Le blog de Bâstard a KC Sous merde n°411-103-335

Bienvenu sur le blog de Bâtard a KC : Sous merde N° 411-103-335. Sous le contrôle de ses Masters, il doit faire ce qui est demandé sans rechigner. N’hésitez pas à laisser des commentaires sur les différents articles qu'il publie sous les ordres de ses Masters.
Il fait aussi ce que les males demandent de faire après avoir reçu la validation de ses Masters. Ce n'est pas un male mais un slave, une sous-merde, un bâtard et il doit être traité comme tel.
Sous cage de chasteté, seuls ses Maîtres décident de ses jouissances afin de le purger de son jus pourris qui ne sert à rien.
N'hésitez pas à laisser des commentaires dans les différents articles publiés ici par notre slave ou nous même. Ça l'humilie encore plus. Le site ayant un bug, vous pouvez lui envoyer vos commentaires qu’il nous fera suivre. Son adresse est bastardakc@hotmail.fr ou en suivant ce lien
Notre slave est a dispos de tous mâles souhaitant l'utiliser et autres en Cam ou réel aussi avec prises de photos et rapports ensuite publiés sur le blog. Même les soumis peuvent l'utiliser car son statut est inférieur à eux et leur doit respect et leur obéir aussi

Humiliations

Dimanche 16 septembre 7 16 /09 /Sep 18:00

Repentance du slave.

 

04 - Présent. - D - -

      Comme je recommençais à pigner à chaque fois que mes Masters donnaient des ordres humiliant et dégradant, cela, de nouveau, les agaçaient. C'est pourquoi je présentes toutes mes excuses envers mes Maîtres et que, dorénavant je dois ne plus pigner chaque fois qu'ils demandent à leur sous-merde, que je suis, un travail. Ceci est valable aussi vis a vis des commentaires mis en ligne par les Masters ou les différents visiteurs du blog du bâtard dans les différents articles . C'est pourquoi, comme sanction, les Masters du slave ont décidés qu'il poste, en complément de ces excuses, une photo du bâtard à genoux, les mains sur la tête non floutée. Ce cliché nu, tondu intégralement, à genoux, mains sur la tête, le collier au coup avec sa médaille et le pénis dans une cage avec des pics intérieurs pour mieux maltraiter le gland est très humiliant et dégradant. C'est pourquoi, je ferai mon possible pour ne plus faire des observations médisantes ou des commentaires déplacés. Un bâtard comme moi ne peut avoir des états d'âme. Il ne vit que pour plaire et satisfaire ses Masters et réaliser les propositions validées par eux.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Humiliations - Ecrire un commentaire - Voir les 4 commentaires
Samedi 30 septembre 6 30 /09 /Sep 20:00

Une hospitalisation dégradante.

        Je recevais les instructions pour ma prochaine hospitalisation de Maître Michael qui me commandait de les publier. Le dimanche après-midi, je préparais ma valise et j'ajoutais le marqueur, le short blanc, la futur cage, un plug urétral, un cadenas avec ses clefs. Les pics continuaient inlassablement à empaler mon malheureux gland qui provoquait des érections avortées. Le plug N° 03 était en place et jouait avec ma rondelle. Hormis le temps de l'intervention, il resterait en place dans ma petite fleur. De temps à autre mon trou tentait des poussées intempestives et, comble de l'humiliation, mouillait de ses grandes eaux. Étant chez moi, je laissais échapper des gémissements de frustrations et de plaisirs honteux.

01 - Hospital. - D - -.-        Je prenais ma veste de treillis qui, étant assez longue, cachant partiellement la braguette ouverte. Je fermais ma porte à double tour et je rangeais la valise dans le coffre de ma voiture. Chaque nouveau pas étaient un calvaire de plus. Les picots martyrisaient mon gland qui, excité, provoquait des érections avortée par une cage de plus en plus insupportable. En m'assaillant, le plug redoublait de vigueur et s'amusait avec mon anneau intérieur. Je prenais la direction de l'hôpital. Chaque nouveau gendarme couché était un supplice supplémentaire pour ma rondelle. J'arrivais enfin à destination. Je me garais et avant de sortir du véhicule, j'enlevais le collier de slave que je rangeais dans ma sacoche. Je prenais ma valise et je me dirigeais vers l'entrée de l'hôpital. Je m'acheminais, par les ascenseurs C, dans le service de chirurgie vasculaire où j'étais attendu. Une infirmière me reçu et m'accompagnait dans ma chambre. Avec soulagement, je02 - Hospital. - D - -.- constatais que j'avais une chambre individuelle. Elle me donnait les premières consignes et je m'installais dans ma nouvelle demeure éphémère. Une autre infirmière venait pour compléter mon dossier. Je répondais à toutes ses questions. Une autre soignante venait faire une prise de sang et remplissait plusieurs tubes pour les derniers examens post-opératoire. Une aide soignante m'apportait des serviettes, des gants de toilettes et un flacon de betadine. Je devais prendre une douche avec ce soir et une seconde le lendemain matin avant d'être emmené au bloc. Je terminais de m'installer et je descendais à l'accueil pour la mise en marche de la télévision et de la wi-fi. Le martyre de ma bite ne cessait ! À chaque nouveau déplacement de mes jambes occasionnaient des érections contrariées, provoquée par l'empalement de mon pauvre gland. Le plug ne restait pas non plus 03 - Hospital. - D - -.-sans jouer avec l'anneau qui tentait de monter dessus et de le gober. À mon retour, deux aides-soignantes servaient le repas du soir. Je dînais, un repas un peu fade par manque d'assaisonnement mais compensé par des aromates, copieux et donc, pas mauvais pour ce genre d'établissement. Je terminais de me restaurer et j'allais boire un dernier café avant la douche. Cet aller-retour rapide avait de nouveau réveillé les garnements qui en profitaient pour martyriser ma bite et ma rondelle. À mon retour en chambre, une infirmière me donnait les instructions pour la douche nocturne. Je passais à la salle de bain où j'allais libérer, avec plaisir, ma queue emprisonné depuis plus d'un an. Je photographiais une dernière fois cette maudite prison et je cassais le cadenas avec enthousiasme ! Je prenais une bonne douche suivant les recommandations du service soignant. Quand j'arrivais aux04 - Hospital. - D - -.- parties génitales, une envie incontrôlable me pressait pour que je me masturbe. Je bandais comme une bête ! Je faisais un effort surhumain pour retirer ma main de mon pénis. J'avais le cœur qui s'était emballé. Je me masturbais légèrement tout de même. À contrecœur, après un titanesque effort et avec grandes difficultés, je retirais, avec un regret insupportable, ma mains insoumise. Des sentiments de frustrations, d'humiliations et d'avilissement se bousculaient dans ma petite tête. Je me séchais et à ma grande tristesse, pour la première nuit à l'hôpital, j'inscrivais au marqueur sur ma queue : "LOPE" ! Je repositionnais, aussi, le plug dans ma petite rondelle. Je me mettais en short pour regarder les informations. En prenant les photos, je m’apercevais honteux que mon gland dépassait d'une jambe du short. Le journal télévisé terminé, j'enfilais une chemise d'hôpital qui m'avait été apporté avec les affaires de toilettes. L'infirmière en chef avait 05 - Hospital. - D - -.-recommandé que je dorme sans sous-vêtement, seulement cette chemise qui met les fesses des patients à l'air. Je m'enfilais entre les draps et je regardais la télévision. Quand je sentis le sommeil poindre son nez, j’éteignais le téléviseur et je tombais rapidement dans les bras de Morphée. Pour la première fois depuis des mois, je ne faisais pas de cauchemars et je ne me réveillais pas avec06 - Hospital. - D - -.- mon malheureux gland martyrisé. Une aide soignante me réveillait en m'apportant de nouvelles affaires de toilettes et une nouvelle chemise. Je passais à la salle de bain lorsqu'un infirmier venait me donner les instructions de la matinée. Je renfilais à la hâte, le chemise et j'ouvrais la porte. Il me remettait les instructions pour la douche. Il 07 - Hospital. - D - -.-continuait en m'informant que je devais porter la nouvelle chemise. Lorsque la douche serait terminé, je devais me remettre au lit pour attendre qu'un brancardier vienne me chercher. Il terminait en m'annonçant que je devais impérativement rester à jeun. Il s'était renseigné sur mon passage au bloc et m'indiquait que je serai le deuxième à être opéré. Une personne viendrait me chercher vers les 09h00 pour me descendre au bloc. Il me souhaitait une bonne journée et je lui rendais ses salutations. Je retournais à la salle de bain et je fermais à clef la porte afin d'éviter toutes rencontres malencontreuses. Je débutais le décrassage par l'inscription dégradante sur ma queue. Je continuais la douche par la tête et je lavais chaque membre en descendant vers les pieds. Quand j'arrivais à mon pénis, je me rendais compte que j'avais une nouvelle trique. Avec délicatesse, je08 - Hospital. - D - -.- continuais ma douche mais en lavant mon sexe je sentis mon jus qui montait. Après un effort surhumain, je retirais mes mains et j'attendais frustré et dégradé que mon jus retourne à sa source. Mon palpitant battait la chamade d'indignation, de mécontentement et de révolte. Quand je sentais qu'il était retourné dans son garage, je terminais le décrassage de mon pénis contrarié et écœuré de ne pouvoir parfaire ma masturbation. Je rinçais chaque partie à la grande eau puis je me séchais frustré et humilié. J'enfilais la nouvelle chemise que je boutonnais derrière le coup. Je retournais dans mon lit et, en regardant les émissions du matin, j'attendais la venue de mon chauffeur. Vers les 09h00, une personne entra dans ma chambre et elle m'informait qu'elle était brancardière. Elle plaçait à mon poignet un bracelet avec mon nom et ma date de naissance. Elle installait un appareil électrique à mon 09 - Hospital. - D - -.-lit, un petit moteur se mit en marche et mon lit se mit en mouvement. Nous descendions au dernier sous-sol et elle garait le lit à coté d'un brancard. Des infirmières, des aides-soignantes et des chirurgiens allaient et venaient. Deux infirmiers me transféraient dans le brancard. L'anesthésiste arriva et me questionnait pour vérifier mon identité. Il m'indiquait que je passerait prochainement sur le billard. Ma doctoresse et chirurgienne venait à son tour me voir. Décidément il y a une majorité de femme médecin qui s'occupe de ma petite personne. À force, cela devient de plus en plus frustrant et humiliant ! Elle m'informait que je passerais très bientôt et, une nouvelle fois, m’informait qu'elle poserait 4 stents aux artères iliaques. Une infirmière installait un cathéter sur le dos de la mains et branchait une première poche au compte-goutte. Une nouvelle personne10 - Hospital. - D - -.- conduisait ma civière au bloc. L'anesthésiste m'accueillait et il installait une lunette aux narines pour l’oxygène. Il m'annonçait que j'allais être endormi. Effectivement, très rapidement je retournais dans les limbes de la nuit.

