Le blog de Bâstard à KC Sous Merde n°411-103-335

  Bienvenue sur le blog de Bâtard a KC : Sous Merde N° 411-103-335, sous le contrôle de Master Éric et Maître Michael. Il doit faire ce qui lui est demandé sans rechigner. N’hésitez pas à laisser des commentaires sur les différents articles qu'il publie sous nos ordres.

  Il fait aussi ce que les visiteurs demandent. Ce n'est pas un mâle mais une sous-merde, et il doit être traité comme tel.

  Sous cage de chasteté, nous seuls, ses Maîtres, décidons de ses jouissances afin de le purger de son jus pourris qui ne sert à rien.

  N'hésitez pas à laisser des commentaires dans les différents articles publiés ici par notre sous merde ou nous même. Cela l'humiliera  d'autant  plus.  Son  adresse  est  dorénavant  la  suivante  :        slave.411103335@gmail.com

   Nous la contrôlons entièrement. Nous nous chargerons de vous répondre ou notre slave vous transmettra nos commentaires.

  Notre Sous-Merde est à dispos de tous mâles souhaitant l'utiliser en Cam ou en Réel avec prises de photos et rapports publiés ensuite sur le blog. Même les soumis peuvent l'utiliser car son statut est inférieur à eux et il leur doit respect, soumission et obéissance.

Mercredi 24 octobre 3 24 /10 /Oct 07:00

110 - Corvée. - D - -.-Corvée du lundi 22 octobre 2018 :

 

         Je passais une nouvelle nuit en enfer ! Les tortionnaires du carcan de ma nouille ne cessaient de la brimer et d'empaler son gland. Lorsque je trouvais enfin le sommeil, ils redoublaient de vigueur en la brimant, me réveillant en sursaut. J'attendais avec impatience que l'aube se lève pour que j'en fasse 111 - Corvée. - D - -.-autant. Bien que je l'attendais avec impatience, j'avais des difficultés à me sortir du lit. L’esprit embrumé, je buvais un double expresso pour dissiper le brouillard assombrissant mon cerveau et voilant mes yeux. Je saluais mes Maîtres. Comme personne n'était connecté, je passais à la salle de bain pour ma toilette et une douche réparatrice d'une nuit de divagations psychotiques. Je prenais le marqueur noir, couleur du lundi et je débutais une nouvelle fois, 112 - Corvée. - D - -.-assis sur le bord de la baignoire, les écrits du jour. Sur la cuisse gauche, la date du jour, sur la droite, le numéro d'enregistrement au répertoire des slaves. Sur le torse, l’appartenance de la sous-merde pour terminer par le pubis et la date de mise en prison de ma malheureuse nouille. Elle est tellement en manque qu'elle ne désenfle plus c'est pourquoi mon pauvre gland est en permanence embrochée par les pics de l'abominable pénitencier. Cette séquestration, 113 - Corvée. - D - -.-imposée sans avoir de date libératoire, est un calvaire de chaque instant, jour et nuit ! Je m'habillais avec un pull en laine avec un col roulé qui permet de dissimuler le collier et surtout la médaille. J'enfilais un jean, une paire de chaussettes propre, le gilet sans manches avec son hôte dans une des poches frontales. Ayant du mal à mettre la machine en marche, ce lundi, je m’apercevais que j'allais être en retard. J'attrapais ma veste et je partais au travail. Malgré la froideur humide de l'atmosphère, chaque nouveau pas était un supplice. Mon malheureux gland, une nouvelle fois, se retrouvait en enfer. Ma pauvre nouille ne débandait pas malgré les températures automnales. Les bourreaux du mitard s'en donnaient à cœur joie. De petits râles s'échappaient de mes entrailles que je tentais, en vain, d'atténuer. Entre deux soupirs, je constatais que j'avais oublié de prendre le premier cliché dans la salle de bain après avoir réalisé les graffitis. Je le ferai dans la soirée, lorsque je rentrerai chez moi et avant d'effacer ces ignobles inscriptions. Arrivé à destination, je gagnais mon poste de travail après avoir, 114 - Corvée. - D - -.-très rapidement, salué les personnes présentes dans le hall. Je posais ma veste sur le dossier de mon fauteuil et je prenais place. En m'assaillant, la cage, immobilisée entre ma cuisse et le tissu du pantalon, fit un mouvement de recul, qui permit aux inquisiteurs d'empaler encore plus leur otage. Un râle de surprise et de souffrance s'échappa de mes entrailles. Honteux, je vérifiais avec angoisse, la présence d'oreilles curieuses. À mon grand soulagement, le couloir et le bureau contigu étaient déserts. Je me mettais au travail. Ma collègue arrivait peu de temps après moi. J'allais devoir faire très attention à mes soupirs et aux râles intempestifs qui s'échappaient régulièrement de mes tripes. Je prenais, de nouveau, l'excuse de remontées gastriques insupportables. Régulièrement, je buvais une gorgée de la bouteille d'eau qui trône dans un coin, sur mon bureau. Tout liquide qui pénètre par un bout doit ressortir de l'autre. C'est pourquoi, dans la matinée, l'envie d'uriner devenait de plus en plus présente et je n'en pouvais plus de retenir ou d'étouffer mes gémissements. Je 115 - Corvée. - D - -.-refermais la porte derrière moi et, à l'accoutumée, je posais le téléphone sur le lave-mains. Je déposais mes vêtements sur le sol au fur et à mesure que je me déshabillais. Je me retrouvais rapidement nu comme un nouveau-né. Je roulais mes chaussettes et j'enfournais, dans ma petite gueule, la plante des pieds suivant les directives. Pieds-nus, le froid de la dalle glaçait mes chevilles et un frisson secouait tout mon corps dénudé. J'attrapais mon portable et je 116 - Corvée. - D - -.-débutais par photographier mes vêtements sur le carrelage. Je continuais par la date sur une cuisse et le numéro d'enregistrement sur l'autre. Malgré la froideur du sol, les bourreaux continuaient sans cesse de perforer mon gland. Ma nouille, gonflée à bloc, se retrouvait enchâssée dans son carcan en étant immortalisée. Les chaussettes dans ma gueule suivaient. Je poursuivais par l'appartenance de la sous-merde et je terminais cette partie par la 117 - Corvée. - D - -.-date, haïssable, inscrite sur mon pubis. Une dernière prise de pieds avant de m’installer sur les toilettes, le couvercle et la lunette relevés. Au contact de la faïence glacée, mon postérieur se frigorifiait. Un nouveau frissonnement agitait mon corps nu. J’entrouvrais mes cuisses pour prendre un cliché, dégradant, de ma vessie se vider. Quand elle fut complètement vidangée, je secouais précautionneusement le pénitencier afin de ne pas accroître les tortures de son locataire. Peine perdue ! Le moindre mouvement de ce mitard réactivait instantanément les persécuteurs qui, revigorés, maltraitaient de plus belle leur otage.  Un nouveau gémissement de douleur, et de plaisir, s'échappait instinctivement. Je séchais délicatement cette cellule avec du papier toilette. Je me rhabillais, en faisant très attention de ne pas accentuer les souffrances abominables du réclusionnaire. Je tirais la chasse d'eau et j'abaissais la lunette et le couvercle. Je me rinçais les mains. Je repositionnais le portable dans son repaire. Après un dernier coup d’œil autour de moi, j'ouvrais la porte. Je retournais 118 - Corvée. - D - -.-au bureau et j'invitais ma collègue à prendre une pause-café-cigarette qui acceptait immédiatement. La journée se déroulait avec des hauts et beaucoup de bas, car les picots ne cessaient d'embrocher mon malheureux gland, qui, excité, accentuait l'érection avortée de la nouille de la sous-merde. En rentrant le soir, je passais de nouveau à la salle de bain. Avant d'effacer les tags, je prenais le cliché de pieds, manqué le matin, sur ma nouvelle paillasse.

119 - Corvée. - D - -.-

         Une nouvelle fois, je gratifie mes Masters, Master Éric et Maître Michael, pour leur persévérance à suivre et faire évoluer la sous-merde que je suis.

