Le blog de Bâstard à KC Sous Merde n°411-103-335

  Bienvenue sur le blog de Bâtard a KC : Sous Merde N° 411-103-335, sous le contrôle de Master Éric et Maître Michael. Il doit faire ce qui lui est demandé sans rechigner. N’hésitez pas à laisser des commentaires sur les différents articles qu'il publie sous nos ordres.

  Il fait aussi ce que les visiteurs demandent. Ce n'est pas un mâle mais une sous-merde, et il doit être traité comme tel.

  Sous cage de chasteté, nous seuls, ses Maîtres, décidons de ses jouissances afin de le purger de son jus pourris qui ne sert à rien.

  N'hésitez pas à laisser des commentaires dans les différents articles publiés ici par notre sous merde ou nous même. Cela l'humiliera  d'autant  plus.  Son  adresse  est  dorénavant  la  suivante  :        slave.411103335@gmail.com

   Nous la contrôlons entièrement. Nous nous chargerons de vous répondre ou notre slave vous transmettra nos commentaires.

  Notre Sous-Merde est à dispos de tous mâles souhaitant l'utiliser en Cam ou en Réel avec prises de photos et rapports publiés ensuite sur le blog. Même les soumis peuvent l'utiliser car son statut est inférieur à eux et il leur doit respect, soumission et obéissance.

Jeudi 13 septembre 4 13 /09 /Sep 07:00

La fin des déboires.

 

01 - Exercices - D - -.-      Début janvier, après plusieurs examens et un traitement lourd, je devais passer sur le "Billard". La même semaine j'avais 2 anesthésies générales. Les chirurgiens ôtaient plusieurs tumeurs et faisaient l'ablation de mon mamelon gauche. Les premiers mois, une fatigue générale s'installait. Les différents traitements post-opératoire n'arrangeaient pas mon abattement.02 - Exercices - D - -.- Mon impuissance à remonter la pente alertait mes praticiens. Après un examen sanguin, une forte anémie fut diagnostiquée. Il me faudrait plusieurs mois de médications encore pour retrouver la forme. Début septembre, avec une grande satisfaction, j'étais autorisé à réintégrer mon domicile. Je reprenais contact avec mes Masters. Maître Michael, en tout premier commandement, ordonna de nouveau la pose du collier et d'une cage de chasteté après le rasage du pubis. Le Maître me sommait de publier un rapport expliquant mon absence et des photos du slave après avoir remis ses attributs et rasé son pubis.

Une nouvelle hospitalisation est programmé début novembre pour un examen sous anesthésie. J'ai aussi repris mon travail, mon arrêt étant terminé. Je reverrai ma généraliste seulement en décembre.

      C'est pourquoi je prie mes Masters et les visiteurs du blog de bien vouloir m'excuser pour cette absence prolongée indépendante de ma volonté.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Exercices Divers - Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Jeudi 13 septembre 4 13 /09 /Sep 06:57

Bonjour a tous

 

Suite à l'article sur le choix definitif de sous vetement , short et short de bain, notre batard est chargé de faire les commandes correspondantes en prenant la taille en dessous de celle qu'il a l'habitude de prendre. De plus il devra faire l'acquisition aussi du shorty proposé par master phénix dans son commentaire dans l'article intitulé retour du batard en prenant la taille en dessous bien sur.

il devra prouver le tout en faisant des photos et en les mettant ici comme d'habitude.

Par Ses masters - Publié dans : Mot des Masters - Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Samedi 8 septembre 6 08 /09 /Sep 09:40

Rebonjour a tous

 

Avant sa grande absence, il etait question de faire un choix pour changer ses sous vetement, ses shorts et maillot de bain

Ci-dessous, voici les liens définitifs choisis. Le batard fera le necessaire pour commander les articles.

Prochainement, on fera la meme chose au niveau jock strap et string. Si vous avez des idées de liens concernant ces deux catégories, hésitez pas à les mettre dans vos commentaires

Rappel : le batard n'a pas le droit de donner son avis bien sur.

 

liens pour les boxers :

http://www.ovemo.com/product_info.php?products_id=900838#.W5OGoPkyXIX

 

http://www.ovemo.com/product_info.php?products_id=137612#.W5OGWvkyXIX

 

lien pour le maillot de bain :

 

http://www.ovemo.com/product_info.php?products_id=143168#.W5OAVvkyXIV

 

lien pour le short :

 

https://www.vestiairegay.com/produit.htm?short-gym-blanc---barcode&rayonID=194&universID=46&rubriqueID=539&produitID=20462

 

Pour les commandes, le batard devra prendre la taille en dessous de celle qui prend habituellement si possible. Bien sur dès la réception, il devra faire les photos et les mettre sur le blo.

 

Prochainement, nous mettrons liens pour le choix des strings et jock strap. Hésitez pas a donner vos idées dans vos commentaires.

 

Ses masters

 

Par Ses masters - Publié dans : Mot des Masters - Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Samedi 8 septembre 6 08 /09 /Sep 09:33

Bonjour a tous

 

Nous avons le plaisir de vous annoncer le retour du batard après plusieurs mois d'absences que vous expiquera le batard prochainement. il a ordre de vous donner des expliquations claires et précises

Depuis son retour, il est a nouveau sous cage de chastete. Prochainement il sera de nouveau plugué aussi.

ses masters

Par Ses masters - Publié dans : Mot des Masters - Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Mardi 12 décembre 2 12 /12 /Déc 19:44

bonsoir a tous

 

EN regardant vos différents commentaires, certains souhaitent lui faire changer son boxer de bain. Le choi proposé est interessant

pour le futur boxer de bain voici les liens choisiss

 

1)  http://www.ovemo.com/product_info.php?products_id=188769#.WjAgHnmDPIV

 

2)  http://www.ovemo.com/product_info.php?products_id=143168#.WjAkjnmDPIU

 

3)  http://www.ovemo.com/product_info.php?products_id=188759#.WjAlMHmDPIU

 

pour le choix du short voici le lien

 

4)  https://www.vestiairegay.com/produit.htm?short-gym-blanc---barcode&rayonID=194&universID=46&rubriqueID=539&produitID=20462 

 

la sous merde n'a aucun droit pour donner son avis

 

Par ses masters - Publié dans : Les Sous-Vêtements - Ecrire un commentaire - Voir les 7 commentaires
Mardi 12 décembre 2 12 /12 /Déc 19:38

Bonsoir à tous

 

Nous avons décider de changer le boxer blanc de la sous merde pour ses consultations.Pour le choix final du nouveau boxer, notre sous merde a oublie d'ajouer un autre lien. Voici les trois liens pour faire le choix final :

 

1) http://www.ovemo.com/product_info.php?products_id=1192193#.WjAiiHmDPIU (il existe en plusieur couleur)

 

2) http://www.ovemo.com/product_info.php?products_id=900838#.WjAeoXmDPIV

 

3) http://www.ovemo.com/product_info.php?products_id=137612#.WjAe-XmDPIV

 

la sous merde n'a aucun droit pour donner son avis bien sur.

 

Par ses masters - Publié dans : Les Sous-Vêtements - Ecrire un commentaire - Voir les 4 commentaires
Mardi 12 décembre 2 12 /12 /Déc 09:30

Faites votre choix :

 

        Master Éric et Maître Michael ont sélectionné un site pour choisir le nouveau boxer du slave qui replacera celui qu'il possède actuellement. Le choix se fera sur "Ovemo-Boxers" pour ce nouveau boxer :

    Le choix des Masters s'est porté sur les boxers suivant :

  1. www.ovemo.com/product_info.php?products_id=900838#.Wi99p5fjIdW 
  2. www.ovemo.com/product_info.php?products_id=137612#.Wi-F6ZfjIdV

        Vous pouvez voter pour l'un ou l'autre boxer. Les Masters valideront leur choix après les résultats du scrutin.

        Si vous le désirez, vous pouvez en sélectionner d'autres pour un prochain renouvellement des sous-vêtements de la sous-merde. Les Masters rappellent que toutes les doublures qui pourraient composer les boxers seront automatiquement supprimé par le bâtard avec photos à l’appuies pour preuves et publiées.


       A).    En conséquence faites votre choix (1 ou 2)pour le Noël du slave.

       B).    Faites connaître vos préférences pour un prochain achat de la salope.

 

    À VOS CLAVIERS

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Le Matos du Slave - Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Mardi 5 décembre 2 05 /12 /Déc 08:07

Reprise des activités :

 

        Suite à son hospitalisation, le slave a dû s'absenter, c'est pourquoi vous n'avez pas eu de ses nouvelles. Pour ce séjour improvisé et indépendant de sa volonté, le bâtard a dû suivre des instructions de dernières minutes. Comme le bâtard ne pouvait pas garder sa cage, il l'a rapidement et discrètement ranger dans sa trousse de toilette. La sous-merde a fait de même pour son collier et le plug permanent.

        N'ayant plus de cage j'avais eu comme consigne de ne pas me masturber ! Quelles frustrations et humiliations d'avoir son pénis à disposition et de ne pas pouvoir se branler et jouir. Cette spoliation était d'autant plus dégradante lorsque le matin, je me réveillais avec la trique. Je devais faire un effort surhumain pour repousser mes mains rebelles qui ne demandaient qu'à faire du bien et apporter du plaisir. Je devais aussi continuer à uriner assis sur la faïence des toilettes. Cette position ne faisait qu'accroître mes frustrations et mon avilissement. Ne pouvant réaliser de lavement, je posais momentanément les plugs. Ma convalescence se partageait entre humiliations, frustrations et avilissement.

        Quand le médecin m’avertit d'une sortie prochaine, je prenais consignes auprès de Maître Michael. Dès la dernière visite du matin, je passais à la salle de bain et, à contre cœur, je remettais en cage mon malheureux pénis avec un plug dans son urètre. Les fuites inopinées allaient reprendre du service. Je posais le collier avec sa médaille avant de m'habiller. Pour ma sortie, je portais un jeans, un maillot de corps, un pull à col roulé, une paire de chaussettes et des baskets. Devoir rentrer chez moi ainsi harnaché, mes sentiments de frustrations, d'humiliations et d'avilissement redoublaient. Lorsque l’ambulancier arriva, j'enfilais ma veste, un bonnet et une écharpe car les températures extérieures étaient négatives. Je prenais mes papiers de sortie et mon accompagnateur, le bagage que j'avais emmené en hâte.

        Le lundi suivant, je reprenais mon travail.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Nouvelles Infos - Ecrire un commentaire - Voir les 4 commentaires
Samedi 30 septembre 6 30 /09 /Sep 20:00

Une hospitalisation dégradante.

