Le blog de Bâstard a KC Sous merde n°411-103-335

Bienvenu sur le blog de Bâtard a KC : Sous merde N° 411-103-335. Sous le contrôle de ses Masters, il doit faire ce qui est demandé sans rechigner. N’hésitez pas à laisser des commentaires sur les différents articles qu'il publie sous les ordres de ses Masters.
Il fait aussi ce que les males demandent de faire après avoir reçu la validation de ses Masters. Ce n'est pas un male mais un slave, une sous-merde, un bâtard et il doit être traité comme tel.
Sous cage de chasteté, seuls ses Maîtres décident de ses jouissances afin de le purger de son jus pourris qui ne sert à rien.
N'hésitez pas à laisser des commentaires dans les différents articles publiés ici par notre slave ou nous même. Ça l'humilie encore plus. Le site ayant un bug, vous pouvez lui envoyer vos commentaires qu’il nous fera suivre. Son adresse est bastardakc@hotmail.fr ou en suivant ce lien
Notre slave est a dispos de tous mâles souhaitant l'utiliser et autres en Cam ou réel aussi avec prises de photos et rapports ensuite publiés sur le blog. Même les soumis peuvent l'utiliser car son statut est inférieur à eux et leur doit respect et leur obéir aussi

Les Consignes

Lundi 24 septembre 1 24 /09 /Sep 06:30

Malaise à domicile.

 

        Jeudi matin, en faisant ma toilette dans la salle de bain, je faisais un malaise. Je restais un certain temps sur le sol. Quand j'avais enfin repris conscience, je téléphonais à ma doctoresse car, le jeudi, elle fait des consultations à domicile. Elle m'annonçait qu'elle arrivait de suite étant en route pour son premier rendez-vous et se trouvant proche de mon domicile. Me regardant dans la miroir, je réalisais que j'avais les attributs du slave sur moi. J'enlevais précipitamment le collier que je cachais entre deux serviettes de toilette. Je me rendais en cuisine pour prendre les clefs du cadenas de la cage qui se trouve dans un bloc de glace au congélateur. J'allais le prendre quand on sonna à la porte. C'était déjà le médecin qui arrivait. J'enfilais rapidement mon pantalon et j'allais lui ouvrir torse nu. Heureusement pour moi, je n'avais pas encore fait les inscriptions du jour. Assis sur le canapé, elle me prenais la tension qui était basse. Elle m'annonçait que je faisais une hypotension et que je devais me rendre aux urgences de l'hôpital pour plus d'examens. 05 - Présent. - D - -.-Elle appelait les pompiers qui arrivaient une dizaines de minutes plus tard. Ils m’emmenèrent et j'étais pris en main par le service médicale. Le plus compliqué a été de me déshabiller en dissimulant tant que possible la cage. Mon palpitant battait à tout rompre. J'avais l'impression qu'il allait défoncer ma cage thoracique. Je me sentais honteux et humilié avec cette maudite cage. Me retrouvant seul, un instant, dans un boxe, j'en profitais pour ôter le jeans et mettre leur blouse. Le médecin ordonnait une prise de sang après avoir repris ma tension toujours basse. J'allais rester 24 heures aux urgences en observation. Le vendredi matin, mon cardiologue et mon chirurgien passaient me voir. Ils m'annonçaient que ce n'était qu'une baisse de tension lié certainement à de la fatigue car j'avais demandé à reprendre le travail à plein temps contre leur avis. Ils me faisaient un arrêt de trois jours. Les documents pour une reprise à mi-temps pendant trois mois comme ils avaient préconisés début septembre à ma sortie et que j'avais refusé. Un rendez-vous était pris pour décembre, juste avant les fêtes pour décider de la suite à donner. Un ambulancier arriva pour me ramener chez moi. Je me rendais au bureau pour apporter les certificats médicaux au directeur. Nous nous mettions d'accord pour mes prochains horaires. Je travaillerai le lundi au bureau toute la journée. Le mercredi, je continuerai le suivi des familles à domicile. Le vendredi matin, je compléterai mes heures manquantes de la semaine pour arriver à 17h30 hebdomadaire. Je retournais chez moi avertir mes Masters qui réclamèrent un mot explicatif sur le blog et une photo du slave à genoux dans ses toilettes, cuisses écartées, mains sur la tête et porte ouverte. Ce dernier commandement était de nouveau humiliant et dégradant. Ce cliché allait compléter l'explication de mes déboires ci-dessus.

        Je prie mes Masters, les Maîtres et les Visiteurs du blog de bien vouloir me pardonner pour ce contre temps et cette modification de mes horaires de travail.

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Mercredi 20 septembre 3 20 /09 /Sep 20:35

À l'hôpital :

        Après concertation de mes masters, Maître Michael me faisait part de leurs consignes pour mon hospitalisation. Je dois me rendre à l'hôpital avec mes attributs, le collier et sa médaille, le plug qui tient seul, pour le cadenas de la cage, les instructions viendront plus tard.

     À l'hôpital :

  • Le port du plug sera permanent sauf pendant l'intervention. Le slave le remettra en place dès son retour en chambre.
  • Le bâtard doit dormir avec seulement son short blanc. il doit faire une photo dans la chambre en tenue de nuit.
  • La sous-merde devra entretenir en permanence son rasage intégral.

        Pendant l'hospitalisation il est interdit au slave de se toucher, se masturber et jouir.... Pour uriner il devra toujours le faire assis sur la faïence les jambes écartées.

        Pour sa sortie, avant de partir de la chambre, le slave doit mettre la petite cage métallique avec un plug urétral, un cadenas métal, le cock-ring métal pour tenir plus facilement la ceinture, le plug N° 03 qui tient seul et remettre le collier et sa médaille.

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Dimanche 16 juillet 7 16 /07 /Juil 19:28

Récupération du matos.

        J’avais du descendre à la cave mes jouets comme j’avais régulièrement la visite des autorités pour régler mon problème. Maître Michael donnait ses instructions et une nuit je me décidais à chercher ma mallette. Suivant ses commandements j’enfilais seulement le short blanc. J’ouvrais la porte de l’appartement très discrètement et je regardais par le judas si personne n’était dans le couloir. Il était éteint. Je me décidais à sortir et mon cœur se mit à battre de plus en plus fort. J’appelais l’ascenseur. Le temps qu’il monte, je sentais les pics de la cage maltraiter mon pauvre gland. Je devais essayer de bander mais celle-ci contrariait mon érection et faisait pénétrer les picots plus profondément. Plus ils pénétraient et plus cela m’excitait et faisait gonfler ma queue. Les portes de l’ascenseur s’ouvrirent et je montais. J’appuyais sur le –1 et il commença à descendre. Je prenais mon portable pour faire le premier cliché. J’enlevais mon short à contre-cœur et en espérant que personne ne se trouvait dans les sous-sols. Je prenais un nouveau cliché.

