Scanner du lundi 27 février.
Pour ce nouvel examen, le médecin prescripteur avait recommandé
que je sois à jeun depuis plus de 4 heures. Ayant rendez-vous en début d’après-midi, le matin, je faisais un bon petit-déjeuné et je prenais une collation pour la pause à la mi-matinée. Le midi,
je rentrais chez moi. Un peu avant de partir, je préparais mes papiers d’assuré et la prescription médicale. Dans ma sacoche, je rangeais le lubrifiant, la clé pour le collier et le short blanc.
Dans un petit sac, je rangeais mon dossier médical, un produit pris en pharmacie pour le scanner. Je démarrais de mon domicile en avance.
Dans la voiture, dès que je prenais place, le plug à deux boules,
numéro 04, redoublait de vigueur ! Mon petit cul ne cessait de pousser et je sentais le premier anneau dans le gros intestin qui faisait du gymkhana sur les deux boules. Je regrettais de ne pas
avoir mis un suppositoire avant de partir afin de calmer ce petit monde festif. Ma malheureuse queue souffrait, elle aussi ! Le pauvre petit gland continuait inlassablement à être empalé par les
pics de la cage et mon infortunée nouille tentait une érection impossible, enchâssé dans sa prison. Etant seul, je ne retenais pas mes gémissements.
Nous sommes dans une petite ville de province où, il y a une
course aux ronds points et aux passages sur-élevés. C’est très bien pour obliger certains conducteurs à ralentir, mais pour le slave que je suis, c’est une torture et un supplice supplémentaire à
chaque passage ! Les secousses faisaient redoubler de vigueur le convive dans le côlon. Celui-ci transmettait les stimulations à mon cul qui ne cessait pas de pousser et à l’anneau qui faisait du
toboggan permanent. Ma malheureuse queue n’était pas mieux lotie ! Elle se faisait empaler le gland par les maudits pics recouvrant la cage de chasteté en lui interdisant toute érection possible.
Je sentais un filament humide coller à l’intérieur de la cuisse. Je devais mouiller ! Depuis le temps où je suis en manque ! Ces fuites et cette impossibilité de se masturber est chaque jour un
peu plus frustrant, humiliant et avilissant !
J’arrivais au centre
hospitalier où je me garais. Je passais aux toilettes pour enlever les attributs du slave. Je rangeais dans ma sacoche le harnais, le plug et le collier. Je passais au secrétariat me faire
enregistrer. La secrétaire me donnait un dossier et m’indiquait la salle d’attente "B" du scanner "1". Étant encore un peu en avance, j’arrivais tranquillement. Je faisais mon entrée en même
temps qu’un
technicien qui m’appela. J’entrais directement dans une cabine avec un
siège, un tabouret, une table technique avec tiroirs et des patères au mur. Il me les indiquait pour pendre mes affaires. Je refermais la porte à clef derrière moi. Je lui transmettais mon
dossier et le produit pour l’examen.
Il me demandait de me mettre en sous-vêtement. Il préparait le
nécessaire pour poser un cathéter sur sa table. Je sortais mon short blanc en lui avouant honteusement que je ne portais pas de sous-vêtements. Je venais de suspendre la sacoche, ma veste, mon
bonnet et le pull à col roulé aux patères. Mon cœur se mit à battre de plus en plus vite et je me sentais d’autant plus humilié, frustré et honteux devant ce jeune. Il m’annonça alors qu’il
allait chercher une blouse. Dès qu’il sortit de la pièce je m’empressais à dévêtir le bas en accrochant le jeans. Je tournais le dos à la porte de trois
quarts quand il
revint avec un tablier bleu d’hôpital. Il ne me restait que le maillot sur moi. Mon palpitant se mit à battre de plus bel en entendant la porte s’ouvrir. J’étais cul-nu, avec seulement cette
maudite cage ! Je prenais au vol le short que j’enfilais le plus rapidement possible. Autant, lors du premier scanner, j’avais pu me changer tranquillement autant, aujourd’hui,
devoir
le faire en publique, augmentait grandement l’humiliation, la frustration et la félonie d’être ainsi exhibé ! Je maudissais de ne pas avoir pût mettre le short aux toilettes. Je suppliais
intérieurement qu’il sorte chercher quelle que chose d’autre pour réaliser les clichés réclamés par Maître Michael. En entrant, il avait dû, au moins, apercevoir la maudite cage ! Je terminais
par enlever le maillot.