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Dimanche 21 octobre 7 21 /10 /Oct 14:00

100 - Corvée. - D - -.-Corvée du vendredi 19 octobre 2018 :

 

         Ayant eu une migraine la veille, je trouvais difficilement le sommeil. Quand le mal de tête diminua dans la nuit, je pouvais enfin m'endormir. J'espérais passer une nuit correcte et sans encombre. Je me retrouvais nu sur une île paradisiaque. Mes pieds foulaient du sable chaud et fin. Des vagues venaient mourir sur ce rivage. Une jungle épaisse se déployait à l’opposé. Je m'allongeais sur cette plage sous un soleil radieux. Je ressentais la tiédeur des grains de sable sous mon corps. Je me sentais au paradis et je fermais les yeux pour profiter de cet instant de bonheur. Tout d'un coup, des mains agrippaient mes pieds et mes poignets qui se retrouvaient aussitôt entravés sans que je puisse bouger. J'ouvrais les yeux et des indigènes me faisaient prisonnier. Ils parlaient un langage inconnu. Deux colosses arrivaient avec une grande perche de bois. Ils la passèrent entre mes poignets et mes chevilles. Ils la 101 - Corvée. - D - -.-levèrent sans difficulté et je me retrouvais suspendu à cette poutre la tête retombant en arrière comme une truie partant au sacrifice. Ils pénétraient dans cette forêt vierge. Les hautes herbes, de petits arbustes et des branches 102 - Corvée. - D - -.-mortes tombées au sol lacéraient mon dos. J'étais ballotté d'un côté et de l'autre. Une chaleur agréable envahissait mon bas-ventre et je ressentais une érection venir. Je relevais difficilement la tête et j’apercevais ma nouille droite comme un I. Je ressentais une humiliation et une grande frustration de bander dans cette situation dégradante. Mes kidnappeurs s'en aperçurent aussi. Je ne comprenais pas, mais je me doutais que les commentaires et les rires 103 - Corvée. - D - -.-devaient être méprisants. Nous arrivions enfin à un village et les molosses me suspendaient par les pieds à un portique. Les femmes et les enfants accouraient voir le butin des hommes. Les gamins avaient des boules de boue qu'ils me jetaient sur tout le corps. J'étais l’attraction du village et la risée des Autochtones. À mon grand désespoir, je bandais comme un âne. Au bout d'un certain temps, les adultes projetaient des aiguilles et des pointes fines. Le but était de les planter dans ma 104 - Corvée. - D - -.-nouille. J'avais de plus en plus mal. Je voulais hurler, mais aucun son ne sortait de mon gosier. Mon malheureux gland devenait un hérisson hérissé d'aiguilles. La douleur devenait de plus en plus intense et insupportable. Un hurlement s'échappait de ma gueule et je me retrouvais assis dans mon lit, haletant, mon palpitant battant la chamade et mon corps ruisselant de sueur. Je poussais un "OUF !" de soulagement. Je me levais pour boire un verre d'eau et je me recouchais espérant ne plus faire de cauchemars. Le réveil sonna et, avec apaisement, je me levais. Mon cœur battait encore très vite quand je me remémorais ma nuit douloureuse. Je buvais un bon expresso pour dissiper les brumes de mon cerveau. Je saluais mes Masters et je passais à la salle de bain. En repensant à ma nuit et au mauvais rêve, je le mettais sur le compte de ma migraine de la veille. J'avais encore une légère douleur. Je reprenais un cachet espérant que le mal n'aille pas plus loin. J'attrapais le marqueur vert, couleur du vendredi. Assis comme d'habitude sur le rebord de la baignoire je commençais la séance d'écriture. Sur la cuisse 105 - Corvée. - D - -.-gauche, la date du jour, sur la droite, le numéro d'enregistrement au registre des slaves, sur le torse, l'appartenance de la sous-merde et sur le bas-ventre, la date de mise sous cage de la nouille. Les graffitis terminés, je prenais mon portable et j'enregistrais le premier cliché de pieds. Je m'habillais, et après avoir souhaité une bonne journée à mes Maîtres, je partais pour une matinée de travail.  À mon grand regret, les tortionnaires continuaient de tourmenter mon 106 - Corvée. - D - -.-pauvre gland à chaque nouveau pas. Plus il était malmené et plus son excitation augmentait en produisant une érection avortée de la nouille. Je tentais de ne pas gémir dans la rue en croisant d'autres personnes. Je maudissais cette ignoble cage avec ses pics toujours aussi actifs. Enfin, j'arrivais à destination. Après avoir salué les collègues et les parents présents, je regagnais mon bureau en tentant de contenir mes gémissements. Après une bonne heure de travail, 107 - Corvée. - D - -.-la vessie de plus en plus pleine, je me décidais à me rendre aux toilettes et à réaliser la corvée du jour. Je me déshabillais et je posais au sol mes vêtements. Pieds nus, je ressentais le froid du carrelage qui glaçait mes chevilles. La dalle se refroidit chaque jour un peu plus. Je photographiais mes vêtements au sol et les chaussettes dans ma gueule. Je continuais par la date et le numéro d'enregistrement. Je poursuivais par l'appartenance de la sous-merde et la date de mise sous cage de la nouille. Je terminais par une prise de vues de pieds avant de m’asseoir sur la faïence glacée du trône qui gelait mon petit cul. Je lâchais les vannes en espérant que ma nouille débande. Ma vessie vidée, je secouais précautionneusement la cage espérant ne pas réveiller les matons. Cause perdue ! Ils redoublaient de vigueur en empalant de plus en plus le gland. Je faisais un cliché de ces tortionnaires et de leur détenu qui, gonflé à bloc dans un carcan trop petit, sortait par le moindre orifice. Je me rhabillais espérant ne pas trop souffrir. Mon mal de tête recommençant à faire des siennes, je 108 - Corvée. - D - -.-prenais un nouveau comprimé. Je me rinçais les mains, je tirais la chasse d'eau et je jetais un dernier coup d’œil autour de moi avant de sortir. Je n'avais pas fait trois mètres dans le couloir quand je sentis une coulée humide descendre sur ma cuisse. La nouille gonflée à bloc avait retenu un peu d'urine dans l'urètre, qui, en marchant, s'en était échappée. Je m'empressais de m'asseoir dans mon fauteuil et 109 - Corvée. - D - -.-je séchais cette ignoble coulure avec le jean que je portais.


         Une nouvelle corvée de réaliser dans des conditions dégradantes. Je dis Merci à mes Masters et aux lecteurs en leur souhaitant un excellent week-end.

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Samedi 20 octobre 6 20 /10 /Oct 10:00

91 - Corvée. - D - -.-Corvée du jeudi 18 octobre 2018 :

 

         Je réalisais ce rapport le vendredi 19 après-midi en présence de ma femme de ménage. Suivant les commandements de Maître Michael, je portais seulement mon short noir à bande jaune et un t-shirt. Après lui avoir ouvert la porte, honteux, ayant descendu le short au maximum afin de masquer le plus possible la maudite cage de chasteté, je m'assaillais à mon bureau dans la chambre les jambes écartées. Je me rapprochais le plus possible pour que mes cuisses soient cachées par le meuble, car la cage sortait du short ! Sachant les recommandations pour écrire ce rapport, dès que je rentrais du bureau à midi, je passais à la salle de bain afin d’effacer au white-spirit les inscriptions du vendredi. Je prenais une douche en frictionnant bien pour évacuer toutes traces de ce produit corrosif. J'enfilais un t-shirt et le short noir que je baissais au maximum afin de camoufler la prison de ma nouille. Je 92 - Corvée. - D - -.-terminais de m'habiller lorsque la femme de ménage sonnait à la porte. Je lui ouvrais et après s'être salué, elle me faisait remarquer que c'était la seconde fois que je la recevais dans cette tenue. Je lui répondais que je venais de me doucher et que je me mettais en tenue décontractée. Je l'informais que ce n'était pas la peine de faire la chambre. Elle répondait, dans ce cas, je vais faire le repassage en retard. Nous allions chacun de son côté. Je m'assaillais à mon bureau, les cuisses ouvertes, comme me l'avait recommandé Maître Michael. Malheureusement, dans cette position, la cage ressortait du short. Comme elle se voyait de plus en plus, 93 - Corvée. - D - -.-je m'avançais au maximum pour que l'aide ménagère ne s’aperçoive de rien. Je débutais, dans cette position et cette tenue, la rédaction du rapport de la veille. Le jeudi matin, après une nouvelle nuit de torture, je me levais avec un mal de tête. Je prenais un cachet avec mon café pensant que cela suffirait pour faire passer cette nouvelle torture. Je saluais mes Maîtres qui me faisaient part de quelques changements de vocabulaire dans le rapport du 94 - Corvée. - D - -.-mardi. Je ne pouvais qu’acquiescer à mon grand désespoir. Je passais dans ma salle de bain pour faire ma toilette et prendre une bonne douche en espérant que mon mal de tête s'atténue. Après m'être séché, je prenais le marqueur rouge pour réaliser les inscriptions du jour. Assis sur le bord de la baignoire, j'inscrivais la date du jour sur la cuisse gauche, mon numéro d'enregistrement de slave sur la droite. Les tortionnaires de ma nouille continuaient sans 95 - Corvée. - D - -.-cesse à empaler mon malheureux gland, qui, excité, faisait perdurer l’érection avortée de ma pauvre nouille. J'attrapais mon téléphone et je prenais un cliché de ce supplice quotidien. Impossible de faire cesser ce martyre. Je continuais avec une photo de pieds avant de passer dans mes toilettes, car je m'étais retenu lors de la douche, de pisser. Je continuais le reportage photo avec mes chaussettes dans ma gueule, la date du jour, puis le numéro d'enregistrement. Je continuais par l'appartenance de la sous-merde pour terminer par la date de mise en cage de ma malheureuse nouille. Avant de me soulager, un cliché de pieds et je m'assaillais sur la faïence des toilettes, car le couvercle et la lunette étaient relevés. Mon cul sentait la froideur de ce trône. J'ouvrais les vannes et je vidais ma vessie. Terminé, je secouais la cage puis je la séchais avec du papier toilette. Malgré cette vidange, mon malheureux gland continuait de subir les outrages de ses geôliers. Mon mal de tête s'accentuait et je supportais de moins en 96 - Corvée. - D - -.-moins la lumière. Je comprenais que ce mal n'était pas anodin et que j'avais une migraine. Cela faisait des années que je n'en avais pas eu et je savais que je devais me coucher avec les volets fermés pour me retrouver dans le noir 97 - Corvée. - D - -.-total. Je prenais des médicaments espérant atténuer le mal.


