Le blog de Bâstard a KC Sous merde n°411-103-335

Bienvenu sur le blog de Bâtard a KC : Sous merde N° 411-103-335. Sous le contrôle de ses Masters, il doit faire ce qui est demandé sans rechigner. N’hésitez pas à laisser des commentaires sur les différents articles qu'il publie sous les ordres de ses Masters.
Il fait aussi ce que les males demandent de faire après avoir reçu la validation de ses Masters. Ce n'est pas un male mais un slave, une sous-merde, un bâtard et il doit être traité comme tel.
Sous cage de chasteté, seuls ses Maîtres décident de ses jouissances afin de le purger de son jus pourris qui ne sert à rien.
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Notre slave est a dispos de tous mâles souhaitant l'utiliser et autres en Cam ou réel aussi avec prises de photos et rapports ensuite publiés sur le blog. Même les soumis peuvent l'utiliser car son statut est inférieur à eux et leur doit respect et leur obéir aussi

Samedi 29 juillet 6 29 /07 /Juil 14:44

Mercredi 26 juillet.

        La nuit a été longue et douloureuse avec un trou aux enfers, qui ne cessait de mouiller, de jouer avec son invité, le plug N°3. Soit des cauchemars avec des réveilles en sursaut, soit des stages aux toilettes pour calmer ce petit monde composait la nuit du slave. Ma pauvre queue n’était pas, elle non plus au paradis. Les pics martyrisaient le malheureux gland qui, plus il se gonflait, plus il s’empalait sur les pieux et plus cela l’excitait….

01 - Corvée - D - -.-        L’heure du réveil sonnait enfin ! Je me levais, après avoir déjeuné et fait ma toilette, je me préparais à partir au bureau. J’avais mis un jeans, une chemisette, un gilet sans manche et une paire de socquette. Maître Michael avait commandé, à mon grand regret, que je reprenne la corvée hebdomadaire tous les mercredis. Au préalable, j’avais installé le plug N°4 après avoir calmé l’anneau intérieur avec un suppositoire et bloqué le tout grâce à la ceinture. J’en prenais en réserve dans une poche pour le travail.

        Le premier anneau avait gobé la boule supérieure du plug avant de partir. Je me rendais à mon travail. À chaque pas, je le sentais tenter de faire de même, sans succès, avec la seconde boule. Il montait et redescendait malgré le suppositoire que j’avais posé. De même pour la cage, les picots empalaient mon malheureux gland. Plus ils pénétraient et plus02 - Corvée - D - -.- cela excitait ma pauvre queue. J’arrivais enfin à destination. Je saluais les collègues et je prenais place à mon bureau. La veille, j’avais préparé le marqueur dans le tiroir supérieur. Je le rangeais dans la poche de la chemisette. En m’asseyant, je sentis le plug 03 - Corvée - D - -.-pénétrer un peu plus profondément dans le côlon. Quand mon trou redoublait de vigueur, je bloquais ma respiration pour éviter tout gémissement. J’essayais difficilement de me concentrer sur mon travail. En milieu de matinée, je me décidais à me rendre aux toilettes pour réaliser la corvée hebdomadaire. Je pourrai renouveler le suppositoire afin de tenir jusqu’à la04 - Corvée - D - -.- pause de midi car l’invité était en train, de plus en plus, exciter mon malheureux trou. Je jetais un œil au couloir et ne voyant personne à l’horizon, je me décidais à me lever. Chaque pas que je devais faire pour atteindre les toilettes, augmentait le calvaire de ma queue et de mon cul ! Je refermais la porte derrière moi. Je posais le marqueur et le portable sur la tablette. Je me déshabillais et posais mes affaires sur le bord du lavabo. Je prenais le marqueur à contre-cœur et je notais la date du jour : 05 - Corvée - D - -.- "Mercredi 26 juillet 2017." Après avoir pris un cliché, je relevais la lunette des toilettes et je vidais ma vessie.

06 - Corvée - D - -.-        Heureusement la ceinture maintenait le plug car l’anneau ne cessait de jouer avec. Avant de m’en occuper, je prenais des photos de la médaille que j’avais mise sur le devant et de la prison de ma queue. Je posais le portable à terre et je m’accroupissais. Je déplaçais légèrement le bloc-plug pour libérer celui-ci. Mon trou poussait tellement que je devais le tenir pour ne pas l’expulser d’un coup. Je prenais un suppositoire dans la poche de la veste que je présentais à ma petite fleur. Je le faisais pénétrer pour qu’il atteigne l’anneau. Je reprenais le plug et le présentais à mon petit trou qui se mis à pousser. La première boule pénétrait. Je sentis ma pauvre queue se gonfler encore plus et les pics empaler mon malheureux gland. Ces différentes piqûres avaient pour conséquence de l’exciter et d’augmenter07 - Corvée - D - -.- l’envie d’une érection contrariée par sa prison. Je poussais pour faire pénétrer le convive et qu’il reprenne sa place. Je ressentais de plus en plus les picots martyriser mon pauvre appendice. Je repositionnais la ceinture pour tenir ce petit monde.

 08 - Corvée - D - -.-  09 - Corvée - D - -.-

 10 - Corvée - D - -.-  11 - Corvée - D - -.-

 12 - Corvée - D - -.-  13 - Corvée - D - -.-

 14 - Corvée - D - -.-  15 - Corvée - D - -.-

16 - Corvée - D - -.-        Je me relevais et je prenais un nouveau cliché de pieds du slave. La cage suppliciait de plus en plus ma queue. Je n’arrivais pas à la calmer. Chaque pic qui pénétrait dans le gland, l’excitait un peu plus. Elle était tellement compressée, qu’elle tentait de sortir par les petits trous de coté. Le gland emplissait le bout de celle-ci où les pics se situent. Plus ils l’empalaient et plus j’essayais en vain de bander. J’avais de plus en plus envie de pouvoir me masturber et enfin jouir. C’est devenu une telle obsession que la nuit j’en fais des cauchemars. Plusieurs fois le matin, je me réveillais avec une tache au drap. Je maudissais de ne pas avoir pu plus en profiter car ce n’était qu’un vague souvenir. Parfois, le jus coulait encore sur la cuisse ce qui augmentait ma frustration et mon humiliation d’être contraint à l’abstinence depuis si longtemps. Lorsque j’avais toutes les preuves dans mon téléphone, je me rhabillais avec17 - Corvée - D - -.- ces pensées en tête. Chaque jour j’espère  que mes Masters me convoque pour enfin pouvoir vidanger mes couilles débordantes. Je replaçais le marqueur et le téléphone dans les poches frontales. Discrètement, j’ouvrais la porte et n’entendant pas de bruit, je retournais à mon poste. Mon trou se calmait progressivement mais mon gland maltraité maintenait une érection contrariée.


        Je dois remercier mes Maîtres pour faire reculer mes limites et pour continuer à suivre le slave que je suis. Eux seuls savent ce qui est bon ou non pour un bâtard comme moi. C’est pourquoi ils ont toujours raison !

 

Merci à mes Masters !

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Labeurs Journaliers - Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
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