Le blog de Bâstard à KC Sous Merde n°411-103-335

  Bienvenue sur le blog de Bâtard a KC : Sous Merde N° 411-103-335, sous le contrôle de Master Éric et Maître Michael. Il doit faire ce qui lui est demandé sans rechigner. N’hésitez pas à laisser des commentaires sur les différents articles qu'il publie sous nos ordres.

  Il fait aussi ce que les visiteurs demandent. Ce n'est pas un mâle mais une sous-merde, et il doit être traité comme tel.

  Sous cage de chasteté, nous seuls, ses Maîtres, décidons de ses jouissances afin de le purger de son jus pourris qui ne sert à rien.

  N'hésitez pas à laisser des commentaires dans les différents articles publiés ici par notre sous merde ou nous même. Cela l'humiliera  d'autant  plus.  Son  adresse  est  dorénavant  la  suivante  :        slave.411103335@gmail.com

   Nous la contrôlons entièrement. Nous nous chargerons de vous répondre ou notre slave vous transmettra nos commentaires.

  Notre Sous-Merde est à dispos de tous mâles souhaitant l'utiliser en Cam ou en Réel avec prises de photos et rapports publiés ensuite sur le blog. Même les soumis peuvent l'utiliser car son statut est inférieur à eux et il leur doit respect, soumission et obéissance.

Dimanche 8 janvier 7 08 /01 /Jan 13:47

01 - Voeux - D - -.-

Le 1er janvier du slave :

01 - Poids - D - -.-        Je me levais après avoir eu un sommeil mouvementé et une brève grâce matinée. Le plug N° 04 avait fait la fiesta toute la nuit avec le premier anneau et la cage s’était amusée à empaler le gland avec ses picots, ce qui l’excitait et provoquait des érections contrariées par ce maudit carcan. J’avais fait, comme les nuits précédentes, des cauchemars où j’essayais en vain de me masturber et de jouir. Dans l’impossibilité d’éjaculer, je me réveillais, en sursautant, 02 - Poids - D - -.-frustré, humilié et avili. L’année commençait mal pour le slave !

        Je déjeunais et je passais à la salle de bain. Après m’être rasé et douché, j’envoyais mes vœux à la famille, aux amis et à mes Masters. J’en profitais pour regarder mes mails où je trouvais les instructions de Maître Michael pour ce nouvel an. Je savais que je devais aussi réaliser la demande de Mr Alain. Je trouvais une belle aurore boréale pour sa demande et je recherchais une idée originale pour présenter mes vœux sur le blog à mes Masters et aux visiteurs. Je faisais des propositions à mes Masters. Maître Michael faisait parvenir son choix. J’avais deux possibilités pour accrocher mes vœux sur ma poitrine. Soit avec des pinces à linge soit avec les pinces métalliques. Comme ce n’était que le temps de prendre 01 - Voeux - D - -.-les clichés nécessaires, je faisais un cliché avec chacune d’elles. Si j’avais du les garder plus longtemps j’aurais très certainement pris les premières car les secondes sont très hard. Je photographiais mes vœux à mes Masters et à tous les visiteurs du blog comme j’avais eu instructions.

        Maître Michael avait commandé que le slave accroche à ses couilles les poids de 2kg et 02 - Voeux - D - -.-qu’il les garde toute la journée. Lors d’une braderie, j’avais trouvé une boule pour des anciennes balances à main. Je regardais sa masse qui faisait juste deux kilos. À contre cœur, je constatais que j’en avais donc deux de deux kilos, deux de un kilo et deux de 500 grammes. Je prenais un cliché pour les archiver dans le matos du slave. Le slave devait aussi se photographier à poil comme preuve et pour confirmer sa soumission à ses Masters. Je m’exécutais en prenant une nouvelle photo debout. Je prenais ensuite un lien et, avec difficulté à cause de la cage, j’attachais un poids à chacune de mes malheureuses testicules. Je positionnais mon appareil photo après avoir fait la mise au point et je réalisais un nouveau cliché avec les poids aux couilles. Dès que je me relevais, cette masse étiraient et étranglaient mes infortunées 03 - Voeux - D - -.-boules. Elles commencèrent à bleuire légèrement. La première journée de l’année allait être très longue et encore plus douloureuse car je devais garder ces appendices jusqu’au soir.

        Je me mettais au travail devant mon ordinateur pour recadrer les photos prises et rédiger le rapport de cette première journée. Au fur et à mesure que les minutes s’égrainaient, je sentais mes malheureuses couilles souffrir et être maltraitées par les poids. À midi, je me faisais un petit repas léger et j’allais faire une sieste comme la nuit avait été très courte et mouvementée. Au bout d’un certain temps je m’assoupissais et mes cauchemars reprenaient de plus belle ! Je me trouvais écartelé avec mes pauvres testicules en traction et une main invisible me masturbait. Je sentais mon jus monter, monter, monter…, et, au moment où j’allais enfin 04 - Voeux - D - -.-pouvoir éjaculer, je me réveillais en sur-saut car mes boules étaient en feu. J’avais bougé pendant cette mauvaise rêverie et les poids étranglaient mes pauvres boules. Mon cœur battait la chamade et j’avais le souffle court et discontinu. Je me repositionnais. Au bout d’un certain temps, je retrouvais le sommeil avec toutes ces monstrueuses épreuves de  souffrances. Après plusieurs petites siestes avortées, je me levais pour continuer mon labeur du jour. Mon cœur battait de plus en plus vite et je respirais par petites saccades intermittentes. J’étais en nage et je transpirais à grosses gouttes. Je m’épongeais pour retrouver mon ouvrage.

        Très doucement le soir arrivait et je préparais mon dîner. Je ne sentais plus mes bijoux de familles qui étaient 05 - Voeux - D - -.-glacés. Je maudissais pour la première fois de l’année, ces pénibles instructions douloureuses, humiliantes, dégradantes et avilissantes. Avec soulagement, après avoir mangé, je libérais mes infortunés testicules. Ma petite fleur et l’anneau se remirent à jouer avec leur invité à deux boules. Ils avaient chacun la leur et reprenaient leurs mauvaises habitudes….

        Je remercie mes Masters une nouvelle fois et je leur renouvelle mes meilleurs vœux pour cette nouvelle année 2017 ainsi qu’aux visiteurs du blog qui daignent suivre le slave dans son éducation.
        Bon vol 2017 à destination du 7ème ciel et du bonheur… à tous ceux qui lisent ce message.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Exercices Divers - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 29 décembre 4 29 /12 /Déc 12:04

De Monsieur Alain :

Sujet :    Nudité au bureau le 21/12/2016

  • Commentaire mis en ligne le samedi 24 décembre 2016 à 12h44

Bonjour Master ERIC et Maître MICHAEL,
   Bravo encore pour l’éducation de votre slave qui a certainement vécu une journée spéciale en ce 21/12/2016:
   - La doctoresse qui pour la première fois mentionne l’exhibitionnisme de la larve,
   - Découverte et utilisation d’une nouvelle cabine pour se mettre à nu dans un lieu public,
   - Exercice hebdomadaire sur le lieu de travail avec  pour la première fois l’utilisation de sa bouche comme porte-socquettes.
Mr Alain44


Sujet :    Nudité au bureau le 14/12/2016

  • Commentaire mis en ligne le mardi 27 décembre 2016 à 14h03

Bonjour Master ERIC  et Maître MICHAEL,
   Rapport globalement correct pour ce qui concerne la rédaction à part que votre larve aurait dû mieux décrire ce plug N° 6 et même y joindre une photo des deux parties de ce plug.
  Je pense que pour ces Mercredis, les Maîtres pourraient commencer à équiper progressivement la larve de morceaux/ parties de son harnais.
Mr Alain44


Sujet :    Rappel à l' ordre/ Commentaire " A vos claviers "

  • Commentaire mis en ligne le mardi 27 décembre 2016 à 15h01

  Bonjour Master ERIC et Maître MICHAEL,
   Vous avez raison de publier, à la connaissance de tout le monde, les désobéissances de votre sous-merde.
   La première partie de la punition aurait pu consister à lui imposer de publier un commentaire sur le modèle suivant :
     Le jj/mm/2016 pour la visite au .......... j' ai porté ce sous vêtement ( photo ) alors que Maître MICHAEL m' avait imposé celui ci ( photo )
   et  Le jj/mm/2016 pour la visite au .......... j' ai porté ce sous-vêtement ( photo ) alors que Maître MICHAEL m' avait imposé cette autre ( photo )
Mr Alain44


Sujet :    Les vœux du Bastard

  • Commentaire mis en ligne le jeudi 29 décembre 2016 à 11:34

Les vœux du Bastard
 Bonjour Master ERIC et Maître MICHAEL ,
   Le Nouvel An approche, il serait bon que votre bastard réfléchisse à la solution idoine pour présenter ses vœux  à tous les visiteurs du blog.
  Suggestion : une carte de vœux personnalisée sous forme d' une feuille 21x29,7 accrochée à ses tétons !
Mr Alain44

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Commentaires - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 26 décembre 1 26 /12 /Déc 07:17

Le mercredi 21 décembre.

        Comme je poste ce jour le rapport, je souhaite un Joyeux Noël et de bien terminer cette année à mes Masters et à tous les visiteurs de ce blog.


15---Bureau---D----.jpg        Mercredi, en revenant de chez le médecin, dans la voiture, malgré le froid ambiant, le plug jouait toujours avec le côlon et les pics de la cage continuaient à exciter mon malheureux gland en le piquant ce qui prolongeait l’érection contrariée par la cage. Je devais être en train de mouiller car, lorsque je sortais de mon véhicule, je sentis un long filet s’accrocher à ma cuisse. Je maudissais le jour où mes Maîtres avaient validé une proposition d’un visiteur d’enlever tout papier absorbant ! Mouiller ainsi de la queue, du cul au risque de tâcher mes pantalons, devient de plus en plus frustrant, déshonorant et dégradant !

        En regagnant mon poste de travail, je me sentais tout honteux et humilié en saluant mes collègues. Je posais ma veste, mon bonnet, mes gants et mon écharpe. Je vérifiais que le feutre noir et le téléphone portable étaient bien dans mes poches frontales de ma sous-veste. Je commençais ma journée tout en sentant mes geôliers torturer mon malheureux pénis, ma petite fleur et son anneau. Non 16 - Bureau - D - -seulement la nuit je fais des cauchemars en fantasmant sur le jour où je pourrai enfin me masturber et vider mes testicules mais la journée cela devenait aussi une obsession. J’ai de plus en plus de mal à me concentrer sur mon labeur. Je méditais aussi aux derniers commentaires de face book, validés par Maître Michael au nom de mes deux Masters, au bureau pour la corvée hebdomadaire je devrai enlever mes chaussettes pour être vraiment nu et les mettre dans ma bouche. Pour les toilettes publiques et à l’hôpital, je pouvais toujours les garder. Je remerciais mon Maître car le matin même, les toilettes de la galerie étaient très sale et j’avais dû éponger avec du papier toilette pour nettoyer partiellement le sol. Je maudissais ce commentaire validé en partie.

        Quand ma vessie était pleine, je me décidais à me rendre aux toilettes. Mon anneau jouait toujours avec sa boule, les pics de la cage martyrisaient mon malheureux gland et mon pauvre pénis avait 17 - Bureau - D - -une érection contrariée. À chaque instant, la honte, la frustration et l’humiliation étaient grandissantes. Le collègue du bureau à coté du miens avait dû s’absenter un moment. Je jetais un œil dans le couloir. Personne n’était en vue ! Discrètement, je quittais mon poste et je me rendais aux toilettes. Derrière moi, je refermais la porte à clef pour ne pas être déranger. Sur le bord du lave-mains, 18 - Bureau - D - -je posais le portable et le feutre noir. Je me déshabillais en posant mes vêtements pliés sur le bord du lavabo. Quand j’enlevais mes chaussures pour ôter le jeans, je sentis le froid du carrelage traverser les chaussettes. J’allais devoir les enlever aussi ! Une nouvelle fois je maudissais le commentaire et sa validation. Je le ferai en dernier. Je continuais à me dévêtir en posant le maillot de corps. Je prenais le feutre et je notais la date du jour soit : "Le 21-12". À contre-cœur, je terminais d’enlever les chaussettes. Pour terminer, suivant les commentaires validés par Maître Michael, je les pliais en deux et les mettais dans ma bouche. Je haïssais de plus en plus cette nouvelle directive ! J’étais vraiment complètement nu ! J’avais les pieds glacés et des frissons parcouraient tout mon être, de la tête aux pieds. Malgré ces frissons et ce froid, mon pauvre gland continuait à être torturer par les pics.