En me retournant pour lui faire face, de ma mains gauche, je
vérifiais où était la cage par apport au short. Je le tirais et le descendais au maximum pour cacher cette maudite prison ce qui découvrit complètement le pubis lisse. Mon palpitant tambourinait
toujours aussi fort dans ma cage thoracique. Je sentais chaque battement assourdissant, jusque dans les oreilles. Il m’invitait à enfiler la charlotte et la blouse qu’il venait d’apporter en
m’expliquant que la pièce était un peu fraîche. Je m’exécutais sans mots dire. Je m’assaillais confortablement dans le fauteuil et je lui
présentais mon bras
droit pour poser le cathéter. Tout en faisant son travail, il m’expliquait le déroulement de l’examen. Je n’arrivais pas à calmer mon moteur qui battait la chamade. Il s’en aperçu et il voulut me
rassurer. Je ne pouvais pas lui avouer que ce n’était pas celui-ci qui m’angoissait mais l’humiliation que je ressentais d’être, ainsi exhibé devant lui.
J’essayais de me détendre en
faisant un peu sa connaissance. Il était en stage et étudiant à Lyon en médecine nucléaire. Tout en me parlant, il avait, depuis son retour avec le tablier de patient, un petit sourire en coin.
J’étais certain qu’il m’avait, non seulement aperçu mais vu, non pas uniquement mes fesses nues mais la cage et mon rasage intégrale. Je maudissais d’être ainsi exhibé, humilié et étant présent,
je ne pouvais prendre les clichés demandés ! Lorsque qu’il eut terminé, il m’invitait à passer dans la pièce principale. Le scanner trônait au milieu. Nous nous en approchions et la doctoresse
venait nous rejoindre avec, elle aussi un grand sourire. Le stagiaire avait dû faire son rapport sur l’excentricité de ce nouveau patient.
Elle m’invitait à m’allonger sur la table, les pieds vers
l’appareil. L’examen allait se faire sur la partie basse de mon corps à partir des hanches. Je m’exécutais et après quelles que modifications de positionnements, elle me demande de ne plus bouger
pendant une trentaine de minutes. Le stagiaire terminait de relier le cathéter avec
le produit que j’avais pris à la pharmacie et me demandait de garder
les bras au-dessus de la tête. Je pouvais me détendre un peu le temps que je sois couché. Après une première séance, j’entendais le stagiaire annoncer que la perfusion démarrait. Je sentais le
produit passer dans la veine. Après quelles que secondes, je sentais une sensation de chaleur envahir tout mon corps en commençant par la bouche, la tête, le torse et les bras, la taille et enfin
les jambes. Cette sensation n’était pas désagréable à part un goût âpre dans la bouche. Deux nouveaux
passages dans l’appareil en retenant la respiration et le plateau
s’immobilisait de nouveau. Il se remit en marche et je faisais un dernier passage dans l’anneau de l’appareil. La table se stabilisait définitivement et le technicien venait m’aider à me relever
avec la perfusion.