        Je recevais les instructions pour ma prochaine hospitalisation de Maître Michael qui me commandait de les publier. Le dimanche après-midi, je préparais ma valise et j'ajoutais le marqueur, le short blanc, la futur cage, un plug urétral, un cadenas avec ses clefs. Les pics continuaient inlassablement à empaler mon malheureux gland qui provoquait des érections avortées. Le plug N° 03 était en place et jouait avec ma rondelle. Hormis le temps de l'intervention, il resterait en place dans ma petite fleur. De temps à autre mon trou tentait des poussées intempestives et, comble de l'humiliation, mouillait de ses grandes eaux. Étant chez moi, je laissais échapper des gémissements de frustrations et de plaisirs honteux.

01 - Hospital. - D - -.-        Je prenais ma veste de treillis qui, étant assez longue, cachant partiellement la braguette ouverte. Je fermais ma porte à double tour et je rangeais la valise dans le coffre de ma voiture. Chaque nouveau pas étaient un calvaire de plus. Les picots martyrisaient mon gland qui, excité, provoquait des érections avortée par une cage de plus en plus insupportable. En m'assaillant, le plug redoublait de vigueur et s'amusait avec mon anneau intérieur. Je prenais la direction de l'hôpital. Chaque nouveau gendarme couché était un supplice supplémentaire pour ma rondelle. J'arrivais enfin à destination. Je me garais et avant de sortir du véhicule, j'enlevais le collier de slave que je rangeais dans ma sacoche. Je prenais ma valise et je me dirigeais vers l'entrée de l'hôpital. Je m'acheminais, par les ascenseurs C, dans le service de chirurgie vasculaire où j'étais attendu. Une infirmière me reçu et m'accompagnait dans ma chambre. Avec soulagement, je02 - Hospital. - D - -.- constatais que j'avais une chambre individuelle. Elle me donnait les premières consignes et je m'installais dans ma nouvelle demeure éphémère. Une autre infirmière venait pour compléter mon dossier. Je répondais à toutes ses questions. Une autre soignante venait faire une prise de sang et remplissait plusieurs tubes pour les derniers examens post-opératoire. Une aide soignante m'apportait des serviettes, des gants de toilettes et un flacon de betadine. Je devais prendre une douche avec ce soir et une seconde le lendemain matin avant d'être emmené au bloc. Je terminais de m'installer et je descendais à l'accueil pour la mise en marche de la télévision et de la wi-fi. Le martyre de ma bite ne cessait ! À chaque nouveau déplacement de mes jambes occasionnaient des érections contrariées, provoquée par l'empalement de mon pauvre gland. Le plug ne restait pas non plus 03 - Hospital. - D - -.-sans jouer avec l'anneau qui tentait de monter dessus et de le gober. À mon retour, deux aides-soignantes servaient le repas du soir. Je dînais, un repas un peu fade par manque d'assaisonnement mais compensé par des aromates, copieux et donc, pas mauvais pour ce genre d'établissement. Je terminais de me restaurer et j'allais boire un dernier café avant la douche. Cet aller-retour rapide avait de nouveau réveillé les garnements qui en profitaient pour martyriser ma bite et ma rondelle. À mon retour en chambre, une infirmière me donnait les instructions pour la douche nocturne. Je passais à la salle de bain où j'allais libérer, avec plaisir, ma queue emprisonné depuis plus d'un an. Je photographiais une dernière fois cette maudite prison et je cassais le cadenas avec enthousiasme ! Je prenais une bonne douche suivant les recommandations du service soignant. Quand j'arrivais aux04 - Hospital. - D - -.- parties génitales, une envie incontrôlable me pressait pour que je me masturbe. Je bandais comme une bête ! Je faisais un effort surhumain pour retirer ma main de mon pénis. J'avais le cœur qui s'était emballé. Je me masturbais légèrement tout de même. À contrecœur, après un titanesque effort et avec grandes difficultés, je retirais, avec un regret insupportable, ma mains insoumise. Des sentiments de frustrations, d'humiliations et d'avilissement se bousculaient dans ma petite tête. Je me séchais et à ma grande tristesse, pour la première nuit à l'hôpital, j'inscrivais au marqueur sur ma queue : "LOPE" ! Je repositionnais, aussi, le plug dans ma petite rondelle. Je me mettais en short pour regarder les informations. En prenant les photos, je m’apercevais honteux que mon gland dépassait d'une jambe du short. Le journal télévisé terminé, j'enfilais une chemise d'hôpital qui m'avait été apporté avec les affaires de toilettes. L'infirmière en chef avait 05 - Hospital. - D - -.-recommandé que je dorme sans sous-vêtement, seulement cette chemise qui met les fesses des patients à l'air. Je m'enfilais entre les draps et je regardais la télévision. Quand je sentis le sommeil poindre son nez, j’éteignais le téléviseur et je tombais rapidement dans les bras de Morphée. Pour la première fois depuis des mois, je ne faisais pas de cauchemars et je ne me réveillais pas avec06 - Hospital. - D - -.- mon malheureux gland martyrisé. Une aide soignante me réveillait en m'apportant de nouvelles affaires de toilettes et une nouvelle chemise. Je passais à la salle de bain lorsqu'un infirmier venait me donner les instructions de la matinée. Je renfilais à la hâte, le chemise et j'ouvrais la porte. Il me remettait les instructions pour la douche. Il 07 - Hospital. - D - -.-continuait en m'informant que je devais porter la nouvelle chemise. Lorsque la douche serait terminé, je devais me remettre au lit pour attendre qu'un brancardier vienne me chercher. Il terminait en m'annonçant que je devais impérativement rester à jeun. Il s'était renseigné sur mon passage au bloc et m'indiquait que je serai le deuxième à être opéré. Une personne viendrait me chercher vers les 09h00 pour me descendre au bloc. Il me souhaitait une bonne journée et je lui rendais ses salutations. Je retournais à la salle de bain et je fermais à clef la porte afin d'éviter toutes rencontres malencontreuses. Je débutais le décrassage par l'inscription dégradante sur ma queue. Je continuais la douche par la tête et je lavais chaque membre en descendant vers les pieds. Quand j'arrivais à mon pénis, je me rendais compte que j'avais une nouvelle trique. Avec délicatesse, je08 - Hospital. - D - -.- continuais ma douche mais en lavant mon sexe je sentis mon jus qui montait. Après un effort surhumain, je retirais mes mains et j'attendais frustré et dégradé que mon jus retourne à sa source. Mon palpitant battait la chamade d'indignation, de mécontentement et de révolte. Quand je sentais qu'il était retourné dans son garage, je terminais le décrassage de mon pénis contrarié et écœuré de ne pouvoir parfaire ma masturbation. Je rinçais chaque partie à la grande eau puis je me séchais frustré et humilié. J'enfilais la nouvelle chemise que je boutonnais derrière le coup. Je retournais dans mon lit et, en regardant les émissions du matin, j'attendais la venue de mon chauffeur. Vers les 09h00, une personne entra dans ma chambre et elle m'informait qu'elle était brancardière. Elle plaçait à mon poignet un bracelet avec mon nom et ma date de naissance. Elle installait un appareil électrique à mon 09 - Hospital. - D - -.-lit, un petit moteur se mit en marche et mon lit se mit en mouvement. Nous descendions au dernier sous-sol et elle garait le lit à coté d'un brancard. Des infirmières, des aides-soignantes et des chirurgiens allaient et venaient. Deux infirmiers me transféraient dans le brancard. L'anesthésiste arriva et me questionnait pour vérifier mon identité. Il m'indiquait que je passerait prochainement sur le billard. Ma doctoresse et chirurgienne venait à son tour me voir. Décidément il y a une majorité de femme médecin qui s'occupe de ma petite personne. À force, cela devient de plus en plus frustrant et humiliant ! Elle m'informait que je passerais très bientôt et, une nouvelle fois, m’informait qu'elle poserait 4 stents aux artères iliaques. Une infirmière installait un cathéter sur le dos de la mains et branchait une première poche au compte-goutte. Une nouvelle personne10 - Hospital. - D - -.- conduisait ma civière au bloc. L'anesthésiste m'accueillait et il installait une lunette aux narines pour l’oxygène. Il m'annonçait que j'allais être endormi. Effectivement, très rapidement je retournais dans les limbes de la nuit.