19 - Bureau - D - -        Je relevais la lunette des toilettes et je m’assaillais sur la faïence gelée elle aussi. Un nouveau frisson secoua mon corps. Les fesses glacées calmaient un temps ma petite fleur, l’anneau et leur jouet. J’avais pris d’une main le téléphone. J’ouvrais le robinet et ma vessie se vida progressivement. Je prenais les premiers clichés. Bien que cette corvée soit toutes les 20 - Bureau - D - -semaines, je n’arrive pas à m’habituer à cet exhibitionnisme. Quand ma vessie fut vidangée, je me relevais. Je ressentais encore les picots maltraiter mon malheureux gland malgré la froidure ambiante et du sol. Je prenais en gros plan ce bourreau. Pour un temps le côlon s’était calmé. J’en profitais pour photographier le plug N° 04 en place tenu par la ceinture. Je continuais par immortaliser le slave pieds nus avec sa cage. La série continuait avec les chaussettes de la salope dans sa gueule. Pour clôturer cette série, je prenais le bâtard de pieds.

        Les photos en boîte, je m’empressais à remettre mes chaussettes. J’avais les pieds glacés ! J’enfilais le pantalon et rechaussais mes baskets. Mes malheureux pieds allaient pouvoir se réchauffer progressivement. Je continuais à me rhabiller par le maillot de corps et le pull à col roulé pour la quatrième fois de la matinée. Je rangeais le feutre et le mobile dans les poches frontales de ma sous-veste que je portais. Je tirais la chasse d’eau, 21 - Bureau - D - -je baissais la lunette et le couvercle des toilettes. Je me lavais les mains. Je me les séchais et j’ouvrais la porte lorsque mon voisin de bureau voulu entrer. Je me tirais de coté et lui laissais la place toute chaude. Il ne m’avait pas fait de réflexions, ce qui voulait dire qu’il venait seulement de revenir et il ne savait pas depuis combien de temps je m’étais absenté. Je poussais un "Ouf !" de soulagement ! J’avais évité des questions et des réflexions désobligeantes.

        Je regagnais mon poste et reprenais mon travail tant bien que mal…. Une nouvelle corvée venait d’être réalisée. Les photos étaient dans le téléphone. Je repensais alors à une réplique d’un humoriste "… On peut faire des photos, aller sur Internet, l’utiliser en GPS, avoir une torche avec soi, suivre ses comptes, envoyer ou recevoir des SMS et occasionnellement téléphoner avec…." Il ne me restera qu’à redimensionner les prises de vues et rédiger mon rapport.22 - Bureau - D - -

        Une nouvelle corvée humiliante et dégradante venait d’être réalisée et une nouvelle étape dans ma soumission à mes Masters exécutée. Maître Michael, en discutant avec lui, venait de me prévenir que les futurs propositions dans les commentaires seraient très certainement validés. Je maudissais toutes ces nouvelles propositions que je n’aie pas encore eu connaissance. Elles ne peuvent qu’augmenter mes humiliations, mes frustrations et mon avilissement.


        Je remercie mes Masters pour leur magnanimité, leur bienveillance et leur indulgence envers le slave que je suis. Je leur renouvelle mes souhaits de passer un Joyeux Noël et de très bien terminer l’année et ce, à tous les visiteurs aussi.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Labeurs Journaliers - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 24 décembre 6 24 /12 /Déc 08:31

Une nouvelle consultation.

        Une nouvelle nuit de torture et de cauchemars ! Comme la nuit précédente, aussi la précédente et encore la précédente…, je faisais des cauchemars où j’essayais en vain de me masturber. Je me réveillais en sur-saut, mon malheureux gland torturé et martyrisé par les 01---Medecin---D----.jpgpicots de la cage. J’avais l’impression que l’on essayait de le piquer avec des aiguilles. Je me levais, j’allais boire un peu d’eau et je retournais me coucher en espérant pouvoir dormir correctement. Malheureusement, à peine assoupie, je refaisais un nouveau cauchemar similaire. M’étant levé plus de 10 fois dans la nuit, lorsque 06h00 arriva, je me levais avec une envie de me reposer encore. Le peu que j’avais sommeillé n’avait pas été bénéfique, m’étant débattu avec mon abstinence forcée. Les nuits passantes, je maudissais un peux plus chaque soir cette maudite cage qui, non seulement m’empêche de me masturber mais torture, martyrise et stimule mon malheureux gland ce qui augmente encore plus mon excitation contrariée.

        Je me levais et je faisais un café. Les pics étaient toujours en action et excitaient mon malheureux gland. L’anneau intérieur était, lui aussi en pleine gymnastique du matin. En buvant le café, je regardais par la fenêtre le temps. Il était tout clair. Je regardais les véhicules au pied de l’immeuble. Ils étaient blanc de givre. Je pensais que j’allais devoir gratter la glace avant de partir. Je regardais la température extérieure, il faisait –6°C / -7°C ! Je passais rapidement à la salle de bain avant que la famille ne se lève. Je préparais le petit déjeuné et je passais dans ma chambre pour enfiler le string que Maître Michael avait commandé que je porte pour cette visite. En l’enfilant, je me rappelais le peu qu’il cachait et que j’allais encore passer un rendez-vous humiliant ! Je me rhabillais rapidement en gardant les attributs du slave car mes Masters avaient 02 - Médecin - D - -demandé que je les enlève dans la voiture, seulement avant le rendez-vous. J’allais me préparer à sortir lorsque mes cousins se levèrent. Je les saluais et je leur faisais voir où se trouvait le repas. J’enfilais mon écharpe, mon bonnet, mes gants et une veste. Nous nous souhaitions une bonne journée puis, je sortais.

        Le plug continuait à jouer avec ma petite fleur et les picots de la cage à exciter mon malheureux gland qui provoquait une érection contrariée par cette maudite cage ! Je descendais et je démarrais la voiture avec le dégivrage. Je prenais le grattoir et je frottais le givre sur le par-brise, les fenêtres et le haillon arrière. Il faisait un froid glacial, ce qui calma tout mon petit monde. Ils n’appréciaient pas vraiment le froid de canard ambiant. Le tableau de bord annonçait une température extérieure de –5°C. Je me rendais à mon rendez-vous et je me garais un temps à l’écart. J’ôtais les attributs du slave et très rapidement je les rangeais dans ma sacoche. J’avais eu une bonne idée d’enfiler le string avant de partir comme cela, en baissant 03 - Médecin - D - -légèrement mon pantalon, je n’avais qu’à enlever le plug et sa ceinture. Je faisais de même pour le collier. Je me rhabillais encore plus rapidement tellement le froid pénétrait et la voiture n’avait pas eu le temps de se réchauffer. Je me rapprochais et me garais près de l’immeuble. Lorsque je sonnais à la porte du cabinet médical et que j’entrais, il était juste 08h00.

        J’attendais un instant car le secrétaire était avec le médecin. Il arriva et me fit entrer dans le bureau. Je saluais le médecin et nous prenions des nouvelles mutuellement. Je sortais mes papiers que je lui donnais et elle m’incita à me déshabiller. Discrètement je replaçais le string au mieux pour masquer le peu qu’il pouvait. Quand elle le vit elle me dit :

  • -    "Tu continue à faire de l’exhibitionnisme ?"

  Honteux, je ne savais quoi répondre. J’arrivais à murmurer :

  • -    "Non pas spécialement, c’est Marina qui m’a demandé de le porter.
  • -    Toujours et encore ton amie…. J’espère pour toi que tu ne garde pas en permanence la cage. Qu’elle ne t’empêche pas d’avoir des érections et faire le nécessaire pour te masturber et te vider ?
  • -    Heureusement je ne la garde pas en permanence, seulement la journée lorsqu’elle n’est pas là. Je l’enlève la nuit, cela me permet d’encore mieux apprécier…."

04 - Médecin - D - -        Je maudissais ce string qui ne cache rien ! Encore plus cette cage qui m’empêche d’avoir une vraie érection et contrairement à ce que je venais de dire, de pouvoir me branler et jouir ! Cela fait tellement longtemps que je ne me suis pas vider les testicules que j’en fais des cauchemars la nuit et la journée, je phantasme sur le jour où je serai libéré de tout carcan ! Il y a eu 5 mois jeudi passé que cette saleté de prison a été posée, soit 159 jours ce mercredi ! Cela devient une obsession !!! Je pense de plus en plus au moment où je pourrai faire une bonne purge !
        Je passais à la pesée, ensuite, je m’allongeais sur la table. Le string est tellement transparent que je voyais le monticule dessous. La chaleur ambiante m’avait réchauffé et la compression du string sur la cage, les picots avaient repris leur service diabolique. J’avais l’impression que des aiguilles étaient plantées dans mon malheureux gland. Ils provoquèrent une excitation déjouée quand je sentis mon pénis vouloir se gonfler sans pouvoir avoir 05 - Médecin - D - -d’érection. Je m’imaginais que le médecin ouvrait la cage et que je me masturbais sur cette table. J’étais dans ce phantasme lorsqu’elle me rappela à la réalité. Elle voulait prendre ma tension mais je ne lui répondais pas !

  • -    "Tu as un problème ? Tu as l’air absent et dans les nuages ?
  • -    Rien de grave, depuis un certain temps, j’ai des insomnies….
  • -    Tu en es certain ? Il n’y a pas d’autres problèmes ?
  • -    Non, je te remercie, rassures-toi, je somnolais…."

        Elle continuait son auscultation du malheureux slave en manque. Quand elle eut terminé, elle m’autorisa à me rhabiller. Sans demander mon reste, je m’empressais à exécuter sa proposition. Je commençais par enfiler le jeans pour cacher ce sous-vêtement 06 - Médecin - D - -humiliant, dégradant et avilissant. À part le boxer blanc, les autres sous-vêtements et shorts retenus augmentent la honte et l’humiliation de les porter ! J’enfilais tout aussi rapidement, mon maillot, mon pull, mes chaussures, ma sous-veste, mon écharpe et ma veste. Le bonnet et les gants, je les porterais lorsque je partirais. Pendant ce temps, elle rédigeait le renouvellement de mon ordonnance. Elle me la donnait avec mes papiers. Je la remerciais tout en les rangeant dans ma sacoche. Au moment de la saluer, elle me dit :

  • -    "La prochaine fois, essaye de porter un sous-vêtement un peu plus décent ! Je sais qu’avec Marina, vous aimez les vêtements excentriques. Un peu de pudeur n’ait pas désagréable non plus !
  • -    Je lui transmettrais ta demande. Je te souhaite une bonne journée et de bonnes fêtes de fin d’année. [Je coupais toute discussion en la saluant car j’avais été suffisamment humilié, frustré et avili pour le moment.]
  • 07 - Médecin - D - --    Je te remercie, toi de même passe de bonnes fêtes et profites des congés pour renouveler ta semence… ! "

        Ultime humiliation, déshonneur ! Blessé, offensé et vexé, je m’empressais à prendre congé. Mon cœur battait la chamade depuis un certain temps. La petite fleur jouait avec son hôte et les picots excitaient le gland pour provoquer une érection contrariée ! Je me sentais de plus en plus mal avec ces réflexions pour ne pas désobéire à mes Masters et ces invités qui faisaient déjà la fête. Je voyais avec le secrétaire pour mon prochain rendez-vous le mercredi 18 janvier. Je le saluais à son tour et nous nous souhaitions de bonnes fêtes de fin d’année. Sans demander mon reste, je m’enfuyais de ce cabinet médical et, à grands pas, je regagnais ma voiture. Je devais maintenant remettre les attributs du slave dans des toilettes publiques. Craignant que 08 - Médecin - D - -celles où j’allais d’habitude soient glacées avec la porte de secours souvent ouverte à coté, je me rabattais sur une autre galerie près de ma pharmacie et du bureau. J’espérais qu’elles seraient moins glacées que les précédentes car elles n’avaient pas de portes proches donnant sur l’extérieur.

