Le blog de Bâstard a KC Sous merde n°411-103-335

Bienvenu sur le blog de Bâtard a KC : Sous merde N° 411-103-335. Sous le contrôle de ses Masters, il doit faire ce qui est demandé sans rechigner. N’hésitez pas à laisser des commentaires sur les différents articles qu'il publie sous les ordres de ses Masters.
Il fait aussi ce que les males demandent de faire après avoir reçu la validation de ses Masters. Ce n'est pas un male mais un slave, une sous-merde, un bâtard et il doit être traité comme tel.
Sous cage de chasteté, seuls ses Maîtres décident de ses jouissances afin de le purger de son jus pourris qui ne sert à rien.
N'hésitez pas à laisser des commentaires dans les différents articles publiés ici par notre slave ou nous même. Ça l'humilie encore plus. Le site ayant un bug, vous pouvez lui envoyer vos commentaires qu’il nous fera suivre. Son adresse est bastardakc@hotmail.fr ou en suivant ce lien
Notre slave est a dispos de tous mâles souhaitant l'utiliser et autres en Cam ou réel aussi avec prises de photos et rapports ensuite publiés sur le blog. Même les soumis peuvent l'utiliser car son statut est inférieur à eux et leur doit respect et leur obéir aussi

Mercredi 9 août 3 09 /08 /Août 06:25

Le lundi 7 août.

01 - Le Lac - D - -.-        Comme la météo annonçait le dernier jour de beau et que nous n’étions plus sous "Alerte canicule", je demandais à mon directeur une journée de congé, ce qu’il acceptait. Je me préparais en passant à la salle de bain pour parfaire le rasage du corps. Chaque fois que je dois le faire, je trouve ce travail toujours aussi humiliant et dégradant de devoir supprimer tout poil ! Je préparais mon sac avec une bouteille d’eau, un livre et une serviette. Comme me l’avait commandé Maître Michael, j’enfilais un short estropié de son slip intérieur, une chemise et mon gilet sans manche. Je portais aussi le collier et sa médaille que je positionnais sur le torse, la cage qui emprisonne ma malheureuse queue et le plug N°3 qui tient seul. Quand tout mon attirail était près, je regardais par le juda.

        Le couloir était éteint et donc personne en vue ! J’ouvrais02 - Le Lac - D - -.- ma porte et je gagnais l’ascenseur. La descente fut longue et mon palpitant se mit à battre de plus en plus vite. Quand les portes s’ouvraient, je regardais rapidement dans le hall d’entrée. J’étais rassuré car il n’y avait personne en vue. Avant de sortir, je vérifiais la cour. 03 - Le Lac - D - -.-Comme il y avait des voisins qui se rendaient dans la montée d’en face, j’attendais un instant. Mon cœur battait de plus en plus fort et ma malheureuse queue était martyrisée par les pics. Quand j’étais sûr que la cour était libre, je me rendais à ma voiture ! La médaille sautillait sur mon torse à chaque pas. Pire, quand j’avançais la jambe gauche, la saleté de cage sortait de plus en plus ! Je m’empressais à déposer le sac dans le04 - Le Lac - D - -.- coffre et je prenais place sur le siège conducteur. En m’assaillant, je sentis le plug pénétrer plus profondément ! Mon trou se mit à pousser et mon malheureux gland se faire empaler par les picots de la cage. Je m’apercevais que la cage sortait toujours du mini short. Suivant les ordres que j’avais reçus, je devais prendre des photographies de chaque étape. Je 05 - Le Lac - D - -.-commençais donc par la médaille sur le torse puis la maudite cage qui dépassait. J’avais 45 minutes de voiture pour me rendre à destination. Lors d’un arrêt, je vis à mon grand regret que le short s’était replié et remontait encore plus laissant voir, non seulement la cage mais aussi le cadenas ! Je maudissais les shorts qui avaient étés gardés et encore plus l’ablation des slips intérieurs. À cause de la coupe et de la matière, ils étaient tous06 - Le Lac - D - -.- aussi humiliants ! J’arrivais à destination et je garais le véhicule. Je sortais mon sac et le transat du coffre. J’allais me mettre en route lorsqu’un couple me dépassa. Je priais pour qu’ils ne se rendent pas à la petite plage à l’écart. J’essayais en vain de les dépasser. Chaque nouveau pas faisait remonter un peu plus le maudit short et faisait apparaître encore plus la maudite cage. Je regrettais de plus en 07 - Le Lac - D - -.-plus l’ablation des sous-vêtements. Mon palpitant battait toujours la chamade et les pics empalaient de plus en plus mon pauvre gland, ce qui provoquait une érection permanente. Par moments, je sentais un filament se coller sur ma cuisse. Mes pauvres couilles sont tellement pleines qu’elles demandent qu’a être vidangées. Devant moi, je voyais le couple quitter la plage et monter le talus. À mon grand regret, ils allaient prendre ma08 - Le Lac - D - -.- place dans la petite enclave à l’écart. Je devais donc rester au bout de la plage la plus étendue à mon grand regret. Je prenais la place à l’extrémité, ainsi il y aura moins de monde à passer devant moi pour gagner un emplacement. Je déposais le transat et j’immortalisais les lieux déserts. Je continuais par le short, la chemise et le collier avant de me mettre en tenue d’Adam. Je posais mon sac à dos. J’installais le transat et je sortais la serviette que j’étalais dessus. À la demande de Mr Alain, je prenais un cliché de face 09 - Le Lac - D - -.-et un de pieds avec le retardateur. J’espère qu’un minimum de personnes verront ces photos dégradantes. Je terminais par l’intrus qui obstruait mon petit trou. Je m’allongeais et je prenais un dernier cliché. Je m’allongeais sur le ventre pour faire une petite sieste. Je m’apercevais alors que le plug était mis en exposition ce qui n’est pas le cas sur le dos. Au bout d’un certain temps, j’entendis des voix s’approcher. Je me retournais pour regarder. Un couple s’approchait. Lorsqu’ils s’aperçurent que j’occupais le bout de place, ils s’installaient à quelles que mètres avant. Je prenais mon livre et continuais la lecture de10 - Le Lac - D - -.- mon roman. La cage, mon collier et sa médaille étaient en évidence. Je me sentais mal à l’aise ainsi. Surtout la cage en publique est encore plus humiliante et dégradante, surtout lorsque les pics s’amusent à supplicier ma pauvre queue. Pour une fois, il y avait peu de passage de voyeurs. Les lieux étaient surtout occupés par des couples que j’apercevais au loin. Je soufflais un moment et mon palpitant pu reprendre un rythme plus calme. En milieu d’après-midi, un homme passa devant moi avec un regard insistant sur les attributs du slave. Heureusement la conversation restait sur les politesses d’usages. Je maudissais ses yeux qui scrutaient chaque centimètre de mon pauvre corps.