        Je me réveillais, l'anesthésiste à mes coté. Il m'informait que l'intervention s'était très bien déroulé. Comme je reprenais conscience, un brancardier me raccompagnerait très prochainement dans ma chambre. Je sentais un gros pansement sur chacune de mes cuisses et de mes fessiers avec de gros strips larges ainsi qu'au tour de la taille. Un nouveau venu me remontait en chambre. Nous arrivions à 15h30. L'intervention avait durée 03h00 environ. L'infirmière en chef me fit une petite visite pour m'accueillir. Elle m'informait que je devrais resté alité 24h00 sans me lever. Une aide soignante apporta un pistolet pour uriner. Ne pouvant me 11 - Hospital. - D - -.-lever. Toujours sous le coup de l'anesthésie, je dormais toute l'après-midi. Mes seuls temps d'éveils étaient pour vider ma vessie et me réhydrater. Un peu avant le repas, ma doctoresse passait faire une visite et regarder ses pansements. Étant nu sous la chemise, elle déplaçait mon pénis pour vérifier et je sentis une12 - Hospital. - D - -.- érection se produire. Je me sentais très mal à l'aise et honteux. En plaisantant, elle répondit à cet événement incontrôlable, "Malgré l'anesthésie, vous réagissez rapidement, preuve que vous allez bien et que tout fonctionne à la perfection…". Honteux, frustré, je me réfugiais dans le silence ne sachant quoi répondre. Je devais être tout rouge car je sentais mon visage chauffer de plus en plus. Constatant que tout allait bien, elle renouvelait ses recommandations, ne pas me lever, rester allongé sur le dos le plus possible, en cas de douleur, appeler une infirmière qui me donnerait ce qu'il faut, ne pas porter de sous-vêtements afin d'éviter toutes septicémie. Je la remerciais et je lui souhaitais une bonne soirée. Elle en fit autant et me donnait rendez-vous le lendemain matin. Une aides-soignante m'apportait mon plateau repas. Avec plaisir, je me mettais à table n'ayant rien dans le ventre depuis 24 heures. Après avoir dîné, je me 13 - Hospital. - D - -.-rallongeais et je tombais rapidement dans les bras de Morphée, une nouvelle fois. Dans la nuit je me mit à trembler de froid. J'appelais et un infirmier arriva rapidement. Après avoir constaté mon problème, il me rapportait une autre couverture, me rassurant qu'il viendrait me voir régulièrement. Je n'arrivais pas à me14 - Hospital. - D - -.- réchauffer et à sa visite suivante, il retourna chercher une troisième couverture. Je lui signalais que j'avais aussi une migraine. Il me donnait deux comprimés de paracétamol. Il me visitait régulièrement et prenait la tension et ma température. Je passais la nuit à tenter de me réchauffer et me reposer un maximum. L'aube pointait, avec soulagement, son nez. Une infirmière venait à nouveau prendre mes constantes et me recommandait de ne pas me lever tant que le médecin n'était pas venu. Une aides-soignante apporta avec plaisir mon petit déjeuner. Je me restaurais avec appétit et empressement. Je vidais une nouvelle fois ma vessie dans l'urinal. Je me rallongeais pour tenter de me réchauffer ayant grelotté toute la nuit. Je téléphonais à un cousin pour qu'il vienne chercher ma voiture. En milieu de matinée, ma doctoresse passa et vérifiait son travail. Elle décidait d'enlever les strips pour vérifier s'il n'y avait pas d'infection. 15 - Hospital. - D - -.-Elle me fit remarquer que j'étais totalement rasé ! Honteux et frustré, ne pouvant lui révéler la vérité, je lui répondais que je l'avais fait exprès pensant qu'il y aurait de gros pansements. Je ne pense pas qu'elle m'a cru mais elle reconnu que c'était une bonne idée et que tout allait bien ! Elle me recommandait de bien rester au16 - Hospital. - D - -.- maximum au lit et de ne pas me lever. Elle renouvelait aussi sa recommandation de ne porter aucun vêtements dans le lit. Je frissonnais tellement que je n'avais qu'une envie, me réchauffer enfin ! Ma migraine n'ayant toujours pas passé, régulièrement les infirmières m'apportaient des comprimés. Les soignants venaient continuellement prendre mes constantes et s'informer de mon état. Quand l'aide-soignante apporta mon déjeuner, je commençais à me réchauffer. Je déjeunais sans appétit. Une infirmière vint une nouvelle fois s'informer sur mon état de santé. À son tour, elle vérifiait les cicatrisations. En levant les couvertures, je sentis immédiatement une nouvelle érection humiliante. Elle plaisanta en rétorquant avec un grand sourire qu'elle me faisait de l'effet…. Je ne pouvais pas la contrarié, mais ce n'était pas elle qui me faisait de l'effet mais d'être en permanence exhibé devant le personnel médical. Elle m'autorisa à 17 - Hospital. - D - -.-me lever et emporta le pistolet. Cette annonce voulait être bienfaitrice mais pour moi les humiliations reprenaient du service. Je savais que c'était le signal pour réaliser les commandements de mes Masters. Je prenais mon marqueur, le short blanc et je passais à la salle de bain. Je notais humilié et frustré, l'inscription sur ma queue. Je remettais en place le plug dans ma18 - Hospital. - D - -.- rondelle et j'enfilais, pour un moment, le short blanc en faisant attention que mon gland n'apparaisse pas. Pour cela je descendais la taille au maximum. Je prenais mon champ de bataille qui me sert de lit. Je m'installais dans le fauteuil avec un livre en mains. Je faisais attention que ma queue n'apparaisse pas. Après plusieurs pages, je sentais mes paupières de plus en plus lourdes. Je rangeais 19 - Hospital. - D - -.-ma lecture et le short dans le placard. Je retapais grossièrement mon champs de bataille. Dès que je me retrouvais en position horizontal, le sommeil me gagnait. Rapidement, je me retrouvais une nouvelle fois dans les bras de Morphée. En milieu d'après-midi on frappa à la porte et j'autorisais son entrée. C'était mon cousin qui venait chercher les clefs de la voiture pour l'emmener chez lui. Comme20 - Hospital. - D - -.- j'étais fatigué, il ne resta pas longtemps en promettant qu'il prendrai de mes nouvelles par téléphone en attendant de me rapporter mon bien. Je le remerciais et je tirais les draps sur moi. Je retrouvais rapidement le sommeil. C'est l'aide-soignante, en apportant le plateau repas qui me réveillait. Je dînais devant la télévision. Je me rallongeais sous mes couches car je recommençais 21 - Hospital. - D - -.-à frissonner. Dans la position du fétus, je retrouvais le sommeil. Que la nuit était douce et bénéfique sans les geôliers qui empalaient mon malheureux gland et provoquaient des érections avortées. Quand l'infirmière ouvrit la porte pour prendre mes constantes du matin, je me réveillais en sursautant. Elle s'excusa mais je la rassurais que22 - Hospital. - D - -.- ce n'était pas de sa faute. Le temps qu'elle prenne les différentes données, nous discutions de son travail. Heureusement pour ma pomme, elle ne regarda pas comment était les cicatrises. À son départ, je me rallongeais pour attendre le petit déjeuné. Je m'assoupissais. L'aide-soignante, me réveillant, me demandait ce que je désirais et elle m'apportait mon plateau. Je m'assaillais sur le bord du lit pour déjeuner. Lorsque s'était terminé, je m'empressais à passer dans la salle de bain pour annihiler le graffitis sur ma pauvre queue. En me douchant et en lavant mon sexe, j'avais beau faire attention mais ce travail provoquait une nouvelle érection. J'avais une envie grandissante de me masturber, jouir et enfin vider mes bourses qui débordent de tous les cotés. Quand je sentis mon jus qui allait monter, je me battais contre mes mains rebelles et réfractaires aux 23 - Hospital. - D - -.-commandements qui m'empêcherait de jouir. Résigné et asservi, je stoppais les massages que mes doigts prodiguaient à mon pénis. Je vérifiais l'invité dans sa résidence et je terminais en enfilant le short blanc. Je regardais la télévision du fauteuil et tentant au mieux de dissimuler mes attributs sexuels qui tentaient des sorties intempestifs. Je commençais, une nouvelle fois à avoir les paupières lourdes. Je rangeais le short dans le placard et je reprenais place dans mon lit. En m'allongeant, je m’aperçus que j'avais de petits frissons. Je me cachais sous les couvertures. La chaleur aidante, le sommeil envahissait tout mon être. J'entendais la porte s'ouvrir et je regardais les nouveaux venus. C'était ma doctoresse et un interne. Je priais pour que mon instrument reste au repos d'autant plus qu'il y avait un visiteur. Malheureusement à cette pensée, je sentais l'érection faire son œuvre. Mon cœur se mit à battre de plus en plus vite. Elle levait le drap et voyant24 - Hospital. - D - -.- l'étendard dressé, me fit un grand sourie avec un petit clin d’œil. Elle auscultait son travail et expliquait à son visiteur ce qu'elle avait réalisé. Je sentis le compagnon de ma petite fleur commencer à s'activer sur l'anneau. Je faisais un travail surhumain sur moi même pour éviter tout râles ou gémissements. Je devais serrer les fesses pour éviter que le convive quitte son emplacement 25 - Hospital. - D - -.-douillet. Je vis se dessiner un petit sourire aux lèvres de l'interne. En reposant le drap en place, elle m’annonçait que la sortie pourrait se faire le lendemain en début d'après midi. Elle m'informait que j'aurai un traitement à prendre et qu'elle ferait un arrêt de travail pour un mois. Je la remerciais et nous nous souhaitions une excellente journée. En sortant, elle se retournait et26 - Hospital. - D - -.- m'invitait à soulager mon petit baigneur. J’acquiesçais sans pouvoir lui avouer que je ne pourrais pas réaliser cette félicité. J'attendais un moment avant de retourner aux toilettes. J'avais avec moi le marqueur et le short blanc qui commence à changer de couleur. J'immortalisais ces jouets ainsi que le convive dans son antre douillet. Je passais la 27 - Hospital. - D - -.-matinée dans le fauteuil à bouquiner. À midi, on m'apportait mon plateau repas. Je déjeuner assis sur la chaise, mon plateau sur une tablette. Le visiteur se retrouvait compressé et jouait avec l'anneau. Par moment, j'avais ma rondelle qui poussait ! Je devais mouiller pour être aussi excité ! Je ne pouvais retenir tous les gémissements qui montaient de mes entrailles. Je me pressais à terminer mon repas. Je me levais et déposais le short sous mon oreiller au cas où j'aurai à dissimuler en urgence le tag sur mon poupon. Je m'allongeais et au bout de quelles que minutes je trouvais de nouveau le sommeil. L'anesthésie me travaillait encore car je dormais toute l'après-midi. C'est l'aide-soignante, en apportant le plateau repas du soir, qui me réveillait. Je m'assoyais dans le lit et j'attaquais mon dîner. Lorsque j'eus terminé de me restaurer, une envie de café m’envahit. Je désirais en boire un mais je devais descendre au rez-de-chaussé. Je prenais mon courage à28 - Hospital. - D - -.- deux mains et j'enfilais le short blanc avec un t-shirt. Malheureusement ce dernier n'était pas assez long pour cacher le vêtement blanc. Je descendais la taille au maximum pour éviter le plus possible tout incident indésirable. Je prenais de la monnaie et je me dirigeais vers les ascenseurs. Au passage, je signalais aux infirmières mon escapade nocturne. Heureusement le distributeur 29 - Hospital. - D - -.