        Je me garais sur le parking et je me dirigeais avec ma sacoche et les attributs vers les toilettes publiques de cette galerie plus petite que la précédente. Le monde arrivait déjà bien que ce soit ouvert depuis moins de 30 minutes. Je me dirigeais vers mon prochain calvaire. Il n’y avait qu’une seule toilette fermée à clef. Je n’avais donc pas le choix. Malgré qu’il n’y ait pas de porte donnant sur le dehors, il faisait un froid glacial. Certainement à cause d’une paroi mitoyenne avec l’extérieur. Un visiteur devait avoir une mauvaise vue car le sol était inondé d’urine autour de la cuvette ! Je prenais du papier toilette pour éponger. Il y avait aussi une table à langer. J’en profitais pour poser les attributs du slave et je commençais à me déshabiller 09 - Médecin - D - -en les posant, plié sur ce meuble. Au fur et à mesure que j’ôtais des vêtements, je ressentais le froid glacial pénétrer dans toutes mes pores. Le comble arriva lorsque j’enlevais mes baskets et que je me retrouvais pieds nus avec seulement mes chaussettes. Le froid glacial ambiant et du sol provoquait un frisson qui me secouait de la tête aux pieds. Je devais exécuter très rapidement les directives de mes Maîtres.

        Je prenais en photo le string que je portais puis je le posais sur la table. Malgré le froid, les picots martyrisaient mon malheureux gland qui tentait une érection impossible. Je photographiais cette geôle et son prisonnier. Vu la température glaciale, je commençais par positionner la ceinture ainsi, quand l’invité sera en place, je pourrai le bloquer de suite. Je posais au sol le portable, j’attrapais le plug que je lubrifiais et je m’accroupissais. J’immortalisais ma petite fleur et je lui présentais son hôte. Je le faisais pénétrer tout en prenant de nouveaux clichés. La première boule butta contre l’anneau. Après une nouvelle pression et en poussant du trou, il goba son ami et se mit à jouer avec. Mon pauvre cul faisait de même avec le reste du plug ! Je le bloquais de suite avec la ceinture en prenant une nouvelle photo. En me relevant, je photographiais à nouveau la cage et les cuisses du slave. Je positionnais le dernier attribut autour du coup, le collier et sa médaille. Une nouvelle photo de pieds pour terminer la série. Je grelottais et je n’avais qu’une hâte, de me rhabiller.

10 - Médecin - D - -        Je posais le téléphone sur le rebord et j’enfilais rapidement le maillot. Ensuite, ce fut le tour du jeans et j’enfilais les chaussures. Je continuais par le pull, la sous-veste où je rangeais le téléphone, l’écharpe puis, pour terminer, j’enfilais ma veste. Je pouvais enfin me réchauffer doucement. Je rangeais le string et le lubrifiant dans la sacoche. Après avoir tiré la chasse d’eau, je me lavais les mains. Je me les séchais et je sortais après avoir vérifier ne rien avoir oublié. Je regagnais mon véhicule et je démarrais. Je déposais, au passage, mon ordonnance à la pharmacie et je gagnais mon lieu de travail. Sur le trajet, je me mémorisais cette consultation où, une nouvelle fois, je m’étais senti humilié, frustré et avili. Il me faudrait encore faire la corvée hebdomadaire dans la journée. Les contrariétés, les frustrations… allaient encore se renouveler.

        Une nouvelle fois, je me suis senti vraiment très mal à l’aise avec mon médecin, dans la tenue où j’ai du me présenter. Malgré qu’elle connaisse mes sous-vêtements humiliants, les réflexions et les humiliations ne cessent. Je dois tout de même remercier mes Masters pour m’avoir fait progresser et accepter une nouvelle étape dans mon humiliation, ma frustration et ma soumission


À mes Masters et à tous les visiteurs, je vous souhaite un excellent réveillon de Noël.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Chez le Médecin - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 23 décembre 5 23 /12 /Déc 07:52

De Master Phénix :

Sujet : Labeurs hebdomadaire.
 

Bonjour Master Éric, Maître Michael, Mr Alain et à tous les visiteurs,
Après un long remplacement je suis de retour "At home". J’ai suivi la progression de votre salope. J’avais plusieurs remarques mais ne pouvant pas vous les faire parvenir, je pensais que cela venait de la région où j’étais.

A - J’ai constaté que votre sous-merde avait pris beaucoup de retard dans la rédaction de ses rapports. Je comprends qu’avec le travail ce ne soit pas toujours facile. Bien qu’il se soit excusé, il me semble qu’une sanction serait tout de même mérité…. A la discrétion de ses Masters.

 
B - Votre bâtard à bien pris l’habitude de mettre la date sur sa cuisse pour sa corvée hebdomadaire comme le proposait Mr Alain44. Ce serait bien qu’il passe à l’étape suivante :

1 -    Utiliser son marqueur et non son feutre. Il appréciera plus son petit travail.

2 -    Progressivement, écrire en toutes lettres "Le mercredi XX (jour) – XX(mois)".

3 -    Quelles que semaines plus tard sur sa cuisse gauche "Le mercredi XX (jour)" et sur sa cuisse droite "Le XX (jour) et le mois en toutes lettres avec possibilité d’ajouter l’année lorsque c’est possible !"

4 -    Lorsqu’il sera bien habitué, ajouté sur son torse "Slave N°……." entre sa poitrine.

5 -    Après quelles que semaines adjoindre entre ses mamelons en gros "Slave de" dessous : "Mater Éric et" ligne suivante : "Maître Michael" et sur son nombril ou son pubis au choix de ses Masters "N°……"Ce qui donnerait en démarrant entre ses deux seins :

O Slave de O

Master Éric et

Maître Michael

N° XXX XXX XXX

6.    Bien sur le tout devrait être écris avec un marqueur indélébile comme son premier qu’il avait utilisé et non un simple feutre qui s’efface facilement. Ainsi il appréciera encore plus son état de sous-merde et de salope.


C – Comme il y a un problème avec le service pour la publication des commentaires, il serait bon :

⇛    Que votre sous-merde crée une rubrique et qu’il publie régulièrement les commentaires reçus !

⇛    Si c’est possible, lors de la rédaction de nos commentaires, de préciser pour quel article il se rapporte.

⇛    Cela permettrait à tous les visiteurs d’en bénéficier et/ou pourrait aussi les compléter.

 

D -   J'espère que vous avez le contrôle de la bal de votre salope pour vérifier qu’il vous transmet bien tous les commentaires. Si ce n’est pas le cas, il serait bon que vous le fassiez comme tous ses autres comptes.
Master Phénix.

Réponse :
        Les propositions de Maître Phénix ont été validées par les Masters du slave et seront mises en application début janvier.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Commentaires - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 22 décembre 4 22 /12 /Déc 07:46

Visite chez l’Infectiologue.

01---Infectio---D----.jpg        Je venais de passer une nuit très mouvementée. J’avais fait des cauchemars où j’essayais en vain de me masturber. Ce qui provoquait, pendant que je dormais, des érections contrariées par la cage. Je me réveillais en sur-saut avec la sensation que mon gland était transpercé par des aiguilles. Ce n’était que les picots qui excitaient mon malheureux gland martyrisé. Après avoir été réveillé de la sorte une dizaine de fois dans la nuit, je me levais à contre cœur ayant fait nuit blanche. Je maudissais cette détestable cage et ses maudits picots qui deviennent insupportables avec mon malheureux gland et mon pénis martyrisés.

        J’avais posé dans mon pauvre côlon, le plug N° 04 à deux boules. En allant au bureau, il recommençait à jouer avec l’anneau qui avait gobé la première boule. De plus, les picots continuaient à maltraité mon malheureux gland. Je ressentais de plus en plus les piqûres de chacun d’eux. Je m’assaillais soulagé. J’avais prévenu que je devrai m’absenter dans la matinée.

02 - Infectio - D - -        À 10h00 j’allais chercher ma voiture. En m’assaillant, je ressentis encore plus le plug pénétrer plus profondément ce qui excita encore plus l’anneau. Je devais mouiller comme un âne ! Le matin j’avais dû changer de pantalon car je l’avais tâché la veille avec le plug malgré la ceinture. Je maudissais le jour où j’avais reçu l’ordre d’ôter toutes protections absorbantes après un commentaire. 03 - Infectio - D - -À chaque dos-d’âne, l’intrus dans ma petite fleur, réactivait sa stimulation et ses tortures. Avec soulagement, j’arrivais à destination. Je rentrais dans le hall et je passais aux toilettes pour ôter tous les attributs du slave que je rangeais dans ma sacoche et j'enfilais le boxer blanc.

        Je m’aperçus alors que le cadenas se voyais encore mieux sans la doublure. Je le positionnais en travers en espérant qu’il ne bouge pas. Je montais dans le service mais le sous-vêtement compressait la cage et les picots s’en donnaient à cœur joie ! je ressentais encore plus chacun des pics pénétrer dans mon malheureux gland ce qui provoquait une nouvelle érection contrariée. J’arrivais enfin et après une courte attente, le médecin vint me chercher.

        Ne s’étant pas revu depuis un an, nous prenions de nos nouvelles respectives car je le connais très bien. Nous avons travaillé en collaboration pour certaines actions ce qui à renforcé 04 - Infectio - D - -notre amitié respective. Il m’invita à me mettre en sous-vêtement pour m’ausculter. J’essayais de me cacher derrière une chaise pour me déshabiller car il n’y a pas de cabine. Je vérifiais que le cadenas n’était pas de trop visible et discrètement je le repositionnais. Après être passé à la pesée, il m’invita à m’allonger. À partir de ce moment là, les humiliations et les frustrations allaient se succéder. Il commença à m’interroger surpris :

  • -    "Tu te rase complètement maintenant, c’est quoi cette nouvelle lubie ?
  • -    Tous simplement, je me suis remis au vélo et si j’ai un accident cela sera plus facile à soigner.
  • -    Ne me dis pas que te raser le pubis c’est aussi pour ça !
  • -    Ce n’est qu’un mauvais paris que j’ai perdu….
  • -    Tu en es vraiment sûr ? On se connaît depuis assez 05 - Infectio - D - -longtemps tu peux tout me dire !
  • -    Je le sais mais pour le moment il n’y a que ça…."

        Je savais qu’il ne me croyait pas et je me sentais très mal allongé sur sa table avec cette proéminence dans mon boxer ! Il s’en aperçu et eu un très large sourire qui en disait encore plus long. Je craignais qu’il me 06 - Infectio - D - -pose encore des questions. Il avait du ressentir mon mal être et ma gène car il ne posa plus de questions mais ses silences étaient encore plus éloquents et humiliants. La consultation continuait. Lorsqu’il eut terminé, il m’autorisa à me relever et à m’habiller. Je m’exécutais sans dire un mot mais en me relevant j’aperçu le cadenas de la cage qui s’était retourné et se voyait très bien. Je comprenais mieux les 07 - Infectio - D - -allusions et les sourires que mon médecin avait faits. Pendant ce temps il regagna son bureau et il regarda les résultats de ma dernière prise de sang. Tout allait bien mes CD4 étaient stables à 680 copies et la charge virale indétectable. Les autres résultats étaient eux aussi très bon et dans la moyenne. Il n’y avait rien à redire sur le bilan sanguin. Il m’établissait ma nouvelle ordonnance pour 6 mois en renouvelant le même 08 - Infectio - D - -traitement. Il rédigeait aussi la prescription avec les examens sanguins que je devrai faire pour la prochaine visite. Il me donnait aussi le prochain rendez-vous pour le mercredi 7 juin 2017 à 16h00. Avant de me saluer définitivement il me dit :

  • -    "Tu sais que tu peux venir me voir quand tu veux pour discuter. Tu as mes coordonnées et mon téléphone, alors 09 - Infectio - D - -n’hésites pas tu sais que ça restera entre nous.
  • -    Je te remercie. Si j’en ai besoin, je te contacterai. Tu sais que je ne me gêne pas avec toi depuis tout ce temps."