        La sous-merde remercie ses Masters et les lecteurs en leur souhaitant une excellente journée.98 - Corvée. - D - -.-


 

 


99 - Corvée. - D - -.-


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Jeudi 18 octobre 4 18 /10 /Oct 07:00

83 - Corvée. - D - -.-Corvée du mardi 16 octobre 2018 :

 

         Une nouvelle nuit de supplice qui occasionnait un sommeil par intermittence. Plus le temps passe et plus cette prison et ses geôliers deviennent insupportables. Ils prennent un malin plaisir à perforer le malheureux gland pour l'enflammer et le surexciter afin de faire perdurer l'érection permanente et destructrice d'une trique avortée de ma pauvre nouille. L'aube approchant, résigné, je me levais pour me faire un café. Pendant que la machine se mette en marche, je lançais mon ordinateur. Je buvais un double expresso pour tenter de dissiper les brumes matinales de mon esprit. Chaque pas que j'effectuai, faisait balancer la cage de chasteté et les picots intérieurs se mettaient aussi en mouvement et perforaient mon infortuné gland. Mon cœur prenait part aux festivités en se mettant à battre la chamade. Je laissais échapper des gémissements de douleur et de souffrances en subissant cette funeste réjouissance. Je prenais place devant mon portable et je 84 - Corvée. - D - -.-saluais mes Masters. Maître Michael, en premier, ordonnait de lire et de répondre aux derniers messages laissés sur le blog. Je lui proposais les réponses qu'il validait. Il ordonnait de recommencer la punition suite aux commentaires avec de nouvelles instructions. Les photos seront prises à genoux les mains sur la tête avec la date sur le torse. J'essayais de garder mon calme, mais les geôliers continuaient sans cesse leurs supplices ! Ils ne cessaient d'empaler mon pauvre gland quoique je sois assis. Cette géhenne attisait ses souffrances qui faisait gonfler la nouille de la sous-merde. Plus le gland était maltraité et plus l’érection avortée de la nouille de la salope perdurait. Je poussais des gémissements de douleur et de plaisirs d'être ainsi torturé. J'avais beau tenter de calmer ma nouille et plus elle se gonflait pour faire embrocher le gland. Je poussais de gros soupirs de douleurs, de délectations douloureuses. Plus j'avais honte de la situation et plus ma nouille tentait des érections avortées. Les plus heureux dans l'affaire, c'étaient les tortionnaires qui pouvaient s'en donner à cœur-joie. Les 85 - Corvée. - D - -.-différentes recommandations terminées, je passais à la salle de bain pour ma toilette. Après la douche, je prenais le marqueur bleu, couleur du mardi, pour réaliser les différents graffitis. Assis sur le bord de la baignoire, j'inscrivais la date du jour sur la cuisse gauche, le numéro d'enregistrement au registre des slaves sur la droite, sur le torse l'appartenance de la sous-merde et, pour terminer, sur le pubis le jour de mise en cage de la nouille de la sous-merde. Mon 86 - Corvée. - D - -.-gland était toujours aussi douloureux de plaisirs d'être ainsi malmené. Le vermicelle de la salope tentait en vain une érection impossible. Mes frustrations de ne plus pouvoir me toucher et me masturber étaient à son comble. De longs et forts gémissements sortaient s'échappaient de la pute. Je prenais mon téléphone, et pour changer, je photographiais ma nouille et mon gland avec leurs tortionnaires enchâssés dans leur cachot. Par moments, des frissons ou des tremblements 87 - Corvée. - D - -.-de souffrances et de délectations secouaient tout mon être. Je passais dans les toilettes en laissant la porte ouverte étant seul chez moi et je continuais les clichés. Je débutais par les chaussettes dans ma gueule. Je continuais avec la date du jour sur la cuisse gauche, le numéro d'enregistrement, l'appartenance de la sous-merde pour terminer par la date de mise en chasteté de ma malheureuse nouille. Je continuais par une photographie de pieds avant de m'asseoir 88 - Corvée. - D - -.-sur la faïence glacée des toilettes. Un nouveau frisson parcourait tout mon corps. Malgré le carcan, je ne cessais d'avoir une gaule avortée. Par intermittence, je laissais échapper de longs soupirs. J'ouvrais les vannes et ma vessie se vidait progressivement. Quand elle fut vidangée, je secouais le mitard pour évacuer les éventuels résidus d'urine. Je séchais ce pénitencier avec du papier toilette. Je tirais la chasse d'eau et j'allais me rincer les mains. La 89 - Corvée. - D - -.-nouille gonflée dans son carcan avait gardé, dans l'urètre, quelques gouttes de pisse qui s’échappaient progressivement. Heureusement, j'étais chez moi, mais cette infamie arrivait aussi au travail ! Je devais, alors, les sécher discrètement avec le tissu du pantalon. De nouveau, ce désagrément régulier, intensifiait mon humiliation et mes frustrations.

90 - Corvée. - D - -.-

        La sous-merde souhaite une excellente journée à ses Masters, Master Éric et Maître Michael ainsi qu'aux visiteurs qui liront ce rapport.

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Mercredi 17 octobre 3 17 /10 /Oct 18:00

74 - Corvée. - D - -.-Corvée du lundi 15 octobre 2018 :

 

         Comme toutes les nuits, depuis mon inconsciente et humiliante éjaculation involontaire, les tortionnaires ne cessaient de brimer ma pauvre nouille. J'essayais de me détendre, mais ma nouille se raidissait inexorablement et les pics transperçaient mon malheureux gland, qui, tout excité, provoquait une nouvelle érection involontaire. C'était un mauvais cercle vicieux m’empêchant de dormir correctement. Au bout d'un certain temps, j'arrivais enfin à m'endormir, mais les tortionnaires revenaient en force quelques quarts heures plus tard. Je me réveillais en sursaut tout en maudissant cette maudite prison et ses matons qui torturaient ma nouille. Enfin, l'aube arrivante, je me levais avec soulagement, mais l'esprit embrumé et exténué. Je me faisais un double expresso pour reprendre toute ma conscience. Je saluais mes Masters, mais personne n'était en ligne. Je passais directement dans la salle de bain pour ma toilette et une nouvelle 75 - Corvée. - D - -.-fois, entretenir un rasage intégral. Après une douche pour terminer de me réveiller, je prenais le marqueur noir, couleur du lundi. Assise sur le bord de la baignoire, la sous-merde débutait ses graffitis. Sur sa cuisse gauche, elle notait la date du jour, sur la droite son numéro d'enregistrement, sur son torse, son appartenance en terminant par son bas-ventre et son pubis en inscrivant sa mise sous chasteté. Terminée, elle attrapait son téléphone pour 76 - Corvée. - D - -.-prendre la première photographie du jour de pieds dans sa salle de bain sur son nouveau tapis. La cage et ses matons continuaient de torturer le gland, qui, excité, tentait une érection avortée à cause du pénitencier qui enchâssait la nouille de la salope. Elle s'habillait pour partir au travail. En sortant, le froid matinal calmait pour un temps, les gorilles avec leurs pics.

