Le blog de Bâstard a KC Sous merde n°411-103-335

Bienvenu sur le blog de Bâtard a KC : Sous merde N° 411-103-335. Sous le contrôle de ses Masters, il doit faire ce qui est demandé sans rechigner. N’hésitez pas à laisser des commentaires sur les différents articles qu'il publie sous les ordres de ses Masters.
Il fait aussi ce que les males demandent de faire après avoir reçu la validation de ses Masters. Ce n'est pas un male mais un slave, une sous-merde, un bâtard et il doit être traité comme tel.
Sous cage de chasteté, seuls ses Maîtres décident de ses jouissances afin de le purger de son jus pourris qui ne sert à rien.
N'hésitez pas à laisser des commentaires dans les différents articles publiés ici par notre slave ou nous même. Ça l'humilie encore plus. Le site ayant un bug, vous pouvez lui envoyer vos commentaires qu’il nous fera suivre. Son adresse est bastardakc@hotmail.fr ou en suivant ce lien
Notre slave est a dispos de tous mâles souhaitant l'utiliser et autres en Cam ou réel aussi avec prises de photos et rapports ensuite publiés sur le blog. Même les soumis peuvent l'utiliser car son statut est inférieur à eux et leur doit respect et leur obéir aussi

Chez le Médecin

Vendredi 11 novembre 5 11 /11 /Nov 09:36

Première Visite Médicale

 

         Suivant les instructions de Maître Mickaël, pour les visites médicales, je me préparais chez moi en enfilant le boxer blanc, qui dissimule que modérément, la maudite cage de chasteté. Je continuais à m'habiller avec un jeans, un maillot de corps, un pull, une paire de chaussettes, des baskets et une veste. Je prenais un cliché du boxer avant de boutonner le jeans. J'attendais l'ambulance qui allait m'emmener au centre hospitalier. Lorsque ils arrivaient, je montais dans le véhicule et nous partions pour mon rendez-vous. Un ambulancier m'accompagnait au secrétariat. Après les formalités,j'attendais une paire de minutes qu'une infirmière vienne me chercher pour effectuer les tests respiratoires. Après une trentaines de minutes de tests, je revenais en salle d'attente. 02 - Consultation - Boxer - X - - Comme j'étais le premier rendez-vous de l'après-midi, je n'attendais qu'un petit instant avant que le docteur vienne me chercher et me fasse rentrer dans son bureau. Il me demandait comment je me portais après ces cinq mois et demi d'hospitalisation et de rééducation. Je lui faisais un résumé succinct des derniers mois car, pendant mon hospitalisation, il venait prendre de mes nouvelles régulièrement. Il me demandait de me mettre torse nu. J'allais retirer mon jeans quand il me dit que ce n'était pas nécessaire comme il avait fait une consultation complète avant de partir en rééducation. Je l'en remerciais. Je n'aurai pas l'humiliation de me retrouver allonger avec le maudit boxer qui ne dissimule que partiellement la cage qui en profite pour faire un super renflement. Je retirais mon pull et mon maillot de corps. Avec son stéthoscope, le médecin effectuait son "Contrôle technique" sur mes poumons et ma respiration. Je faisais mon possible pour contrôler mon palpitant tout en répondant à ses questions. Quand il eu terminé son inspection, en allant à son bureau, il m'autorisait à me04 - Consultation - Boxer - X - - rhabiller et il dicta, dans son magnéto portable, le courrier de synthèse à l'intention des autres médecins qui me suivent. Il rédigeait mon renouvellement d'ordonnance et me donnait mon prochains rendez-vous dans six mois. Après encore quelques échanges, nous nous séparions. Je passais au secrétariat pour demander d'appeler les ambulanciers et leur dire que j'attendrai à l'accueil. Je descendais au rez-de-chaussé. En sortant de l’ascenseur, je les voyais et ils me dirent qu'ils étaient resté boire un café en m'attendant. Mon palpitant se mit à battre la chamade. Je leur demandais un instant car je devais passer aux toilettes avant de partir. Maître Mickaël avait donné des instructions précises. Je devais retirer le boxer, prendre un cliché de contrôle avant de rentrer chez moi. Je pénétrais dans la première toilette et je fermais la porte à clef. Je déboutonnais le jeans et je le laissais tomber sur les chevilles. Je dégrafais le boxer. Je le roulais et le rangeais dans ma parka. Je photographiais rapidement la prison de ma nouille. Je mettais, rapidement en place, le jeans et fermais, tout aussi vite, la veste. Je retrouvais mes chauffeurs et nous regagnions l'ambulance qui nous ramènerai chez moi. Ce boxer montre tres bien la place de ma nouille en cage et mon statut de sous merde que je suis. Je remercie Maitre Mickael pour cela. C'est vrai je ne suis pas un vrai male et que mon jus pourris ne sert a rien dans mes noisettes et que ma nouille ne sert qu'a pisser.

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Mardi 27 novembre 2 27 /11 /Nov 19:00

Hospitalisation du 05 novembre 2018

 

01 - Hôpital. - D - -.-         L'ambulancier qui était venu me chercher en urgence ce jeudi 1er novembre. Il m'aidait à me rendre dans le service de gastro-entérologie. J'avais tellement mal au ventre que je n'arrivais pas à marcher. Il empruntait donc, un fauteuil roulant à l'accueil. Ma chambre était prête. Dès mon arrivée, le médecin m’accueillait. Elle demandait à une infirmière de faire une injection de calmants pour que je puisse me déshabiller. Quand la douleur était supportable, je passais dans la salle de bain pour ôter mes vêtements et surtout, les attributs du slave. Je prenais le bloc de glace avec les clefs et je le faisais fondre rapidement sous l'eau chaude. Pendant ce temps, je me déshabillais rapidement. Avant d'enlever les attributs, je prenais un cliché de pieds. Pendant que je les ôtais, une infirmière vint frapper à la porte, demander si j'avais besoin d'assistance. Me voyant mal lui proposer de m'épauler avec la cage et le collier, je la remerciais gentiment. Je m'empressais à les retirer et à les cacher dans le tiroir à code de ma table de nuit, ainsi, personne à part moi, en avait l'accès. J'enfilais le short et le 02 - Hôpital. - D - -.-t-shirt, je rangeais mes affaires et je me mettais au lit après avoir fait un nouveau cliché. Une nouvelle infirmière arrivait avec une chemise d'hôpital, des protections, et le nécessaire pour poser un cathéter. Elle branchait une perfusion avec un calmant. Je devais continuer à boire la purge. Chaque jour, je devais m'enfiler plus d'un litre. Ce liquide faisait son effet. Malheureusement, les pertes se produisaient, de plus en plus, la nuit. Dans ces conditions, je n'avais aucun contrôle sur les pertes. Pour éviter des accidents, à contre cœur, j'enfilais une protection. J'avais l'impression d'être un nouveau-né avec ses couches. Cette situation devenait chaque nuit de plus en plus humiliante et dégradante. Le week-end se passait et je me retrouvais le lundi. Je devais encore boire deux litres dans la journée et autant dans la nuit. Les repas étaient de moins en moins consistants. À partir du dimanche soir, je n'avais le droit qu'a un bol de bouillon. Ainsi, mes intestins et mon côlon devenaient de plus en plus propres. Le mardi après-midi, un brancardier me descendait au bloc. Là, un infirmier m'accueillit. Il 03 - Hôpital. - D - -.-m'expliquait le déroulement. L'anesthésiste et le médecin en firent autant. On m'emmena au bloc glacial. J'acceptais la couverture qu'une aide-soignante me proposait. On brancha sur le cathéter le somnifère et en un rien de temps, je plongeais dans les bras de Morphée. Je me réveillais difficilement quand l'anesthésiste me donnait de petites gifles pour que je reprenne conscience. J'émergeais difficilement. Quand je fus complètement réveillé, une brancardière me 04 - Hôpital. - D - -.-ramena à ma chambre. Je replongeais dans un sommeil profond. Une aide-soignante m'apportait le premier repas correct. Je m'empressais d'avaler ce dîner et je me rendormais aussitôt. Le mercredi matin, la doctoresse passa en m'annonçant que tout allait bien dans le côlon. Avant de m'autoriser à sortir, elle m'auscultait. Quand elle palpa mon ventre, je fis un bond dans le lit. Ne comprenant pas, elle m'annonçait qu'un scanner en urgence était nécessaire. Après avoir pris contact avec le service, une nouvelle brancardière me descendait au service de radioscopie. Un assistant me prenait en charge et je passais, allongé, dans la gueule du monstre. L'examen terminé, on me remontait en chambre. L'après-midi, le médecin m'annonçait que mon séjour allait se prolonger, car j'avais des lésions dans l'intestin et une infection dans le sang. De suite, un antibiotique fut rajouté à ma perfusion et un traitement pour activer la cicatrisation des lésions. Je pouvais enfin déposer les protections et me rendre aux toilettes normalement. Je restais douze jours de plus dans cette résidence secondaire. 05 - Hôpital. - D - -.-Progressivement, l'infection se résorbait. Un matin, la doctoresse m'annonçait ma sortie pour l'après-midi et demandait un VSL. Je pouvais enfin retrouver mes pinacles. Après avoir pris mon dernier repas, un infirmier venait me débrancher et ôter le cathéter. Je pouvais me remettre en tenue. Je passais donc dans la salle de bain et je posais, à contre cœur, la cage en place avec un cliché. Je faisais de même avec le collier que j’immortalisais. Je prenais une dernière photo de pieds avec les attributs du slave avant de me rhabiller. Je faisais ma valise et j'attendais mon taxi. Un ambulancier arriva pour m'accompagner chez moi. Avec plaisir, je retrouvais mes habitudes. Je prévenais mes masters de mon retour. J'avais aussi une semaine d’arrêt que j'apportais au directeur pour qu'il puisse organiser le travail d'un chacun. Une cousine m'invitait à passer cette semaine chez elle. J'en profitais pour rendre visite à ma mère en milieu médicalisé. Une nuit, j'étais transporté dans un rêve. Je me sentais glissé après plusieurs péripéties et rebondissements, je me retrouvais momifié. J'avais la queue raide, 06 - Hôpital. - D - -.-plaquée contre le pubis et mon bas du ventre. Je sentais une montée de jus bienfaitrice qui ne se terminait pas. J'étais en pleine extase quand je faisais un bond dans le lit. Je venais de jouir inconsciemment et une belle carte de France, tout humide, trônait sur le drap. Honteux et humilié, je me rendormais contrarié. Le matin, je vérifiais le lit pour confirmer ou non ma mésaventure de la nuit. À mon grand désespoir, je n'avais pas rêvé. Une belle tâche trônait sur le drap. Le jour où je prenais congé de la famille, je roulais les draps que je déposais devant la machine à laver, espérant que ma cousine ne s’aperçoive pas de ma mésaventure d'une nuit. Je regagnais mon domicile le dimanche en fin d'après-midi. Le lundi matin, j'informais mes Masters de ma déconvenue nocturne. Ils m'ordonnaient de l'intégrer dans mon rapport.

 

        Je remercie mes Maîtres pour le soutien moral pendant ce séjour prolongé ainsi que les fidèles lecteurs.