Le médecin me raccompagnait à mon boxe. Je m’assaillais dans le
fauteuil et je présentais mon bras au technicien pour enlever le cathéter. Après l’avoir retiré, il posait une compresse tenue par du sparadrap. Il sortait après avoir rangé son meuble de
travail. De mon coté j’enlevais la blouse et la charlotte que je posais sur le fauteuil. Je faisais tomber au sol le short quand la porte s’ouvrit et la doctoresse venait me demander d’attendre
avant de partir. J’étais nu devant elle avec seulement la maudite cage qu’elle scrutait. Je restais quelles que secondes interdit. Mon cœur se remit à battre la déroute ! J’acquiesçais et elle
refermait la porte. Le stagiaire avait dû lui parler de ma tenue, c’est pourquoi elle entrait sans prévenir. Je maudissais encore plus cet examen ! J’aurai aimé être une souris pour m’enfuir dans
le premier interstice ! Je priais pour être
enfin tranquille et surtout, ne plus être dérangé pour pouvoir
réaliser le reportage photo sereinement. Je prenais les premiers clichés, nu avec seulement la cage. Je posais l’appareil un instant pour remettre le short pour compléter la chronique. La porte
s’ouvrit une nouvelle fois ! Le technicien me rapportait mon dossier. Son regard alla directement sur la maudite prison qu’il avait, dans toute sa splendeur, devant lui. Il le posait sur la table
et ressortit avec un grand sourire illuminant son visage. Ce locale devenait un vrai moulin ! On y entre et ressort
comme dans un magasin. Je maudissais une nouvelle fois de devoir
être ainsi exhibé ! L’histoire allait faire le tour du service au moins….
Je renfilais le short pour prendre les clichés. Je baissais une nouvelle fois ce, soit disant sous-vêtement.
La porte s’ouvrit une nouvelle fois ! Le médecin, s’excusant de me déranger, me posait quelles que questions pour compléter le dossier d’examen. Je me trouvais une nouvelle fois, nu, face à elle.
Un large sourire illuminait progressivement sa face. Je devenais la bête curieuse du service ! Ma mésaventure ferait, non seulement le tour du service mais certainement tout le bâtiment. Je me
baissais pour remonter précipitamment le short tout en lui répondant. Ma plus grande crainte est que ça vienne aux oreilles de mon médecin ! Mon palpitant s’était emballé. Je devais être rouge de
honte car je sentais la chaleur du sang affluer à mon visage. Je prenais mon pantalon que je me précipitais à porter. Elle me remerciait en me souhaitant une bonne journée et s’en alla. Jamais je
n’avais été autant exhibé et surtout humilié et frustré ! Je maudissais d’avoir dû mettre le
sous-vêtement seulement dans ce local. Ma grande crainte est que je
devienne la risée de l’hôpital suite à cette extravagante démonstration d’exhibitionnisme. Jamais je n’avais été aussi humilié, frustré, déshonoré et avili ! Bien que cela me soit interdit, je
maudissais les instructions que j’avais reçues pour cette journée.
Je m’empressais à me rhabiller. J’avais été suffisamment exhibé et
humilié pour un certain temps ! J’enfilais ma veste et je rangeais mes papiers. Je sortais de cet enfer honteux, frustré, déchu, mon palpitant toujours aussi paniqué et angoissé. Je me retrouvais
dans la salle d’attente où deux autres personnes étaient assises. Après quelles que minutes, le technicien venait appeler le patient suivant avec un grand sourire en croisant mon regard. Après
une dizaine de minutes, il revenait avec mon dossier. Il me le donnait en m’annonçant que les interprétations seraient envoyées directement au médecin prescripteur. Avec un petit sourire ironique
et en coin, il me souhaitait une bonne fin de journée. Je lui rendais sa politesse et je m’enfuyais honteux de ce service, mon
palpitant jouant toujours la chamade. Je me promettais
de ne plus revivre un tel exhibitionnisme humiliant, frustrant, dégradant et déshonorant !