 

        J'arrivais à destination sans trop de 77 - Corvée. - D - -.-souffrance. Je saluais les collègues et je montais à mon bureau. Je posais ma veste sur le dossier du fauteuil et je prenais mon dossier pour me rendre à une réunion matinale. Arrivé dans la salle où je retrouvais mes collègues, je prenais place sur un des sièges. Malheureusement, la douceur ambiante réveillait les geôliers qui se remettaient à empaler le gland. Le processus infernal se réactivait à mon grand désespoir. Je tentais, tant bien que mal, à retenir des 78 - Corvée. - D - -.-gémissements. Mon voisin, m'ayant entendu geindre, me demandait ce dont il m'arrivait. Ne pouvant lui dire la vérité, je prenais l'excuse de douleurs gastriques. Le rassurant, je continuais en lui disant que j'avais pris ce matin du gel et que j'en avais, pour la matinée, dans la poche si les douleurs continuaient. Le directeur et la présidente arrivaient. Après avoir salué la table, nous débutions la réunion. J'avais de plus en plus de mal à me concentrer, car les picots ne cessaient d'empaler ma pauvre nouille. J'avais beau tenter de me décontracter, pour stopper son excitation afin qu'elle devienne un vermicelle, les bourreaux réactivaient leurs maltraitances. Après une bonne heure de souffrance, je m'excusais de m'absenter un moment. L'assemblée pensait que j'allais prendre mon traitement. Je n'en faisais rien, j'allais aux toilettes faire la corvée du lundi en espérant qu'une pause calmerait les tortionnaires. Je me déshabillais en posant mes vêtements au sol. J'avais déposé mon téléphone sur le bord du lavabo. Lorsque je me retrouvais à poil, mes plantes de pieds nus sur le carrelage 79 - Corvée. - D - -.-ressentaient le froid et un frisson secouait tout mon corps. Je prenais le portable et je photographiais mes habits sur le carrelage. Je continuais les clichés par la date du jour, le numéro d'enregistrement, mon appartenance à Master Éric et Maître Michael, puis la date de mise en cage et je terminais par une photo de pieds. J'avais relevé le couvercle et la lunette des toilettes en arrivant. Je m'assaillais sur ce trône. La froideur de la faïence refroidissait 80 - Corvée. - D - -.-mon cul. L'appareil photo dans les mains, je lâchais les vannes et je sentais ma vessie se vider. J'en profitais pour prendre un nouveau cliché. Toutes ces photographies quotidiennes deviennent de plus en plus humiliantes et dégradantes. Je secouais la cage pour évacuer l'urine qui pouvait rester et je terminais par la sécher avec du papier toilette. Malheureusement, cette pause n'avait pas calmé les gardiens de cette prison et ils redoublaient de vigueur en 82 - Corvée. - D - -.-perforant le gland. Le cercle vicieux redoublait de vigueur et je ne pouvais stopper ce processus. Je me rhabillais en rangeant le téléphone dans une des poches frontales de mon gilet. Je tirais la chasse d'eau. Je me rinçais les mains et je me les séchais. Un dernier coup d’œil autour de moi et j'ouvrais la porte. Je regagnais mon siège à la réunion. En arrivant, les collègues me demandaient si j'allais un peu mieux. Je leur répondais que je venais de reprendre le traitement en espérant que ça me calmerait. À mon grand désespoir, il n'en fut rien.81 - Corvée. - D - -.-

 

        La sous-merde remercie ses Masters, Master Éric, Maître Michael et les lecteurs réguliers

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Dimanche 14 octobre 7 14 /10 /Oct 12:00

A/R à la cave.

01 - Punition - D - -.-

 

        Dans la semaine, la sous-merde avait été inconvenante et irrespectueuse envers ses Masters. Maître Michael ordonna que la sous-merde descende à la cave avec seulement son short blanc et un t-shirt. Une nuit, je m'exécutais. Je me levais en regardant au judas le couloir. Celui-ci était noir et pas une âme à l'horizon. J'enfilais le short demandé en le02 - Punition - D - -.- tenant le plus bas possible pour dissimuler la maudite cage. Je prenais un t-shirt assez grand pour compléter le camouflage de cette prison dégradante. Je prenais mon portable avec moi pour photographier la salope dans l'ascenseur. 03 - Punition - D - -.-J'ouvrais la porte délicatement et la refermais encore plus doucement pour faire le moins de bruit possible. Mon cœur se mettait à battre la chamade et je ressentais les pics, empaler mon malheureux gland. Cette torture provoquait une érection avortée de ma nouille. À tâtons, j'avançais en recherchant le bouton de l'ascenseur. Je l’entendis se mettre en marche et la cabine monter. Je vérifiais dans le noir qu'aucune lumière n'apparaisse sous les seuils. Les portes de l'ascenseur s'ouvrir et je m'empressais de monter et de commander la descente. Je trouvais le temps interminable avant que les portes04 - Punition - D - -.- se referment et que l'appareil se mette en marche. Mon palpitant battait de plus en plus vite et fort. Je m’imaginais que les voisins étaient derrière leurs portes et regardaient par leurs judas. J'avais de plus en plus peur et honte de me retrouver dans cette boîte. Pieds nus, le plancher glacial me donna un frisson qui secouait tout mon corps. Dès qu'il se mit en marche, je m'empressais d'ôter mes deux vêtements et je prenais mon téléphone pour faire une photo dans l'ascenseur. Arrivé au sous-sol, les portes s'ouvrirent. Mon palpitant accéléra ! Je m'imaginais être en face d'un voisin. Heureusement, à cette heure tardive de la nuit, personne 05 - Punition - D - -.-n'attendait cet élévateur. Je sortais mes habits que j'entreposais dans un coin par terre. Je me rendais à ma cave, nu comme un ver, qui se trouve, tristement, une des plus éloignées. Le sol rugueux râpa la plante de mes pieds. Mon palpitant battait la chamade et les geôliers continuaient à torturer mon gland, qui, tout émoustillé, perpétrait cette ignoble érection, en permanence avortée. J'arrivais enfin et je prenais un nouveau cliché. Je revenais sur mes pas en priant ne croiser personne. Je revenais devant les portes et j'appuyais sur un bouton pour qu'elles s'ouvrent. Je prenais mes vêtements que je reposais au sol, les pieds glacés. Je06 - Punition - D - -.- remontais à mon étage, toujours à poil suivant les commandements. Au fur et à mesure que les étages défilaient, mon cœur battait de plus en plus fort. Les tortionnaires en profitèrent aussi pour empaler un peu plus mon malheureux gland, qui excité, provoquait une érection de nouveau avortée. Je me pressais de prendre un dernier cliché dans cette geôle. J'attrapais mes habits au moment où les portes de la cabine s'ouvraient à mon étage. La clarté de l'appareil inonda de lumière le couloir. Sans demander mon reste, je m'empressais de regagner mon appartement. J'ouvrais rapidement la porte et la refermais sur moi, encore plus vite, contrairement au départ.

 

        La sous-merde prie ses Masters, Master Éric et Maître Michael de bien vouloir le pardonner pour ses indélicatesses et d'accepter sa repentance.

