Jeudi 4 octobre
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09:00
Corvée du mardi 2 octobre 2018 :
Je marchais sur les chemins de mon enfance et
retrouvais des personnes disparues. Cette randonnée devenait de plus en plus agréable avec les effluves qui me
revenaient en mémoire. Le tableau changea complètement et je me retrouvais attaché sur une croix de saint
André. Je ne voyais rien étant cagoulé, mais je ressentais une érection bienfaitrice. Par contre, des aiguilles pénétraient mon gland. Plus je bandais et plus il y avait de pointes malveillantes. Je faisais un bond dans mon lit,
le cœur battant à tout rompre. Je comprenais très vite que j'avais la trique du matin ! Ma main, instinctivement, allait masturber mon pénis quand les picots continuèrent à torturer mon gland. Plus je tentais une érection avortée par la cage et plus le gland subissait les assauts de ses tortionnaires. Mon rêve attrayant et séduisant s'était transformé en cauchemar délirant dès mon réveil. La journée
débutait mal, car plus je tentais de stopper la trique et plus le gland malmené, s'excitait sur ses geôliers ! Frustré de ne pouvoir me branler et plus, je me levais pour me faire un café pensant que cela calmerait mon
pénis. Malheureusement, à chaque pas, les pics continuaient leurs supplices sur le pauvre gland
qui, émoustillé, maintenait une érection torpillée. Je maudissais cette prison
m’empêchant de me masturber normalement et de jouir avec satisfaction.Après encore plusieurs minutes de souffrance, le gland se calmait et le sexe débandait
avec déception. Après avoir salué mes Masters, je passais à la salle de bain.
La toilette terminée, à regret, je prenais le marqueur du jour et je commençais les graffitis. Comme chaque jour, j'inscrivais sur la cuisse gauche la date et sur la
droite le numéro d'enregistrement du slave. Je continuais par le
torse et mon appartenance. Je terminais par la date de mise en cage avec nostalgie des jours heureux. Je prenais le premier cliché de pieds dans la salle de bain. Je
déposais au sol mes vêtements. Je prenais une paire de chaussettes propres comme mes Maîtres m'avaient autorisé précédemment. Je l'enfournais
dans ma petite gueule. Tout était en place pour démarrer le reportage photo. Malheureusement, pendant la préparation, les picots de la cage s'étaient remis à titiller mon gland. Une érection
avortée s'en suivi. Mais ce trio pervers ne cessait le martyre. Plus la queue était gonflée, plus le gland en faisait autant et plus les
picots rentraient et maltraitaient celui-ci, qui excité, commandait un gonflement prolongé ! Ce supplice était de plus en plus frustrant et dégradant d'autant que je ne
maîtrisais plus personne ! Je débutais le reportage avec un
cliché de la cuisse gauche et de la date du jour. Je continuais avec la droite et le numéro d'enregistrement du slave. Un cliché des chaussettes dans la gueule pour continuer avec l'appartenance sur le torse. Je
terminais cette série par la date de mise sous cage de mon malheureux sexe. Une nouvelle photo de pieds avec les chaussettes dans la bouche et je m'assaillais sur les
toilettes. Le couvercle et la lunette étaient restés levés. Je posais mes petites fesses sur la faïence et je lâchais les vannes. Lorsque la vessie fut vide, je séchais la cage
avec du papier toilette et je tirais la chasse d'eau. Je passais à la salle de bain, me laver les mains.
Bonne journée à mes Masters et aux
lecteurs.
Par Bâstard a KC slave n°411-103-335
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Publié dans : Labeurs Journaliers
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Mes respects à Master Eric et Maître Michael.
Bonjour,
J'aime bien le rêve qui tourne au cauchemer; et les clichés sont toujours de bonne qualité.
Mes respects aux Master et Maître de bastardàKC
Mes respects à mon Maître.
zorba
Bonjour Master ERIC et Maître MICKAEL ,
Bon compte rendu . La sous-merde a pu prendre son temps ce Mardi. Elle a tenu compte des remarques pour ses socquettes. Espérons que nous la verrons toute la semaine avec la même paire de scoquettes. Jusqu' à ce jour j' étais convaincu que la sous-merde était toujours nue chez elle et ce jour elle nous fait étalage de vêtements !
Mr Alain44