Dimanche 7 octobre
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19:00
Corvée du vendredi 05 octobre
2018 :
Une nouvelle fois, la nuit était
mouvementée. Non pas par des cauchemars, mais par les geôliers qui, toute la nuit, s'étaient acharnés à brimer et malmener mon malheureux gland. Plus il était martyrisé et plus son excitation
augmentait et faisait gonfler mon pénis ! Je fus réveillé, des dizaines de fois, en sursaut ! De nouveau, une trique continue avait jalonné mon sommeil. D'habitude bienfaitrice, elle devenait un
enfer assorti de ses tortures. Une bonne masturbation ne pourrait qu’apaiser mon pénis en manque réel de tendresse, de douceur et d'affection. Malheureusement, mis en prison, mon pénis
était inaccessible et seuls ses matons profitaient de leur pouvoir pour opprimer le captif de ce cachot. Je maudissais, à de multiples reprises, cette prison de chasteté qui me privait
de tout plaisir charnel depuis plus d'un an ! Enfin, l'aube se faisait entrevoir et je me levais
encore plus fatigué que je ne m'étais
couché la veille. Je me faisais un double expresso pour tenter de dissiper les brumes de mon esprit. Entre-temps, j'avais lancé mon ordinateur pour pouvoir saluer mes Masters. Ils
m'informaient qu'ils avaient accepté une demande du Slave Zorba contrôlé par Monsieur Alain 44. Je devais répondre à toutes ses
demandes par
e-mail avec toutes les déférences lié à son rang supérieur au mien. Un mot avait d'ailleurs été publié sur le blog annonçant ces conditions. Ne pouvant réprimer ouvertement ces dernières
directives, je les acceptais avec angoisse et je refoulais avec colère la révolte qui montait en moi. Je passais à la salle de bain pour ma toilette matinale. Terminé, je prenais le
marqueur vert, couleur du vendredi, et
je commençais les graffitis du jour. Sur la cuisse gauche la date de ce vendredi, sur la droite, le numéro d'enregistrement du slave. Je continuais par le torse et l'appartenance de la
sous-merde pour terminer par le bas-ventre et le pubis avec la date de mise en cage de chasteté. Chaque jour,
cette inscription devenait de plus en
plus humiliante et dégradante au fur et mesure que les semaines et les mois s'écoulaient. Je prenais la paire de tennis que j'avais portée lundi toute la journée, car
mes Maîtres m'avaient ordonné de mettre la même paire de chaussettes le lundi et le vendredi et une seconde paire pour les autres jours de la semaine. Je m'habillais avec un pantalon,
un pull col roulé mi-saison, un gilet sans manches qui recevait le téléphone. Bien sûr, j'ai en permanence les attributs du slave que je suis soit la maudite cage de chasteté,
le collier et sa médaille. J'enfilais une veste et un bonnet, car la nuit avait été fraîche. Je pouvais me rendre à mon travail. Chaque nouveau pas que j'effectuais était un calvaire ! Quand ma
jambe gauche avançait, les pics de la cage pénétraient un peu plus dans
mon pauvre gland ! Cette excitation
faisait gonfler d'autant plus mon pénis à l'étroit dans sa prison. Arrivé sur place, je saluais la secrétaire qui avait déjà un parent. Je montais à l'étage pour rejoindre mon poste. Une marche
sur deux perpétuait le supplice. Je posais, enfin, ma veste et mon bonnet sur le dossier du fauteuil pendant que
mon ordinateur se mettait en marche.
Je prenais place sur mon siège et je me mettais à l'ouvrage. De temps en temps, je buvais une gorgée d'eau ayant en permanence, sur le coin du bureau, une bouteille. Je saluais les collègues au
fur et à mesure qu'ils passaient devant mon bureau. Ce vendredi je serai seul car ma collègue avait pris
sa journée. Ce serait un peu plus
facile pour la corvée journalière. Malheureusement, les tortionnaires continuaient leurs supplices. En milieu de matinée, à force de boire, ma vessie se remplissait inexorablement. N’entendant
aucun bruit venant du couloir, je me décidais à réaliser la corvée journalière. Je me levais en vérifiant que le téléphone était bien dans la poche frontale du gilet. Les persécuteurs de mon
malheureux gland redoublèrent de vigueur à chaque nouveau pas. Avec soulagement, je refermais la porte derrière moi. Je posais le téléphone sur le bord du lavabo et je me déshabillais. Je posais
mes vêtements sur mes chaussures pour qu'ils ne reposent pas sur le carrelage. Les chaussettes, je repliais le haut pour qu'elles ne cachent pas les ignobles graffitis. Je prenais les
différents clichés comme à l'habitude. Mon pauvre
gland ne cessait d'être martyrisé par
ses tortionnaires. Je maudissais cette ignoble cage, car, depuis que j'avais éjaculé inconsciemment, mon pénis me rappelait son abstinence forcée et ses manques de plaisirs. Pour terminer, je
m'assaillais sur le rebord de la faïence des toilettes et je vidais, avec soulagement, ma vessie. Tous les clichés dans la boîte, je me rhabillais et je me rinçais les mains. Je tirais la
chasse d'eau et je jetais un dernier coup d’œil avant de sortir et de regagner mon poste de travail.
Merci à mes Maîtres qui me
font progresser malgré les supplices des tortionnaires.
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