Le blog de Bâstard à KC Sous Merde n°411-103-335

  Bienvenue sur le blog de Bâtard a KC : Sous Merde N° 411-103-335, sous le contrôle de Master Éric et Maître Michael. Il doit faire ce qui lui est demandé sans rechigner. N’hésitez pas à laisser des commentaires sur les différents articles qu'il publie sous nos ordres.

  Il fait aussi ce que les visiteurs demandent. Ce n'est pas un mâle mais une sous-merde, et il doit être traité comme tel.

  Sous cage de chasteté, nous seuls, ses Maîtres, décidons de ses jouissances afin de le purger de son jus pourris qui ne sert à rien.

  N'hésitez pas à laisser des commentaires dans les différents articles publiés ici par notre sous merde ou nous même. Cela l'humiliera  d'autant  plus.  Son  adresse  est  dorénavant  la  suivante  :        slave.411103335@gmail.com

   Nous la contrôlons entièrement. Nous nous chargerons de vous répondre ou notre slave vous transmettra nos commentaires.

  Notre Sous-Merde est à dispos de tous mâles souhaitant l'utiliser en Cam ou en Réel avec prises de photos et rapports publiés ensuite sur le blog. Même les soumis peuvent l'utiliser car son statut est inférieur à eux et il leur doit respect, soumission et obéissance.

Dimanche 16 juillet 7 16 /07 /Juil 06:33

 

Suppression du slip

        Maître Michael me faisait part des nouvelles instructions pour me rendre au lac. Je lui rappelais que j’avais plusieurs shorts. Il me demandait de regarder si certains avaient encore leurs slips intérieurs. Après vérification, je lui faisais part qu’un seul avait encore son slip. Les autres ils les avaient fait enlever, il y a plusieurs mois. Il ordonna alors de faire de même pour celui-ci bien que le slip soit d’un gros maillage et donc transparent. Il rappelait qu’un slave comme moi n’avait pas besoin de sous-vêtements et encore moins dans un short. Ils étaient exclusivement réservé pour les consultations médicales. Après avoir exécuté ses vœux, il commandait que je prenne des photos en portant ce short.

 04 - Short - D - -.-  05 - Short - D - -.-  06 - Short - D - -.-

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Samedi 15 juillet 6 15 /07 /Juil 07:51

Vos propositions de Consignes

 

        Ça va faire bientôt un an que le slave est sous cage. Elle a été posée le 16 juillet 2016. mes Masters prévoient une nouvelle vidange du  bâtard. Vous pouvez donner vos idées ou ce que vous aimeriez qu’il subisse pour celle-ci. Sachant qu’il ne pourra pas se branler et devra jouir sans se toucher dans une capote.

        À vos claviers et donnez toutes vos idées.

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Vendredi 14 juillet 5 14 /07 /Juil 11:08

Connexion rétablie

 

         J’ai été victime d’un piratage de ma boxe. Les hackers ont piratés non seulement ma connexion mais aussi mon compte en banque et mon identité. C’est pourquoi je n’ai pas pu être présent sur le réseau. Comme l’instruction est toujours en cours, je ne peux vous en dire plus mais je vous prie de bien vouloir m’excuser pour ce long silence indépendant de ma volonté.
         Par contre, j’ai poursuivi à porter le collier et la cage malheureusement !!! J’ai dû continuer à me rendre à mes rendez-vous médicaux avec celle-ci et je portais le boxer blanc pour minimiser les frustrations. Le collier je l’enlevais dans la voiture sur le parking avant de me rendre à ces consultations.
         Maître Michael demande si je dois continuer à porter la médaille en arrière (Verso) car je porte des petites chemises ou des t-shirts. À l’avant, elle se verrait trop et me poserai trop de problèmes et de questions désobligeantes…. Le collier porte déjà un "M" devant (Recto) qui veut dire normalement "Maso". Comme mon nom de famille commence par cette même lettre, je prends l’excuse que c’est l’initiale de mon nom…. Les remarques ont été plusieurs fois humiliantes et dégradante et beaucoup de questions en ont découlées.


  Pour infos : Vous pouvez à nouveau laisser vos commentaires directement sur le blog. Cette rubrique a été réactivée.


 01 - Attributs - D - -.-  02 - Attributs - D - -.-  03 - Attributs - D - -.-

  Collier :   Recto                         Verso                Cage et son cadenas numéroté

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Jeudi 25 mai 4 25 /05 /Mai 06:46

bonjour à tous

 

d"solé pour le retard sur la mise a  jour du blog. La sous merde ne put rien mettre pour le moment car il ne peut pas se connecter sur inteernet chez lui car il a été victime d'un piratage complet de son ordinateur. une enquêt est toujours en cours. il est toujours sous cage depuis le mois de juillet de l'année dernièr et il le retera encore tant que tout ne sera pas réglé. hors de question qu'il l'enlève.

Sess masters

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Mot des Masters - Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Dimanche 5 mars 7 05 /03 /Mars 15:28

Le mercredi 1er mars :

01 - Bureau - D - -.-        Mardi matin, Maître Michael ordonnait que je doive exécuter les propositions de Master Phénix. J’aurai aimé maudire celles-ci mais je savais que j’aurai des complications dans ce cas. Mardi soir, avant de partir du bureau, je prenais le marqueur dans mon tiroir. Mercredi matin, Maître Michael me rappelait les instructions de la veille. J’espérais qu’il n’y pensait plus. Malheureusement ce n’était pas le cas ! Non seulement il renouvelait son injonction mais le surenchérissait avec une punition en prime si les propositions n’étaient pas réalisées. C’est donc, à contre-cœur, après la toilette, je m’assaillais sur le coin du lit avec le maudit marqueur à la main. Sur ma cuisse gauche, j’inscrivais la date du jour soit le "mercredi 1er mars" avec mépris pour cette nouvelle résolution. Contraint et forcé, je prenais mon téléphone pour exécuter le premier cliché de l’humiliante série. Je m’habillais pour partir au travail. J’allais devoir porter toute la journée cette maudite marque. C’est d’autant plus humiliant et dégradant de savoir que cette inscription est sur mon corps. J’enfilais ma veste, mon bonnet et je fermais la porte de mon domicile à clef.

        Sur le chemin du bureau, le plug continuait de s’amuser avec ma petite rondelle et mon anneau intérieur. La cage poursuivait d’empaler mon pauvre gland et d’interdire toutes érections de ma malheureuse queue. C’est un stalag, un goulag pour mon infortuné appendice éprouvé. La frustration devenait chaque jour un peu plus intense. J’arrivais enfin sur mon lieu de travail, frustré, atrophié. Je saluais les personnes déjà présentes et je gagnais mon poste.

        Sur le dossier de mon fauteuil, je posais machinalement ma veste et mon bonnet. J’avais en permanence, devant mes yeux, ma cuisse spolié. Je me mettais au travail en espérant que cette image cesse. Je faisais attention aux allés et venus des collaborateurs dans le couloir. Lorsque ma vessie sera pleine, une nouvelle fois je devrais me rendre aux toilettes pour réaliser la corvée hebdomadaire. De toute la matinée, je n’arrivais pas à ôter l’image de la tête de ma jambe atrophiée. Je sentais doucement une envie monter en moi. Je buvais régulièrement un peu d’eau pour remplir ma réserve. Ma bouteille est en permanence sur le coin de mon bureau. Tous les matins, en arrivant, je la remplis pour alimenter mon réservoir. À force de boire régulièrement, ma petite citerne se remplissait inexorablement.

02 - Bureau - D - -.-        En deuxième partie de matinée, l’envie devenait de plus en plus intense. Je me décidais enfin à me rendre aux toilettes. Je vérifiais machinalement que mon téléphone était bien dans la poche frontale de ma sous-veste. Au moment où je me levais pour m’y rendre, un collègue arrivait dans le couloir pour prendre ma place. Je devais attendre et je reprenais place dans mon siège. Je jetais régulièrement et discrètement un œil vars la porte du local qui distribue les toilettes. Après quelles que minutes, il ressortit et repartit vers son bureau. J’attendais encore quels instants et je me décidais à me lever.

        Je refermais la porte à clef dès que je rentrais dans les toilettes. Je posais, comme d’accoutumé, mon portable sur le rebord du lave-mains. Aujourd’hui, pas besoin du marqueur comme le message était inscrit sur ma cuisse 03 - Bureau - D - -.-depuis le matin. Je me déshabillais et je posais mes vêtements pliés sur le bord du lavabo. En me déchaussant, je sentis le froid du carrelage sous mes pieds malgré mes chaussettes que j’avais depuis lundi matin. Je voulais en changer ce matin mais Maître Michael avait bien insisté pour que je respecte tous les 04 - Bureau - D - -.-points réclamés par les visiteurs. Je terminais par les ôter et j’en posais une en attente avec mes affaires et l’autre, je la passais dans un anneau du harnais pour la tenir. Comme avait précisé Master Phénix, je plaçais la plante des pieds contre mon torse. Je trouvais cela d’autant plus humiliant qu’elle était humide de transpiration. Une petite odeur de pieds monta à mes narines. L’ayant porté contre moi, cette odeur risquerait de me suivre un moment. Je prenais sur moi pour ne pas maudire qui que ce soit. Ce supplice inhumain et dégradant risquait d’être renouvelé avec une crainte que ça devienne le quotidien. Je prenais le téléphone en main et je refaisais un cliché de l’inscription qui est sur ma cuisse.

05 - Bureau - D - -.-        Je relevais la lunette des toilettes et je m’assaillais sur la faïence glacée. Je sentais la froidure remonter dans mes petites fesses et se diffuser dans tout le corps. Un frisson me secouait de la tête aux pieds. Je bougonnais en moi-même pour éviter toutes pensées désobligeantes. Je vidais ma réserve tout en photographiant cette nouvelle vidange avec le graffiti sur la cuisse. Je faisais mon possible pour évacuer jusqu’à la dernière goutte afin d’éviter toute fuite. Je me relevais en séchant le bout de la cage avec du papier toilette. J’immortalisais l’invité dans mon petit cul avec sa ceinture de sécurité. Je continuais avec la maudite prison qui enchâsse ma pauvre petite queue. À contre-cœur, je roulais la seconde chaussette sur elle-même ; la plante des pieds humide de 06 - Bureau - D - -.-transpiration à l’extérieur comme l’avait précisé le Master dans son commentaire. Je l’enfournais dans ma petite gueule. Je respirais l’odeur de transpiration en permanence. Devoir se faire un bâillon avec une chaussette est déjà humiliant, mais le réaliser avec une socquette vieille de trois jours est d’autant plus dégradant et avilissant. Une 07 - Bureau - D - -.-rage et une colère intérieure montaient en moi que je ne pouvais extérioriser sous peine de graves sanctions. Je continuais malgré moi, le reportage photo avec cette muselière odorante. Je terminais avec des photos de pieds, de la cage et du tag.