-de café était proche des ascenseurs C. Je saluais les trois patients qui avaient déjà leurs boissons en mains. Je lançais la distribution de mon expresso en ayant introduit une pièce. Je prenais mon breuvage chaud. N'ayant que trois sièges à coté de la machine, un jeune se lavait pour me laisser sa place. Je ne voulais surtout pas la prendre car j'étais certain que mon gland apparaîtrait et le30 - Hospital. - D - -.- début de ma queue avec son graffiti. Mon palpitant se mit à s’emballer et mon trou à pousser à cause de son compagnon intrusif. Je retenais tant bien que mal mes gémissements intempestifs. Je déclinais chaleureusement son invitation en prétextant que les sièges étaient trop dur…. Je me calais dans un recoin, ce qui me permettais de voir tout le couloir 31 - Hospital. - D - -.-sans être surpris. Nous discutions un moment. Au fur et à mesure que nous terminions notre nectar bas de gamme, nous nous retirions et d'autres personnes prenaient notre place. Je remontais à mon étage et dans l'ascenseur, je vérifiais devant le miroir si des intrus étaient apparut. J’apercevais, à mon grand désespoir, le méat urétral. Je devrai faire de tout petit pas afin d'éviter que mon gland apparaisse sous ce maudit vêtement ! Pendant mon retour en chambre, je ne croisais personne à mon grand soulagement. J'avais le palpitant qui jouait encore et toujours la chamade. Je déposais le t-shirt et je passais à la salle de bain pour vérifier les dégâts. Effectivement la plus grande partie du gland faisait son apparition. Je maudissais tous les shorts qui avaient étés sélectionnés car, au moindre mouvement, le bout de mon sexe est exhibé quand je n'ai pas de mitard ! Je le32 - Hospital. - D - -.- posais dans le placard et je me couchais avec plaisir. Il ne fallut pas beaucoup de temps pour que Morphée me prenne dans ses bras. La dernière nuit à l'hôpital fut mouvementé ! Je cauchemardais avec ma prochaine prison que je devrai poser le lendemain matin. Régulièrement, je regardais les heures s'égrainer. Enfin l'aide-soignante apportait le petit déjeuner que j'engloutissais rapidement pour me rendre à la douche. Une nouvelle fois, en tentant de neutraliser l'inscription sur ma queue, je sentis, à mon grand désappointement, une montée de jus spontanée. J'avais de plus en plus de mal à contrôler mes mouvements et à maîtriser mes mains irréductibles. Après d'âpre négociations, mes pirates de mousquetaires acceptèrent une trêve. Ma semence fut stoppé net dans sa monté inéluctable. Frustré et humilié, je sentais, à mon grand regret, mon jus redescendre et 33 - Hospital. - D - -.-reprendre place dans les couilles. J'avais de plus en plus de mal à faire respecter la cessation des hostilités par mes forbans indisciplinés. Je me rinçais pour me sécher le plus rapidement possible. Je renfilais la chemise de l'hôpital et je retournais au lit en attendant le passage du médecin. Je regardais les émissions du matin avec les informations. En milieu de matinée, la chirurgienne arrivait avec l'infirmière en chef. Je priais pour que mon appendice reste endormi et ne fasse pas des siennes. Mes prières furent vaines ! Dès que je les voyais pénétrer dans ma chambre, mon soldat se mit au garde-à-vous ! Mon cœur se remit à s'affoler et mon sang à affluer au visage. Quand la chirurgienne leva les couvertures pour une dernière auscultation, un nouveau sourire illuminait son visage. C'est vrai qu'elle est jeune avec beaucoup d’atouts, ce qu'il faut où il faut avec un petit accent étranger. Elle était satisfaite de son travail et m'expliquait que l'infirmière ici34 - Hospital. - D - -.- présente apporterai dans un moment les papiers de sortie. Je lui demandais de commander aussi un VSL pour mon retour à mon domicile. Elle me faisait ses dernières recommandations en insistant de ne surtout pas forcer pendant, au moins, 15 jours. Nous échangions des salutations et elle me souhaitait un prompte rétablissement. L'infirmière m'autorisait à commencer à faire mes bagages car l'heure du repas approchait rapidement. J’acquiesçais mais pas pour les mêmes raisons. Il fallait que je remette en place tous les attributs du slave, hormis le locataire de mon côlon qui n'avait pas bougé depuis la fin de l'intervention chirurgicale. J'enfilais, une nouvelle fois, le short blanc. Je passais à la salle de bain avec le maudit marqueur. Pour une ultime fois, je reproduisais de nouveau le graffiti sur mon malheureux pénis ! J’installais l'anneau métallique de la ceinture block-plug et le cock-ring en caoutchouc. J'attachais le cordon du short le plus bas possible sur ma taille 35 - Hospital. - D - -.-pour dissimuler au mieux mes attributs et surtout le graff qui l'accompagne. Je retournais dans la chambre et je commençais à ranger mes affaires. Je débutais avec mon appareil PPC que je disposais dans sa sacoche. Je posais la valise sur le lit et, au fur et à mesure, je disposais mes vêtements sale dedans. L'infirmière revint à ce moment là. Quand la porte s'ouvrit, machinalement je plaçais une mains devant mes attributs sexuels. Elle revenait me donner les papiers. Elle m'expliquait l’ordonnance pour trois mois et ses drogues, la prochaine consultation avec la doctoresse, le mardi 24 octobre à 10h30 et un arrêt de travail d'un mois, jusqu'au dimanche 29 octobre 2017. Elle terminait en me fournissant le document pour le VSL. Elle me demandait si j'avais des questions ou de nouveaux renseignements. Elle termina en m'apportant des compresses imbibées d'un produit volatile pour faire disparaître les traces de sparadrap. Je la remerciais pour ces documents, ces36 - Hospital. - D - -.- lingettes ainsi que pour le professionnalisme du personnel de ce service. Elle exprima sa gratitude et me souhaitait une excellente continuation. Je posais ses documents sur la tablette. Je prenais avec moi mon téléphone, les attributs du slave, mes vêtements pour sortir, les gazes et je passais à la salle de bain sachant que je n'aurais plus de visite inopportune avant le repas. Je fermais tout de même à clefs la porte. Je me déshabillais de nouveau en prenant toutes les photos nécessaires comme l'avaient recommandées mes Masters. Ayant envie d'uriner et pour bien vider ma vessie, je soulageais momentanément ma petite fleur. La lunette étant resté levé toute mon hospitalisation, je m'assaillais sur la faïence. C'est toujours autant humiliant et dégradant de ne plus pouvoir utiliser cette protection et d'être contraint d'uriner assis sur la faïence, les jambes écartées bien que je n'avais pas mon pénis emprisonné. Je vidais ma vessie avec soulagement. Avec les compresses, je 37 - Hospital. - D - -.-faisais disparaître le plus possible les traces des straps. Je prenais un dernier cliché du taquage de ma pauvre queue. En m'appuyant contre le lavabo, j'effaçais une dernière fois cet ignoble graffiti. Dès que je touchais ma queue, je me mettais à bander une nouvelle fois ! Sentant mon jus monter de nouveau, je dus m'y reprendre en plusieurs fois pour faire disparaître toutes traces dégradantes et inopportunes. Ma frustration et mon humiliation étaient grandissantes. Je me maudissais de ne pas pouvoir me masturber complètement et vider enfin entièrement mon jus ! Je reprenais le plug que je repositionnais dans mon côlon. Il était à peine en place qu'il reprit ses divertissements avec l'anneau. Un râle de douleur et de plaisir s'échappait de mes poumons ce qui augmenta ma honte et mon déshonneur. Je repositionnais le collier et sa médaille autour de mon cou avec le numéro du slave bien en vu. Le plus dur, le plus avilissant et le plus dévalorisant allait débuter ! Je devais placer sur ma pauvre queue qui était encore gonfler, la plus petite38 - Hospital. - D - -.- cage métallique en ma possession ainsi qu'un plug urétral. J'avais emmené le second en partant des plus petits et avec les embouts, celui-ci était allongé de deux centimètres ce qui faisait une longueur totale de sept centimètres. Je préparais le cock-ring et j'introduisais avec grande difficulté mon pénis dans cette nouvelle minuscule prison ! Il n'y avait de la place que pour le gland, le reste de 39 - Hospital. - D - -.-ma queue était compressée sur elle même ! Je devais encore positionner le plug urétral. Après l'avoir présenter à son futur convive et ses geôliers, je le lubrifiais légèrement. Par le bout de la cage je trouvais le méat urinaire. Je relâchais la pression du cachot sur son détenu pour introduire dans l'urètre ce nouveau jouet innommable. Quand il pris place, je vissais à fond ce tube sur le bout de la cage, ce qui augmente encore sa longueur d'un centimètre. Je fermais la porte et je posais le cadenas. J'hésitais un long moment avant de le refermer définitivement car je savais que ma malheureuse bite allait séjourné un certains temps dans ce cachot. Je tournais le collier pour positionner la médaille dans le dos et je prenais une dernière photographie de pieds, nu avec la cage. J'enfilais mon jeans que je ne boutonnais pas et qui était maintenu seulement par la ceinture. Je passais un maillot de corps et un pull à col roulé pour dissimuler un maximum le collier d'esclave. Je prenais de nouveaux clichés de la braguette, de la40 - Hospital. - D - -.- médaille que je repassais un instant devant puis du collier dans sa position définitive. Je remontais le col correctement quand j'entendis frapper de nouveau à ma porte. C'était l'aide-soignante qui apportait le plateau repas. Je sortais de la salle de bain et je la remerciais en lui souhaitant une bonne continuation. Elle me rendit la politesse en espérant un rapide rétablissement. Je déjeunais 41 - Hospital. - D - -.-assis sur le bord du lit. Lorsque je m'était restauré, je terminais ma valise. Je rangeais tous les documents dans ma sacoche et j'enfilais ma veste de treillis. Avant que l'on vienne me chercher, je retournais devant le miroir pour immortaliser les derniers souvenirs de ce séjour. Je rangeais mon portable dans une des poches du pardessus. De nouveau, on frappait à la porte. Ne voyant personne entrer j'allais ouvrir. Une personne devant moi me demandait si j'étais bien la personne qu'il venait chercher ? J’acquiesçais et nous nous présentions. Il se nommait Philippe et c'était mon ambulancier. Je lui donnait les documents pour le transport qu'il rangea dans une pochette. Il pris ma valise et posa dessus l'emballage de mon appareil PPC. Je prenais ma sacoche et nous quittions la chambre. Au passage, je saluais les infirmières et les aides-soignantes que je croisais. Devant l'hôpital sa voiture nous attendait. Il rangeait les bagages dans42 - Hospital. - D - -.- le coffre et nous nous assaillions. Il me conduisait jusqu'à mon domicile et m'aidait à porter mon paquetage dans mon appartement. Le premier travail que j'effectuais dès que je me retrouvais seul et pour terminer les instructions de mes Masters. Je prenais un gobelet, je déposais les trois clefs du cadenas au fond et je remplissais cette timbale d'eau. Je la mettais au congélateur, toujours suivant les commandements que j'avais reçu. Ainsi les clefs sont dans un bloc de glace avec impossibilité de les utiliser.