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Samedi 13 octobre 6 13 /10 /Oct 20:00

Corvée du vendredi 12 octobre 2018 :

64 - Corvée. - D - -.-

         Le maudit cachot et ses cerbères avaient une nouvelle fois torturé et empalé le malheureux gland de la sous-merde. Toute la nuit, l'excitation de celui-ci provoquait des érections avortées par son exécrable cellule de détention. Je dormais par intermittence, lorsque les gardiens voulaient bien se calmer 65 - Corvée. - D - -.-momentanément. L'aube arrivante, je me décidais à me lever ne pouvant dormir et me reposer normalement. Je mettais la machine à café en marche ainsi que l'ordinateur. Je me faisais un expresso bien serré afin de dissiper l'épais brouillard qui mettait la confusion dans le cerveau de la salope. Je revenais saluer mes Masters qui m'annonçaient, à mon grand désespoir, les modifications de vocabulaire lié à la rétrogradation du statut de slave en devenant, seulement, une sous-merde. Cette régression impliquait explicitement de nouvelles consignes et règlements dégradants et humiliants. Tout en essayant de digérer ce nouveau protocole indigeste, je faisais des va-et-vient à la salle de bain pour ma toilette. Mon palpitant s'était mis à battre la chamade en66 - Corvée. - D - -.- contestation de ce nouvel asservissement. Les pics en profitaient aussi pour redoubler de vigueur en empalant le gland gonfler de la salope. De nouveau, plus ils maltraitaient celui-ci et plus l'excitation augmentait. Cette dernière faisait gonfler la nouille enchâssée dans son carcan, avortant une 67 - Corvée. - D - -.-érection inexécutable. Une envie irrésistible de me toucher, de me masturber, et enfin, de jouir accaparait mon esprit et ses neurones. Au bout d'un effort surhumain, je stabilisais ce soulèvement et j'arrivais à calmer tout ce petit monde. Je terminais ma toilette et je prenais une nouvelle fois le marqueur vert, couleur du vendredi. À contrecœur, la sous-merde inscrivait sur la cuisse gauche la date du jour, sur la droite, le numéro d'enregistrement de la sous merde. Je continuais, debout devant mon miroir miroir, par mon appartenance à Master Éric et Maître Michael. Pour terminer, la salope indiquait la date dégradante de mise en chasteté de sa nouille. Je prenais mon téléphone et photographiais le nouveau tapis autorisé pour la salle de bain. Debout sur celui-ci, je faisais un cliché de pieds. Je m'habillais pour partir au travail. Entre-temps, je saluais mes masters qui partaient à leurs occupations. De même, je prenais ma veste pour me rendre au68 - Corvée. - D - -.- bureau. Je saluais les personnes présentes et je montais à mon bureau. Je déposais ma veste sur le dossier du fauteuil en démarrant mon ordinateur. Après une bonne heure de travail, la secrétaire me prévenait de l'arrivée d'un rendez-vous. La personne étant en fauteuil roulant et notre ascenseur en panne suite à une effraction de nos locaux, je prenais le dossier et je la retrouvais au rez-de-chaussée. 69 - Corvée. - D - -.-En redescendant, les geôliers qui s'étaient calmé un moment, trop court, se remettaient à l'ouvrage en empalant de nouveau mon malheureux gland. Excité, il faisait gonfler ma nouille avec une érection avortée par un exécrable mitard. Mon palpitant prenait le rythme des tortionnaires et se mit à battre la chamade. Je devais retenir des gémissements inopportuns. Dans une pièce libre, nous nous installions. Un certain temps s'écoulait70 - Corvée. - D - -.- en travaillant pensant calmer ce petit monde révolté. Malheureusement, il n'en fut rien et plus je tentais de me concentrer sur le dossier et plus les révolutionnaires se déchaînaient. Nous terminions avec une envie irrésistible d'uriner. Je saluais mon interlocuteur et je me rendais aux toilettes les plus proches. Je laissais les dossiers sur une table. Je refermais la porte derrière moi et je posais le téléphone sur le rebord du lavabo. Je me déshabillais pour une nouvelle 71 - Corvée. - D - -.-séance dégradante. Au sol, je déposais mes vêtements et sur le bord du lave-main, le téléphone pour la nouvelle séance photo. Je prenais mes chaussettes, porté lundi, mercredi et ce vendredi, et je les enfournais dans ma petite gueule. Je prenais l'appareil photographique pour un premier cliché des habits par terre. Je continuais par les chaussettes dans le gosier, la72 - Corvée. - D - -.- date sur la cuisse gauche et le numéro d'enregistrement sur celle de droite. Je poursuivais avec l'appartenance de la sous-merde sur le torse et la date de mise en cage de la nouille de la salope. Je prenais une nouvelle photo de pieds. Je posais mon cul sur la faïence glacée des toilettes. La froidure remontait dans tout mon arrière-train et refroidissait tout le corps de la sous-merde ce qui calma un temps les révoltés. Ma vessie pleine, je lâchais les vannes et je prenais une dernière photo en train de pisser, assis sur le trône. Terminé, je secouais la cage pour expulser les gouttes d'urine et je la séchais avec du papier toilette. Je me rinçais les mains et je me rhabillais. Je rangeais le téléphone dans la poche frontale du gilet sans manches. La chasse d'eau tirée, je regardais une dernière fois autour de moi avant de sortir. Je prenais mes dossiers en attente 73 - Corvée. - D - -.-sur une table et je remontais à mon poste de travail. Les marches de l'escalier réveillèrent les assoupis et le calvaire redoublait de vigueur. Mon cœur se remit à battre à tout rompre. Les pics de la cage empalaient une nouvelle fois mon pauvre gland, qui, excité, provoquait une érection avortée de ma nouille….


        La sous-merde salue ses Masters, les lecteurs du blog et leur souhaite un très bon week-end.

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Samedi 13 octobre 6 13 /10 /Oct 10:00

55 - Corvée. - D - -.--copie-1Corvée du jeudi 11 octobre 2018 :

 

         Une nouvelle nuit de tourments perpétrée par les tortionnaires du pénitencier de ma malheureuse nouille, m’empêchait de passer une bonne nuit réparatrice. Je me levais avec soulagement et je me faisais un expresso pour dissiper le brouillard de mon esprit. Je saluais mes Masters comme tous les matins. Tout en discutant, je faisais des va et vient dans la salle de bain afin de faire ma toilette. Suite à des commentaires, Maître Michael avait commandé que je trouve un tapis de porte pour le changer avec celui de bain. La veille au soir, avant de me rendre à une réunion, j'avais fait un saut au supermarché. Je choisissais56 - Corvée. - D - -.- celui qui serait le moins agressif à mes plantes de pieds. J'excluais tout tapis en paille de riz trop abrasif. J'en trouvais un suffisamment doux que je privilégiais. Je changeais à contre-cœur mon tapis de bain avec celui-ci. Après avoir fait ma 57 - Corvée. - D - -.-toilette, je prenais le marqueur rouge pour écrire sur le corps les différentes inscriptions. Assis sur le rebord de la baignoire, je commençais par la cuisse gauche et la date du jour. Je poursuivais par la droite et j'inscrivais le numéro de la sous-merde. Je continuais avec le torse et58 - Corvée. - D - -.- l'appartenance de la sous-merde. Pour terminer, sur le pubis, je rappelais la date ignoble de la mise en cage de ma nouille. Je montais, pour la première fois, sur la nouvelle paillasse, qui 59 - Corvée. - D - -.-dorénavant, remplacera défavorablement mon tapis de bain. Je m’apercevais que ce paillasson était moins rêche que je ne craignais. Je prenais le premier cliché de la série du jour. Sachant que des voisins viendraient commenter la réunion de la veille au soir, je préparais des vêtements que je posais au sol. Dans la boîte, je photographiais la date du jour puis le numéro d'enregistrement du slave. Je continuais par le torse et l'appartenance de la sous-merde. Je poursuivais par la date de mise sous cage de la nouille de la sous-merde. Je terminais cette série par un cliché de pieds avec, toujours les maudites chaussettes dans ma gueule. J'avais la vessie pleine. Je60 - Corvée. - D - -.- posais mes petites fesses sur la faïence des toilettes. Le couvercle et la lunette étaient en permanence relevés sauf quand mon aide de ménage partait. Elle les remettait en place systématiquement. Je sentais la fraîcheur de la céramique refroidir mon postérieur. La froideur 61 - Corvée. - D - -.-activait la vidange et je lâchais les vannes. Honteux, je prenais la dernière photo de la série du jour, en train d'uriner. Mon pauvre gland continuait à être maltraité par ses geôliers malgré la purge. Lorsque j'étais certain que ma62 - Corvée. - D - -.- vessie était vide, je secouais le pénitencier qui retenait, contre sa volonté, ma malheureuse nouille. Je terminais en la séchant avec du papier toilette et en espérant qu'il n'y ait pas de fuites intempestives. Le fait de manipuler cette abominable prison, les tortionnaires en profitaient pour renouveler leurs tortures et empaler mon misérable gland, immobilisé dans ce détestable cachot. Plus il était maltraité et plus j'avais envie de bander, de me toucher, de me masturber et surtout de jouir enfin ! À mon grand regret, cette érection était avortée par ce maudit mitard, infligé 63 - Corvée. - D - -.-par mes Masters, depuis plus d'un an ! Il va y avoir 15 mois où ma pauvre nouille est incarcée dans ce pitoyable bagne contre son gré.

 

        Je remercie mes Maîtres, Master Éric et Maître Michael, pour cette nouvelle journée.

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Samedi 13 octobre 6 13 /10 /Oct 06:55

Bonjour àtous

 

Suite à un comportement vraiment infecte de notre slave envers nous a chaque fois par skype, une décision irrévocable a été prise.