        Quand je pensais que tout était dans la boite, je me rhabillais en 08 - Bureau - D - -.-commençant par les chaussettes. En retirant le bâillon, un goût âpre persistait en bouche. Je tentais, sans succès, de boire un peu d’eau pour l’atténuer. Je continuais à me rhabiller quand une personne essaya d’ouvrir la porte. Je lui demandais encore deux minutes, j’avais presque terminé…. Je finissais de me revêtir et je rangeais, une nouvelle fois, le téléphone dans une des poches frontales de ma sous-veste. Je tirais la chasse d’eau et je me rinçais rapidement les mains. Je me les séchais encore plus vite et tout en jetant un dernier coup d’œil aux lieux, j’ouvrais la porte. Je me retrouvais devant mon directeur. Je le saluais et je le laissais passer pour prendre la place toute chaude.

09 - Bureau - D - -.-        En retournant à mon poste de travail, j’essayais d’imaginer ce qui se passerait si par malheur, un jour, j’oubliais ou je fermais mal la porte des toilettes. Plus grave, qu’un collègue, le directeur ou un administrateur entrait sur ces entre-faits. Juste à cette idée plus qu’humiliante, dégradante et avilissante, mon palpitant se mit à battre la chamade. J’entrais dans mon bureau lorsque je sentis, une nouvelle fois, une goutte d’urine couler le long de la jambe. J’avais pourtant bien fait attention de vider complètement ma vessie et de bien sécher la maudite prison. Il y avait encore, une nouvelle fois, une fuite désobligeante. Je maudissais ces pertes inopportunes. Je reprenais place dans mon fauteuil de bureau. Je frottais une jambe contre l’autre pour assécher 10 - Bureau - D - -.-cette nouvelle fuite. La matinée se terminait devant mon poste de travail. À la question de pouvoir effacer cette maudite marque, j’attendrai le soir pour trouver une nouvelle méthode et une solution moins invasive.

 

        Je remercie mes Masters, Master Éric et Maître Michael pour me faire évoluer dans la soumission et l’obéissance. Pour leurs disponibilités, leurs dévouements et leurs magnanimités, je les gratifie de toute ma reconnaissance et ma docilité. De mêmes aux visiteurs qui me suivent depuis plusieurs mois, je les congratule pour leur fidélité et les messages qu’ils daignent me faire parvenir et qui donnent de nouvelles idées à mes Maîtres.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Labeurs Journaliers - Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Samedi 4 mars 6 04 /03 /Mars 07:12

À vos claviers :

        Suite au comportement inadmissible du slave, ses Maîtres proposent aux visiteurs qui suivent notre sous-merde de nous proposer une punition. Nous vous ferons connaître la sanction retenue.

 

Commentaires :

 

  • Reçu le 04 mars :

Commentaire de Mr Alain44

Bonjour Master ERIC et Maître MICHAEL,
   Je rejoins votre idée de sévir à l' encontre de votre Slave pour son comportement inamissible depuis quelques temps .
    Pour ma part , compte tenu des conditions météo actuelles , je préconise une punition à réaliser au domicile. Voici quelques suggestions:
    - Douche périodique à l' urine à l' aide de deux bouteilles de 1,5 Litres utilisées l' une après l' autre
    - Le Slave étant nu , avec son collier, sa cage et son harnais, porter successivement 5 objets différents dans son cul ( balayette, cuillère en bois, poireau, ... )
    - Rédiger un article sur les bienfaits de l' exhibition inopinée subie le 27/02/2017 , pour la perte de pudeur d' un slave

   Pour les photos , les comptes-rendus devront avoir été validés par les MASTERS avant publications

Mr Alain44

  • Reçu le 05 mars :
Commentaire de Master Phénix  
   Bonjour Master Éric et Maître Michael,

     Ce mercredi, votre sous-merde pourrait utiliser toute la surface de ses deux cuisses pour inscrire la date du jour sur une et son appartenance "Slave de Master Éric et de Maître Michael" sur l’autre. Pour parfaire tout cela, il se noircirait tout son pubis rasé. En cas où cela ne serait pas bien réalisé, à refaire chaque semaine jusqu’à satisfaction.


   Master Phénix.
  • Reçu le 05 mars :
Commentaire de Alain
Bonjour
 
suite a la consultation du site voici une proposition de punition
 
lubrifier le plug d huile pimente avant introduction
et au prochain enleve de la cage faire de meme dans l uretre
au plaisir de vous lire
 
Alain
 
Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Consignes des Maîtres - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 3 mars 5 03 /03 /Mars 07:29

De Mr Alain 44

 

Février :

 

  • Objet : Commentaires déposés sur le blog le 24/02/2017

Le vendredi 24 

Bonjour Master ERIC et Maître MICHAEL,
    Je viens de recevoir l' annonce erog pour l' arrivée de ce travail de mise à jour des commentaires en retard.
      La remise en ligne de l' adresse mail de votre slave/salope est une bonne chose
     La surveillance de la boîte mail par vous même , en direct,  se révèle être une bonne chose ! et j'espère que désormais votre esclave saura mieux gérer son emploi temps afin de faire ce qu' il doit faire en temps et en heures.
     Il serait bon que votre slave accuse rapidement réception de vos instructions figurant sur ce compte rendu sur le blog .
Mr Alain44
 

 

  • Objet : Comportement de votre Larve/Esclave dans la nuit du du Sam. 25 au Dimanche 26/02/2017  

Le dimanche 26 

Bonjour Master ERIC et Maître MICHAEL,
    Je me permets d ' appeler votre attention sur le fait que votre Larve s 'est connecté sur Skype cette nuit là à 00h25. Cela ne m' as pas étonné compte tenu du fait que , selon ses termes du blog votre salope doit se mettre à la disposition de tout le monde .
    Ne souhaitant pas interférer dans cet échange entre votre Salope et l' un de ses correspondants je je suis limité au fait de lui fait savoir que j' étais en ligne . Sans réaction de politesse de sa part 08 minutes plus tard je l' ai à nouveau contactée lui demandant si Elle était en session d' exhibition .
    J' ai constaté plus tard que votre esclave s' était déconnecté sans avoir réagi à l' un ou l' autre de mes signes de vie .
 Ce comportement ne peut à mon avis rester sans réaction de votre part, car il confine à un  "je m' en foutisme" de votre autorité .
Mr Alain44
 

 

  • Objet : TR: Exercice hebdomadaire du 15 Février 2017  

Le mardi 28 

Bonjour Master ERIC et Maître MICHAEL,
   Je suis satisfait globalement des progrès de votre salope pour cet exercice hebdomadaire . Ma suggestion était donc bonne et ne pas imposer l' affichage de la date aurait été une erreur.
   Votre Larve ne doit pas considérer cet exercice  comme une corvée, mais comme une chance qu' elle a pour progresser dans son éducation. Que la Larve n' oublies pas la sortie prévue au sauna!
   Je ne vois pas comment la Larve pourrait écrire sur sa cuisse gauche mais la date devrait être complète : Le 15.02.2017
   Chambéry est un ville étonnante  où il pleut : " un petit crachat "
   A noter : le SLAVE commence à dire merci à ses MAITRES  !

Mr Alain44

 

  • Objet : TR: Exercice Hebdomadaire du Merc. 22/02/2017

Le mardi 28

Bonjour Master ERIC  et Maître MICHAEL,
  Voici un commentaire adressé rapidement afin que votre Larve puisse le mettre rapidement sur son blog
  Je constate que vos remontrances et rappels à l' ordre ont été efficaces : Rédaction fait rapidement et respect de la chronologie du c/rendu pour les illustrations photos .
   La Larve commence à se sentir vraiment obéissante et exhibée, alors que tout cela se passe seulement dans sa tête. Les soirées au sauna deviendront facilement une habitude .
  Le récit de la Larve est à classer dans la rubrique " compte rendu et non pas dans la rubrique commentaires " ( RAPPEL )
  Les MASTERS sont enfin remerciés
Mr Alain44

 

Mars :

 

  • Objet : Comportement et retards de votre Larve

Le mercredi 1er

Référence : Le commentaire de Maître ERIC (toulouse ) du 07 Février 2017.

Bonjour Master ERIC et Maître MICHAEL,
  Le commentaire de Maître ERIC ( toulouse ) montre bien les retards de votre Larve et les confusions qui en découlent. Un délai raisonnable est normal entre la date de l' évènement et la publication du compte rendu ou du commentaire , mais pas de tels retards !
 Il me semble que ce retard a  entraîné une confusion entre des dates pour l' exercice de l' " enfilage" du short pour la visite médicale.
  Mr Alain44

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Commentaires - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 2 mars 4 02 /03 /Mars 11:12

 

03 - Scanner - D - -.-Scanner du lundi 27 février.

        Pour ce nouvel examen, le médecin prescripteur avait recommandé que je sois à jeun depuis plus de 4 heures. Ayant rendez-vous en début d’après-midi, le matin, je faisais un bon petit-déjeuné et je prenais une collation pour la pause à la mi-matinée. Le midi, je rentrais chez moi. Un peu avant de partir, je préparais mes papiers d’assuré et la prescription médicale. Dans ma sacoche, je rangeais le lubrifiant, la clé pour le collier et le short blanc. Dans un petit sac, je rangeais mon dossier médical, un produit pris en pharmacie pour le scanner. Je démarrais de mon domicile en avance.

        Dans la voiture, dès que je prenais place, le plug à deux boules, numéro 04, redoublait de vigueur ! Mon petit cul ne cessait de pousser et je sentais le premier anneau dans le gros intestin qui faisait du gymkhana sur les deux boules. Je regrettais de ne pas avoir mis un suppositoire avant de partir afin de calmer ce petit monde festif. Ma malheureuse queue souffrait, elle aussi ! Le pauvre petit gland continuait inlassablement à être empalé par les pics de la cage et mon infortunée nouille tentait une érection impossible, enchâssé dans sa prison. Etant seul, je ne retenais pas mes gémissements.

        Nous sommes dans une petite ville de province où, il y a une course aux ronds points et aux passages sur-élevés. C’est très bien pour obliger certains conducteurs à ralentir, mais pour le slave que je suis, c’est une torture et un supplice supplémentaire à chaque passage ! Les secousses faisaient redoubler de vigueur le convive dans le côlon. Celui-ci transmettait les stimulations à mon cul qui ne cessait pas de pousser et à l’anneau qui faisait du toboggan permanent. Ma malheureuse queue n’était pas mieux lotie ! Elle se faisait empaler le gland par les maudits pics recouvrant la cage de chasteté en lui interdisant toute érection possible. Je sentais un filament humide coller à l’intérieur de la cuisse. Je devais mouiller ! Depuis le temps où je suis en manque ! Ces fuites et cette impossibilité de se masturber est chaque jour un peu plus frustrant, humiliant et avilissant !