        Je me réveillais, l'anesthésiste à mes coté. Il m'informait que l'intervention s'était très bien déroulé. Comme je reprenais conscience, un brancardier me raccompagnerait très prochainement dans ma chambre. Je sentais un gros pansement sur chacune de mes cuisses et de mes fessiers avec de gros strips larges ainsi qu'au tour de la taille. Un nouveau venu me remontait en chambre. Nous arrivions à 15h30. L'intervention avait durée 03h00 environ. L'infirmière en chef me fit une petite visite pour m'accueillir. Elle m'informait que je devrais resté alité 24h00 sans me lever. Une aide soignante apporta un pistolet pour uriner. Ne pouvant me 11 - Hospital. - D - -.-lever. Toujours sous le coup de l'anesthésie, je dormais toute l'après-midi. Mes seuls temps d'éveils étaient pour vider ma vessie et me réhydrater. Un peu avant le repas, ma doctoresse passait faire une visite et regarder ses pansements. Étant nu sous la chemise, elle déplaçait mon pénis pour vérifier et je sentis une12 - Hospital. - D - -.- érection se produire. Je me sentais très mal à l'aise et honteux. En plaisantant, elle répondit à cet événement incontrôlable, "Malgré l'anesthésie, vous réagissez rapidement, preuve que vous allez bien et que tout fonctionne à la perfection…". Honteux, frustré, je me réfugiais dans le silence ne sachant quoi répondre. Je devais être tout rouge car je sentais mon visage chauffer de plus en plus. Constatant que tout allait bien, elle renouvelait ses recommandations, ne pas me lever, rester allongé sur le dos le plus possible, en cas de douleur, appeler une infirmière qui me donnerait ce qu'il faut, ne pas porter de sous-vêtements afin d'éviter toutes septicémie. Je la remerciais et je lui souhaitais une bonne soirée. Elle en fit autant et me donnait rendez-vous le lendemain matin. Une aides-soignante m'apportait mon plateau repas. Avec plaisir, je me mettais à table n'ayant rien dans le ventre depuis 24 heures. Après avoir dîné, je me 13 - Hospital. - D - -.-rallongeais et je tombais rapidement dans les bras de Morphée, une nouvelle fois. Dans la nuit je me mit à trembler de froid. J'appelais et un infirmier arriva rapidement. Après avoir constaté mon problème, il me rapportait une autre couverture, me rassurant qu'il viendrait me voir régulièrement. Je n'arrivais pas à me14 - Hospital. - D - -.- réchauffer et à sa visite suivante, il retourna chercher une troisième couverture. Je lui signalais que j'avais aussi une migraine. Il me donnait deux comprimés de paracétamol. Il me visitait régulièrement et prenait la tension et ma température. Je passais la nuit à tenter de me réchauffer et me reposer un maximum. L'aube pointait, avec soulagement, son nez. Une infirmière venait à nouveau prendre mes constantes et me recommandait de ne pas me lever tant que le médecin n'était pas venu. Une aides-soignante apporta avec plaisir mon petit déjeuner. Je me restaurais avec appétit et empressement. Je vidais une nouvelle fois ma vessie dans l'urinal. Je me rallongeais pour tenter de me réchauffer ayant grelotté toute la nuit. Je téléphonais à un cousin pour qu'il vienne chercher ma voiture. En milieu de matinée, ma doctoresse passa et vérifiait son travail. Elle décidait d'enlever les strips pour vérifier s'il n'y avait pas d'infection. 15 - Hospital. - D - -.-Elle me fit remarquer que j'étais totalement rasé ! Honteux et frustré, ne pouvant lui révéler la vérité, je lui répondais que je l'avais fait exprès pensant qu'il y aurait de gros pansements. Je ne pense pas qu'elle m'a cru mais elle reconnu que c'était une bonne idée et que tout allait bien ! Elle me recommandait de bien rester au16 - Hospital. - D - -.- maximum au lit et de ne pas me lever. Elle renouvelait aussi sa recommandation de ne porter aucun vêtements dans le lit. Je frissonnais tellement que je n'avais qu'une envie, me réchauffer enfin ! Ma migraine n'ayant toujours pas passé, régulièrement les infirmières m'apportaient des comprimés. Les soignants venaient continuellement prendre mes constantes et s'informer de mon état. Quand l'aide-soignante apporta mon déjeuner, je commençais à me réchauffer. Je déjeunais sans appétit. Une infirmière vint une nouvelle fois s'informer sur mon état de santé. À son tour, elle vérifiait les cicatrisations. En levant les couvertures, je sentis immédiatement une nouvelle érection humiliante. Elle plaisanta en rétorquant avec un grand sourire qu'elle me faisait de l'effet…. Je ne pouvais pas la contrarié, mais ce n'était pas elle qui me faisait de l'effet mais d'être en permanence exhibé devant le personnel médical. Elle m'autorisa à 17 - Hospital. - D - -.-me lever et emporta le pistolet. Cette annonce voulait être bienfaitrice mais pour moi les humiliations reprenaient du service. Je savais que c'était le signal pour réaliser les commandements de mes Masters. Je prenais mon marqueur, le short blanc et je passais à la salle de bain. Je notais humilié et frustré, l'inscription sur ma queue. Je remettais en place le plug dans ma18 - Hospital. - D - -.- rondelle et j'enfilais, pour un moment, le short blanc en faisant attention que mon gland n'apparaisse pas. Pour cela je descendais la taille au maximum. Je prenais mon champ de bataille qui me sert de lit. Je m'installais dans le fauteuil avec un livre en mains. Je faisais attention que ma queue n'apparaisse pas. Après plusieurs pages, je sentais mes paupières de plus en plus lourdes. Je rangeais 19 - Hospital. - D - -.-ma lecture et le short dans le placard. Je retapais grossièrement mon champs de bataille. Dès que je me retrouvais en position horizontal, le sommeil me gagnait. Rapidement, je me retrouvais une nouvelle fois dans les bras de Morphée. En milieu d'après-midi on frappa à la porte et j'autorisais son entrée. C'était mon cousin qui venait chercher les clefs de la voiture pour l'emmener chez lui. Comme20 - Hospital. - D - -.- j'étais fatigué, il ne resta pas longtemps en promettant qu'il prendrai de mes nouvelles par téléphone en attendant de me rapporter mon bien. Je le remerciais et je tirais les draps sur moi. Je retrouvais rapidement le sommeil. C'est l'aide-soignante, en apportant le plateau repas qui me réveillait. Je dînais devant la télévision. Je me rallongeais sous mes couches car je recommençais 21 - Hospital. - D - -.-à frissonner. Dans la position du fétus, je retrouvais le sommeil. Que la nuit était douce et bénéfique sans les geôliers qui empalaient mon malheureux gland et provoquaient des érections avortées. Quand l'infirmière ouvrit la porte pour prendre mes constantes du matin, je me réveillais en sursautant. Elle s'excusa mais je la rassurais que22 - Hospital. - D - -.- ce n'était pas de sa faute. Le temps qu'elle prenne les différentes données, nous discutions de son travail. Heureusement pour ma pomme, elle ne regarda pas comment était les cicatrises. À son départ, je me rallongeais pour attendre le petit déjeuné. Je m'assoupissais. L'aide-soignante, me réveillant, me demandait ce que je désirais et elle m'apportait mon plateau. Je m'assaillais sur le bord du lit pour déjeuner. Lorsque s'était terminé, je m'empressais à passer dans la salle de bain pour annihiler le graffitis sur ma pauvre queue. En me douchant et en lavant mon sexe, j'avais beau faire attention mais ce travail provoquait une nouvelle érection. J'avais une envie grandissante de me masturber, jouir et enfin vider mes bourses qui débordent de tous les cotés. Quand je sentis mon jus qui allait monter, je me battais contre mes mains rebelles et réfractaires aux 23 - Hospital. - D - -.-commandements qui m'empêcherait de jouir. Résigné et asservi, je stoppais les massages que mes doigts prodiguaient à mon pénis. Je vérifiais l'invité dans sa résidence et je terminais en enfilant le short blanc. Je regardais la télévision du fauteuil et tentant au mieux de dissimuler mes attributs sexuels qui tentaient des sorties intempestifs. Je commençais, une nouvelle fois à avoir les paupières lourdes. Je rangeais le short dans le placard et je reprenais place dans mon lit. En m'allongeant, je m’aperçus que j'avais de petits frissons. Je me cachais sous les couvertures. La chaleur aidante, le sommeil envahissait tout mon être. J'entendais la porte s'ouvrir et je regardais les nouveaux venus. C'était ma doctoresse et un interne. Je priais pour que mon instrument reste au repos d'autant plus qu'il y avait un visiteur. Malheureusement à cette pensée, je sentais l'érection faire son œuvre. Mon cœur se mit à battre de plus en plus vite. Elle levait le drap et voyant24 - Hospital. - D - -.- l'étendard dressé, me fit un grand sourie avec un petit clin d’œil. Elle auscultait son travail et expliquait à son visiteur ce qu'elle avait réalisé. Je sentis le compagnon de ma petite fleur commencer à s'activer sur l'anneau. Je faisais un travail surhumain sur moi même pour éviter tout râles ou gémissements. Je devais serrer les fesses pour éviter que le convive quitte son emplacement 25 - Hospital. - D - -.-douillet. Je vis se dessiner un petit sourire aux lèvres de l'interne. En reposant le drap en place, elle m’annonçait que la sortie pourrait se faire le lendemain en début d'après midi. Elle m'informait que j'aurai un traitement à prendre et qu'elle ferait un arrêt de travail pour un mois. Je la remerciais et nous nous souhaitions une excellente journée. En sortant, elle se retournait et26 - Hospital. - D - -.- m'invitait à soulager mon petit baigneur. J’acquiesçais sans pouvoir lui avouer que je ne pourrais pas réaliser cette félicité. J'attendais un moment avant de retourner aux toilettes. J'avais avec moi le marqueur et le short blanc qui commence à changer de couleur. J'immortalisais ces jouets ainsi que le convive dans son antre douillet. Je passais la 27 - Hospital. - D - -.-matinée dans le fauteuil à bouquiner. À midi, on m'apportait mon plateau repas. Je déjeuner assis sur la chaise, mon plateau sur une tablette. Le visiteur se retrouvait compressé et jouait avec l'anneau. Par moment, j'avais ma rondelle qui poussait ! Je devais mouiller pour être aussi excité ! Je ne pouvais retenir tous les gémissements qui montaient de mes entrailles. Je me pressais à terminer mon repas. Je me levais et déposais le short sous mon oreiller au cas où j'aurai à dissimuler en urgence le tag sur mon poupon. Je m'allongeais et au bout de quelles que minutes je trouvais de nouveau le sommeil. L'anesthésie me travaillait encore car je dormais toute l'après-midi. C'est l'aide-soignante, en apportant le plateau repas du soir, qui me réveillait. Je m'assoyais dans le lit et j'attaquais mon dîner. Lorsque j'eus terminé de me restaurer, une envie de café m’envahit. Je désirais en boire un mais je devais descendre au rez-de-chaussé. Je prenais mon courage à28 - Hospital. - D - -.- deux mains et j'enfilais le short blanc avec un t-shirt. Malheureusement ce dernier n'était pas assez long pour cacher le vêtement blanc. Je descendais la taille au maximum pour éviter le plus possible tout incident indésirable. Je prenais de la monnaie et je me dirigeais vers les ascenseurs. Au passage, je signalais aux infirmières mon escapade nocturne. Heureusement le distributeur 29 - Hospital. - D - -.