 

         Malgré des moments difficiles où je me suis sentis honteux, humilié,           frustré et avilis, je remercie mes Masters pour leurs soutiens tout le long de cette semaine. Ils ont été un réconfort quand je pouvais me connecter et les saluer. Je les gratifie pour leur patience et pour la continuation de l'éducation de leur esclave soumis et dévoué.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Humiliations - Ecrire un commentaire - Voir les 9 commentaires
Mardi 26 septembre 2 26 /09 /Sep 07:27

Bonjour à tous.

 

Comme vous le savez, notre esclave est à l’hôpital depuis dimanche.

Comme notre esclave n'est pas allé au sauna avant, il est donc parti en cage dimanche et plugué les couilles toujours pas vidées. De plus il a du enlever la cage uniquement quand il est arrivé dans sa chambre.

Pendant son séjour, il devra être avec son short blanc uniquement sans rien dessous et le mot "LOPE" marqué sur sa nouille. Il devra le remettre après avoir pris sa douche aussi. À son départ de l’hôpital, il devra être sous cage métallique (la petite) et plug urétral. La cage devra être fermée par un cadenas métal et la clé sera mise au congélateur dès son arrivée chez lui.

De plus, nous avons l'intention de lui faire changer son boxer blanc pour ses consultations. Si vous avez des idées de nouveaux boxer, le bâtard devra l'acheter et enlever la doublure aussi comme les autres.

 

Ses Masters

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Dimanche 24 septembre 7 24 /09 /Sep 12:08

Mercredi 20 septembre :

        Après la dernière corvée du 13 septembre, je faisais part à mes Masters des difficultés et du temps très long que je passais à devoir inscrire toutes les références sur mon corps. Suite à leurs consultations Maître Michael faisait part de leur décision. Avant de me rendre au bureau, je devais réaliser les écris chez moi. J'allais devoir porter toute la journée sur moi toutes mes références au marqueur. Cette situation risquait d'être frustrante et dégradante….

35 - Corvée - D - -.-        Arrivé chez moi après avoir remis tous les attributs, je me déshabillais une nouvelle fois. La veille au soir en partant du travail, j'avais emprunté le marqueur que je glissais dans une poche. Je passais à la salle de bain avec ce feutre indélébile. Assis sur le bord de la baignoire, j'inscrivais sur ma cuisse gauche la date du jour : "Mercredi 20 Septembre 2017", sur ma cuisse droite mon numéro37 - Corvée - D - -.- d'enregistrement dans le registre des slaves : "Slave N° 411.103.335" et sur mon torse, mon appartenance : "Slave de Master Éric et de Maître Michael". Pour cette dernière inscription, je la réalisais devant mon miroir et j'écrivais mon texte en le regardant. Trop tard, je m'apercevais que mes lettres était sur mon 36 - Corvée - D - -.-corps, plus grosses que je ne pensais. Je me maudissais pour cette gaffe. La prochaine fois, je devrai faire plus attention pour que le texte prenne le moins de place possible sur mon torse. Cette constatation eu une réaction inattendu ! Je sentis les pics empaler mon malheureux gland et38 - Corvée - D - -.- provoquer une érection avortée par la prison de ma pauvre queue. Je déteste ces maudits picots et cette cage qui martyrisent ma malheureuse bite. Je n'avais pas le temps d'effacer ces trop grosses inscriptions et de les refaire. L'odeur du marqueur atteignait mes narines. Il faudra impérativement, après mon hospitalisation, que je 39 - Corvée - D - -.-trouve un marqueur qui ne laisse pas d'effluves trop fortes. Tout mon corps empestait l'odeur de ce maudit marqueur ordinaire. Je retournais dans ma chambre pour me rhabiller en laissant, à mon grand désespoir, ma braguette et les boutons du jeans ouverts. Je m'empressais pour enfiler la veste de treillis et je partais rejoindre mon40 - Corvée - D - -.- travail. Chaque nouveaux pas étaient une torture permanente. La geôle, plaquée contre ma cuisse, suivait tous les mouvements de la jambe. Les pics empalaient un peu plus, à chaque mouvement, mon malheureux gland qui, excité, provoquait une érection avortée par la prison innommable de ma 41 - Corvée - D - -.-pauvre queue. De plus, je sentais la fraîcheur humide s'infiltrer par la porte ouverte béante du pantalon. Mon côlon n'était pas non plus à la fête ! Son invité, à chaque mouvements, excitait un peu plus l'anneau intérieur qui tentait en vain de gober cette boule indésirable. J'avais ma pauvre rondelle qui, régulièrement, tentait des42 - Corvée - D - -.- poussées. Bien que je faisait mon maximum pour retenir tous gémissements intempestifs, de temps en temps un râle involontaire s'échappait de mes poumons. Heureusement le bureau était en vue et discrètement je fermais boutique au maximum. Je montais les quelles que marches et je me trouvais sur le perron. En entrant, au fur et à mesure que 43 - Corvée - D - -.-je croisais des collègues, des parents ou des enfants, je les saluaient et nous échangions quelles que mots. Je montais à l'étage pour regagner mon poste de travail. Chaque nouvelles marches étaient un calvaire ! Les pics empalaient toujours un peu plus mon pauvre gland ! Cette excitation provoquait une érection torpillée. 44 - Corvée - D - -.- Ma petite fleur n'était pas non plus de la fête ! Son convive excitait, à chaque nouveaux mouvements, encore plus son hôte. Je devais tenter de retenir des poussées intempestifs de ma rondelle. Arrivé à l'étage, je croisais mon directeur qui m'invitait à rentrer dans son bureau. En premier lieu, il me demandait mon état de santé et mes sentiments par à port à ma prochaine hospitalisation. Je le rassurais et lui répondais que j'étais tranquillisé avec tous les examens préalables réalisés. Ensuite il me demandait si mon collier était bien nécessaire au travail. Qu'il posait beaucoup de questions à certains parents et qu'il serait bien que je pense à le laisser chez moi. Ne pouvant lui dire la vérité, ne sachant pas ses opinions, je lui répondais que j'en 45 - Corvée - D - -.-parlerai à mon amie car c'était elle qui en avait la clef. Il continuait en demandant à quoi ce "M" faisait référence ? Honteux et désappointé, je répondais que cette amie n'avait pas trouvé la lettre de l'initial de mon prénom et quelle avait achetée celui de mon nom de famille. Heureusement j'avais déjà utilisé cette ruse pour expliquer sans commentaire l'explication de ce collier. Bien sûr, je passais sous silence la médaille que je cachais sous le col de la chemise et du maillot de corps. J'allais partir lorsqu'il remarqua l'odeur du marqueur et me questionna sur l'origine de ces effluves. Ne pouvant répondre correctement, je prétextais que je rechercherai l'origine de ces émanations. Nous nous souhaitions une bonne46 - Corvée - D - -.- journée et je regagnais, soulagé, mon poste de travail. Je posais ma veste sur le dossier de mon fauteuil et je lançais mon ordinateur. Le temps qu'il s'allume, je prenais ma bouteille vide sur le coin de mon bureau et j'allais la remplir dans notre salle de détente. Revenu, je lui redonnais sa place. L'aller retour avait été un enfer. Chacun des attributs sexuels que je portais en avaient profité pour martyriser un peu plus leurs prisonniers ou leur hôte. Avec grandes difficultés je retenais au mieux tout gémissement incontrôlable. Je prenais place sur mon fauteuil. Je rangeais le marqueur que j'avais emprunté dans son tiroir en attendant que je m'en procure un inodore, et 47 - Corvée - D - -.-effaçable à l'eau. En m'assaillant, le plug pénétrait un peu plus et excita l'anneau. Mon trou se mit à pousser. Pour retenir tous sons inopportuns, je bloquais ma respiration et je faisais des apnées pour retenir tous chuintements inconvenants. Je me mettais au travail et je me concentrais dessus pour ne pas penser à mes invités. De temps en temps, je buvais une gorgée d'eau. Mon collègue travaillait lui aussi à son bureau à coté du miens. De temps à outres nous échangions quelles que réflexions. En milieu de matinée, ma vessie se remplissait inexorablement. Ne tenant plus, je me décidais enfin à me rendre aux toilettes. Mon collègue s'était48 - Corvée - D - -.- absenté et je jetais un œil dans le couloir vérifier que personne était en approche. Je vérifiais que mon 49 - Corvée - D - -.-portable était bien dans la poche frontale de mon gilet sans manche et je me dirigeais vers les toilettes. Je refermais à clef la porte et je me déshabillais une nouvelle fois. Au fur et à mesure que j'ôtais un vêtement, je l'accrochais à un patère de la porte. Quand j'enlevais mes chaussettes et que je posais les pieds sur le carrelage, je sentis le froid de celui-ci glacer mes plantes de pieds et remonter dans mes mollets. Je relevais le couvercle et la lunette des toilettes et je m'assoyais sur la faïence gelée. Mes petites fesses reçurent, comme une gifle, la froidure de ce trône.50 - Corvée - D - -.- J'avais pris aussi mon portable et je réalisais les premiers clichés. Je lâchais les vannes et ma vessie se vidait au fur et à mesure. Quand elle fut complètement vidangée, je séchais, avec du papier toilette, le bout de la cage et mon méat urétral. Je posais sur le sol le téléphone et je m'accroupissais. Progressivement, je sortais l'invité de son garage et je prenais des clichés. J'immortalisais ma petite fleur ouverte avant de repositionner ce convive turbulent. Je faisais de même avec la prison de ma queue et des différentes inscriptions sur mon corps malmené. Comme le désire mes Masters, je roulais mes chaussettes propre du jour sur elle-même en 51 - Corvée - D - -.-commençant par le haut et en terminant par la plante des pieds. Je les fourrais dans ma petite bouche comme un bâillon. Je terminais avec une photographie de mes vêtements accrochés aux patères de la porte. Pensant que j'avais pris toutes les preuves en photo, je commençais à me rhabiller pour la cinquième fois de la matinée !!! Avant de fermer boutique, je prenais de nouveaux clichés avec celle-ci ouverte puis fermé. Je rangeais le portable dans une des poches frontales de mon gilet. Je tirais la chasse d'eau. Je refermais la lunette et le couvercle des toilettes. Je me lavais les mains et je me les séchais. Je jetais un dernier coup d’œil et je sortais de ces lieux. J'allais en salle de repos où je retrouvais des52 - Corvée - D - -.- collègues. Nous buvions un café ou un thé en fumant, pour la plus part, une cigarette. Différents collaborateurs faisaient la remarque qu'il y avait une odeur de marqueur. Hypocritement, je faisais la même réflexion en omettant d'avouer que ces effluves venaient de moi. Très prochainement, je devrai en changer et surtout, trouver un feutre effaçable à l'eau et sans odeurs. C'est de plus en plus humiliant, frustrant et dégradant de porter ce parfum qui entraîne des questionnements de mes collègues de bureau. Je regagnais mon poste. Si aux toilettes mes geôliers s'étaient calmés un temps, dès que je ressortais ce petit monde recommençait à maltraiter ma queue et mon gland ainsi que ma rondelle et son anneau intérieur. Avec soulagement je retrouvais mon siège et je reprenais mon labeur. En me concentrant sur mon travail, j'arrivais la plus part du temps à ne pas faire attention aux tortures de mes attributs sexuels.