01 - Scanner - D - -.-        J’arrivais au centre hospitalier où je me garais. Je passais aux toilettes pour enlever les attributs du slave. Je rangeais dans ma sacoche le harnais, le plug et le collier. Je passais au secrétariat me faire enregistrer. La secrétaire me donnait un dossier et m’indiquait la salle d’attente "B" du scanner "1". Étant encore un peu en avance, j’arrivais tranquillement. Je faisais mon entrée en même temps qu’un 02 - Scanner - D - -.-technicien qui m’appela. J’entrais directement dans une cabine avec un siège, un tabouret, une table technique avec tiroirs et des patères au mur. Il me les indiquait pour pendre mes affaires. Je refermais la porte à clef derrière moi. Je lui transmettais mon dossier et le produit pour l’examen.

        Il me demandait de me mettre en sous-vêtement. Il préparait le nécessaire pour poser un cathéter sur sa table. Je sortais mon short blanc en lui avouant honteusement que je ne portais pas de sous-vêtements. Je venais de suspendre la sacoche, ma veste, mon bonnet et le pull à col roulé aux patères. Mon cœur se mit à battre de plus en plus vite et je me sentais d’autant plus humilié, frustré et honteux devant ce jeune. Il m’annonça alors qu’il allait chercher une blouse. Dès qu’il sortit de la pièce je m’empressais à dévêtir le bas en accrochant le jeans. Je tournais le dos à la porte de trois 03 - Scanner - D - -.-quarts quand  il revint avec un tablier bleu d’hôpital. Il ne me restait que le maillot sur moi. Mon palpitant se mit à battre de plus bel en entendant la porte s’ouvrir. J’étais cul-nu, avec seulement cette maudite cage ! Je prenais au vol le short que j’enfilais le plus rapidement possible. Autant, lors du premier scanner, j’avais pu me changer tranquillement autant, aujourd’hui, 04 - Scanner - D - -.-devoir le faire en publique, augmentait grandement l’humiliation, la frustration et la félonie d’être ainsi exhibé ! Je maudissais de ne pas avoir pût mettre le short aux toilettes. Je suppliais intérieurement qu’il sorte chercher quelle que chose d’autre pour réaliser les clichés réclamés par Maître Michael. En entrant, il avait dû, au moins, apercevoir la maudite cage ! Je terminais par enlever le maillot.

        En me retournant pour lui faire face, de ma mains gauche, je vérifiais où était la cage par apport au short. Je le tirais et le descendais au maximum pour cacher cette maudite prison ce qui découvrit complètement le pubis lisse. Mon palpitant tambourinait toujours aussi fort dans ma cage thoracique. Je sentais chaque battement assourdissant, jusque dans les oreilles. Il m’invitait à enfiler la charlotte et la blouse qu’il venait d’apporter en m’expliquant que la pièce était un peu fraîche. Je m’exécutais sans mots dire. Je m’assaillais confortablement dans le fauteuil et je lui 05 - Scanner - D - -.-présentais mon bras droit pour poser le cathéter. Tout en faisant son travail, il m’expliquait le déroulement de l’examen. Je n’arrivais pas à calmer mon moteur qui battait la chamade. Il s’en aperçu et il voulut me rassurer. Je ne pouvais pas lui avouer que ce n’était pas celui-ci qui m’angoissait mais l’humiliation que je ressentais d’être, ainsi exhibé devant lui.

 06 - Scanner - D - -.-       J’essayais de me détendre en faisant un peu sa connaissance. Il était en stage et étudiant à Lyon en médecine nucléaire. Tout en me parlant, il avait, depuis son retour avec le tablier de patient, un petit sourire en coin. J’étais certain qu’il m’avait, non seulement aperçu mais vu, non pas uniquement mes fesses nues mais la cage et mon rasage intégrale. Je maudissais d’être ainsi exhibé, humilié et étant présent, je ne pouvais prendre les clichés demandés ! Lorsque qu’il eut terminé, il m’invitait à passer dans la pièce principale. Le scanner trônait au milieu. Nous nous en approchions et la doctoresse venait nous rejoindre avec, elle aussi un grand sourire. Le stagiaire avait dû faire son rapport sur l’excentricité de ce nouveau patient.

        Elle m’invitait à m’allonger sur la table, les pieds vers l’appareil. L’examen allait se faire sur la partie basse de mon corps à partir des hanches. Je m’exécutais et après quelles que modifications de positionnements, elle me demande de ne plus bouger pendant une trentaine de minutes. Le stagiaire terminait de relier le cathéter avec 05 - Scanner - D - -.-le produit que j’avais pris à la pharmacie et me demandait de garder les bras au-dessus de la tête. Je pouvais me détendre un peu le temps que je sois couché. Après une première séance, j’entendais le stagiaire annoncer que la perfusion démarrait. Je sentais le produit passer dans la veine. Après quelles que secondes, je sentais une sensation de chaleur envahir tout mon corps en commençant par la bouche, la tête, le torse et les bras, la taille et enfin les jambes. Cette sensation n’était pas désagréable à part un goût âpre dans la bouche. Deux nouveaux 06 - Scanner - D - -.-passages dans l’appareil en retenant la respiration et le plateau s’immobilisait de nouveau. Il se remit en marche et je faisais un dernier passage dans l’anneau de l’appareil. La table se stabilisait définitivement et le technicien venait m’aider à me relever avec la perfusion.

        Le médecin me raccompagnait à mon boxe. Je m’assaillais dans le fauteuil et je présentais mon bras au technicien pour enlever le cathéter. Après l’avoir retiré, il posait une compresse tenue par du sparadrap. Il sortait après avoir rangé son meuble de travail. De mon coté j’enlevais la blouse et la charlotte que je posais sur le fauteuil. Je faisais tomber au sol le short quand la porte s’ouvrit et la doctoresse venait me demander d’attendre avant de partir. J’étais nu devant elle avec seulement la maudite cage qu’elle scrutait. Je restais quelles que secondes interdit. Mon cœur se remit à battre la déroute ! J’acquiesçais et elle refermait la porte. Le stagiaire avait dû lui parler de ma tenue, c’est pourquoi elle entrait sans prévenir. Je maudissais encore plus cet examen ! J’aurai aimé être une souris pour m’enfuir dans le premier interstice ! Je priais pour être 07 - Scanner - D - -.-enfin tranquille et surtout, ne plus être dérangé pour pouvoir réaliser le reportage photo sereinement. Je prenais les premiers clichés, nu avec seulement la cage. Je posais l’appareil un instant pour remettre le short pour compléter la chronique. La porte s’ouvrit une nouvelle fois ! Le technicien me rapportait mon dossier. Son regard alla directement sur la maudite prison qu’il avait, dans toute sa splendeur, devant lui. Il le posait sur la table et ressortit avec un grand sourire illuminant son visage. Ce locale devenait un vrai moulin ! On y entre et ressort 08 - Scanner - D - -.-comme dans un magasin. Je maudissais une nouvelle fois de devoir être ainsi exhibé ! L’histoire allait faire le tour du service au moins….

Je renfilais le short pour prendre les clichés. Je baissais une nouvelle fois ce, soit disant sous-vêtement. La porte s’ouvrit une nouvelle fois ! Le médecin, s’excusant de me déranger, me posait quelles que questions pour compléter le dossier d’examen. Je me trouvais une nouvelle fois, nu, face à elle. Un large sourire illuminait progressivement sa face. Je devenais la bête curieuse du service ! Ma mésaventure ferait, non seulement le tour du service mais certainement tout le bâtiment. Je me baissais pour remonter précipitamment le short tout en lui répondant. Ma plus grande crainte est que ça vienne aux oreilles de mon médecin ! Mon palpitant s’était emballé. Je devais être rouge de honte car je sentais la chaleur du sang affluer à mon visage. Je prenais mon pantalon que je me précipitais à porter. Elle me remerciait en me souhaitant une bonne journée et s’en alla. Jamais je n’avais été autant exhibé et surtout humilié et frustré ! Je maudissais d’avoir dû mettre le 09 - Scanner - D - -.-sous-vêtement seulement dans ce local. Ma grande crainte est que je devienne la risée de l’hôpital suite à cette extravagante démonstration d’exhibitionnisme. Jamais je n’avais été aussi humilié, frustré, déshonoré et avili ! Bien que cela me soit interdit, je maudissais les instructions que j’avais reçues pour cette journée.

        Je m’empressais à me rhabiller. J’avais été suffisamment exhibé et humilié pour un certain temps ! J’enfilais ma veste et je rangeais mes papiers. Je sortais de cet enfer honteux, frustré, déchu, mon palpitant toujours aussi paniqué et angoissé. Je me retrouvais dans la salle d’attente où deux autres personnes étaient assises. Après quelles que minutes, le technicien venait appeler le patient suivant avec un grand sourire en croisant mon regard. Après une dizaine de minutes, il revenait avec mon dossier. Il me le donnait en m’annonçant que les interprétations seraient envoyées directement au médecin prescripteur. Avec un petit sourire ironique et en coin, il me souhaitait une bonne fin de journée. Je lui rendais sa politesse et je m’enfuyais honteux de ce service, mon 10 - Scanner - D - -.-palpitant jouant toujours la chamade. Je me promettais de ne plus revivre un tel exhibitionnisme humiliant, frustrant, dégradant et déshonorant !

        J’utilisais les premières toilettes que je trouvais. Je refermais à clef la porte content que cette première étape humiliante soit terminée. Je sortais de la sacoche les attributs du slave. Sur le lave-mains, je posais le téléphone, le lubrifiant, le plug, le collier et sa clé. Le harnais, je l’installais sur le carrelage. Je me déshabillais une nouvelle fois et j’accrochais mes vêtements aux patères de la porte. Quand je retirais mes chaussures, en posant les pieds au sol, malgré les chaussettes, je sentais le froid glacial des carreaux monter dans mes jambes. Je me retrouvais avec seulement le short blanc. Je prenais le téléphone pour les premiers clichés. Je l’enlevais et le rangeais directement dans la 11 - Scanner - D - -.-sacoche. Je photographiais le sujet d’humiliation et de frustration de l’après-midi. Avec la perfusion, j’avais une envie pressente. À contre cœur, je relevais la lunette des toilettes et, comme une prostituée, je m’assaillais sur la faïence gelée qui glaçait mes pauvres petites fesses. Un frisson me 12 - Scanner - D - -.-parcouru tout le corps. Pour une fois, je pouvais pisser sans attributs. Je prenais le harnais que je mettais en place ainsi que le collier que je photographiais. Je lubrifiais le plug et je le présentais à mon petit cul. Au fur et à mesure qu’il pénétrait, mon trou l’accueillait. Il buttait contre le premier anneau du côlon. Une nouvelle 13 - Scanner - D - -.-poussée et il gobait la première boule. Ma petite fleur faisait de même avec le reste du nouvel invité. J’installais la ceinture de sécurité à ce nouveau convive. Je sentis le bout de ma queue se faire empaler par les pics de sa prison. Je me relevais et je terminais le reportage photo.

