Vendredi 21 octobre
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Initiation hebdomadaire.
Depuis un commentaire fait au mois de juin je n’ai plus le droit
de m’asseoir sur la lunette des toilettes. Je dois le faire directement sur la faïence. Suite à différentes observations, je dois uriner les jambes écartées "comme une pute" ce qui augmente
l’humiliation et la frustration d’être sous cage depuis plus de trois mois ! Des visiteurs ayant fait aussi la remarque, je n’avais jamais publié de nouveaux articles sur les toilettes du bureau
depuis fin juin, mes Masters ont donc décrété, je devrais en faire un tous les mercredis jusqu’à nouvel ordre avec les photographies justificatives. Dans l’après-midi, un moment où j’étais seul,
je me décidais à faire les clichés. Je prenais mon portable discrètement et je me rendais aux toilettes. Je fermais bien la porte à clef derrière moi. Je n’avais pas envie d’avoir de mauvaises
surprises. Suivant les dernières remarques de mes Maîtres, je me déshabillais car, désormais, mes besoins, je dois les faire nu ce qui augmente la frustration, l’humiliation suivant le lieu. Il
n’y a que les attributs du slave que je ne peux pas poser. Je gardais donc le collier et sa médaille, la cage comme la clé est au congélateur, le plug et la ceinture qui le maintien. Comme le
carrelage était glacé, je gardais aussi les chaussettes. Je m’assaillais en écartant bien les cuisses conformément aux ordres et je
prenais les premiers clichés. J’avais
l’impression de pisser comme une salope. Lorsque j’avais terminé, j’essuyais les gouttes d’urine restées sur le bout de la cage. Une personne essaya alors d’ouvrir la porte. Mon cœur se mit à
battre de plus en plus vite. Même aux toilettes, je ne pouvais pas être tranquille. J’avais l’impression que des collègues se doutaient de quelque chose.
Je me levais et je prenais rapidement une
nouvelle photo de pieds. En hâte, je me rhabillais avec mon palpitant qui jouait toujours la chamade. Je tirais la chasse d’eau et j’abaissais la lunette et son couvercle pour que personne ne
puisse imaginer quoi que ce soit. Je me rinçais les mains et j’ouvrais la porte. Je m’attendais à voir quelqu’un qui attendrait mais personne ! Je regardais à droite et à gauche discrètement mais
rien ! Mon cœur battait toujours à tout rompre. Je me demandais et j’allais me poser la question, plusieurs fois dans l’après-midi, si un collègue avait remarqué tout le temps que j’aie passé aux
toilettes ! Ne sachant pas qui était venu et encore mois si la personne m’avait vu sortir, j’avais envie de maudire mes Masters, leurs directives et les
commentaires des visiteurs. Un sentiment
grandissant de frustration, d’humiliation et d’avilissement envahissaient tout mon être et n’alla qu’en s’amplifiant tout le restant de l’après-midi.
En dépit de mes sentiments de frustrations, d’humiliations et
d’avilissements et un peu à contre-cœur, je remercie mes Masters de ne pas avoir eu de réflexion mais en craignant que ce ne soit pas toujours le cas. Je devrais renouveler cette opération de
photo toutes les semaines et chaque fois que j’aurais envie d’uriner, je devrais me déshabiller complètement. Mes sentiments de frustrations, d’humiliations et d’avilissements ne peuvent qu’aller
en grandissant ! À force, quelqu’un remarquera mes longues absences aux toilettes et se posera des questions. Je serai alors en porte à faux ! Je dois dès maintenant réfléchir à une explication
plausible !
Par Bâstard a KC slave n°411-103-335
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Publié dans : Consignes des Maîtres
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