Dimanche 16 juillet
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19:28
Récupération du matos.
J’avais du descendre à la cave mes jouets comme j’avais
régulièrement la visite des autorités pour régler mon problème. Maître Michael donnait ses instructions et une nuit je me décidais à chercher ma mallette. Suivant ses commandements j’enfilais
seulement le short blanc. J’ouvrais la porte de l’appartement très discrètement et je regardais par le judas si personne n’était dans le couloir. Il était éteint. Je me décidais à sortir et mon
cœur se mit à battre de plus en plus fort. J’appelais l’ascenseur. Le temps qu’il monte, je sentais les pics de la cage maltraiter mon pauvre gland. Je devais essayer de bander mais celle-ci
contrariait mon érection et faisait pénétrer les picots plus profondément. Plus ils pénétraient et plus cela m’excitait et faisait gonfler ma queue. Les portes de l’ascenseur s’ouvrirent et je
montais. J’appuyais sur le –1 et il commença à descendre. Je prenais mon portable pour faire le premier cliché. J’enlevais mon short à contre-cœur et en espérant que personne ne se trouvait dans
les sous-sols. Je prenais un nouveau cliché.
Je sortais et déposais devant la porte le short. Je me rendais à
ma cave qui se trouve être une des plus éloignées. Mon cœur battait la chamade et ma pauvre queue continuait à être martyrisée. J’ouvrais la porte de ma cave et je cherchais un plug, du
lubrifiant et la ceinture. je relançais la minuterie et je m’installais dans le couloir devant la porte de ma cave. je commençais par installer la ceinture autour de la taille pour n’avoir plus
qu’à la faire tenir sur le cockring en caoutchouc. Je présentais le plug N°4. mon malheureux trou n’avait plus été travaillé depuis plus de trois mois et je dus forcer pour arriver à le mettre en
place. J’avais le cul explosé et mon trou se mit de suite à pousser. Je sentais le premier anneau tenter de monter en vain sur la première boule. Avec difficulté, je clipsais les bouts du
bloc-plug à l’anneau. Comme le diamètre est plus petit que celui en métal, je forçais pour arriver à fermer le bouton-clips. L’invité en place et bloqué torturait de plus en plus mon pauvre
cul.
La lumière s’éteignit et je
relançais la minuterie. Je prenais en photo les attributs du slave : la ceinture et son plug, la cage de chasteté et le collier que je retournais pour avoir les deux faces. Je m’empressais à
sortir la mallette et je refermais à
clef la porte de la cave. Je revenais à l’ascenseur et remettais le short qui
traînait par terre. La porte s’ouvrait et je me pressais de monter. J’appuyais sur mon étage. Quand il s’arrêtait, je sortais avec mon matériel et à la lueur de l’ascenseur je gagnais mon
logement ! J’ouvrais délicatement la porte et je me précipitais dedans. Je refermais la porte à clef en poussant un "Ouf" de soulagement. J’avais de plus en plus mal au cul et ma queue était
torturée par la cage. Mon palpitant n’avait pas cessé de battre la chamade.
Merci à mes Masters de continuer à parfaire mon éducation pour
leurs plaisirs.
Par Bâstard a KC slave n°411-103-335
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Publié dans : Les Consignes
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