14 - Scanner - D - -.-        Quand toutes les caractéristiques du slave étaient en place, je me rhabillais une nouvelle fois. Je commençais par le pantalon. J’enfilais mes chaussures pour ne plus avoir les pieds frigorifiés. Je continuais avec le maillot, le pull, la sous-veste, la veste et 15 - Scanner - D - -.-le bonnet. Je rangeais dans la pochette le lubrifiant, la clef du collier et le short blanc. Je vérifiais que je n’oubliais rien. Après avoir tiré la chasse d’eau, je me lavais les mains et je me les séchais. J’ouvrais la porte et je m’enfuyais de ce 16 - Scanner - D - -.-lieu de tourments et dégradant la sacoche à l’épaule et le sac à la main. Mon cœur battait toujours la charge. J’étais venu à cet examen confiant suite au premier mais rien ne s’est déroulé de la même manière. Aujourd’hui, dès mon arrivé, ce ne fut qu’une succession d’humiliation, de frustration, dégradantes, déshonorantes et avilissantes. Je me promettais, un peu tard, que l’on ne m’y prendrait plus ! Du moins, je le souhaite et j’espère…. Je 17 - Scanner - D - -.-retrouvais mon véhicule et je m’enfuyais de lieu d’exhibition.


 

Je remercie, quand même, mes Masters pour cette nouvelle étape en suivant le mieux possible leurs désirs et leurs souhaits. Je les gratifie aussi pour leurs magnanimités, leurs altruismes et leurs dévouements. Je fais de même pour les visiteurs qui me font progresser grâce à leurs commentaires.

 

 

Commentaires :

 

  • Reçu le 02 mars :
Commentaire de Mr Alain44 :
  Bonjour Master ERIC  et Maître MICHAEL,
     Le délai de rédaction et de publication est cette fois justifié par la qualité de la rédaction , celle des photos, et la recherche des mots pour exprimer les ressentis de votre Larve . L' épreuve s' est révélée être  plus importante que initialement suggérée par moi car elle ne prévoyait que une nudité totale dans le box/sas dont les deux portes sont habituellement fermables à clef.  Que la Larve publie les commentaires des visiteurs et des MASTERS à la suite des compte rendu , si cela est techniquement possible .
 Si l' anneau métallique apporte confort et sécurité à la Larve un compte rendu détaillé devrait en être réalisé .
   Bon compte rendu détaillé, explicite pour les ressentis. Une grande étape de franchie grâce à ce technicien et cette médecin qui visiblement attendaient ce patient depuis le dernier passage de la Larve dans ce service. La soirée au sauna ne sera pas une nouveauté !  A noter : Les remerciements de la Larve envers ses MASTERS.
  Mr Alain44
 
Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Les sorties du Slave - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 1 mars 3 01 /03 /Mars 13:12

De Maître Éric (Toulouse)

 

  •   Objet : Retard 

Le mardi 7 février : 

Salut petit bâtard ,
 

Information pour tes maîtres.
 

 

Je trouve que tu mets beaucoup de temps pour mettre à jour ton blog.
Une incitation à le mettre à jour dans 48h par une photo à ajouter chaque jour de retard. Photo nu avec tes accessoires dans un lieu différent chaque jour.

 

Autre sujet.  Relis les consignes  que tu as publiées. Lors de ta dernière visite médicale. .. il est clairement écris que tu devais mettre le short dans le bureau du médecin. Pas avant.
Je laisse tes maîtres voir ce que tu mérites  pour avoir pris ce confort de te changer avant.

 

Maître Éric  (Toulouse)

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Commentaires - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 28 février 2 28 /02 /Fév 13:02

Le mercredi 22 février :06 - Plug N° 06 - Affiché - -

 

Notification :

        Suite à plusieurs commentaires postés sur le blog, les Masters ont décidé que certains vocabulaire seront proscrit pour le slave. Il ne pourra plus utiliser pénis, verge, testicules, anus… mais queue, nouilles, couilles, cul….

 

 

30 - Bureau - D - -.-        Pour plaire à mes Masters, je décidais de changer de plug pour la journée. La veille au soir ayant dû faire un lavement, j’avais mis pour la nuit le N°03. Je choisissais le N° 06 pour cette journée de corvée hebdomadaire bien qu’avec celui-ci, mon pauvre cul allait être explosé ! Après avoir pris ma douche et fait ma toilette je changeais d’invité. À mon grand désespoir, je prenais mon téléphone pour débuter le 31 - Bureau - D - -.-complément visuel du rapport. Je le posais sur le sol et je commençais à sortir le plug en place. Je sentais mon petit cul s’ouvrir au fur et à mesure que cet intrus était expulsé. Dès qu’il fut évacué et avant que ma petite fleur se referme, je la prenais en photo. Elle était ouverte dans toute sa splendeur avec son petit cœur humide….

        Je graissais le nouveau convive et je le présentais à mon trou. Au fur et à mesure que le cône pénétrait, mon cul s’ouvrait jusqu’au moment 32 - Bureau - D - -.-où il butait contre le premier anneau du côlon. Suite à une nouvelle poussée, celui-ci s’entrouvrait aussi et laissait pénétrer ce nouveau venu. Quant à mon cul, il accueillait la base du cône. Il se trouvait alors défoncé et toute la journée il aura la sensation d’être explosé et en feu ! Je lui installais sa ceinture de sécurité ainsi il ne pourrait plus bouger. Dès sa mise en place, l’anneau intérieur se mettait à faire du toboggan sur ce nouveau venu. La cage 33 - Bureau - D - -.-ne cessait pas de martyriser ma malheureuse queue. La journée allait être longue, très longue… ! Lorsque tout ce petit monde se calma un peu, j’en profitais pour m’habiller.

        Après avoir pris mon petit-déjeuné, j’enfilais ma veste et mon bonnet pour partir au travail. Tout le long du trajet, malgré le froid ambiant persistant, je sentais les pics empaler mon pauvre gland qui provoquait une érection contrariée par la cage. Mon pauvre trou était 34 - Bureau - D - -.-explosé ! J’avais le cul qui ne cessait de pousser ce qui stimulait l’anneau intérieur qui montait et descendait sur son nouveau jouet…. Chaque nouveau pas était un supplice qui me poussait à gémir. Je faisais mon possible pour les atténuer ou carrément les retenir. Je craignais que les personnes que je croisais ne s’aperçoivent de mon "mal être". J’essayais de rester le plus naturel possible. Je m’en voulais et je me maudissais d’avoir pris l’initiative de changer le plug. Je 35 - Bureau - D - -.-n’avais pas pensé au trajet à faire dans la rue….

        Après plus de dix minutes de torture intérieure, j’arrivais aux portes du bureau. Je saluais les collègues déjà présents en gagnant mon poste de travail. je posais ma veste et mon bonnet sur le dossier de mon fauteuil. Je cherchais dans mon dernier tiroir, sous mes dossiers, le marqueur pour la réalisation de la corvée hebdomadaire. Je le rangeais dans une des poches frontales de ma sous-veste et je 36 - Bureau - D - -.-vérifiais la présence du téléphone dans l’autre. Je me mettais au travail. Heureusement que j’étais assis car mon pauvre cul ne cessait de pousser à cause de son invité. Le premier anneau du côlon n’arrêtait pas de faire du toboggan sur ce nouveau jouet. Il s’amusait bien ! Il ne faisait que monter et redescendre de ce nouvel agrès. Mon malheureux gland continuait inlassablement 37 - Bureau - D - -.-à se faire empaler par les pics de sa geôle et ma pauvre queue était encastrée dans sa cage siliconée qui l’emprisonnait en lui empêchant toute érection. Je faisais mon possible pour retenir les gémissements que tout ce petit monde provoquait.

        Sur ces entre faits, mon voisin et collègue s’installa à son poste après m’avoir salué. Il se mettait, lui aussi au travail. Cette présence allait compliquer ma corvée hebdomadaire. Je devrais 38 - Bureau - D - -.-être le plus rapide possible afin qu’il ne se doute de rien. Un premier gémissement m’échappa et il s'alarma immédiatement. Je le rassurais en lui mentant et en lui avouant que j’avais des problèmes de digestions depuis la veille au soir. Il s’inquiétait alors sur mon état de santé. Pendant un cours instant nous échangions et j’essayais de le rassurer comme je pouvais. Malheureusement, je crains qu’il n’ait pas crû tout ce que je lui avais raconté. Je faisais mon possible pour me concentrer sur mon travail tout en retenant et en étouffant de nouveaux gémissements qui montaient du plus profond de mon être. J’avais hâte que ma vessie se remplisse pour être libérer de la prestation du jour tout en angoissant qu’un collaborateur ne s’aperçoive de la durée de mes séjours aux toilettes.

39 - Bureau - D - -.-        En milieu de matinée, une collègue était venue nous inviter à faire une pause cigarette. La plus part des présents acquiesçaient tout en la remerciant pour cette bonne idée. Nous laissions un instant notre travail en suspend le temps de se griller une tige. Au moment de descendre dans l’espace fumeur, je m’excusais et je m’éclipsais un instant 40 - Bureau - D - -.-en prétextant une urgence…. Discrètement je vérifiais avec la main, la présence du feutre et du portable dans les poches frontales. Je fermais la porte des toilettes à clef derrière moi.

        Je déposais sur le bord du lave-mains le téléphone et le marqueur. Je me déshabillais en déposant mes vêtements pliés à cheval sur le lavabo. Quand je retirais mes pieds des chaussures et que je les posais sur le carrelage glacé, le froid engourdissait mes pieds. Je terminais en ôtant mes chaussettes et la froidure glaciale amplifiée du sol remonta dans mes mollets. Une nouvelle fois, un frisson me secoua de la tête aux pieds. Je faisais attention de ne plus maudire qui que ce soit à part moi. J’accrochais une chaussette au harnais. Je prenais le marqueur et j’inscrivais, le moins gros possible, la date du jour sur ma cuisse gauche, soit "Le 22 . 2". Je 41 - Bureau - D - -.-relevais la lunette des toilettes. À mon grand désespoir, je prenais, d’une main, le téléphone.