 

        Impérativement, je dois demander l'autorisation à mes Masters de changer de marqueur ! Il faudrait que j'en trouve un qui soit sans odeur et qui puisse s'effacer avec de l'eau. Un feutre indélébile et odorant est avilissant et dégradant. J'espère que mes Maîtres accepterons ma demande pour que les références du slave soient un peu moins humiliantes et frustrantes à porter. Je remercie mes Masters pour cette nouvelle étape franchie dans la soumission et l'obéissance. Je souhaite qu'ils acceptent ma futur demande car ce serait encore plus déshonorant si je devais continuer avec cette marque de marqueur qui est, non seulement indélébile, odorant mais aussi avec une pointe très large. Un nouveau Merci à mes Masters pour me faire évoluer dans les limbes de l'assujettissement, de la soumission et la servilité.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Labeurs Journaliers - Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Samedi 23 septembre 6 23 /09 /Sep 11:40

Mercredi 20 septembre :

02 - Médecin - D - -.-        Je me levais après une nuit tourmentée comme d'habitude. La nuit s'était entrecoupée de cauchemars et de réveils en sursaut. Maître Michael avait recommandé que le rasage soit impeccable. Je buvais un bon expresso et je passais à la salle de bain pour parfaire, à contrecœur, le rasage complet du slave. Pour compléter cet ouvrage, je réalisais une épilation de mon trou et de mes fesses ne pouvant pas, sans accident, les raser. Je prenais une bonne douche à la suite et j'en profitais pour réaliser un assainissement total de la cage et de son prisonnier. J'appréciais une dernière fois la douceur et la chaleur de l'eau qui ruisselait sur ma peau. Je me séchais et je remettais en place le collier et sa médaille après avoir fait un décrassage complet. J'installais le plug N° 03, celui qui tient seul, dans mon petit trou. Je m'habillais avec le boxer blanc, une paire de chaussettes, un jeans en laissant la braguette et les boutons ouverts, un maillot de corps, une chemise et un gilet sans manche. Après avoir constaté qu'il pleuvait des hallebardes, j'en faisais part à Maître Michael. Il changea les directives pour 01 - Médecin - D - -.-enlever le boxer et remettre le collier car je devais garder pour ma consultation, non seulement la cage mais aussi l'ami qui stationnait dans mon côlon. Au lieu de le faire en extérieure comme prévu, au vu de la météo, il recommandait de le réaliser dans la cave comme je devrai ensuite passer chez moi pour inscrire sur le corps les références du slave. Dans ma sacoche, je préparais mes papiers d'assuré et la clef pour le collier. J'attrapais une veste de treillis car elle était assez longue pour dissimuler la braguette ouverte.

03 - Médecin - D - -.-        Les tortures continuaient à chaque nouveau pas. Les pics empalaient mon malheureux gland ce qui provoquait une érection avortée parla cage. Le copain de ma rondelle continuait à jouer avec l'anneau qui tentait en vain de le gober. Je devais à tout moment retenir des gémissements incontrôlables. J'ouvrais ma voiture et en m'assaillant sur le siège, le plug excita un peu 04 - Médecin - D - -.-plus la petite fleur. J'arrivais avec soulagement sur le parking de mon médecin. Avant de sortir du véhicule, j'enlevais le collier et sa médaille que je rangeais dans ma sacoche. La pluie continuait de tomber en trombe. Je courais jusqu'à la porte du bâtiment. Je sonnais à la porte et j'entrais dans 05 - Médecin - D - -.-le cabinet médical. Le secrétaire était derrière son poste. Nous nous saluions et échangions quelles que mots sur les grandes eaux qui tombaient des cieux. Ma doctoresse m'invita à entrer dans son bureau. Après s'être salué je lui donnais ma carte d'assuré social. Elle m'invitait à me mettre 06 - Médecin - D - -.-en tenue soit avec seulement mon sous-vêtement. Je me déshabillais tout en retenant de nouveaux gémissements. Les picots continuaient à martyriser mon pauvre gland et la cage avortait toute tentative d'érection de ma bite. Le plug n'était pas non plus sans ressources. Il continuait à titiller son ami dans le côlon. Je me retrouvais avec seulement le boxer blanc qui n'a plus de doublure. La cage et surtout le cadenas se devinaient facilement par transparence. Mon cœur se mit à battre de plus en plus vite et de plus en plus fort. Je devais faire un effort surhumain pour contrôler ma respiration et ne pas laisser sortir des gémissements intempestifs. Après avoir fait les mesures mensuelles, elle m'invitait à m'allonger sur la table d'auscultation. 07 - Médecin - D - -.-En m'assoyant, le plug en profita pour exciter un peu plus mon côlon. Avec grande difficulté je retenais les plaintes qui montaient en moi. Allongé, il continuait à s’amuser avec son hôte et la prison de ma queue était mise en évidence avec sa serrure. Une nouvelle fois, je me sentais 08 - Médecin - D - -.-frustré et humilié avec ces artifices en évidences. Elle dû s'en apercevoir car elle me fit remarquer que j'avais toujours mon jouet dans mon sous-vêtement. Honteux et humilié de nouveau, j’acquiesçais avec colère et infamie. Elle aperçue et me questionnait sur les raisons pourquoi je retenais ma respiration. Mon palpitant s’emballait et le sang me montait à la tête. Elle remarqua mes rougeurs et me fit part de ses constatations. Frustré et avilis, je tentais de balbutier une réponse inaudible. Cela la fit sourire ce qui m'humilia encore plus. J'avais envie de fuir cette auscultation tellement j'étais humilié, gêné et désappointé. Constatant mon désenchantement, elle changeait de sujet et me questionnait sur mon travail et mes journées. Elle 09 - Médecin - D - -.-terminait enfin son auscultation et m'invitait avec soulagement à me rhabiller. Je m'exécutais sans demander mon reste. Elle s'installait à son bureau pour remplir mon dossier et rédiger mon renouvellement d’ordonnance. Le martyre de mes attributs sexuels continuait sans relâche. Je tentais en vain de calmer les geôliers et leurs prisonniers. Mon palpitant continuait à s’emballer. En me rhabillant, le médecin fit remarquer que ma braguette était ouverte. Je la fermais momentanément en la remerciant et en la priant de m'excuser. Elle me tendait mes différents documents que je m'empressais à ranger dans ma sacoche. Nous continuions à discuter de la pluie et du beau temps quelles que minutes. À mon grand soulagement, elle se leva et 10 - Médecin - D - -.-m'invitait à en faire autant. Je sortais de son bureau en nous saluant. Le patient suivant était là et elle le fit entrer à son tour. Je vérifiais avec le secrétaire les dates et les horaires de mes prochains rendez-vous. Nous nous serrions la mains. Avec plaisir et soulagement je m'enfuyais de ce lieu d'humiliations et de frustrations. Dans le couloir j'ouvrais à nouveau ma braguette suivant les nouvelles instructions de mes Masters. Les pics, la cage et le plug continuaient sans cesse à torturer ma malheureuse queue et mon infortunée rondelle. Je courrais à mon véhicule et je m'empressais à m’asseoir sur mon siège. Je ressentais la fraîcheur humide pénétrer par l'ouverture inopinée de mon jeans. Je déposais mon ordonnance à la pharmacie et je revenais contrarié et humilié à mon domicile. Je stationnait 11 - Médecin - D - -.-ma voiture et je rentrais dans mon immeuble. Au lieu de monter dans mon appartement, je descendais, contraint et forcé, à la cave. Par sécurité, j'ouvrais la porte de ma cave au cas où un voisin arriverait inopportunément. Je déposais sur le sol en béton brute, ma sacoche et ma veste que je repliais. Je 12 - Médecin - D - -.-prenais mon téléphone pour immortaliser mon désarrois. Je continuais à me dévêtir et à déposer sur le sol mes vêtements pliés. Quand il me restait plus que le boxer, je le prenait à contrecœur en photo. Je faisais de même pour mes vêtements pliés par terre. Pieds nus, je sentais la fraîcheur et la rudesse du béton brut. Un frisson parcourut mon corps de la tête aux pieds. À contrecœur, je déposais le sous-vêtement et j'immortalisais le prison de ma queue et sa serrure inviolable. Je me retrouvais nu comme un vers. Tous mes sens étaient en alertes et je scrutais le moindre bruit pour me replier en urgence dans ma cave. Je prenais un cliché des geôliers de ma queue. Mon palpitant battait toujours 13 - Médecin - D - -.-la chamade. Mon angoisse était grandissante plus je devais rester dans la tenue d'un nouveau-né dans ce maudit couloir. La minuterie arrivait à son maximum et la lumière du couloir s'éteignit. À tâtons, j'atteignais le bouton et je relançais la minuterie. Que la lumière soit et la lumière fut ! Je continuais avec empressement les commandements de mes Masters. J'attrapais mon collier et sa clef. Je l'ouvrais et je le positionnais avec sa médaille autour de mon cou. Après avoir prit un nouveau cliché, je commençais à me rhabiller. J'enfilais mon maillot de corps puis ma chemise et je prenais une photo de celle-ci avec le médaillon du collier. Je le 14 - Médecin - D - -.-positionnais ensuite dans mon dos et je faisais de même avec la marque du slave qui se trouvait à la place de l'insigne précédemment, soit le "M" de …. Je continuais avec mes chaussettes que j'avais rangé momentanément dans mes baskets. La lumière s’éteignit à nouveau. Toujours à tâtons, je retrouvais le bouton et je relançais la minuterie. La lumière revint immédiatement. Je poursuivais avec mon jeans en laissant à contrecœur, la braguette et les boutons ouverts. Heureusement il était tenu par la ceinture mais la chemise arrivait à sortir par cette ouverture fortuite. Avant de ranger le boxer dans la sacoche, je prenais un nouveau cliché. Enfin, 15 - Médecin - D - -.-j'enfilais ma veste de treillis pour camoufler cette embrasure occasionnelle. Je fermais à clef ma cave et je rangeais le trousseau dans une des poches du blouson militaire. Je regagnais l'ascenseur pour atteindre mon appartement pour réaliser l'étape suivante des commandements de mes Maîtres. De nouveau, à chaque pas, les tortionnaires reprenaient de la vigueur. Les pics empalaient de nouveau mon malheureux gland qui provoquait une érection contrariée par la cage qui emprisonne ma pauvre queue. De même, le plug recommençait à exciter l'anneau du colon et occasionnait des poussées intempestifs de ma rondelle. Je faisais de mon mieux pour retenir tous gémissements malencontreux bien que personne ne soit à l'horizon.

