Samedi 5 août
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07:49
Mercredi 2 août.
Après une nuit difficile, je me levais. Je me faisais un bon café et je passais à la salle de bain. Je réalisais un bon
nettoyage de la cage avec mon index. J’avais pris mes instructions auprès de Maître Michael. Comme c’était un jour spécial, il m’autorisait à porter le boxer blanc. Je le préparais dans un sac
avec une serviette et du gel. Je partais en avance car j’avais pris le premier rendez-vous. En me rendant à ma voiture, les pics s’étaient remis à torturer mon pauvre gland. Je sentais dans mon
côlon, le premier anneau jouer avec les boules du plug N°4. En m’asseyant dans le véhicule, il pénétrait encore plus profondément ce qui excita encore plus mon trou qui tentait de pousser et de
mouiller. Les pics en profitaient pour maltraiter un peu plus ma pauvre queue.
Suivant les commandements, je stationnais à l’écart pour me
changer. J’installais sur la banquette arrière la serviette. J’enlevais mon pantalon et je prenais un cliché avant d’enlever la ceinture et le plug. Mon trou
libéré, je le séchais et je faisais un nouvelle photo de la cage. Je prenais le boxer que j’enfilais toujours assis à l’arrière de la voiture. De temps en temps, je
jetais un coup d’œil à l’extérieur pour vérifier que personne n’arrivait. Je le photographiais avant de renfiler le jeans. Je déverrouillais la collier que je rangeais dans le sac avec les autres
attributs. Je sortais et je reprenais ma place pour me garer au plus près de cabinet.
Je rentrais par la porte arrière qui était ouverte pour aérer le
cabinet médical. Les portes du médecin étaient
fermées et j’entendais, au loin, des paroles
étouffées. Je saluais le secrétaire qui m’informait que la doctoresse avait une urgence. Je discutais un moment avec lorsque la porte du cabinet s’ouvrit après un bref coup de sonnette. Une femme
entrait et nous saluait. Nous lui répondions et elle allait s’asseoir. Nous continuions notre
conversation le temps que le médecin termine sa consultation. Des paroles étouffées nous parvenaient sans pouvoir en comprendre le sens. Au bout d’un certain temps, la
porte s’ouvrait et la doctoresse raccompagnait un jeune homme. Elle m’invitait à entrer. Mon palpitant si mit à battre la chamade, les pics empalaient ma pauvre queue et je serrais les dents pour
retenir mon trou qui voulait jouer. Je m’assaillais et je lui donnais mes papiers. Elle m’invitait à me mettre en sous-vêtement. Je m’exécutais et je me retrouvais avec seulement le boxer. La
cage se devinait à cause de l'amputation de la doublure. Après avoir pris les premières mesures, elle me demandait de m’allonger. Mon cœur se mit à battre encore plus fort. Je sentais chaque
pulsation dans la poitrine jusqu’aux oreilles. La cage se trouvait mise en évidence. Le médecin me dit alors : "Tu porte toujours ton jouet ! " Ne sachant quoi répondre, me sentant humilié et
frustré, je me taisais. Je
sentais le sang affluer au visage. Quand elle eut terminé son auscultation, elle m’invitait à me rhabiller. Sans mot dire, je m’exécutais le temps qu’elle rédige le renouvellement. Comme elle
avait pris du retard, j’abrégeais la discussion en prétextant qu’elle jouait les prolongations.
J’avais trop envie de m’enfuir. Après avoir rangé l’ordonnance et mes papiers nous nous disions au revoir. Comme la porte arrière était encore ouverte je sortais par-là.
Cela m’évitait de repasser devant le secrétaire. Je regagnais ma voiture et j’allais stationner dans un coin pour remettre tous les attributs du slave. J’installais une nouvelle fois la serviette
de toilette sur la banquette arrière. Je m’assaillais dessus et je baissais mon pantalon. Avant d’ôter le boxer, à contre-cœur, je le reprenais en photo une dernière fois. Les pics de la cage ne
cessaient de martyriser mon malheureux gland, ce qui l’excitait et provoquait une érection incessante et contrariée. Par intermittence, je regardais à
l’extérieur pour vérifier qu’il n’y avait personne à l’horizon. Je posais la ceinture pour maintenir plus facilement l’intrus qui allait se présenter à mon trou éprouvé. Je graissais légèrement
le plug et mon trou. Je levais les jambes et je posais les pieds contre le dossier du siège devant moi pour présenter la nouvelle entrave à mon orifice. J’enfonçais la première boule puis la
seconde. Je sentis l’anneau intérieur monter sur la première sphère et la gober. Je le bloquais immédiatement en repositionnant le bloc-plug. Je terminais les
attributs en installant le collier. Je commençais par présenter la médaille puis, je tournais le collier pour l’installer en arrière et je la cachais sous le col de
chemise. Lorsque tous les attributs étaient en place, je remettais le jeans et mes baskets. Je rangeais dans le sac, le lubrifiant et la serviette.
Je reprenais place sur le siège conducteur. En me rendant au
bureau pour une nouvelle journée de labeur, je déposais mon ordonnance à la pharmacie. Je la reprendrais le soir en sortant du travail.
Je remercie vivement mes Maîtres pour avoir pris en compte ce jour
spécial et d’avoir permis le port du boxer blanc

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335
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Publié dans : Chez le Médecin
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Bonjour Master Éric et Maître Michael,
Je ne pense pas que ce soit normal que votre salope a de la pilosité apparente ! Je vois sur son pubis, ses couilles de beaux poils qui apparaissent. De même pour sa barbe de plusieurs jour. Votre sous-merde était-elle autorisé à ne pas être lisse. Sinon cela mérite une sanction.
Le port du boxer devrait être exceptionnel. Sa doctoresse risquera d’être déçue par son patient.
Master Phénix.
Bonjour Master ERIC et Maître MICKAEL,
Exercice bien relaté! Je note que le Bastard est désormais pris de court lors de la " suggestion" de la Doctoresse au sujet de la cage, mais aussi que le Bastard est mentalement excité ( début d'érection ) quand maintenant il préfère se mettre le cul nu sur le siège arrière avec les pieds levés. Aurait il une tendance à aimer se sentir exhibitionniste.
J' ai pu constater une reprise de la pilosité notamment sur les bourses et il serait bon que pour chaque exercice le N° de la clé soit bien lisible au moins une fois. J' espère que l' autorisation du port du boxer n' est que occasionnelle ! .
Mr Alain44