        En m’assaillant, je sentis la froidure de la faïence me glacer les fesses. Un nouveau frisson parcouru tout mon corps nu. J’ouvrais les vannes et, avec soulagement, je vidais ma vessie. Pendant ce temps, j’en profitais pour continuer les clichés pour illustrer le rapport hebdomadaire suivant 42 - Bureau - D - -.-les directives. Bien que ce soit régulier, je n’arrive pas à m’habituer à être ainsi exhibé et humilié en publique. Après que la dernière goutte soit évacuée, je secouais légèrement la cage et je la séchais avec du papier toilette en espérant qu’il n’y aurait pas de fuite pour une fois. Je me relevais. Je prenais le plug et sa ceinture de sécurité en photo. Mon pauvre cul continuait, inlassablement, à être dilaté par la base de ce dernier. Je faisais de même avec la cage de chasteté qui emprisonne depuis plus de 7 mois ma malheureuse queue et que ses picots martyrisent mon pauvre gland en l’empalant et en l’excitant. Je roulais la seconde chaussette, que je portais depuis la veille au matin, sur elle-même et je la fourrai dans ma petite gueule de slave. Dès que je l’approchais pour la mettre en place, je sentais une légère odeur de pieds…. Je devais faire tous mes efforts afin de 43 - Bureau - D - -.-ne pas maudire une nouvelle fois qui que ce soit. Je prenais de nouveaux clichés avec cette dernière et le slave de pieds.

        Quand je pensais avoir tout en boite, je reposais rapidement le téléphone. Je commençais à me rhabiller en débutant par les chaussettes et le jeans afin de remettre, au plus vite, les 44 - Bureau - D - -.-chaussures aux pieds pour ne plus être glacé. Je continuais par le maillot, les pulls et la sous-veste où je rangeais, une nouvelle fois, dans les poches frontales, le téléphone et le marqueur. C’est à ce moment que j’entendis des pas dans le couloir. Je tirais rapidement la chasse d’eau et je remettais en place la lunette. Je terminais par baisser le couvercle, me laver les mains et je me les séchais. J’ouvrais la porte tout en vérifiant que je n’oubliais rien. Je me retrouvais nez à nez avec mon voisin et collègue qui s’inquiétait de ne pas me voir au coin fumeur.

        Je le rassurais et nous redescendions ensemble pour se fumer une tige de 7. Dans l’escalier, mes craintes se confirmèrent lorsque je sentis une nouvelle grosse goutte d’urine couler le long de la jambe. Une nouvelle fois, je haïssais ces maudites fuites intempestives. Discrètement, je frottais une jambe contre l’autre pour absorber cette 45 - Bureau - D - -.-détestable et ignominieuse perte. Je retrouvais la plus part de mes collègues avec une cigarette entre les doigts. En arrivant mon voisin fit un petit signe de la tête et tout le monde lui sourit. Je me sentais interdit, humilié et frustré car ils avaient dû faire des suppositions, des hypothèses pour concevoir des théories sur mes séjours prolongés aux toilettes. Pour étayer leurs présomptions, ils avaient certainement fait des paris sur chacun des pressentiments qu’ils avaient émis. Mon cœur se mit à battre de plus belle ! Le plug en profitait pour stimuler mon trou qui ne cessait de pousser. Les picots d’empaler mon malheureux gland qui stimulait ma pauvre queue qui tentait d’avoir une érection contrariée dans sa prison siliconée. Je faisais mon possible pour retenir mes gémissements devant tout ce monde. À force de bloquer ma respiration pour retenir mes plaintes, je devenais tout rouge ! Une collègue s’inquiéta de me 46 - Bureau - D - -.-voir ainsi en apnée et de la couleur d’une tomate bien mûre. Je la rassurais ainsi que ses voisins.

        J’abrégeais ma pause pour fuir ces curieux médisants et leurs commentaires tout aussi désobligeants. La remonté à mon poste fut une souffrance intérieure ! À chaque nouvelle marche que je gravissais, le convive dans mon côlon tentait de s’enfuir alors que sa ceinture de sécurité lui empêchait tout mouvement. J’avais le cul de plus en plus en feu. Les picots redoublaient, eux aussi, de vigueur ! Ils empalaient de plus en plus le bout de ma bite qui se trouvait stimulé et tentait une érection désespérée et contrariée par la maudite cage de chasteté ! J’arrivais enfin à destination !

        Je retrouvais mon poste comme je l’avais abandonné et je reprenais mon travail. De ma place, j’entendais des chuchotements de collègues. Je craignais qu’ils fassent de nouvelles prédications. Je rangeais le maudit marqueur dans son tiroir sous les dossiers et 47 - Bureau - D - -.-je me concentrais sur mon labeur pour ne plus entendre les chuchotements. La journée se déroulait ainsi avec des alternances de travail et des interludes de jeux humiliants, frustrants et dégradants avec le convive dans mon cul et ma malheureuse queue empalée  et emprisonnée dans sa prion siliconée ! Pour comble de toutes déchéances, je devais retenir tous gémissements intempestifs et fuir les médisants et avilissants commérages.


 

Je dois, avant tout, remercier mes Masters pour leur magnanimité et leur altruisme envers leur slave dévoué. Je gratifie aussi les visiteurs pour le suivi du bâtard que je suis et leurs commentaires qui me font progresser dans la soumission avec l’aval et sous le contrôle de mes Maîtres.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Labeurs Journaliers - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 27 février 1 27 /02 /Fév 08:01

De Master Phénix :

    Mois de Janvier :

  • Objet : Rapport hebdomadaire du mercredi 18 janvier. 

Le lundi 23 

  Bonjour Master ERIC et Maître MICHAEL,
     J’ai bien lu son dernier rapport et je constate, non seulement votre sous-merde reconnaît et revendique écrire le plus petit possible mais, en plus, il en est fier ! Cette attitude peut être associée à de la défiance, de la mutinerie, de la rébellion envers ses Maîtres !
     Je n’ai pas de commandement à vous faire mais, à mon avis, cette résistance devrait être sanctionnée. Dès ce mercredi, votre salope devrait utiliser toute sa cuisse pour écrire non seulement la date mais le jour et le mois en toute lettre soit : Mercredi 25 janvier. S’il n’a pas suffisamment de place, votre pute pourra utiliser ses deux cuisses ainsi…
   Master Phénix.


  • Objet : Rapport hebdomadaire du mercredi 18 janvier.

Le lundi 23

Bonjour Master ERIC et Maître MICHAEL,
     Suite de mes appréciations :
          Votre sous-merde prend à peine ses chaussettes dans sa gueule de bâtard ! C’est une insulte envers ses Maîtres ! Si elles sont trop grosses pour les prendre à pleine gueule, il pourrait, dans ce cas en rouler qu’une serré plante des pieds à l’extérieur pour bien la gober. La seconde la faire pendre à son collier ou tout autre endroit que vous estimerez utile. De plus, il faudrait interdire à votre pute de changer de chaussettes, au moins depuis le dimanche. Il faut que votre salope apprenne à apprécier son odeur.
   Master Phénix.

  • Objet : TR: Exercice hebdomadaire du mercredi 25 janvier.

Le dimanche 29

  Bonjour Master Éric et Maître Michael,
     Je viens de lire le dernier rapport hebdomadaire de votre sous-merde. Je me permets de vous alerter si vous ne l’avez pas encore lu !
De qui, votre salope, se moque-t-elle ?
     Je suppose que vous lui avez demandé d’écrire un peu plus gros sur sa cuisse. Votre pute vous a pris littéralement au mot car la différence de taille est vraiment minime, guère plus grosse que d’habitude. Il le reconnaît lui-même ! Je ne sais pas quelles directives vous lui aviez demandé…. Si votre bâtard vous a pris au pied de la lettre c’est le moment de lui imposer clairement une écriture qui utilise toute ses cuisses, de l’aine au genoux et dans toute sa largeur. Cela lui permettra d’écrire en toute lettre la prochaine date soit – Le Mercredi 1er Février 2017. –

  •  
    • -    Si votre esclave arrive à tout écrire sur une seule cuisse, il serait bon de lui trouver un autre slogan pour sa deuxième en attendant d’utiliser aussi son torse. 
    • -    Si vous estimez que votre slave a abusé de votre confiance en étant méprisable et odieux envers vous et les visiteurs, il serait bon de le corriger !

     Je ne sais pas si votre sous-merde vous transmet régulièrement et rapidement nos commentaires ou s’il fait de la résistance pour vous les faire suivre. Il serait bon que vous soyez plus vigilant et vérifiant régulièrement sa BAL comme vous devez certainement avoir le contrôle. Si ce n’est pas le cas, je vous laisse seuls juges Messieurs ses Maîtres.
   Master Phénix

  • Réponse des Masters :

Travail a faire pour toi sous-merde c'est compris ?



    Mois de Février :


  • Objet : TR: Corvée hebdomadaire du 18 – 01.

Le samedi 4

   Bonjour Master Éric et Maître Michael,
     Après relecture du rapport du 18 – 01, j’ai été stupéfié de constater, avec consternation et en toutes impunités, que votre sous-merde "maudissait" ma demande alors qu’il ne la respecte pas ! Est-ce avec votre aval ou de sa propre initiative que votre salope écrit sur sa cuisse "le moins gros possible", ses propres mots ?
     Je croyais que votre bâtard devait poster tous les commentaires qu’il recevait avec vos réponses. Je trouve qu’il traîne les pieds à le faire. Est-ce parce qu’il a du travail ou fait-il de la rétention des courriels qu’il reçoit ? Avez vous un accès et vérifiez-vous couramment sa boite aux lettres ?
   Master Phénix.

  • Réponses des Masters :

Master Phoenix a raison salope !
Tu traînes trop pour nous faire parvenir les mails salope !
Tu nous donnes les accès à ta boite mail maintenant salope !
Tu  publies  tous  les  commentaires  aussi  sur  le  blog  batard  comme  c'est  demandé  !

  • Objet : TR: Objet : A l’hôpital

Le mardi 21

   Bonjour Master Éric et Maître Michael,
     Je vous ai, plusieurs fois, fait par de mon étonnement sur votre sous-merde puisse se permettre de vous maudire ! Je constate, avec consternation et en toutes impunités, qu’il continue et en fait tout autant au sujet des commentaires que nous vous faisons. Il continue à ne pas respecter les observations alors qu’il les critique ! Je ne savais pas qu’un bâtard puisse se permettre de porter un jugement sur ses Masters ou sur les commentaires des visiteurs qui lui font l’honneur de suivre son blog que vous contrôler. Il n’en tient pas compte ! Est-ce avec votre autorisation ou de sa propre initiative ?
   Master Phénix.