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Samedi 23 septembre 6 23 /09 /Sep 11:40

Mercredi 20 septembre :

02 - Médecin - D - -.-        Je me levais après une nuit tourmentée comme d'habitude. La nuit s'était entrecoupée de cauchemars et de réveils en sursaut. Maître Michael avait recommandé que le rasage soit impeccable. Je buvais un bon expresso et je passais à la salle de bain pour parfaire, à contrecœur, le rasage complet du slave. Pour compléter cet ouvrage, je réalisais une épilation de mon trou et de mes fesses ne pouvant pas, sans accident, les raser. Je prenais une bonne douche à la suite et j'en profitais pour réaliser un assainissement total de la cage et de son prisonnier. J'appréciais une dernière fois la douceur et la chaleur de l'eau qui ruisselait sur ma peau. Je me séchais et je remettais en place le collier et sa médaille après avoir fait un décrassage complet. J'installais le plug N° 03, celui qui tient seul, dans mon petit trou. Je m'habillais avec le boxer blanc, une paire de chaussettes, un jeans en laissant la braguette et les boutons ouverts, un maillot de corps, une chemise et un gilet sans manche. Après avoir constaté qu'il pleuvait des hallebardes, j'en faisais part à Maître Michael. Il changea les directives pour 01 - Médecin - D - -.-enlever le boxer et remettre le collier car je devais garder pour ma consultation, non seulement la cage mais aussi l'ami qui stationnait dans mon côlon. Au lieu de le faire en extérieure comme prévu, au vu de la météo, il recommandait de le réaliser dans la cave comme je devrai ensuite passer chez moi pour inscrire sur le corps les références du slave. Dans ma sacoche, je préparais mes papiers d'assuré et la clef pour le collier. J'attrapais une veste de treillis car elle était assez longue pour dissimuler la braguette ouverte.

03 - Médecin - D - -.-        Les tortures continuaient à chaque nouveau pas. Les pics empalaient mon malheureux gland ce qui provoquait une érection avortée parla cage. Le copain de ma rondelle continuait à jouer avec l'anneau qui tentait en vain de le gober. Je devais à tout moment retenir des gémissements incontrôlables. J'ouvrais ma voiture et en m'assaillant sur le siège, le plug excita un peu 04 - Médecin - D - -.-plus la petite fleur. J'arrivais avec soulagement sur le parking de mon médecin. Avant de sortir du véhicule, j'enlevais le collier et sa médaille que je rangeais dans ma sacoche. La pluie continuait de tomber en trombe. Je courais jusqu'à la porte du bâtiment. Je sonnais à la porte et j'entrais dans 05 - Médecin - D - -.-le cabinet médical. Le secrétaire était derrière son poste. Nous nous saluions et échangions quelles que mots sur les grandes eaux qui tombaient des cieux. Ma doctoresse m'invita à entrer dans son bureau. Après s'être salué je lui donnais ma carte d'assuré social. Elle m'invitait à me mettre 06 - Médecin - D - -.-en tenue soit avec seulement mon sous-vêtement. Je me déshabillais tout en retenant de nouveaux gémissements. Les picots continuaient à martyriser mon pauvre gland et la cage avortait toute tentative d'érection de ma bite. Le plug n'était pas non plus sans ressources. Il continuait à titiller son ami dans le côlon. Je me retrouvais avec seulement le boxer blanc qui n'a plus de doublure. La cage et surtout le cadenas se devinaient facilement par transparence. Mon cœur se mit à battre de plus en plus vite et de plus en plus fort. Je devais faire un effort surhumain pour contrôler ma respiration et ne pas laisser sortir des gémissements intempestifs. Après avoir fait les mesures mensuelles, elle m'invitait à m'allonger sur la table d'auscultation. 07 - Médecin - D - -.-En m'assoyant, le plug en profita pour exciter un peu plus mon côlon. Avec grande difficulté je retenais les plaintes qui montaient en moi. Allongé, il continuait à s’amuser avec son hôte et la prison de ma queue était mise en évidence avec sa serrure. Une nouvelle fois, je me sentais 08 - Médecin - D - -.-frustré et humilié avec ces artifices en évidences. Elle dû s'en apercevoir car elle me fit remarquer que j'avais toujours mon jouet dans mon sous-vêtement. Honteux et humilié de nouveau, j’acquiesçais avec colère et infamie. Elle aperçue et me questionnait sur les raisons pourquoi je retenais ma respiration. Mon palpitant s’emballait et le sang me montait à la tête. Elle remarqua mes rougeurs et me fit part de ses constatations. Frustré et avilis, je tentais de balbutier une réponse inaudible. Cela la fit sourire ce qui m'humilia encore plus. J'avais envie de fuir cette auscultation tellement j'étais humilié, gêné et désappointé. Constatant mon désenchantement, elle changeait de sujet et me questionnait sur mon travail et mes journées. Elle 09 - Médecin - D - -.-terminait enfin son auscultation et m'invitait avec soulagement à me rhabiller. Je m'exécutais sans demander mon reste. Elle s'installait à son bureau pour remplir mon dossier et rédiger mon renouvellement d’ordonnance. Le martyre de mes attributs sexuels continuait sans relâche. Je tentais en vain de calmer les geôliers et leurs prisonniers. Mon palpitant continuait à s’emballer. En me rhabillant, le médecin fit remarquer que ma braguette était ouverte. Je la fermais momentanément en la remerciant et en la priant de m'excuser. Elle me tendait mes différents documents que je m'empressais à ranger dans ma sacoche. Nous continuions à discuter de la pluie et du beau temps quelles que minutes. À mon grand soulagement, elle se leva et 10 - Médecin - D - -.-m'invitait à en faire autant. Je sortais de son bureau en nous saluant. Le patient suivant était là et elle le fit entrer à son tour. Je vérifiais avec le secrétaire les dates et les horaires de mes prochains rendez-vous. Nous nous serrions la mains. Avec plaisir et soulagement je m'enfuyais de ce lieu d'humiliations et de frustrations. Dans le couloir j'ouvrais à nouveau ma braguette suivant les nouvelles instructions de mes Masters. Les pics, la cage et le plug continuaient sans cesse à torturer ma malheureuse queue et mon infortunée rondelle. Je courrais à mon véhicule et je m'empressais à m’asseoir sur mon siège. Je ressentais la fraîcheur humide pénétrer par l'ouverture inopinée de mon jeans. Je déposais mon ordonnance à la pharmacie et je revenais contrarié et humilié à mon domicile. Je stationnait 11 - Médecin - D - -.-ma voiture et je rentrais dans mon immeuble. Au lieu de monter dans mon appartement, je descendais, contraint et forcé, à la cave. Par sécurité, j'ouvrais la porte de ma cave au cas où un voisin arriverait inopportunément. Je déposais sur le sol en béton brute, ma sacoche et ma veste que je repliais. Je 12 - Médecin - D - -.-prenais mon téléphone pour immortaliser mon désarrois. Je continuais à me dévêtir et à déposer sur le sol mes vêtements pliés. Quand il me restait plus que le boxer, je le prenait à contrecœur en photo. Je faisais de même pour mes vêtements pliés par terre. Pieds nus, je sentais la fraîcheur et la rudesse du béton brut. Un frisson parcourut mon corps de la tête aux pieds. À contrecœur, je déposais le sous-vêtement et j'immortalisais le prison de ma queue et sa serrure inviolable. Je me retrouvais nu comme un vers. Tous mes sens étaient en alertes et je scrutais le moindre bruit pour me replier en urgence dans ma cave. Je prenais un cliché des geôliers de ma queue. Mon palpitant battait toujours 13 - Médecin - D - -.-la chamade. Mon angoisse était grandissante plus je devais rester dans la tenue d'un nouveau-né dans ce maudit couloir. La minuterie arrivait à son maximum et la lumière du couloir s'éteignit. À tâtons, j'atteignais le bouton et je relançais la minuterie. Que la lumière soit et la lumière fut ! Je continuais avec empressement les commandements de mes Masters. J'attrapais mon collier et sa clef. Je l'ouvrais et je le positionnais avec sa médaille autour de mon cou. Après avoir prit un nouveau cliché, je commençais à me rhabiller. J'enfilais mon maillot de corps puis ma chemise et je prenais une photo de celle-ci avec le médaillon du collier. Je le 14 - Médecin - D - -.-positionnais ensuite dans mon dos et je faisais de même avec la marque du slave qui se trouvait à la place de l'insigne précédemment, soit le "M" de …. Je continuais avec mes chaussettes que j'avais rangé momentanément dans mes baskets. La lumière s’éteignit à nouveau. Toujours à tâtons, je retrouvais le bouton et je relançais la minuterie. La lumière revint immédiatement. Je poursuivais avec mon jeans en laissant à contrecœur, la braguette et les boutons ouverts. Heureusement il était tenu par la ceinture mais la chemise arrivait à sortir par cette ouverture fortuite. Avant de ranger le boxer dans la sacoche, je prenais un nouveau cliché. Enfin, 15 - Médecin - D - -.-j'enfilais ma veste de treillis pour camoufler cette embrasure occasionnelle. Je fermais à clef ma cave et je rangeais le trousseau dans une des poches du blouson militaire. Je regagnais l'ascenseur pour atteindre mon appartement pour réaliser l'étape suivante des commandements de mes Maîtres. De nouveau, à chaque pas, les tortionnaires reprenaient de la vigueur. Les pics empalaient de nouveau mon malheureux gland qui provoquait une érection contrariée par la cage qui emprisonne ma pauvre queue. De même, le plug recommençait à exciter l'anneau du colon et occasionnait des poussées intempestifs de ma rondelle. Je faisais de mon mieux pour retenir tous gémissements malencontreux bien que personne ne soit à l'horizon.

 

         Enfin une nouvelle consultation de terminé mais quelles frustrations et humiliations avec le visiteur de ma petite fleur. Je remercies tout de même mes Maîtres pour cette nouvelle étape honteuse et dégradante. La suite chez mon médecin sera de plus en plus compliquée si les consignes sont toujours aussi humiliante et avilissante. Je gratifie mes Masters pour me faire évoluer dans la soumission, l'obéissance et l'acceptation des frustrations et des humiliations. Je les salue aussi pour la patience qu'ils ont pour parfaire l'éducation et la soumission de leur slave.

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Vendredi 15 septembre 5 15 /09 /Sep 13:15

Chez l’anesthésiste :

01 - Anest. - D - -.-        Le lundi 11 septembre 2017 j’avais rendez-vous avec un anesthésiste en vue de ma prochaine hospitalisation. Maître Michael avait donné, auparavant, ses instructions. Je partais de chez moi avec le collier et sa médaille, le plug N° 03 qui tient seul et la cage de chasteté comme attributs. Je m’habillais avec le boxer blanc, un maillot de corps, une chemise, un jeans, une paire02 - Anest. - D - -.- de chaussettes, mes baskets et un blouson. Je me garais et, dans la voiture, j’enlevais le collier, suivant les consignes, que je rangeais dans une sacoche. En sortant du véhicule, je sentais la fraîcheur pénétrer par la braguette ouverte. Je tentais en vais de la cacher avec la veste que je portais. Je me rendais au secrétariat pour les formalités administratives et je passais dans la salle d’attente.

        Je sentais les pics empaler mon gland qui provoquait une érection contrariée par la geôle. Le plug était en place aussi et depuis la sortie du véhicule, il s’était calmé. Pendant le trajet il avait excité l’anneau du côlon qui jouait à monter dessus. Conduire et se concentrer sur la circulation avec des invités turbulents n’était pas de tout repos ! Le plus agressif se sont tous les passages 03 - Anest. - D - -.-surélevés. Je devais faire attention pour les prendre le plus délicatement possible, non pour les suspensions mais pour le plug qui en profitait alors pour agacer le côlon….