        Ce n’était pas vraiment vrai, je me sentais très mal et je maudissais toutes ces instructions humiliantes et dégradantes encore plus avec ce médecin. Je me sentais 10 - Infectio - D - -encore plus honteux, frustré et avili de ne pas pouvoir lui dire la vérité. Je le quittais après lui avoir souhaité de bonnes fêtes de fin d’année. Une nouvelle fois, à chaque pas que je faisais, je sentais mon malheureux gland martyrisé par les pics. J’avais l’impression que l’on me piquait avec des aiguilles. Plus cela durait et plus cela devenait insupportable. Je prenais l’ascenseur et je descendais au rez-de-chaussée. Avant de me rendre aux toilettes, je jetais un œil dans le hall 11 - Infectio - D - -pour vérifier que je ne connaissais personne et que la famille n’était pas là.

        Je rentrais dans les premières toilettes ouvertes et je fermais la porte à clef. Je posais sur le bord du lave-mains le téléphone, le collier que je sortais de ma sacoche ainsi que le plug, le lubrifiant et la ceinture que je posais à terre. J’accrochais le sac à une patère contre la porte et je commençais à me déshabiller. Je suspendais ma veste à la seconde patère avec ma sous-veste. Je continuais par le pull. J’ôtais mes chaussures. En posant les pieds au sol je sentis le 12 - Infectio - D - -froid glacer mes pieds malgré les chaussettes. Je remerciais Maître Michael d’avoir consentit de les garder à l’hôpital et dans les toilettes publiques suite à un commentaire sur face book. Au bureau ce sera une autre affaire ! J’ôtais mon jeans et mon maillot de corps. Je me retrouvais en boxer. Je vérifiais la position du cadenas. À mon grand désespoir, il s’était retourné et se voyait très bien ! Je ne m’étais pas trompé dans le bureau du médecin. Je prenais le portable et je faisais les premières photographies. Depuis que j’ai du détruire toutes les doublures des shorts et du boxer, la cage et le cadenas s’entrapercevaient beaucoup plus. Je le rangeais dans la sacoche et je relevais la lunette des toilettes. Avant de soulager ma vessie, je photographiais la maudite cage avec mon pénis encastré et mon malheureux gland supplicié. Je m’assaillais sur la faïence pour uriner. Je ressentis le froid glacer mes pauvres fesses. Je prenais de nouveaux cliché comme commandé. Je trouvais de plus en plus humiliant, frustrant et dégradant de devoir prendre toutes ces photos ! J’ai du mal à 13 - Infectio - D - -m’habituer à un tel exhibitionnisme ! J’étais dans ces réflexions lorsqu’une personne essaya d’ouvrir la porte. Je stoppais un instant pour ne plus faire de bruit et ne pas alerter la personne de l’autre coté. Impossible d’être tranquille ! Je l’entendis entrer dans des toilettes voisines. Je terminais de vidanger ma vessie. Pour continuer, je posais sur le carrelage le mobile et je graissais le plug. J’immortalisais ma petite fleur. Je lui présentais son invité. Mon petit trou s’ouvrit. Au fur et à mesure que le convive pénétrait dans le côlon, je prenais de nouveaux clichés. Quand la première boule butta contre l’anneau, je poussais pour l’ouvrir et il goba le premier étage du plug pendant que le reste était absorbé par ma petite fleur. Je prenais la ceinture et je bloquais le nouvel invité. Je me relevais et à mon grand désespoir, j’étais encore en train de mouiller ! À contre cœur, je photographiais cette nouvelle humiliation. Je séchais cette coulure avec du papier toilette et je prenais les derniers clichés de la cage et de pieds. Quand tous les attributs du slave étaient de nouveau en place, je me rhabillais. Je 14 - Infectio - D - -rangeais le lubrifiant, le boxer dans la sacoche et le portable dans la poche frontale de ma sous-veste. Je tirais la chasse d’eau et je me lavais les mains.

        Avant de sortir, je vérifiais que je n’avais rien oublié et j’ouvrais la porte. Je regagnais ma voiture mais à chaque nouveau pas, l’anneau jouait avec l’intrus et mon malheureux gland était martyrisé par les pics qui l’excitait et provoquait une nouvelle érection contrariée par cette maudite cage. Enfin le véhicule ! Malheureusement les tortures allaient continuer. En m’assaillant, le plug excita un peu plus le côlon et les picots renouvelaient leurs supplices. En retournant au bureau, je me remémorais la honte, l’humiliation, la frustration et l’avilissement de cette nouvelle auscultation.

        Je dois tout de même remercier mes Maîtres de me faire évoluer dans la soumission et dans la direction qu’ils désirent l’emmener.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Humiliations - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 21 décembre 3 21 /12 /Déc 17:12

Du Mardi 20 Décembre :

        Mes Masters ont validé la demande de Master Phénix demandant que les commentaires soit publié le temps que le site répare le bug. Maître Michael à ajouté que les réponses soient mises en ligne après les avoir envoyées aux destinataires. C’est pourquoi cette rubrique vient d’être créer le temps que la société règle le problème.


1er Commentaire :

Sujet : Exercice hebdomadaire du Mercredi 07/12/2016

Bonjour Master ERIC  et Maître MICHAEL,
   Compte rendu correctement réalisé avec notamment la date qui est devenue parfaitement lisible sur les photos.
  Je trouve excellente cette marche qui fait que le plug réalise des va et vient dans la chatte de votre larve, ce qui a certainement pour effet de la maintenir souple.
  Sur d’autres pages du blog, j'ai pu constater des écoulements séminaux. Sur le plan de la santé cela est une bonne chose car cela évite que ce jus ne pourrisse à l’intérieur de l’organisme!
 Pour ce qui concerne les fuites urinaires, votre larve aurait pensé à porter un bout de papier toilettes dans la cage ou bien sous celle ci pour éponger ces fuites, mais peut être qu’il préfère sentir son pantalon mouillé par  son urine
Mr Alain44

Réponse :

  Maître Michael vous remercie et a apprécié vos nouveaux commentaires.
  Malgré le monde que je reçois ces temps j’ai du continuer le travail de mon trou car je dois pouvoir prendre en fin d’année le nouveau plug N° 14 (Le Titan) que j’ai du commandé. J’essaye de faire mon maximum pour ouvrir ma petite fleur mais étant en permanence plugué, je mouille du cul de plus en plus ce qui est frustrant, humiliant et dégradant car je ne peux plus mettre de papier absorbant dans le bloc-plug.
  De même pour les fuites urinaires et séminales je n’ai plus le droit non plus de poser de papier dans ou sous la cage. Mes Masters ont commandé sur proposition que j’enlève tout papier absorbant. C’est pourquoi c’est encore plus humiliant, déshonorant et avilissant de risquer de tâcher mes vêtements.
Le slave.


2ème Commentaire :

Sujet : Bug sur le blog de la larve BASTARD A KC

Bonjour Master ERIC  et Maître MICHAEL,
  Je vous remercie pour cette idée de mettre en ligne l’adresse de votre larve.
  J’ai bien visionné les divers comptes rendus de votre sous-merde sur le blog.
   J'avais pensé que c’était mon OS (windos 10) qui était en panne sur mon ordinateur.
    Le blog de votre larve n’est pas le seul concerné (sur erog) par ce défaut de fonctionnement.
 Généralement votre larve s’est comportée correctement au cours de ces nouvelles expériences qui ont certainement été bénéfiques/profitables pour son éducation/dressage.
  Chacun des compte rendus va faire l’objet d’un commentaire séparé, de ma part.
 J’espère que votre sous-merde a retrouvé un peu  de liberté à son domicile, mais je pense que les contraintes dues à cette cohabitation ont été finalement propices à son éducation.
 J’espère que vos avez, Master et Maître, un accès complet à cette messagerie
Mr Alain44

Réponse :

  Mes Masters remercient maître Alain pour ce commentaire
  Je fais mon maximum pour bien me comporter car je n'avais pas le chois. Je n’ai pas le droit d'enlever la moindre chose chez moi, à mon domicile même en présence de la famille ou des personnes que je reçois. je devais continuer mon entraînement malgré leur présence.
  Tous les messages sont transférés directement par moi, la salope, vers mes Masters. Je transferts ensuite les réponses que je dois faire.

 

        Lorsque ce travail est terminé, que j’ai envoyé les réponses, je dois publier les commentaires et les réponses sur le blog dans une nouvelle rubrique comme l’a proposé Master Phénix et validé par mes Masters. N’oubliez pas en sujet de rappeler le titre de l’article concerné par votre commentaire.
  Le slave

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Commentaires - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 20 décembre 2 20 /12 /Déc 08:07

Futur sanction :

  1. ⇛    Le slave, n’ayant pas suivi toutes les instructions de Maître Michael – Il n’a pas mis son short blanc pour la MAPA, il a gardé son jock de chez le pneumologue. – Il mérite donc une punition.
  2. ⇛    Il va aussi avoir un scanner et un doppler. Vous pouvez choisir le sous-vêtement qu’il portera.

Sachant qu’il y a un problème dans la rédaction des commentaires, vous pouvez transmettre vos instructions :

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Instructions - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 19 décembre 1 19 /12 /Déc 07:32

 

Le mercredi 14 décembre.

        Je me levais de bonne heure car je voulais changer de plug. Pour cela, je devais aller à la salle de bain et faire le changement pendant ma toilette pour que ma famille ne s’aperçoive de rien. Je me levais donc, je m’habillais et je me faisais un café. Je préparais 08---Bureau---D----.jpgle petit déjeuner pour mes hôtes. Lorsqu’ils se mettaient à table, j’en profitais pour me rendre à la salle de bain. Je me déshabillais pour prendre une bonne douche. Je prenais le plug N° 06, je le lubrifiais et je le présentais à ma petite fleur. Je le faisais tenir avec la ceinture car, avec sa forme, ma pauvre petite rondelle ne pouvait plus se refermer. Quand il fut en place, je dus retenir des gémissements car le premier anneau jouait déjà avec ce nouveau venu. Il faisait des allers retour sur le cône. Je l’enlevais un instant pour prendre un suppositoire afin de calmer le côlon. Je replaçais le nouveau venu en place. L’anneau recommençait ses jeux. Je continuais ma toilette et progressivement ma petite rondelle se calma. Malgré tout, j’avais le cul en feu et je sentais bien le nouveau jouet. Ma toilette terminée, je saluais la famille et nous nous souhaitions une bonne journée. Je prenais ma veste et je me rendais au bureau.

        À chaque pas, je ressentais de plus en plus le nouveau plug qui explosait ma petite fleur. Le premier anneau reprit de son activité. Il se divertissait avec le nouveau venu. Malheureusement cela provoqua aussi une érection contrariée par la cage. Les picots rentrèrent en action ! Ils stimulaient le gland qui 09---Bureau---D----.jpgessayait de gonfler la verge ! Celle-ci était encastrée dans sa cage. Mon pénis ne pouvait plus avoir d’érections ! Elles étaient contrariées par cette prison. Je m’imaginais en train de me masturber et jouir enfin car ça fait 151 jours que ce carcan est en place ! Je maudissais cette cangue. Je sentis une chose humide s’accrocher à ma cuisse gauche. Comme elle ne coulait pas ce ne pouvait être une fuite urinaire ! Honteux, j’en déduisais que je devais mouiller ! À Force que mon gland soit supplicié, j’étais en train de produire des sécrétions séminales. Honteux, je ressentais s’accrocher sur ma cuisse, un long filament humide. Cette situation en pleine rue devenait de plus en plus frustrante, humiliante et dégradante ! Je rêvais, en début de journée, que je me masturbais et que, enfin, je pouvais jouir à volonté.