-de café était proche des ascenseurs C. Je saluais les trois patients qui avaient déjà leurs boissons en mains. Je lançais la distribution de mon expresso en ayant introduit une pièce. Je prenais mon breuvage chaud. N'ayant que trois sièges à coté de la machine, un jeune se lavait pour me laisser sa place. Je ne voulais surtout pas la prendre car j'étais certain que mon gland apparaîtrait et le30 - Hospital. - D - -.- début de ma queue avec son graffiti. Mon palpitant se mit à s’emballer et mon trou à pousser à cause de son compagnon intrusif. Je retenais tant bien que mal mes gémissements intempestifs. Je déclinais chaleureusement son invitation en prétextant que les sièges étaient trop dur…. Je me calais dans un recoin, ce qui me permettais de voir tout le couloir 31 - Hospital. - D - -.-sans être surpris. Nous discutions un moment. Au fur et à mesure que nous terminions notre nectar bas de gamme, nous nous retirions et d'autres personnes prenaient notre place. Je remontais à mon étage et dans l'ascenseur, je vérifiais devant le miroir si des intrus étaient apparut. J’apercevais, à mon grand désespoir, le méat urétral. Je devrai faire de tout petit pas afin d'éviter que mon gland apparaisse sous ce maudit vêtement ! Pendant mon retour en chambre, je ne croisais personne à mon grand soulagement. J'avais le palpitant qui jouait encore et toujours la chamade. Je déposais le t-shirt et je passais à la salle de bain pour vérifier les dégâts. Effectivement la plus grande partie du gland faisait son apparition. Je maudissais tous les shorts qui avaient étés sélectionnés car, au moindre mouvement, le bout de mon sexe est exhibé quand je n'ai pas de mitard ! Je le32 - Hospital. - D - -.- posais dans le placard et je me couchais avec plaisir. Il ne fallut pas beaucoup de temps pour que Morphée me prenne dans ses bras. La dernière nuit à l'hôpital fut mouvementé ! Je cauchemardais avec ma prochaine prison que je devrai poser le lendemain matin. Régulièrement, je regardais les heures s'égrainer. Enfin l'aide-soignante apportait le petit déjeuner que j'engloutissais rapidement pour me rendre à la douche. Une nouvelle fois, en tentant de neutraliser l'inscription sur ma queue, je sentis, à mon grand désappointement, une montée de jus spontanée. J'avais de plus en plus de mal à contrôler mes mouvements et à maîtriser mes mains irréductibles. Après d'âpre négociations, mes pirates de mousquetaires acceptèrent une trêve. Ma semence fut stoppé net dans sa monté inéluctable. Frustré et humilié, je sentais, à mon grand regret, mon jus redescendre et 33 - Hospital. - D - -.-reprendre place dans les couilles. J'avais de plus en plus de mal à faire respecter la cessation des hostilités par mes forbans indisciplinés. Je me rinçais pour me sécher le plus rapidement possible. Je renfilais la chemise de l'hôpital et je retournais au lit en attendant le passage du médecin. Je regardais les émissions du matin avec les informations. En milieu de matinée, la chirurgienne arrivait avec l'infirmière en chef. Je priais pour que mon appendice reste endormi et ne fasse pas des siennes. Mes prières furent vaines ! Dès que je les voyais pénétrer dans ma chambre, mon soldat se mit au garde-à-vous ! Mon cœur se remit à s'affoler et mon sang à affluer au visage. Quand la chirurgienne leva les couvertures pour une dernière auscultation, un nouveau sourire illuminait son visage. C'est vrai qu'elle est jeune avec beaucoup d’atouts, ce qu'il faut où il faut avec un petit accent étranger. Elle était satisfaite de son travail et m'expliquait que l'infirmière ici34 - Hospital. - D - -.- présente apporterai dans un moment les papiers de sortie. Je lui demandais de commander aussi un VSL pour mon retour à mon domicile. Elle me faisait ses dernières recommandations en insistant de ne surtout pas forcer pendant, au moins, 15 jours. Nous échangions des salutations et elle me souhaitait un prompte rétablissement. L'infirmière m'autorisait à commencer à faire mes bagages car l'heure du repas approchait rapidement. J’acquiesçais mais pas pour les mêmes raisons. Il fallait que je remette en place tous les attributs du slave, hormis le locataire de mon côlon qui n'avait pas bougé depuis la fin de l'intervention chirurgicale. J'enfilais, une nouvelle fois, le short blanc. Je passais à la salle de bain avec le maudit marqueur. Pour une ultime fois, je reproduisais de nouveau le graffiti sur mon malheureux pénis ! J’installais l'anneau métallique de la ceinture block-plug et le cock-ring en caoutchouc. J'attachais le cordon du short le plus bas possible sur ma taille 35 - Hospital. - D - -.-pour dissimuler au mieux mes attributs et surtout le graff qui l'accompagne. Je retournais dans la chambre et je commençais à ranger mes affaires. Je débutais avec mon appareil PPC que je disposais dans sa sacoche. Je posais la valise sur le lit et, au fur et à mesure, je disposais mes vêtements sale dedans. L'infirmière revint à ce moment là. Quand la porte s'ouvrit, machinalement je plaçais une mains devant mes attributs sexuels. Elle revenait me donner les papiers. Elle m'expliquait l’ordonnance pour trois mois et ses drogues, la prochaine consultation avec la doctoresse, le mardi 24 octobre à 10h30 et un arrêt de travail d'un mois, jusqu'au dimanche 29 octobre 2017. Elle terminait en me fournissant le document pour le VSL. Elle me demandait si j'avais des questions ou de nouveaux renseignements. Elle termina en m'apportant des compresses imbibées d'un produit volatile pour faire disparaître les traces de sparadrap. Je la remerciais pour ces documents, ces36 - Hospital. - D - -.- lingettes ainsi que pour le professionnalisme du personnel de ce service. Elle exprima sa gratitude et me souhaitait une excellente continuation. Je posais ses documents sur la tablette. Je prenais avec moi mon téléphone, les attributs du slave, mes vêtements pour sortir, les gazes et je passais à la salle de bain sachant que je n'aurais plus de visite inopportune avant le repas. Je fermais tout de même à clefs la porte. Je me déshabillais de nouveau en prenant toutes les photos nécessaires comme l'avaient recommandées mes Masters. Ayant envie d'uriner et pour bien vider ma vessie, je soulageais momentanément ma petite fleur. La lunette étant resté levé toute mon hospitalisation, je m'assaillais sur la faïence. C'est toujours autant humiliant et dégradant de ne plus pouvoir utiliser cette protection et d'être contraint d'uriner assis sur la faïence, les jambes écartées bien que je n'avais pas mon pénis emprisonné. Je vidais ma vessie avec soulagement. Avec les compresses, je 37 - Hospital. - D - -.-faisais disparaître le plus possible les traces des straps. Je prenais un dernier cliché du taquage de ma pauvre queue. En m'appuyant contre le lavabo, j'effaçais une dernière fois cet ignoble graffiti. Dès que je touchais ma queue, je me mettais à bander une nouvelle fois ! Sentant mon jus monter de nouveau, je dus m'y reprendre en plusieurs fois pour faire disparaître toutes traces dégradantes et inopportunes. Ma frustration et mon humiliation étaient grandissantes. Je me maudissais de ne pas pouvoir me masturber complètement et vider enfin entièrement mon jus ! Je reprenais le plug que je repositionnais dans mon côlon. Il était à peine en place qu'il reprit ses divertissements avec l'anneau. Un râle de douleur et de plaisir s'échappait de mes poumons ce qui augmenta ma honte et mon déshonneur. Je repositionnais le collier et sa médaille autour de mon cou avec le numéro du slave bien en vu. Le plus dur, le plus avilissant et le plus dévalorisant allait débuter ! Je devais placer sur ma pauvre queue qui était encore gonfler, la plus petite38 - Hospital. - D - -.- cage métallique en ma possession ainsi qu'un plug urétral. J'avais emmené le second en partant des plus petits et avec les embouts, celui-ci était allongé de deux centimètres ce qui faisait une longueur totale de sept centimètres. Je préparais le cock-ring et j'introduisais avec grande difficulté mon pénis dans cette nouvelle minuscule prison ! Il n'y avait de la place que pour le gland, le reste de 39 - Hospital. - D - -.-ma queue était compressée sur elle même ! Je devais encore positionner le plug urétral. Après l'avoir présenter à son futur convive et ses geôliers, je le lubrifiais légèrement. Par le bout de la cage je trouvais le méat urinaire. Je relâchais la pression du cachot sur son détenu pour introduire dans l'urètre ce nouveau jouet innommable. Quand il pris place, je vissais à fond ce tube sur le bout de la cage, ce qui augmente encore sa longueur d'un centimètre. Je fermais la porte et je posais le cadenas. J'hésitais un long moment avant de le refermer définitivement car je savais que ma malheureuse bite allait séjourné un certains temps dans ce cachot. Je tournais le collier pour positionner la médaille dans le dos et je prenais une dernière photographie de pieds, nu avec la cage. J'enfilais mon jeans que je ne boutonnais pas et qui était maintenu seulement par la ceinture. Je passais un maillot de corps et un pull à col roulé pour dissimuler un maximum le collier d'esclave. Je prenais de nouveaux clichés de la braguette, de la40 - Hospital. - D - -.- médaille que je repassais un instant devant puis du collier dans sa position définitive. Je remontais le col correctement quand j'entendis frapper de nouveau à ma porte. C'était l'aide-soignante qui apportait le plateau repas. Je sortais de la salle de bain et je la remerciais en lui souhaitant une bonne continuation. Elle me rendit la politesse en espérant un rapide rétablissement. Je déjeunais 41 - Hospital. - D - -.-assis sur le bord du lit. Lorsque je m'était restauré, je terminais ma valise. Je rangeais tous les documents dans ma sacoche et j'enfilais ma veste de treillis. Avant que l'on vienne me chercher, je retournais devant le miroir pour immortaliser les derniers souvenirs de ce séjour. Je rangeais mon portable dans une des poches du pardessus. De nouveau, on frappait à la porte. Ne voyant personne entrer j'allais ouvrir. Une personne devant moi me demandait si j'étais bien la personne qu'il venait chercher ? J’acquiesçais et nous nous présentions. Il se nommait Philippe et c'était mon ambulancier. Je lui donnait les documents pour le transport qu'il rangea dans une pochette. Il pris ma valise et posa dessus l'emballage de mon appareil PPC. Je prenais ma sacoche et nous quittions la chambre. Au passage, je saluais les infirmières et les aides-soignantes que je croisais. Devant l'hôpital sa voiture nous attendait. Il rangeait les bagages dans42 - Hospital. - D - -.- le coffre et nous nous assaillions. Il me conduisait jusqu'à mon domicile et m'aidait à porter mon paquetage dans mon appartement. Le premier travail que j'effectuais dès que je me retrouvais seul et pour terminer les instructions de mes Masters. Je prenais un gobelet, je déposais les trois clefs du cadenas au fond et je remplissais cette timbale d'eau. Je la mettais au congélateur, toujours suivant les commandements que j'avais reçu. Ainsi les clefs sont dans un bloc de glace avec impossibilité de les utiliser.

