Samedi 13 octobre
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20:00
Corvée du vendredi 12 octobre 2018
:
Le maudit cachot et ses cerbères
avaient une nouvelle fois torturé et empalé le malheureux gland de la sous-merde. Toute la nuit, l'excitation de celui-ci provoquait des érections avortées par son exécrable cellule de détention.
Je dormais par intermittence, lorsque les gardiens voulaient bien se calmer
momentanément. L'aube arrivante, je me décidais à me lever ne pouvant dormir et me reposer normalement. Je mettais la machine à café en marche ainsi que
l'ordinateur. Je me faisais un expresso bien serré afin de dissiper l'épais brouillard qui mettait la confusion dans le cerveau de la salope. Je revenais saluer mes Masters qui
m'annonçaient, à mon grand désespoir, les modifications de vocabulaire lié à la rétrogradation du statut de slave en devenant, seulement, une sous-merde. Cette régression impliquait
explicitement de nouvelles consignes et règlements dégradants et humiliants. Tout en essayant de digérer ce nouveau protocole indigeste, je faisais des va-et-vient à la salle de bain pour ma
toilette. Mon palpitant s'était mis à battre la chamade en
contestation de ce nouvel asservissement. Les pics en profitaient aussi pour redoubler de vigueur en empalant le gland gonfler de la salope. De nouveau, plus ils
maltraitaient celui-ci et plus l'excitation augmentait. Cette dernière faisait gonfler la nouille enchâssée dans son carcan, avortant une
érection inexécutable. Une envie irrésistible de me toucher, de me masturber, et enfin, de jouir accaparait mon esprit et ses neurones. Au bout d'un effort surhumain, je
stabilisais ce soulèvement et j'arrivais à calmer tout ce petit monde. Je terminais ma toilette et je prenais une nouvelle fois le marqueur vert, couleur du vendredi. À contrecœur, la
sous-merde inscrivait sur la cuisse gauche la date du jour, sur la droite, le numéro d'enregistrement de la sous merde. Je continuais, debout devant mon miroir miroir, par mon appartenance à
Master Éric et Maître Michael. Pour terminer, la salope indiquait la date dégradante de mise en chasteté de sa nouille. Je prenais mon téléphone et photographiais le nouveau tapis
autorisé pour la salle de bain. Debout sur celui-ci, je faisais un cliché de pieds. Je m'habillais pour partir au travail. Entre-temps, je saluais mes masters qui partaient à leurs
occupations. De même, je prenais ma veste pour me rendre au
bureau. Je saluais les personnes présentes et je montais à mon bureau. Je déposais ma veste sur le dossier du fauteuil en démarrant mon ordinateur. Après une bonne heure
de travail, la secrétaire me prévenait de l'arrivée d'un rendez-vous. La personne étant en fauteuil roulant et notre ascenseur en panne suite à une effraction de nos locaux, je prenais le dossier
et je la retrouvais au rez-de-chaussée.
En redescendant, les geôliers qui s'étaient calmé un moment, trop court, se remettaient à l'ouvrage en empalant de nouveau mon malheureux gland. Excité, il faisait
gonfler ma nouille avec une érection avortée par un exécrable mitard. Mon palpitant prenait le rythme des tortionnaires et se mit à battre la chamade. Je devais retenir des gémissements
inopportuns. Dans une pièce libre, nous nous installions. Un certain temps s'écoulait
en travaillant pensant calmer ce petit monde révolté. Malheureusement, il n'en fut rien et plus je tentais de me concentrer sur le dossier et plus les
révolutionnaires se déchaînaient. Nous terminions avec une envie irrésistible d'uriner. Je saluais mon interlocuteur et je me rendais aux toilettes les plus proches. Je laissais les dossiers sur
une table. Je refermais la porte derrière moi et je posais le téléphone sur le rebord du lavabo. Je me déshabillais pour une nouvelle
séance dégradante. Au sol, je déposais mes vêtements et sur le bord du lave-main, le téléphone pour la nouvelle séance photo. Je prenais mes chaussettes, porté lundi,
mercredi et ce vendredi, et je les enfournais dans ma petite gueule. Je prenais l'appareil photographique pour un premier cliché des habits par terre. Je continuais par les chaussettes dans le
gosier, la
date sur la cuisse gauche et le numéro
d'enregistrement sur celle de droite. Je poursuivais avec l'appartenance de la sous-merde sur le torse et la date de mise en cage de la nouille de la salope. Je prenais une nouvelle photo de
pieds. Je posais mon cul sur la faïence glacée des toilettes. La froidure remontait dans tout mon arrière-train et refroidissait tout le corps de la sous-merde ce qui calma un temps les révoltés.
Ma vessie pleine, je lâchais les vannes et je prenais une dernière photo en train de pisser, assis sur le trône. Terminé, je secouais la cage pour expulser les gouttes d'urine et je la séchais
avec du papier toilette. Je me rinçais les mains et je me rhabillais. Je rangeais le téléphone dans la poche frontale du gilet sans manches. La chasse d'eau tirée, je regardais une dernière
fois autour de moi avant de sortir. Je prenais mes dossiers en attente
sur une table et je remontais à mon poste de travail. Les marches de l'escalier réveillèrent les assoupis et le calvaire redoublait de vigueur. Mon cœur se remit à battre
à tout rompre. Les pics de la cage empalaient une nouvelle fois mon pauvre gland, qui, excité, provoquait une érection avortée de ma nouille….
La sous-merde salue ses Masters,
les lecteurs du blog et leur souhaite un très bon week-end.
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