  • Réponse des Masters :

Lis  bien  ce  que  dis  ce  Master  et  arrete  immediatement  de  maudire  compris  salope  !
Puisque tu le ne le fais pas tu devras à Master Phénix de te donner une punition !


  • Objet : TR: Objet : Récit du mercredi 8 février

Le jeudi 23

   Bonjour Master Éric et Maître Michael,
     Enfin votre sous-merde commence à écrire d’une grosseur satisfaisante. Ce serait bien que vous lui commandiez de continuer sur cette lancée. Votre salope pourrait rédiger la date en toute lettre maintenant.
Il me semble qu’il utilise des mots (pénis, phallus, verge, trou…) réservés aux Êtres Supérieurs : les Hommes, les Maîtres, les Masters…. Une pute comme lui n’en a pas ! Il a une queue, une nouille, des couilles, un cul…. Il serait temps qu’il utilise les termes dus à son rang !
   Master Phénix

  • Réponse des Masters :

Oui  salope,  tu  n'as  pas  de  queue,  gland,  pénis etc.  Tu  as  ce  que  dis  Master  Phœnix  !


  • Objet : Objet :.Corvée hebdomadaire du 08 février.

Le vendredi 24

Bonjour Master Éric et Maître Michael,
     Je constate que votre sous-merde, bien que ce soit accidentel, a écris d’une grosseur satisfaisante. Il serait bon à l’avenir qu’il prenne exemple sur la taille de la police de ce jour pour la reporter lors des prochains exercices. J’espère que votre salope gardera cette bonne habitude. Soit :

  1.  
    1. .    )    Il serait temps que votre pute écrive la date en toutes lettres (Le mercredi 8 février 2017)  et pas seulement le 08 2 ! Il pourra, si nécessaire, utiliser ses deux cuisses !
    2. .    )    Qu’il l’écrive le matin chez lui avant de partir avec une épreuve à publier dans le rapport.
    3. .    )    Pour ces chaussettes, votre sous-merde dois les garder depuis au moins le lundi. Lors de l’exercice du mercredi il en aura une dans sa gueule de pute et l’autre accroché plante des pieds contre lui et non pas comme il a fait ce jour.

     Cela permettra à votre bâtard d’affiner sa soumission maintenant qu’il a pris l’habitude à cet exercice.

   Master Phénix.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Commentaires - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 25 février 6 25 /02 /Fév 07:12

Le mercredi 15 février :

        Lorsque je rentrais à midi chez moi, je changeais de suite ma paire de chaussettes vues l’état du carrelage des toilettes publiques que j’avais du utiliser le matin après la visite médicale. Comme je dois mettre une chaussette dans ma bouche, je me voyais mal, devoir utiliser celles de la matinée. Je pourrai faire la corvée hebdomadaire cet après-midi ayant une paire propre. Après avoir déjeuné et écouté les informations à la télévision, je me préparais à retourner au bureau. Comme je devais faire quelles que courses après le bureau, je gardais le plug N°04 à deux boules que j’avais introduit dans mon petit trou après la visite médicale mensuelle. Malgré le froid glacial qui persistait, l’invité continuait à s’amuser avec ma petite fleur et le premier anneau du côlon faisait du toboggan entre les deux boules.

        En marchant sur le trottoir, je sentais une coulure s’accrocher à ma jambe. Je devais mouiller car mon malheureux gland était empalé et martyrisé par les pics de la cage ce qui le stimulait. Mon pauvre pénis essayait en vain de se gonfler pour une érection qui, à cause de celle-ci, les contrariait. À force d’avoir en permanence des excitations contrecarrées, je mouillais de désespoir. Cette situation était devenue encore plus frustrante, dégradante et humiliante. Psychologiquement parlant, cette abstinence forcée depuis plusieurs mois devenait de plus en plus difficile et avilissante. Non seulement je faisais des cauchemars la nuit mais ça devenait aussi une obsession la journée. J’avais de plus en plus de mal à me concentrer sur mon travail et mes dossiers. En temps normal, j’aurai maudit mes Masters et les commentaires des visiteurs mais j’avais eu suffisamment de remontrances et de punitions pour garder en moi mes états d’âme.

        J’arrivais au travail sur ces réflexions. À l’avenir je vais devoir faire plus attention sinon, je vais encore avoir des problèmes.

     {- D’autant plus que Maître Michael a pris le contrôle de ma boîte aux lettres hier, le 24 février, et suite à des commentaires que j’ai dû lui transmettre, je n’ai plus le droit à certains vocabulaires !!! Sur proposition de Mr Alain44 et Master Phénix, une partie du dictionnaire que j’utilisais à mon encontre, m’est dors et n’avant interdit !!! Ce qui va être d’autant plus frustrant et humiliant de devoir utiliser certains termes familiers, voir dégradants, me concernant, suite à cette prise de contrôle ! -}

     Je gagnais mon bureau à l’étage et je me mettais au travail après avoir posé sur le dossier du fauteuil, ma veste, mon bonnet et mon écharpe. Je vérifiais le téléphone dans une des poches frontales de ma sous-veste. Je cherchais le marqueur au fond de mon dernier tiroir sous mes dossiers que je rangeais dans la seconde poche frontale. Quand ma vessie serait pleine, je pourrais ainsi aller aux toilettes ayant le matériel nécessaire pour la corvée hebdomadaire. Je jetais de temps en temps un œil sur les allers et venus des collègues dans le couloir. En m’asseyant sur le siège, le plug avait redoublé de vigueur après s’être réchauffé. Je devais retenir des gémissements lorsque mon trou essayait en vain de trop pousser et que l’anneau du côlon faisait du gymkhana avec l’invité du jour. Mon pauvre gland n’était pas non plus à la fête et était martyrisé pas les pics de la maudite cage qui l’empalait. Mon malheureux sexe, ayant été stimulé, tentait en vain d’avoir une érection contrariée par la prison qui l’enchâssait. Un petit gémissement arrivait à m’échapper et je relevais la tête en vérifiant qu’aucune personne était dans les parages et ne m’avait entendu. Un de ces jours, un collègue va m’entendre et j’aurai alors des questions désobligeantes que je ne pourrai pas répondre.

        Je finalisais l’organisation des animations proposées pour les vacances scolaires qui débuteraient en fin de semaine. J’e faisais mon possible pour me concentrer sur mon ouvrage et ne pas tenir compte des perturbateurs qui me côtoyaient. Doucement mais sûrement je sentais ma vessie se remplir jusqu’au moment où je ne teindrai plus et qu’il faudra que je me rende aux toilettes. Le directeur passa me saluer avant de se rendre dans son bureau mitoyen. Je faisais mon possible pour ne pas trop penser aux convives qui faisaient la fêtes jusqu’au moment où ma vessie se retrouvait pleine. Je ne pouvais plus attendre. Je devais aller me soulager rapidement et réaliser la corvée du jour. (J’ai failli dire la maudite corvée !)

20 - Bureau - D - -.-        J’écoutais attentivement et n’entendant aucun bruit, je me décidais à me lever. Machinalement, avec la main, je vérifiais dans les poches frontales, les accessoires. Je regardais furtivement la porte du bureau du directeur car elle est en face du local où il y a les toilettes. Heureusement, sa porte était poussé. Il voulait certainement ne pas être dérangé. Cela m’arrangeait grandement, ainsi il ne pouvait pas voir le temps que je resterai aux toilettes. Je repoussais la porte du local et je rentrais dans les toilettes hommes. Je refermais la porte à clef. Je posais sur le rebord du lave-mains, le téléphone et (le mau…t) marqueur. Je commençais à me déshabiller et je déposais mes vêtements pliés sur le bord du lavabo. Quand j’ôtais mes chaussures je sentis le froid du carrelage 21 - Bureau - D - -.-sous la plante des pieds malgré les chaussettes ! Je terminais de me dévêtir. Je finissais par les socquettes. J’en déposais une en attente avec le reste des habits et la seconde, je l’accrochais au harnais.

22 - Bureau - D - -.-        Je prenais le feutre et j’inscrivais la date du jour soit "Le 15 - 02" en faisant attention d’inscrire le moins gros possible et le moins de mots inutiles. Je le reposais et je prenais le téléphone. Je photographiais cette maudite date que je devrai difficilement effacer. C’est pourquoi je me débrouillais pour qu’il y ait le moins de chiffres, le moins de lettres et le moins gros possible ! La semaine précédente, j’avais eu des difficultés à faire disparaître l’inscription du jour…. Je relevais le couvercle et la lunette des toilettes, à contre-cœur. Je m’assaillais sur la faïence glaciale qui refroidissait mes malheureuses fesses. Le plug se mit à pousser 23 - Bureau - D - -.-mais bloquer par le harnais et son complément anal. Je me soulageais et j’en profitais pour prendre les clichés suivants. Terminé, je secouais la cage et les dernières gouttes. Je séchais, avec du papier toilette, la prison et son intérieur le mieux possible.

24 - Bureau - D - -.-        Je me relevais et je prenais une photo du convive et de sa ceinture de sécurité. Je faisais de même de la geôle qui emprisonne ma malheureuse queue et des picots martyrisant mon pauvre gland. Je cadrais avec le nouveau cadenas et son numéro inchangé à mon grand désespoir. Je roulais la seconde chaussette que je fourrais dans ma gueule de soumis. Je photographiais cette nouvelle humiliation. Je prenais les derniers clichés de pieds et de la cage siliconée. J’entendais de plus en plus de bruit dans le couloir avec des voix d’enfants. Un groupe devait venir utiliser notre salle de réunion pour une animation à cause du froid et du mauvais temps extérieur. En début d’après-midi, il s’était mis à pleuvoir un petit crachat fin.

25 - Bureau - D - -.-        Quand je pensais que tout était dans la boîte, je me rhabillais le plus rapidement possible. Je débutais par les chaussettes pour me réchauffer le plus hâtivement. Je me précipitais sur mon pantalon et mon maillot de corps. Je continuais par les pulls. Je terminais en enfilant ma sous-veste où j26 - Bureau - D - -.-e rangeais dans les poches frontales, mon téléphone et le maudit marqueur. Je baissais la lunette des toilettes et le couvercle. Je tirais la chasse d’eau. Je me lavais les mains et je me les séchais. Je vérifiais autour de moi si je n’oubliais rien.

