Bâstard à KC - Sous Merde N° 411-103-335

Vœux 2023

Master Mickael vous souhaite

ses meilleurs vœux pour cette nouvelle année.

Il vous invite sur le vol d' AIR BDSM 2023…,

pour vos divertissements et votre satisfaction.

Le slave n°411-103-335 propriété de Maître Mickaël vous présente également ses meilleurs vœux pour la nouvelle année et reste à disposition des maîtres et des slaves car il est inférieur à eux pour toutes demandes en accord avec son maître. Une seule condition, le bâtard, n'a pas le droit d'utiliser sa nouille et ses noisettes qui ne servent à rien. Sa nouille reste en cage tout le temps que son maître désire. Seul son maître décide de la purge de ses noisettes.



Pendant

le déroulement

de cette traversée,

La sous-merde est là pour

1 an d'hégémonie des Masters.

12 mois d'obéissance et d'allégence,

365 jours d'ignominies et d'humiliations,

8 760 heures de déconvenues, de frustrations,

525 600 minutes d'asservicement et de soumission,

31 536 000 secondes de servitude, de béatitudes pour

votre distraction

 et vos 

plaisirs





Bonjour a tous

    Voici le nouveau collier que la sous merde va commander .

C'est le slave qui l'a trouvé et m'a demandé mon avis.

Personnellement , je le trouve très bien et il pourra y mettre sa médaille

Ou cliquez sur la photo :  

Master Mickael

Bonjour à tous

dernièrement un master inscrit à la newsletter m'a contacté par mail me demandant de mettre l'adresse de ce blog sur sa page facebook.

Il m'a fait egaleement parvenir ce qu'il avait réalisé.

En voyant l'image, j'ai accepté son initiative.

Voici ce qu'il a réalisé.

La sous merde a vu le document et a commerncer a vouloir pigner comme toujourrs. Je lui ai fait comprendre que ca montrait sa place de sous merde, de slave et que je faisais ce que je voulais.

Merci a ce master pour l'image

Maitre Mickael

Mes regrets :

          Suite à une erreur de manipulation, j'ai supprimé par mégarde un commentaire de Maître Phénix. Maitre Mickael a été mis au courant en recevant un mail de Master Phénix dans ma boite mail de slave qu'il contrôle. Il m'a aussitot infligé une punition pour avoir commis cette faute d'enlever les commentaires et d'avoir reconnu les faits. Pour cela, Maître Mickaël a ordonné que je fasse une photo nu, à genoux, mains sur la tête avec toujours la maudite cage qui enchâsse ma malheureuse nouille et  qui m’empêche de retrouver mes érections habituelles qui sont réservées aux vrais mäles et aux slaves.

         Dans cette position je présente toutes mes excuses à Master Phénix pour avoir commis l'erreur d'enlever un ou plusieurs de ses commentaires et que je ne recommencerais pas cette faute.

         Moi étant qu'une sous merde inférieures aux maitres et aux slaves, je n 'ai pas à connaitre le plaisir d'avoir des érections. Ma pauvre nouille, gonflée à bloc, est à l'étroit dans cette prison et restera dans la cage tant que Maitre Mickael le decidera.

       J'espère, vivement, que Maître Phénix, dans sa bonté, acceptera mes sincères excuses et dans sa bonté et sa clémence pardonnera la sous merde  que je suis.