 

         Enfin une nouvelle consultation de terminé mais quelles frustrations et humiliations avec le visiteur de ma petite fleur. Je remercies tout de même mes Maîtres pour cette nouvelle étape honteuse et dégradante. La suite chez mon médecin sera de plus en plus compliquée si les consignes sont toujours aussi humiliante et avilissante. Je gratifie mes Masters pour me faire évoluer dans la soumission, l'obéissance et l'acceptation des frustrations et des humiliations. Je les salue aussi pour la patience qu'ils ont pour parfaire l'éducation et la soumission de leur slave.

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Vendredi 22 septembre 5 22 /09 /Sep 17:43

Le dimanche 17 septembre :

        La nuit avait été très longue et douloureuse ! Maître Michael avait ordonné que je dorme avec un gode à la place du plug tenu par la ceinture. J'avais choisi le premier de la liste. Malheureusement son gland avait butté contre l'anneau qui l'avait gobé. Toute la nuit, il avait joué avec celui-ci. Pour le calmer un moment, j'introduisais un suppositoire. Cela permettait de le calmer un moment quand celui-ci faisait effet. Fâcheusement, cette accalmie n'était que de courte durée. Dès qu'il commençait à faiblir dans son soulagement, l'anneau reprenait de la vigueur et recommençait de plus belle son excitation.

25 - Exercice Verso - G - -.-        Je me levais enfin avec soulagement. Après avoir bu mon café, je changeais cet intrus avec le plug N° 04, toujours maintenu par la ceinture. Après avoir déjeuné le midi, je prenais mon26 - Exercice Recto - G - -.- courage à deux mains et je me décidais à réaliser l'exercice dominical avec son reportage photographique. Cette investigation n'était pas pour "Paris Match" bien que son slogan résumait mes sentiments de frustrations et d'humiliations : "Le poids des mots, le choc des photos…". Je préparais les godemichés devant moi. L'appareil photo dans le dos et mon portable pour les prises 26 - Exercice Verso - G - -.-de vues de face. J'avais aussi à porté de mains le lubrifiant, le poppers et du sopalin. Je défaisais la ceinture et je présentais à l'appareil photo l'invité de mon petit trou. Je lançais une série de prises de vues toutes les secondes. J'entendais le bip du retardateur et lorsque le premier cliché était dans la boite, je sortais de son logement cet ami embarrassant. J'enlevais aussi la ceinture pour plus de facilité. J'en profitais pour immortaliser ma petite fleur et avec le portable, la cage et son cadenas numéroté.

27 - Exercice Recto - G - -.-27 - Exercice Verso - G - -.-   Je prenais le premier gode qui avait déjà passé la nuit dans mon côlon. Je le lubrifiais et je le présentais à mon petit trou qui s'empressait de l'avaler. Quand la tête buta contre l'anneau intérieur il avala le gland de ce premier jouet. Assis sur celui-ci, d'une mains je prenais un cliché, puis, j'attrapais le portable pour la vue de face.les photos dans les boites, j'expulsais ce premier invité.

28 - Exercice Verso - G - -.-28 - Exercice Recto - G - -.-   J'attrapais le deuxième que je graissais et le présentais de nouveau à ma petite fleur. Au fur et à mesure qu'il pénétrait, mon petit trou avalait ce nouveau venu jusqu'au moment où il buttait contre l'anneau. Je prenais un peu de poppers pour l'aider à s'ouvrir, puis, ne continuais à m'asseoir dessus. Lorsque mon côlon l'avait pris complètement, je prenais les clichés recto et verso. Mon petit trou commençait à souffrir et à chauffer.

29 - Exercice Recto - G - -.-29 - Exercice Verso - G - -.-   Je sortais ce pieu de moi et j'attrapais le suivant. Je le lubrifiais à son tour et je le présentais à mon orifice anal. Je sentis le muscle s'ouvrir et prendre ce nouveau venu. Plus je descendais sur ce gourdin, plus je sentais mon orifice s'ouvrir et plus je sentais les parois s’enflammer. Cette patraque buttait à son tour contre l'anneau intérieur. Je faisais plusieurs vas et viens pour qu'il accepte de s'ouvrir et de gober le gland de ce nouveau phallus. Je sentais mon cul exploser, pousser et en feu. Je m'empressais à humer plusieurs rasades de poppers pour calmer ce petit monde. Assis sur ce gourdin, je photographiais à son tour ce nouveau venu.

30 - Exercice Verso - G - -.-30 - Exercice Recto - G - -.-   Je me relevais pour l'expulser aussi. Je prenais le suivant. À son tour, je le lubrifiais pour le présenter à ma petite fleur qui commençait à être explosé et en feu. De nouveau, j'introduisais ce nouveau venu dans mon côlon qui s'ouvrait au fur et à mesure que je m'assaillais dessus. Ce nouvel invité buttait à son tour contre l'anneau intérieur. Je réalisais de nouveau aller retour sur cette nouvelle massue jusqu'au moment où je le sentis ouvrir ce nouvel obstacle. À son tour, il avalait ce nouveau venu. J'attrapais le poppers que je sniffais rapidement pour tenter de calmer l'incendie qui se propageait dans mes entrailles. Je me hâtais ensuite à immortaliser ce nouveau jouet, assis dessus.

31 - Exercice Verso - G - -.-   Avec soulagement je me relevais et au fur et à mesure, je chassais de mes viscères ce nouveau phallus. Non seulement mon trou était en feu et poussait mais il était de plus en plus explosé ! Pour parfaire cet exercice dominical, j'attrapais, contraint, le suivant dans la liste des32 - Exercice Recto - G - -.- jouets insupportables. À son tour, je le graissais et le présentais à ma petite fleur en feu. Avant d'aller plus loin, je sniffais plusieurs rasades de poppers. Étant la première fois que j'utilisais cette marionnette, avant de jouer, je photographiais celui-ci Ce nouveau jouet étant conique, je ne savais pas jusqu'où mon côlon allait l'avaler. Je sentais mon trou s'ouvrir à son contact. Je faisais des vas et viens pour descendre progressivement sur cette nouvelle 32 - Exercice Verso - G - -.-matraque. La pointe, à son tour, fut stoppé dans sa progression par le premier anneau. Après plusieurs essais, il daignait s'ouvrir pour gober ce nouveau venu. Je m'assaillais au maximum sur ce jouet. Mon trou explosait sous la pression. Ne pouvant plus m'empaler sur ce cône, je prenais de nouvelles photos.

33 - Exercice Verso - G - -.-   Je me relevais. Avec soulagement pour mon côlon, j'expulsais ce gourdin de mon trou où un incendie irradiait les parois de mon malheureux côlon. Je réinstallais la ceinture afin de maintenir pour le reste de la journée le plug N° 04. Mon pauvre côlon étant irradié par un brasier permanent, 34 - Exercice Verso - G - -.-j'introduisais pour le calmer, un nouveau suppositoire. Je préparais l'appareil photographique pour qu'il immortalise la mise en place du compagnon de mon orifice. Quand il avait pris place, j'attachais la ceinture au cock-ring en caoutchouc en attendant de retrouver son anneau métallique. Malgré le suppositoire, ma petite fleur 35 - Exercice Verso - G - -.-et mon trou allaient mettre un certain temps pour se calmer et éteindre l'incendie qui les ravageait. Je me relevais et je découvrais honteux, angoissé et épouvanté que non seulement j'avais mouillé de la queue mais mon trou en avait fait tout autant, voir plus…. C'est encore plus frustrant et dégradant de penser que ma bite et ma petite fleur avait pris leurs pieds et avaient jouis dans la souffrance.

36 - Exercice Recto - G - -.-37 - Exercice Recto - G - -.-        Une nouvelle étape était réalisé pour cet entraînement. Je nettoyais les jouets utilisés pour ce nouvel apprentissage et je les rangeais pour 48 heures. Je remercie mes Masters pour cette nouvelle animation qui à chaque nouvelle étape, ouvre un peu plus ma petite fleur. À terme, elle deviendra un gouffre béant pour absorber le "Titan". Avec le soutien et les encouragements de mes Maîtres, le but final sera plus facile à atteindre.

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Mercredi 20 septembre 3 20 /09 /Sep 20:35

À l'hôpital :

        Après concertation de mes masters, Maître Michael me faisait part de leurs consignes pour mon hospitalisation. Je dois me rendre à l'hôpital avec mes attributs, le collier et sa médaille, le plug qui tient seul, pour le cadenas de la cage, les instructions viendront plus tard.

     À l'hôpital :

  • Le port du plug sera permanent sauf pendant l'intervention. Le slave le remettra en place dès son retour en chambre.
  • Le bâtard doit dormir avec seulement son short blanc. il doit faire une photo dans la chambre en tenue de nuit.
  • La sous-merde devra entretenir en permanence son rasage intégral.

        Pendant l'hospitalisation il est interdit au slave de se toucher, se masturber et jouir.... Pour uriner il devra toujours le faire assis sur la faïence les jambes écartées.

        Pour sa sortie, avant de partir de la chambre, le slave doit mettre la petite cage métallique avec un plug urétral, un cadenas métal, le cock-ring métal pour tenir plus facilement la ceinture, le plug N° 03 qui tient seul et remettre le collier et sa médaille.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Les Consignes - Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Dimanche 17 septembre 7 17 /09 /Sep 07:58

Le Mercredi 13 septembre 2017:

        Après une nuit difficile alternée de cauchemars, de torture du gland, de la queue et des réveils en sursaut, je me levais de bonne heure. Après un café serré, je passais à la salle de bain parfaire le rasage, prendre une bonne douche et un nettoyage complet de la cage qui emprisonne depuis plus d’un an ma pauvre queue. Les picots continuaient un peu plus l’empalement du gland à chaque nouveau mouvement. Je repositionnais le plug N° 04 tenu par la ceinture et mon collier après un bon décrassage de celui-ci. Je m’habillais avec un maillot de corps, une chemise, un jeans avec la braguette ouverte, une paire de socquette propre, mes baskets et mon gilet sans manche. Je saluais Maître Michael et après un échange je lui souhaitais de passer une bonne journée.