11 - Le Lac - D - -.-        Le vent se mit à se lever et de gros nuages apparaîtrent au loin. Tout doucement les températures tombaient. Au fur et à mesure, je voyais mes voisins plier bagages. Au bout d’un certain temps, les nuages obscurcirent le soleil. Je me décidais à plier bagage. Je rangeais mes affaires dans le sac et je repliais le transat. Je me rhabillais avec le short la chemise, le gilet, des socquettes et mes baskets. Je regagnais ma voiture. L’humiliation reprenait de plus belle, à chaque nouveau pas le short remontait et laissait apparaître de plus en plus la cage. Je croisais des couples qui me dépassaient et examinaient longuement mes attributs, le collier, sa médaille et la cage où12 - Le Lac - D - -.- le cadenas se dévoilait de plus en plus sous le mini short. Les femmes semblaient les plus intéressées par ce carcan…. Je me sentais, pour ma part, de plus en plus mal, humilié et frustré par l’amputation du slip intérieur. J’arrivais enfin à ma voiture ! Je déposais dans le coffre, le sac et le transat. Je reprenais place sur le siège conducteur. En m’assaillant, le plug s’enfonçait plus profondément et excitait l’anneau. Les pics continuaient à empaler et supplicier ma pauvre queue. Je devais conduire avec tout ce petit monde en fête. Je rentrais chez moi avec difficulté. Arrivé au parking, j’attendais un instant que les voisins rentrent chez eux pour sortir de mon véhicule. Je prenais mon sac et rapidement je gagnais la porte d’entrée de ma montée. Je poussais un souffle de soulagement lorsque je me retrouvais seul dans l’ascenseur.

   13 - Le Lac - D - -.-   14 - Le Lac - D - -.-        Malgré les sentiments   de frustrations, d’humiliations et d’avilissements que j’ai eus pendant cette journée, je dois remercier mes Masters pour cette nouvelle étape dans mon éducation.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Les sorties du Slave - Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Retour à l'accueil

Présentation

  • : Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335
  • Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335
  • : gay Gay
  • : Sous-Merde propriété de Master Eric et Maître Mickaël. Il fait aussi ce que les Visiteurs demandent. Ce n'est pas un mâle mais une sous-merde, et il doit être traité comme tel. À la disposition de tous les Maîtres et slaves au Téléphone, en Web-cam sur Smboy ou Skype... Prises de photo et rapports publiés ensuite sur le blog sous le contrôle de ses Maîtres.
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Album photos

Voir tous les albums

Derniers Commentaires

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés