travail. Ceci est valable aussi vis a vis des commentaires mis en ligne par les Masters ou les différents visiteurs du blog du bâtard dans les
différents articles . C'est pourquoi, comme sanction, les Masters du slave ont décidés qu'il poste, en complément de ces excuses, une photo du bâtard à genoux, les mains sur la tête non floutée.
Ce cliché nu, tondu intégralement, à genoux, mains sur la tête, le collier au coup avec sa médaille et le pénis dans une cage avec des pics intérieurs pour mieux maltraiter le gland est très
humiliant et dégradant. C'est pourquoi, je ferai mon possible pour ne plus faire des observations médisantes ou des commentaires déplacés. Un bâtard comme moi ne peut avoir des états d'âme. Il ne
vit que pour plaire et satisfaire ses Masters et réaliser les propositions validées par eux.
Par Bâstard a KC slave n°411-103-335
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Publié dans : Humiliations
4
Dimanche 16 septembre
7
16
/09
/Sep
17:40
Rasage Complet.
Maître Michael commandait que je sois lisse et plus un poil sur le corps.
À contre cœur, je me décidais à exécuter cette corvée car un bâtard comme moi ne peut être viril ! Il me fallait donc raser toute ma
pilosité. Je commençais par le crâne puis le visage. Je continuais par le torse, les jambes, les bras et les aisselles. Je redonnais une fraîcheur à mon pubis pour terminer cette tonte intégrale
du slave. Afin que mes Masters puissent vérifier ainsi que les visiteurs du blog de "bastardakc", je prenais un cliché de pieds, la tête non floutée, suivant les consignes reçues de mes Maîtres. Après avoir rédigé un mot pour accompagner cette
photo dégradante du slave, je mettais en ligne cette présentation de mon retour en activité après une longue convalescence.
Par Bâstard a KC slave n°411-103-335
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Publié dans : Instructions
3
Vendredi 14 septembre
5
14
/09
/Sep
12:20
Les vêtements en attente de
livraison.
Après réflexion et concertation les Masters de la sous-merde ont décidés que
la salope doit commander le plus rapidement les références suivantes en remplacement des sous-vêtements existants. Pour le string et le jock-strap il vous seront proposés très
prochainement.
Chez
INDERWEAR : Livraison prévu Lundi 17 Septembre.
FLIP Short Flip Blanc - Taille : S
Lien : https://www.inderwear.com/51-short-homme-sport/24591-short-flip-blanc-rufskin.html
AND6415 Short Laurel Jogger Blanc - Taille : L (il n'y avait
plus que cette taille)
Lien : https://www.inderwear.com/51-short-homme-sport/25001-short-laurel-jogger-blanc-andrew-christian.html
Chez OVEMO :
Livraison prévu Lundi 24 Septembre au plus tard.
Lookme Shorty Agent double 1 - Taille : S (Proposition de Master
Phénix)
Lien : http://www.ovemo.com/product_info.php?products_id=115408#.W5tabc-YQdU
Lookme Boxer Hunter - Taille : S
Lien : http://www.ovemo.com/product_info.php?products_id=900838#.W5tbBc-YQdU
Joe SNYDER Boxer AW Boxer - Taille : S
Lien : http://www.ovemo.com/product_info.php?products_id=137612#.W5tbZM-YQdU
GIGO Shorty de bain Hotenc - Taille : S
Lien : http://www.ovemo.com/product_info.php?products_id=143168#.W5tbo8-YQdU
Par Bâstard a KC slave n°411-103-335
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Publié dans : Consignes des Maîtres
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