04 - Anest. - D - -.-        C’était la première fois que je devais porter un plug pour une visite médicale. J’espérais ne pas avoir besoin de me mettre en sous-vêtement. Dans la salle d’attente, j’évitais aussi de m’asseoir et je me dirigeais vers le rebord de la fenêtre où se trouvaient les revues. Je prenais la première que je feuilletais. Mon cœur s’accélérait de plus en plus et je le sentais battre dans ma poitrine. Après quelles que minutes d’attente, le médecin m’appelait. Je le suivais dans son bureau. Je lui donnais le dossier que j’avais rempli au préalable. Contraint après son invitation, je m’assaillais sur une des chaises. Je sentis le 05 - Anest. - D - -.-plug pénétrer plus profondément. J’essayais de trouver une position la moins douloureuse tout en répondant aux questions de l’anesthésiste. Après toute une série de demandes complémentaires, il m’invitait à me mettre torse nu et à m’allonger sur la table d’auscultation après avoir changé le papier protecteur. Mon palpitant se mit à battre la chamade en me levant pour ôter mes vêtements. Je remerciais Maître Michael pour avoir fait enlever le collier et sa médaille. Je déposais ma veste sur le dossier de la06 - Anest. - D - -.- chaise voisine. Je continuais par la chemise et le maillot de corps que je posais plié sur la chaise voisine. Torse nu, la braguette ouverte était mise en valeur ! Je m’allongeais sur la table. Une excitation 07 - Anest. - D - -.-involontaire et incontrôlable faisait gonfler ma queue et les pics en profitaient pour empaler mon pauvre gland. Plus il se faisait martyriser et plus l’excitation augmentait et plus cette érection était contrariée par la cage. Le médecin08 - Anest. - D - -.- faisait son travail après m’avoir fait remarquer que ma braguette était ouverte. Honteux et confus, je lui répondais qu’elle venait de sauter et que j’allais devoir la changer. Je le priais de bien vouloir m’excuser pour cet incident que je savais volontaire à cause des nouvelles instructions proposées par les 09 - Anest. - D - -.-visiteurs. Lorsqu’il avait terminé son examen, il m’invitait à me rhabiller. Je m’exécutais sans dire un mot trop honteux et humilié par cette maudite braguette. Il terminait par les dernières instructions avant mon hospitalisation et m’invitait à faire mon enregistrement le plutôt possible. Nous nous saluions et il me10 - Anest. - D - -.- raccompagnait dans le couloir. J’avais repris mes documents que j’avais rangés dans ma pochette. Je me dirigeais vers les toilettes pour l’étape suivante. Je fermais la porte à clef derrière moi. Je commençais à me déshabiller en déposant mes affaires pliées au sol suivant les nouvelles 11 - Anest. - D - -.-instructions. Heureusement le sol était très propre bien que ce rangement ne soit pas le plus hygiénique. Après avoir déposer la veste, je prenais les premières photographies de la braguette ouverte. Je continuais à déposer au sol mes autres vêtements. Quand je n’avais plus12 - Anest. - D - -.- que le boxer, je prenais une photo de mes vêtements pliés au sol et un nouveau cliché avant de d’ôter définitivement le sous-vêtement. Je faisais de même avec le plug dans mon trou. Après l’avoir sorti de son antre, l’envie d’uriner devint pressente. J’en profitais pour vider ma vessie avant de le remettre en place. Je séchais le bout de la cage et de mon gland des restes d’urine. Les pics ne cessaient d’empaler mon malheureux gland. Plus ils le martyrisaient, plus l’excitation grandissait et plus 13 - Anest. - D - -.-la frustration de ne pouvoir me masturber était grandissante. Je reprenais le plug et je le repositionnais dans mon côlon qui le gobait facilement. Je remettais en place le collier et sa médaille tout en prenant à chaque étape un cliché. Quand tous les attributs du slave avaient repris leur place, je me rhabillais. Je continuais des clichés d’archives à chaque étape. Je positionnais la médaille dans le dos et j’enfilais le blouson. Je prenais une dernière photo de la14 - Anest. - D - -.- braguette ouverte avec le blouson. Je rangeais dans ma sacoche le boxer. Je me lavais les mains et je tirais la chasse d’eau. Je vérifiais que je n’oubliais rien et j’ouvrais la porte pour me rendre à mon prochain rendez-vous en ville. Pour regagner mon véhicule, j’étais honteux et frustré d’avoir ma braguette ouverte. La froidure extérieure pénétrait par celle-ci. Ce qui excitait ma pauvre queue qui tentait en vain une érection. Les picots en profitaient pour empaler un peu plus le malheureux gland. Plus ils le martyrisaient, plus ils 15 - Anest. - D - -.-l’excitaient et plus ma pauvre bite tentait une érection contrariée par sa maudite prison. Chaque nouveau pas devenait une galère car la cage suivait le mouvement de la jambe et les picots accentuaient l’empalement du gland.16 - Anest. - D - -.- J’avais de plus en plus de mal à marcher ! J’essayais d’étouffer des râles de souffrances et de tortures. Plus 17 - Anest. - D - -.-je marchais et plus le martyre s’intensifiait. Je n’avais qu’une hâte, me retrouver assis dans ma voiture mais celle-ci était encore à plusieurs dizaines de mètres. Malgré la fraîcheur qui pénétrait par l’ouverture de la braguette, elle ne suffisait pas à calmer la maudite érection provoquée par la marche et les picots de la prison de ma malheureuse queue. Mon palpitant battait de plus en plus vite plus18 - Anest. - D - -.- la torture augmentait. J’essayais de faire des pas les plus petits possibles mais le moindre mouvement de la 19 - Anest. - D - -.-jambe provoquait un nouvel empalement et une excitation augmentant au fur et à mesure de mon déplacement. J’arrivais enfin à ma voiture et avec soulagement, je m’assaillais derrière le volant. Les pics se calmèrent mais le plug20 - Anest. - D - -.- pris la relève et commençait à exciter l’anneau du côlon. La conduite devenait de plus en plus compliquée….

 

 

         Je remercie tout de même mes Maîtres pour avoir autorisé le boxer pour cette visite. Je fais de mon mieux pour les honorer chaque jour et je les en remercie pour continuer mon éducation.

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Samedi 5 août 6 05 /08 /Août 07:49

Mercredi 2 août.

01 - Médecin - D - -.-        Après une nuit difficile, je me levais. Je me faisais un bon café et je passais à la salle de bain. Je réalisais un bon nettoyage de la cage avec mon index. J’avais pris mes instructions auprès de Maître Michael. Comme c’était un jour spécial, il m’autorisait à porter le boxer blanc. Je le préparais dans un sac avec une serviette et du gel. Je partais en avance car j’avais pris le premier rendez-vous. En me rendant à ma voiture, les pics s’étaient remis à torturer mon pauvre gland. Je sentais dans mon côlon, le premier anneau jouer avec les boules du plug N°4. En m’asseyant dans le véhicule, il pénétrait encore plus profondément ce qui excita encore plus mon trou qui tentait de pousser et de mouiller. Les pics en profitaient pour maltraiter un peu plus ma pauvre queue.02 - Médecin - D - -.-

 

        Suivant les commandements, je stationnais à l’écart pour me changer. J’installais sur la banquette arrière la serviette. J’enlevais mon pantalon et je prenais un cliché avant d’enlever la ceinture et le plug. Mon trou 03 - Médecin - D - -.-libéré, je le séchais et je faisais un nouvelle photo de la cage. Je prenais le boxer que j’enfilais toujours assis à l’arrière de la voiture. De temps en temps, je jetais un coup d’œil à l’extérieur pour vérifier que personne n’arrivait. Je le photographiais avant de renfiler le jeans. Je déverrouillais la collier que je rangeais dans le sac avec les autres attributs. Je sortais et je reprenais ma place pour me garer au plus près de cabinet.

 

        Je rentrais par la porte arrière qui était ouverte pour aérer le cabinet médical. Les portes du médecin étaient04 - Médecin - D - -.- fermées et j’entendais, au loin, des paroles étouffées. Je saluais le secrétaire qui m’informait que la doctoresse avait une urgence. Je discutais un moment avec lorsque la porte du cabinet s’ouvrit après un bref coup de sonnette. Une femme entrait et nous saluait. Nous lui répondions et elle allait s’asseoir. Nous continuions notre 05 - Médecin - D - -.-conversation le temps que le médecin termine sa consultation. Des paroles étouffées nous parvenaient sans pouvoir en comprendre le sens. Au bout d’un certain temps, la porte s’ouvrait et la doctoresse raccompagnait un jeune homme. Elle m’invitait à entrer. Mon palpitant si mit à battre la chamade, les pics empalaient ma pauvre queue et je serrais les dents pour retenir mon trou qui voulait jouer. Je m’assaillais et je lui donnais mes papiers. Elle m’invitait à me mettre en sous-vêtement. Je m’exécutais et je me retrouvais avec seulement le boxer. La cage se devinait à cause de l'amputation de la doublure. Après avoir pris les premières mesures, elle me demandait de m’allonger. Mon cœur se mit à battre encore plus fort. Je sentais chaque pulsation dans la poitrine jusqu’aux oreilles. La cage se trouvait mise en évidence. Le médecin me dit alors : "Tu porte toujours ton jouet ! " Ne sachant quoi répondre, me sentant humilié et frustré, je me taisais. Je06 - Médecin - D - -.- sentais le sang affluer au visage. Quand elle eut terminé son auscultation, elle m’invitait à me rhabiller. Sans mot dire, je m’exécutais le temps qu’elle rédige le renouvellement. Comme elle avait pris du retard, j’abrégeais la discussion en prétextant qu’elle jouait les prolongations. 07 - Médecin - D - -.-J’avais trop envie de m’enfuir. Après avoir rangé l’ordonnance et mes papiers nous nous disions au revoir. Comme la porte arrière était encore ouverte je sortais par-là. Cela m’évitait de repasser devant le secrétaire. Je regagnais ma voiture et j’allais stationner dans un coin pour remettre tous les attributs du slave. J’installais une nouvelle fois la serviette de toilette sur la banquette arrière. Je m’assaillais dessus et je baissais mon pantalon. Avant d’ôter le boxer, à contre-cœur, je le reprenais en photo une dernière fois. Les pics de la cage ne cessaient de martyriser mon malheureux gland, ce qui l’excitait et provoquait une érection incessante et contrariée. Par intermittence, je regardais à08 - Médecin - D - -.- l’extérieur pour vérifier qu’il n’y avait personne à l’horizon. Je posais la ceinture pour maintenir plus facilement l’intrus qui allait se présenter à mon trou éprouvé. Je graissais légèrement le plug et mon trou. Je levais les jambes et je posais les pieds contre le dossier du siège devant moi pour présenter la nouvelle entrave à mon orifice. J’enfonçais la première boule puis la seconde. Je sentis l’anneau intérieur monter sur la première sphère et la gober. Je le bloquais immédiatement en repositionnant le bloc-plug. Je terminais les 09 - Médecin - D - -.-attributs en installant le collier. Je commençais par présenter la médaille puis, je tournais le collier pour l’installer en arrière et je la cachais sous le col de chemise. Lorsque tous les attributs étaient en place, je remettais le jeans et mes baskets. Je rangeais dans le sac, le lubrifiant et la serviette.

 

        Je reprenais place sur le siège conducteur. En me rendant au bureau pour une nouvelle journée de labeur, je déposais mon ordonnance à la pharmacie. Je la reprendrais le soir en sortant du travail.

 

        Je remercie vivement mes Maîtres pour avoir pris en compte ce jour spécial et d’avoir permis le port du boxer blanc


 10 - Médecin - D - -.- 11 - Médecin - D - -.- 12 - Médecin - D - -.-

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Mercredi 22 février 3 22 /02 /Fév 13:18

Consultation de février.

        Je partais de chez moi de très bonne heure pour ma visite médicale mensuelle. Au préalable, j’avais mis le boxer et le plug N°03 qui tient seul. Dès que je sortais et malgré les froidures ambiantes, le plug jouait toujours avec mon petit trou et mon malheureux gland était empalé par les picots de la cage. Ces derniers arrivaient à l’exciter et provoquaient une érection continue et perturbée par cette maudite prison. Je démarrais la voiture en mettant le chauffage au maximum et le dégivrage du haillon arrière. Je prenais une raclette et je grattais le givre sur le pare-brise et les vitres des portières. En m’assaillant dans le véhicule, le plug redoubla de vigueur en jouant avec ma petite fleur et l’anneau intérieur. Les picots de la cage en faisaient tout autant avec mon malheureux gland et mon sexe avec cette érection continue et contrariée. Cette nouvelle visite allait être très humiliante !