 

         Malgré des moments difficiles où je me suis sentis honteux, humilié,           frustré et avilis, je remercie mes Masters pour leurs soutiens tout le long de cette semaine. Ils ont été un réconfort quand je pouvais me connecter et les saluer. Je les gratifie pour leur patience et pour la continuation de l'éducation de leur esclave soumis et dévoué.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Humiliations - Ecrire un commentaire - Voir les 9 commentaires
Samedi 15 juillet 6 15 /07 /Juil 07:51

Vos propositions de Consignes

 

        Ça va faire bientôt un an que le slave est sous cage. Elle a été posée le 16 juillet 2016. mes Masters prévoient une nouvelle vidange du  bâtard. Vous pouvez donner vos idées ou ce que vous aimeriez qu’il subisse pour celle-ci. Sachant qu’il ne pourra pas se branler et devra jouir sans se toucher dans une capote.

        À vos claviers et donnez toutes vos idées.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Humiliations - Ecrire un commentaire - Voir les 9 commentaires
Jeudi 22 décembre 4 22 /12 /Déc 07:46

Visite chez l’Infectiologue.

01---Infectio---D----.jpg        Je venais de passer une nuit très mouvementée. J’avais fait des cauchemars où j’essayais en vain de me masturber. Ce qui provoquait, pendant que je dormais, des érections contrariées par la cage. Je me réveillais en sur-saut avec la sensation que mon gland était transpercé par des aiguilles. Ce n’était que les picots qui excitaient mon malheureux gland martyrisé. Après avoir été réveillé de la sorte une dizaine de fois dans la nuit, je me levais à contre cœur ayant fait nuit blanche. Je maudissais cette détestable cage et ses maudits picots qui deviennent insupportables avec mon malheureux gland et mon pénis martyrisés.

        J’avais posé dans mon pauvre côlon, le plug N° 04 à deux boules. En allant au bureau, il recommençait à jouer avec l’anneau qui avait gobé la première boule. De plus, les picots continuaient à maltraité mon malheureux gland. Je ressentais de plus en plus les piqûres de chacun d’eux. Je m’assaillais soulagé. J’avais prévenu que je devrai m’absenter dans la matinée.

02 - Infectio - D - -        À 10h00 j’allais chercher ma voiture. En m’assaillant, je ressentis encore plus le plug pénétrer plus profondément ce qui excita encore plus l’anneau. Je devais mouiller comme un âne ! Le matin j’avais dû changer de pantalon car je l’avais tâché la veille avec le plug malgré la ceinture. Je maudissais le jour où j’avais reçu l’ordre d’ôter toutes protections absorbantes après un commentaire. 03 - Infectio - D - -À chaque dos-d’âne, l’intrus dans ma petite fleur, réactivait sa stimulation et ses tortures. Avec soulagement, j’arrivais à destination. Je rentrais dans le hall et je passais aux toilettes pour ôter tous les attributs du slave que je rangeais dans ma sacoche et j'enfilais le boxer blanc.

        Je m’aperçus alors que le cadenas se voyais encore mieux sans la doublure. Je le positionnais en travers en espérant qu’il ne bouge pas. Je montais dans le service mais le sous-vêtement compressait la cage et les picots s’en donnaient à cœur joie ! je ressentais encore plus chacun des pics pénétrer dans mon malheureux gland ce qui provoquait une nouvelle érection contrariée. J’arrivais enfin et après une courte attente, le médecin vint me chercher.

        Ne s’étant pas revu depuis un an, nous prenions de nos nouvelles respectives car je le connais très bien. Nous avons travaillé en collaboration pour certaines actions ce qui à renforcé 04 - Infectio - D - -notre amitié respective. Il m’invita à me mettre en sous-vêtement pour m’ausculter. J’essayais de me cacher derrière une chaise pour me déshabiller car il n’y a pas de cabine. Je vérifiais que le cadenas n’était pas de trop visible et discrètement je le repositionnais. Après être passé à la pesée, il m’invita à m’allonger. À partir de ce moment là, les humiliations et les frustrations allaient se succéder. Il commença à m’interroger surpris :

  • -    "Tu te rase complètement maintenant, c’est quoi cette nouvelle lubie ?
  • -    Tous simplement, je me suis remis au vélo et si j’ai un accident cela sera plus facile à soigner.
  • -    Ne me dis pas que te raser le pubis c’est aussi pour ça !
  • -    Ce n’est qu’un mauvais paris que j’ai perdu….
  • -    Tu en es vraiment sûr ? On se connaît depuis assez 05 - Infectio - D - -longtemps tu peux tout me dire !
  • -    Je le sais mais pour le moment il n’y a que ça…."

        Je savais qu’il ne me croyait pas et je me sentais très mal allongé sur sa table avec cette proéminence dans mon boxer ! Il s’en aperçu et eu un très large sourire qui en disait encore plus long. Je craignais qu’il me 06 - Infectio - D - -pose encore des questions. Il avait du ressentir mon mal être et ma gène car il ne posa plus de questions mais ses silences étaient encore plus éloquents et humiliants. La consultation continuait. Lorsqu’il eut terminé, il m’autorisa à me relever et à m’habiller. Je m’exécutais sans dire un mot mais en me relevant j’aperçu le cadenas de la cage qui s’était retourné et se voyait très bien. Je comprenais mieux les 07 - Infectio - D - -allusions et les sourires que mon médecin avait faits. Pendant ce temps il regagna son bureau et il regarda les résultats de ma dernière prise de sang. Tout allait bien mes CD4 étaient stables à 680 copies et la charge virale indétectable. Les autres résultats étaient eux aussi très bon et dans la moyenne. Il n’y avait rien à redire sur le bilan sanguin. Il m’établissait ma nouvelle ordonnance pour 6 mois en renouvelant le même 08 - Infectio - D - -traitement. Il rédigeait aussi la prescription avec les examens sanguins que je devrai faire pour la prochaine visite. Il me donnait aussi le prochain rendez-vous pour le mercredi 7 juin 2017 à 16h00. Avant de me saluer définitivement il me dit :

  • -    "Tu sais que tu peux venir me voir quand tu veux pour discuter. Tu as mes coordonnées et mon téléphone, alors 09 - Infectio - D - -n’hésites pas tu sais que ça restera entre nous.
  • -    Je te remercie. Si j’en ai besoin, je te contacterai. Tu sais que je ne me gêne pas avec toi depuis tout ce temps."

        Ce n’était pas vraiment vrai, je me sentais très mal et je maudissais toutes ces instructions humiliantes et dégradantes encore plus avec ce médecin. Je me sentais 10 - Infectio - D - -encore plus honteux, frustré et avili de ne pas pouvoir lui dire la vérité. Je le quittais après lui avoir souhaité de bonnes fêtes de fin d’année. Une nouvelle fois, à chaque pas que je faisais, je sentais mon malheureux gland martyrisé par les pics. J’avais l’impression que l’on me piquait avec des aiguilles. Plus cela durait et plus cela devenait insupportable. Je prenais l’ascenseur et je descendais au rez-de-chaussée. Avant de me rendre aux toilettes, je jetais un œil dans le hall 11 - Infectio - D - -pour vérifier que je ne connaissais personne et que la famille n’était pas là.

        Je rentrais dans les premières toilettes ouvertes et je fermais la porte à clef. Je posais sur le bord du lave-mains le téléphone, le collier que je sortais de ma sacoche ainsi que le plug, le lubrifiant et la ceinture que je posais à terre. J’accrochais le sac à une patère contre la porte et je commençais à me déshabiller. Je suspendais ma veste à la seconde patère avec ma sous-veste. Je continuais par le pull. J’ôtais mes chaussures. En posant les pieds au sol je sentis le 12 - Infectio - D - -froid glacer mes pieds malgré les chaussettes. Je remerciais Maître Michael d’avoir consentit de les garder à l’hôpital et dans les toilettes publiques suite à un commentaire sur face book. Au bureau ce sera une autre affaire ! J’ôtais mon jeans et mon maillot de corps. Je me retrouvais en boxer. Je vérifiais la position du cadenas. À mon grand désespoir, il s’était retourné et se voyait très bien ! Je ne m’étais pas trompé dans le bureau du médecin. Je prenais le portable et je faisais les premières photographies. Depuis que j’ai du détruire toutes les doublures des shorts et du boxer, la cage et le cadenas s’entrapercevaient beaucoup plus. Je le rangeais dans la sacoche et je relevais la lunette des toilettes. Avant de soulager ma vessie, je photographiais la maudite cage avec mon pénis encastré et mon malheureux gland supplicié. Je m’assaillais sur la faïence pour uriner. Je ressentis le froid glacer mes pauvres fesses. Je prenais de nouveaux cliché comme commandé. Je trouvais de plus en plus humiliant, frustrant et dégradant de devoir prendre toutes ces photos ! J’ai du mal à 13 - Infectio - D - -m’habituer à un tel exhibitionnisme ! J’étais dans ces réflexions lorsqu’une personne essaya d’ouvrir la porte. Je stoppais un instant pour ne plus faire de bruit et ne pas alerter la personne de l’autre coté. Impossible d’être tranquille ! Je l’entendis entrer dans des toilettes voisines. Je terminais de vidanger ma vessie. Pour continuer, je posais sur le carrelage le mobile et je graissais le plug. J’immortalisais ma petite fleur. Je lui présentais son invité. Mon petit trou s’ouvrit. Au fur et à mesure que le convive pénétrait dans le côlon, je prenais de nouveaux clichés. Quand la première boule butta contre l’anneau, je poussais pour l’ouvrir et il goba le premier étage du plug pendant que le reste était absorbé par ma petite fleur. Je prenais la ceinture et je bloquais le nouvel invité. Je me relevais et à mon grand désespoir, j’étais encore en train de mouiller ! À contre cœur, je photographiais cette nouvelle humiliation. Je séchais cette coulure avec du papier toilette et je prenais les derniers clichés de la cage et de pieds. Quand tous les attributs du slave étaient de nouveau en place, je me rhabillais. Je 14 - Infectio - D - -rangeais le lubrifiant, le boxer dans la sacoche et le portable dans la poche frontale de ma sous-veste. Je tirais la chasse d’eau et je me lavais les mains.

        Avant de sortir, je vérifiais que je n’avais rien oublié et j’ouvrais la porte. Je regagnais ma voiture mais à chaque nouveau pas, l’anneau jouait avec l’intrus et mon malheureux gland était martyrisé par les pics qui l’excitait et provoquait une nouvelle érection contrariée par cette maudite cage. Enfin le véhicule ! Malheureusement les tortures allaient continuer. En m’assaillant, le plug excita un peu plus le côlon et les picots renouvelaient leurs supplices. En retournant au bureau, je me remémorais la honte, l’humiliation, la frustration et l’avilissement de cette nouvelle auscultation.

        Je dois tout de même remercier mes Maîtres de me faire évoluer dans la soumission et dans la direction qu’ils désirent l’emmener.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Humiliations - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 13 décembre 2 13 /12 /Déc 12:42

Une nouvelle humiliation !