Dorenavant, notre slave n'est plus un slave mais une sous-merde. elle n'a plus le droit de prononcer et d'utiliser le mot slave pour se présenter et répondre aux commentaires, mails et autre.

Sur le blog, nous avons changer le terme slave par le terme sous merde.

Les slaves sont les bienvenus pour commenter etc, l'humilier sans problème. Elle n'a pas le droit de broncher. Sachez que maintenant, ce n'est plus la sous merde qui met en ligne les articles. Elle les écrit et nous devons les lire et une fois cella fait , nous mettons en ligne les articles.

De plus, nous controlons toujours ses deux adresses mails. Nous voyons tous passer. De plus soit c'est la sous merde qui répond aux mails ou nous meme. de toute maniere, les réponses de notre sous merde sont validées par nous avant qu'il ne  les envoies aussi.

 

Ses masters

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Vendredi 12 octobre 5 12 /10 /Oct 07:00

47 - Corvée. - D - -.-Corvée du mardi 9 octobre 2018 :

 

         La nuit fut de nouveau longue et douloureuse. Je me levais avec soulagement et je me faisais un café pour remettre mes idées en place. Je saluais mes Masters qui me donnaient de nouvelles instructions douloureuses. Je devais acheter un tapis de sol pour remplacer le tapis de bain. Avec regret, je les informais que je ferais l'achat mercredi ou jeudi, car ce jour, des ouvriers devaient débuter des travaux. Maître Michael donnait ses instructions au Slave pour les accueillir. Je dois être avec le short noir avec bande jaune, un t-shirt et une paire de claquettes. La journée allait être compliquée pour dissimuler la maudite cage qui avait 48 - Corvée. - D - -.-de grandes chances d’apparaître. Non seulement la nuit avait été mouvementée mais la journée serait dégradante et humiliante pour le slave. Mes Maîtres m'annonçaient qu'il y avait de nouveaux e-mails avec des propositions de Master Phénix qui seront mises en application prochainement. Avec angoisse, je me connectais sur ce nouveau serveur et je me connectais au compte que Maître Michael avait créé pour le slave que je suis. Mon cœur se mettait à battre la chamade au fur et à mesure que je me raccordais au compte avec des craintes de plus en plus angoissantes. Mes appréhensions se confirmaient au fur et à mesure que je lisais ce nouveau message. Je priais intérieurement pour que mes Masters ne mettent pas toutes les propositions ou le plus tard49 - Corvée. - D - -.- possible. Avec une angoisse grandissante, je continuais le dialogue et je lisais avec une anxiété grandissante les différents messages qui arrivaient de mes Maîtres. Je ne disais rien, mais j'en pensais pas moins. Je maudissais de plus en plus toutes ces contraintes humiliantes et dégradantes. 50 - Corvée. - D - -.-Enfin, je souhaitais une bonne journée à mes Masters et je passais à la salle de bain. Je faisais ma toilette quotidienne et j'attrapais avec désolation le marqueur bleu, couleur du jour pour les inscriptions sur le corps du slave. Comme d'habitude, je m'asseyais sur le bord de la51 - Corvée. - D - -.- baignoire et j'écrivais la date du jour sur ma cuisse gauche et mon numéro d'enregistrement sur celle de droite. Je continuais, avec tristesse, l'appartenance à Master Éric et Maître Michael. Je terminais par le pubis qui reçoit la date ignoble, de mise en chasteté. Comme je ne 52 - Corvée. - D - -.-sortirais pas, je laissais mes vêtements sur le lit. Le téléphone en main, je commençais les différents clichés. Une dernière photo sur mon tapis de bain, avec regret et des idées de meurtres ! Je prenais une nouvelle paire de chaussettes que j'enfournais dans ma bouche.53 - Corvée. - D - -.- Dans mes toilettes, le couvercle et la lunette en permanence relevés, avec mécontentement, je continuais avec la date du jour et le numéro du slave. La paire de chaussettes prenait la suite. Pour continuer le torse et le pubis étaient aussi en boîte. Je finissais par un cliché de pieds avant de m'asseoir sur la faïence de mes toilettes. C'est une position tellement humiliante et dégradante que j'attends d'avoir ma vessie extra-pleine pour la vidanger. Je photographiais avec désarroi mon malheureux pénis encagé et maltraité par ses tortionnaires. La vidange terminée, je tirais la chasse d'eau et je me rinçais les mains. Je téléchargeais 54 - Corvée. - D - -.-de suite les différents clichés pour les supprimer de mon téléphone afin que personne, accidentellement ou non, en l'utilisant pour appeler quelqu'un, ne tombe sur ces photographies humiliantes et dégradantes.

 

        Je remercie mes Maîtres pour les objectifs qu'ils espèrent que le slave accomplira.

Par Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335 - Publié dans : Labeurs Journaliers - Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Mercredi 10 octobre 3 10 /10 /Oct 07:00

Corvée du lundi 08 octobre 2018 :

37 - Corvée. - D - -.-

         De nouveau, la nuit fut longue en torture. Les pics n'avaient pas cessé de martyriser mon malheureux gland qui, excité, faisait gonfler mon pénis en érection permanente, avortée par la méprisable cage de chasteté. Ma nuit était en pointillés. Je n'arrivais à dormir que 30 à 45 minutes d'affilée. Jour et nuit ces tortionnaires ne cessaient les supplices et les tourments de ma pauvre queue. Ne plus pouvoir me toucher et me masturber est en soi déjà un calvaire, mais si les geôliers se déchaînent sur mon appendice cela devient une misérable géhenne. Enfin l'aube se levait et le réveil annonçait la levée du slave. Je buvais un bon café pour me réveiller complètement et pour dissiper les brumes persistantes. Je saluais mes Maîtres. Après des échanges de politesse et des différentes occupations de fin de semaine,38 - Corvée. - D - -.- Maître Michael renouvelait ses recommandations pour l'accueil de mon aide ménagère. Je faisais ma toilette. Terminé, je prenais le marqueur noir et assis sur le coin de la baignoire, je débutais ma séance journalière de graffitis. Sur la cuisse gauche, j'inscrivais la date du jour, sur la droite le numéro d'enregistrement du slave. Debout devant le miroir, je transcrivais l'appartenance de la sous-merde et sur mon pubis la maudite date de mise en chasteté de mon pénis affligé. Je me préparais à m'habiller lorsque Maître Michael commandait de sortir le harnais et de le porter toute la journée. Je lui faisais remarquer en vain, que j'avais grossi et que certaines sangles seraient trop petites. Sans surprise, il s'en moquait et ordonnait de trouver une solution. À mon grand regret, je sortais de son 39 - Corvée. - D - -.-rangement l'objet de controverses. N'ayant pas mis auparavant l'anneau qui sert aussi de cockring, j'ôtais les sangles de l'entre-jambe. Je passais à la salle de bain de nouveau pour tenter d'enfiler le moins péniblement possible ce nouvel asservissement. Je devais prendre un bout de ficelle pour fermer la sangle abdominale. Je regrettais que40 - Corvée. - D - -.- les kilos en trop se fussent donné rendez-vous exclusivement sur le ventre. Je sais, heureusement, que ce n'est que momentané et lorsque mon traitement sera terminé, je pourrai dégonfler. En attendant, j'avais encore cinq mois à patienter la fin de cette thérapie pour amorcer le dégonflement. Je m'habillais et je 41 - Corvée. - D - -.-saluais mes Masters avant de partir. De nouveau, chaque pas était un calvaire perpétuel. Lorsque j'avançais ma jambe gauche, le mouvement faisait pénétrer, un peu plus, les pics dans mon pauvre gland. Le cercle vicieux reprenait de plus belle. L'excitation du gland provoqué par ses42 - Corvée. - D - -.- tortionnaires, faisait gonfler un peu plus mon pénis emprisonné. Cette stimulation perpétuait l'érection avortée par le pénitencier de ma queue. J'arrivais enfin à destination et je m'empressais de regagner mon poste de travail après avoir salué rapidement les personnes présentes. J'avais le cœur qui battait la chamade et je devais retenir mon souffle pour ne pas gémir de souffrance. Pour dissimuler les sangles et surtout les boucles du harnais, j'avais enfilé un gros pull, col roulé, en laine. Certains de mes collègues l'avaient remarqué et m'interrogeaient. Je prenais l'excuse des nuits et l'aube très fraîches de la région. À regret, ils me faisaient remarquer que j'allais avoir très chaud en fin de matinée et cet après-midi. Honteux, je répondais que je préférais avoir trop chaud et que la transpiration me ferait perdre quelques décigrammes d'eau, sur un ton ironique, pour faire passer "la pilule". Je me mettais au travail. Dans la matinée, à 43 - Corvée. - D - -.-force de boire régulièrement, ma vessie se remplissait inexorablement. Après avoir guetté l'absence de personne dans le couloir, je me levais et je me rendais aux toilettes pour la corvée journalière. La porte fermée, je posais le téléphone sur le bord du lave-main. Je retirais mes chaussures et je posais mes vêtements pliés, dessus. Que je me retrouvais dans la tenue44 - Corvée. - D - -.- d'un nouveau-né, j'enfournais dans ma bouche, la plante des pieds de mes chaussettes. L'appareil photo en main, je prenais les premiers clichés de mes vêtements au sol. Je continuais par la cuisse gauche et la date du jour. Pour suivre, je photographiais le numéro d'enregistrement. Je continuais par les tennis dans ma gueule. J'enregistrais l'appartenance du slave et sa mise sous cage. Pour 45 - Corvée. - D - -.-terminer, je prenais un cliché de pieds avant de m’asseoir sur la faïence des toilettes. Auparavant, à regret, j'avais relevé le couvercle et la lunette. Une dernière photographie de mon pénis encagé lâchant les vannes. Je secouais le mitard et son occupant pour évacuer les dernières gouttes d'urine. Je le séchais avec du papier toilette et je me rhabillais rapidement le cœur battant la chamade. Le faîte de pisser n'avait pas fait débander mon malheureux appendice. Les picots reprenaient, de plus belle, les supplices. Je me rinçais les mains et je tirais la chasse d'eau après avoir rabattu la lunette et le couvercle. Je rangeais le téléphone dans la poche frontale du gilet. Après avoir jeté un dernier regard autour de moi, j'ouvrais la porte et je regagnais mon poste de travail avec soulagement. Je n'avais croisé personne, ce qui me rassurait. Un gémissement involontaire sortit subitement de mes poumons.46 - Corvée. - D - -.- J'espionnais autour de moi afin de vérifier qu'aucun collègue m'avait entendu. Intérieurement, je soufflais quand je sentis un résidu s'écouler le long de ma cuisse. De nouveau, les pertes inopinées reprenaient du servie. À contre-cœur, je séchais les débordements avec le jean. Je me mettais à maudire de nouveau ces impondérables dégénérescences….

