Mercredi 10 octobre
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07:00
Corvée du lundi 08 octobre 2018 :
De nouveau, la nuit fut longue en torture. Les
pics n'avaient pas cessé de martyriser mon malheureux gland qui, excité, faisait gonfler mon pénis en érection permanente, avortée par la méprisable cage de chasteté. Ma nuit était
en pointillés. Je n'arrivais à dormir que 30 à 45
minutes d'affilée. Jour et nuit ces tortionnaires ne cessaient les
supplices et les tourments de ma pauvre queue. Ne plus pouvoir me toucher et me masturber est en soi déjà un calvaire, mais si les geôliers se déchaînent sur mon appendice cela devient une
misérable géhenne. Enfin l'aube se levait et le réveil annonçait la levée du slave. Je buvais un bon café pour me réveiller complètement et pour dissiper les brumes persistantes. Je saluais mes Maîtres. Après des échanges de politesse et des différentes occupations de fin de semaine,
Maître Michael renouvelait ses
recommandations pour l'accueil de mon aide ménagère. Je faisais ma toilette. Terminé, je prenais le marqueur noir et assis sur le coin de la baignoire, je débutais ma séance journalière de
graffitis. Sur la cuisse gauche, j'inscrivais la date du jour, sur la droite le numéro d'enregistrement du slave. Debout devant le miroir, je transcrivais l'appartenance de la sous-merde et sur mon pubis la maudite date de mise en chasteté de mon pénis affligé. Je me
préparais à m'habiller lorsque Maître Michael commandait de sortir le
harnais et de le porter toute la journée. Je lui faisais remarquer en vain, que j'avais grossi et que certaines sangles seraient trop petites. Sans surprise, il s'en moquait et ordonnait de trouver une solution. À mon grand regret, je sortais de son
rangement l'objet
de controverses. N'ayant pas mis auparavant l'anneau qui sert aussi
de cockring, j'ôtais les sangles de l'entre-jambe. Je passais à la salle
de bain de nouveau pour tenter d'enfiler le moins péniblement possible ce nouvel asservissement. Je devais prendre un bout de ficelle pour fermer la sangle abdominale. Je regrettais
que
les kilos en trop se fussent donné
rendez-vous exclusivement sur le ventre. Je sais, heureusement, que ce n'est que momentané et lorsque mon traitement sera terminé, je pourrai dégonfler. En attendant, j'avais encore cinq mois à
patienter la fin de cette thérapie pour amorcer le dégonflement. Je m'habillais et je
saluais mes Masters avant de partir. De nouveau, chaque pas était un calvaire perpétuel. Lorsque
j'avançais ma jambe gauche, le mouvement faisait pénétrer, un peu plus, les pics dans mon pauvre gland. Le cercle vicieux reprenait de plus belle. L'excitation du gland provoqué par
ses
tortionnaires, faisait gonfler un peu
plus mon pénis emprisonné. Cette stimulation perpétuait l'érection avortée par le pénitencier de ma queue. J'arrivais enfin à destination et je m'empressais de regagner mon poste de travail après
avoir salué rapidement les personnes présentes. J'avais le cœur qui battait la chamade et je devais retenir mon souffle pour ne pas gémir de souffrance. Pour dissimuler les sangles et surtout les
boucles du harnais, j'avais enfilé un gros pull, col roulé, en laine. Certains de mes collègues l'avaient remarqué et m'interrogeaient. Je prenais l'excuse des nuits et l'aube très fraîches de la
région. À regret, ils me faisaient remarquer que j'allais avoir très chaud en fin de matinée et cet après-midi. Honteux, je répondais que je préférais avoir trop chaud et que la transpiration me
ferait perdre quelques décigrammes d'eau, sur un ton ironique, pour
faire passer "la pilule". Je me mettais au travail. Dans la matinée, à
force de boire régulièrement, ma vessie
se remplissait inexorablement. Après avoir guetté l'absence de personne dans le couloir, je me levais et je me rendais aux toilettes pour la corvée journalière. La porte fermée, je posais le
téléphone sur le bord du lave-main. Je retirais mes chaussures et je posais mes vêtements pliés, dessus. Que je me retrouvais dans la tenue
d'un nouveau-né, j'enfournais dans ma
bouche, la plante des pieds de mes chaussettes. L'appareil photo en main, je prenais les premiers clichés de mes vêtements au sol. Je continuais par la cuisse gauche et la date du jour. Pour
suivre, je photographiais le numéro d'enregistrement. Je continuais par les tennis dans ma gueule. J'enregistrais l'appartenance du slave et sa mise sous cage. Pour
terminer, je prenais un cliché de pieds
avant de m’asseoir sur la faïence des toilettes. Auparavant, à regret,
j'avais relevé le couvercle et la lunette. Une dernière photographie de mon pénis encagé lâchant les vannes. Je secouais le mitard et son occupant pour évacuer les
dernières gouttes d'urine. Je le séchais avec du papier toilette et
je me rhabillais rapidement le cœur battant la chamade. Le faîte de pisser n'avait pas fait débander mon malheureux appendice. Les picots reprenaient, de plus belle, les supplices. Je me rinçais
les mains et je tirais la chasse d'eau après avoir rabattu la lunette et le couvercle. Je rangeais le téléphone dans la poche frontale du gilet. Après avoir jeté un dernier regard autour de moi,
j'ouvrais la porte et je regagnais mon poste de travail avec soulagement. Je n'avais croisé personne, ce qui me rassurait. Un gémissement involontaire sortit subitement de mes
poumons.
J'espionnais autour de moi afin de
vérifier qu'aucun collègue m'avait entendu. Intérieurement, je soufflais quand je sentis un résidu s'écouler le long de ma cuisse. De nouveau, les pertes inopinées reprenaient du servie. À
contre-cœur, je séchais les débordements avec le jean. Je me mettais à maudire de nouveau ces impondérables dégénérescences….
Mes remerciements à mes Masters et aux personnes qui suivent mes progrès.
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