        J’arrivais enfin au bureau sur cette chimère. Je saluais les collègues déjà présents et je gagnais mon bureau. J’espérais que cette petite communauté reprendrait son calme assis dans mon fauteuil de bureau. En posant ma veste, je vérifiais que mon téléphone mobile et mon feutre noire étaient bien dans la poche frontale de ma sous-veste. Je sentais de plus en plus le nouveau plug. Heureusement, la ceinture le maintenait en place 10---Bureau---D----.jpget l’empêchait de s’échapper car le premier anneau s’était remis à jouer avec le cône. La matinée se déroulait lentement et j’avais du mal à me concentrer avec ce nouveau jouet qui était l’attraction de mon petit monde. Je ressentais de plus en plus les picots supplicier mon malheureux gland. Les heures s’écoulaient lentement. J’attendais le moment où je serai obligé de soulager ma vessie. Je vérifiais que personne ne pourrait me voir et je me décidais à faire ma besogne hebdomadaire.

        Je refermais derrière moi la porte à clef pour ne pas être déranger. Je posais sur le lavabo, le feutre noir et le téléphone mobile. Je commençais à me déshabiller en pliant mes 11 - Bureau - D - -vêtements et en les rangeant sur le bord du lave-mains. Quand j’enlevais mes chaussures et que je posais le pied au sol, je ressentis le froid du carrelage sous la plante des pieds malgré mes chaussettes. Je prenais le feutre et j’inscrivais la date du jour : "Le 14 - 12" sur ma cuisse gauche et que je photographiais. Je relevais le couvercle et la lunette des toilettes. Je m’assaillais sur la faïence, qui elle aussi, était glacé. Une nouvelle fois un frisson parcouru tout mon corps. Je devais accéléré le mouvement. Suivant les instructions que j’avais reçues, je devais prendre des clichés assis sur ces toilettes. Malgré la périodicité de cette corvée et devoir tout photographier, je ressentais toujours cette frustration, cette humiliation et cet avilissement. En me relevant, je sentais mon gland torturé par les pics de la cage. Je prenais en gros plan mon malheureux pénis emprisonné dans sa geôle. Sur la demande de Mr Alain, je posais le portable et je m’accroupissais. Lorsque je bougeais la ceinture je sentis ma petite fleur s’ouvrir et l’invité s’enfuir. Je le rattrapais et je le remettais en place. Un gémissement m’échappa. Tout en tenant le plug, je stoppais un instant la servitude et je tendais l’oreille. Heureusement, personne ne m’avait entendu. Je serrais les fesses pour 12 - Bureau - D - -maintenir son hôte en place et je prenais de nouveaux clichés. Malgré cela, il ressorti de nouveau. Je le rentrais une nouvelle fois et je repositionnais la ceinture pour le soutenir. Je prenais le portable et je me relevais. Je m’apercevais alors que j’étais en train de mouiller une nouvelle fois. Comme Maître Michael avait commandé, je devais photographier tout nouvel évènement. Je prenais donc un cliché de la fuite séminale. Je me sentais de nouveau frustré, humilié et avili par ce nouvel épisode. Pour terminé le travail du jour, je prenais une dernière photo de pied du slave. Je commençais à me vêtir quand une personne essaya 13 - Bureau - D - -d’entrer et frappa à la porte. Je demandais 2 minutes, j’avais bientôt terminé. Rapidement, je me rhabillais discrètement et précipitamment. Je rangeais dans la poche frontale mon mobile et le feutre. Je tirais la chasse d’eau et je refermais les toilettes. Je me lavais rapidement les mains. Je me les séchais et je sortais.

        Un collègue attendait. Je renouvelais mes excuses et je m’enfuyais sans demander mon reste. Je retournais à mon poste de travail. Je ressentis une nouvelle goutte d’urine couler le long de ma cuisse. Ces fuites deviennent de plus en plus frustrante, humiliante et dégradante ! Entre les fuites urinaires après être allé aux toilettes et les sécrétions séminales, je me sentais de plus en plus mal à l’aise et honteux. En arrivant je saluais mon collègue qui était arrivé en mon absence. Il me saluait à son tour et me demanda :

  • -    "Tu étais en pose ?
  • -    Non, j’étais aux toilettes."

     Je lui répondais embarrassé. Il continua :

  • -    "Tu passes tes journées aux toilettes ces temps !
  • -    Pas spécialement, pourquoi ? J’ai tout simplement des problèmes digestifs !
  • -    On dit ça, mais il me semble que lorsque tu y vas, tu y reste de plus en  plus longtemps.
  • -    Lorsque ça ira mieux, j’y serai moins longtemps !"

     Je me sentais de plus en plus frustré humilié et avilis par ces réflexions.

  • -    "On dit ça….
  • -    L’essentiel c’est que le travail soit fait ! Tu es arrivé il y a longtemps ?
  • -    Il y a une vingtaine de minutes que je suis là.
  • -    Je comprends maintenant, avant d’aller aux toilettes je suis allé boire un coup et j’en ai grillé une sur le balcon ! Avant de reprendre, j’en ai profité pour vidanger.
  • 14 - Bureau - D - --    Je comprends mieux alors !"

     De plus en plus honteux, blessé et dégradé. Je reprenais mon travail malgré le mensonge que je venais de dire.  Pour fumer une cigarette je devrai attendre la pause de midi !
        Je m’assaillais rapidement car j’avais le cul qui se remettait à pousser. Je ne pouvais pas gémir ! Je retenais ma respiration le temps qu’il se calme et je respirais lentement. Au bout d’un certain temps mon trou se calma et les picots cessèrent de martyriser mon gland. Je reprenais mon labeur en souhaitant que mon petit monde reste le plus longtemps au repos. Malheureusement, je savais que ça ne durerait pas !
        Merci à mes Maîtres pour cette nouvelle corvée hebdomadaire.

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Dimanche 18 décembre 7 18 /12 /Déc 07:02

Publication de vos commentaires :

        Nous venons de nous apercevoir qu’il n’était plus possible de poster des commentaires. Le temps que l’hébergeur fasse le nécessaire vous pouvez :

  • ⇛    Soit  les  poster  sur  la  page  face  book  du  slave  en  cliquant  sur  ce lien : - Face book - ou en recopiant l’adresse suivante : www.facebook.com/BastardaKC

  • ⇛    Soit en envoyant vos commentaires par mail au slave qui les fera suivre à ses Masters. En cliquant sur le lien suivant – Bastard-à-KC - ou en recopiant son adresse : bastardakc@hotmail.fr

        Nous vous prions de bien vouloir nous excuser pour ce disfonctionnement indépendant de notre volonté. Les articles continueront à être publié régulièrement en attendant la remise en état. Si vous avez des pistes pour contacter la direction du site merci de nous les transmettre ou si vous avez de connaissances n’hésitez pas à faire le nécessaire de votre coté. Dans ce dernier cas, nous vous remercions par avance. 


        Nous vous avertirons lorsque ce problème sera réglé.


        Bonne lecture et bonne continuation pour le suivi du slave.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Consignes des Maîtres - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 17 décembre 6 17 /12 /Déc 07:31

Le mercredi 7 décembre.

01---Bureau---D----.jpg        Après une nouvelle nuit d’insomnie à cause de l’intrus qui joue avec mon côlon et de la cage qui devient de plus en plus petite et de ses pics qui maltraitent de plus en plus souvent mon malheureux gland et mon pénis, je me levais pour préparer le petit déjeuner pour la famille. Je passais à la salle de bain pour ma toilette.

        Après avoir salué mes cousins, je partais au travail. À chaque pas la première boule du plug jouait avec l’anneau qui montait dessus et le re-gobait. Mon pauvre cul ne cessait de pousser ! La cage faisait toujours des siennes. Les picots ne cessaient d’exciter le gland qui essayait de gonfler le pénis encastré avec une érection contrarié. J’avais une envie grandissante de me masturber et me vider enfin les couilles…. Cette abstinence forcée est de plus en plus frustrante, humiliante et dégradante chaque nouveau jour qui passe.

        J’arrivais enfin au bureau. Je saluais les collègues en me rendant à mon poste. Je serrais les dents car je devais retenir des 02 - Bureau - D - -gémissements pour ne pas alerter les collaborateurs. Un collègue dut s’apercevoir de quelle que chose car il me demandait si j’allais bien et si je n’avais pas de problème. Je lui répondais entre les dents que ça passerait c’était seulement des problèmes de digestion…. Il acquiesça sans vraiment avoir été convaincu. Je m’assaillais en espérant que tout ce petit monde se calme rapidement. Je préparais le feutre et le téléphone dans une poche frontale de ma sous-veste ainsi, lorsque j’aurai envie d’uriner et que je serai seul, tout sera en place. Je me mettais au travail. Progressivement l’envie se fit de plus en plus pressente. Par contre, mes hôtes se calmaient graduellement. Je regardais discrètement les allers et venus des collègues en espérant qu’ils prennent une pause cigarette. Je pourrai ainsi aller aux toilettes plus discrètement. Connaissant leurs habitudes, je savais que ça n’allait pas attendre. Effectivement lorsque qu’une collaboratrice fit la proposition elle fut suivie par les fumeurs. Bien que j’eusse aussi 03 - Bureau - D - -envie d’en griller une, je me rendais tout de même aux toilettes en espérant être tranquille.

        Je m’empressais de bien fermer la porte à clef pour éviter tout dérangement contrariant. Je posais le feutre et le téléphone sur le lavabo et je commençais à me déshabiller. Je rangeais mes affaires sur le bord du lave-mains. Quand je posais les pieds nus par terre, je sentis le froid 04 - Bureau - D - -glacé du carrelage à travers mes chaussettes. Je prenais le feutre et j’écrivais la date du jour sur ma cuisse gauche : "Le 7 - 12" que je photographiais. Je relevais la lunette des toilettes à contre cœur et je m’assaillais sur la faïence gelée. La froidure se propagea dans les fesses et un frisson parcouru tout le corps du slave. Je maudissais une nouvelle fois de ne plus pouvoir utiliser les lunettes d’autant plus, je ne 05 - Bureau - D - -peux uriner qu’assis sur le trône à cause de la cage que Maître Michael avait commandée de poser, il y a 144 jours. Je prenais de nouveaux clichés. Installé sur le siège, je réfléchissais que je ne suis jamais resté aussi longtemps en abstinence ! Cela devient, chaque jour qui passe, de plus en plus humiliant, frustrant et avilissant ! J’aimerai bien qu’à l’approche des fêtes, mes Masters m’autorisent à me masturber et à enfin vider mes malheureux testicules qui débordent avec le temps. Quand ma vessie fut vidangée, je séchais le bout de la cage avec du papier toilette. Pour satisfaire la demande de Mr Alain, je posais le portable sur le carrelage. Je déplaçais légèrement la ceinture pour voir la base du plug N° 04. Comme mon côlon s’était calmé, je n’osais le sortir de peur qu’il réveille son petit monde que je ne pourrais pas contrôler. Par contre, les picots de la cage continuaient à maltraiter et exciter le pauvre gland qui essayait en vain de gonfler la verge. Non seulement de devoir supporter une abstinence de presque 5 06 - Bureau - D - -mois la cage contrariait mes érections ! Je ne pouvais plus bander normalement ! Ces érections contrecarrées augmentaient mes sentiments de frustrations, d’humiliations et d’avilissement. Je prenais un cliché de cette prison où mon malheureux pénis prend toute la place et dépasse même des rares trous tellement il est à l’étroit ! Je continuais la séance en photographiant la ceinture et je terminais par prendre le slave de pieds. J’étais tellement plongé dans mes réflexions que je sursautais lorsqu’une personne voulut entrer. Je lui demandais 2 minutes…. Je me rhabillais en hâte. Je rangeais dans la poche le feutre et le portable. Je baissais la lunette, son couvercle, je tirais la chasse d’eau et je me lavais rapidement les mains.  Après les avoir séchées, j’ouvrais la porte et je me retrouvais nez à nez devant notre directeur. Je m’excusais et je lui laissais la place toute chaude. Je ne pense pas qu’il fasse la même chose que moi aux toilettes….