01 - Médecin - D - -.-        J’arrivais rapidement à destination et je stationnais, un instant, dans un coin tranquille. J’ôtais les attributs du slave que je rangeais au fur et à mesure dans la sacoche, le harnais et le collier. Je me garais près de l’immeuble de ma destination finale. Je sonnais et j’entrais dans le cabinet médical. Comme d’habitude, le secrétaire était à sa place et nous nous serrions la main en se saluant. Le médecin me faisait entrer immédiatement étant son premier rendez-vous. Après les formalités de politesses, je lui donnais mes documents d’assuré et elle m’invitait à me mettre en sous-vêtement. Mon cœur se mit à battre de plus en plus vite et fort. Je sentais ses pulsations dans tout mon corps jusqu’à l’intérieur de mes oreilles. Au fur et à mesure que je me déshabillais et que je déposais mes vêtements pliés sur une chaise, une angoisse montait en moi. J’avais les mains qui tremblaient légèrement. Je me retrouvais avec seulement le boxer blanc sans doublure qui laissait apparaître le cadenas plastique 02 - Médecin - D - -.-avec son numéro et la cage de chasteté qu’il condamnait. Je me sentais de plus en plus mal à l’aise et je positionnais mes deux mains devant cette frustration pour dissimuler cette humiliation le temps que je pourrai. Je passais à la pesée et après les premières constatations, elle m’invitait à m’asseoir sur le bord de la table.

        Je m’exécutais lentement pour ne pas perturber l’invité qui s’était, un instant, calmé. Malheureusement, il se réveilla et se mit à jouer de plus belle. J’essayais de retenir mon souffle lorsque mon trou tentait en vain de pousser et l’anneau faire du toboggan avec le plug. Une nouvelle fois, je maudissais les instructions et l’humiliation de devoir porter un plug pour la consultation ! le médecin aperçut le cadenas et à mon grand désespoir, elle me demandait :

  • -    "Tu as une nouveauté avec ta boite ?
  • -    Effectivement, c’est une nouveauté, c’est un cadenas en plastique.
  • -    Il me semble qu’il y a une inscription ?

     Je me sentais de plus en plus mal à l’aise et mon palpitant s’affolait ! J’avais le souffle de plus en plus court et la voix tremblante.

  • -    Vous avez bien vu, il est numéroté !
  • -    Pourquoi l’a-tu changé ?
  • -    C’est à cause des examens à passer. Je ne pouvais pas avoir de métal sur moi alors Marina a apporté des cadenas plastiques numérotés.
  • 03 - Médecin - D - -.--    Tu peux donc le changer quand tu veux ?
  • -    Malheureusement non car ils ont tous un numéro différent et elle a noté celui-ci !
  • -    Tu ne peux donc pas te masturber quand tu le désire ?
  • -    Elle ne veut pas que je le fasse en semaine….

     Mon cœur battait à tout rompre et je sentais le sang affluer au visage. Je me sentais de plus en plus mal à l’aise, humilié et frustré ! J’avais envie de prendre mes jambes à mon coup et m’enfuir de ce cabinet !

  • -    Tu dois être heureux en fin de semaine quand elle arrive ?
  • -    Oh oui ! Encore plus quand elle enlève la cage !
  • -    Il faut que tu me la présente à tout prix ! Viens avec elle un samedi ou mieux, je vous invite, un dimanche, à déjeuner à la maison. Tu me diras quand elle sera libre et disposée à accepter mon invitation.
  • -    Je vous remercie, je transmettrais votre proposition…."

        Je n’en pouvais plus ! Je m’enfonçais de plus en plus dans le mensonge. Je n’avais aucune idée comment je pourrai m’en sortir. Je haïssais de plus en plus cette damnée cage ! Les humiliations et les avilissements devenaient intenables et difficilement gérables avec mes mystifications. Les frustrations n’étaient pas terminées ! Le médecin, tout en faisant son travail, poursuivit en me demandant toujours :

  • -    "Tu entretiens constamment ton rasage ? Tu fais encore du vélo ? Tu devrais en 04 - Médecin - D - -.-parler avec le secrétaire, il en fait aussi régulièrement. Généralement il est seul et apprécierait certainement de la compagnie.
  • -    Je vous remercie docteur, je vais y réfléchir et en parler à Marina.

     Un soupir m’échappa quand l’invité, à force de jouer et d’exciter mon petit trou et mon anneau intérieur, tentait de sortir de son logement. Une nouvelle fois, je le haïssais et je 05 - Médecin - D - -.-maudissais les différents plugs qui ne font que jouer, stimuler ma petite fleur et mon côlon. Les pics de la cage en faisaient tout autant avec mon pauvre gland….

  • -    Tu as un problème ? Ça ne va pas ?
  • -    Rien de grave docteur ! Seulement un petit problème de digestion, j’ai fait un trop gros petit-déjeuné ce matin et j’ai mangé trop rapidement, je pensais être en retard.
  • 06 - Médecin - D - -.--    Fais attention, ce n’est pas bon de déjeuner trop rapidement… !"

        Je n’avais qu’une envie, épiloguer ! J’avais de plus en plus de mal avec mes mystifications. Le médecin dû le comprendre car elle continua son auscultation sans mots dire. Je m’embourbais de plus en plus dans le mensonge et je ne voyais aucune solution pour en sortir ! Je maudissais cette cage, ce cadenas et les sous-vêtements transparents ou mini 07 - Médecin - D - -.-car ils sont tout autant dégradants et humiliants ! Enfin ! Elle me proposait de me lever et de m’habiller ! Sans demander mon reste, je m’exécutais voulant fuir ce cabinet médical. Je me rhabillais le temps qu’elle termine de remplir mon dossier et rédige le renouvellement de mon ordonnance que je rangeais dans une pochette. Je la saluais quand elle me raccompagna à la porte de son bureau. Par la seconde porte, elle appelait le patient suivant.

08 - Médecin - D - -.-        J’enregistrais mon prochain rendez-vous avec le secrétaire et nous nous souhaitions une bonne journée. Je regagnais ma voiture dans un froid encore glacial. En montant dans la voiture, je regardais la température extérieure au tableau de bord. Il faisait encore –4,5 °C. La sacoche avec les attributs du slave était à côté de moi sur le siège passager. je démarrais et je me rendais à la galerie marchande la plus proche. Je garais mon véhicule et je prenais sur l’épaule, ma sacoche. Je me rendais 09 - Médecin - D - -.-aux toilettes du centre commercial. La porte de secours avait été fermée peu de temps au paravent. Il faisait toujours aussi froid ! Le ménage venait d’être terminé car il y avait encore des carreaux humides. J’entrais dans les premières toilettes, la seule avec une cuvette. Je sortais les attributs du slave que je rangeais sur le sol et sur le distributeur de papier toilette. Je déposais aussi le téléphone portable sur ce dernier. Je me 10 - Médecin - D - -.-déshabillais et je déposais mes vêtements pliés sur la barre pour s’aider à se relever. Quand j’enlevais mes chaussures et que je posais les pieds au sol, malgré les chaussettes, je ressentais le froid glacial monter dans mes jambes et un frison me parcouru de la tête aux pieds. De plus, le carrelage était très humide voir, par endroits, mouillé. Je ne savais pas si c’était à cause du lavage ou pour toutes autres raisons….

11 - Médecin - D - -.-        Pour la corvée hebdomadaire, je devais, à tout prix, changer de chaussettes à midi. Je ne la réaliserai que dans l’après-midi, ne sachant pas la propreté de ce lieu. Dans cet état, je ne me voyais pas devoir fourrer une chaussette dans ma bouche. Quand il ne me restait plus que le boxer, je prenais les premiers clichés. Je le déposais pour le reste de la journée avec mes vêtements et je photographiais la cage avec son cadenas qui continuait à empaler 12 - Médecin - D - -.-mon pauvre gland. Cette torture l’excitait et provoquait une érection incontrôlée et avortée par cette maudite geôle ! je posais le portable au sol, accroupi, j’expulsais le plug en place tout en prenant des photos. J’immortalisais ma petite fleur et je lubrifiais le plug N° 04. Je le présentais à mon petit trou qui s’ouvrit au fur et à mesure que je l’introduisais. Il butta alors contre le premier anneau. Après une nouvelle pression celui-ci 13 - Médecin - D - -.-gobait la première boule et ma petite fleur en faisait autant avec ce nouveau convive. Je serrais les fesses un instant pour qu’il ne s’échappe pas et à la hâte, j’enfilais le harnais. Je l’immobilisais avec le bloc-plug et je fermais cet équipement avec l’anneau en caoutchouc. Je mettais en place le collier du slave et je prenais les derniers clichés avec toutes ses caractéristiques.

        Lorsque je pensais que tout était dans la boîte, je me rhabillais très rapidement car je grelottais de froid. Au fur et à mesure que j’enfilais mes vêtements, j’avais du mal à me réchauffer ! Il me faudrait plusieurs minutes pour retrouver ma température. Je sentais l’humidité de mes chaussettes dans mes chaussures. Soit, au mieux, la femme de ménage avait mal épongé le sol, soit, au pire, les précédents visiteurs n’avaient pas visé la cuvette ! Dans ce cas, je devais impérativement changer de chaussettes pour la corvée hebdomadaire ! Je rangeais dans la sacoche, le boxer, le lubrifiant et la clé du collier. Dans la poche frontale de ma sous-veste, je déposais le téléphone. Je tirais la chasse d’eau. Je me lavais les mains14 - Médecin - D - -.- et je me les séchais. Une dernière fois, je vérifiais les lieux pour ne rien oublier et je m’enfuyais de cet enfer glacial ! Je regagnais ma voiture. En me rendant au bureau, je déposais au passage, mon ordonnance à la pharmacie.

Une nouvelle consultation et de nouvelles humiliations, frustrations et dégradations subis ! J’essayais de ne pas trop maudire mes Masters et les visiteurs. Je fais mon possible pour les remercier pour avoir passé une nouvelle étape et un nouvel échelon dans la soumission malgré mes sentiments.

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Vendredi 20 janvier 5 20 /01 /Jan 13:12

Rendez-vous de janvier :

01 - Docteur - D - -.-        Comme toutes les nuits, je faisais des cauchemars et je me réveillais plusieurs fois. Je me levais une nouvelle fois avant l’aube et voyant l’heure nocturne, je me décidais à me recoucher un moment. Bien mal m’a pris car, pour une fois, je m’endormais plus profondément. Je me réveillais en sur-saut et voyant l’heure, je comprenais de suite que j’étais en retard. J’allais 02 - Docteur - D - -.-devoir faire très vite la toilette pour pouvoir me raser complètement car, la veille, Maître Michael avait prévenu que si un seul poil dépassait, il y aurait des sanctions !

        Je me faisais un café bien corsé pour me réveiller et je passais de suite à la salle de bain. Je me rasais la tête, le torse et le pubis. Je regardais les jambes et les bras qui n’en avaient pas besoin. Je passais à la douche après m’être lavé les dents. Il était déjà 07h20 ! Je m’habillais rapidement avec le harnais qui bloquait le plug n°04, le collier et la cage qui était, malheureusement, toujours en place ! Elle continuait à mal-traiter mon malheureux pénis et mon pauvre gland empalé sur ses picots. J’enfilais le boxer blanc comme l’avaient commandé mes Masters. La météo annonçant de grand froid, je mettais plusieurs couche pour me protéger. Je 03 - Docteur - D - -.-prenais aussi le téléphone portable que je rangeais dans la poche frontale de ma sous-veste. J’éteignais mon ordinateur portable que j’avais oublié la veille. J’enfilais rapidement mon bonnet, mon écharpe, ma veste et une paire de gants. Je sortais et j’appelais l’ascenseur.