01---Pneumo.---D----.jpg        Je préparais dans ma sacoche le lubrifiant et à contre cœur, le mini jock-strap que Maître Michael avait demandé que je porte. Je serai obligé de le garder pour la pause du MAPA. Je partais du bureau et je me rendais à l’hôpital. Je passais rapidement aux toilettes pour ôter les attributs du slave que je rangeais dans la sacoche et j’enfilais le mini sous-vêtement. En 02 - Pneumo. - D - -montant à l’étage, je me demandais comment se passerait ce nouveau rendez-vous et quelle humiliation je devrai encore supporter. Mon pauvre pénis était encore et toujours martyrisé par les picots de la cage et mon malheureux gland maltraité continuait à l’exciter. Une infirmière m’accueillait et me faisait entrer. Elle m’annonçait une bonne nouvelle. Mes derniers examens pulmonaires étant bons elle ne ferait qu’un bilan de ma capacité respiratoire. Je rentrais donc dans la cage vitrée et nous commencions les testes pulmonaire. Terminé, je passais chez le médecin pour la consultation. Il me demandait de me mettre torse nu. Heureusement pour le slave, je pouvais garder mon pantalon. Après m’avoir ausculté et content des derniers examens, il remplissait le renouvellement de l’appareil pour l’apnée du sommeil. 03 - Pneumo. - D - -Je me rhabillais avec soulagement mais cela n’allait pas durer ! Il me donnait rendez-vous dans un an. Je me rendais en cardiologie pour mettre le nouvel appareil. En arrivant dans le service, mon cœur se mit à battre de plus en plus rapidement. Je me rappelais la consultation humiliante de la semaine 04 - Pneumo. - D - -dernière. Les infirmières avaient dû se donner le mot car sept m’attendaient dans le couloir. Je maudissais la cage que je portais et de l’attraction dont je faisais l’objet. Quand elles me virent arriver, elles rentraient dans la pièce où j’allais aller aussi ! La secrétaire me faisait attendre un instant et une infirmière vint me chercher. Je rentrais en craignant le pire ! Elles étaient toutes là, faisant semblant de travailler sur les différents postes. Il n’y en avait pas assez alors sur deux postes elles étaient deux. Elle me tournait le dos mais ça n’allait pas durer. L’infirmière me demandait de me déshabiller et d’ouvrir mon pantalon. Je m’exécutais. Je posais ma sacoche et je commençais par la veste, puis mon pull à col roulé et mon maillot. Je déboutonnais le pantalon et à sa demande, je baissais aussi la braguette. Le jeans 05 - Pneumo. - D - -commença à descendre et je sentais les picots exciter le gland ! J’essayais d’écarter les jambes pour ralentir sa descente quand elle me demanda de lever les bras pour installer le nouvel appareil. Mon jeans était sur les cuisses et, inexorablement glissait de mes jambes. Le jock était mis en exposition avec la cage. Je devais essayer de bander car je sentais les picots pénétrer et stimuler de plus en plus mon malheureux gland. Mon cœur jouait la chamade et j’avais l’impression qu’il allait sortir de sa cage. L’infirmière me demanda de tenir l’appareil le temps qu’elle l’installe à la taille en me disant :

  • -    "Vous vous êtes rasé pour le sparadrap ?
  • 06 - Pneumo. - D - --    Oui pour éviter l’épilation…
  • -    Le pubis n’était pas nécessaire !"

        Je ne savais quoi répondre, ne pouvant pas lui dire la vérité. J’essayais de jeter un oeil à ses collègues qui avaient de grands sourires. Je baissais la tête car ses collègues jetaient régulièrement un œil sur moi ! Honteux, je jetais encore un œil pour voir ce qu’elles faisaient. Elles étaient toutes en face de moi à me regarder et chuchotaient entre elles. Je n’osais plus relever la tête et mon pantalon continuait à descendre ! Il arrivait aux genoux ! Je me sentais de plus en plus mal à l’aise et humilié ! Elle me demanda alors de me tourner légèrement pour installer le brassard à mon bras gauche. Je ne pouvais plus voir ses collègues sans tourner la tête. Je me s’entais épié 07 - Pneumo. - D - -et examiné de la tête aux pieds. Mon cœur battait toujours aussi vite et fort. Elle le reliait à l’appareil et faisait tenir le tube avec du sparadrap dans le dos. Elle continua :

  • -    "Très joli votre petit sous-vêtement c’est quoi ?
  • 08 - Pneumo. - D - --    Un jock-strap."

    Lui répondais-je en serrant les dents, honteux et humilié. Elle continua :

  • -    "Si ce n’est pas trop indiscret, qu’est ce que vous avez dessous ?
  • -    C’est mon amie qui veut que je porte 09 - Pneumo. - D - -cette cage pour que je ne me masturbe pas la semaine. Heureusement je l’enlève dès qu’elle arrive ! Quand on est ensemble je ne la mets pas !"

    J’avais de plus en plus honte et je ne pouvais lui dire la vérité trop humiliante ! Cela faisait 136 jours que je la portais sans pouvoir jouir. 10 - Pneumo. - D - -Cela devenait de plus en plus frustrant et humiliant chaque jour qui passait ! Le moindre événement provoquait une excitation incontrôlable, ce qui est encore plus frustrant, humiliant et dégradant !

  • -    "Ce n’est pas trop difficile ?
  • 11 - Pneumo. - D - --    Un peu mais on se rattrape quand elle est là !"

        Elle terminait en programmant l’appareil qui se mit en marche. Après une première prise, elle vérifia les résultats et m’autorisa à me rhabiller.
Je m’empressais à lui obéir et je remontais mon pantalon en premier et le fermais au-dessus du MAPA. Lorsque je relevais la tête, ses collègues 12 - Pneumo. - D - -étaient de nouveau devant leurs postes en chuchotant entre elle. J’enfilais rapidement le maillot que j’enfilais dans le pantalon sur l’appareil. Je faisais de même pour le pull et la veste. Je saisissais ma sacoche et je prenais congé de mon publique forcé. Elle me rappelait que je devais revenir le lendemain à 14h00. Sans demander mon reste trop honteux, frustré et humilié, je m’enfuyais de ce service. Je sautais dans le premier ascenseur qui arriva trop content de m’esquiver. J’arrivais dans le hall et je me dirigeais vers les toilettes après avoir vérifié que la famille n’était pas là. Je me déshabillais une nouvelle fois. Je posais le portable sur le bord du lave-mains et je sortais le collier, le plug, le lubrifiant et la ceinture de la sacoche. J’accrochais mes vêtements aux patères de la porte. Quand je mis les pieds sur le carrelage glacé, une envie irrésistible d’uriner arriva. Je prenais rapidement le téléphone et je prenais les premiers clichés avec le jock-strap avant de l’enlever. Je relevais à contre-cœur la lunette des toilettes et je 13 - Pneumo. - D - -m’assaillais sur la faïence. J’ouvrais le robinet et ma vessie se vida. Je prenais de nouvelles photos bien que je trouve cela très humiliant de tout photographier, mais les ordres sont les ordres…. Quand j’eus terminé, je séchais le bout de la cage avec du papier toilette. J’en profitais pour prendre la cage en gros plan car les picots maltraitaient toujours mon malheureux gland et mon pénis enchâssé dans la cage. Je posais sur le sol le téléphone et je graissais le plug N° 04 après l’avoir rincé. Je me positionnais accroupi et je prenais ma petite fleur en gros plan. Je lui présentais son visiteur et tout en le faisant pénétrer, je prenais de nouvelles photos. Je sentais la première boule pénétrer. Puis la seconde continua à ouvrir mon trou quand la première butta contre l’anneau. Après une nouvelle pression je le sentis gober la boule et mon anus avaler le reste du plug. Je me relevais et commençais à installer la ceinture quand je m’aperçu que la pose du plug me faisais mouiller comme une salope. Je savais que cela ferait peut 14 - Pneumo. - D - -être plaisir aux visiteurs mais encore plus à mes Masters. Maître Michael avait une fois ordonné que je photographie tout nouvel événement. Je prenais donc la cage en gros plan avec mon pénis en train de mouiller. Je positionnais le collier et je terminais d’installer la ceinture.  Quand tout fut en place et les photos en boite, je me rhabillais. Je tirais la chasse d’eau et je me lavais les mains avant de sortir. Trop honteux et humilié, je ne pouvais rendre visite à la personne hospitalisée. Je regagnais donc ma voiture et je rentrais chez moi comme il était midi passé.

        Autant la visite s’était mieux déroulé que je craignais, autant la pose du MAPA fut trop humiliante, frustrante et dégradante. Je ne m’étais jamais imaginé devenir le clown et la risée du service. Merci tout de même à mes Masters de me faire évoluer, de supporter l’exhibitionnisme forcé et me faire accepter mon état.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Humiliations - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 1 novembre 2 01 /11 /Nov 18:22

01---Bureau---D----.jpgAu bureau

        En rentrant au bureau après la consultation, je déposais l’ordonnance à la pharmacie. Arrivé au bureau, je me mettais au travail en pensant à la directive quotidienne. J’attendais dans la matinée un moment où j’aurai envie d’uriner ce qui ne tarda pas car je bois plus de 2 litres d’eau par jour. Quand l’envie arriva, je prenais mon02---Bureau---D----.jpg portable que je glissais discrètement dans une poche du pantalon de treillis. Je faisais attention que personne ne me voit entrer aux toilettes. Je fermais la porte derrière moi. Je sortais le téléphone de la poche que je posais sur le rebord du lavabo. Je me déshabillais mais étant pieds nus depuis le matin, instruction de Maître Michael, je ressentais le froid du carrelage dès que j’enlevais mes chaussures. J’enlevais le pull et le maillot que je posais sur le rebord du lavabo. Je faisais de même pour le treillis. Je trouvais ça toujours autant humiliant et dégradant de devoir se mettre ainsi nu pour faire ses besoins. Je m’asseyais sur les toilettes après avoir relevé la lunette. Je prenais mon mobile et je commençais à uriner. J’en profitais pour prendre les premiers clichés comme commandés. Quand j’eus terminé, je séchais le bout de la cage avec du papier toilette. Je me levais et je prenais de nouvelles photos debout. Lorsque j’avais 03---Bureau---D----.jpgterminé, je me rhabillais rapidement. Je tirais la chasse d’eau quand une personne essaya d’entrer. Je lui demandais une minute et je me pressais à me laver les mains et de ranger le portable dans une poche. Je m’essuyais les mains et je sortais. Je saluais le collègue qui attendait et je retournais à mon bureau j’espérais qu’il ne m’avait pas vu entrer et le temps que j’étais resté aux toilettes. Dans l’après-midi je recevais un appel téléphonique m’annonçant l’hospitalisation en urgence d’une personne très proche ce qui allait me faire prendre beaucoup de retard le reste de la semaine.

        C’est pourquoi je tiens à présenter mes excuses auprès de tous les visiteurs pour le retard que j’ai pris cette semaine dans les rapports comme j’ai eu une personne très proche qui a été hospitalisée en urgence. Depuis mercredi soir, je passe la plus part de mon temps libre auprès d’elle. En conséquence, je prie les visiteurs de bien vouloir me pardonner pour les retards que j’ai pris.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Humiliations - Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Mercredi 19 octobre 3 19 /10 /Oct 22:22

Une douche ignominieuse.

        Mardi matin, mes Masters me demandaient d’uriner dans une bouteille toute la journée. Le soir en rentrant chez moi, faire de même. Prendre la bouteille et la vider sur moi dans la douche. À contre-cœur, je préparais une bouteille et, avant de partir au bureau, j’urinais une première fois. Le midi je faisais de même en rentrant déjeuner. Le soir je renouvelais l’opération à mon grand désespoir. Je me déshabillais et je changeais de plug pour enlever la ceinture. Je posais celui qui tient seul dans ma petite fleur et j’attrapais mon courage à deux mains. Je prenais un premier cliché de la bouteille et de son contenant d’urine de la journée. Une fragrance ammoniaqué s’en émanait. Je réglais mon appareil pour prendre plusieurs clichés à la suite. Lorsque tout était prêt, je lançais le compte à rebours. Je montais dans la baignoire et je prenais d’une main la bouteille d’urine d’où émanait cette odeur nauséabonde et pestilentielle d’ammoniaque. Un sentiment de honte et d’humiliation montait en moi et j’avais envie de tout interrompre et de stopper là ! J’approchais la bouteille de mon corps et lorsque j’entendis le premier cliché, je me la vidais sur moi.01 - Uro - E - - Un relent de dégoût montait dans mes narines. L’odeur ammoniaqué m’enrobait et me faisait frissonner de froid et d’écœurement. Je m’interdisais de maudire les commandements de mes Maîtres mais je n’en pensais pas moins. Je finissais de vider entièrement la bouteille lorsque la dernière photo s’enclenchait. Mon corps était enrobé d’effluves nauséabonds, pestilentiels et fétides. Un frison de répugnance d’écœurement secouait tout mon être, de la tête aux pieds. Je m’empressais à prendre la pomme de douche et je me rinçais une première fois. J’avais l’impression que l’odeur ammoniaquée avait pénétré touts mes pores. Je me savonnais énergiquement afin d’essayer d’enlever ces effluves putrides et écœurants qui émanait de moi. Après m’être savonné et rincé plusieurs fois pour ôter toutes les odeurs pestilentielles, nauséabondes et répugnantes, je prenais une dernière douche bienfaitrice. Bien que je me sois douché plusieurs fois, j’avais toujours l’impression de porter en moi cette odeur ammoniaquée de l’urine. Pendant toute cette douche je m’étais senti de plus en plus humilié frustré et avili. Je me forçais, à contre-cœur, à ne pas maudire et mépriser mes Masters et leurs directives humiliantes dégradantes et déshonorantes. J’essayais, je me forçais surtout à me convaincre que c’était pour le bien du slave qu’ils faisaient cela.