 

        Mes remerciements à mes Masters et aux personnes qui suivent mes progrès.

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Dimanche 7 octobre 7 07 /10 /Oct 19:00

Corvée du vendredi 05 octobre 2018 :

28 - Corvée. - D - -.-

         Une nouvelle fois, la nuit était mouvementée. Non pas par des cauchemars, mais par les geôliers qui, toute la nuit, s'étaient acharnés à brimer et malmener mon malheureux gland. Plus il était martyrisé et plus son excitation augmentait et faisait gonfler mon pénis ! Je fus réveillé, des dizaines de fois, en sursaut ! De nouveau, une trique continue avait jalonné mon sommeil. D'habitude bienfaitrice, elle devenait un enfer assorti de ses tortures. Une bonne masturbation ne pourrait qu’apaiser mon pénis en manque réel de tendresse, de douceur et d'affection. Malheureusement, mis en prison, mon pénis était inaccessible et seuls ses matons profitaient de leur pouvoir pour opprimer le captif de ce cachot. Je maudissais, à de multiples reprises, cette prison de chasteté qui me privait de tout plaisir charnel depuis plus d'un an ! Enfin, l'aube se faisait entrevoir et je me levais 29 - Corvée. - D - -.-encore plus fatigué que je ne m'étais couché la veille. Je me faisais un double expresso pour tenter de dissiper les brumes de mon esprit. Entre-temps, j'avais lancé mon ordinateur pour pouvoir saluer mes Masters. Ils m'informaient qu'ils avaient accepté une demande du Slave Zorba contrôlé par Monsieur Alain 44. Je devais répondre à toutes ses30 - Corvée. - D - -.- demandes par e-mail avec toutes les déférences lié à son rang supérieur au mien. Un mot avait d'ailleurs été publié sur le blog annonçant ces conditions. Ne pouvant réprimer ouvertement ces dernières directives, je les acceptais avec angoisse et je refoulais avec colère la révolte qui montait en moi. Je passais à la salle de bain pour ma toilette matinale. Terminé, je prenais le 31 - Corvée. - D - -.-marqueur vert, couleur du vendredi, et je commençais les graffitis du jour. Sur la cuisse gauche la date de ce vendredi, sur la droite, le numéro d'enregistrement du slave. Je continuais par le torse et l'appartenance de la sous-merde pour terminer par le bas-ventre et le pubis avec la date de mise en cage de chasteté. Chaque jour,32 - Corvée. - D - -.- cette inscription devenait de plus en plus humiliante et dégradante au fur et mesure que les semaines et les mois s'écoulaient. Je prenais la paire de tennis que j'avais portée lundi toute la journée, car mes Maîtres m'avaient ordonné de mettre la même paire de chaussettes le lundi et le vendredi et une seconde paire pour les autres jours de la semaine. Je m'habillais avec un pantalon, un pull col roulé mi-saison, un gilet sans manches qui recevait le téléphone. Bien sûr, j'ai en permanence les attributs du slave que je suis soit la maudite cage de chasteté, le collier et sa médaille. J'enfilais une veste et un bonnet, car la nuit avait été fraîche. Je pouvais me rendre à mon travail. Chaque nouveau pas que j'effectuais était un calvaire ! Quand ma jambe gauche avançait, les pics de la cage pénétraient un peu plus dans 33 - Corvée. - D - -.-mon pauvre gland ! Cette excitation faisait gonfler d'autant plus mon pénis à l'étroit dans sa prison. Arrivé sur place, je saluais la secrétaire qui avait déjà un parent. Je montais à l'étage pour rejoindre mon poste. Une marche sur deux perpétuait le supplice. Je posais, enfin, ma veste et mon bonnet sur le dossier du fauteuil pendant que34 - Corvée. - D - -.- mon ordinateur se mettait en marche. Je prenais place sur mon siège et je me mettais à l'ouvrage. De temps en temps, je buvais une gorgée d'eau ayant en permanence, sur le coin du bureau, une bouteille. Je saluais les collègues au fur et à mesure qu'ils passaient devant mon bureau. Ce vendredi je serai seul car ma collègue avait pris 35 - Corvée. - D - -.-sa journée. Ce serait un peu plus facile pour la corvée journalière. Malheureusement, les tortionnaires continuaient leurs supplices. En milieu de matinée, à force de boire, ma vessie se remplissait inexorablement. N’entendant aucun bruit venant du couloir, je me décidais à réaliser la corvée journalière. Je me levais en vérifiant que le téléphone était bien dans la poche frontale du gilet. Les persécuteurs de mon malheureux gland redoublèrent de vigueur à chaque nouveau pas. Avec soulagement, je refermais la porte derrière moi. Je posais le téléphone sur le bord du lavabo et je me déshabillais. Je posais mes vêtements sur mes chaussures pour qu'ils ne reposent pas sur le carrelage. Les chaussettes, je repliais le haut pour qu'elles ne cachent pas les ignobles graffitis. Je prenais les différents clichés comme à l'habitude. Mon pauvre36 - Corvée. - D - -.- gland ne cessait d'être martyrisé par ses tortionnaires. Je maudissais cette ignoble cage, car, depuis que j'avais éjaculé inconsciemment, mon pénis me rappelait son abstinence forcée et ses manques de plaisirs. Pour terminer, je m'assaillais sur le rebord de la faïence des toilettes et je vidais, avec soulagement, ma vessie. Tous les clichés dans la boîte, je me rhabillais et je me rinçais les mains. Je tirais la chasse d'eau et je jetais un dernier coup d’œil avant de sortir et de regagner mon poste de travail.

 

        Merci à mes Maîtres qui me font progresser malgré les supplices des tortionnaires.