  01 - Cave - D - -.-    02 - Cave - D - -.-

        Je sortais et déposais devant la porte le short. Je me rendais à ma cave qui se trouve être une des plus éloignées. Mon cœur battait la chamade et ma pauvre queue continuait à être martyrisée. J’ouvrais la porte de ma cave et je cherchais un plug, du lubrifiant et la ceinture. je relançais la minuterie et je m’installais dans le couloir devant la porte de ma cave. je commençais par installer la ceinture autour de la taille pour n’avoir plus qu’à la faire tenir sur le cockring en caoutchouc. Je présentais le plug N°4. mon malheureux trou n’avait plus été travaillé depuis plus de trois mois et je dus forcer pour arriver à le mettre en place. J’avais le cul explosé et mon trou se mit de suite à pousser. Je sentais le premier anneau tenter de monter en vain sur la première boule. Avec difficulté, je clipsais les bouts du bloc-plug à l’anneau. Comme le diamètre est plus petit que celui en métal, je forçais pour arriver à fermer le bouton-clips. L’invité en place et bloqué torturait de plus en plus mon pauvre cul.

  03 - Cave - D - -.-   04 - Cave - D - -.-

  05 - Cave - D - -.-   06 - Cave - D - -.-

  07 - Cave - D - -.-   08 - Cave - D - -.-

09 - Cave - D - -.-        La lumière s’éteignit et je relançais la minuterie. Je prenais en photo les attributs du slave : la ceinture et son plug, la cage de chasteté et le collier que je retournais pour avoir les deux faces. Je m’empressais à sortir la mallette et je refermais à10 - Cave - D - -.- clef la porte de la cave. Je revenais à l’ascenseur et remettais le short qui traînait par terre. La porte s’ouvrait et je me pressais de monter. J’appuyais sur mon étage. Quand il s’arrêtait, je sortais avec mon matériel et à la lueur de l’ascenseur je gagnais mon logement ! J’ouvrais délicatement la porte et je me précipitais dedans. Je refermais la porte à clef en poussant un "Ouf" de soulagement. J’avais de plus en plus mal au cul et ma queue était torturée par la cage. Mon palpitant n’avait pas cessé de battre la chamade.

 

        Merci à mes Masters de continuer à parfaire mon éducation pour leurs plaisirs.

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Dimanche 19 février 7 19 /02 /Fév 12:10

IRM :

         La veille, en rentrant chez moi, j’essayais d’effacer la date de la corvée du jour. Ayant eu un problème, j’avais dû faire une inscription beaucoup plus grosse qu’à l’habitude. Après un premier nettoyage le midi, il restait des traces malgré le scotch-britch et le savon. Je recommençais l’opération, le soir, sans pouvoir tout faire disparaître. Ce jeudi matin, en prenant ma douche, je renouvelais l’opération pour arriver à effacer, enfin, toutes les traces. En faisant ma toilette, je maudissais ce marqueur rebelle. Je me promettais de faire plus attention à l’avenir et de ne plus jamais écrire aussi gros et trop de mots. Pour la matinée au bureau, j’avais placé dans mon petit trou le plug N° 06. Ma pauvre rondelle était plus que dilaté car la base était juste à la limite ! Devant prendre ma voiture pour me rendre à l’hôpital, l’après-midi, après avoir déjeuné, je le remplaçais avec le N° 04. Je m’apprêtais à partir et suivant les instructions, je disposais dans ma sacoche, le short blanc, le lubrifiant et la clé pour ouvrir le collier. Je préparais mes papiers et ma prescription médicale. J’enfilais ma veste, mon bonnet, mon écharpe et mes gants comme le froid sibérien persistait. Le thermomètre n’arrivait pas à atteindre les - 5°C au plus chaud de la journée.

        Je partais en avance car je devais gratter le givre sur la voiture bien que l'on soit à la mi-journée. Malgré le froid ambiant, le plug jouait toujours avec mon petit trou et l’anneau du côlon en faisait autant avec les deux boules. Mon malheureux gland était, lui aussi, martyrisé et embroché par les pics de la maudite cage de chasteté. Ces empalements continues, l’excitait et provoquait une érection continue mais contrarié par cette détestable dernière. Je mettais le chauffage au maximum. Lorsque les vitres et le pare-brise étaient dégagés, je démarrais. Heureusement que j’étais parti en avance car la circulation était intense. Elle était aussi perturbée, soit par les engins municipaux de salage, soit par le plug qui stimulait ma petite fleur, soit par la cage qui enflammait mon pauvre gland avec des érections contrecarrées par celle-ci. J’arrivais à destination et j’utilisais la première place de stationnement que je trouvais.

01 - IRM - D - -.-        Arrivé dans le hall d’entré, je me dirigeais vers les toilettes pour enlever les attributs du slave que je rangeais dans ma sacoche et je préparais le short. Après m’être présenté à la secrétaire, j’attendais mon tour dans la salle d’attente. Un aide soignant venait me chercher après une quinzaine de minutes de patience. Il me faisait entrer dans une des cabines en me demandant de me mettre en sous-vêtement et en 02 - IRM - D - -.-m’annonçant que le médecin allait venir me voir. Je m’empressais à sortir le short de la sacoche. J’enlevais en premier mes chaussures et mon pantalon pour pouvoir l’enfiler avant qu’une nouvelle personne ne vienne et me voit avec cette maudite cage. Mon cœur se mit à battre la chamade et mes mains tremblaient d’appréhension. Je posais rapidement le jeans sur le dossier de la chaise et encore plus rapidement, j’enfilais le short. Je poussais, intérieurement, un "Ouf !!!" de soulagement. Malheureusement, les pics continuaient d’empaler mon pauvre gland, ce qui l’excitait et provoquait une maudite érection contrariée. Je maudissais, une nouvelle fois, les instructions humiliantes et dégradantes que j’avais reçu pour ces examens ! Je continuais à ôter mes pulls et mon maillot de corps. J’étais en train de ranger ce dernier sur la chaise lorsqu’une personne frappait à la porte et entra.

