Dimanche 21 octobre
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14:00
Corvée du vendredi 19 octobre 2018
:
Ayant eu une migraine la veille, je trouvais
difficilement le sommeil. Quand le mal de tête diminua dans la nuit, je pouvais enfin m'endormir. J'espérais passer une nuit correcte et sans encombre. Je me retrouvais nu sur une île
paradisiaque. Mes pieds foulaient du sable chaud et fin. Des vagues venaient mourir sur ce rivage. Une jungle épaisse se déployait à l’opposé. Je m'allongeais sur cette plage sous un soleil
radieux. Je ressentais la tiédeur des grains de sable sous mon corps. Je me sentais au paradis et je fermais les yeux pour profiter de cet instant de bonheur. Tout d'un coup, des mains
agrippaient mes pieds et mes poignets qui se retrouvaient aussitôt entravés sans que je puisse bouger. J'ouvrais les yeux et des indigènes me faisaient prisonnier. Ils parlaient un langage
inconnu. Deux colosses arrivaient avec une grande perche de bois. Ils la passèrent entre mes poignets et mes chevilles. Ils la
levèrent sans
difficulté et je me retrouvais suspendu à cette poutre la tête retombant en arrière comme une truie partant au sacrifice. Ils pénétraient dans cette forêt vierge. Les hautes herbes, de petits
arbustes et des branches
mortes tombées au sol lacéraient
mon dos. J'étais ballotté d'un côté et de l'autre. Une chaleur agréable
envahissait mon bas-ventre et je ressentais une érection venir. Je relevais difficilement la tête et j’apercevais ma nouille droite comme un I. Je ressentais une humiliation et une grande
frustration de bander dans cette situation dégradante. Mes kidnappeurs s'en aperçurent aussi. Je ne comprenais pas, mais je me doutais que les commentaires et les rires
devaient
être méprisants. Nous arrivions enfin à un village et les molosses me suspendaient par les pieds à un portique.
Les femmes et les enfants accouraient voir le butin des hommes. Les gamins avaient des boules de boue qu'ils me jetaient sur tout le corps. J'étais l’attraction du village et la risée
des Autochtones. À mon grand désespoir, je bandais comme un âne. Au bout d'un certain temps, les adultes
projetaient des aiguilles et des pointes fines. Le but était de les planter dans ma
nouille. J'avais de plus en
plus mal. Je voulais hurler, mais aucun son ne sortait de mon gosier. Mon malheureux gland devenait un hérisson hérissé d'aiguilles. La douleur devenait de plus en plus intense et
insupportable. Un hurlement s'échappait de ma gueule et je me retrouvais assis dans mon lit, haletant, mon palpitant battant la chamade et mon corps ruisselant de sueur. Je poussais un
"OUF !" de soulagement. Je me levais pour boire un verre d'eau et je me recouchais espérant ne plus faire de cauchemars. Le réveil sonna et, avec apaisement, je
me levais. Mon cœur battait encore très vite quand je me remémorais ma nuit douloureuse. Je buvais un bon expresso pour dissiper les brumes de mon cerveau. Je saluais mes Masters
et je passais à la salle de bain. En repensant à ma nuit et au mauvais rêve, je le mettais sur le compte de ma migraine de la veille. J'avais encore une légère douleur. Je
reprenais un cachet espérant que le mal n'aille pas plus loin. J'attrapais le marqueur vert, couleur du vendredi. Assis comme d'habitude sur le rebord de la baignoire je commençais la
séance d'écriture. Sur la cuisse
gauche, la date du jour, sur la
droite, le numéro d'enregistrement au registre des slaves, sur le torse, l'appartenance de la sous-merde et sur le bas-ventre, la date de mise sous cage de la nouille. Les
graffitis terminés, je prenais mon portable et j'enregistrais le premier cliché de pieds. Je m'habillais, et après avoir souhaité une bonne journée à mes Maîtres, je partais pour une matinée
de travail. À mon grand regret, les tortionnaires continuaient de tourmenter mon
pauvre gland à chaque nouveau pas.
Plus il était malmené et plus son excitation augmentait en produisant une érection avortée de la nouille. Je tentais de ne pas gémir dans la rue en croisant d'autres personnes. Je maudissais
cette ignoble cage avec ses pics toujours aussi actifs. Enfin, j'arrivais à destination. Après avoir salué les collègues et les parents présents, je regagnais mon bureau en tentant de contenir
mes gémissements. Après une bonne heure de travail,
la vessie de plus en plus pleine,
je me décidais à me rendre aux toilettes et à réaliser la corvée du jour. Je me déshabillais et je posais au sol mes vêtements. Pieds nus, je ressentais le froid du carrelage qui glaçait mes
chevilles. La dalle se refroidit chaque jour un peu plus. Je photographiais mes vêtements au sol et les chaussettes dans ma gueule. Je continuais par la date et le numéro d'enregistrement. Je
poursuivais par l'appartenance de la sous-merde et la date de mise sous cage de la nouille. Je terminais par une prise de vues de pieds avant de m’asseoir sur la faïence glacée du trône qui gelait mon petit cul. Je lâchais les vannes en espérant que ma nouille débande. Ma vessie vidée, je
secouais précautionneusement la cage espérant ne pas réveiller les matons. Cause perdue ! Ils redoublaient de vigueur en empalant de plus en plus le gland. Je faisais un cliché de ces
tortionnaires et de leur détenu qui, gonflé à bloc dans un carcan trop petit, sortait par le moindre orifice. Je me rhabillais espérant ne pas trop souffrir. Mon mal de tête
recommençant à faire des siennes, je
prenais un nouveau
comprimé. Je me rinçais les mains, je tirais la chasse d'eau et je jetais un dernier coup d’œil autour de moi avant de sortir. Je n'avais pas fait trois mètres dans le couloir quand je
sentis une coulée humide descendre sur ma cuisse. La nouille gonflée à bloc avait retenu un peu d'urine dans l'urètre, qui, en marchant, s'en était échappée. Je m'empressais de
m'asseoir dans mon fauteuil et
je séchais cette ignoble coulure
avec le jean que je portais.
Une nouvelle corvée de réaliser
dans des conditions dégradantes. Je dis Merci à mes Masters et aux lecteurs en leur souhaitant un excellent week-end.
Par Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335
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Publié dans : Labeurs Journaliers
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