        Je regardais l’heure et je compris que j’avais du retard. Mon pauvre gland était toujours martyrisé par les picots de la cage et qui empêchait à mon malheureux pénis d’avoir une érection correcte. Le plug s’amusait aussi avec le premier anneau et la petite fleur qui l’accueillait. Je sortais et un blizzard glacial vint cingler mon visage ! Les -8°C ambiants mais en ressentit –12/-13°C calma d’un coup tout mon petit monde pour un certain temps. Je démarrais ma voiture et je réglais le chauffage à fond. Je prenais le grattoir pour décoller la glace sur le par brise et sur les vitres 04 - Docteur - D - -.-des portières. Je m’assaillais et l’invité du côlon, qui s’était calmé un moment, se réveilla et se remit à jouer malgré le froid ambiant. Je démarrais et je partais pour mon rendez-vous. Je prenais encore un peu plus de retard car ma bretelle de sortie était bouché. Je prenais mon mal en patience ! Je défaisais les boucles du harnais et j’ôtais le plug. Je retirais aussi le 05 - Docteur - D - -.-collier. Enfin arrivé au parking, je me garais à l’écart. Je terminais d’enlever le harnais et je rangeais le-tout dans ma pochette. Il faisait un froid de canard malgré le chauffage. Le véhicule n’avait pas eu le temps de vraiment se réchauffer. Heureusement que dans le bouchon, j’avais pu enlever la plus part des attributs de slave. J’arrivais à la consultation avec plus de dix 06 - Docteur - D - -.-minutes de retard. J’entrais et je m’excusais. Le médecin me rassurait alors en me confiant qu’elle avait, elle aussi, été retardé par les encombrements. Le secrétaire arriva sur ces entre-faits. Ce qui me rassura, je n’étais pas seul en retard.

        Je passais directement dans son cabinet. 07 - Docteur - D - -.-Je lui donnais mes papiers puis elle m’invita à me déshabiller. Lorsque je me retrouvais en boxer, elle me remerciait d’avoir une tenue "plus descente !". Je remerciais Maître Michael d’avoir consenti que le slave porte ce sous-vêtement moins humiliant. Elle aperçut tout de même la cage et le cadenas mais heureusement 08 - Docteur - D - -.-elle ne faisait aucune allusion à son sujet. Lorsqu’elle eu terminé, elle m’autorisait à me rhabiller. Je m’empressais à lui obéir pendant qu’elle remplissait le renouvellement de l’ordonnance. Terminé, nous nous saluions et je passais voir le secrétaire pour ma prochaine visite.

        Je regagnais ma voiture dans un froid 09 - Docteur - D - -.-intense. La température extérieure était toujours de –8°C ! Je gagnais le parking de la galerie commerciale et je me rendais aux toilettes avec ma sacoche à l’épaule. Je refermais à clef la porte et je vérifiais sa condamnation. Il ne faisait guère plus chaud qu’à l’extérieur. Je vérifiais la température sur mon 10 - Docteur - D - -.-téléphone qui affichait à peine +11°C. La femme de ménage avait dû ouvrir la porte de secours adjacente un certain temps pour qu’il fasse si froid. Il ne devait pas faire longtemps qu’elle l’avait refermée. La corvée de remettre les attributs du slave allait être plus difficile avec ce froid ambiant glacial ! Je commençais à me déshabiller pour la seconde fois de la journée. Au fur et à mesure que j’ôtais un vêtement, je sentais l’ambiance glacée me refroidir. Je devais enlever mes baskets et quand je posais les pieds sur le carrelage, je commençais à frissonner de froid malgré le port des chaussettes. Le sol n’était pas froid mais gelé ! Je devais accélérer le plus possible le mouvement ! Chaque minute qui passait me glaçait un peu plus et des frissons parcouraient tout mon corps, de la tête aux pieds !

11 - Docteur - D - -.-        J’avais préparé le téléphone sur le distributeur de papier toilette et je prenais les premiers clichés avec le boxer. Rapidement je le retirais et j’enfilais ensuite le harnais pour pouvoir bloquer au plus vite l’intrus dans mon pauvre petit trou. Je le photographiais et je posais le téléphone à terre. Je lubrifiais rapidement le plug et après avoir pris un cliché de la petite fleur, je le faisais pénétrer progressivement dans son garage. Lorsque la première boule butta contre l’anneau, je forçais la pression et il la goba. Ma petite fleur en faisait autant avec son invité. À chaque étape, je prenais une nouvelle photo pour le rapport. Elles deviennent de plus en plus humiliantes, frustrantes et dégradantes ! Je fermais le harnais en 12 - Docteur - D - -.-bloquant l’intrus sur l’anneau cockring et je faisais de même sur la fermeture de devant. Mon malheureux gland, malgré le froid ambiant, était toujours et encore maltraité par les pics de la cage qui l’empalaient ! Je prenais les dernières photographies après avoir mis le collier autour du coup du slave.

        Je posais rapidement le téléphone et j’essayais de me rhabiller encore plus vite que je n’avais enlevé mes vêtements. Je m’empressais à remettre mes chaussures car j’avais de plus en plus froid et je grelottais encore plus. Je craignais d’attraper froid avec l’épidémie de rhume ! Je sentis une goutte perler au bout du nez. Je m’empressais à me moucher et à terminer de m’habiller. Quand j’avais tout revêtu, je rangeais le boxer dans la sacoche et le téléphone dans la poche frontale de ma sous-veste. Je vérifiais que 13 - Docteur - D - -.-je n’oubliais rien et je m’empressais de m’enfuir de ce lieu glacial et inhospitalier.

        Je regagnais ma voiture et je me rendais au bureau. Au passage, je déposais l’ordonnance à la pharmacie où je récupèrerais le soir mes prescriptions. J’avais remis le chauffage du véhicule à fond mais je n’arrivais pas à me réchauffer pour autant. Il me faudrait plusieurs heures pour arriver à retrouver ma température malgré les couches d’oignon que je portais.

        Merci à mes Masters de m’avoir permis de porter le boxer et pour cette nouvelle étape dans l’éducation du slave. Malgré cela, le froid glaciale ambiant avait rendu l’exercice encore difficile, frustrant, humiliant et avilissant.

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Samedi 24 décembre 6 24 /12 /Déc 08:31

Une nouvelle consultation.

        Une nouvelle nuit de torture et de cauchemars ! Comme la nuit précédente, aussi la précédente et encore la précédente…, je faisais des cauchemars où j’essayais en vain de me masturber. Je me réveillais en sur-saut, mon malheureux gland torturé et martyrisé par les 01---Medecin---D----.jpgpicots de la cage. J’avais l’impression que l’on essayait de le piquer avec des aiguilles. Je me levais, j’allais boire un peu d’eau et je retournais me coucher en espérant pouvoir dormir correctement. Malheureusement, à peine assoupie, je refaisais un nouveau cauchemar similaire. M’étant levé plus de 10 fois dans la nuit, lorsque 06h00 arriva, je me levais avec une envie de me reposer encore. Le peu que j’avais sommeillé n’avait pas été bénéfique, m’étant débattu avec mon abstinence forcée. Les nuits passantes, je maudissais un peux plus chaque soir cette maudite cage qui, non seulement m’empêche de me masturber mais torture, martyrise et stimule mon malheureux gland ce qui augmente encore plus mon excitation contrariée.

        Je me levais et je faisais un café. Les pics étaient toujours en action et excitaient mon malheureux gland. L’anneau intérieur était, lui aussi en pleine gymnastique du matin. En buvant le café, je regardais par la fenêtre le temps. Il était tout clair. Je regardais les véhicules au pied de l’immeuble. Ils étaient blanc de givre. Je pensais que j’allais devoir gratter la glace avant de partir. Je regardais la température extérieure, il faisait –6°C / -7°C ! Je passais rapidement à la salle de bain avant que la famille ne se lève. Je préparais le petit déjeuné et je passais dans ma chambre pour enfiler le string que Maître Michael avait commandé que je porte pour cette visite. En l’enfilant, je me rappelais le peu qu’il cachait et que j’allais encore passer un rendez-vous humiliant ! Je me rhabillais rapidement en gardant les attributs du slave car mes Masters avaient 02 - Médecin - D - -demandé que je les enlève dans la voiture, seulement avant le rendez-vous. J’allais me préparer à sortir lorsque mes cousins se levèrent. Je les saluais et je leur faisais voir où se trouvait le repas. J’enfilais mon écharpe, mon bonnet, mes gants et une veste. Nous nous souhaitions une bonne journée puis, je sortais.

        Le plug continuait à jouer avec ma petite fleur et les picots de la cage à exciter mon malheureux gland qui provoquait une érection contrariée par cette maudite cage ! Je descendais et je démarrais la voiture avec le dégivrage. Je prenais le grattoir et je frottais le givre sur le par-brise, les fenêtres et le haillon arrière. Il faisait un froid glacial, ce qui calma tout mon petit monde. Ils n’appréciaient pas vraiment le froid de canard ambiant. Le tableau de bord annonçait une température extérieure de –5°C. Je me rendais à mon rendez-vous et je me garais un temps à l’écart. J’ôtais les attributs du slave et très rapidement je les rangeais dans ma sacoche. J’avais eu une bonne idée d’enfiler le string avant de partir comme cela, en baissant 03 - Médecin - D - -légèrement mon pantalon, je n’avais qu’à enlever le plug et sa ceinture. Je faisais de même pour le collier. Je me rhabillais encore plus rapidement tellement le froid pénétrait et la voiture n’avait pas eu le temps de se réchauffer. Je me rapprochais et me garais près de l’immeuble. Lorsque je sonnais à la porte du cabinet médical et que j’entrais, il était juste 08h00.

        J’attendais un instant car le secrétaire était avec le médecin. Il arriva et me fit entrer dans le bureau. Je saluais le médecin et nous prenions des nouvelles mutuellement. Je sortais mes papiers que je lui donnais et elle m’incita à me déshabiller. Discrètement je replaçais le string au mieux pour masquer le peu qu’il pouvait. Quand elle le vit elle me dit :

  • -    "Tu continue à faire de l’exhibitionnisme ?"

  Honteux, je ne savais quoi répondre. J’arrivais à murmurer :

  • -    "Non pas spécialement, c’est Marina qui m’a demandé de le porter.
  • -    Toujours et encore ton amie…. J’espère pour toi que tu ne garde pas en permanence la cage. Qu’elle ne t’empêche pas d’avoir des érections et faire le nécessaire pour te masturber et te vider ?
  • -    Heureusement je ne la garde pas en permanence, seulement la journée lorsqu’elle n’est pas là. Je l’enlève la nuit, cela me permet d’encore mieux apprécier…."

04 - Médecin - D - -        Je maudissais ce string qui ne cache rien ! Encore plus cette cage qui m’empêche d’avoir une vraie érection et contrairement à ce que je venais de dire, de pouvoir me branler et jouir ! Cela fait tellement longtemps que je ne me suis pas vider les testicules que j’en fais des cauchemars la nuit et la journée, je phantasme sur le jour où je serai libéré de tout carcan ! Il y a eu 5 mois jeudi passé que cette saleté de prison a été posée, soit 159 jours ce mercredi ! Cela devient une obsession !!! Je pense de plus en plus au moment où je pourrai faire une bonne purge !
        Je passais à la pesée, ensuite, je m’allongeais sur la table. Le string est tellement transparent que je voyais le monticule dessous. La chaleur ambiante m’avait réchauffé et la compression du string sur la cage, les picots avaient repris leur service diabolique. J’avais l’impression que des aiguilles étaient plantées dans mon malheureux gland. Ils provoquèrent une excitation déjouée quand je sentis mon pénis vouloir se gonfler sans pouvoir avoir 05 - Médecin - D - -d’érection. Je m’imaginais que le médecin ouvrait la cage et que je me masturbais sur cette table. J’étais dans ce phantasme lorsqu’elle me rappela à la réalité. Elle voulait prendre ma tension mais je ne lui répondais pas !

  • -    "Tu as un problème ? Tu as l’air absent et dans les nuages ?
  • -    Rien de grave, depuis un certain temps, j’ai des insomnies….
  • -    Tu en es certain ? Il n’y a pas d’autres problèmes ?
  • -    Non, je te remercie, rassures-toi, je somnolais…."