03 - IRM - D - -.-        Elle se présentait, c’était le médecin. Il m’invitait à m’asseoir et il en faisait autant sur un tabouret. Il avait besoin de renseignements que je lui donnais. Il m’annonça, à ma grande joie, que je pouvais remettre le pantalon mais en enlevant la ceinture et ce qu’il y avait dans les poches pour qu’il n’y ait pas de métal. Le 04 - IRM - D - -.-questionnaire terminé, il m’avisait qu’un technicien allait venir me chercher dans un instant. Rapidement et avec un grand soulagement, je prenais le pantalon que je m’empressais de le remettre. Je déposais la ceinture sur le siège avec le contenue des poches.

        Une troisième personne me faisait entrer dans une pièce où la température était un peu fraîche. J’appréciais d’avoir pût remettre mon jeans. Il débutait par me mettre une charlotte. Ensuite, il me proposait de m’allonger sur la table avec la tête sur un emplacement spécifique. Comme la séance serait bruyante, il m’installait un casque avec de la musique. Il m’expliqua qu’il allait baisser une grille, de ne pas prendre peur. Effectivement, une protection grillagée, comme les footballeurs américains ont sur leurs casques, venait d’être placé sur mon visage. Il y avait un petit miroir qui me permettait de voir mes jambes. Le programme d’une 05 - IRM - D - -.-émission radio se diffusait dans les écouteurs. Un bruit sourd se fit entendre quand l’examen démarra et étouffait la musique émise. Je restais ainsi allongé une petite demi-heure quand, avec soulagement, le brouhaha cessa. La musique stoppa aussi et un silence bruyant les remplaça. J’étais toujours prisonnier de ce masque, allongé sans pouvoir bouger.

        Le technicien releva la grille et enleva le06 - IRM - D - -.- casque. Mes oreilles continuaient de bourdonner de ce silence assourdissant. Il fut stoppé quand la personne me proposa de me relever. Elle me raccompagna à ma cabine et elle m’invita à me rhabiller en attendant le médecin. Je m’aperçus  que mes battements de cœur étaient toujours aussi rapide et résonnaient dans mes oreilles. Je refermais la porte derrière moi et je me rhabillais rapidement comme je n’avais que les 07 - IRM - D - -.-bricoles posées sur la chaise, la ceinture et le haut à remettre. Je renfilais ma veste et mon écharpe. Mes gants et mon bonnet, je les laissais en attente dans ma sacoche. Le médecin entra après avoir frappé à la porte et me donnait un premier compte rendu favorable de cet examen. Après s’être salué, je prenais mon sac à l’épaule et je sortais. Au passage, je souhaitais une bonne journée à la secrétaire et je retournais aux toilettes.

08 - IRM - D - -.-        Elles étaient toutes occupées. J’allais faire un petit tour dans le hall d’accueil et je revenais quelles que minutes plus tard. Une porte était entrouverte. J’entrais après avoir vérifié qu’il n’y avait personne et je la refermais à clef. Une nouvelle fois, je posais le téléphone sur le lave-mains et je sortais les attributs du slave de la sacoche. Sur le lavabo, je posais le collier, le lubrifiant, le plug, le harnais, je le déposais sur 09 - IRM - D - -.-le carrelage. J’accrochais aux patères de la porte, le sac et mes vêtements au fur et à mesure que je me déshabillais une nouvelle fois. Lorsqu’il ne me restait plus que mes chaussettes qui me protégeaient que très légèrement du froid glacial du carrelage et le short blanc, je le prenais en photo avec le portable. À regret, je l’enlevais et je prenais des clichés de la maudite cage qui, avec ses pics détestables, empalent mon 10 - IRM - D - -.-malheureux gland. Cette torture inhumaine l’excitait et provoquait une érection continue et contrariée par cette horrible prison qui enchâsse mon pauvre pénis et lui empêche toute masturbation et toute éjaculation. Il condamne mon sexe à une abstinence inhumaine de près de sept mois !!! Cette prise de vue permettra aux Masters et aux visiteurs de constater que le maudit cadenas est toujours le même.

11 - IRM - D - -.-        Je lubrifiais légèrement le plug que je présentais à mon petit trou. Progressivement il l’ouvrait et pénétrait dans le côlon jusqu’à ce qu’il bute contre le premier anneau. Après une nouvelle pression, celui-ci gobait la boule supérieure et ma petite fleur en faisait autant avec ce nouvel invité. Ayant oublié de mettre le harnais pour que ce convive ne bouge plus, je l’enfilais à la hâte. Je continuais, tout ce temps, à prendre des clichés comme ordonnés par les Masters. Après un instant, je m’apercevais que les sangles de la poitrine n’étaient pas correctement mises. Je les réajustais et je tenais les dernières photos.

        Quand tous les attributs du slave étaient en place, je me rhabillais une nouvelle fois. Je me lavais les mains et je me les 12 - IRM - D - -.-séchais. Je rangeais dans le sac le reliquat sur le lave-mains, le lubrifiant, la clef du collier et le short blanc. Le téléphone regagnait la poche frontale de la sous-veste. J’enfilais mon bonnet, mon écharpe, ma veste et mes gants. Par principe et pour que l’on ne puisse pas se poser des questions sur mon passage aux toilettes, je tirais la chasse d’eau, je baissais la lunette et le couvercle. Je vérifiais une dernière fois les lieux avant d’ouvrir et de sortir. Je regagnais ma voiture pour retourner terminer ma journée au bureau.

 

        Pour une fois, cet examen s’est mieux déroulé et surtout moins humiliant dégradant et avilissant malgré le port de la cage. Il y en 13 - IRM - D - -.-a encore un qui, je le crains, ne se déroulera pas aussi bien qu’aujourd’hui…. Je n’ai pas encore terminé de maudire les instructions des Maîtres et les commentaires des visiteurs. Tout de même merci à mes Masters pour cette nouvelle étape.

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Vendredi 27 janvier 5 27 /01 /Jan 12:10

À l’hôpital :

01 - Doppler - D - -.-        Le lundi 23 janvier, j’avais rendez-vous à l’hôpital pour un doppler des artères. Après renseignements, j’avais informé mes Maîtres que je devrais être en sous-vêtements. Ils m’avaient donné leurs instructions publiées le vendredi 13 janvier sous la rubrique "Les consignes". Comme toutes les nuits j’avais fait des cauchemars en alternance avec des insomnies à cause des invités ! Le plug n’avait cessé de jouer avec la petite fleur et son anneau. Mon malheureux gland de se faire empaler par les pics de la cage, ce qui l’excitait et provoquait des érections contrariées par cette dernière ! Je me levais crevé avec une frustration grandissante, un peu plus chaque matin. Une impatience grandissante m’envahis, chaque matin, un peu plus avec une obsession croissante de faire tomber cette maudite prison, de pouvoir me masturber et finalement jouir afin de vidanger mes malheureuses couilles débordantes.

