Dimanche 14 octobre
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12:00
A/R à la cave.
Dans la semaine, la sous-merde avait été
inconvenante et irrespectueuse envers ses Masters. Maître Michael ordonna que la sous-merde descende à la cave avec seulement son short blanc et un t-shirt. Une nuit, je m'exécutais. Je me
levais en regardant au judas le couloir. Celui-ci était noir et pas une âme à l'horizon. J'enfilais le short demandé en le
tenant le plus bas possible pour dissimuler la maudite cage. Je
prenais un t-shirt assez grand pour compléter le camouflage de cette prison dégradante. Je prenais mon portable avec moi pour photographier la salope dans l'ascenseur.
J'ouvrais la porte
délicatement et la refermais encore plus doucement pour faire le moins de bruit possible. Mon cœur se mettait à battre la chamade et je ressentais les pics, empaler mon malheureux gland. Cette
torture provoquait une érection avortée de ma nouille. À tâtons, j'avançais en recherchant le bouton de l'ascenseur. Je l’entendis se mettre en marche et la cabine monter. Je vérifiais dans le
noir qu'aucune lumière n'apparaisse sous les seuils. Les portes de l'ascenseur s'ouvrir et je m'empressais de monter et de commander la descente. Je trouvais le temps interminable avant que les
portes
se referment et que l'appareil se mette en marche. Mon palpitant battait de
plus en plus vite et fort. Je m’imaginais que les voisins étaient derrière leurs portes et regardaient par leurs judas. J'avais de plus en plus peur et honte de me retrouver dans cette boîte.
Pieds nus, le plancher glacial me donna un frisson qui secouait tout mon corps. Dès qu'il se mit en marche, je m'empressais d'ôter mes deux vêtements et je prenais mon téléphone pour faire une
photo dans l'ascenseur. Arrivé au sous-sol, les portes s'ouvrirent. Mon palpitant accéléra ! Je m'imaginais être en face d'un voisin. Heureusement, à cette heure tardive de la nuit, personne
n'attendait cet élévateur. Je sortais mes habits que j'entreposais dans un coin
par terre. Je me rendais à ma cave, nu comme un ver, qui se trouve, tristement, une des plus éloignées. Le sol rugueux râpa la plante de mes pieds. Mon palpitant battait la chamade et les
geôliers continuaient à torturer mon gland, qui, tout émoustillé, perpétrait cette ignoble érection, en permanence avortée. J'arrivais enfin et je prenais un nouveau cliché. Je revenais sur mes
pas en priant ne croiser personne. Je revenais devant les portes et j'appuyais sur un bouton pour qu'elles s'ouvrent. Je prenais mes vêtements que je reposais au sol, les pieds glacés.
Je
remontais à mon étage, toujours à poil suivant les commandements. Au fur et à
mesure que les étages défilaient, mon cœur battait de plus en plus fort. Les tortionnaires en profitèrent aussi pour empaler un peu plus mon malheureux gland, qui excité, provoquait une érection
de nouveau avortée. Je me pressais de prendre un dernier cliché dans cette geôle. J'attrapais mes habits au moment où les portes de la cabine s'ouvraient à mon étage. La clarté de l'appareil
inonda de lumière le couloir. Sans demander mon reste, je m'empressais de regagner mon appartement. J'ouvrais rapidement la porte et la refermais sur moi, encore plus vite, contrairement au
départ.
La sous-merde prie ses Masters, Master
Éric et Maître Michael de bien vouloir le pardonner pour ses indélicatesses et d'accepter sa repentance.
Par Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335
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Publié dans : Punitions
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