        Elle continuait son auscultation du malheureux slave en manque. Quand elle eut terminé, elle m’autorisa à me rhabiller. Sans demander mon reste, je m’empressais à exécuter sa proposition. Je commençais par enfiler le jeans pour cacher ce sous-vêtement 06 - Médecin - D - -humiliant, dégradant et avilissant. À part le boxer blanc, les autres sous-vêtements et shorts retenus augmentent la honte et l’humiliation de les porter ! J’enfilais tout aussi rapidement, mon maillot, mon pull, mes chaussures, ma sous-veste, mon écharpe et ma veste. Le bonnet et les gants, je les porterais lorsque je partirais. Pendant ce temps, elle rédigeait le renouvellement de mon ordonnance. Elle me la donnait avec mes papiers. Je la remerciais tout en les rangeant dans ma sacoche. Au moment de la saluer, elle me dit :

  • -    "La prochaine fois, essaye de porter un sous-vêtement un peu plus décent ! Je sais qu’avec Marina, vous aimez les vêtements excentriques. Un peu de pudeur n’ait pas désagréable non plus !
  • -    Je lui transmettrais ta demande. Je te souhaite une bonne journée et de bonnes fêtes de fin d’année. [Je coupais toute discussion en la saluant car j’avais été suffisamment humilié, frustré et avili pour le moment.]
  • 07 - Médecin - D - --    Je te remercie, toi de même passe de bonnes fêtes et profites des congés pour renouveler ta semence… ! "

        Ultime humiliation, déshonneur ! Blessé, offensé et vexé, je m’empressais à prendre congé. Mon cœur battait la chamade depuis un certain temps. La petite fleur jouait avec son hôte et les picots excitaient le gland pour provoquer une érection contrariée ! Je me sentais de plus en plus mal avec ces réflexions pour ne pas désobéire à mes Masters et ces invités qui faisaient déjà la fête. Je voyais avec le secrétaire pour mon prochain rendez-vous le mercredi 18 janvier. Je le saluais à son tour et nous nous souhaitions de bonnes fêtes de fin d’année. Sans demander mon reste, je m’enfuyais de ce cabinet médical et, à grands pas, je regagnais ma voiture. Je devais maintenant remettre les attributs du slave dans des toilettes publiques. Craignant que 08 - Médecin - D - -celles où j’allais d’habitude soient glacées avec la porte de secours souvent ouverte à coté, je me rabattais sur une autre galerie près de ma pharmacie et du bureau. J’espérais qu’elles seraient moins glacées que les précédentes car elles n’avaient pas de portes proches donnant sur l’extérieur.

        Je me garais sur le parking et je me dirigeais avec ma sacoche et les attributs vers les toilettes publiques de cette galerie plus petite que la précédente. Le monde arrivait déjà bien que ce soit ouvert depuis moins de 30 minutes. Je me dirigeais vers mon prochain calvaire. Il n’y avait qu’une seule toilette fermée à clef. Je n’avais donc pas le choix. Malgré qu’il n’y ait pas de porte donnant sur le dehors, il faisait un froid glacial. Certainement à cause d’une paroi mitoyenne avec l’extérieur. Un visiteur devait avoir une mauvaise vue car le sol était inondé d’urine autour de la cuvette ! Je prenais du papier toilette pour éponger. Il y avait aussi une table à langer. J’en profitais pour poser les attributs du slave et je commençais à me déshabiller 09 - Médecin - D - -en les posant, plié sur ce meuble. Au fur et à mesure que j’ôtais des vêtements, je ressentais le froid glacial pénétrer dans toutes mes pores. Le comble arriva lorsque j’enlevais mes baskets et que je me retrouvais pieds nus avec seulement mes chaussettes. Le froid glacial ambiant et du sol provoquait un frisson qui me secouait de la tête aux pieds. Je devais exécuter très rapidement les directives de mes Maîtres.

        Je prenais en photo le string que je portais puis je le posais sur la table. Malgré le froid, les picots martyrisaient mon malheureux gland qui tentait une érection impossible. Je photographiais cette geôle et son prisonnier. Vu la température glaciale, je commençais par positionner la ceinture ainsi, quand l’invité sera en place, je pourrai le bloquer de suite. Je posais au sol le portable, j’attrapais le plug que je lubrifiais et je m’accroupissais. J’immortalisais ma petite fleur et je lui présentais son hôte. Je le faisais pénétrer tout en prenant de nouveaux clichés. La première boule butta contre l’anneau. Après une nouvelle pression et en poussant du trou, il goba son ami et se mit à jouer avec. Mon pauvre cul faisait de même avec le reste du plug ! Je le bloquais de suite avec la ceinture en prenant une nouvelle photo. En me relevant, je photographiais à nouveau la cage et les cuisses du slave. Je positionnais le dernier attribut autour du coup, le collier et sa médaille. Une nouvelle photo de pieds pour terminer la série. Je grelottais et je n’avais qu’une hâte, de me rhabiller.

10 - Médecin - D - -        Je posais le téléphone sur le rebord et j’enfilais rapidement le maillot. Ensuite, ce fut le tour du jeans et j’enfilais les chaussures. Je continuais par le pull, la sous-veste où je rangeais le téléphone, l’écharpe puis, pour terminer, j’enfilais ma veste. Je pouvais enfin me réchauffer doucement. Je rangeais le string et le lubrifiant dans la sacoche. Après avoir tiré la chasse d’eau, je me lavais les mains. Je me les séchais et je sortais après avoir vérifier ne rien avoir oublié. Je regagnais mon véhicule et je démarrais. Je déposais, au passage, mon ordonnance à la pharmacie et je gagnais mon lieu de travail. Sur le trajet, je me mémorisais cette consultation où, une nouvelle fois, je m’étais senti humilié, frustré et avili. Il me faudrait encore faire la corvée hebdomadaire dans la journée. Les contrariétés, les frustrations… allaient encore se renouveler.

        Une nouvelle fois, je me suis senti vraiment très mal à l’aise avec mon médecin, dans la tenue où j’ai du me présenter. Malgré qu’elle connaisse mes sous-vêtements humiliants, les réflexions et les humiliations ne cessent. Je dois tout de même remercier mes Masters pour m’avoir fait progresser et accepter une nouvelle étape dans mon humiliation, ma frustration et ma soumission


À mes Masters et à tous les visiteurs, je vous souhaite un excellent réveillon de Noël.

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Mardi 6 décembre 2 06 /12 /Déc 08:03

02---Medecin---D----.jpgUne nouvelle consultation.

        Je me levais de bonne heure car j’allais avoir une journée très chargée. Avant que la famille se lève, je passais rapidement à la salle de bain pour faire ma toilette comme je pouvais avec le Holter que je portais. La veille au soir ils m’avaient demandé de voir l’appareil. J’avais levé le pull légèrement pour le faire voir tout en cachant les attributs du slave. Ils avaient plaisanté sur ma soi-disant pudeur. Comme je ne pouvais leur révéler les vrais raisons de cette pudeur, j’encaissais leurs remarques, frustré, humilié et avili par des proches que j’apprécie ce qui augmentaient encore plus mes sentiments d’infériorités humiliés. Heureusement, j’avais pris avec moi mes affaires pour m’habiller dans la salle de bain car j’entendis un de mes cousins se lever. Après s’être salué, je préparais le petit déjeuné et je lui expliquais que j’allais partir de bonne heure car j’avais ma consultation mensuelle chez ma généraliste sans pouvoir lui avouer les autres instructions. Je 01 - Médecin - D - -passais dans ma chambre pour enfiler ma veste et mettre le jock-strap avant de partir car j’étais déjà en retard. Je me garais un peu à l’écart pour enlever les attributs du slave soit le collier et sa médaille, le plug N° 04 que je roulais dans du sopalin et la ceinture. Je rangeais-le tout dans ma sacoche. J’essayais de repositionner le sous-vêtement qui cachait que pour le principe. Je craignais de mouiller car 03 - Médecin - D - -mon malheureux pénis était gonflé un maximum dans sa cage et les picots rentraient dedans et excitaient le pauvre gland d’autant plus que je n’ai pas de prépuce pour le protéger. Plus il était piqué, plus mon pénis essayait de grossir et plus la stimulation du gland s’accroissait, un vrai cercle vicieux, frustrant et humiliant. Heureusement, en sortant du véhicule, le froid glacial le calma un bref instant. Je rentrais chez le médecin. Je saluais le secrétaire et ma généraliste me fit entrer dans son cabinet. Comme d’habitude elle me convia à me déshabiller ! Tout en m’exécutant, je l’informais que je portais le Holter. Elle me répondit, à mon grand soulagement, que la consultation serait plus rapide ne pouvant prendre toutes les mesures. Elle m’invita à m’installer sur sa table. C’est à ce moment là qu’elle fit la remarque ironiquement :

  • "- Tu as remis ton super mini sous-vêtement ! Je n’avais pas fait 04 - Médecin - D - -attention que non seulement tu avais rasé ton corps de près mais tu as fait aussi ton pubis ! Marina n’aime pas les poils ?"

  Suite à cette réflexion, je ne savais quoi répondre et je me sentais, une  nouvelle fois, humilié et avili. Je maudissais les instructions de me raser entièrement et les sous-vêtements qui 05 - Médecin - D - -avaient été retenus ! À part le boxer blanc, les autres ne cachaient presque rien ! Je lui répondais humilié, honteux et sans conviction :

  • "- Quand on aime, on ne compte pas…"

        Elle continua son travail et lorsqu’elle eut terminé, elle m’invitait à me rhabiller. J’avais le cœur qui battait la chamade. Je me sentais très 06 - Médecin - D - -mal à l’aise une nouvelle fois. Ces consultations sont toujours autant humiliantes dégradantes et avilissantes ! J’ai du mal à m’habituer au corps imberbe forcé et à ces tenues et, surtout, aux réflexions et interrogations qui en découlent ! La cage faisait aussi des siennes avec ses pics ! Ils excitaient de plus en plus mon malheureux gland sans protection qui faisait gonfler mon pauvre 07 - Médecin - D - -pénis qui se retrouvait embroché sur les picots…. Sans demander mon reste, je m’empressais à me rhabiller le temps qu’elle remplisse mon ordonnance. Terminé, je la rageais dans une pochette que je glissais dans la sacoche. En me raccompagnant à la     porte elle me saluait. J’en faisais autant en retour. Je passais voir le secrétaire pour le prochain rendez-vous dans 08 - Médecin - D - -quatre semaines. Je le saluais et je regagnais ma voiture sans me retourner. Mon pauvre palpitant battait toujours aussi fort et rapidement. Malgré le froid, je sentais les picots torturer le malheureux gland…. Je montais dans ma voiture et je me dirigeais vers la galerie marchande la plus proche car Maître Michael avait demandé que je me change dans des toilettes publiques. Je 09 - Médecin - D - -me garais sur le parking qui se remplissait déjà malgré l’heure précoce. Je me dirigeais vers les toilettes qui étaient prises d’assaut par les premiers visiteurs. Un froid glacial y régnait car une porte de secours était restée ouverte non loin de là. Je dus attendre plus de quinze à vingt minutes pour que les plus grandes toilettes se libèrent car c’est la seul avec une cuvette et des 10 - Médecin - D - -patères les autres sont à la turque et n’ont rien pour accrocher ou poser des vêtements. Je me demandais qui était dedans et ce qu’elle pouvait faire tout ce temps. Mon imagination allait bon train quand la personne sortit enfin ! Je m’empressais à la remplacer et je commençais à me déshabiller une nouvelle fois après avoir bien refermé à clef la parte. Je posais mes premiers vêtements sur un accoudoir et je posais dessus le portable en équilibre. J’accrochais les autres avec la sacoche. Avant d’ôter le jock-strap, je prenais les premiers clichés. Malgré le froid du carrelage et la température ambiante glacée mon malheureux pénis était toujours maltraité par les picots de la cage. Je la prenais en gros plan. Mon gland continuait à s’exciter sur les pics ! Je ressentais une grande frustration, une humiliation dégradante. Je lubrifiais le plug à deux boules et je posais à terre le téléphone. Je prenais ma petite fleur soulagé de toutes contraintes. Ce qui n’allait plus durer ! Je présentais le plug 11 - Médecin - D - -à mon petit trou. Je le poussais pour l’ouvrir tout en prenant des photos. Je sentais mon orifice s’ouvrir et prendre la première boule. Je continuais la pression et mon petit trou goba la seconde boule. Je le maintenais un instant avant de poser la ceinture et de le bloquer définitivement. Je terminais par poser le collier et je prenais les derniers clichés. Le travail terminé et les attributs du slave en place, je me rhabillais précipitamment car j’étais frigorifié et qu’une personne avait essayé d’ouvrir la porte. Je rangeais rapidement dans la sacoche le jock et le lubrifiant. Je me lavais les mains et je regagnais ma voiture. En m’asseyant sur le siège, je sentis le plug pénétrer encore plus profondément. La première boule joua avec le premier anneau ! Je sentais mon trou tenter de pousser ! Conduire dans ces conditions avec un tel plug dans le cul n’est pas la solution idéale ! Je déposais l’ordonnance à la pharmacie avant de rejoindre mon bureau. Heureusement j’avais prévenu que je serai certainement en retard ce matin.