        Je me faisais un café en espérant que ce tourment cesse un temps. Je passais à la salle de bain où je prenais une bonne douche 02 - Doppler - D - -.-et je faisais un nettoyage à fond de la geôle. Après m’être séché, je repositionnais les attributs du slave. Je me connectais pour saluer mes Masters. Seul Maître Michael était en ligne ce matin. Je discutais un bref moment avec lui et nous nous saluions en nous souhaitant une bonne journée réciproquement. Je m’habillais pour partir suffisamment tôt afin de me préparer dans les toilettes du centre hospitalier. Dès que le plug N°04 a été remis en place, il se remit à 03 - Doppler - D - -.-jouer avec ses hôtes et la cage en fit autant avec son prisonnier. J’enfilais mon bonnet, mon écharpe, ma veste et mes gants. Je partais 40 minutes en avance de chez moi pour me rendre à l’hôpital.

        Quand je sortais de mon domicile, un froid sibérien cinglait mon visage. Ma voiture était couverte de givre. Je démarrais mon véhicule. Je branchais le chauffage au maximum. Je prenais une raclette et je grattais la glace sur les vitres et le par-brise de ma voiture. Heureusement que j’avais pris de la marge car la circulation était intense à cause du froid glacial qui régnait, -8°C à –12°C ce matin ! La froidure régnante avait provoqué la fermeture provisoire de certains tronçons de lignes de bus ce qui provoquait une augmentation, non négligeable, de la circulation. Elle avait aussi calmé pour un temps tous mes convives !

        J’arrivais enfin à destination en mettant plus du double du temps habituel. Lorsque je rentrais dans le hall, il ne me restait moins de 5 minutes. Je passais rapidement dans les toilettes pour 04 - Doppler - D - -.-enfiler le short blanc et ôter tous les attributs du slave. Je les rangeais dans ma sacoche et je montais à ma consultation. La secrétaire m’attendait. Elle prit ma carte pour remplir mon dossier et je passais un instant dans la salle d’attente. Lorsque l’infirmière était venue me chercher un malaise envahissait tout mon être ! C’était une des soignantes présentes en cardiologie lors de la pose du MAPA fin novembre. Elle me souhaitait ses meilleurs vœux 05 - Doppler - D - -.-avec un grand sourire. Je les lui rendais mais moins enthousiaste ! Mon cœur se mit à battre de plus en plus rapidement et je sentais le sang affluer à la tête ! Je devais rougir comme une tomate bien mûre ! De tout mon corps, un grand malaise transparaissait.

        Elle me faisait entrer dans une pièce de consultation où un très jeune médecin travaillait à son bureau. L’infirmière m’expliquait comment l’examen se déroulerait avec un petit sourire en coin. Elle m’invita à me déshabiller et me mettre en sous-vêtements en me montrant une chaise près de la porte pour poser mes affaires. Pendant ce temps, elle échangeait avec le docteur. J’accrochais ma sacoche et je me déshabillais en rangeant mes vêtements pliés dur le dossier du siège. J’allais ôter mes chaussures pour déposer mon pantalon lorsque l'infirmière sortit de la salle. Je terminais de me dévêtir et je m’assaillais sur le bord du fauteuil en attendant le début de l’examen.

        Le praticien devait avoir moins de 30 ans ! Il avait les traits fin, un visage ovale et de fines mains. Mon palpitant battait de plus 06 - Doppler - D - -.-en plus rapidement ! Une angoisse incompréhensible emplissait tout mon corps. Je me sentais de plus en plus mal à l’aise et un sentiment de frustration emplissait mon être. L’échographiste se leva et vint me saluer en s’excusant de l’attente. Il m’invitait à m’allonger sur la table d’auscultation et m’expliquait qu’il allait réaliser une échographie des artères de mes hanches, de mes jambes et de mon coup. Le temps qu’il prépare son matériel il fit la réflexion que ce n’était pas nécessaire de me raser complètement pour cet examen ! La séance débutait sous de mauvais augures ! Je commençais à être mal à l’aise et je détournais la tête.

        Il lubrifiait abondamment sa sonde et débutât son travail par les hanches. Il re-lubrifiait son appareil et continuât par la jambe droite qu’il demandât de plier légèrement pour la poser correctement sur la table. Il commençait par l’aine en remontant le short un maximum. Heureusement la cage se trouvait sur l’autre cuisse !  Il descendit tout le long de la jambe en suivant l’artère. Mon palpitant qui s’était, un temps calmé, se remit à s’accélérer ! Quand il eut terminé, il m’avertit qu’il passait sur l’autre jambe, en demandant de la 07 - Doppler - D - -.-positionner de la même manière, tout en lubrifiant son appareil.

        Je m’exécutais et discrètement, je tirais sur le seul vêtement qu’il me restait pour dissimuler un minimum la geôle. Mes craintes n’allais pas tarder à se réaliser ! Ma jambe gauche était légèrement plié et posé sur la table. J’évitais de regarder le médecin tellement mon mal-être augmentait. Pour continuer, il relevât, comme précédemment, le short et la cage apparut dans toute sa splendeur. Mon palpitant battait à tout rompre et voulait s’enfuir de la cage 08 - Doppler - D - -.-thoracique où il était, lui-même, emprisonné ! Un grand sourire narquois rayonnait son visage. Il me demandait :

  • -    "Très joli votre cage de chasteté…. C’est une maîtresse ou un maître qui vous l’a posée ? Je ne veux pas vous mettre mal à l’aise si cela vous dérange !"

     C’était trop tard ! Non seulement je me sentais mal et attendais un instant pour lui répondre, le temps de me calmer un peu. 09 - Doppler - D - -.-Honteux, humilié et frustré, je lui répondais avec angoisse et mal-être mais, tout de même content, que l’infirmière soit partie !