07 - Bureau - D - -        En retournant à mon poste de travail, j’essayais de l’imaginer avec un plug au cul…. Ce qui me fit sourire. Dès que je me suis mis à marcher, les picots de la cage reprenaient de plus belle leurs tortures du malheureux gland. Je faisais aussi attention à mon petit trou pour qu’il ne se réveil pas et qu’il ne reprenne pas la fête. Je sentis alors une nouvelle goutte d’urine couler le long de ma cuisse gauche. De plus en plus souvent, quand je vais aux toilettes, il y a une goutte qui jaillit plusieurs minutes après que je suis sortis. Cela devient aussi de plus en plus frustrant humiliant et dégradant d’avoir ainsi des fuites urinaires ! Heureusement j’étais de retour à mon bureau et je reprenais mon travail.

        Encore Merci à mes Masters pour cette nouvelle étape dans mon éducation.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Labeurs Journaliers - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 15 décembre 4 15 /12 /Déc 08:23

Restitution de la MAPA.

01---MAPA---D----.jpg        Dès que je rentrais chez moi le midi, je passais à la salle de bain pour ôter la date de la corvée hebdomadaire ne sachant pas comment se passerai le rendez-vous de l’après-midi. La veille j’avais du subir une exhibition frustrante, humiliante et dégradante. Je rangeais mon jock-strap dans ma sacoche. J’y introduisais aussi le lubrifiant et la clef pour ouvrir le collier. Je partais de chez moi comme j’avais rendez-vous à 14h00. En marchant, les picots maltraitaient de nouveau mon malheureux gland ce qui l’excitait et essayait de gonfler mon pauvre pénis qui avait une érection contrarié et martyrisé. En m’asseyant dans la voiture, je sentis le plug N° 04 pénétrer un peu plus profondément ce qui excita l’anneau intérieur qui se mit à pousser ! Je démarrais pour me rendre à l’hôpital. Bien que le trajet soit assez court il fut tout de même frustrant et dégradant car, à chaque dos d’âne, l’anneau 02---MAPA---D----.jpgjouait avec son jouet. J’essayais de les aborder le plus doucement possible mais certain sont vraiment sec et violent pour les amortisseurs et mon pauvre petit trou. Il y avait aussi beaucoup de circulation et nous avancions très doucement. Bien que je sois parti en avance,  je voyais les 03 - MAPA - D - -minutes tourner….

        Avec soulagement, j’arrivais à destination. Je garais la voiture et je me rendais à l’hôpital mais à chaque pas la cage, ses picots et l’invité de ma malheureuse petite fleur continuaient leurs jeux sadiques. Arrivé dans le hall, je me dirigeais vers les toilettes. Je regardais l’heure, il me restait seulement 5 minutes avant mon rendez-vous. Je devais me hâter. Rapidement, j’enlevais le collier, le plug et sa ceinture que je rangeais dans la sacoche, j’enfilais ensuite le jock-strap. Je me rhabillais encore plus hâtivement. Je prenais l’ascenseur et j’arrivais dans le service. Personne dans le couloir ! J’avais une petite chance que je serai moins humilié que la veille et je ferais mon possible pour qu’il en soit ainsi ! Je signalais ma présence à la secrétaire qui m’invita à attendre un instant. Je l’entendis 04---MAPA---D----.jpgtéléphoner pour signaler ma présence. L’infirmière de la veille vint me chercher. Je la saluais un peu honteux en me mémorisant l’exhibition humiliante de la veille. Elle me fit entrer dans la salle où 3 autres infirmières étaient présentes et me tournaient le dos. Elle m’invita à me mettre torse nu comme la veille. Je posais donc ma sacoche. J’enlevais ma 05---MAPA---D----.jpgveste, mon pull et mon maillot. Je défaisais la ceinture et les boutons pour sortir l’appareil mais j’évitais de baisser la braguette pour esquiver les déboires de la veille. Elle commença par débrancher le monitoring comme je l’avais sorti du treillis. Je jetais un œil aux visiteuses qui, elles-mêmes, me regardaient furtivement. J’avais été suffisamment l’attraction et la risée il y a 24 heures pour ne pas recommencer les frustrations et les humiliations. Ensuite, elle me débarrassait de la ceinture qui le tenait. Elle ôtait les sparadraps pour libérer le tube et faisait de même pour le brassard. Lorsqu’elle eut tout récupérer, elle m’invita à me rhabiller en me proposant de regarder les résultats préliminaires. Je m’exécutais sans demander mon reste et certainement à la grande insatisfaction de ses collègues. J’enfilais le maillot et je refermais le pantalon. 06---MAPA---D----.jpgJ’enfilais le pull et la veste aussi rapidement et je prenais ma sacoche. Elle me signalait alors qu’il y avait de petites chutes. Le médecin me donnera sûrement un rendez-vous et m’en dirait plus. Je prenais alors congé et je m’enfuyais de ce service où j’avais suffisamment été humilié.

        Je descendais soulager au rez-de-chaussée 07 - MAPA - D - -et me dirigeais de nouveau vers les toilettes. Je refermais derrière moi la porte à clef. Je sortais de la sacoche les attributs du slave et le téléphone que je posais sur le bord du lavabo. Je me déshabillais une nouvelle fois et j’accrochais mes vêtements aux patères de la porte. Lorsque j’enlevais les chaussures et que je posais les 08 - MAPA - D - -pieds sur le carrelage glacé, une envie d’uriner s’invita. Je me hâtais à photographier le jock-strap avant de l’enlever définitivement pour cette épreuve. Je relevais la lunette des toilettes à contre cœur. Quand je m’assaillais sur la faïence glacée mes petites fesses se refroidirent aussi ! Un frisson parcouru tout mon corps nu comme un 09 - MAPA - D - -nouveau-né. Suivant les commandements reçus par mes Maîtres, je prenais de nouveaux clichés assis sur le trône. Devoir toujours photographier assis sur les toilettes sans la lunette et avec la cage est de plus en plus frustrant, humiliant et dégradant. Je n’arrive pas à m’habituer à ces clichés. J’étais dans ces réflexions quand une 10 - MAPA - D - -personne essaya d’entrer. Je sursautais et je devais me dépêcher en espérant qu’elle entre dans les autres toilettes. Je me relevais et séchais le bout de la cage. Je lubrifiais le plug à deux boules et je posais au sol le téléphone. Je prenais une nouvelle fois ma petite fleur puis, je lui présentais son hôte. Il commença à entrer et 11 - MAPA - D - -elle avala la première boule. Je maintenais la pression. Elle vint buter contre le premier anneau. Après une nouvelle pression et en poussant du cul, il la goba et le trou avala le plug. En place, j’installais la ceinture pour le bloquer quand je m’aperçus que je mouillais de la nouille. Pour la satisfaction de mes Masters et le 12 - MAPA - D - -plaisir des visiteurs je prenais une nouvelle photo que je trouvais frustrante, humiliante et avilissante de mouiller de la sorte. Ce doit être le manque de masturbation qui me fait mouiller de plus en plus souvent mais qui me rend honteux, déshonoré et dégradé. Une nouvelle fois la poignée se baissa et on frappa à la porte. Je répondais que j’avais bientôt terminé. Cette nouvelle pression augmenta encore ma frustration, mon humiliation et mon avilissement. Je me dépêchais à poser le collier et à prendre les derniers clichés après avoir épongé les sécrétions séminales. Je rangeai rapidement dans ma sacoche le lubrifiant et le sous-vêtement. J’enfilais hâtivement mon maillot puis mon treillis. Je terminais par le pull et  la veste où je rangeais mon 13 - MAPA - D - -portable. Je tirais alors la chasse d’eau et je me lavais les mains. Je prenais ma sacoche et j’ouvrais la porte. Une personne se tenait devant moi. Je la saluais et lui laissais la place chaude. Elle entra à ma suite. Dans le hall d’entrée, je réfléchissais si je n’avais rien oublié dans les toilettes. À ce moment là je m’imaginais avoir omis quelle que chose comme le collier ou le plug et la personne me rejoindre pour me tendre mon oublie. Machinalement je vérifiais si je l’avais bien au coup. Pour l’invité, il jouait avec mon trou et je le sentais bien sans le voir. J’imaginais l’humiliation que je pourrai avoir dans cette situation et je soufflais avec soulagement que cela n’arrive jamais.

        Comme j’avais du travail qui m’attendait, je saluerai la famille ce soir et je regagnais ma voiture. Tout en marchant les picots continuaient à exciter mon malheureux gland qui stimulait une 14 - MAPA - D - -érection frustrée par la cage. Enfin le véhicule ! En m’assaillant, je faisais attention de ne pas envenimer la situation entre ma petite fleur, son anneau et leur invité incongru. Les dos d’ânes, en retournant au travail, s’en chargèrent. J’arrivais avec ma petite fleur faisant la fête avec son hôte. En regagnant mon poste de travail, j’essayais de calmer tout ce petit monde mais à chaque pas le plug stimulait mon côlon et les picots excitaient de nouveau le gland qui encourageait une érection contrariée par la cage ce qui était très frustrant, humiliant et avilissant. Le reste de la journée allait être très longue avec tout ce petit monde en fête….

        Je remercie aussi mes Masters pour cette nouvelle expérience et pour ce nouveau pas dans la soumission.

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Mercredi 14 décembre 3 14 /12 /Déc 07:41

Le mercredi 30 novembre.

21---Bureau---D----.jpg        En premier lieu, je réitère mes excuses auprès de mes Masters et des visiteurs pour le retard pris dans la rédaction de mes rapports. En fin de semaine ils seront tous à jour. C’est pourquoi, je prie mes Maîtres et les visiteurs de bien vouloir m’excuser pour tous ces retards. Heureusement, comme je me doutais que je prendrais du retard, j’avais pris des notes pour la rédaction future de mes rapports.