 02---Uro---E----.jpg 03 - Uro - E - - 04---Uro---E----.jpg

 05---Uro---E----.jpg 06---Uro---E----.jpg 07---Uro---E----.jpg

 08---Uro---E----.jpg 09---Uro---E----.jpg 10---Uro---E----.jpg

        Merci à mes Masters et aux visiteurs de prendre du temps pour le slave que je suis.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Humiliations - Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Dimanche 16 octobre 7 16 /10 /Oct 17:03

Le Titan.

14 - Plug N° 14 - Le Titan - -        Plusieurs visiteurs avaient laissé des commentaires sur cette nouvelle acquisition. Afin de vérifier la progression de l’ouverture du trou du slave. Ils avaient réclamé des clichés de contrôles, le slave assis dessus pour voir ce que son trou pouvait déjà avaler. Mes Maîtres donnaient l’accord pour que je réalise cette rubrique. Je préparais une chaise et je graissais bien ce monstre. Avant de prendre les premiers clichés, je m’exerçais à m’asseoir dessus. Je sentais le premier étage pénétrer, arriver au premier anneau. Lorsque ce dernier s’ouvrait pour monter dessus, ma petite fleur continuait à s’ouvrir sur un anneau nouveau, encore plus gros. Ma rondelle était dilatée au maximum et mon05 - Plug N° 14 - C - - trou se mit à pousser. Je restais assis un instant, le temps qu’il se calme et je prenais la première photo. Je me tournais légèrement pour le second cliché. Le troisième et dernier je me positionnais de dos. J’avais l’impression que ma pauvre petite rondelle était défoncée ! Je ne pouvais plus maudire mes Masters et les visiteurs, ayant promis de ne plus le faire sous peine de sanction, mais je n’en pensais pas moins….

 06---Plug-N--14---C----.jpg  07---Plug-N--14---C----.jpg

         Mes Masters avaient, par malheur, donné le feu vert à la requête de Mr Alain44 pour afficher chez moi, les emplois du temps des saunas. Je rédigeais une affiche avec les coordonnées et les horaires d’ouverture des deux retenus. Après l’avoir éditée, je cherchais une place dans mon entrée où je pourrai la poser. Je choisissais de l'accrocher, sous un cadre, entre la porte de la salle de bain et celle de la chambre d’amis. À mon grand regret, toutes les personnes qui viendront chez moi dans le futur seront obligées de passer devant et malheureusement, de la voir. À contre cœur et ne pouvant plus faire autrement, je remercie mes Masters et les visiteurs pour me suivre, donner des conseils et prendre soin du slave que je suis.

 08---Affiche---C----.jpg  09---Affiche---C----.jpg

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Humiliations - Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Jeudi 13 octobre 4 13 /10 /Oct 10:25

Aux visiteurs.

  • Suite aux différents commentaires laissés par les visiteurs du blog et de mes interprétations, parfois des critiques, mes Masters ont demandé que je rédige ce mot.
  • Je remercie donc les visiteurs de suivre régulièrement mon blog et de laisser des commentaires, des appréciations, des propositions…. Je ne suis qu’un être inférieur. En conséquence, les Maîtres, les Mâles, les Éducateurs, les Soumis, les Bâtards…, à qui je dois le respect, peuvent et doivent continuer à laisser tous les commentaires, les propositions, les impressions… qu’ils estiment nécessaires pour la suite de mon éducation et pour la parfaire.
  • Malheureusement, ayant parfois critiqué, interprété… certains commentaires laissés par les vénérables et honorables visiteurs, mes Masters vous laissent le choix de la punition que je dois avoir. Suite à ces propositions, ils vous feront connaître leur verdict après avoir validé le châtiment retenu. J’effectuerai la sanction que vous jugerez et déciderez. Ultérieurement, je devrais rédiger un rapport que vous pourrez lire ici.
  • Mes Masters vous remercient aussi pour votre participation active qui fait évoluer ce blog et parfaire mon éducation. Ils vous incitent à continuer en donnant toutes vos impressions et commentaires que vous jugerez nécessaire afin d’améliorer celui-ci et compléter ma formation.
Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Humiliations - Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Dimanche 9 octobre 7 09 /10 /Oct 08:02

Un aller-retour humiliant :

        À contre-cœur, je me préparais à descendre le carton de mes sous-vêtements non retenus à la cave. Je ne pourrai plus y avoir accès sauf autorisation spéciale de mes Maîtres. Les instructions que j’avais, avaient étés proposées par Mr Alain44, complétées par Master Phénix, validées et parachevées par mes Masters. Je devais éditer une affiche et la coller sur01 - Carton - D - -.- le carton avec comme slogans : "Sous-vêtements à ne pas ouvrir sans l’accord écrit de mes MASTERS", en plus du rédigé déjà sur celui-ci. Je devais descendre pieds nus, des pinces aux seins, le collier et sa médaille, un gros plug, sa ceinture, le short blanc et le polo jaune sans fermer les boutons. Je devais me déshabiller dans l’ascenseur pendant la descente. Aller et ranger le carton dans la cave, nu. Revenir et remonter chez moi dans la même tenue, directive de dernières minutes. Je devais prendre des clichés à toutes les étapes de ce "voyage". Je devais donc prévoir descendre dans la nuit pour ne pas croiser de voisins. J’essayais de me préparer psychologiquement et je repoussais donc constamment cette escapade nocturne dégradante. Le froid arrivant, je devais me décider à enfin prendre mon courage à deux mains malgré les directives humiliantes et avilissantes. J’éditais l’affiche que je scotchais sur le devant du carton. C’était la première étape, la plus facile bien qu’elle soit déshonorante.

 02---Carton---D----.-.jpg 02---Carton---D-----.-.jpg

        Je surveillais plusieurs jours les allers-retour nocturnes des voisins qui sortaient leurs animaux dans la nuit. J’attendais le début du week-end. Je choisissais le vendredi dans la nuit. Je me décidais enfin à effectuer ce voyage. Je préparais dans un sac une lampe pour dans la cave, l’appareil photo et le portable pour réaliser les clichés nécessaires. J’installais le plug N° 10, le pot de graisse et les pinces à coté du carton, prêt à l’emploi. Je mettais le réveille à sonner à 02h00 du matin. Je me couchais avec angoisse à l’idée de réaliser cette sortie. Mon cœur battait déjà très fort. J’essayais de trouver le sommeil. Après plusieurs dizaines de minutes à compter les moutons, je m’endormais enfin. Dans les bras de Morphée, je commençais à rêver qui se transformait en cauchemar. J’étais dans la cave pour descendre le carton en tenue d’Adam avec seulement le collier et sa médaille, les pinces aux seins, la cage, un plug qui éclatait mon pauvre trou bloqué par la ceinture. Mon cœur battait à tout rompre. J’avançais et lorsque je passais devant une porte, elle s’ouvrait et un ou plusieurs voisins en sortaient. Lorsqu’ils me voyaient, ils riaient ou ils m’insultaient pour ma tenue. J’essayais de courir pour arriver dans la mienne mais le couloir s’allongeait de plus en plus avec autant de portes et encore plus de personnes qui en sortaient, se moquaient de moi et me raillaient. Je me réveillais en sur-saut et en nage. Mon palpitant battait tellement fort que je sentais la pression dans les oreilles. Je me sentais encore plus honteux et je m’imaginais le pire pour tout à l’heure. Je me levais boire un coup pour me calmer et je me recouchais. J’avais du mal à retrouver le sommeil. Lorsque le réveil sonna, je faisais un bond dans le lit car je faisais de nouveau un cauchemar. J’avais tellement transpiré que les draps étaient tout humides et mon cœur jouait encore la chamade. Je me levais et allais boire un grand verre d’eau pour essayer de me calmer un peu. Je commençais par changer de plug. Progressivement je sentais l’intrus sortir. Mon trou soulagé, se mit à pousser. Suivant les instructions humiliantes, dégradantes et à contre-cœur, je prenais les premiers clichés témoins de la sortie du plug N° 08 que j’avais pour dormir. J’en profitais pour aller aux toilettes car une envie d’uriner arrivait.

 03---Carton---D----.-.jpg 04---Carton---D----.-.jpg

 05---Carton---D----.-.jpg 06---Carton---D----.-.jpg

 07---Carton---D----.-.jpg 08---Carton---D----.-.jpg

        Comme mon petit trou ne cessait pas de pousser, je prenais un suppositoire. Je le plaçais dans mon pauvre trou et je poussais à la suite le plug N° 10 après l’avoir graissé. Je sentais ma petite fleur s’ouvrir, s’ouvrir…. Je poussais des deux mains pour arriver à le faire pénétrer. À chaque étape, je stoppais pour prendre un cliché. Je devais faire très attention car la dernière fois que je l’avais utilisé, j’avais éjaculé sans le vouloir. Ce fut très frustrant, humiliant et dégradant ! Enfin, mon hangar à b… gobait ce nouvel intrus. Mon pénis se gonflait de sang et je sentais les picots de la cage pénétrer dans mon malheureux gland et dans ma verge. Plus ils rentraient, plus ça m’excitait et plus j’essayais de bander. Malheureusement la cage l’en empêchait mais mon érection contrariée continuait. Je me sentais rabaissé, offensé et avili de ne pas pouvoir me masturber, jouir et de devoir tout illustrer avec des photographies. Je regrettais le choix du plug car ma pauvre rondelle était aussi dilatée avec ce colosse et il était bloqué par la ceinture. Mon malheureux cul était explosé !

 09---Carton---D----.-.jpg 10---Carton---D----.-.jpg

 12---Carton---D----.-.jpg 13---Carton---D----.-.jpg

 14---Carton---D----.-.jpg 15---Carton---D----.-.jpg

 16---Carton---D----.-.jpg 17 - Carton - D - -.-

18 - Carton - D - -.-        Je posais les pinces à chaque mamelon lorsque mon orifice se calma un peu. Une douleur irradiait alors ma poitrine. J’enfilais ensuite le short blanc et le polo délicatement en faisant attention de ne pas trop toucher les pinces d’où un incendie se diffusait dans tout le torse mais qui était atténué par la douleur qui montait de mon cul ! Je prenais de nouvelles photos de ma tenue avant de me décider à partir enfin ! J’avais de plus en plus ma petite fleure éclatée comme la base est aussi grosse qu’un beau plug moyen, 6 cm de diamètre la base, 8 cm la boule du plug et plus de 10,5 cm de longueur insérée. C’est une vraie bombe pour ma rondelle. Je me déplaçais comme un canard boiteux. J’avais honte et me sentais vraiment diminué. Je craignais  de  croiser  quelqu’un  en  cheminant  de  la sorte !