  • -    "Ce n’est que mon amie qui la met lorsqu’elle doit s’absenter…. 
  • -    Pas très sympa de sa part, vous ne pouvez plus vous masturber…. Vous devez d’autant mieux apprécier lorsqu’elle revient et vous l’enlève ?
  • -    Tout à fait ! Heureusement ce n’est que ponctuel et elle ne l’a met que de temps en temps….
  • 10 - Doppler - D - -.--    Vous êtes mal à l’aise ? Je vois votre cœur s’emballer ! Il n’y a pas de quoi avoir honte !
  • -    Non, pas du tout !"

        Ma réponse ne dut pas le satisfaire car il eut un sourire encore plus large et qui voulait en dire d’autant plus que tout ce qu’il aurait pu prononcer ! J’étais suffisamment humilié, frustré et avilis par cet échange que je ne savais plus quoi répondre. Ne pouvant  plus lui révéler la vérité, je continuais dans mon mensonge. Le 11 - Doppler - D - -.-praticien dut s’en apercevoir aussi car, à ma grande satisfaction, il continua son travail sans mot dire mais le mal était fait ! Je craignais qu’il en parle ensuite à l’infirmière à qui j’avais répondu à peut près la même chose. Il termina son examen par mon coup. Il me positionnait la tête pour réaliser la fin de son travail.

        Quand il a eu terminé, il me donnait du papier absorbant pour que je m’essuie. Il m’autorisa à me rhabiller pendant qu’il m’expliquait le résultat de son expertise. Il terminait en rédigeant une prescription pour 12 - Doppler - D - -.-réaliser un nouveau scanner en injectant un produit que je devrais au préalable retirer en pharmacie. Il en faisait une seconde pour une prise de sang, une semaine avant cet examen. Je terminais de me vêtir, content mais tout au tant frustré, dégradé et déshonoré ! Il me tendais les deux prescriptions en me disant :

  • -    "Continuez à bien vous amuser avec votre amie…. Il n’y a pas de mal à se faire du bien, monsieur. Au plaisir et bonne journée….
  • -    Bonne journée docteur."

13 - Doppler - D - -.-        Sur ces mots, mon cœur s’était remis à battre la chamade et je sentais le sang affluer au visage ! Je lui tournais le dos pour éviter qu’il s’en aperçoive après lui avoir serré la main. Je m’enfuyais de ce service honteux, humilié et frustré une nouvelle fois ! Je descendais prendre rendez-vous au scanner. Je demandais à la secrétaire si c’était possible de réaliser cet examen en même temps que celui déjà programmé. Après vérification, elle m’annonçait que ce n’était pas possible car le médecin qui était programmé pour mon premier scanner n’était pas habilité à réaliser celui-ci. Elle me présentait donc une nouvelle date. La première qu’elle pouvait me proposer était le lundi 27 février à 14h30. Je devrais être à jeun depuis plus de 4h00, soit prendre mon déjeuner avant 10h00 car, après 10h30, je n’aurais plus le droit de manger quoi que ce soit.

        Je la remerciais et je me dirigeais vers les toilettes du rez-de-chaussée. Elles étaient toutes occupées. J’allais faire un tour dans le hall avant de revenir les inspecter. Il y en avait une de 14 - Doppler - D - -.-libre et je m’empressais à rentrer. Je refermais la porte à clef et je vérifiais la condamnation de celle-ci. Je sortais tous les attributs du slave que je posais sur le bord du lave-mains et le harnais sur le sol. J’accrochais les vêtements aux patères contre la porte. Je me retrouvais enfin en short blanc que je redescendait pour cacher un peu la geôle et je prenais les premiers clichés avec le téléphone posé sur le lavabo.

        En posant les pieds sur le carrelage, j’avais ressenti le froid monter par la plante des pieds dans mes jambes. Une envie d’uriner s’en suivit ! Pour une fois que je me retrouvais sans attribut, j’en profitais ! Je levais le couvercle des toilettes et, à contre cœur, la lunette. Je m’assaillais et je vidais ma vessie tout en photographiant comme mes Masters me l’avaient, précédemment, commandés. Terminé, je refermais le collier autour du coup et j’enfilais le harnais sans l’attacher à l’anneau-cockrnig. Je devais au préalable mettre en place le plug N°04.

        Je le lubrifiais. Je posais le portable à terre et je 15 - Doppler - D - -.-m’accroupissais. Je prenais une photo de ma petite fleur avant de lui présenter son visiteur. Tout en le faisant pénétrer, je réalisais de nouveaux clichés. Lorsqu’il buttait contre l’anneau, je forçais la pression et il gobât la première boule. Mon trou en faisait autant avec son invité. Je positionnais et je fermais le bloc-plug du harnais à l’anneau. Je prenais un dernier cliché du convive immobilisé. Je boutonnais le devant du harnais avec son cockring. Je recommençais à sentir mon gland empalé sur les pics de sa prison et le nouvel hôte jouer avec l’anneau et sa petite fleur…. Je maudissais pour la énième fois les instructions de mes Maîtres et les commentaires des visiteurs qui réclament des rapports photographiques complets !

        Je réalisais donc, de nouveaux clichés de pieds avec le harnais. Je faisais de même avec la prison de mon malheureux pénis. Enfin terminé, je me rhabillais en oubliant le short blanc que je rangeais dans la sacoche avec le lubrifiant et la clef du collier. Je déposais, dans la poche frontale de ma sous-veste, mon téléphone 16 - Doppler - D - -.-portable avec, à regret, le reportage photographique. Avant de sortir, je baissais la lunette et le couvercle des toilettes. Je tirais la chasse d’eau. Je me lavais les mains et je me les séchais. Je vérifiais que je n’oubliais rien et j’ouvrais la porte. Heureusement que je n’avais pas été dérangé, personne n’attendait et pouvait s’imaginer ce qui venait de se dérouler dans ces toilettes publiques….

 

        Merci à mes Master pour cette nouvelle étape bien que je me sois retrouvé humilié, frustré et avilis d’avoir été ainsi exhibé devant un nouveau médecin ! J’essayais de ne pas trop maudire mes Maîtres et les commentaires des visiteurs qui imposent de plus en plus de servitudes…

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Vendredi 13 janvier 5 13 /01 /Jan 08:31

Pour les prochains examens ou visites

Voici mes prochains R.D.V. :

  1. Mercredi 18 janvier à 08h00 Chez la généraliste :  -> Être en sous-vêtement.
  2. Lundi 23 Janvier à 09h15    Angiologie (Doppler) : -> Être à jeun (seulement 1 café) et en sous-vêtement ou en short.
  3. Jeudi 2 février à 16h15   Scanner :  -> Être en sous-vêtements ou en short et pas de métal.
  4. Mercredi 8 février à 15h30  IRM :   -> Être en sous-vêtements ou en short et pas de métal.
  5. Mercredi 15 février à 08h00 Chez la généraliste : -> Être en sous-vêtement.
  6. Vendredi 17 février à 09h45 ORL :   -> Être torse-nu et à jeun (seulement 1 café).
  7. Lundi 27 février à 14h30 Scanner :   -> Être en sous-vêtements ou en short, pas de métal et à jeun depuis plus de 04h00.


Instructions des Masters pour les visites et examens :

  1. Chez la généraliste :  En boxer blanc et cage silicone.
  2. Angiologie : Short blanc uniquement à mettre en place une fois arrivé dans le bureau de l'angiologue.
  3. Scanner :  Short blanc et cage silicone. Là, tu changes le cadenas métal et tu mets cadenas plastique à la place (photo obligatoire pour contrôle du cadenas plastique avec le numéro). Changement du cadenas et du cockring métallique en Cam la veille sous contrôle de ses Masters.
  4. IRM :   Même tenue que la trois. Short blanc et cage silicone. Entre les rendez-vous 3 et 4 tu ne changes pas le cadenas plastique bâtard.
  5. Chez la généraliste : Boxer blanc cage et plug qui tient tout seul salope.
  6. ORL :   Tu enlèves le harnais et le collier en arrivant à l’hôpital sous-merde.
  7. Scanner :  Short blanc et cage silicone. Entre les rendez-vous 4 et 7 tu ne changes pas le cadenas plastique bâtard.


À chaque fois reportage complet avec photo bâtard !

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Jeudi 15 décembre 4 15 /12 /Déc 08:23

Restitution de la MAPA.

01---MAPA---D----.jpg        Dès que je rentrais chez moi le midi, je passais à la salle de bain pour ôter la date de la corvée hebdomadaire ne sachant pas comment se passerai le rendez-vous de l’après-midi. La veille j’avais du subir une exhibition frustrante, humiliante et dégradante. Je rangeais mon jock-strap dans ma sacoche. J’y introduisais aussi le lubrifiant et la clef pour ouvrir le collier. Je partais de chez moi comme j’avais rendez-vous à 14h00. En marchant, les picots maltraitaient de nouveau mon malheureux gland ce qui l’excitait et essayait de gonfler mon pauvre pénis qui avait une érection contrarié et martyrisé. En m’asseyant dans la voiture, je sentis le plug N° 04 pénétrer un peu plus profondément ce qui excita l’anneau intérieur qui se mit à pousser ! Je démarrais pour me rendre à l’hôpital. Bien que le trajet soit assez court il fut tout de même frustrant et dégradant car, à chaque dos d’âne, l’anneau 02---MAPA---D----.jpgjouait avec son jouet. J’essayais de les aborder le plus doucement possible mais certain sont vraiment sec et violent pour les amortisseurs et mon pauvre petit trou. Il y avait aussi beaucoup de circulation et nous avancions très doucement. Bien que je sois parti en avance,  je voyais les 03 - MAPA - D - -minutes tourner….

        Avec soulagement, j’arrivais à destination. Je garais la voiture et je me rendais à l’hôpital mais à chaque pas la cage, ses picots et l’invité de ma malheureuse petite fleur continuaient leurs jeux sadiques. Arrivé dans le hall, je me dirigeais vers les toilettes. Je regardais l’heure, il me restait seulement 5 minutes avant mon rendez-vous. Je devais me hâter. Rapidement, j’enlevais le collier, le plug et sa ceinture que je rangeais dans la sacoche, j’enfilais ensuite le jock-strap. Je me rhabillais encore plus hâtivement. Je prenais l’ascenseur et j’arrivais dans le service. Personne dans le couloir ! J’avais une petite chance que je serai moins humilié que la veille et je ferais mon possible pour qu’il en soit ainsi ! Je signalais ma présence à la secrétaire qui m’invita à attendre un instant. Je l’entendis 04---MAPA---D----.jpgtéléphoner pour signaler ma présence. L’infirmière de la veille vint me chercher. Je la saluais un peu honteux en me mémorisant l’exhibition humiliante de la veille. Elle me fit entrer dans la salle où 3 autres infirmières étaient présentes et me tournaient le dos. Elle m’invita à me mettre torse nu comme la veille. Je posais donc ma sacoche. J’enlevais ma 05---MAPA---D----.jpgveste, mon pull et mon maillot. Je défaisais la ceinture et les boutons pour sortir l’appareil mais j’évitais de baisser la braguette pour esquiver les déboires de la veille. Elle commença par débrancher le monitoring comme je l’avais sorti du treillis. Je jetais un œil aux visiteuses qui, elles-mêmes, me regardaient furtivement. J’avais été suffisamment l’attraction et la risée il y a 24 heures pour ne pas recommencer les frustrations et les humiliations. Ensuite, elle me débarrassait de la ceinture qui le tenait. Elle ôtait les sparadraps pour libérer le tube et faisait de même pour le brassard. Lorsqu’elle eut tout récupérer, elle m’invita à me rhabiller en me proposant de regarder les résultats préliminaires. Je m’exécutais sans demander mon reste et certainement à la grande insatisfaction de ses collègues. J’enfilais le maillot et je refermais le pantalon. 06---MAPA---D----.jpgJ’enfilais le pull et la veste aussi rapidement et je prenais ma sacoche. Elle me signalait alors qu’il y avait de petites chutes. Le médecin me donnera sûrement un rendez-vous et m’en dirait plus. Je prenais alors congé et je m’enfuyais de ce service où j’avais suffisamment été humilié.

        Je descendais soulager au rez-de-chaussée 07 - MAPA - D - -et me dirigeais de nouveau vers les toilettes. Je refermais derrière moi la porte à clef. Je sortais de la sacoche les attributs du slave et le téléphone que je posais sur le bord du lavabo. Je me déshabillais une nouvelle fois et j’accrochais mes vêtements aux patères de la porte. Lorsque j’enlevais les chaussures et que je posais les 08 - MAPA - D - -pieds sur le carrelage glacé, une envie d’uriner s’invita. Je me hâtais à photographier le jock-strap avant de l’enlever définitivement pour cette épreuve. Je relevais la lunette des toilettes à contre cœur. Quand je m’assaillais sur la faïence glacée mes petites fesses se refroidirent aussi ! Un frisson parcouru tout mon corps nu comme un 09 - MAPA - D - -nouveau-né. Suivant les commandements reçus par mes Maîtres, je prenais de nouveaux clichés assis sur le trône. Devoir toujours photographier assis sur les toilettes sans la lunette et avec la cage est de plus en plus frustrant, humiliant et dégradant. Je n’arrive pas à m’habituer à ces clichés. J’étais dans ces réflexions quand une 10 - MAPA - D - -personne essaya d’entrer. Je sursautais et je devais me dépêcher en espérant qu’elle entre dans les autres toilettes. Je me relevais et séchais le bout de la cage. Je lubrifiais le plug à deux boules et je posais au sol le téléphone. Je prenais une nouvelle fois ma petite fleur puis, je lui présentais son hôte. Il commença à entrer et 11 - MAPA - D - -elle avala la première boule. Je maintenais la pression. Elle vint buter contre le premier anneau. Après une nouvelle pression et en poussant du cul, il la goba et le trou avala le plug. En place, j’installais la ceinture pour le bloquer quand je m’aperçus que je mouillais de la nouille. Pour la satisfaction de mes Masters et le 12 - MAPA - D - -plaisir des visiteurs je prenais une nouvelle photo que je trouvais frustrante, humiliante et avilissante de mouiller de la sorte. Ce doit être le manque de masturbation qui me fait mouiller de plus en plus souvent mais qui me rend honteux, déshonoré et dégradé. Une nouvelle fois la poignée se baissa et on frappa à la porte. Je répondais que j’avais bientôt terminé. Cette nouvelle pression augmenta encore ma frustration, mon humiliation et mon avilissement. Je me dépêchais à poser le collier et à prendre les derniers clichés après avoir épongé les sécrétions séminales. Je rangeai rapidement dans ma sacoche le lubrifiant et le sous-vêtement. J’enfilais hâtivement mon maillot puis mon treillis. Je terminais par le pull et  la veste où je rangeais mon 13 - MAPA - D - -portable. Je tirais alors la chasse d’eau et je me lavais les mains. Je prenais ma sacoche et j’ouvrais la porte. Une personne se tenait devant moi. Je la saluais et lui laissais la place chaude. Elle entra à ma suite. Dans le hall d’entrée, je réfléchissais si je n’avais rien oublié dans les toilettes. À ce moment là je m’imaginais avoir omis quelle que chose comme le collier ou le plug et la personne me rejoindre pour me tendre mon oublie. Machinalement je vérifiais si je l’avais bien au coup. Pour l’invité, il jouait avec mon trou et je le sentais bien sans le voir. J’imaginais l’humiliation que je pourrai avoir dans cette situation et je soufflais avec soulagement que cela n’arrive jamais.

        Comme j’avais du travail qui m’attendait, je saluerai la famille ce soir et je regagnais ma voiture. Tout en marchant les picots continuaient à exciter mon malheureux gland qui stimulait une 14 - MAPA - D - -érection frustrée par la cage. Enfin le véhicule ! En m’assaillant, je faisais attention de ne pas envenimer la situation entre ma petite fleur, son anneau et leur invité incongru. Les dos d’ânes, en retournant au travail, s’en chargèrent. J’arrivais avec ma petite fleur faisant la fête avec son hôte. En regagnant mon poste de travail, j’essayais de calmer tout ce petit monde mais à chaque pas le plug stimulait mon côlon et les picots excitaient de nouveau le gland qui encourageait une érection contrariée par la cage ce qui était très frustrant, humiliant et avilissant. Le reste de la journée allait être très longue avec tout ce petit monde en fête….

        Je remercie aussi mes Masters pour cette nouvelle expérience et pour ce nouveau pas dans la soumission.

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Dimanche 4 décembre 7 04 /12 /Déc 07:30

01---Holter---D----.jpgPose du holter.

        En premier, je prie mes Masters et les visiteurs du blog de bien vouloir m’excuser pour le retard que j’ai pris dans la rédaction 02 - Holter - D - -et la publication de mes rapports. J’ai reçu du monde chez moi pour visiter la personne hospitalisée. De plus, j’avais des dossiers en retard, des manifestations à organiser cette semaine et de nouveaux examens à réaliser que je vous communiquerai dès que j’ai les dates.

        Mardi 22 novembre, j’avais rendez-vous pour la pose du holter pendant 24 heures. Je me rendais donc à l’hôpital. Maître Michael m’avait demandé de porter le boxer blanc pour cette pose. J’arrivais et je passais rapidement aux toilettes pour me changer. J’enlevais 03---Holter---D----.jpgtous les attributs du slave et j’enfilais rapidement le boxer ayant pris du retard. Je montais en cardiologie où une infirmière m’accueillait. Elle m’introduisait dans une pièce de visite et me demandait de me mettre torse nu et baisser un peu mon pantalon. Je posais mes affaires sur la table d’auscultation. Je baissais mon jeans et elle commença à installer l’appareil. Elle débutait en posant les patchs sur le torse et s’aperçu que j’étais rasé de près. Tout en les posant, elle me faisait la remarque avec un petit sourire en coin. Honteux et humilié, je lui répondais d’une voix hésitante, après un instant d'incertitude, que c’était pour le lendemain quand elle devra les enlever pour éviter d’arracher les poils. Malheureusement, elle remarquait aussi que mon pubis était lisse comme le reste du corps et la bosse dans le sous-vêtement provoqué par la cage. Elle souriait de plus belle ! 04---Holter---D----.jpgJe me sentais très mal à cet instant. Elle installait une ceinture où elle accrochait l’appareil. Elle branchait tous les patchs au boîtier et, avec du sparadrap, elle faisait tenir toutes les connexions sur le torse. Lorsqu’elle eut terminé, elle m’invitait à me rhabiller. Je m’exécutais sans dire un mot. Après 05 - Holter - D - -avoir mis mon maillot de corps, je remontais mon pantalon par-dessus le boîtier. Je terminais en enfilant mon pull à col roulé et ma veste. Je la saluais et nous nous donnions rendez-vous le lendemain à la même heure pour enlever l’appareil et faire les examens avant la consultation. Je m’empressais à m’enfuir de ce service où je m’étais sentis très 06 - Holter - D - -humilié, frustré et avili par les regards, les sourires narquois et les réflexions de l’infirmière. Je regagnais le rez-de-chaussée et me dirigeais vers les toilettes pour la deuxième étape de mon humiliation du jour. À chaque pas que je faisais, je sentais mon malheureux pénis torturé par les pics de la cage. Encore plus humiliant, ces pics stimulaient mon pauvre gland ce qui augmentait 07---Holter---D----.jpgmon excitation. Après avoir fermé la porte à clé je me déshabillais une nouvelle fois suivant les ordres que j’avais reçus. Je prenais les premières photographies avec le boxer que j’avais été autorisé à porter avant de l’enlever sans savoir quand je pourrai le porter de nouveau. Malgré le froid du carrelage que je le sentais, à travers les chaussettes, remonter dans mes mollets. Mon pauvre pénis était toujours mal traité par les picots. Je prenais la 08 - Holter - D - -cage en gros plan. Je préparais le plug N° 04 par terre après l’avoir lubrifié. Je positionnais le portable à coté et après avoir pris ma petite fleur en photo. Je commençais l’introduction de la première boule. Je sentais mon trou s’ouvrir 09 - Holter - D - -et le gober. Je continuais à pousser pour rentrer la deuxième tout en faisant de nouveau clichés à chaque 10 - Holter - D - -étape. Devoir tout photographier augmentait ma frustration, mon humiliation et mon avilissement. Lorsqu’il fut en place, je m’empressais à fermer la ceinture pour le maintenir en place. Enfin, j’installais le collier et sa médaille autour du coup. Quand tous les attributs du slave ont été remis en place, je me rhabillais une nouvelle fois. Je sortais de l’hôpital et me dirigeais vers ma voiture pour regagner mon bureau.

        Merci à mes Masters pour cette nouvelle étape.

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Jeudi 6 octobre 4 06 /10 /Oct 08:30

07 - Portrait - D - -.-Remerciements :

        Le slave que je suis, a été réprimandé par ses Masters car je maudis trop souvent leurs instructions ou les commentaires des visiteurs. Pour rectifier cette attitude irrespectueuse je viens demander de bien vouloir gratifier le bâtard que je suis, de ma repentance. C’est pourquoi :

  •     Je remercie mes Maîtres de m’avoir pris en main et de me faire évoluer en bon slave car je suis une sous-merde. Je suis tout en bas de l’échelle animal et je dois le respect à toutes les personnes et autres êtres vivants. Je dois aussi le respect à tous les bâtards car je suis en dessous d'eux…
  •    Je dois aussi remercier tous les visiteurs du blog. Leurs commentaires alertes mes Masters de mes dérives possibles ou de mes manquements. Ils permettent à mes Maîtres de faire évoluer mon éducation pour une meilleure prise en main.
  • 08 - Portrait - D - -.-   Je remercie aussi mes Masters de gérer le blog et la page face book du slave. Ils ont tout pouvoir et font ce qu'ils veulent avec car ils ont accès et gèrent tous mes comptes. Ils n’ont rien à me dire. Je n'ai pas le droit de me plaindre à aucun moment.

        C’est pourquoi je présente mes excuses à mes Masters et aux visiteurs. Je les prie de bien vouloir me pardonner pour mes dérives de langage ou d’attitude et de continuer d’interpeller mes Maîtres sur mes fautes ou mes insubordinations.

        En réponse aux commentaires laissés, mes Masters ont commandé que je poste une photo jambes écartées, mains sur la tête et à genoux dans la même position pour compléter ma demande de pardon auprès des personnes qui suivent ce blog et de tous les visiteurs.

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Mercredi 24 août 3 24 /08 /Août 07:42

Nouvelles instructions :

          Maître Michael vient de donner au slave de nouvelles consignes :

  • Pour sa prochaine visite médicale : Il enlèvera le collier et le plug mais il devra garder sa cage. Il pourra porter son boxer blanc.
  • Son jock blanc et ses autres sous-vêtements sont remisés pour de prochaines visites quand ses maîtres le décideront.
  • Quand le bâtard recevra des amis ou de la famille il devra garder sa cage ! S’il doit dormir avec quelqu’un, il pourra porter son short noir et jaune. Dans tous les autres cas il devra dormir complètement nu.
  • Il devra se raser complètement le corps et l’entretenir régulièrement.
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Jeudi 14 juillet 4 14 /07 /Juil 09:02

En permanence !

           Comme le slave se plaint ou fait des commentaires régulièrement, Maître Michael a décidé qu’il gardera sa cage pour toutes les visites médicales à venir. Le slave espère que ce sera toujours avec le boxer blanc ces visites.

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Vendredi 1 juillet 5 01 /07 /Juil 12:15

Listing pour la futur purge

        Le slave informait Maître Michael qu’il avait réunit tout le matos demandé :

  • Le bâillon boule, 
  • Le poppers, 
  • La clé pour la cage et la clé pour le ballestrecher, 
  • Les deux cages de chasteté en silicone,
  • Les pinces à seins,
  • Les poids,
  • Le short court noir et jaune,
  • Du baume du tigre,
  • Du Tabasco,
  • De l'harissa,
  • De l’alcool a 90°,
  • Une capote,
  • Du lubrifiant,
  • Une réglette,
  • Des cotton-tiges,
  • Les menottes métal à chaque cheville
  • Et une barre les reliant,
  • Des liens pour la queue et les couilles assez long,
  • L’appareil electro avec 2 électrodes sur une sortie et le plug electro sur la deuxième.

        Le Master demandait une photo pour voir.

14---Matos--- 14 - -.-

        Après avoir vérifié, il informait le slave que la séance de purge pourrait être avancée à ce week-end. Le slave n’en est que plus content car plus de 3 mois sous cage est vraiment très humiliant, frustrant et avilissant. Il est vraiment en manque et l’attend avec une grande impatience.
        Si vous le désirez, vous pouvez ajouter vos suggestions de matos en laissant un mot sous la rubrique : " Écrire un commentaire ". Les Maîtres vous répondront ayant le contrôle du blog.
        Merci Masters de cette bonne nouvelle.

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  • : Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335
  • Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335
  • : gay Gay
  • : Sous-Merde propriété de Master Eric et Maître Mickaël. Il fait aussi ce que les Visiteurs demandent. Ce n'est pas un mâle mais une sous-merde, et il doit être traité comme tel. À la disposition de tous les Maîtres et slaves au Téléphone, en Web-cam sur Smboy ou Skype... Prises de photo et rapports publiés ensuite sur le blog sous le contrôle de ses Maîtres.
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