J’utilisais les premières toilettes que je trouvais. Je refermais
à clef la porte content que cette première étape humiliante soit terminée. Je sortais de la sacoche les attributs du slave. Sur le lave-mains, je posais le téléphone, le lubrifiant, le plug, le
collier et sa clé. Le harnais, je l’installais sur le carrelage. Je me déshabillais une nouvelle fois et j’accrochais mes vêtements aux patères de la porte. Quand je retirais mes chaussures, en
posant les pieds au sol, malgré les chaussettes, je sentais le froid glacial des carreaux monter dans mes jambes. Je me retrouvais avec seulement le short blanc. Je prenais le téléphone pour les
premiers clichés. Je l’enlevais et le rangeais directement dans la
sacoche. Je photographiais le sujet d’humiliation et de frustration de
l’après-midi. Avec la perfusion, j’avais une envie pressente. À contre cœur, je relevais la lunette des toilettes et, comme une prostituée, je m’assaillais sur la faïence gelée qui glaçait mes
pauvres petites fesses. Un frisson me
parcouru tout le corps. Pour une fois, je pouvais pisser sans
attributs. Je prenais le harnais que je mettais en place ainsi que le collier que je photographiais. Je lubrifiais le plug et je le présentais à mon petit cul. Au fur et à mesure qu’il pénétrait,
mon trou l’accueillait. Il buttait contre le premier anneau du côlon. Une nouvelle
poussée et il gobait la première boule. Ma petite fleur faisait de
même avec le reste du nouvel invité. J’installais la ceinture de sécurité à ce nouveau convive. Je sentis le bout de ma queue se faire empaler par les pics de sa prison. Je me relevais et je
terminais le reportage photo.
Quand toutes les
caractéristiques du slave étaient en place, je me rhabillais une nouvelle fois. Je commençais par le pantalon. J’enfilais mes chaussures pour ne plus avoir les pieds frigorifiés. Je continuais
avec le maillot, le pull, la sous-veste, la veste et
le bonnet. Je rangeais dans la pochette le lubrifiant, la clef du
collier et le short blanc. Je vérifiais que je n’oubliais rien. Après avoir tiré la chasse d’eau, je me lavais les mains et je me les séchais. J’ouvrais la porte et je m’enfuyais de ce
lieu de tourments et dégradant la sacoche à l’épaule et le sac à la
main. Mon cœur battait toujours la charge. J’étais venu à cet examen confiant suite au premier mais rien ne s’est déroulé de la même manière. Aujourd’hui, dès mon arrivé, ce ne fut qu’une
succession d’humiliation, de frustration, dégradantes, déshonorantes et avilissantes. Je me promettais, un peu tard, que l’on ne m’y prendrait plus ! Du moins, je le souhaite et j’espère…. Je
retrouvais mon véhicule et je m’enfuyais de lieu d’exhibition.
Je remercie, quand même, mes Masters pour cette nouvelle étape en suivant le mieux possible leurs désirs et
leurs souhaits. Je les gratifie aussi pour leurs magnanimités, leurs altruismes et leurs dévouements. Je fais de même pour les visiteurs qui me font progresser grâce à leurs commentaires.
Commentaires :
Commentaire de Mr Alain44 :
Bonjour Master ERIC et Maître MICHAEL,
Le délai de rédaction et de publication est cette fois justifié par la
qualité de la rédaction , celle des photos, et la recherche des mots pour exprimer les ressentis de votre Larve . L' épreuve s' est révélée être plus importante que initialement suggérée
par moi car elle ne prévoyait que une nudité totale dans le box/sas dont les deux portes sont habituellement fermables à clef. Que la Larve publie les commentaires des visiteurs et des
MASTERS à la suite des compte rendu , si cela est techniquement possible .
Si l' anneau métallique apporte confort et sécurité à la Larve un compte rendu détaillé
devrait en être réalisé .
Bon compte rendu détaillé, explicite pour les ressentis. Une grande étape de
franchie grâce à ce technicien et cette médecin qui visiblement attendaient ce patient depuis le dernier passage de la Larve dans ce service. La soirée au sauna ne sera pas une nouveauté
! A noter : Les remerciements de la Larve envers ses MASTERS.
Mr Alain44
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