        Merci à mes Masters pour me faire évoluer dans l’obéissance, la soumission et aux visiteurs pour leurs commentaires instructifs.

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Dimanche 30 octobre 7 30 /10 /Oct 19:05

Nouvelle humiliation.

19---Toubib---D----.jpg        Le début de semaine avait été très chargé à cause du mauvais temps. Une pluie continue et abondante nous avait obligés à changer tous les programmes prévus. Ce mercredi matin j’étais à la bourre. Je me levais un peu plus tôt et je vérifiais les instructions de mes Masters pour cette nouvelle visite médicale. Je regardais la météo extérieur et avec soulagement je voyais plus qu’une petite pluie fine. Je faisais ma toilette et je me préparais à partir un peu en20---Toubib---D----.jpg avance. Arrivé près de mon rendez-vous, je me garais à l’écart des autres véhicules déjà présents. Je passais sur la banquette arrière pour me préparer à la visite médicale. Je posais sur le siège une serviette avant de m’apprêter. Comme avaient demandé mes Maîtres, j’étais parti sans chaussettes. Je sentais le froid du plancher de la voiture.  J’ôtais le bas, c’est à dire mon pantalon de treillis pour mettre le boxer autorisé. Avant de changer de plug, je prenais tous les clichés pour que mes Masters puissent vérifier ma tenue. Je positionnais le plug qui tient seul N° 03 après avoir sortit de son logement le N° 04 à deux boules. Je pouvais enlever la ceinture et le collier du slave. Je rangeais dans une sacoche ces derniers avec le plug roulé dans un papier absorbant que j’avais pris en prévision. J’enfilais le boxer blanc et je me rhabillais une première fois. En sortant de la voiture je remarquais que j’avais mouillé du trou. La serviette était tâchée. Heureusement que j’avais anticipé cette complication ! Je la plais et la rangeais dans la sacoche. Je reprenais la place du chauffeur et je me garais au plus près de mon rendez-vous.

 21---Toubib---D----.jpg  22---Toubib---D----.jpg

        Je sonnais à la porte du cabinet et je rentrais. Le secrétaire était assis à sa place, je le saluais. Le médecin m’avait entendu et elle m’invita à entrer dans son bureau étant son premier rendez-vous. Je refermais la porte derrière moi et lui donnais ma carte Vitale. Elle m’invita à me mettre en "tenue". Sans crainte pour une fois, je me déshabillais. Lorsque je fus en sous-vêtement elle me lança avec ironie.

    • -    Je me demandais dans quelle tenue excentrique tu seras aujourd’hui. Je vois pour une fois que tu as une tenue à peu près décente….

Je ne pouvais pas lui dire toute la vérité et surtout pas que j’avais un plug dans mon pauvre trou. Pour la cage, elle n’allait pas tarder à s’en rendre compte. Mon palpitant battait de plus en plus vite et fort. Honteux je lui répondais.

    • -    Tout de même j’ai du respect pour vous Docteur.

Après avoir vérifié mon poids, elle m’invita à m’asseoir sur le bord de la table d’auscultation. Je dus le faire un peu brusquement malgré le molleton car je sentis l’intrus en moi pénétrer plus profondément et exciter le premier anneau du côlon. Il tenta de monter dessus et un râle m’échappa. Le médecin demanda alors avec un petit sourire narquois.

    • -    Tu as un problème ?
    • -    Je pense que j’ai du déjeuné trop vite ce matin. Je viens d’avoir un renvoi.

Humilié et frustré j’essayais de la convaincre. Je me sentais tout honteux de ce petit cri de surprise d’autant plus qu’elle continua.

    • -    Je devine que Marina a remis son jouet. Difficile pour toi de te masturber avec, non ?

J’étais tout honteux de cette nouvelle remarque et mon humiliation croissait. Mon cœur battait la chamade et ma tension était à son plus haut. Je ne savais quoi répondre à cette répartie. Je balbutiais :

    • -    Oui effectivement je ne peux pas.
    • -    Elle a de drôles d’idées de te laisser en permanence avec.
    • -    Seulement la semaine, heureusement le week-end je n’ai rien.

Je rétorquais en lui mentant. Je ne pouvais lui dire que cela faisait malheureusement plus de 102 jours que je portais cette maudite cage et que cela devenait de plus en plus frustrant dégradant et avilissant de ne plus pouvoir me toucher et encore moins me vider les couilles. Je maudissais les commentaires et les instructions qui en découlaient. J’ai de plus en plus de mal à supporter ces railleries déplaisantes. D’un mois sur l’autre, je me sens de plus en plus frustré, humilié… surtout lorsqu’elle ajouta.

    • -    Mais tu es tout rouge, tu es honteux ? Il n’y a pas de quoi !
    • -    Non, je pense que c’est mon estomac qui me joue des tours….

23 - Toubib - D - -  J’avais l’impression que mon palpitant voulait sortir de ma cage thoracique tellement il battait vite et fort. Je maudissais encore plus mes Masters et les visiteurs car, à cause des commandements, elle devinait mes sentiments. Je m’allongeais pour la suite de la visite. Quand elle eut terminé, elle m’invita à me rhabiller. Je m’empressais à le faire le temps qu’elle remplisse le renouvellement. En me raccompagnant à la porte, nous nous saluions et elle me souhaitait, avec ironie, une bonne continuation. Je soufflais enfin. Je pensais que la visite était terminée. Je prenais mon prochain rendez-vous au près du secrétaire. Malheureusement en le saluant, il me dit.

    • -    Tu ne vas pas aux toilettes cette semaine ? Je pensais que tu allais prendre un abonnement….

 Ne m’attendant pas du tout à une telle réflexion, le sang monta au visage et je devins tout rouge !

    • -    Tu es tout rouge, ça ne va pas ?

Il avait un large sourire en faisant cette remarque. Il avait compris mon désarroi. Les24 - Toubib - D - - humiliations et les frustrations continuaient. Je me sentais très mal à l’aise. Je balbutiais :

    • -    Non, simplement j’ai des problèmes de digestions…. Bonne journée.

Je m’empressais à lui serrer la main et je m’enfuyais de ce maudit cabinet médical. Lorsque je sortais sur le perron, j’étais en nage de hontes et de frustrations. Mon cœur battait la chamade. Je sentais chaque pulsation gonfler mes tempes. Je regagnais ma voiture pour la suite des instructions de la matinée. Je me rendais à une galerie marchande, pas loin de mon rendez-vous. Je me garais et je prenais ma pochette pour me rendre aux toilettes publiques. Malheureusement elles sont à l’autre extrémité et je devais remonter toute la galerie pour y accéder. Je rentrais dans la première toilette libre. Je sortais le plug à deux boules de la sacoche et je le rinçais au lave-mains. Je sortais la serviette 25---Toubib---D----.jpgtâchée que je posais au sol et je me déshabillais une nouvelle fois. Malgré le tissu, je sentais le froid du carrelage sous mes pieds nus. Je prenais une photo du boxer avant de l’enlever pour cette visite.

        Je plongeais la main dans le sac et je sortais le collier. Je le mettais en place. Je m’accroupissais pour changer de plug. Je positionnais à contre-cœur le portable par terre26---Toubib---D----.jpg afin de prendre les clichés nécessaires commandés par mes Masters. Je sortais le plug N° 03 qui tient seul de son logement. Mon petit trou était soulagé pour un instant. Étant nu, je ressentais le froid pénétrer tout mon pauvre corps. Un frisson me secoua de la tête aux pieds. Je devais accélérer le programme. J’entendais les voix des personnes derrière la cloison. Je vérifiais qu’ils ne pouvaient pas m’apercevoir sous la porte comme il y avait un jeu d’une vingtaine de centimètre.

 27---Toubib---D----.jpg  28---Toubib---D----.jpg

        Je lubrifiais légèrement le plug N° 04 à deux boules qui avait quitté son logement 29---Toubib---D----.jpgavant la consultation. Je le présentais à ma petite fleur et je commençais à le rentrer. Je sentais mon trou s’ouvrir, s’ouvrir. La première boule était en place. Je continuais de pousser et je le sentis buter contre l’anneau intérieur. Je poussais pour qu’il s’ouvre. Je le sentais monter dessus en s’ouvrant. Mon anus continuait son ouverture au fur et à mesure que je forçais la pression d’une main et de l’autre, je prenais les30---Toubib---D----.jpg photographies commandées. D’un coup, je sentis le premier anneau gober la boule et mon trou se refermer sur la base du plug. Il était en place mais ma petite fleur poussait. Je tenais le plug le temps que ma petite fleur se calme. Je regrettais d’être parti si précipitamment ce matin sans prendre de suppositoire pour calmer la cavité et de ne pas avoir mis la ceinture avant pour bloquer cet intrus. Je m’aperçus qu’un gros 31---Toubib---D----.jpgtas de mouille était sur la serviette. Quand j’avais ôté le N° 03 elle était sortie en même temps ! Je ne m’en étais pas rendus compte. Je trouvais la situation encore plus frustrante, humiliante et dégradante. J’avais honte ! J’aurai pu le prévoir avec la tâche que j’avais déjà faite dans la voiture. De plus, je devais faire attention de ne pas gémir car il y avait du monde à coté de moi. Je bloquais la respiration pour éviter tout geignement. Quand tout le monde reprit son calme, je positionnais rapidement la ceinture pour bloquer ce nouveau gêneur.

 32---Toubib---D----.jpg  33---Toubib---D----.jpg

34---Toubib---D----.jpg        Je lubrifiais légèrement le plug N° 04 à deux boules qui avait quitté son logement avant la consultation. Je le présentais à ma petite fleur et je commençais à le rentrer. Je sentais mon trou s’ouvrir, s’ouvrir. La première boule était en place. Je continuais de pousser et je le sentis buter contre l’anneau intérieur. Je poussais pour qu’il s’ouvre. Je le sentais monter dessus en s’ouvrant.35---Toubib---D----.jpg Mon anus continuait son ouverture au fur et à mesure que je forçais la pression d’une main et de l’autre, je prenais les photographies commandées. D’un coup, je sentis le premier anneau gober la boule et mon trou se refermer sur la base du plug. Il était en place mais ma petite fleur poussait. Je tenais le plug le temps que ma petite fleur se calme. Je regrettais d’être parti si précipitamment ce matin sans prendre de suppositoire pour calmer la cavité et de ne pas avoir mis la ceinture avant pour bloquer cet intrus. Je m’aperçus qu’un gros tas de mouille était sur la serviette. 36---Toubib---D----.jpgQuand j’avais ôté le N° 03 elle était sortie en même temps ! Je ne m’en étais pas rendus compte. Je trouvais la situation encore plus frustrante, humiliante et dégradante. J’avais honte ! J’aurai pu le prévoir avec la tâche que j’avais déjà faite dans la voiture. De plus, je devais faire attention de ne pas gémir car il y avait du monde à coté de moi. Je bloquais la respiration pour éviter tout geignement. Quand tout le monde reprit son calme, je positionnais rapidement la ceinture pour bloquer ce nouveau gêneur.

        Une nouvelle consultation frustrante, humiliante et avilissante était terminée. Je pensais alors au mois prochain où j’aurai plusieurs consultation en quelques jours. Je me demandais ce que les visiteurs allaient proposer à mes Masters et ce qu’ils décideront de faire. En avance, je craignais déjà le pire.