Bastard à KC slave n°411-103-335

Suivi Médical

         Ce mercredi, en début d'après-midi, je prenais une douche car j'avais un rendez-vous avec le cardiologue. Avant que la consultation ne débute, je me préparai mentalement à ce que cette visite soit humiliante et dégradante. Je m'habillais en débutant par le "maudit"boxer blanc qui met en évidence la cage, un maillot de corps, une ceinture abdominale, un pull, un treillis, une paire de chaussettes et des baskets. Avant de boutonner le pantalon, je prenais un cliché de l'ignoble sous-vêtement que Maître Mickaël avait choisi et qui allait me porter "malheur". Lorsque mes chauffeurs sonnèrent à la porte, j'enfilais ma parka et je les retrouvais dans le hall de l'immeuble. Après avoir fait l'enregistrement de ma visite, je rejoignais la salle d'attente. Une infirmière que je connaissais malheureusement, vint me chercher et m'invitait dans une salle où elle me demandai de me mettre en sous-vêtement. Mes déboires ne faisait que de débuter. Je commençais à m’exécuter quand la porte s'ouvrit et un interne pénétra. Il m'invitait à continuer à me déshabiller tout en m'expliquant qu'il ferait les premiers examens. Mon palpitant battait de plus en plus vite et des émotions d'humiliations et de frustrations montaient en moi. J'étais "enfin" en sous-vêtement, je m'allongeais sur la table d’examen. En levant un peu la tête je ne voyais que cet "everest" qui se dressait dans mon boxer. Je maudissais cette cage et ce sous-vêtement qui la mettait à l'honneur. L'infirmière plaçait sur mon torse des patchs pour l’électrocardiogramme. Elle me demandait de ne plus bouger ni parler. Je fermais les yeux pour ne pas regarder leurs expressions mais je sentais leurs yeux me dénuder et deviner ce qui faisait ce monticule. Elle fit la réflexion que mon moteur était en train de s’emballer…. Effectivement, j'avais l'impression que mon cœur allait exploser dans ma cage thoracique. Elle continuais en vérifiant que ma tension était bonne. Terminé, c'est l'interne qui prit la suite pendant que l'infirmière m'enlevait les pastilles sur ma poitrine. Il s'assit sur ma gauche, et avait à coté de lui, un appareil pour le Doppler. Tout en m'expliquant l'inspection qu'il ferait avec une sorte de crayon, son regard balayait la partie intermédiaire de mon corps, en ayant un sourire en coin qui voulait dire beaucoup !!! Il débuta par la jambe gauche, près de lui, et son stylo descendait et montait tout le long. Il me demandait aussi d'ouvrir la cuisse et de tourner la jambe. Il fit le tour de la table et se rassit sur son siège. Il continuait par la jambe droite et me la fit tourner dans tous les sens. Plus l'analyse prenait du temps et plus j'avais la sensation qu'il prenait un malin plaisir à faire durer l'inspection des jambes d'autant plus qu'il avait un spectateur qui stationnait à coté de lui, l'infirmière n'avait pas l'intention de s’éclipser. Il termina en m'expliquant qu'il n'y avait pas de dégradation depuis un an. Il remballait son matériel pendant que je revêtais le maillot de corps, le pantalon et la parka. Je prenais sous les bras le reste des vêtements car je devais passer dans la salle voisine où le médecin terminerai les examens et ferait son diagnostic. Je reprenais la position sur une nouvelle table dans la même tenue que précédemment. J'avais de plus en plus honte avec des relents de frustrations et d'avilissements. Le médecin entra enfin. Il me reconnu et après quellques formalités d'usage s’assit à coté de moi et découvrit plus précisément mon boxer et le monticule qui pointait. Il me dit que j'avais toujours des sous-vêtements très tendance Je ne pouvais qu’acquiescer car j'étais de plus plus mal à l'aise et mon palpitant risquait de sortir de son coffre. Après avoir enduit mon torse d'un peu de gel, il entamait l'échographie du cœur. Je dû me mettre sur le côté pour la suite de ma torture. Il terminait enfin et rangea son matériel en m'autorisant à me rhabiller. Je m'exécutais sans rien dire mais heureux que mon supplice se termine enfin. Il regarda mon dossier et dicta le courrier pour les autres médecins. Il rédigea le renouvellement de l'ordonnance. Quand je fut près je le saluais pour un an. Je passais aux toilettes pour ôter le boxer et prendre en photo la prison de ma pauvre nouille qui ne sert à rien juste à pisser. Je demandais, ensuite, à la secrétaire d'appeler mes chauffeurs que je retrouvais à l'accueil. Ils me ramenèrent chez moi et j'ai pu reprendre ma vie sans public, momentanément….