19---Carton---D----.-.jpg

 20---Carton---D----.-.jpg 21---Carton---D----.-.jpg 22---Carton---D----.-.jpg

        J’éteignais les lumières de chez moi. Je regardais dans le Juda, vérifier que personne n’était dans le couloir. Je tournais doucement la clé dans la serrure. Je sortais le trousseau23 - Carton - D - -.- subtilement du barillet. Je prenais le carton et le sac. Discrètement j’ouvrais ma porte et la refermais aussi vite et délicatement possible sans la fermer à clef. À tâtons, j’accédais à l’ascenseur et je l’appelais. Dans le noir, j’entendais la machinerie se mettre en marche et l’appareil monter. Je tendais les oreilles pour vérifier que personne ne sortait de chez elle. Les portes s’ouvraient et je m’empressais à monter dedans. Je posais au sol mes affaires et j’appuyais sur le sous-sol. Je me  déshabillais en hâte, le temps que l’ascenseur descende pour prendre un cliché, toujours suivant les directives humiliantes de mes Masters. Étant pieds nus, je sentais le froid monter du sol. Je sentais à peine la douleur des pinces tellement mon malheureux trou souffrait. Bien que je me sois promis à ne pas le faire, je maudissais les commentaires des visiteurs qui étaient à l’origine de ces directives validées par mes Maîtres et les instructions ajoutées par ces derniers.

24 - Carton - D - -.-

       Les portes s’ouvrirent. Je lançais la minuterie du couloir et les lampes s’allumèrent. Je sortais le carton de sous-vêtements et le sac où j’avais posé le trousseau de clés. Je pliais rapidement le short et le polo que je posais contre le mur près de l’ascenseur comme mes Masters me l’avaient commandé. J’allais devoir continuer mon humiliation dans les caves comme un nouveau-né, nu avec seulement les attributs du slave. Mes plantes des pieds sentaient toutes les aspérités du sol. Comme je ne pouvais par prendre de cliché devant l’ascenseur, n’ayant pas assez de recul, je rentrais dans le premier sas où je déposais le carton et le sac. Je réglais mon appareil photo que je posais sur le premier. Je lançais le retardateur et je reculais jusqu’à la porte du couloir les mains sur la tête. Je faisais de même pour mon malheureux trou obstrué et bloqué par la ceinture. J’étais à l’affût du moindre bruit et surtout celui de la machinerie.

   25 - Carton - D - -.- 26---Carton---D----.-.jpg

27 - Carton - D - -.-

 

        Je sentais le froid caresser tout mon corps. Mon cœur battait de plus en plus vite et fort. Je me sentais de plus en plus mal à l’aise. Je repensais à mon cauchemar et j’attendais à tout moment voir les portes des caves s’ouvrir. Je prenais le carton, le sac et je me rendais à ma cave qui est une des dernières. J’avais l’impression que le couloir devenait de plus en plus long. Enfin, j’arrivais devant ma porte. Je prenais le trousseau de clefs et j’ouvrais la mienne. Je posais le carton à l’intérieur et j’allumais la lampe à LED car il y avait eu des commentaires lors d’une précédente descente aux caves car les photos étaient mal exposées faute du manque d’éclairage. J’espérais qu’avec cette nouvelle lumière, ça irait mieux.

 

 


 28---Carton---D----.-.jpg 29---Carton---D----.-.jpg

        Je sortais dans le couloir pour prendre de nouveaux clichés. Mon cœur battait toujours la chamade. Le froid enveloppait de plus en plus mon corps comme un manteau de glace. Je commençais à avoir des frissons et la chair de poule. Plus le temps s’écoulait et plus je risquais de croiser une personne d'autant que j’avais laissé mes affaires devant l’ascenseur. Je m’imaginais un voisin descendre, les trouver et me les apporter. Il fallait que j’accélère le pas car les aiguilles de l’horloge tournaient. Plus je restais dans les sous-sols et plus je prenais le risque de croiser un individu. Je fermais ma cave à clef et je posais le trousseau dans le sac. J’en profitais pour photographier son contenu comme mes Masters avaient demandé une preuve de chaque détail.

 30---Carton---D----.-.jpg 31---Carton---D----.-.jpg 32---Carton---D----.-.jpg

        J’avais presque terminé mais je n’étais pas au bout de mes inquiétudes et de mes humiliations. Je reprenais mon sac après avoir rallumé la minuterie. Mon palpitant battait toujours aussi vite. Je sentais le froid pénétrer dans tous mes pores. Je marchais de plus en plus mal, en canard, cambré tellement mon trou me faisait souffrir. Mes pieds traînaient au sol et ramassaient toutes les saletés. J’arrivais enfin au sas. Je m’apprêtais à appeler l’ascenseur lorsque j’entendis la machinerie se mettre en marche. Mon sang ne fit qu’un tour et j’attrapais mes affaires au sol que je fourrais rapidement dans mon sac. Je faisais demi-tour et j’allais me cacher dans le second sas qui desserre le local technique et la montée d’escalier. De là je pouvais me cacher si la personne venait dans sa cave. Mon cœur battait de plus en plus vite et j’avais de plus en plus peur. Je serrais les dents en essayant33 - Carton - D - -.- de me calmer. Des frissons couraient tout le long de mon corps. Je commençais à trembler de froid et de peur que l’on puisse me voir dans cette tenue. Je me sentais de plus en plus frustré, humilié, déshonoré et avili ! Je maudissais les commentaires de tous les visiteurs et mes Masters de les avoir validés. Je craignais de plus en plus que l’on puisse me voir ainsi. J’entendis alors la personne au-dessus de moi qui sortait dans le hall et parlait à son animal, certainement un chien. Je poussais un grand Ouf !!! de soulagement. Il ne fallait pas que je traîne trop encore ici. Je retournais à l’ascenseur. Après un instant pour m’assurer que personne d’autre n'appellerait cet appareil, j’appuyais sur le bouton. J’entendis la machinerie se mettre en route et l’ascenseur arriva. Les portes s’ouvrirent avec soulagement. Je montais rapidement dedans et j’attrapais mon portable pour faire un dernier cliché le temps que je remonte chez moi.

        Je le terminais lorsque les portent s’ouvrirent à nouveau. Sans allumer la lumière du couloir, juste avec la clarté de l’appareil, je me rendais à mon appartement. Ne l’ayant pas fermé à clé comme mes Maîtres avaient commandé que je remonte nu je rentrais discrètement chez moi. J’étais couvert de sueurs froides. Je grelottais et j’avais la chair de poule. Mon cœur jouait toujours la chamade. Un peu plus, je croisais un voisin nu dans l’ascenseur. J’ai eu vraiment très peur. Etant glacé, je me faisais un bon grog bien chaud et bien tassé pour me réchauffer de l’intérieur. J’essayais de me calmer mais mon trou n’en pouvais plus. J’enlevais ce mastodonte pour remettre en place le plug N° 08 pour le restant de la nuit car j’avais instruction de finir la nuit sur le sol de ma chambre à mon retour. J’enlevais le short, le polo, les pinces et je buvais mon grog. Je verrai le lendemain pour les clichés et la rédaction du rapport. Rarement je m’étais senti aussi mal à l’instar de ma dernière sortie au lac.

        À contre-cœur, je remercie mes Masters pour cette escapade nocturne dans les caves qui fut une étape de plus dans mon humiliation et mon avilissement.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Humiliations - Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Samedi 1 octobre 6 01 /10 /Oct 13:32

Sortie au lac.

        J’informais mes Masters que j’avais déposé un congé pour ce jeudi car la météo annonçait les dernières grosses chaleurs. Mon directeur avait accepté à condition que j’assure la garde du soir à partir de 17h00. Mes Maîtres avaient décidé que j’irai au lac avec le short blanc, le polo jaune sans fermer les boutons, le plug qui tient seul et le reste des attributs. Je reviendrai dans cette tenue et je me changerai seulement en arrivant au bureau. Je ne devais pas repasser chez moi. Ils avaient ordonné que je fasse tous les clichés nécessaires à chaque étape. Je pourrai partir seulement après avoir publié le rapport de la visite médicale de mercredi.

        N’ayant pu démarrer le rapport la veille, je me levais de bonne heure pour le rédiger afin de partir pas trop tard. Quand tout fut en ligne, je me préparais en posant le plug en place et la ceinture et en introduisant le plug N° 03 dans mon malheureux trou.

 01---Plug-N--03---D----.-.jpg 02---Plug-N--03---D----.-.jpg

 03---Plug-N--03---D----.-.jpg 04---Plug-N--03---D----.-.jpg

 05---Plug-N--03---D----.-.jpg 06---Plug-N--03---D----.-.jpg

        N’étant pas en avance car le rapport m’avait pris plus de temps que prévu, je me dépêchais à m’habiller après avoir fait ma toilette. J’enfilais une paire de chaussettes, le short blanc, le polo jaune en laissant à contre cœur les boutons ouverts et mes baskets. Je m’apercevais, dès que je marchais, le short remontait légèrement et la cage apparaissait avec mes malheureux testicules. Je devrai le redescendre régulièrement ! Toujours suivant les instructions, je prenais les clichés comme preuve de ma tenue.

 07---Plug-N--03---D----.-.jpg 08---Plug-N--03---D----.-.jpg 09---Plug-N--03---D----.-.jpg

 10---Plug-N--03---D----.-.jpg  11---Plug-N--03---D----.-.jpg

        Je préparais mon sac avec une serviette, un livre, une bouteille d’eau et un jeans que je laisserai dans le coffre de la voiture. Quand tout était prêt, j’enfilais une petite veste sans manche et je prenais mon sac. Je fermais mon appartement et j’appelais l’ascenseur. En sortant de l’immeuble, je croisais la fille d’un voisin, une adolescente. Lorsqu’elle me vit, elle me salua et elle jetait un œil au short car je venais de tirer dessus pour cacher la cage. Alors, elle ne quitta plus le collier de vue avec la médaille. Je lui rendais son bonjour. J’avais oublié que les boutons étaient ouverts. Je maudissais les instructions des Masters d’avoir commandés de ne pas les fermer. Elle allait sûrement en toucher un mot à ses parents et lorsque je les croiserai, je serai très mal à l’aise car je ne savais pas ce qu’elle avait vu, étant de ma taille. Je haïssais une nouvelles fois les directives humiliantes. Je m’empressais à poser le sac dans le coffre de la voiture et je montais dans le véhicule. En démarrant, je m’apercevais que la cage sortait du short. Je partais de chez moi à 11h15. il me faut 45 mn pour me rendre à la plage naturiste. J’avais pris du retard avec le rapport du matin comme j’avais ordre de le publier avant de partir. Étant fin septembre et en semaine, j’espérais qu’il y aurait peu de monde au lac. En cours de route je me garais pour prendre un cliché de la cage car mes Masters l’avaient commandé.

12---Au-Lac---D----.-.jpg

        J’arrivais en même temps qu’une personne en scooter. Je déchargeais le transat et le sac en sortant le jeans et en le laissant dans le coffre. Je méprisais de nouveau les commandements dégradants de mes Maîtres. Je garais la voiture après avoir pris le pantalon en photo. Avant de me charger, je prenais de nouveaux clichés de ma tenue déshonorante. Mes craintes se confirmaient. Plusieurs véhicules étaient déjà garés. Je ne pensais pas qu’il y aurait autant de monde ce jour.

