Samedi 29 juillet
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14:44
Mercredi 26 juillet.
La nuit a été longue et douloureuse avec un trou aux enfers, qui
ne cessait de mouiller, de jouer avec son invité, le plug N°3. Soit des cauchemars avec des réveilles en sursaut, soit des stages aux toilettes pour calmer ce petit monde composait la nuit du
slave. Ma pauvre queue n’était pas, elle non plus au paradis. Les pics martyrisaient le malheureux gland qui, plus il se gonflait, plus il s’empalait sur les pieux et plus cela
l’excitait….
L’heure du
réveil sonnait enfin ! Je me levais, après avoir déjeuné et fait ma toilette, je me préparais à partir au bureau. J’avais mis un jeans, une chemisette, un gilet sans manche et une paire de
socquette. Maître Michael avait commandé, à mon grand regret, que je reprenne la corvée hebdomadaire tous les mercredis. Au préalable, j’avais installé le plug N°4 après avoir calmé l’anneau
intérieur avec un suppositoire et bloqué le tout grâce à la ceinture. J’en prenais en réserve dans une poche pour le travail.
Le premier anneau avait gobé la boule supérieure du plug avant de
partir. Je me rendais à mon travail. À chaque pas, je le sentais tenter de faire de même, sans succès, avec la seconde boule. Il montait et redescendait malgré le suppositoire que j’avais posé.
De même pour la cage, les picots empalaient mon malheureux gland. Plus ils pénétraient et plus cela excitait ma pauvre queue. J’arrivais enfin à
destination. Je saluais les collègues et je prenais place à mon bureau. La veille, j’avais préparé le marqueur dans le tiroir supérieur. Je le rangeais dans la poche de la chemisette. En
m’asseyant, je sentis le plug pénétrer un peu plus profondément dans le côlon. Quand mon
trou redoublait de vigueur, je bloquais ma respiration pour éviter tout gémissement. J’essayais difficilement de me concentrer sur mon travail. En milieu de matinée, je me décidais à me rendre
aux toilettes pour réaliser la corvée hebdomadaire. Je pourrai renouveler le suppositoire afin de tenir jusqu’à la pause de
midi car l’invité était en train, de plus en plus, exciter mon malheureux trou. Je jetais un œil au couloir et ne voyant personne à l’horizon, je me décidais à me lever. Chaque pas que je devais
faire pour atteindre les toilettes, augmentait le calvaire de ma queue et de mon cul ! Je refermais la porte derrière moi. Je posais le marqueur et le portable sur la tablette. Je me déshabillais
et posais mes affaires sur le bord du lavabo. Je prenais le marqueur à contre-cœur et je notais la date du jour : "Mercredi 26 juillet 2017." Après avoir pris un
cliché, je relevais la lunette des toilettes et je vidais ma vessie.
Heureusement la
ceinture maintenait le plug car l’anneau ne cessait de jouer avec. Avant de m’en occuper, je prenais des photos de la médaille que j’avais mise sur le devant et de la prison de ma queue. Je
posais le portable à terre et je m’accroupissais. Je déplaçais légèrement le bloc-plug pour libérer celui-ci. Mon trou poussait tellement que je devais le tenir pour ne pas l’expulser d’un coup.
Je prenais un suppositoire dans la poche de la veste que je présentais à ma petite fleur. Je le faisais pénétrer pour qu’il atteigne l’anneau. Je reprenais le plug et le présentais à mon petit
trou qui se mis à pousser. La première boule pénétrait. Je sentis ma pauvre queue se gonfler encore plus et les pics empaler mon malheureux gland. Ces différentes piqûres avaient pour conséquence
de l’exciter et d’augmenter l’envie d’une érection contrariée par sa prison. Je
poussais pour faire pénétrer le convive et qu’il reprenne sa place. Je ressentais de plus en plus les picots martyriser mon pauvre appendice. Je repositionnais la ceinture pour tenir ce petit
monde.
Je me relevais
et je prenais un nouveau cliché de pieds du slave. La cage suppliciait de plus en plus ma queue. Je n’arrivais pas à la calmer. Chaque pic qui pénétrait dans le gland, l’excitait un peu plus.
Elle était tellement compressée, qu’elle tentait de sortir par les petits trous de coté. Le gland emplissait le bout de celle-ci où les pics se situent. Plus ils l’empalaient et plus j’essayais
en vain de bander. J’avais de plus en plus envie de pouvoir me masturber et enfin jouir. C’est devenu une telle obsession que la nuit j’en fais des cauchemars. Plusieurs fois le matin, je me
réveillais avec une tache au drap. Je maudissais de ne pas avoir pu plus en profiter car ce n’était qu’un vague souvenir. Parfois, le jus coulait encore sur la cuisse ce qui augmentait ma
frustration et mon humiliation d’être contraint à l’abstinence depuis si longtemps. Lorsque j’avais toutes les preuves dans mon téléphone, je me rhabillais avec ces pensées
en tête. Chaque jour j’espère que mes Masters me convoque pour enfin pouvoir vidanger mes couilles débordantes. Je replaçais le marqueur et le téléphone dans les poches frontales.
Discrètement, j’ouvrais la porte et n’entendant pas de bruit, je retournais à mon poste. Mon trou se calmait progressivement mais mon gland maltraité maintenait une érection contrariée.
Je dois remercier mes Maîtres pour faire reculer mes limites et
pour continuer à suivre le slave que je suis. Eux seuls savent ce qui est bon ou non pour un bâtard comme moi. C’est pourquoi ils ont toujours raison !
Merci à mes Masters !
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