Première Visite Médicale

         Suivant les instructions de Maître Mickaël, pour les visites médicales, je me préparais chez moi en enfilant le boxer blanc, qui dissimule que modérément, la maudite cage de chasteté. Je continuais à m'habiller avec un jeans, un maillot de corps, un pull, une paire de chaussettes, des baskets et une veste. Je prenais un cliché du boxer avant de boutonner le jeans. J'attendais l'ambulance qui allait m'emmener au centre hospitalier. Lorsque ils arrivaient, je montais dans le véhicule et nous partions pour mon rendez-vous. Un ambulancier m'accompagnait au secrétariat. Après les formalités,j'attendais une paire de minutes qu'une infirmière vienne me chercher pour effectuer les tests respiratoires. Après une trentaines de minutes de tests, je revenais en salle d'attente.  Comme j'étais le premier rendez-vous de l'après-midi, je n'attendais qu'un petit instant avant que le docteur vienne me chercher et me fasse rentrer dans son bureau. Il me demandait comment je me portais après ces cinq mois et demi d'hospitalisation et de rééducation. Je lui faisais un résumé succinct des derniers mois car, pendant mon hospitalisation, il venait prendre de mes nouvelles régulièrement. Il me demandait de me mettre torse nu. J'allais retirer mon jeans quand il me dit que ce n'était pas nécessaire comme il avait fait une consultation complète avant de partir en rééducation. Je l'en remerciais. Je n'aurai pas l'humiliation de me retrouver allonger avec le maudit boxer qui ne dissimule que partiellement la cage qui en profite pour faire un super renflement. Je retirais mon pull et mon maillot de corps. Avec son stéthoscope, le médecin effectuait son "Contrôle technique" sur mes poumons et ma respiration. Je faisais mon possible pour contrôler mon palpitant tout en répondant à ses questions. Quand il eu terminé son inspection, en allant à son bureau, il m'autorisait à me rhabiller et il dicta, dans son magnéto portable, le courrier de synthèse à l'intention des autres médecins qui me suivent. Il rédigeait mon renouvellement d'ordonnance et me donnait mon prochains rendez-vous dans six mois. Après encore quelques échanges, nous nous séparions. Je passais au secrétariat pour demander d'appeler les ambulanciers et leur dire que j'attendrai à l'accueil. Je descendais au rez-de-chaussé. En sortant de l’ascenseur, je les voyais et ils me dirent qu'ils étaient resté boire un café en m'attendant. Mon palpitant se mit à battre la chamade. Je leur demandais un instant car je devais passer aux toilettes avant de partir. Maître Mickaël avait donné des instructions précises. Je devais retirer le boxer, prendre un cliché de contrôle avant de rentrer chez moi. Je pénétrais dans la première toilette et je fermais la porte à clef. Je déboutonnais le jeans et je le laissais tomber sur les chevilles. Je dégrafais le boxer. Je le roulais et le rangeais dans ma parka. Je photographiais rapidement la prison de ma nouille. Je mettais, rapidement en place, le jeans et fermais, tout aussi vite, la veste. Je retrouvais mes chauffeurs et nous regagnions l'ambulance qui nous ramènerai chez moi. Ce boxer montre tres bien la place de ma nouille en cage et mon statut de sous merde que je suis. Je remercie Maitre Mickael pour cela. C'est vrai je ne suis pas un vrai male et que mon jus pourris ne sert a rien dans mes noisettes et que ma nouille ne sert qu'a pisser.

         Après plusieurs problèmes de santé et divers hospitalisations, je reprenais contact avec Maître Mickael. Dès mon premier contact, j'avais ordre de me raser intégralement et de poser une cage de chasteté avec un cadenas numéroté (Voir article de mon Master). Je m'apercevais qu'une de mes noisettes arrivait à sortir, et donc, la cage pouvait s'en aller. Un changement de cage était nécessaire en trouvant une solution pour que cela ne se reproduise pas. Une nuit, je me souvenais qu'avec la cage, je portais un cockring en caoutchouc.

         Je contrôlais le diamètre de ce dernier qui fait 45 mm. Je sortais tous les anneaux de la cage. Celui que j'avais posé était le plus grand. Le plus petit fais 40 mm, le moyen 45 mm et le grand 50 mm de diamètre. A chaque étape, je devais faire une photo.... Avant de rafraîchir le rasage du pubis et de tous le corps, je prenais un cliché. Terminé, je saisissais l'anneau intermédiaire et, après quelles que difficultés, j'introduisais mes deux noisettes et ma nouille dedans. Je continuais avec le reste de la cage et je condamnais l'ouverture avec le cadenas numéro "168 589". je l'immortalisais avec une nouvelle photo. Pour terminer, j'enfilais le boxer que je devrai porter lors de mes prochaines visites médicales prevues dans les cabinets médicaux. Mes craintes se confirmaient, le boxer très fin et moulant à cause de la taille trop petite, accentuait le renflement de la cage, que Master Mickael avait choisi. Lors de mes prochaines visites, quand je devrai me mettre en sous-vêtement, je crains fortement les diverses réactions des médecins, je me sentirai très mal à l'aise mélangé à de l'humiliation et de la frustration. Je devrai le mettre en place avant mon départ de chez moi. Malheureusement, je devrai l'enlever dès que la visite sera terminée et je devrai rentrer chez moi sans sous-vêtement . Pour les visites médicales à domicile, je dois mettre mon short blanc choisi par Master Mickael sans rien dessous à part la cage et le porter à la taille normale et ne pas faire tout ce qu'il faut pour que la cage ne sorte pas du short et qu'elle puisse etre vu par mon medecin lors de ses visites a domicile ou bien par les personnes  venant me voire. Je suis un batard, une sous merde et ce short blanc montre bien ma place.