Mercredi 9 août
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06:25
Le lundi 7 août.
Comme la météo annonçait le dernier jour de beau et que nous n’étions plus sous "Alerte canicule", je demandais à mon directeur une journée de congé, ce qu’il acceptait. Je me préparais en
passant à la salle de bain pour parfaire le rasage du corps. Chaque fois que je dois le faire, je trouve ce travail toujours aussi humiliant et dégradant de devoir supprimer tout poil ! Je
préparais mon sac avec une bouteille d’eau, un livre et une serviette. Comme me l’avait commandé Maître Michael, j’enfilais un short estropié de son slip intérieur, une chemise et mon gilet sans
manche. Je portais aussi le collier et sa médaille que je positionnais sur le torse, la cage qui emprisonne ma malheureuse queue et le plug N°3 qui tient seul. Quand tout mon attirail était près,
je regardais par le juda.
Le couloir était éteint et donc personne en vue !
J’ouvrais
ma porte et je gagnais l’ascenseur. La descente fut longue et mon palpitant se mit à battre de plus en plus vite. Quand les portes s’ouvraient, je regardais rapidement
dans le hall d’entrée. J’étais rassuré car il n’y avait personne en vue. Avant de sortir, je vérifiais la cour.
Comme il y avait des voisins
qui se rendaient dans la montée d’en face, j’attendais un instant. Mon cœur battait de plus en plus fort et ma malheureuse queue était martyrisée par les pics. Quand j’étais sûr que la cour était
libre, je me rendais à ma voiture ! La médaille sautillait sur mon torse à chaque pas. Pire, quand j’avançais la jambe gauche, la saleté de cage sortait de plus en plus ! Je m’empressais à
déposer le sac dans le
coffre et je prenais place sur le siège conducteur. En m’assaillant, je sentis le plug pénétrer plus profondément ! Mon trou se mit à pousser et mon malheureux gland
se faire empaler par les picots de la cage. Je m’apercevais que la cage sortait toujours du mini short. Suivant les ordres que j’avais reçus, je devais prendre des photographies de chaque étape.
Je
commençais donc par la médaille sur le torse puis la maudite cage qui
dépassait. J’avais 45 minutes de voiture pour me rendre à destination. Lors d’un arrêt, je vis à mon grand regret que le short s’était replié et remontait encore plus laissant voir, non seulement
la cage mais aussi le cadenas ! Je maudissais les shorts qui avaient étés gardés et encore plus l’ablation des slips intérieurs. À cause de la coupe et de la matière, ils étaient tous
aussi
humiliants ! J’arrivais à destination et je garais le véhicule. Je sortais mon sac et le transat du coffre. J’allais me mettre en route lorsqu’un couple me dépassa. Je priais pour qu’ils ne se
rendent pas à la petite plage à l’écart. J’essayais en vain de les dépasser. Chaque nouveau pas faisait remonter un peu plus le maudit short et faisait apparaître encore plus la maudite cage. Je
regrettais de plus en
plus l’ablation des sous-vêtements. Mon palpitant battait toujours la
chamade et les pics empalaient de plus en plus mon pauvre gland, ce qui provoquait une érection permanente. Par moments, je sentais un filament se coller sur ma cuisse. Mes pauvres couilles sont
tellement pleines qu’elles demandent qu’a être vidangées. Devant moi, je voyais le couple quitter la plage et monter le talus. À mon grand regret, ils allaient prendre ma
place dans la
petite enclave à l’écart. Je devais donc rester au bout de la plage la plus étendue à mon grand regret. Je prenais la place à l’extrémité, ainsi il y aura moins de monde à passer devant moi pour
gagner un emplacement. Je déposais le transat et j’immortalisais les lieux déserts. Je continuais par le short, la chemise et le collier avant de me mettre en tenue d’Adam. Je posais mon sac à
dos. J’installais le transat et je sortais la serviette que j’étalais dessus. À la demande de Mr Alain, je prenais un cliché de face
et un de pieds avec le
retardateur. J’espère qu’un minimum de personnes verront ces photos dégradantes. Je terminais par l’intrus qui obstruait mon petit trou. Je m’allongeais et je prenais un dernier cliché. Je
m’allongeais sur le ventre pour faire une petite sieste. Je m’apercevais alors que le plug était mis en exposition ce qui n’est pas le cas sur le dos. Au bout d’un certain temps, j’entendis des
voix s’approcher. Je me retournais pour regarder. Un couple s’approchait. Lorsqu’ils s’aperçurent que j’occupais le bout de place, ils s’installaient à quelles que mètres avant. Je prenais mon
livre et continuais la lecture de
mon roman. La cage, mon collier et sa médaille étaient en évidence. Je me sentais mal à l’aise ainsi. Surtout la cage en publique est encore plus
humiliante et dégradante, surtout lorsque les pics s’amusent à supplicier ma pauvre queue. Pour une fois, il y avait peu de passage de voyeurs. Les lieux étaient surtout occupés par des couples
que j’apercevais au loin. Je soufflais un moment et mon palpitant pu reprendre un rythme plus calme. En milieu d’après-midi, un homme passa devant moi avec un regard insistant sur les attributs
du slave. Heureusement la conversation restait sur les politesses d’usages. Je maudissais ses yeux qui scrutaient chaque centimètre de mon pauvre corps.
Le vent se mit à se lever et de
gros nuages apparaîtrent au loin. Tout doucement les températures tombaient. Au fur et à mesure, je voyais mes voisins plier bagages. Au bout d’un certain temps, les nuages obscurcirent le
soleil. Je me décidais à plier bagage. Je rangeais mes affaires dans le sac et je repliais le transat. Je me rhabillais avec le short la chemise, le gilet, des socquettes et mes baskets. Je
regagnais ma voiture. L’humiliation reprenait de plus belle, à chaque nouveau pas le short remontait et laissait apparaître de plus en plus la cage. Je croisais des couples qui me dépassaient et
examinaient longuement mes attributs, le collier, sa médaille et la cage où
le cadenas se dévoilait de
plus en plus sous le mini short. Les femmes semblaient les plus intéressées par ce carcan…. Je me sentais, pour ma part, de plus en plus mal, humilié et frustré par l’amputation du slip
intérieur. J’arrivais enfin à ma voiture ! Je déposais dans le coffre, le sac et le transat. Je reprenais place sur le siège conducteur. En m’assaillant, le plug s’enfonçait plus profondément et
excitait l’anneau. Les pics continuaient à empaler et supplicier ma pauvre queue. Je devais conduire avec tout ce petit monde en fête. Je rentrais chez moi avec difficulté. Arrivé au parking,
j’attendais un instant que les voisins rentrent chez eux pour sortir de mon véhicule. Je prenais mon sac et rapidement je gagnais la porte d’entrée de ma montée. Je poussais un souffle de
soulagement lorsque je me retrouvais seul dans l’ascenseur.
Malgré les sentiments de frustrations,
d’humiliations et d’avilissements que j’ai eus pendant cette journée, je dois remercier mes Masters pour cette nouvelle étape dans mon éducation.
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