Vendredi 5 octobre
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07:00
Corvée du jeudi 04 octobre
2018 :
Avec des amis, vivants
ou ayant disparu, nous nous amusions sur une plage de sable. Une grande étendue d'eau calme s'étendait à nos pieds. À tour de rôle, nous étions dans l'eau rafraîchissante ou sur le
sable chauffé à blanc qui pourtant ne nous brûlait pas. En se retournant nous nous retrouvions dans un immense désert de sable où, aucune vie à perte de vue venait bousculer le calme de cette
vision. Ce silence assourdissant nous portait dans un brouillard cotonneux où les sensations voluptueuses, sensuelles et érotiques. Nous nous retrouvions dans une mer déchaînée où les vagues
venaient fracasser nos corps nus. Dans un demi-sommeil, je ressentais de l'humidité sur une cuisse. À moitié réveillé, je me
levais pour me rendre
aux toilettes pensant avoir une grosse envie d'uriner. À ma grande surprise, en me levant, je ne ressentais pas la goutte d'urine s'écouler normalement. Arrivé aux toilettes, j'allumais le
plafonnier et à mon grand désespoir, je me rendais compte que cette
auréole humide n'était que mon sperme !
Je venais de jouir et d'éjaculer dans mon sommeil sans avoir vraiment eu des sensations sensuelles et encore moins sexuelles. Je maudissais cette abstinence forcée qui, avec le temps,
deviens de plus en plus humiliante et dégradante. Se
décharger de son sperme de la sorte
sans avoir eu réellement de plaisir augmentait d'autant plus mes frustrations ! Tout en maudissant mes Masters qui ne faisaient pas une pause
bienfaitrice dans cette privation de
plaisir, je nettoyais ce petit monticule stagnant. Dépité et contrarié par cette mésaventure nocturne, je retournais me coucher dans la tenue du nouveau-né. Avec des pensées malveillantes et
haineuses, je retrouvais le sommeil progressivement honteux et frustré d'avoir joui et éjaculer sans vraiment de plaisir. Lorsque le réveil sonna, je me levais avec l’impression d'avoir vécu un
très mauvais cauchemar ! Malheureusement, je réalisais que mes souvenirs étaient réels. Je me faisais un café pour me donner du courage et je saluais mes Masters en omettant mes
déboires de la nuit trop honteux et frustré de la vidange spontanée et
involontaire. Étant dans la tenue la
plus minimaliste, la seule autorisée par mes Masters chez moi lorsque je suis seul, et la température en baisse, je devais allumer mon chauffage d’appoint pour avoir un peu de chaleur
ambiante pour ne pas avoir besoin d'enfiler un
vêtement interdit à domicile. Après
un certain temps d'échange, je reprenais un café et je passais à la salle de bain. Je faisais ma toilette puis je prenais le marqueur rouge, couleur du jeudi. Assis comme à l'habitude
sur le
rebord de ma baignoire, je notais la
date du jour sur la cuisse gauche et le numéro du slave sur la droite. J'inscrivais l'appartenance du bâtard sur le torse et, pour terminer, la date d'abstinence sur le bas-ventre et le
pubis. J'allais chercher mon portable et je prenais le premier cliché dans la salle de bain. Je prenais mes vêtements, que je porterai pour sortir, plié sur le lit et je les disposais
au sol dans le couloir devant les toilettes. Les chaussettes, je les enfournais dans ma petite bouche et je débutais la série de photographies journalières commandées par mes Maîtres. Pour
terminer, je me posais sur les toilettes, le couvercle et la lunette relevés. Mes petites fesses ressentaient la
froideur de la faïence. Je vidangeais
ma vessie. J’égouttais la cage de chasteté et je la séchais avec du papier toilette. Je tirais la chasse d'eau et je me rinçais les mains au lavabo. Je remettais mes vêtements sur le lit en
attendant de les enfiler pour sortir.
Je remercie mes Masters et je
leur souhaite une bonne journée.
Par Bâstard a KC slave n°411-103-335
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Publié dans : Labeurs Journaliers
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