        J’ouvrais la porte et je  sursautais en me retrouvant devant un collègue qui arrivait pour se soulager. Je le laissais passer et prendre la place toute chaude. En me retrouvant ainsi nez à nez, mon cœur ne fit qu’un tour et il se mit à battre la chamade. Je sentais chaque pulsation dans tout mon corps jusque dans les 27 - Bureau - D - -.-oreilles. En retournant à mon poste je sentis une grosse goutte couler le long de la jambe. Je maudissais une nouvelle fois toutes ses fuites intempestives. À chaque passage aux toilettes, après quelles que minutes, il y a continuellement une perte ! Bien que je fasse mon possible pour bien vider la vessie et sécher au mieux la cage et mon malheureux gland il y a inlassablement une goutte en attente. N’ayant plus le droit d’utiliser de papier absorbant, ces écoulements perpétuels sont de plus en plus humiliants, dégradants et frustrants ! Je la sentais couler le long de la jambe. La fuite devait être plus grosse que d’habitude !

28 - Bureau - D - -.-        le plug avait repris de la vigueur et jouait avec mon trou tout en étant bloqué par le harnais. Mon pauvre sexe continuait à avoir des érections contrariées par la maudite cage et ses picots qui empalaient et excitaient mon malheureux gland. Enfin j’arrivais à destination et je m’assaillais à mon poste de travail. Discrètement je frottais une jambe contre l’autre pour éponger et sécher la coulure inopinée. Je rangeais le marqueur sous mes dossiers dans mon dernier tiroir. Une corvée de plus de réalisée !

 

        Merci à mes Masters pour cette nouvelle étape et l’évolution de votre slave dans la soumission et l’obéissance.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Labeurs Journaliers - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 24 février 5 24 /02 /Fév 12:56

De Mr Alain 44 :

 

  • Mois de janvier :
  • Objet : TR: Exercice hebdomadaire du mercredi 25/01/217

Le dimanche 29

  Bonjour Master ERIC et Maître MICHAEL,

Je suis content du comportement de votre larve qui a désormais bien accepté ce rite du Mercredi. Il serait préférable que la mise en page des textes et photos respectent la chronologie de l'exercice.
     Je rejoins un avis déjà émis par Master PHOENIX pour les socquettes qui devraient portées du Lundi matin au mercredi soir.
    Le marquage du jour pourrait être réalisé au domicile le matin ce qui serait une bonne préparation mentale à l'exercice.
Mr Alain44

  • Réponse des Masters :

excellente idée salope dans ce mail. Obéis et tu devras faire comme il demande salope !

  • Objet : Echographie du 23 Janvier 2017

Le lundi 30

Bonjour Master ERIC et Maître MICHAEL,
   Je suis content de la façon dont s’est déroulée cette visite médicale.
   Votre Larve a eu la chance de rencontrer à nouveau la dame déjà rencontrée en fin novembre.
   Elle a sans doute informé l'opérateur d'échographie de la potentielle particularité de ce patient. La légèreté du tissu du short n'a pu que apporter la confirmation de la présence de la cage.
   Je suppose donc que l'opérateur a pris ses dispositions pour avoir la confirmation de la cage et pour faire parler la Larve. Je suis persuadé que il y avait un pari en jeu, parmi les membres du personnel, et que l’opérateur a gagné son pari.
 Compte rendu complet, bien réfléchi mais dont la  mise en page nécessiterait un respect de la chronologie.
  Compte rendu de la visite à venir le 27/02/201 ( Scanner ) attendu avec espoir
Mr Alain44

  • Mois de Février :
  • Objet : TR: Exercice HEBDOMADAIRE du 18/01/2017

Mercredi 1er

Bonjour Master ERIC et Maître MICHAEL,
   Le retour à la réalité de l’exercice a été une bonne chose pour votre larve.
   Il est temps que les termes Pénis, Phallus soient bannis de son vocabulaire et remplacés par le terme Nouille.
   Elle parle de l’invité ( le plug sans doute ) qui joue avec avec "l’anneau et la petite fleur". Qu’est ce que la Larve désigne par l'anneau et la petite fleur ?
   Votre larve ose maudire Master PHOENIX ! Je suggère qu'une punition soir proposée par Master PHOENIX.
Mr Alain44

  • Réponse des Masters :

Oui sous-merde tu n'as plus le droit de parler de pénis, queue, phallus gland etc. le seul terme autorisé est nouille….
 Oui, maître alain44 a raison, master Phœnix doit choisir une punition à te faire faire  pour l'avoir maudit !
Et tu lui réponds aussi ce que tu désignes par l'anneau et la petite fleur salope !
Réponse du slave :
La petite fleur est mon anus et l’anneau est le premier dans le côlon.

  • Objet : Visite du 18 Janvier 2017 à la Doctoresse

Le mercredi 1er

Bonjour Master ERIC  et Maître MICHAEL,
   Le compte rendu aurait dû commencer par un grand remerciement aux MAITRES pour avoir autorisé le port du boxer dès le départ du domicile.
 Remerciement qui aurait pût par une photo de la Larve à 4 pattes, tête au sol.
   J' espère qu vous avez la possibilité de contrôler l' efficacité de l'épilation, même si elle n' est pas aussi efficace qu' une épilation chez l' esthéticienne.!
   Séance de rhabillement correct, bien décrite.
Mr Alain44

  • Objet : Changement de Cadenas

Le lundi 13

Bonjour Master ERIC et Maître MICHAEL,
   C'est avec soulagement que j'ai vu réapparaître votre larve aux yeux des " abonnés" au blog et aux yeux des visiteurs de passage. Très bon " reportage " écrit et photographique de cette opération.
   Votre larve va pouvoir subir ses examens médicaux sans gêne due à son équipement. Vous avez bien fait de lui imposer cette activation de la circulation sanguine de son appendice.
   Manque cependant une information au sujet de l'occupation de sa rosette  au quotidien ?
Mr Alain44

  • Objet : Exercice hebdomadaire du 1er Février 2017

Le lundi 13

Bonjour Master ERIC  et Maître MICHAEL,
  Excellent compte rendu où il manque cependant la description du plug porté du fait de l'absence de l'anneau métallique du harnais et l'" âge " des socquettes.
Mr Alain44

  • Objet : TR: Changement de Cadenas ( 2 )

Le lundi 13 février

Master ERIC et Maître MICHAEL,
   Dans son compte rendu relatif au changement de Cadenas, votre LARVE n' a pas indiqué les conséquences inhérentes à l' enlèvement de son anneau bas de son harnais et donc l' impossibilité de porter son block-plug .
  Je pense que votre larve ne peut rester sans avoir sa rosette " habitée " .
   Je vous suggère donc 3 solutions pour compenser ce manque :
  1- Solution rapide et gratuite : le port d'un de ses " jeux " de boules de Geisha
18 - Plug N° 15 - D -  2- Solution pratique sans risque de " perte " : Le port d'un plug écarteur tel que visible ci dessous
      - Colt Expander Plug Anal 9 x 10 cm - dildoshop
 
      - vous pouvez également le voir utilisé sur la vidéo du site www.masternantes.net
    3- Solution pratique utilisable en tous moments et en tous lieux :
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 Mr Alain44


  • Objet : TR: bastardakc 15 février 2017 Hôpital 1er scanner

Le vendredi 17

Bonjour Master  ERIC et Maître MICHAEL,
    Très bonne description du nettoyage de la cuisse, mais que votre Larve cesse de vous maudire !
Je constate que les pics de la cage provoquent une excitation, ce que la Larve devrait apprécier et elle devrait en remercier ses Maîtres !
 Maudit short, maudit vêtement : La Larve préférerait sans doute le jock-strap blanc ou le string noir modifié . Elle devrait donc plutôt remercier ses Maîtres qui ont opté pour ce short !
  Pour le scanner du 27/02 je préconise une séance de nudité totale dans le box vestiaire mise en place et enlèvement du short dans ce box.
Mr Alain44

  • Réponse des Masters :

Demande de maître Alain à faire salope !

  • Objet : TR: Exercice hebdomadaire du Mercredi 08 Février 2017

Le vendredi 17

Bonjour Master ERIC et Maître MICHAEL,
  Compte rendu globalement correct mais je note cependant :
  - La suppression de l'adresse mail de votre Larve sur le bandeau du blog ce qui empêche actuellement les visiteurs de faire des commentaires
   - Que cet exercice hebdomadaire ne doit pas être considéré comme une corvée, ni un labeur mais comme une possibilité offerte à la Larve de progresser dans son éducation.
  - Que les commentaires des visiteurs ne sont plus publiés sur le blog par la Larve.
Mr Alain44

  • Objet : TR: Bastardakc/Visite à l' hôpital

Le dimanche 19

Bonjour Master ERIC et Maître MICHAEL ,
 Compte-rendu correct, l'anxiété préalable à l'examen et durant son déroulement est bénéfique à l' éducation de la Larve qui doit se préparer mentalement à sa sortie au sauna.
  Je constate cependant que la Larve n' a pas daté cette visite !
 De plus : qu'en est-il de l'entraînement au Titan ?
                L'adresse mail de la Larve n'est plus  indiquée dans le bandeau du blog ( RAPPEL  )
                 Les commentaires des visiteurs  ne sont plus publiés par la Larve
Mr Alain44

  • Réponse des Masters :

Tu fais ce qui est demandé salope !

  • Objet : Visite mensuelle de Février 2017 à la Doctoresse

Le mercredi 22

Bonjour Master ERIC et Maître MICHAEL,
    Bravo à vous pour votre travail d' éducation de votre bastard. Une grande étape franchie avec le port du plug durant cette visite médicale. Si la Doctoresse a parlé du nouveau cadenas c'est parce qu’elle a tenu à vérifier si cette fois le bastard était toujours encagé !
    Le bastard a désormais l'expérience et le vécu nécessaire pour être plugué en permanence, vu la matière de ce plug N° 3 pour l'examen du 27/02, et pour la soirée au sauna.
   Je note que enfin votre bastard pense à remercier ses Masters.
Mr Alain44

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Commentaires - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 24 février 5 24 /02 /Fév 12:40

Boîte mail sous contrôle !

     Maître Michael a décidé de suivre les conseils des visiteurs en prenant le contrôle de la boîte mail du slave car il tardait à lui transmettre les commentaires. Désormais, il contrôle tous les comptes du slave.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Nouvelles Infos - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 22 février 3 22 /02 /Fév 13:18

Consultation de février.