        Merci Maîtres pour votre bienveillance envers votre slave.

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Jeudi 29 septembre 4 29 /09 /Sep 10:22

Une consultation très humiliante !

        Toutes les quatre semaines je rends visite à mon médecin pour un suivi médical et le renouvellement de mon traitement. Suite aux commentaires désobligeants et infâmes, mes Masters décidèrent, malheureusement, de suivre les propositions des visiteurs. Ils commandèrent au slave que je suis, de mettre le string dans la voiture et d’enlever le plug et le collier. Je devais donc partir un peu plus tôt ayant rendez-vous à 08h00 du matin.

        Lorsque je me couchais mardi soir, je repensais aux instructions et surtout au sous-vêtement que je devrai porter le lendemain. J’avais du mal à trouver le sommeil. Quand je m’endormais enfin, je me mettais à faire des cauchemars et je me réveillais en sursaut avec le cœur qui jouait la chamade. Avec difficulté, je retrouvais le sommeil. Je passais une nuit d’insomnie et, malheureusement, je m’endormais sur le matin. Quand le réveil sonna, j’eus du mal à l’entendre. Il me semblait que c’était dans mon cauchemar qu’une sonnerie sonnait. C’est seulement lorsqu’il cessa de carillonner que je réalisais ce que c’était et je m’éveillais en faisant un bond dans le lit. J’avais très mal dormi ! Je maudissais les instructions de mes Masters et les commentaires déplaisants des visiteurs du blog. Je réalisais que je n’étais pas en avance. Je me levais d’un saut et je me faisais un bon café pour me réveiller. Étant resté endormi un moment, j’avais pris du retard. Je passais rapidement à la salle de bain faire ma toilette et prendre une bonne douche. Je préparais dans une sacoche mes papiers, du lubrifiant, des feuilles de sopalin, le string et une clé pour ouvrir le collier. Je changeais de plug. Je déposais la ceinture et je mettais en place celui qui tient seul. Je terminais de m’habiller et j’enfilais une veste où je rangeais le portable. Je montais dans ma voiture glaciale. Il faisait seulement 12,5°C. Je me garais à l’écart des voitures déjà présente. Malheureusement le véhicule n’avait pas eu le temps de se réchauffer comme le cabinet est à un peu plus de 5 minutes en voiture. J’enlevais mes baskets pour enlever le jeans. Dans une glacière, je prenais rapidement un premier cliché de la cage. J’enfilais à contre cœur le string choisi et je prenais une nouvelle photo.

 01---La-Cage---D----.-.jpg  02---Le-String---D----.-.jpg

        Je jetais régulièrement un coup d’œil à l’extérieur pour vérifier que personne n’approchait. Le froid de la voiture avait fait dégorger mon malheureux pénis dans sa cage. Je roulais le plug dans le sopalin et j’ôtais le collier que je rangeais dans la sacoche. Mon cœur battait de plus en plus fort. Je me rhabillais rapidement et je bougeais de place ma voiture pour me rapprocher de l’immeuble. J’arrivais en même temps que mon médecin. Je rentrais avec elle et je saluais le secrétaire le temps qu’elle se prépare. Elle me fit entrer dans son cabinet. Je lui donnais mes papiers et sur son invitation je me déshabillais à contrecœur. Mon pauvre palpitant jouait la chamade et je me sentais de plus en plus mal à l’aise au fur et à mesure que j’ôtais mes vêtements. La consultation la plus humiliante et dégradante de ma vie allait débuter. Lorsqu’elle me vit de face et avant d’aller à la pesée, elle me dit avec ironie :

  • -    De mieux en mieux ! Tu ne pouvais pas trouver plus transparent ?

  Honteux, ne sachant quoi répondre je lui répondais : 

  • -    Je fais ce que je peux….

  Ne pouvant pas lui révéler la vérité. Sur son invitation, je montais sur la balance. C’est à ce moment là qu’elle réalisait quel sous-vêtement je portais.

  • -    Un string en plus ! Ça met tes petites fesses en valeurs ! Tu cherche quoi ?

  Humilié, avilis, le cœur battant de plus en plus vite, ne pouvant pas dire la vérité, ne sachant quoi lui répliquer, je répondais :

  • -    Ce n’est qu’un pari stupide avec mon ami(e) 
  • -    Et la cage aussi ?
  • -    Idem, elle ne veut pas que je me masturbe en son absence.
  • -    Comment s’appelle-t-elle ? Depuis combien de temps êtes-vous ensemble ?
  • -    C’est toujours Marina et ça fait quelques mois, depuis le début d’année que nous sommes remis ensemble.

  Je me sentais de plus en plus mal à lui mentir et m’enfoncer dans ce mensonge. J’avais trouvé ce prénom car une fois, un collègue avait vu le "M" du collier lorsque mon Maître de l’époque me l’avait offert. Je lui avais dit qu’elle était italienne et que l’on se voyait que les week-ends et les vacances. À l’époque, je me rendais régulièrement à Turin et à Milan.

  • -    Tu t’es remis avec ta petite italienne ? Il faudrait que tu viennes un jour avec elle depuis le temps. Que tu me la présente !
  • -    Je ne sais pas car la semaine, elle n’est pas ici. On se voit que le week-end.
  • -    Je serai contente de faire enfin sa connaissance ! Comment se passe cette relation ? Je croyais que tu n’étais plus avec elle !
  • -    Elle est très gentille et compréhensive. C’est vrai qu’un temps nous nous sommes éloignés mais elle a repris contact avec moi….
  • -    J’espère que tu as toujours des relations sexuelles ! C’est essentiel dans une vie de couple. Je suppose que tu te protège ?
  • -    Oui bien sûr ! Je mets des capotes régulièrement, je ne voudrai pas qu’elle ait des problèmes.
  • -    Si elle a besoin de discuter ou a des questions, qu’elle n’hésite pas à venir me voir.
  • -    Je te remercie docteur. J’ai déjà répondu à beaucoup de ces questions depuis le temps. Elle sait aussi que je fais de la prévention.
  • -    Allonges toi sur la table que je t’ausculte. Elle doit être assez excentrique pour te faire porter ces sous-vêtements….

  Pendant qu’elle faisait son travail, je repensais à la discussion. Je ne pouvais pas lui dire la vérité. Je m’enfonçais dans le mensonge sans savoir si elle y croyait. Je me sentais suffisamment humilié, frustré et déshonoré. J’avais mon palpitant qui battait tellement fort que j’avais l’impression qu’il allait sortir de ma cage thoracique.
C’est à ce moment là qu’elle continua :

  • -    Tu es rasé complètement ! C’est Marina qui t’a demandé de le faire ? Pourquoi… ?
  • -    Elle fait beaucoup de vélo et j’essaye de la suivre. Elle m’a conseillé de le faire si un jour il m’arrivait un accident, ce que je n’espère pas….

  Je maudissais une nouvelle fois les commentaires et les instructions qui en ont découlés. Je continuais à m'enfouir de plus en plus dans le mensonge au fur et à mesure que je ne pouvais pas dire la vérité et je me sentais encore plus humilié et déshonoré. Après quelques nouveaux échanges humiliants et de nouveaux mensonges comme réponse, elle m’autorisa à m’habiller. Je m’empressais à le faire tellement j’étais mal. Mon pauvre cœur battait toujours aussi fort et rapidement. En hâte, je me rhabillais le temps qu’elle rédige l’ordonnance. C’est à ce moment là qu’elle leva la tête pour me dire ironiquement :

  • -    Tu diras à Marina de te demander de porter un sous-vêtement un peu moins excentrique pour ta prochaine visite !

  Je rangeais les papiers dans la pochette et je la saluais. Lorsqu’elle voulus me raccompagner à la porte, je lui03 - Toilettes - D - -.- demandais si je pouvais me rendre aux toilettes. Je faisais très attention de bien fermer la porte à clef et je me déshabillais une nouvelle fois. Je prenais un dernier cliché du string que j’avais du porter pour la visite. Je faisais de même avec la cage en place avant de remettre les attributs du slave.

 04---Toilettes---D----.-.jpg   05---Toilettes---D----.-.jpg

        Je prenais dans la sacoche que j’avais apportée avec moi, le plug. Je le sortais de son papier absorbant. Je le lavais au lavabo et, après l’avoir séché, je le lubrifiais. Je positionnais le portable par terre et je m’accroupissais pour le mettre en place. Je sentais mon trou s’ouvrir au contact de celui-ci. Je poussais pour que mon anus s’ouvre tout en le repoussant un peu plus. Je sentais ma petite fleur s’ouvrir au fur et à mesure que le plug rentrait. Je prenais des clichés à chaque étape à la demande de mes Maîtres et des visiteurs. Je trouvais la situation de plus en plus humiliante et dégradante et je maudissais tous ces commentaires désobligeants. Quand il fut à fond, que ma petite fleur ait bien gobé cet intrus, je le tenais encore un instant le temps que mon trou cesse de pousser, l’accepte et se calme.

 06---Toilettes---D----.-.jpg  07---Toilettes---D----.-.jpg

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          Je me relevais et je prenais le collier. Je l’ouvrais et le positionnais. Quand il était en place je le fermais définitivement et je prenais les derniers clichés avant de me rhabiller une dernière fois !

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        Je rangeais le string dans la sacoche et je me rhabillais. Quand je fus prêt je sortais des toilettes et j’allais saluer le secrétaire ! Il me dit alors :

  • -    Tu en as mis du temps…. 
  • -    Désolé mais j’avais une grosse commission….
     
  • -    Je craignais que tu sois tombé dans le trou… !

  Humilié, je lui répondais :

  • -    N’aie craint, j’ai juste pris mon temps. Je te souhaite une bonne journée.
  • -    Merci toi de même, à bientôt.
  • -    Merci.

  Nous nous serrions la main et je m’enfuyais honteux et humilié de ce cabinet médical. Tout en me rendant à mon véhicule, je maudissais une nouvelle fois les commentaires des visiteurs et mes Masters de les avoir suivis et d’en avoir ajouté. Mon cœur battait toujours la chamade et je me sentais de plus en plus humilié, frustré et avili.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Chez le Médecin - Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Jeudi 1 septembre 4 01 /09 /Sep 17:56

En boxer blanc

         Mercredi matin, j’avais rendez-vous chez mon médecin. Comme les Masters ne m’avaient pas donné d’instructions précises à part le port du boxer blanc ! Avant de partir, j’enlevais le collier avec sa médaille, le plug et la ceinture qui le tient. J’arrivais à son cabinet et étant le premier, je rentrais de suite dans son bureau. Comme à l’habitude après l’avoir salué, je me mettais en sous-vêtement. Malheureusement la cage provoquait une grosse bosse dans le boxer. J’espérais sans trop y croire qu’elle ne s’en apercevrait pas. Lorsque je m’allongeais sur la table d’auscultation elle me dit :

  • - Tu t'amuses toujours aussi bien à ce que je peux voir ?

        Honteux et confus, je lui répondais :

  • - Oui, j’essaye docteur….

        Mon cœur se mit à battre de plus en plus fort et lorsque qu’elle a du prendre ma tension, elle était montée de plus de deux points par apport à ma tension normal. Elle me fit un grand sourire. Je me sentais très mal à l’aise et j’ai du rougir car je sentais le sang affluer au visage. Je me sentais de plus en plus humilié et déshonoré. La consultation terminée, je me rhabillais. Je prenais mon ordonnance et après l’avoir salué, je regagnais ma voiture. Je rentrais chez moi après avoir déposé l’ordonnance. Je remettais en place le collier, le plug et sa ceinture.
         Merci Maître Michael pour le boxer.

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  • : Sous-Merde propriété de Master Eric et Maître Mickaël. Il fait aussi ce que les Visiteurs demandent. Ce n'est pas un mâle mais une sous-merde, et il doit être traité comme tel. À la disposition de tous les Maîtres et slaves au Téléphone, en Web-cam sur Smboy ou Skype... Prises de photo et rapports publiés ensuite sur le blog sous le contrôle de ses Maîtres.
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