Jeudi 18 octobre
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07:00
Corvée du mardi 16 octobre
2018 :
Une nouvelle nuit de supplice qui
occasionnait un sommeil par intermittence. Plus le temps passe et plus cette prison et ses geôliers deviennent insupportables. Ils prennent un malin plaisir à perforer le malheureux gland pour
l'enflammer et le surexciter afin de faire perdurer l'érection permanente et destructrice d'une trique avortée de ma pauvre nouille. L'aube approchant, résigné, je me levais pour me faire un
café. Pendant que la machine se mette en marche, je lançais mon ordinateur. Je buvais un double expresso pour tenter de dissiper les brumes matinales de mon esprit. Chaque pas que j'effectuai,
faisait balancer la cage de chasteté et les picots intérieurs se mettaient aussi en mouvement et perforaient mon infortuné gland. Mon cœur prenait part aux festivités en se mettant à battre la
chamade. Je laissais échapper des gémissements de douleur et de souffrances en subissant cette funeste réjouissance. Je prenais place devant mon portable et je
saluais mes Masters. Maître
Michael, en premier, ordonnait de lire et de répondre aux derniers messages laissés sur le blog. Je lui proposais les réponses qu'il validait. Il ordonnait de recommencer la punition suite aux
commentaires avec de nouvelles instructions. Les photos seront prises à genoux les mains sur la tête avec la date sur le torse. J'essayais de garder mon calme, mais les geôliers continuaient sans
cesse leurs supplices ! Ils ne cessaient d'empaler mon pauvre gland quoique je sois assis. Cette géhenne attisait ses souffrances qui faisait gonfler la nouille de la sous-merde. Plus le gland
était maltraité et plus l’érection avortée de la nouille de la salope perdurait. Je poussais des gémissements de douleur et de plaisirs d'être ainsi torturé. J'avais beau tenter de calmer ma
nouille et plus elle se gonflait pour faire embrocher le gland. Je poussais de gros soupirs de douleurs, de délectations douloureuses. Plus j'avais honte de la situation et plus ma
nouille tentait des érections avortées. Les plus heureux dans l'affaire, c'étaient les tortionnaires qui pouvaient s'en donner à cœur-joie. Les
différentes recommandations terminées,
je passais à la salle de bain pour ma toilette. Après la douche, je prenais le marqueur bleu, couleur du mardi, pour réaliser les différents graffitis. Assis sur le bord de la baignoire,
j'inscrivais la date du jour sur la cuisse gauche, le numéro d'enregistrement au registre des slaves sur la droite, sur le torse l'appartenance de la sous-merde et, pour terminer, sur
le pubis le jour de mise en cage de la nouille de la sous-merde. Mon
gland était toujours aussi douloureux
de plaisirs d'être ainsi malmené. Le vermicelle de la salope tentait en vain une érection impossible. Mes frustrations de ne plus pouvoir me toucher et me masturber étaient à son
comble. De longs et forts gémissements sortaient s'échappaient de la pute. Je prenais mon téléphone, et pour changer, je photographiais ma nouille et mon gland avec leurs tortionnaires enchâssés
dans leur cachot. Par moments, des frissons ou des tremblements
de souffrances et de délectations
secouaient tout mon être. Je passais dans les toilettes en laissant la porte ouverte étant seul chez moi et je continuais les clichés. Je débutais par les chaussettes dans ma gueule. Je
continuais avec la date du jour sur la cuisse gauche, le numéro d'enregistrement, l'appartenance de la sous-merde pour terminer par la date de mise en chasteté de ma malheureuse nouille. Je
continuais par une photographie de pieds avant de m'asseoir
sur la faïence glacée des toilettes. Un
nouveau frisson parcourait tout mon corps. Malgré le carcan, je ne cessais d'avoir une gaule avortée. Par intermittence, je laissais échapper de longs soupirs. J'ouvrais les vannes et ma
vessie se vidait progressivement. Quand elle fut vidangée, je secouais le mitard pour évacuer les éventuels résidus d'urine. Je séchais ce pénitencier avec du papier toilette. Je tirais la chasse
d'eau et j'allais me rincer les mains. La
nouille gonflée dans son carcan
avait gardé, dans l'urètre, quelques gouttes de pisse qui s’échappaient progressivement. Heureusement, j'étais chez moi, mais cette infamie arrivait aussi au travail ! Je devais, alors,
les sécher discrètement avec le tissu du pantalon. De nouveau, ce désagrément régulier, intensifiait mon humiliation et mes frustrations.

La sous-merde souhaite une excellente
journée à ses Masters, Master Éric et Maître Michael ainsi qu'aux visiteurs qui liront ce rapport.
Par Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335
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Publié dans : Labeurs Journaliers
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