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Vendredi 5 octobre 5 05 /10 /Oct 07:00

19 - Corvée. - D - -.-Corvée du jeudi 04 octobre 2018 :

 

         Avec des amis, vivants ou ayant disparu, nous nous amusions sur une plage de sable. Une grande étendue d'eau calme s'étendait à nos pieds. À tour de rôle, nous étions dans l'eau rafraîchissante ou sur le sable chauffé à blanc qui pourtant ne nous brûlait pas. En se retournant nous nous retrouvions dans un immense désert de sable où, aucune vie à perte de vue venait bousculer le calme de cette vision. Ce silence assourdissant nous portait dans un brouillard cotonneux où les sensations voluptueuses, sensuelles et érotiques. Nous nous retrouvions dans une mer déchaînée où les vagues venaient fracasser nos corps nus. Dans un demi-sommeil, je ressentais de l'humidité sur une cuisse. À moitié réveillé, je me20 - Corvée. - D - -.- levais pour me rendre aux toilettes pensant avoir une grosse envie d'uriner. À ma grande surprise, en me levant, je ne ressentais pas la goutte d'urine s'écouler normalement. Arrivé aux toilettes, j'allumais le plafonnier et à mon grand désespoir, je me rendais compte que cette 21 - Corvée. - D - -.-auréole humide n'était que mon sperme ! Je venais de jouir et d'éjaculer dans mon sommeil sans avoir vraiment eu des sensations sensuelles et encore moins sexuelles. Je maudissais cette abstinence forcée qui, avec le temps, deviens de plus en plus humiliante et dégradante. Se22 - Corvée. - D - -.- décharger de son sperme de la sorte sans avoir eu réellement de plaisir augmentait d'autant plus mes frustrations ! Tout en maudissant mes Masters qui ne faisaient pas une pause 23 - Corvée. - D - -.-bienfaitrice dans cette privation de plaisir, je nettoyais ce petit monticule stagnant. Dépité et contrarié par cette mésaventure nocturne, je retournais me coucher dans la tenue du nouveau-né. Avec des pensées malveillantes et haineuses, je retrouvais le sommeil progressivement honteux et frustré d'avoir joui et éjaculer sans vraiment de plaisir. Lorsque le réveil sonna, je me levais avec l’impression d'avoir vécu un très mauvais cauchemar ! Malheureusement, je réalisais que mes souvenirs étaient réels. Je me faisais un café pour me donner du courage et je saluais mes Masters en omettant mes déboires de la nuit trop honteux et frustré de la vidange spontanée et24 - Corvée. - D - -.- involontaire. Étant dans la tenue la plus minimaliste, la seule autorisée par mes Masters chez moi lorsque je suis seul, et la température en baisse, je devais allumer mon chauffage d’appoint pour avoir un peu de chaleur ambiante pour ne pas avoir besoin d'enfiler un 25 - Corvée. - D - -.-vêtement interdit à domicile. Après un certain temps d'échange, je reprenais un café et je passais à la salle de bain. Je faisais ma toilette puis je prenais le marqueur rouge, couleur du jeudi. Assis comme à l'habitude sur le26 - Corvée. - D - -.- rebord de ma baignoire, je notais la date du jour sur la cuisse gauche et le numéro du slave sur la droite. J'inscrivais l'appartenance du bâtard sur le torse et, pour terminer, la date d'abstinence sur le bas-ventre et le pubis. J'allais chercher mon portable et je prenais le premier cliché dans la salle de bain. Je prenais mes vêtements, que je porterai pour sortir, plié sur le lit et je les disposais au sol dans le couloir devant les toilettes. Les chaussettes, je les enfournais dans ma petite bouche et je débutais la série de photographies journalières commandées par mes Maîtres. Pour terminer, je me posais sur les toilettes, le couvercle et la lunette relevés. Mes petites fesses ressentaient la 27 - Corvée. - D - -.-froideur de la faïence. Je vidangeais ma vessie. J’égouttais la cage de chasteté et je la séchais avec du papier toilette. Je tirais la chasse d'eau et je me rinçais les mains au lavabo. Je remettais mes vêtements sur le lit en attendant de les enfiler pour sortir.

 

        Je remercie mes Masters et je leur souhaite une bonne journée.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Labeurs Journaliers - Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Vendredi 5 octobre 5 05 /10 /Oct 06:49

bonjour à tous

 

Nous avons donné notre autorisation pour que notre sous merde puisse avoir un contact et puisse parler avec un slave se nommant zorba avec l'accord de son maitre;

Toutefois, nous avons imposer certaines règles :

 

- Notre sous merde doit vouvoyer le slave tout le temps car celui ci est supérieur a notre sous merde.

- dialogue uniquement par mail que nous controlons bien sur

- tout manquement de la la part de notre sous merde entrainera une sanction

- notre sous merde devra obeir a toutes les demandes du slave sans rechigner et pigner.

 

Ses masters

Par Ses masters - Publié dans : Mot des Masters - Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Jeudi 4 octobre 4 04 /10 /Oct 09:00

Corvée du mardi 2 octobre 2018 :

10 - Corvée. - D - -.-

         Je marchais sur les chemins de mon enfance et retrouvais des personnes disparues. Cette randonnée devenait de plus en plus agréable avec les effluves qui me revenaient en mémoire. Le tableau changea complètement et je me retrouvais attaché sur une croix de saint André. Je ne voyais rien étant cagoulé, mais je ressentais une érection bienfaitrice. Par contre, des aiguilles pénétraient mon gland. Plus je bandais et plus il y avait de pointes malveillantes. Je faisais un bond dans mon lit, le cœur battant à tout rompre. Je comprenais très vite que j'avais la trique du matin ! Ma main, instinctivement, allait masturber mon pénis quand les picots continuèrent à torturer mon gland. Plus je tentais une érection avortée par la cage et plus le gland subissait les assauts de ses tortionnaires. Mon rêve attrayant et séduisant s'était transformé en cauchemar délirant dès mon réveil. La journée11 - Corvée. - D - -.- débutait mal, car plus je tentais de stopper la trique et plus le gland malmené, s'excitait sur ses geôliers ! Frustré de ne pouvoir me branler et plus, je me levais pour me faire un café pensant que cela calmerait mon pénis. Malheureusement, à chaque pas, les pics continuaient leurs supplices sur le pauvre gland 12 - Corvée. - D - -.-qui, émoustillé, maintenait une érection torpillée. Je maudissais cette prison m’empêchant de me masturber normalement et de jouir avec satisfaction.Après encore plusieurs minutes de souffrance, le gland se calmait et le sexe débandait avec déception. Après avoir salué mes Masters, je passais à la salle de bain.13 - Corvée. - D - -.- La toilette terminée, à regret, je prenais le marqueur du jour et je commençais les graffitis. Comme chaque jour, j'inscrivais sur la cuisse gauche la date et sur la droite le numéro d'enregistrement du slave. Je continuais par le 14 - Corvée. - D - -.-torse et mon appartenance. Je terminais par la date de mise en cage avec nostalgie des jours heureux. Je prenais le premier cliché de pieds dans la salle de bain. Je déposais au sol mes vêtements. Je prenais une paire de chaussettes propres comme mes Maîtres m'avaient autorisé précédemment. Je l'enfournais dans ma petite gueule. Tout était en place pour démarrer le reportage photo. Malheureusement, pendant la préparation, les picots de la cage s'étaient remis à titiller mon gland. Une érection avortée s'en suivi. Mais ce trio pervers ne cessait le martyre. Plus la queue était gonflée, plus le gland en faisait autant et plus les15 - Corvée. - D - -.- picots rentraient et maltraitaient celui-ci, qui excité, commandait un gonflement prolongé ! Ce supplice était de plus en plus frustrant et dégradant d'autant que je ne maîtrisais plus personne ! Je débutais le reportage avec un 16 - Corvée. - D - -.-cliché de la cuisse gauche et de la date du jour. Je continuais avec la droite et le numéro d'enregistrement du slave. Un cliché des chaussettes dans la gueule pour continuer avec l'appartenance sur le torse. Je17 - Corvée. - D - -.- terminais cette série par la date de mise sous cage de mon malheureux sexe. Une nouvelle photo de pieds avec les chaussettes dans la bouche et je m'assaillais sur les toilettes. Le couvercle et la lunette étaient restés levés. Je posais mes petites fesses sur la faïence et je lâchais les vannes. Lorsque la vessie fut vide, je séchais la cage 18 - Corvée. - D - -.-avec du papier toilette et je tirais la chasse d'eau. Je passais à la salle de bain, me laver les mains.

 

        Bonne journée à mes Masters et aux lecteurs.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Labeurs Journaliers - Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires

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  • : Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335
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  • : Sous-Merde propriété de Master Eric et Maître Mickaël. Il fait aussi ce que les Visiteurs demandent. Ce n'est pas un mâle mais une sous-merde, et il doit être traité comme tel. À la disposition de tous les Maîtres et slaves au Téléphone, en Web-cam sur Smboy ou Skype... Prises de photo et rapports publiés ensuite sur le blog sous le contrôle de ses Maîtres.
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