        Comme l’après-midi j’avais rendez-vous pour rendre la MAPA, je devais donc réaliser la corvée hebdomadaire impérativement le matin car je ne savais si je revenais au bureau l’après-midi. Mon pauvre pénis était encore et toujours torturé par les picots de la cage. Le plus douloureux est lorsque je marche et que les pics excitent mon malheureux gland. Dans la matinée, une envie d’uriner commença à titiller ma vessie. Lorsque l’envie devint intenable, je vérifiais le feutre et le téléphone dans ma poche frontale de ma sous-veste. Je vérifiais que personne ne pouvait me voir et je m’empressais d’aller aux toilettes. Je refermais la porte à clef derrière moi, je posais le feutre et le portable sur le bord du lavabo. À peine je les avais 22 - Bureau - D - -posés qu’une personne essaya d’ouvrir la porte. J’essayais d’écouter mais aucun bruit. Je ne pouvais pas savoir si la personne attendait ou était partie car je n’avais pas entendu la porte voisine se fermer. Je me déshabillais discrètement et je posais mes affaires sur le rebord du lave-mains. Dès que j’enlevais mes baskets, je sentis le froid du carrelage à travers les chaussettes. Je notais la date sur ma cuisse gauche "Le 30-11" et je la prenais en photo. Je relevais la lunette des toilettes comme je n’ai plus le droit de m’asseoir avec. Je sentis le froid de la faïence dès que je m’assaillais sur le trône. Je commençais à vider la vessie tout en prenant de nouveaux clichés. Bien que ce soit toutes les semaines, je trouve cela de plus en plus humiliant, frustrant et dégradant de réaliser cette corvée régulièrement. J’avais toujours la MAPA qui m’avait fait passer une nuit blanche car toutes les 20 minutes le brassard se gonflait pour prendre la tension. Si l’appareil n’avait pas pu la prendre correctement il se regonflait toutes les minutes pour corriger. La nuit fut donc longue et pénible. Quand ma vessie 23 - Bureau - D - -s’était vidangée, je séchais la cage avec du papier. J’allais me lever quand la poignée se baissa de nouveau. Mon cœur se mit à battre de plus en plus vite et fort. Un collègue frappa à la porte et demanda si tout allait bien. Je lui répondais que j’avais une grosse commission…. Je me sentais mal à l’aise et il allait très certainement me refaire une réflexion dans la matinée. Je posais le portable sur le carrelage. Je déplaçais légèrement le bloc-plug et je le photographiais comme l’avait demandé Mr Alain dans un de ses commentaires. Comme je devais prendre la voiture pour me rendre à l’hôpital, je portais le plug N° 04 (à 2 boules) car 24 - Bureau - D - -devoir conduire avec tous les ralentisseurs dans la ville, c’était vrai purgatoire à chaque trajet. Je m’empressais à prendre la cage en gros plan avec mon malheureux gland martyrisé. Quand ce fut fait, je me dépêchais à en faire une de plein pied. Je reposais le portable et je commençais à me rhabiller. J’enfilais mon maillot de corps puis mon pantalon. Avec difficulté je bouclais la ceinture au-dessus de l’appareil et du bloc-plug. Heureusement le matin j’avais troqué mon jeans avec un treillis. Je continuais avec mon pull et ma sous-veste où je rangeais le feutre et le 25 - Bureau - D - -téléphone dans une poche frontale. Je me rinçais les mains. Je tirais la chasse d’eau et je rebaissais la lunette et le couvercle des toilettes. J’ouvrais la porte et je tombais nez à nez avec le collègue qui attendait. Lorsque je sortis il me dit :

  • -    "Enfin ! Je pensais que tu faisais une sieste pour terminer ta nuit !
  • -    J’avais tout simplement une grosse commission !
  • -    Elle devait être énorme ! J’espère que tu ne les as pas bouchées !
  • -    Pourquoi, tu es jaloux ?"

        Je lui répondais ironiquement et je m’empressais de m’enfuir. J’avais le cœur qui s’était remis à jouer la chamade. À chaque pas que je faisais pour rejoindre mon poste, les picots maltraitaient de nouveau mon gland qui l’excitait et mon malheureux pénis essayait en vain de se gonfler. Cette corvée hebdomadaire devient de plus en plus humiliante, vexante et dégradante ! Non seulement devoir répéter régulièrement cet exercice au travail et en ayant les testicules pleins sans pouvoir se masturber et se 26 - Bureau - D - -vidanger, devient chaque jour un peu plus déshonorant, frustrant et avilissant. En retournant à mon bureau, nouvelle humiliation et frustration ! Je sentis une goutte d’urine couler le long de ma jambe gauche. J’espérais que ce ne serait qu’un petit accident. Que cette goutte avait été bloquée dans l’urètre comme mon malheureux pénis était compressé et maltraité et non que j’aie une incontinence ! J’arrivais enfin à mon poste. D’où je suis, je peux apercevoir les personnes qui vont aux toilettes. Quand le collègue sorti, il me jeta un regard avec un grand sourire ironique. Je faisais celui qui n’avait rien vu encore trop frustré, humilié et avili. Je pensais alors à l’épreuve qui me restait l’après-midi, devoir rendre l’appareil et qu’elle nouvelles humiliations je devrai de nouveau supporter.

        Quand est ce que cet exercice hebdomadaire prendra enfin fin ? Je me posais cette question le reste de la matinée. Je dois tout de même remercier mes Masters de me faire évoluer dans la soumission et l’obéissance à mes Maîtres.

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Mardi 13 décembre 2 13 /12 /Déc 12:42

Une nouvelle humiliation !

01---Pneumo.---D----.jpg        Je préparais dans ma sacoche le lubrifiant et à contre cœur, le mini jock-strap que Maître Michael avait demandé que je porte. Je serai obligé de le garder pour la pause du MAPA. Je partais du bureau et je me rendais à l’hôpital. Je passais rapidement aux toilettes pour ôter les attributs du slave que je rangeais dans la sacoche et j’enfilais le mini sous-vêtement. En 02 - Pneumo. - D - -montant à l’étage, je me demandais comment se passerait ce nouveau rendez-vous et quelle humiliation je devrai encore supporter. Mon pauvre pénis était encore et toujours martyrisé par les picots de la cage et mon malheureux gland maltraité continuait à l’exciter. Une infirmière m’accueillait et me faisait entrer. Elle m’annonçait une bonne nouvelle. Mes derniers examens pulmonaires étant bons elle ne ferait qu’un bilan de ma capacité respiratoire. Je rentrais donc dans la cage vitrée et nous commencions les testes pulmonaire. Terminé, je passais chez le médecin pour la consultation. Il me demandait de me mettre torse nu. Heureusement pour le slave, je pouvais garder mon pantalon. Après m’avoir ausculté et content des derniers examens, il remplissait le renouvellement de l’appareil pour l’apnée du sommeil. 03 - Pneumo. - D - -Je me rhabillais avec soulagement mais cela n’allait pas durer ! Il me donnait rendez-vous dans un an. Je me rendais en cardiologie pour mettre le nouvel appareil. En arrivant dans le service, mon cœur se mit à battre de plus en plus rapidement. Je me rappelais la consultation humiliante de la semaine 04 - Pneumo. - D - -dernière. Les infirmières avaient dû se donner le mot car sept m’attendaient dans le couloir. Je maudissais la cage que je portais et de l’attraction dont je faisais l’objet. Quand elles me virent arriver, elles rentraient dans la pièce où j’allais aller aussi ! La secrétaire me faisait attendre un instant et une infirmière vint me chercher. Je rentrais en craignant le pire ! Elles étaient toutes là, faisant semblant de travailler sur les différents postes. Il n’y en avait pas assez alors sur deux postes elles étaient deux. Elle me tournait le dos mais ça n’allait pas durer. L’infirmière me demandait de me déshabiller et d’ouvrir mon pantalon. Je m’exécutais. Je posais ma sacoche et je commençais par la veste, puis mon pull à col roulé et mon maillot. Je déboutonnais le pantalon et à sa demande, je baissais aussi la braguette. Le jeans 05 - Pneumo. - D - -commença à descendre et je sentais les picots exciter le gland ! J’essayais d’écarter les jambes pour ralentir sa descente quand elle me demanda de lever les bras pour installer le nouvel appareil. Mon jeans était sur les cuisses et, inexorablement glissait de mes jambes. Le jock était mis en exposition avec la cage. Je devais essayer de bander car je sentais les picots pénétrer et stimuler de plus en plus mon malheureux gland. Mon cœur jouait la chamade et j’avais l’impression qu’il allait sortir de sa cage. L’infirmière me demanda de tenir l’appareil le temps qu’elle l’installe à la taille en me disant :

  • -    "Vous vous êtes rasé pour le sparadrap ?
  • 06 - Pneumo. - D - --    Oui pour éviter l’épilation…
  • -    Le pubis n’était pas nécessaire !"

        Je ne savais quoi répondre, ne pouvant pas lui dire la vérité. J’essayais de jeter un oeil à ses collègues qui avaient de grands sourires. Je baissais la tête car ses collègues jetaient régulièrement un œil sur moi ! Honteux, je jetais encore un œil pour voir ce qu’elles faisaient. Elles étaient toutes en face de moi à me regarder et chuchotaient entre elles. Je n’osais plus relever la tête et mon pantalon continuait à descendre ! Il arrivait aux genoux ! Je me sentais de plus en plus mal à l’aise et humilié ! Elle me demanda alors de me tourner légèrement pour installer le brassard à mon bras gauche. Je ne pouvais plus voir ses collègues sans tourner la tête. Je me s’entais épié 07 - Pneumo. - D - -et examiné de la tête aux pieds. Mon cœur battait toujours aussi vite et fort. Elle le reliait à l’appareil et faisait tenir le tube avec du sparadrap dans le dos. Elle continua :

  • -    "Très joli votre petit sous-vêtement c’est quoi ?
  • 08 - Pneumo. - D - --    Un jock-strap."

    Lui répondais-je en serrant les dents, honteux et humilié. Elle continua :

  • -    "Si ce n’est pas trop indiscret, qu’est ce que vous avez dessous ?
  • -    C’est mon amie qui veut que je porte 09 - Pneumo. - D - -cette cage pour que je ne me masturbe pas la semaine. Heureusement je l’enlève dès qu’elle arrive ! Quand on est ensemble je ne la mets pas !"

    J’avais de plus en plus honte et je ne pouvais lui dire la vérité trop humiliante ! Cela faisait 136 jours que je la portais sans pouvoir jouir. 10 - Pneumo. - D - -Cela devenait de plus en plus frustrant et humiliant chaque jour qui passait ! Le moindre événement provoquait une excitation incontrôlable, ce qui est encore plus frustrant, humiliant et dégradant !

  • -    "Ce n’est pas trop difficile ?
  • 11 - Pneumo. - D - --    Un peu mais on se rattrape quand elle est là !"

        Elle terminait en programmant l’appareil qui se mit en marche. Après une première prise, elle vérifia les résultats et m’autorisa à me rhabiller.
Je m’empressais à lui obéir et je remontais mon pantalon en premier et le fermais au-dessus du MAPA. Lorsque je relevais la tête, ses collègues 12 - Pneumo. - D - -étaient de nouveau devant leurs postes en chuchotant entre elle. J’enfilais rapidement le maillot que j’enfilais dans le pantalon sur l’appareil. Je faisais de même pour le pull et la veste. Je saisissais ma sacoche et je prenais congé de mon publique forcé. Elle me rappelait que je devais revenir le lendemain à 14h00. Sans demander mon reste trop honteux, frustré et humilié, je m’enfuyais de ce service. Je sautais dans le premier ascenseur qui arriva trop content de m’esquiver. J’arrivais dans le hall et je me dirigeais vers les toilettes après avoir vérifié que la famille n’était pas là. Je me déshabillais une nouvelle fois. Je posais le portable sur le bord du lave-mains et je sortais le collier, le plug, le lubrifiant et la ceinture de la sacoche. J’accrochais mes vêtements aux patères de la porte. Quand je mis les pieds sur le carrelage glacé, une envie irrésistible d’uriner arriva. Je prenais rapidement le téléphone et je prenais les premiers clichés avec le jock-strap avant de l’enlever. Je relevais à contre-cœur la lunette des toilettes et je 13 - Pneumo. - D - -m’assaillais sur la faïence. J’ouvrais le robinet et ma vessie se vida. Je prenais de nouvelles photos bien que je trouve cela très humiliant de tout photographier, mais les ordres sont les ordres…. Quand j’eus terminé, je séchais le bout de la cage avec du papier toilette. J’en profitais pour prendre la cage en gros plan car les picots maltraitaient toujours mon malheureux gland et mon pénis enchâssé dans la cage. Je posais sur le sol le téléphone et je graissais le plug N° 04 après l’avoir rincé. Je me positionnais accroupi et je prenais ma petite fleur en gros plan. Je lui présentais son visiteur et tout en le faisant pénétrer, je prenais de nouvelles photos. Je sentais la première boule pénétrer. Puis la seconde continua à ouvrir mon trou quand la première butta contre l’anneau. Après une nouvelle pression je le sentis gober la boule et mon anus avaler le reste du plug. Je me relevais et commençais à installer la ceinture quand je m’aperçu que la pose du plug me faisais mouiller comme une salope. Je savais que cela ferait peut 14 - Pneumo. - D - -être plaisir aux visiteurs mais encore plus à mes Masters. Maître Michael avait une fois ordonné que je photographie tout nouvel événement. Je prenais donc la cage en gros plan avec mon pénis en train de mouiller. Je positionnais le collier et je terminais d’installer la ceinture.  Quand tout fut en place et les photos en boite, je me rhabillais. Je tirais la chasse d’eau et je me lavais les mains avant de sortir. Trop honteux et humilié, je ne pouvais rendre visite à la personne hospitalisée. Je regagnais donc ma voiture et je rentrais chez moi comme il était midi passé.

        Autant la visite s’était mieux déroulé que je craignais, autant la pose du MAPA fut trop humiliante, frustrante et dégradante. Je ne m’étais jamais imaginé devenir le clown et la risée du service. Merci tout de même à mes Masters de me faire évoluer, de supporter l’exhibitionnisme forcé et me faire accepter mon état.

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Vendredi 9 décembre 5 09 /12 /Déc 08:05

Chez le cardio.

        Ayant rendez-vous avec mes cousins pour déjeuner, je faisais un saut chez moi pour passer à la salle de bain afin d’effacer l’inscription sur la cuisse. J’appréciais ce feutre 02 - Cardio. - D - -car un peu de savon et la date était effacer. Je vais bien le mettre de coté pour les prochaines inscriptions. Je vérifiais mes affaires dans la sacoche et j’y mettais le short blanc. Maître Michael avait donné comme consigne de le porter pour le test à l’effort et la consultation médicale mais de le porter à la dernière minute. Je me rendais au restaurant et je retrouvais la famille. Après s’être restauré nous retournions en groupe à l’hôpital. Je passais dire bonjour à la personne hospitalisé. Je prenais congé de notre hospitalisée et je donnais rendez-vous ce soir au reste de la famille. Ayant envie d’uriner, je retournais au rez-de-chaussée. Je me mettais nu pour me soulager et j’en profitais pour prendre un premier cliché. Je séchais le bout de la cage et je me lavais les mains. Je me rhabillais une nouvelle fois et je montais en cardiologie. J’attendais quelles que minutes et une infirmière m’invita à entrer dans une salle et de me mettre en sous-vêtement. Il y avait une table d’auscultation, plusieurs moniteurs et un par à vent pour se changer. Je lui faisais remarquer que je devais réaliser 01---Cardio.---D----.jpgun test à l’effort et qu’il n’y avait pas l’appareil. Elle me répondit qu’une collègue allait arriver et m’expliquerait comment se déroulerait l’examen. Je posais mes affaires sur une chaise et je me déshabillais encore une nouvelle fois ! Je jetais un œil dans la pièce avant d’ôter le jeans pour vérifier que l’infirmière ne regardait pas dans ma direction bien qu’elle ne puisse pas voir à travers le par à vent. Mon cœur se mit à battre de plus en plus vite et fort. Mon palpitant n’attendait pas pour démarrer le test. J’avais sorti le short de la pochette et posé dessus. Je le prenais à la volé et le plus rapidement possible, je l’enfilais. Ouf !!! Personne n’avait encore pu voir la cage mais malheureusement cela n’allait pas durer. Je le descendais un maximum sur la taille pour cacher la cage. Malheureusement il se retrouvait à la base du pubis rasé. Je commençais à me sentir mal à l’aise et je maudissais ce rasage intégral frustrant et humiliant ! Je sortais de mon alcôve. Une seconde infirmière était arrivée. Tout en enlevant le Holter, elle m’expliquait ce qui allait se passer car je ne ferai pas le test habituel :

  • 03 - Cardio. - D - --     "Vous serez allongé sur la table d’auscultation. Je vais vous poser un cathéter pour une perfusion. Un premier produit vous sera injecté pour visualiser vos artères puis un second qui vous accélèrera le cœur artificiellement. Vous pourrez avoir une sensation de chaleur au moment où le produit pénétrera dans votre corps. Je vais poser sur votre torse, vos jambes et vos bras différents capteurs reliés aux monitorings. Un médecin fera en parallèle, une échographie du cœur et des coronaires. Lorsque le test sera terminé, je vous injecterai un nouveau produit pour que votre 04 - Cardio. - D - -cœur reprenne son rythme normal. Je vous laisse les patchs en place car je vais en avoir besoin. Je vous les enlèverai tous lorsque ce sera fini. Si vous avez des questions ou si vous vous sentez mal, je serai à coté de vous. N’hésitez pas à nous faire part de vos sensations. Vous avez des questions avant de vous installer ?"

  Je lui demandais :

  • -    "C’est mon cardiologue qui fera l’examen ?
  • -    Non, c’est une spécialiste qui va arriver et qui lui ferra un rapport. Vous verrez votre médecin après l’examen. Vous êtes imberbe ou vous vous êtes rasé ?
  • -    Je me suis rasé en vu de l’examen du holter et du test à l’effort. Je répondais en lui mentant…. Ne pouvant lui révéler la vrai raison de mon rasage intégral !
  • -    Vous avez eu raison monsieur. Quand j’enlèverai tous les patchs, se sera moins douloureux ! Le pubis ce n’était pas nécessaire !"

05---Cardio.---D----.jpg        Honteux, humilié, ne sachant quoi répondre, je m’installais sur la table. Horreur !!! Dans cette position, ne pouvant écarter les jambes, le short ne cachait plus du tout la cage ! Je ne pouvais pas le toucher étant regardé. L’infirmière terminait de préparer le matériel. Dès qu’elle eut le dos tourné j’essayais en vain de cacher la cage qui faisait une montagne sous le short et qui devait apparaître lorsque l’on est aux pieds car elle était à la limite ! On pouvait donc voir ce que je portais dessous ! Mon malheureux pénis en cage et mes testicules séparées ! Mon 06---Cardio.---D----.jpgcœur se mit à battre de plus en plus vite et fort ! J’étais vraiment très mal à l’aise ! L’infirmière commença par poser le cathéter et la première perfusion. Elle installait des patchs et des pinces aux bras, sur le torse et aux mollets qu’elle reliait aux différents appareils. Un grand sourire irradia son visage lorsqu’elle s’occupa de mes jambes et qu’elle dut apercevoir la cage. Je faisais semblant de ne pas avoir vu mais je devais être écarlate de honte, de frustration et d’humiliation ! Elle alla voir sa collègue et lui parla discrètement. Elle se leva et en passant devant moi, elle jeta un coup d’œil sur le short et sorti avec un grand sourire. Elle revint 07 - Cardio. - D - -peut de temps après avec deux autres collègues. Quand la porte s’ouvrit et que je vis le défilé qui allait débuter, je fermais les yeux. Je les gardais très légèrement entre-ouvert pour regarder mes visiteuses me déshabiller des yeux, le peu qu’il me restait. Elles chuchotaient en me jetant des regards furtifs. Chacune à son tour, elles se mettaient en face de moi et avaient une vue plongeante sur la cage. Les commentaires allaient de bon train quand la spécialiste arriva. Avec soulagement je la saluais et les visiteuses en profitèrent pour quitter la pièce. Le médecin me ré-expliquait le déroulement et invita l’infirmière à lancer la première 08 - Cardio. - D - -injection et à installer un brassard pour la tension. Il allait la prendre toutes les minutes. Elles vérifiaient les appareils et la doctoresse débuta l’échographie des coronaires et du cœur en prenant des mesures. Elle invita l’infirmière à injecter le second produit. Dès qu’il arriva dans la veine du bras et se diffusait dans tout le corps je sentis une sensation de chaleur qui se propageait ! Mon palpitant se mit à battre de plus en plus vite. À intervalle régulier, je sentais le brassard se gonfler. Mon cœur battait de plus en plus vite et fort et des bouffées de chaleurs s’échappaient de mon corps. Après une vingtaine de minutes, le médecin demanda 09 - Cardio. - D - -d’injecter le dernier produit. Je sentis de suite mon cœur reprendre son cour normal. Après quelles que minutes, elle vérifia que tout était entrer dans l’ordre et demanda à l’infirmière de tout stopper. Elle m’expliqua qu’elle ferait un rapport qu’elle transmettrait à mon cardiologue. Avec soulagement, je voyais débrancher toutes les connexions et ôter de mon corps les patchs. L’infirmière, quand elle eut terminé, m’invita à passer dans la pièce contiguë où mon cardiologue attendait. Il m’invita à m’allonger sur sa table après s’être salué. Il fit à son tour une échographie et notait les différents résultats. Lorsqu’il eut terminé son examen, il m’invita 10 - Cardio. - D - -à me rhabiller et revenir le voir. Je repassais dans la première pièce et avec soulagement, je me rhabillais une nouvelle fois. Je retournais voir mon médecin. Il m’expliqua qu’il désirait un nouvel examen : la MAPA tensionelle car il avait remarqué de petites anomalies. Je lui demandais de m’expliquer la différence entre le Holter et la MAPA. Il me répondit !

  • -    " Le "Holter" consiste à enregistrer le cœur de manière continue c'est à dire un électrocardiogramme sur une période de 24 heures. La "MAPA"  est la Mesure Ambulatoire de la Pression Artérielle c'est à dire 11 - Cardio. - D - -la prise de la tension à intervalle régulier sur une période de 24 heures.
  • -    Je vous remercie docteur."

        Il dictait un mot pour ma généraliste. Terminé, nous nous rendions à son secrétariat pour prendre rendez-vous pour l’examen. Il me proposait le mardi prochain à 14h00. Je lui expliquais que j’avais rendez-vous à 10h00 chez le pneumologue et je lui demandais si je pouvais passer de suite après pour éviter un aller-retour. Il accepta à condition que je sois là avant 11h30. Je devrai le rapporter le lendemain à 14h00. Il attendait tous les résultats pour faire le renouvellement de l’ordonnance. Je le remerciais12 - Cardio. - D - - et nous nous saluions. Je devais encore retourner aux toilettes repositionner tous les attributs du slave. À chaque pas je ressentais les picots pénétrer dans le gland et l’excité. Cette cage est vraiment trop humiliante et dégradante ! J’arrivais dans le hall lorsque j’aperçus mes cousins en train de boire à une table. Heureusement les toilettes étaient proches de moi. Rapidement et discrètement, je traversais et je rentrais dans les premières ouvertes. Je fermais la porte à clef. Pour la septième fois de la journée, je me déshabillais. Je préparais le portable sur le bord du lave-mains et je sortais de la sacoche le collier et sa médaille, le plug N° 04, le lubrifiant et la ceinture. Avant d’enlever définitivement le short, je le photographiais. Je posais le téléphone sur le carrelage et je lubrifiais le plug. Je prenais en gros plan la petite fleur du slave. Je lui présentais son visiteur graissé et je commençais à l’introduire. Je la sentais s’ouvrir progressivement et avaler la première boule. Je maintenais le pression et elle s’ouvrit un peu plus lorsque le plug butta contre le premier anneau. Il s’ouvrit aussi sous la pression du visiteur et quand la petite fleur avala son hôte, l’anneau gobait sa boule. Je le sentais positionné entre les deux mais il se mit à pousser. Je le 13 - Cardio. - D - -maintenais un instant en place, le temps que tout le monde se calme. Je prenais alors la ceinture et je le bloquais avec. Je fermais le collier à sa place avec la médaille en avant comme commandé par Maître Michael. Je prenais les derniers clichés du slave nu avec ses attributs. Je me rhabillais enfin pour la dernière fois de la journée. Je me lavais les mains et je rageais dans la sacoche le lubrifiant et le short. Quand je fus prêt, j’ouvrai la porte et je sortais. La famille n’était plus à leur place. Je regardais autour de moi mais personne. Je sortais donc de cet établissement pour rejoindre mon véhicule et me rendre au bureau terminer ma journée de travail. Sur le trajet, je me remémorais cette journée frustrante, humiliante et avilissante pour le slave que je suis. Je me rendais compte que j’avais évité un maximum de maudire les instructions de mes Masters et les commentaires des visiteurs.

        C’est pourquoi, je remercie vivement Master Éric et Maître Michael, mes Masters, pour me faire évoluer dans la soumission et l’obéissance. Je gratifie aussi les visiteurs du blog et leurs commentaires qui alertent mes Maîtres pour mes manquements et leurs appréciations.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Consignes des Maîtres - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

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