  16 - Corvée - D - -.-           Je prenais une veste assez longue pour cacher la braguette béante. Chaque nouveau pas était un calvaire de plus. L’anneau du côlon jouait entre les deux boules du plug et les pics empalaient un peu plus mon pauvre gland à chaque mouvement de la jambe ce qui excitait ma malheureuse queue qui tentait17 - Corvée - D - -.- une érection avortée. Je sentais la fraîcheur ambiante s'introduire dans la braguette ouverte. Les températures chutes chaque jour un peu plus le matin. Les supplices accéléraient mon cœur qui battait de plus en plus fort. Je faisais mon possible pour retenir des râles de souffrances et d'excitations. À 18 - Corvée - D - -.-l'approche du bureau, discrètement je tentais de fermer au mieux la braguette. Malheureusement, comme je ne peux plus boutonner le pantalon, il m'est très difficile de remonter au maximum la fermeture éclaire. La braguette reste entre-ouverte à mon grand désespoir. Je saluais les collègues déjà présents et les parents qui déposaient leurs enfants pour la matinée. Je montais à mon poste de travail et je déposais sur le dossier de mon fauteuil ma veste. Je vérifiais le téléphone dans une des poches frontales de ma sous-veste et je prenais dans un tiroir le marqueur que je cachais dans la seconde poche. Les pics ne cessaient d'empaler mon malheureux gland. La fraîcheur extérieure avait calmé pour un moment l'anneau du côlon qui stationnait entre les deux boules du plug. Malheureusement en m'assoyant, il reprit de 19 - Corvée - D - -.-l'énergie et recommençait à titiller l'anneau. Je sentais mon trou pousser ! J'avais de plus en plus de mal à retenir des gémissements de douleurs et d'excitations. Je commençais mon travail sur mon ordinateur. J'étais plongé dans un dossier et des soupires involontaires s’échappaient de mes poumons. Je n'entendis pas un de mes collègues arriver. En me saluant, il m'interrogeait sur les 20 - Corvée - D - -.-bruits que je faisais. Je sursautais et mon cœur se mit à battre la chamade. Je balbutiais que j'avais mal digéré la veille. J'ai pris un dîner trop lourd pour le soir.... Je le priais de m'excuser pour ces râles. Il allait s’asseoir à son poste à coté du miens. J'allais avoir un voisin pour une partie de la matinée ce qui allait  sûrement compliquer ma corvée hebdomadaire aux toilettes. 21 - Corvée - D - -.-D'autant plus que pour la première fois j'allais devoir inscrire au marqueur la date complète sur une cuisse, sur l'autre mon numéro de slave et sur mon torse mon appartenance. Il me faudrait beaucoup plus de temps pour réaliser ces écriture surtout que je dois inscrire à l'envers pour que, sur les photos témoins, les inscriptions se trouvent à l'endroit afin que mes Masters soient satisfait. 22 - Corvée - D - -.-N'étant plus seul, je retenais le plus possible les sons intempestifs qui s'échappaient de mes poumons. Je sentais mon anneau jouer entre les deux boules du plug ce qui excitait ma queue qui se faisait empaler de plus en plus par les picots de la cage. S'était un cercle vicieux ! À tout moment les uns titillaient les autres et les persécutaient.... La journée allait être très longue, difficile 23 - Corvée - D - -.-à gérer et surtout humiliante et frustrante. Pour calmer ma petite fleur, je m'assaillais sur le bord du fauteuil pour un moment. Malheureusement cette position stimulait les pics qui en profitaient pour empaler un peu plus mon pauvre gland. Ce qui exacerbait ma petite queue qui tentait des érections avortées par sa prison. Je ne savais plus quelle position prendre pour éviter des tortures inutiles et excitantes. Plus je tentais de bander et plus mon gland était empalé 24 - Corvée - D - -.-par les pics et plus ma bite tentait des érections torpillées. Doucement mais sûrement je sentais ma vessie se remplir. J'accélérais le processus en buvant régulièrement des gorgées d'eau. En milieu de matinée l'envie devenait de plus en plus pressante. Mon collègue se leva en m'informant qu'il reviendrait dans un moment car il devait évaluer deux nouveaux stagiaires. Quand 25 - Corvée - D - -.-il fut hors de ma vue, je regardais dans le couloir. Ne voyant personne en approche, je me décidais à aller aux toilettes réaliser la corvée du jour. Machinalement, je vérifiais que le portable et le marqueur étaient dans les poches frontales du gilet. Je refermais rapidement la porte à clef derrière moi. Je commençais à me déshabiller et j'accrochais au fur et à mesure mes vêtements aux 26 - Corvée - D - -.-patères de la porte comme j'étais aux toilettes de mon étage. En enlevant les baskets Je sentis le froid du carrelage en posant les pieds dessus. J'enlevais ensuite mes chaussettes et la froidure devint plus intense et remontait dans les mollets. Je prenais dans une poche le marqueur et je m'assaillais sur le bord des toilettes après avoir relevé le couvercle et la lunette. Le 27 - Corvée - D - -.-froid de la faïence agressa mes petites fesses. Je commençais par noter la date du jour sur ma cuisse gauche : "Mercredi 13 septembre 2017". Sur la droite, j'écrivais mon numéro de slave suivant les nouvelles consignes : "Slave N° 411,103,335". Pour terminer, j'inscrivais sur mon torse mon appartenance pour satisfaire les nouvelles directives : "Slave de Master Éric et Maître 28 - Corvée - D - -.-Michael". Pour cette dernière inscription, je me mettais debout face au miroir du lavabo afin de voir ce que je notais. J'avais toutes mes références sur les différentes parties de mon corps. Je sentais l'odeur du marqueur monter au nez. J'espérais en vain qu'elle n'attirerai pas l'attention de mes collègues. Je le rangeais dans une des poches frontales du gilet. Dans l'autre, je prenais mon portable et je commençais à immortaliser ces graffitis. Je m'assaillais sur le trône et la fraîcheur de la faïence agressa une nouvelle fois mes fesses. J'ouvrais les vannes et je vidais ma vessie avec soulagement. J’entendais des pas dans le couloir. Je faisais attention pour faire le moins de bruit possible afin d’alerter personne. Je continuais ma besogne en posant le téléphone au sol pour présenter l'indésirable qui squattait mon côlon. Le sortir et le remettre en place accentuait mon excitation et les picots en profitaient 29 - Corvée - D - -.-pour embrocher un peu plus mon pauvre gland. Je continuais à entendre des vas et viens dans le couloir. Je craignais qu'une personne n'ai besoin de se rendre aussi aux toilettes. Mon palpitant battait toujours aussi fort et rapidement. Je me relevais et continuais mon labeur en prenant un cliché de la prison de ma queue et de mon pauvre gland martyrisé. Je vérifiais que la médaille du collier se trouvait bien sur mon torse. Après avoir roulé mes chaussettes, la plante des pieds à l'extérieur comme l'avaient préconisés mes Masters en début d'année, je les fourrais dans ma gueule de bâtard. Une nouvelle photo d'archive. Je faisais, une nouvelle fois, de même pour le torse et pour les jambes et leurs écriteaux. Je terminais ce reportage avec mes vêtements aux patères. Je me rhabillais en hâte. J'avais en permanence 30 - Corvée - D - -.-l'odeur du marqueur qui chatouillait mes narines. J'enfilais rapidement mes chaussettes, mon maillot de corps, ma chemise et mon jeans. Je tentais de fermer au mieux la braguette mais ne l'ayant pas boutonné comme il y avait la ceinture, j'avais du mal à monter la fermeture. Plus je la fermais et plus la bosse contre ma jambe s'accentuait. J'avais en permanence cette grosseurs dégradante contre ma cuisse. À tout moment, je tentais de me représenter ce que mes 31 - Corvée - D - -.-voisins pouvaient penser et s'imaginer sur cette grosseur le long de ma cuisse. À cette idée, mon palpitant se mit à battre la chamade et les picots à torturer un peu plus ma queue. J'enfilais rapidement mon gilet et mes baskets. Je prenais un denier cliché de la braguette entre-ouverte, ne pouvant mieux la fermer, et de la grosseur de la geôle le long de ma jambe. Je rangeais 32 - Corvée - D - -.-l'appareil dans une des poches frontales. Je tirais la chasse d'eau et je me rinçais les mains. Après les avoir sécher, je vérifiais que je n'oubliais rien et je tendais l'oreille. N'entendant aucun bruit, j'ouvrai la porte. Je me rendais à la salle de repos me faire un café comme si je débutais ma pause bien que cela faisait un petit quart d'heure que je squattais les toilettes. Je faisais comme de rien et je discutais avec les personnes présentes qui prenaient quelles que minutes de repos. Ma voisine fit la remarque qu'il y avait une drôle d'odeur.... Qu'elle avait l'impression que ça sentais le marqueur bien qu'il n'y ait pas de tableau dans cette pièce. Je faisais 33 - Corvée - D - -.-comme si je n'avais rien entendu et je me tournais vers une autre personne. Mon palpitant s'accélérait et ma queue se faisait embrochée un peu plus par ses geôliers. Je fumais avec eux une cigarette et je retournais à mon poste. Chaque nouveau pas était une nouvelle torture. Le plug s'était remis à jouer avec les boules et les pics empalaient à chaque pas un peu plus le gland. J'arrivais enfin à destination tout en étouffant des gémissements. Mon collègue était déjà à son bureau. Il me demandait où j'étais car il ne m'avait pas vu en salle de repos. Je lui répondais mal à l'aise, que nous avions dû nous croiser car j'en avais profiter pour me rendre aux toilettes. Je lui demandais comment s'était déroulé l'évaluation pour changer de sujet. Il me répondit 34 - Corvée - D - -.-qu'il n'avait pas pu réaliser son travail car une animatrice était en arrêt maladie et que les animateurs étaient en sous-nombre. Qu'il réalisera ce travail plus tard. Je prenais place dans mon fauteuil en m'assaillant délicatement pour n'exciter personne. Je rangeais discrètement le marqueur dans son tiroir.

 

 Je remercie mes Masters pour cette nouvelle étape humiliante qui fait progresser leur slave. Les nouvelles instructions sont toujours plus frustrantes et dégradantes. Malgré cela, je fais mon possible pour suivre les directives pour le plaisir et la satisfaction de mes Maîtres. Chaque nouvelle étape emmène le slave que je suis dans les bas-fonds de l'obéissance et de la soumission. Un grand Merci à Master Éric et Maître Michael, mes chers Masters, de faire progresser leur bâtard..

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Labeurs Journaliers - Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires

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