        Je partais de chez moi de très bonne heure pour ma visite médicale mensuelle. Au préalable, j’avais mis le boxer et le plug N°03 qui tient seul. Dès que je sortais et malgré les froidures ambiantes, le plug jouait toujours avec mon petit trou et mon malheureux gland était empalé par les picots de la cage. Ces derniers arrivaient à l’exciter et provoquaient une érection continue et perturbée par cette maudite prison. Je démarrais la voiture en mettant le chauffage au maximum et le dégivrage du haillon arrière. Je prenais une raclette et je grattais le givre sur le pare-brise et les vitres des portières. En m’assaillant dans le véhicule, le plug redoubla de vigueur en jouant avec ma petite fleur et l’anneau intérieur. Les picots de la cage en faisaient tout autant avec mon malheureux gland et mon sexe avec cette érection continue et contrariée. Cette nouvelle visite allait être très humiliante !

01 - Médecin - D - -.-        J’arrivais rapidement à destination et je stationnais, un instant, dans un coin tranquille. J’ôtais les attributs du slave que je rangeais au fur et à mesure dans la sacoche, le harnais et le collier. Je me garais près de l’immeuble de ma destination finale. Je sonnais et j’entrais dans le cabinet médical. Comme d’habitude, le secrétaire était à sa place et nous nous serrions la main en se saluant. Le médecin me faisait entrer immédiatement étant son premier rendez-vous. Après les formalités de politesses, je lui donnais mes documents d’assuré et elle m’invitait à me mettre en sous-vêtement. Mon cœur se mit à battre de plus en plus vite et fort. Je sentais ses pulsations dans tout mon corps jusqu’à l’intérieur de mes oreilles. Au fur et à mesure que je me déshabillais et que je déposais mes vêtements pliés sur une chaise, une angoisse montait en moi. J’avais les mains qui tremblaient légèrement. Je me retrouvais avec seulement le boxer blanc sans doublure qui laissait apparaître le cadenas plastique 02 - Médecin - D - -.-avec son numéro et la cage de chasteté qu’il condamnait. Je me sentais de plus en plus mal à l’aise et je positionnais mes deux mains devant cette frustration pour dissimuler cette humiliation le temps que je pourrai. Je passais à la pesée et après les premières constatations, elle m’invitait à m’asseoir sur le bord de la table.

        Je m’exécutais lentement pour ne pas perturber l’invité qui s’était, un instant, calmé. Malheureusement, il se réveilla et se mit à jouer de plus belle. J’essayais de retenir mon souffle lorsque mon trou tentait en vain de pousser et l’anneau faire du toboggan avec le plug. Une nouvelle fois, je maudissais les instructions et l’humiliation de devoir porter un plug pour la consultation ! le médecin aperçut le cadenas et à mon grand désespoir, elle me demandait :

  • -    "Tu as une nouveauté avec ta boite ?
  • -    Effectivement, c’est une nouveauté, c’est un cadenas en plastique.
  • -    Il me semble qu’il y a une inscription ?

     Je me sentais de plus en plus mal à l’aise et mon palpitant s’affolait ! J’avais le souffle de plus en plus court et la voix tremblante.

  • -    Vous avez bien vu, il est numéroté !
  • -    Pourquoi l’a-tu changé ?
  • -    C’est à cause des examens à passer. Je ne pouvais pas avoir de métal sur moi alors Marina a apporté des cadenas plastiques numérotés.
  • 03 - Médecin - D - -.--    Tu peux donc le changer quand tu veux ?
  • -    Malheureusement non car ils ont tous un numéro différent et elle a noté celui-ci !
  • -    Tu ne peux donc pas te masturber quand tu le désire ?
  • -    Elle ne veut pas que je le fasse en semaine….

     Mon cœur battait à tout rompre et je sentais le sang affluer au visage. Je me sentais de plus en plus mal à l’aise, humilié et frustré ! J’avais envie de prendre mes jambes à mon coup et m’enfuir de ce cabinet !

  • -    Tu dois être heureux en fin de semaine quand elle arrive ?
  • -    Oh oui ! Encore plus quand elle enlève la cage !
  • -    Il faut que tu me la présente à tout prix ! Viens avec elle un samedi ou mieux, je vous invite, un dimanche, à déjeuner à la maison. Tu me diras quand elle sera libre et disposée à accepter mon invitation.
  • -    Je vous remercie, je transmettrais votre proposition…."

        Je n’en pouvais plus ! Je m’enfonçais de plus en plus dans le mensonge. Je n’avais aucune idée comment je pourrai m’en sortir. Je haïssais de plus en plus cette damnée cage ! Les humiliations et les avilissements devenaient intenables et difficilement gérables avec mes mystifications. Les frustrations n’étaient pas terminées ! Le médecin, tout en faisant son travail, poursuivit en me demandant toujours :

  • -    "Tu entretiens constamment ton rasage ? Tu fais encore du vélo ? Tu devrais en 04 - Médecin - D - -.-parler avec le secrétaire, il en fait aussi régulièrement. Généralement il est seul et apprécierait certainement de la compagnie.
  • -    Je vous remercie docteur, je vais y réfléchir et en parler à Marina.

     Un soupir m’échappa quand l’invité, à force de jouer et d’exciter mon petit trou et mon anneau intérieur, tentait de sortir de son logement. Une nouvelle fois, je le haïssais et je 05 - Médecin - D - -.-maudissais les différents plugs qui ne font que jouer, stimuler ma petite fleur et mon côlon. Les pics de la cage en faisaient tout autant avec mon pauvre gland….

  • -    Tu as un problème ? Ça ne va pas ?
  • -    Rien de grave docteur ! Seulement un petit problème de digestion, j’ai fait un trop gros petit-déjeuné ce matin et j’ai mangé trop rapidement, je pensais être en retard.
  • 06 - Médecin - D - -.--    Fais attention, ce n’est pas bon de déjeuner trop rapidement… !"

        Je n’avais qu’une envie, épiloguer ! J’avais de plus en plus de mal avec mes mystifications. Le médecin dû le comprendre car elle continua son auscultation sans mots dire. Je m’embourbais de plus en plus dans le mensonge et je ne voyais aucune solution pour en sortir ! Je maudissais cette cage, ce cadenas et les sous-vêtements transparents ou mini 07 - Médecin - D - -.-car ils sont tout autant dégradants et humiliants ! Enfin ! Elle me proposait de me lever et de m’habiller ! Sans demander mon reste, je m’exécutais voulant fuir ce cabinet médical. Je me rhabillais le temps qu’elle termine de remplir mon dossier et rédige le renouvellement de mon ordonnance que je rangeais dans une pochette. Je la saluais quand elle me raccompagna à la porte de son bureau. Par la seconde porte, elle appelait le patient suivant.

08 - Médecin - D - -.-        J’enregistrais mon prochain rendez-vous avec le secrétaire et nous nous souhaitions une bonne journée. Je regagnais ma voiture dans un froid encore glacial. En montant dans la voiture, je regardais la température extérieure au tableau de bord. Il faisait encore –4,5 °C. La sacoche avec les attributs du slave était à côté de moi sur le siège passager. je démarrais et je me rendais à la galerie marchande la plus proche. Je garais mon véhicule et je prenais sur l’épaule, ma sacoche. Je me rendais 09 - Médecin - D - -.-aux toilettes du centre commercial. La porte de secours avait été fermée peu de temps au paravent. Il faisait toujours aussi froid ! Le ménage venait d’être terminé car il y avait encore des carreaux humides. J’entrais dans les premières toilettes, la seule avec une cuvette. Je sortais les attributs du slave que je rangeais sur le sol et sur le distributeur de papier toilette. Je déposais aussi le téléphone portable sur ce dernier. Je me 10 - Médecin - D - -.-déshabillais et je déposais mes vêtements pliés sur la barre pour s’aider à se relever. Quand j’enlevais mes chaussures et que je posais les pieds au sol, malgré les chaussettes, je ressentais le froid glacial monter dans mes jambes et un frison me parcouru de la tête aux pieds. De plus, le carrelage était très humide voir, par endroits, mouillé. Je ne savais pas si c’était à cause du lavage ou pour toutes autres raisons….

11 - Médecin - D - -.-        Pour la corvée hebdomadaire, je devais, à tout prix, changer de chaussettes à midi. Je ne la réaliserai que dans l’après-midi, ne sachant pas la propreté de ce lieu. Dans cet état, je ne me voyais pas devoir fourrer une chaussette dans ma bouche. Quand il ne me restait plus que le boxer, je prenais les premiers clichés. Je le déposais pour le reste de la journée avec mes vêtements et je photographiais la cage avec son cadenas qui continuait à empaler 12 - Médecin - D - -.-mon pauvre gland. Cette torture l’excitait et provoquait une érection incontrôlée et avortée par cette maudite geôle ! je posais le portable au sol, accroupi, j’expulsais le plug en place tout en prenant des photos. J’immortalisais ma petite fleur et je lubrifiais le plug N° 04. Je le présentais à mon petit trou qui s’ouvrit au fur et à mesure que je l’introduisais. Il butta alors contre le premier anneau. Après une nouvelle pression celui-ci 13 - Médecin - D - -.-gobait la première boule et ma petite fleur en faisait autant avec ce nouveau convive. Je serrais les fesses un instant pour qu’il ne s’échappe pas et à la hâte, j’enfilais le harnais. Je l’immobilisais avec le bloc-plug et je fermais cet équipement avec l’anneau en caoutchouc. Je mettais en place le collier du slave et je prenais les derniers clichés avec toutes ses caractéristiques.

        Lorsque je pensais que tout était dans la boîte, je me rhabillais très rapidement car je grelottais de froid. Au fur et à mesure que j’enfilais mes vêtements, j’avais du mal à me réchauffer ! Il me faudrait plusieurs minutes pour retrouver ma température. Je sentais l’humidité de mes chaussettes dans mes chaussures. Soit, au mieux, la femme de ménage avait mal épongé le sol, soit, au pire, les précédents visiteurs n’avaient pas visé la cuvette ! Dans ce cas, je devais impérativement changer de chaussettes pour la corvée hebdomadaire ! Je rangeais dans la sacoche, le boxer, le lubrifiant et la clé du collier. Dans la poche frontale de ma sous-veste, je déposais le téléphone. Je tirais la chasse d’eau. Je me lavais les mains14 - Médecin - D - -.- et je me les séchais. Une dernière fois, je vérifiais les lieux pour ne rien oublier et je m’enfuyais de cet enfer glacial ! Je regagnais ma voiture. En me rendant au bureau, je déposais au passage, mon ordonnance à la pharmacie.

Une nouvelle consultation et de nouvelles humiliations, frustrations et dégradations subis ! J’essayais de ne pas trop maudire mes Masters et les visiteurs. Je fais mon possible pour les remercier pour avoir passé une nouvelle étape et un nouvel échelon dans la soumission malgré mes sentiments.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Chez le Médecin - Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires

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  • Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335
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