 13 - Au Lac - D - -.- 14 - Au Lac - D - -.- 15---Au-Lac---D----.-.jpg

        Je prenais mon barda en espérant qu’il y aurait mon petit coin discret de libre. En longeant la voie ferrée, je voyais que plusieurs couples ou des personnes seules étaient déjà allongés. Je craignais que mon coin soit pris. Un peu avant, sur le dernier bout de plage, je déposais mes affaires comme il n’y avait personne. Discrètement j’allais voir mon petit endroit mais j’aperçus qu’un homme était déjà en place. Discrètement, je rebroussais chemin et je m’installais sur la plage où j’étais la dernière fois. J’allais pour prendre en photo la cage qui sortait du short lorsqu’un homme approcha en longeant le chemin de fer. Il était 12h20. Je prenais alors des vues panoramiques du lac.

 16---Au-Lac---D----.-.jpg 17---Au-Lac---D----.-.jpg

 19---Au-Lac---D----.-.jpg 20---Au-Lac---D----.-.jpg

        Un couple était sur le bout de plage à coté de moi. J’évitais de les photographier. Lorsque le visiteur fut enfin parti, je prenais la cage et je me déshabillais. À cause des commentaires laissés sur les articles, mes Maîtres avaient demandé des photos du slave nu. Je maudissais tous les visiteurs et surtout les commentaires humiliant et désobligeant qu’ils avaient laissés et mes Masters de les suivre !

 22---Au-Lac---D----.-.jpg 23---Au-Lac---D----.-.jpg 25---Au-Lac---D----.-.jpg

 21---Au-Lac---D----.-.jpg  24---Au-Lac---D----.-.jpg

        Je m’allongeais sur le transat et j’allais prendre de nouveaux clichés lorsque j’entendis des pas vers moi. C’était le voisin qui venait me rendre visite. Un très bel homme de plus 1m80, tout bronzé, des tablettes de chocolat, des cheveux blond assez long et un pénis…, s’approchait. Mon cœur se mit à battre de plus en plus fort. Que me voulait-il ? Je craignais le pire. Il entama la conversation :

  • -    Bonjour Monsieur.
  • -    Bonjour.
  • -    Je vous ai vu prendre des photos. En avez-vous prises de mon épouse et de moi ?

  Fébrilement, le cœur jouant la chamade, je répondais en lui tendant mon portable :

  • -    Non, j’ai fait attention de ne pas vous prendre si vous désirez vérifier ?
  • -    Je vous fais confiance Monsieur. Bonne journée.
  • -    Bonne journée à vous aussi.

26 - Au Lac - D - -.-  J’étais vraiment très mal à l’aise et content qu’il n’avait pas pris mon appareil. Il ne se serait pas vu mais moi dans des positions humiliantes et avilissantes. Je m’empressais  de me photographier allongé ainsi que l’intrus dans mon trou lorsque j’entendis de nouveaux pas dans l’eau.

        Un homme plus âgé, nu, s’approchait. Avec précipitation, j’enfilais mes lunettes de soleil et une casquette sur la tête. Je descendais la visière au maximum sur les yeux. Je m’allongeais sur le dos en espérant que le plug se voit le moins possible. Je faisais semblant de m’assoupir. Il s’arrêta devant moi. Je regardais furtivement. Il ne voulait pas bouger ! Mon palpitant battait de plus en plus fort. Il scrutait tous les attributs. Je voulais me lever et m’enfuir ! Ne pouvait-il pas continuer son chemin ? J’étais certain qu’il voyait, non seulement la cage et le collier mais aussi le plug !  Il  ne  bougeait  toujours  pas,  mo27---Au-Lac---D----.-.jpgi  non plus ! Enfin après m’avoir ausculté de la tête aux pieds il continua son chemin en passant à coté de moi pour monter le talus. Il allait sûrement voir le voisin qui avait pris mon coin discret. Mes voisins jetaient régulièrement un œil de mon coté. La situation devenait de plus en plus frustrante, humiliante et dégradante. De nouveaux pas derrière moi se firent entendre. Une nouvelle personne arrivait le long de la voie. À ma hauteur, je l’entendis s’arrêter et d’autres pas s’approcher. J’en déduisais que ce devait être le premier visiteur qui rebroussait chemin. Je les entendis se saluer et discuter sans pouvoir entendre leur discussion. Je n’osais pas bouger tellement j’étais mal à l’aise. Il restèrent derrière moi une bonne dizaine de minutes qui me paraissaient des heures. Enfin ils se séparèrent et ils continuèrent leurs chemins. Je restais allongé sans oser bouger. Il fallait que je me calme. C’est à cet instant que j’entendais un couple s’approcher le long de la voie de chemin de fer qui discutait assez fort sans pouvoir comprendre ce qu’ils disaient. Les voix devenaient de plus en plus fort. Je comprenais qu’ils descendaient le talus. Ils passaient à coté de moi en m’inspectant et allaient voir mes voisins. Je tournais légèrement la tête pour espionner. Je constatais qu’ils se connaissaient. Après s’être salué, le nouveau couple se mit en tenue d’Adam et d’Eve. Ils s’installèrent près de leurs amis. Je m’aperçus que mon palpitant jouait de plus en plus la chamade. Je priais pour être enfin en paix. Malheureusement personne n’entendit mes prières. Un nouvel homme grisonnant s’approchait le long du lac avec un mini slip de bain. Une crampe me pris dans la jambe droite. N’en pouvant plus, je la bougeais et la repliais de peur de me lever. La douleur s’estompait lentement mais je craignais que le plug se voit plus. Effectivement, ce nouveau visiteur comme le premier s’arrêta à mes pieds. Je maudissais l’idée que j’avais eu de venir une nouvelle fois au lac. Jamais auparavant, je n’avais été scruté de la sorte. J’étais toujours allongé sur le dos. Je n’avais pas pu bouger ni prendre mon livre. Il resta devant moi scruter tout ce que je portais plusieurs minutes. Je l’entendis enfin partir mais il revint sur ses pas et resta encore un long moment. Je ne savais pas ce qui l’intéressait de la sorte et je ne voulais pas le savoir. Il se décida enfin à partir mais n’alla pas loin car, du coin de l’œil, je le vis s’asseoir sur un rocher non loin de moi. Jamais au paravent je ne m’étais senti autant frustré, humilié et déshonoré. Je maudissais tous les visiteurs du blog et mes Masters de me faire venir sur la plage avec tous ces attributs. J’entendis de nouveaux pas. Un homme s’approchait encore le long de la plage. Il s’arrêta un instant devant moi pour scruter tout mon corps et alla s’asseoir près du précédent voyeur. Ils discutaient à voix basse. Je ne pouvais pas entendre ce qui augmenta ma frustration, mon humiliation. Quand de nouveaux pas se firent entendre le long du chemin de fer, mes visiteurs se levèrent et montèrent le talus pour rejoindre ce nouveau visiteur. Je ne pouvais plus les voir mais des brides de conversation me parvenait. J’entendais, humilié, superbe cage…, belles couilles…, étonnant petit cul…, collier…, vrai pute…, une bonne salope…. Je me sentais de plus en plus mal et déshonoré. Je voulais me lever et m’enfuir de cette plage. Jamais auparavant je ne m’étais senti autant rabaissé et frustré d’être là ! Je me maudissais d’avoir eu l’idée de revenir sur cette plage. Jamais je n’avais pensé qu’il y aurait autant de monde à cette période. Après une éternité, ils se décidèrent enfin à s’éloigner. Mon cœur battait à tout rompre et s’il avait pu, se serait enfuit à pas de course. Encore deux autres personnes vinrent me "rendre visite" et me scrutèrent de la tête aux pieds. Enfin j’étais seul. J’allais prendre mon livre quand j’eus l’idée de regarder l’heure. Il était déjà 15h58. Trop content, je me levais et je m’habillais rapidement. Je rangeais mes affaires dans le sac en tirant régulièrement sur le short qui remontait et découvrait la cage. J’abominais cet achat ! Cette visite au lac était la plus humiliante, frustrante et dégradante que je n’avais jamais vécu. Je prenais mon barda et montais le talus pour longer la voie ferrée. Je devais en permanence tirer sur mon short car je croisais encore quatre hommes en maillots de bain. J’en déduisais qu’ils s’étaient tous donnés le mot et que j’étais devenu l’attraction de la plage. Je chargeai ma voiture et je démarrais à 16h10. tout le long de la route je repassais en mémoire tous mes visiteurs. Plus je repensais à eux et plus je maudissais mes Masters, les visiteurs du blog et leurs commentaires et plus je me sentais frustré, humilié et avili. J’arrivais à destination quand je repensais qu’il fallait que je me change. J’allais me garer au parking derrière le bâtiment. Le plus loin possible. Malheureusement une rue à grande circulation le surplombe et un immeuble de 18 étages. Je me garais donc à reculons et j’ouvrais le coffre. Je m’assaillais sur le bord pour être à l’abris des regards indiscrets des locataires. Je vérifiais que personne ne marchait sur le trottoir au-dessus de moi. Seul des personnes attendaient le bus dans un abri un peu plus loin à droite. Je m’empressais à ôter le short et à enfiler le jeans. Je remettais mes baskets. Je fermais le véhicule et je gagnais mon travail. Je repensais une dernière fois à cette journée humiliante, frustrante et dégradante que je venais de passer et qu’il faudrait publier.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Humiliations - Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Jeudi 15 septembre 4 15 /09 /Sep 08:21

Humiliation !

        Ce matin, je faisais part à mes Masters d’une réflexion d’un collègue. Trop content ils m’ordonnèrent de la publier. Malheureusement, c’est encore plus humiliant déshonorant et dégradant !!!
        Étant plugué en permanence avec des plugs de plus en plus gros et ayant été assis une partie de la journée, mon malheureux trou se mettait à pousser. Je me levais donc pour aller aux toilettes en me tenant, d’une main, une fesse. Un collègue me voyant me lançait :

  •  "Pourquoi marches-tu de la sorte ? On dirait que tu as un manche à balais dans le cul !"

        Honteux et frustré, je ne savais quoi répondre sur le coup. Au bout d’un instant qui me parut une éternité, je lui répondais :

  •  "Je dois aller aux toilettes. J’ai une envie pressente…."

        Frustré, humilié et avilis, je me rendais aux toilettes. Je sortais le plug de son trou et j’introduisais un suppositoire pour calmer le côlon. Je réintroduisais le plug dans la petite fleur. Après avoir mis un papier absorbant au bout je remettais la ceinture "Bloc-plug" en place. Ce matin, je faisais part à mes Masters de mon infortune d’hier et ils me commandèrent de la publier sur le blog et de ne plus mettre de papier absorbant. Je leur faisais part que j’allais tâcher le pantalon, ils rétorquèrent :

  •  "Tu mets ça sur le blog sous-merde ! Obéis bâtard et publies-le salope !"

        Honteux, une nouvelle fois humiliée et avilie, je rédigeais mon rapport.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Humiliations - Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires

Présentation

  • : Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335
  • Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335
  • : gay Gay
  • : Sous-Merde propriété de Master Eric et Maître Mickaël. Il fait aussi ce que les Visiteurs demandent. Ce n'est pas un mâle mais une sous-merde, et il doit être traité comme tel. À la disposition de tous les Maîtres et slaves au Téléphone, en Web-cam sur Smboy ou Skype... Prises de photo et rapports publiés ensuite sur le blog sous le contrôle de ses Maîtres.
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Album photos

Voir tous les albums

Derniers Commentaires

Calendrier

Avril 2024
L M M J V S D
1 2 3 4 5 6 7
8 9 10 11 12 13 14
15 16 17 18 19 20 21
22 23 24 25 26 27 28
29 30          
<< < > >>

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés