Le blog de Bâstard à KC Sous Merde n°411-103-335

  Bienvenue sur le blog de Bâtard a KC : Sous Merde N° 411-103-335, sous le contrôle de Master Éric et Maître Michael. Il doit faire ce qui lui est demandé sans rechigner. N’hésitez pas à laisser des commentaires sur les différents articles qu'il publie sous nos ordres.

  Il fait aussi ce que les visiteurs demandent. Ce n'est pas un mâle mais une sous-merde, et il doit être traité comme tel.

  Sous cage de chasteté, nous seuls, ses Maîtres, décidons de ses jouissances afin de le purger de son jus pourris qui ne sert à rien.

  N'hésitez pas à laisser des commentaires dans les différents articles publiés ici par notre sous merde ou nous même. Cela l'humiliera  d'autant  plus.  Son  adresse  est  dorénavant  la  suivante  :        slave.411103335@gmail.com

   Nous la contrôlons entièrement. Nous nous chargerons de vous répondre ou notre slave vous transmettra nos commentaires.

  Notre Sous-Merde est à dispos de tous mâles souhaitant l'utiliser en Cam ou en Réel avec prises de photos et rapports publiés ensuite sur le blog. Même les soumis peuvent l'utiliser car son statut est inférieur à eux et il leur doit respect, soumission et obéissance.

Jeudi 13 octobre 4 13 /10 /Oct 10:25

Aux visiteurs.

  • Suite aux différents commentaires laissés par les visiteurs du blog et de mes interprétations, parfois des critiques, mes Masters ont demandé que je rédige ce mot.
  • Je remercie donc les visiteurs de suivre régulièrement mon blog et de laisser des commentaires, des appréciations, des propositions…. Je ne suis qu’un être inférieur. En conséquence, les Maîtres, les Mâles, les Éducateurs, les Soumis, les Bâtards…, à qui je dois le respect, peuvent et doivent continuer à laisser tous les commentaires, les propositions, les impressions… qu’ils estiment nécessaires pour la suite de mon éducation et pour la parfaire.
  • Malheureusement, ayant parfois critiqué, interprété… certains commentaires laissés par les vénérables et honorables visiteurs, mes Masters vous laissent le choix de la punition que je dois avoir. Suite à ces propositions, ils vous feront connaître leur verdict après avoir validé le châtiment retenu. J’effectuerai la sanction que vous jugerez et déciderez. Ultérieurement, je devrais rédiger un rapport que vous pourrez lire ici.
  • Mes Masters vous remercient aussi pour votre participation active qui fait évoluer ce blog et parfaire mon éducation. Ils vous incitent à continuer en donnant toutes vos impressions et commentaires que vous jugerez nécessaire afin d’améliorer celui-ci et compléter ma formation.
Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Humiliations - Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Dimanche 9 octobre 7 09 /10 /Oct 08:02

Un aller-retour humiliant :

        À contre-cœur, je me préparais à descendre le carton de mes sous-vêtements non retenus à la cave. Je ne pourrai plus y avoir accès sauf autorisation spéciale de mes Maîtres. Les instructions que j’avais, avaient étés proposées par Mr Alain44, complétées par Master Phénix, validées et parachevées par mes Masters. Je devais éditer une affiche et la coller sur01 - Carton - D - -.- le carton avec comme slogans : "Sous-vêtements à ne pas ouvrir sans l’accord écrit de mes MASTERS", en plus du rédigé déjà sur celui-ci. Je devais descendre pieds nus, des pinces aux seins, le collier et sa médaille, un gros plug, sa ceinture, le short blanc et le polo jaune sans fermer les boutons. Je devais me déshabiller dans l’ascenseur pendant la descente. Aller et ranger le carton dans la cave, nu. Revenir et remonter chez moi dans la même tenue, directive de dernières minutes. Je devais prendre des clichés à toutes les étapes de ce "voyage". Je devais donc prévoir descendre dans la nuit pour ne pas croiser de voisins. J’essayais de me préparer psychologiquement et je repoussais donc constamment cette escapade nocturne dégradante. Le froid arrivant, je devais me décider à enfin prendre mon courage à deux mains malgré les directives humiliantes et avilissantes. J’éditais l’affiche que je scotchais sur le devant du carton. C’était la première étape, la plus facile bien qu’elle soit déshonorante.

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        Je surveillais plusieurs jours les allers-retour nocturnes des voisins qui sortaient leurs animaux dans la nuit. J’attendais le début du week-end. Je choisissais le vendredi dans la nuit. Je me décidais enfin à effectuer ce voyage. Je préparais dans un sac une lampe pour dans la cave, l’appareil photo et le portable pour réaliser les clichés nécessaires. J’installais le plug N° 10, le pot de graisse et les pinces à coté du carton, prêt à l’emploi. Je mettais le réveille à sonner à 02h00 du matin. Je me couchais avec angoisse à l’idée de réaliser cette sortie. Mon cœur battait déjà très fort. J’essayais de trouver le sommeil. Après plusieurs dizaines de minutes à compter les moutons, je m’endormais enfin. Dans les bras de Morphée, je commençais à rêver qui se transformait en cauchemar. J’étais dans la cave pour descendre le carton en tenue d’Adam avec seulement le collier et sa médaille, les pinces aux seins, la cage, un plug qui éclatait mon pauvre trou bloqué par la ceinture. Mon cœur battait à tout rompre. J’avançais et lorsque je passais devant une porte, elle s’ouvrait et un ou plusieurs voisins en sortaient. Lorsqu’ils me voyaient, ils riaient ou ils m’insultaient pour ma tenue. J’essayais de courir pour arriver dans la mienne mais le couloir s’allongeait de plus en plus avec autant de portes et encore plus de personnes qui en sortaient, se moquaient de moi et me raillaient. Je me réveillais en sur-saut et en nage. Mon palpitant battait tellement fort que je sentais la pression dans les oreilles. Je me sentais encore plus honteux et je m’imaginais le pire pour tout à l’heure. Je me levais boire un coup pour me calmer et je me recouchais. J’avais du mal à retrouver le sommeil. Lorsque le réveil sonna, je faisais un bond dans le lit car je faisais de nouveau un cauchemar. J’avais tellement transpiré que les draps étaient tout humides et mon cœur jouait encore la chamade. Je me levais et allais boire un grand verre d’eau pour essayer de me calmer un peu. Je commençais par changer de plug. Progressivement je sentais l’intrus sortir. Mon trou soulagé, se mit à pousser. Suivant les instructions humiliantes, dégradantes et à contre-cœur, je prenais les premiers clichés témoins de la sortie du plug N° 08 que j’avais pour dormir. J’en profitais pour aller aux toilettes car une envie d’uriner arrivait.

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        Comme mon petit trou ne cessait pas de pousser, je prenais un suppositoire. Je le plaçais dans mon pauvre trou et je poussais à la suite le plug N° 10 après l’avoir graissé. Je sentais ma petite fleur s’ouvrir, s’ouvrir…. Je poussais des deux mains pour arriver à le faire pénétrer. À chaque étape, je stoppais pour prendre un cliché. Je devais faire très attention car la dernière fois que je l’avais utilisé, j’avais éjaculé sans le vouloir. Ce fut très frustrant, humiliant et dégradant ! Enfin, mon hangar à b… gobait ce nouvel intrus. Mon pénis se gonflait de sang et je sentais les picots de la cage pénétrer dans mon malheureux gland et dans ma verge. Plus ils rentraient, plus ça m’excitait et plus j’essayais de bander. Malheureusement la cage l’en empêchait mais mon érection contrariée continuait. Je me sentais rabaissé, offensé et avili de ne pas pouvoir me masturber, jouir et de devoir tout illustrer avec des photographies. Je regrettais le choix du plug car ma pauvre rondelle était aussi dilatée avec ce colosse et il était bloqué par la ceinture. Mon malheureux cul était explosé !

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18 - Carton - D - -.-        Je posais les pinces à chaque mamelon lorsque mon orifice se calma un peu. Une douleur irradiait alors ma poitrine. J’enfilais ensuite le short blanc et le polo délicatement en faisant attention de ne pas trop toucher les pinces d’où un incendie se diffusait dans tout le torse mais qui était atténué par la douleur qui montait de mon cul ! Je prenais de nouvelles photos de ma tenue avant de me décider à partir enfin ! J’avais de plus en plus ma petite fleure éclatée comme la base est aussi grosse qu’un beau plug moyen, 6 cm de diamètre la base, 8 cm la boule du plug et plus de 10,5 cm de longueur insérée. C’est une vraie bombe pour ma rondelle. Je me déplaçais comme un canard boiteux. J’avais honte et me sentais vraiment diminué. Je craignais  de  croiser  quelqu’un  en  cheminant  de  la sorte !

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        J’éteignais les lumières de chez moi. Je regardais dans le Juda, vérifier que personne n’était dans le couloir. Je tournais doucement la clé dans la serrure. Je sortais le trousseau23 - Carton - D - -.- subtilement du barillet. Je prenais le carton et le sac. Discrètement j’ouvrais ma porte et la refermais aussi vite et délicatement possible sans la fermer à clef. À tâtons, j’accédais à l’ascenseur et je l’appelais. Dans le noir, j’entendais la machinerie se mettre en marche et l’appareil monter. Je tendais les oreilles pour vérifier que personne ne sortait de chez elle. Les portes s’ouvraient et je m’empressais à monter dedans. Je posais au sol mes affaires et j’appuyais sur le sous-sol. Je me  déshabillais en hâte, le temps que l’ascenseur descende pour prendre un cliché, toujours suivant les directives humiliantes de mes Masters. Étant pieds nus, je sentais le froid monter du sol. Je sentais à peine la douleur des pinces tellement mon malheureux trou souffrait. Bien que je me sois promis à ne pas le faire, je maudissais les commentaires des visiteurs qui étaient à l’origine de ces directives validées par mes Maîtres et les instructions ajoutées par ces derniers.

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       Les portes s’ouvrirent. Je lançais la minuterie du couloir et les lampes s’allumèrent. Je sortais le carton de sous-vêtements et le sac où j’avais posé le trousseau de clés. Je pliais rapidement le short et le polo que je posais contre le mur près de l’ascenseur comme mes Masters me l’avaient commandé. J’allais devoir continuer mon humiliation dans les caves comme un nouveau-né, nu avec seulement les attributs du slave. Mes plantes des pieds sentaient toutes les aspérités du sol. Comme je ne pouvais par prendre de cliché devant l’ascenseur, n’ayant pas assez de recul, je rentrais dans le premier sas où je déposais le carton et le sac. Je réglais mon appareil photo que je posais sur le premier. Je lançais le retardateur et je reculais jusqu’à la porte du couloir les mains sur la tête. Je faisais de même pour mon malheureux trou obstrué et bloqué par la ceinture. J’étais à l’affût du moindre bruit et surtout celui de la machinerie.

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        Je sentais le froid caresser tout mon corps. Mon cœur battait de plus en plus vite et fort. Je me sentais de plus en plus mal à l’aise. Je repensais à mon cauchemar et j’attendais à tout moment voir les portes des caves s’ouvrir. Je prenais le carton, le sac et je me rendais à ma cave qui est une des dernières. J’avais l’impression que le couloir devenait de plus en plus long. Enfin, j’arrivais devant ma porte. Je prenais le trousseau de clefs et j’ouvrais la mienne. Je posais le carton à l’intérieur et j’allumais la lampe à LED car il y avait eu des commentaires lors d’une précédente descente aux caves car les photos étaient mal exposées faute du manque d’éclairage. J’espérais qu’avec cette nouvelle lumière, ça irait mieux.

 

 


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        Je sortais dans le couloir pour prendre de nouveaux clichés. Mon cœur battait toujours la chamade. Le froid enveloppait de plus en plus mon corps comme un manteau de glace. Je commençais à avoir des frissons et la chair de poule. Plus le temps s’écoulait et plus je risquais de croiser une personne d'autant que j’avais laissé mes affaires devant l’ascenseur. Je m’imaginais un voisin descendre, les trouver et me les apporter. Il fallait que j’accélère le pas car les aiguilles de l’horloge tournaient. Plus je restais dans les sous-sols et plus je prenais le risque de croiser un individu. Je fermais ma cave à clef et je posais le trousseau dans le sac. J’en profitais pour photographier son contenu comme mes Masters avaient demandé une preuve de chaque détail.

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        J’avais presque terminé mais je n’étais pas au bout de mes inquiétudes et de mes humiliations. Je reprenais mon sac après avoir rallumé la minuterie. Mon palpitant battait toujours aussi vite. Je sentais le froid pénétrer dans tous mes pores. Je marchais de plus en plus mal, en canard, cambré tellement mon trou me faisait souffrir. Mes pieds traînaient au sol et ramassaient toutes les saletés. J’arrivais enfin au sas. Je m’apprêtais à appeler l’ascenseur lorsque j’entendis la machinerie se mettre en marche. Mon sang ne fit qu’un tour et j’attrapais mes affaires au sol que je fourrais rapidement dans mon sac. Je faisais demi-tour et j’allais me cacher dans le second sas qui desserre le local technique et la montée d’escalier. De là je pouvais me cacher si la personne venait dans sa cave. Mon cœur battait de plus en plus vite et j’avais de plus en plus peur. Je serrais les dents en essayant33 - Carton - D - -.- de me calmer. Des frissons couraient tout le long de mon corps. Je commençais à trembler de froid et de peur que l’on puisse me voir dans cette tenue. Je me sentais de plus en plus frustré, humilié, déshonoré et avili ! Je maudissais les commentaires de tous les visiteurs et mes Masters de les avoir validés. Je craignais de plus en plus que l’on puisse me voir ainsi. J’entendis alors la personne au-dessus de moi qui sortait dans le hall et parlait à son animal, certainement un chien. Je poussais un grand Ouf !!! de soulagement. Il ne fallait pas que je traîne trop encore ici. Je retournais à l’ascenseur. Après un instant pour m’assurer que personne d’autre n'appellerait cet appareil, j’appuyais sur le bouton. J’entendis la machinerie se mettre en route et l’ascenseur arriva. Les portes s’ouvrirent avec soulagement. Je montais rapidement dedans et j’attrapais mon portable pour faire un dernier cliché le temps que je remonte chez moi.

        Je le terminais lorsque les portent s’ouvrirent à nouveau. Sans allumer la lumière du couloir, juste avec la clarté de l’appareil, je me rendais à mon appartement. Ne l’ayant pas fermé à clé comme mes Maîtres avaient commandé que je remonte nu je rentrais discrètement chez moi. J’étais couvert de sueurs froides. Je grelottais et j’avais la chair de poule. Mon cœur jouait toujours la chamade. Un peu plus, je croisais un voisin nu dans l’ascenseur. J’ai eu vraiment très peur. Etant glacé, je me faisais un bon grog bien chaud et bien tassé pour me réchauffer de l’intérieur. J’essayais de me calmer mais mon trou n’en pouvais plus. J’enlevais ce mastodonte pour remettre en place le plug N° 08 pour le restant de la nuit car j’avais instruction de finir la nuit sur le sol de ma chambre à mon retour. J’enlevais le short, le polo, les pinces et je buvais mon grog. Je verrai le lendemain pour les clichés et la rédaction du rapport. Rarement je m’étais senti aussi mal à l’instar de ma dernière sortie au lac.

        À contre-cœur, je remercie mes Masters pour cette escapade nocturne dans les caves qui fut une étape de plus dans mon humiliation et mon avilissement.

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Jeudi 6 octobre 4 06 /10 /Oct 08:30

07 - Portrait - D - -.-Remerciements :

        Le slave que je suis, a été réprimandé par ses Masters car je maudis trop souvent leurs instructions ou les commentaires des visiteurs. Pour rectifier cette attitude irrespectueuse je viens demander de bien vouloir gratifier le bâtard que je suis, de ma repentance. C’est pourquoi :

  •     Je remercie mes Maîtres de m’avoir pris en main et de me faire évoluer en bon slave car je suis une sous-merde. Je suis tout en bas de l’échelle animal et je dois le respect à toutes les personnes et autres êtres vivants. Je dois aussi le respect à tous les bâtards car je suis en dessous d'eux…
  •    Je dois aussi remercier tous les visiteurs du blog. Leurs commentaires alertes mes Masters de mes dérives possibles ou de mes manquements. Ils permettent à mes Maîtres de faire évoluer mon éducation pour une meilleure prise en main.
  • 08 - Portrait - D - -.-   Je remercie aussi mes Masters de gérer le blog et la page face book du slave. Ils ont tout pouvoir et font ce qu'ils veulent avec car ils ont accès et gèrent tous mes comptes. Ils n’ont rien à me dire. Je n'ai pas le droit de me plaindre à aucun moment.

        C’est pourquoi je présente mes excuses à mes Masters et aux visiteurs. Je les prie de bien vouloir me pardonner pour mes dérives de langage ou d’attitude et de continuer d’interpeller mes Maîtres sur mes fautes ou mes insubordinations.

        En réponse aux commentaires laissés, mes Masters ont commandé que je poste une photo jambes écartées, mains sur la tête et à genoux dans la même position pour compléter ma demande de pardon auprès des personnes qui suivent ce blog et de tous les visiteurs.

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Samedi 1 octobre 6 01 /10 /Oct 13:32

Sortie au lac.

        J’informais mes Masters que j’avais déposé un congé pour ce jeudi car la météo annonçait les dernières grosses chaleurs. Mon directeur avait accepté à condition que j’assure la garde du soir à partir de 17h00. Mes Maîtres avaient décidé que j’irai au lac avec le short blanc, le polo jaune sans fermer les boutons, le plug qui tient seul et le reste des attributs. Je reviendrai dans cette tenue et je me changerai seulement en arrivant au bureau. Je ne devais pas repasser chez moi. Ils avaient ordonné que je fasse tous les clichés nécessaires à chaque étape. Je pourrai partir seulement après avoir publié le rapport de la visite médicale de mercredi.

        N’ayant pu démarrer le rapport la veille, je me levais de bonne heure pour le rédiger afin de partir pas trop tard. Quand tout fut en ligne, je me préparais en posant le plug en place et la ceinture et en introduisant le plug N° 03 dans mon malheureux trou.

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        N’étant pas en avance car le rapport m’avait pris plus de temps que prévu, je me dépêchais à m’habiller après avoir fait ma toilette. J’enfilais une paire de chaussettes, le short blanc, le polo jaune en laissant à contre cœur les boutons ouverts et mes baskets. Je m’apercevais, dès que je marchais, le short remontait légèrement et la cage apparaissait avec mes malheureux testicules. Je devrai le redescendre régulièrement ! Toujours suivant les instructions, je prenais les clichés comme preuve de ma tenue.

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        Je préparais mon sac avec une serviette, un livre, une bouteille d’eau et un jeans que je laisserai dans le coffre de la voiture. Quand tout était prêt, j’enfilais une petite veste sans manche et je prenais mon sac. Je fermais mon appartement et j’appelais l’ascenseur. En sortant de l’immeuble, je croisais la fille d’un voisin, une adolescente. Lorsqu’elle me vit, elle me salua et elle jetait un œil au short car je venais de tirer dessus pour cacher la cage. Alors, elle ne quitta plus le collier de vue avec la médaille. Je lui rendais son bonjour. J’avais oublié que les boutons étaient ouverts. Je maudissais les instructions des Masters d’avoir commandés de ne pas les fermer. Elle allait sûrement en toucher un mot à ses parents et lorsque je les croiserai, je serai très mal à l’aise car je ne savais pas ce qu’elle avait vu, étant de ma taille. Je haïssais une nouvelles fois les directives humiliantes. Je m’empressais à poser le sac dans le coffre de la voiture et je montais dans le véhicule. En démarrant, je m’apercevais que la cage sortait du short. Je partais de chez moi à 11h15. il me faut 45 mn pour me rendre à la plage naturiste. J’avais pris du retard avec le rapport du matin comme j’avais ordre de le publier avant de partir. Étant fin septembre et en semaine, j’espérais qu’il y aurait peu de monde au lac. En cours de route je me garais pour prendre un cliché de la cage car mes Masters l’avaient commandé.

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        J’arrivais en même temps qu’une personne en scooter. Je déchargeais le transat et le sac en sortant le jeans et en le laissant dans le coffre. Je méprisais de nouveau les commandements dégradants de mes Maîtres. Je garais la voiture après avoir pris le pantalon en photo. Avant de me charger, je prenais de nouveaux clichés de ma tenue déshonorante. Mes craintes se confirmaient. Plusieurs véhicules étaient déjà garés. Je ne pensais pas qu’il y aurait autant de monde ce jour.

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        Je prenais mon barda en espérant qu’il y aurait mon petit coin discret de libre. En longeant la voie ferrée, je voyais que plusieurs couples ou des personnes seules étaient déjà allongés. Je craignais que mon coin soit pris. Un peu avant, sur le dernier bout de plage, je déposais mes affaires comme il n’y avait personne. Discrètement j’allais voir mon petit endroit mais j’aperçus qu’un homme était déjà en place. Discrètement, je rebroussais chemin et je m’installais sur la plage où j’étais la dernière fois. J’allais pour prendre en photo la cage qui sortait du short lorsqu’un homme approcha en longeant le chemin de fer. Il était 12h20. Je prenais alors des vues panoramiques du lac.

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        Un couple était sur le bout de plage à coté de moi. J’évitais de les photographier. Lorsque le visiteur fut enfin parti, je prenais la cage et je me déshabillais. À cause des commentaires laissés sur les articles, mes Maîtres avaient demandé des photos du slave nu. Je maudissais tous les visiteurs et surtout les commentaires humiliant et désobligeant qu’ils avaient laissés et mes Masters de les suivre !

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        Je m’allongeais sur le transat et j’allais prendre de nouveaux clichés lorsque j’entendis des pas vers moi. C’était le voisin qui venait me rendre visite. Un très bel homme de plus 1m80, tout bronzé, des tablettes de chocolat, des cheveux blond assez long et un pénis…, s’approchait. Mon cœur se mit à battre de plus en plus fort. Que me voulait-il ? Je craignais le pire. Il entama la conversation :

  • -    Bonjour Monsieur.
  • -    Bonjour.
  • -    Je vous ai vu prendre des photos. En avez-vous prises de mon épouse et de moi ?

  Fébrilement, le cœur jouant la chamade, je répondais en lui tendant mon portable :

  • -    Non, j’ai fait attention de ne pas vous prendre si vous désirez vérifier ?
  • -    Je vous fais confiance Monsieur. Bonne journée.
  • -    Bonne journée à vous aussi.

26 - Au Lac - D - -.-  J’étais vraiment très mal à l’aise et content qu’il n’avait pas pris mon appareil. Il ne se serait pas vu mais moi dans des positions humiliantes et avilissantes. Je m’empressais  de me photographier allongé ainsi que l’intrus dans mon trou lorsque j’entendis de nouveaux pas dans l’eau.

        Un homme plus âgé, nu, s’approchait. Avec précipitation, j’enfilais mes lunettes de soleil et une casquette sur la tête. Je descendais la visière au maximum sur les yeux. Je m’allongeais sur le dos en espérant que le plug se voit le moins possible. Je faisais semblant de m’assoupir. Il s’arrêta devant moi. Je regardais furtivement. Il ne voulait pas bouger ! Mon palpitant battait de plus en plus fort. Il scrutait tous les attributs. Je voulais me lever et m’enfuir ! Ne pouvait-il pas continuer son chemin ? J’étais certain qu’il voyait, non seulement la cage et le collier mais aussi le plug !  Il  ne  bougeait  toujours  pas,  mo27---Au-Lac---D----.-.jpgi  non plus ! Enfin après m’avoir ausculté de la tête aux pieds il continua son chemin en passant à coté de moi pour monter le talus. Il allait sûrement voir le voisin qui avait pris mon coin discret. Mes voisins jetaient régulièrement un œil de mon coté. La situation devenait de plus en plus frustrante, humiliante et dégradante. De nouveaux pas derrière moi se firent entendre. Une nouvelle personne arrivait le long de la voie. À ma hauteur, je l’entendis s’arrêter et d’autres pas s’approcher. J’en déduisais que ce devait être le premier visiteur qui rebroussait chemin. Je les entendis se saluer et discuter sans pouvoir entendre leur discussion. Je n’osais pas bouger tellement j’étais mal à l’aise. Il restèrent derrière moi une bonne dizaine de minutes qui me paraissaient des heures. Enfin ils se séparèrent et ils continuèrent leurs chemins. Je restais allongé sans oser bouger. Il fallait que je me calme. C’est à cet instant que j’entendais un couple s’approcher le long de la voie de chemin de fer qui discutait assez fort sans pouvoir comprendre ce qu’ils disaient. Les voix devenaient de plus en plus fort. Je comprenais qu’ils descendaient le talus. Ils passaient à coté de moi en m’inspectant et allaient voir mes voisins. Je tournais légèrement la tête pour espionner. Je constatais qu’ils se connaissaient. Après s’être salué, le nouveau couple se mit en tenue d’Adam et d’Eve. Ils s’installèrent près de leurs amis. Je m’aperçus que mon palpitant jouait de plus en plus la chamade. Je priais pour être enfin en paix. Malheureusement personne n’entendit mes prières. Un nouvel homme grisonnant s’approchait le long du lac avec un mini slip de bain. Une crampe me pris dans la jambe droite. N’en pouvant plus, je la bougeais et la repliais de peur de me lever. La douleur s’estompait lentement mais je craignais que le plug se voit plus. Effectivement, ce nouveau visiteur comme le premier s’arrêta à mes pieds. Je maudissais l’idée que j’avais eu de venir une nouvelle fois au lac. Jamais auparavant, je n’avais été scruté de la sorte. J’étais toujours allongé sur le dos. Je n’avais pas pu bouger ni prendre mon livre. Il resta devant moi scruter tout ce que je portais plusieurs minutes. Je l’entendis enfin partir mais il revint sur ses pas et resta encore un long moment. Je ne savais pas ce qui l’intéressait de la sorte et je ne voulais pas le savoir. Il se décida enfin à partir mais n’alla pas loin car, du coin de l’œil, je le vis s’asseoir sur un rocher non loin de moi. Jamais au paravent je ne m’étais senti autant frustré, humilié et déshonoré. Je maudissais tous les visiteurs du blog et mes Masters de me faire venir sur la plage avec tous ces attributs. J’entendis de nouveaux pas. Un homme s’approchait encore le long de la plage. Il s’arrêta un instant devant moi pour scruter tout mon corps et alla s’asseoir près du précédent voyeur. Ils discutaient à voix basse. Je ne pouvais pas entendre ce qui augmenta ma frustration, mon humiliation. Quand de nouveaux pas se firent entendre le long du chemin de fer, mes visiteurs se levèrent et montèrent le talus pour rejoindre ce nouveau visiteur. Je ne pouvais plus les voir mais des brides de conversation me parvenait. J’entendais, humilié, superbe cage…, belles couilles…, étonnant petit cul…, collier…, vrai pute…, une bonne salope…. Je me sentais de plus en plus mal et déshonoré. Je voulais me lever et m’enfuir de cette plage. Jamais auparavant je ne m’étais senti autant rabaissé et frustré d’être là ! Je me maudissais d’avoir eu l’idée de revenir sur cette plage. Jamais je n’avais pensé qu’il y aurait autant de monde à cette période. Après une éternité, ils se décidèrent enfin à s’éloigner. Mon cœur battait à tout rompre et s’il avait pu, se serait enfuit à pas de course. Encore deux autres personnes vinrent me "rendre visite" et me scrutèrent de la tête aux pieds. Enfin j’étais seul. J’allais prendre mon livre quand j’eus l’idée de regarder l’heure. Il était déjà 15h58. Trop content, je me levais et je m’habillais rapidement. Je rangeais mes affaires dans le sac en tirant régulièrement sur le short qui remontait et découvrait la cage. J’abominais cet achat ! Cette visite au lac était la plus humiliante, frustrante et dégradante que je n’avais jamais vécu. Je prenais mon barda et montais le talus pour longer la voie ferrée. Je devais en permanence tirer sur mon short car je croisais encore quatre hommes en maillots de bain. J’en déduisais qu’ils s’étaient tous donnés le mot et que j’étais devenu l’attraction de la plage. Je chargeai ma voiture et je démarrais à 16h10. tout le long de la route je repassais en mémoire tous mes visiteurs. Plus je repensais à eux et plus je maudissais mes Masters, les visiteurs du blog et leurs commentaires et plus je me sentais frustré, humilié et avili. J’arrivais à destination quand je repensais qu’il fallait que je me change. J’allais me garer au parking derrière le bâtiment. Le plus loin possible. Malheureusement une rue à grande circulation le surplombe et un immeuble de 18 étages. Je me garais donc à reculons et j’ouvrais le coffre. Je m’assaillais sur le bord pour être à l’abris des regards indiscrets des locataires. Je vérifiais que personne ne marchait sur le trottoir au-dessus de moi. Seul des personnes attendaient le bus dans un abri un peu plus loin à droite. Je m’empressais à ôter le short et à enfiler le jeans. Je remettais mes baskets. Je fermais le véhicule et je gagnais mon travail. Je repensais une dernière fois à cette journée humiliante, frustrante et dégradante que je venais de passer et qu’il faudrait publier.

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Vendredi 30 septembre 5 30 /09 /Sep 18:14

Les saunas :

        Mes Masters m’ont commandé de donner ici à Mr Alain44, Master Phénix et aux autres visiteurs toutes les coordonnées (liens, jours, horaires…) des saunas que je devrai bientôt fréquenter.

  • Annecy :

   L’Octopus :
   15 rue de Narvik
   Lien : octopus-sauna.com
   Jours et horaires d’ouverture pour le public gay :
   Mercredi :     de 13h00 à 00h00
   Vendredi :      de 13h00 à 01h00
   Samedi :        de 14h00 à 01h00
   Dimanche :     de 14h00 à 23h00
   Les autres jours ouverture pour tout publics

  • Grenoble :

   L’Oxygène :
   24, rue Mallifaud
   Lien : www.oxygenesauna.com
   Jours et horaires d’ouverture pour le public gay :
   Lundi :          de 13h30 à 20h30
   Mardi :         de 13h30 à 20h30
   Mercredi :    de 13h30 à 00h00
   Jeudi :          de 13h30 à 20h30
   Les autres jours ouverture pour tout publics


        C’est de plus en plus frustrant, humiliant et dégradant de devoir tout publier. Je n’ai plus le droit à un minimum de vie privé. Mes Masters demandent de plus en plus de tout poster avec des photos. C’est encore plus humiliant et avilissant avec ces dernières.

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Vendredi 30 septembre 5 30 /09 /Sep 09:23

Un nouveau plug

        À la demande de Maître Dédé et après validation de mes Masters, je commandais un nouveau monstrueux plug. Sur le commandement de ces derniers je devais publier des photos de ce nouveau "jouet" avec ces dimensions. Ma malheureuse petite fleur va souffrir pendant un long moment avec le plug N° 14.

Numéro

de l'étage

Hauteur

de l'étage

Largeur

de l'étage

1er 6 cm 6 cm
2ème 6 cm 8 cm
3ème 6 cm 10 cm
Base 2 cm 13,5 cm
Total 20 cm 6 à 10 cm

 03---Plug-N--14---D----.jpg 02---Plug-N--14---D----.jpg 04---Plug-N--14---D----.jpg

        Le poids total de ce titan fait 1,200 Kg (Exactement 1 199 g).
        Lorsque je l’ai reçu, mes Masters ont voulu que je l’essaye. Je L’ai donc posé sur une chaise et j’ai essayé de m’asseoir dessus après l’avoir graissé. Mon pauvre trou a commencé à s’ouvrir en gobant le premier étage. Puis avec difficulté, il est arrivé à prendre le deuxième étage. Je suis resté ainsi plusieurs dizaines de secondes empalé dessus. Mon trou s’est mis à tellement pousser que j’ai du me relever. Il n’a pas fini de souffris avec cette abominable hydre.

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Jeudi 29 septembre 4 29 /09 /Sep 10:22

Une consultation très humiliante !

        Toutes les quatre semaines je rends visite à mon médecin pour un suivi médical et le renouvellement de mon traitement. Suite aux commentaires désobligeants et infâmes, mes Masters décidèrent, malheureusement, de suivre les propositions des visiteurs. Ils commandèrent au slave que je suis, de mettre le string dans la voiture et d’enlever le plug et le collier. Je devais donc partir un peu plus tôt ayant rendez-vous à 08h00 du matin.

        Lorsque je me couchais mardi soir, je repensais aux instructions et surtout au sous-vêtement que je devrai porter le lendemain. J’avais du mal à trouver le sommeil. Quand je m’endormais enfin, je me mettais à faire des cauchemars et je me réveillais en sursaut avec le cœur qui jouait la chamade. Avec difficulté, je retrouvais le sommeil. Je passais une nuit d’insomnie et, malheureusement, je m’endormais sur le matin. Quand le réveil sonna, j’eus du mal à l’entendre. Il me semblait que c’était dans mon cauchemar qu’une sonnerie sonnait. C’est seulement lorsqu’il cessa de carillonner que je réalisais ce que c’était et je m’éveillais en faisant un bond dans le lit. J’avais très mal dormi ! Je maudissais les instructions de mes Masters et les commentaires déplaisants des visiteurs du blog. Je réalisais que je n’étais pas en avance. Je me levais d’un saut et je me faisais un bon café pour me réveiller. Étant resté endormi un moment, j’avais pris du retard. Je passais rapidement à la salle de bain faire ma toilette et prendre une bonne douche. Je préparais dans une sacoche mes papiers, du lubrifiant, des feuilles de sopalin, le string et une clé pour ouvrir le collier. Je changeais de plug. Je déposais la ceinture et je mettais en place celui qui tient seul. Je terminais de m’habiller et j’enfilais une veste où je rangeais le portable. Je montais dans ma voiture glaciale. Il faisait seulement 12,5°C. Je me garais à l’écart des voitures déjà présente. Malheureusement le véhicule n’avait pas eu le temps de se réchauffer comme le cabinet est à un peu plus de 5 minutes en voiture. J’enlevais mes baskets pour enlever le jeans. Dans une glacière, je prenais rapidement un premier cliché de la cage. J’enfilais à contre cœur le string choisi et je prenais une nouvelle photo.

 01---La-Cage---D----.-.jpg  02---Le-String---D----.-.jpg

        Je jetais régulièrement un coup d’œil à l’extérieur pour vérifier que personne n’approchait. Le froid de la voiture avait fait dégorger mon malheureux pénis dans sa cage. Je roulais le plug dans le sopalin et j’ôtais le collier que je rangeais dans la sacoche. Mon cœur battait de plus en plus fort. Je me rhabillais rapidement et je bougeais de place ma voiture pour me rapprocher de l’immeuble. J’arrivais en même temps que mon médecin. Je rentrais avec elle et je saluais le secrétaire le temps qu’elle se prépare. Elle me fit entrer dans son cabinet. Je lui donnais mes papiers et sur son invitation je me déshabillais à contrecœur. Mon pauvre palpitant jouait la chamade et je me sentais de plus en plus mal à l’aise au fur et à mesure que j’ôtais mes vêtements. La consultation la plus humiliante et dégradante de ma vie allait débuter. Lorsqu’elle me vit de face et avant d’aller à la pesée, elle me dit avec ironie :

  • -    De mieux en mieux ! Tu ne pouvais pas trouver plus transparent ?

  Honteux, ne sachant quoi répondre je lui répondais : 

  • -    Je fais ce que je peux….

  Ne pouvant pas lui révéler la vérité. Sur son invitation, je montais sur la balance. C’est à ce moment là qu’elle réalisait quel sous-vêtement je portais.

  • -    Un string en plus ! Ça met tes petites fesses en valeurs ! Tu cherche quoi ?

  Humilié, avilis, le cœur battant de plus en plus vite, ne pouvant pas dire la vérité, ne sachant quoi lui répliquer, je répondais :

  • -    Ce n’est qu’un pari stupide avec mon ami(e) 
  • -    Et la cage aussi ?
  • -    Idem, elle ne veut pas que je me masturbe en son absence.
  • -    Comment s’appelle-t-elle ? Depuis combien de temps êtes-vous ensemble ?
  • -    C’est toujours Marina et ça fait quelques mois, depuis le début d’année que nous sommes remis ensemble.

  Je me sentais de plus en plus mal à lui mentir et m’enfoncer dans ce mensonge. J’avais trouvé ce prénom car une fois, un collègue avait vu le "M" du collier lorsque mon Maître de l’époque me l’avait offert. Je lui avais dit qu’elle était italienne et que l’on se voyait que les week-ends et les vacances. À l’époque, je me rendais régulièrement à Turin et à Milan.

  • -    Tu t’es remis avec ta petite italienne ? Il faudrait que tu viennes un jour avec elle depuis le temps. Que tu me la présente !
  • -    Je ne sais pas car la semaine, elle n’est pas ici. On se voit que le week-end.
  • -    Je serai contente de faire enfin sa connaissance ! Comment se passe cette relation ? Je croyais que tu n’étais plus avec elle !
  • -    Elle est très gentille et compréhensive. C’est vrai qu’un temps nous nous sommes éloignés mais elle a repris contact avec moi….
  • -    J’espère que tu as toujours des relations sexuelles ! C’est essentiel dans une vie de couple. Je suppose que tu te protège ?
  • -    Oui bien sûr ! Je mets des capotes régulièrement, je ne voudrai pas qu’elle ait des problèmes.
  • -    Si elle a besoin de discuter ou a des questions, qu’elle n’hésite pas à venir me voir.
  • -    Je te remercie docteur. J’ai déjà répondu à beaucoup de ces questions depuis le temps. Elle sait aussi que je fais de la prévention.
  • -    Allonges toi sur la table que je t’ausculte. Elle doit être assez excentrique pour te faire porter ces sous-vêtements….

  Pendant qu’elle faisait son travail, je repensais à la discussion. Je ne pouvais pas lui dire la vérité. Je m’enfonçais dans le mensonge sans savoir si elle y croyait. Je me sentais suffisamment humilié, frustré et déshonoré. J’avais mon palpitant qui battait tellement fort que j’avais l’impression qu’il allait sortir de ma cage thoracique.
C’est à ce moment là qu’elle continua :

  • -    Tu es rasé complètement ! C’est Marina qui t’a demandé de le faire ? Pourquoi… ?
  • -    Elle fait beaucoup de vélo et j’essaye de la suivre. Elle m’a conseillé de le faire si un jour il m’arrivait un accident, ce que je n’espère pas….

  Je maudissais une nouvelle fois les commentaires et les instructions qui en ont découlés. Je continuais à m'enfouir de plus en plus dans le mensonge au fur et à mesure que je ne pouvais pas dire la vérité et je me sentais encore plus humilié et déshonoré. Après quelques nouveaux échanges humiliants et de nouveaux mensonges comme réponse, elle m’autorisa à m’habiller. Je m’empressais à le faire tellement j’étais mal. Mon pauvre cœur battait toujours aussi fort et rapidement. En hâte, je me rhabillais le temps qu’elle rédige l’ordonnance. C’est à ce moment là qu’elle leva la tête pour me dire ironiquement :

  • -    Tu diras à Marina de te demander de porter un sous-vêtement un peu moins excentrique pour ta prochaine visite !

  Je rangeais les papiers dans la pochette et je la saluais. Lorsqu’elle voulus me raccompagner à la porte, je lui03 - Toilettes - D - -.- demandais si je pouvais me rendre aux toilettes. Je faisais très attention de bien fermer la porte à clef et je me déshabillais une nouvelle fois. Je prenais un dernier cliché du string que j’avais du porter pour la visite. Je faisais de même avec la cage en place avant de remettre les attributs du slave.

 04---Toilettes---D----.-.jpg   05---Toilettes---D----.-.jpg

        Je prenais dans la sacoche que j’avais apportée avec moi, le plug. Je le sortais de son papier absorbant. Je le lavais au lavabo et, après l’avoir séché, je le lubrifiais. Je positionnais le portable par terre et je m’accroupissais pour le mettre en place. Je sentais mon trou s’ouvrir au contact de celui-ci. Je poussais pour que mon anus s’ouvre tout en le repoussant un peu plus. Je sentais ma petite fleur s’ouvrir au fur et à mesure que le plug rentrait. Je prenais des clichés à chaque étape à la demande de mes Maîtres et des visiteurs. Je trouvais la situation de plus en plus humiliante et dégradante et je maudissais tous ces commentaires désobligeants. Quand il fut à fond, que ma petite fleur ait bien gobé cet intrus, je le tenais encore un instant le temps que mon trou cesse de pousser, l’accepte et se calme.

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          Je me relevais et je prenais le collier. Je l’ouvrais et le positionnais. Quand il était en place je le fermais définitivement et je prenais les derniers clichés avant de me rhabiller une dernière fois !

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        Je rangeais le string dans la sacoche et je me rhabillais. Quand je fus prêt je sortais des toilettes et j’allais saluer le secrétaire ! Il me dit alors :

  • -    Tu en as mis du temps…. 
  • -    Désolé mais j’avais une grosse commission….
     
  • -    Je craignais que tu sois tombé dans le trou… !

  Humilié, je lui répondais :

  • -    N’aie craint, j’ai juste pris mon temps. Je te souhaite une bonne journée.
  • -    Merci toi de même, à bientôt.
  • -    Merci.

  Nous nous serrions la main et je m’enfuyais honteux et humilié de ce cabinet médical. Tout en me rendant à mon véhicule, je maudissais une nouvelle fois les commentaires des visiteurs et mes Masters de les avoir suivis et d’en avoir ajouté. Mon cœur battait toujours la chamade et je me sentais de plus en plus humilié, frustré et avili.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Chez le Médecin - Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Lundi 19 septembre 1 19 /09 /Sep 22:15

Humiliation au bureau !

        Ce matin, je saluais mes Maîtres. Ils me demandaient comment s’était passé le week-end. Je leur répondais que j’avais eu du mal à supporter le plug 9 et que je n’avais pas pu mettre le 10, dimanche. Avec le N° 9, comme la base est plus large, mon pauvre trou ne cessait de pousser !!! Au bout d’un certain temps, ne le supportant plus malgré les suppositoires, j’avais du mettre le plug N° 4, à deux boules. Pas content que je n’avais pas suivi les instructions, ils décidèrent que je serai puni ! La punition démarrait immédiatement, en mettant de suite, avant de partir au bureau, le plug N° 8 avec toutes les photos nécessaires comme preuve. Je les informais que, comme tous les lundis matin, j’avais une réunion de travail avec les autres collaborateurs. Assis toute la matinée avec ce plug, je risquais d’avoir des problèmes à le garder. Ils répondaient que ce n’était pas leur problème et que ma désobéissance méritait une punition qui continuait avec, en fin de matinée, je devais me rendre aux toilettes, me mettre nu et changer de plug avec le N° 9 aux toilettes du bureau. Ce soir en rentrant chez moi, de mettre le N° 10 pour la nuit avec tous les clichés nécessaires comme preuve et interdiction de mettre de papier absorbant où que ce soit ! Malgré mes suppliques, ils ne voulaient rien savoir. Pour terminer, je devais poster avant de me coucher, le rapport de la journée. La journée allait être très difficile, déshonorante et avilissante pour le slave que je suis. J’espérais ne pas trop mouiller pour ne pas trop tâcher le jeans que je porterai.
        J’allais à ma salle de bain terminer ma toilette. Etant plugué en permanence, mon transit est accéléré et je devais faire un rinçage avant de mettre le plug. J’ôtais celui à deux boules et je faisais cette toilette humiliante et dégradante du côlon. Terminé, je lui donnais un suppositoire pour le calmer avant de le maltraiter pour la journée. Je graissais le plug N° 8 après avoir installé la ceinture, sans qui, je ne pourrai garder ces monstres. Je m’accroupissais et je prenais mon malheureux trou en photo. Je prenais le plug 8 01 - Le Trou - B - -.-et je le présentais à mon anus. Tout en prenant des clichés, j’enfonçais doucement ce monstre. Je sentais ma petite fleur s’ouvrir à fond. Je poussais de plus en plus fort pour l’introduire. Je bloquais le plug car mon pauvre trou se mettait déjà à pousser ! Quand il cessa et qu’il se refermait, j’en profitais pour lui faire avaler ce malabar.

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        Je m’habillais avec un jeans, comme les températures sont en baisse. J’en profitais pour mettre un léger col rouler pour cacher le collier et surtout la médaille car elle me vaut des questionnements de la part de certain collègue. Je leur réponds que c’est un présent de mon ami(e) avec son nom sur la médaille. Heureusement qu’ils ne peuvent voir ce qui est écrit car ils seraient vraiment surpris ! Sur le recto il y a : "Slave N° 411 103 335" et le verso : "Slave de Master Éric et Maître Michael". Je serai vraiment trop humilié et avili si un collègue pouvait lire ce qui a dessus. C’est pourquoi, dès que je peux, je porte des cols roulés. J’essaye le plus souvent possible de la cacher au mieux mais un jour, un moment d’inattention, j’ai oublié de fermer un polo et la femme de ménage a aperçu une inscription. C’est la première fois que j’ai trouvé cette réponse. Je préparais dans ma sacoche le plug N° 9, du lubrifiant et un suppositoire. Le plug faisait un renflement. Je craignais d’avoir des questions désagréables ! J’arrivais au travail. Heureusement la plupart des collègues étaient déjà en salle de réunion au sous-sol. Je passais à mon bureau pour prendre mon dossier et je les rejoignais. Malheureusement en m’assaillant, le plug pénétra encore plus profondément et mon pauvre trou se mit à pousser. Je serrais les dents en bloquant ma respiration tout en maudissant mes Masters de cette punition. Les collègues en face de moi ont du me voir rougir car ils me demandèrent si ça allait. Je leur répondais entre les dents que ça irait que j’avais seulement des problèmes intestinaux. Quand mon trou se calma, je pus reprendre ma respiration et parler normalement ! Malheureusement, dans la matinée, le problème se répéta plusieurs fois. Je m’assaillais alors sur le bord de la chaise pour soulager un peu mon côlon et mon anus maltraités. Des collègues me conseillaient de voir mon médecin. J'acquiesçais tout en sachant qu’elle ne pouvait rien faire, seul mes Masters pouvaient soulager ma petite fleur. Ayant du mal à me concentrer, je jetais furtivement des coups d’œil à l’horloge en face de moi au-dessus de mes collèges. Enfin 11h30 arriva et chacun se levait et prenait ses documents. Je traînais un peu pour être le dernier à sortir afin de me rendre aux toilettes pour la suite de la punition de la journée. J’ôtais mes chaussures et je sentis le froid glacial du carrelage. Je sortais de ma sacoche le plug, le lubrifiant et le suppositoire car mon trou avait besoin d’être un peu soulagé. Je me déshabillais totalement tout en gardant mes chaussettes aux pieds. Accroupis, je déplaçais le bloc-plug tout en tenant le numéro 8. J’avais installé par terre le téléphone pour prendre les clichés nécessaires. J’en prenais un premier. Je tenais le plug pour le faire sortir progressivement tout en prenant de nouvelles photos. Enfin !!! Mon malheureux trou était soulagé pour un instant.

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        Une envie d’uriné me pris. Je relevais la lunette des toilettes car je n’ai plus le droit de m ‘asseoir dessus mais seulement sur la faïence. C’est encore plus frustrant, humiliant et dégradant comme je ne peux qu’uriner assis lorsque je suis encagé. Je sentais les picots pénétrer dans mon gland et mon pénis. Je prenais aussi des clichés pour preuve. C’est encore plus dégradant et avilissant de devoir tout prendre en photo maintenant ! Je positionnais le portable par terre pour continuer les justificatifs. Je me remettais à genoux et j’introduisais le suppositoire.

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        Je prenais le nouveau plug N° 9 que je lubrifiais. Je le présentais à ma petite fleur tout en la prenant en photo. Je l’introduisais doucement et je sentais mon trou s’ouvrir de plus en plus. D’une main je poussais ce monstre et de l’autre, je prenais des clichés comme preuves. Je sentais mon trou s’éclater avec ce nouvel intrus. Enfin, la base arrivait mais mon anus était toujours autant maltraité ! La base étant beaucoup plus large que les autres, j’avais l’impression d’avoir un phallus en moi ! Le reste de la journée allait être encore plus difficile, frustrante, humiliante et dégradante. Je remettais le bloc-plug en place pour tenir ce nouveau malabar.

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        Je me rhabillais et je nettoyais le plug au lave-mains. Je le séchais et le rangeais dans ma serviette. Je montais à mon bureau. Heureusement il y avait l’ascenseur car mon cul était explosé ! J’attendais midi avec impatience à mon bureau. Lorsqu’il fut l’heure, mes collègues et moi-même regagnons nos domiciles pour déjeuner. Arrivé chez moi, je transférais les photos du portable et je les effaçais immédiatement pour éviter un impair si un collègue utilisait mon téléphone et tombait par malheur sur ces clichés. Je commençais mon rapport car je devais le publier avant de me coucher. Tout en le tapant, je mangeais rapidement. Quand il fut l’heure, je regagnais mon bureau le cul explosé ! En arrivant, une collègue me demandait si j’allais mieux ? Ne pouvant lui dire la vérité, honteux et humilié, je lui répondais que j’avais pris un traitement et que ça ira mieux demain…. Je crains le pire pour le futur ! Je me rendais à mon bureau mais ma rondelle était explosée avec ce plug horrible. Je m’assaillais et je sentais le monstre pénétrer un peu plus profondément. Je maudissais la punition des Masters et je priais pour tenir tout l’après-midi. Quand mon trou poussait trop, je me levais pour ranger un dossier ou en prendre un autre. En fin d’après-midi, ne tenant plus car mon trou ne cessait de pousser. Je me rendais aux archives classer des dossiers. Je pouvais mettre la main sur le bloc-plug pour tenir cet intrus ce qui soulageait un instant ma petite fleur. Enfin l’heure arriva où je pouvais rentrer chez moi. Avec plaisir et angoisse je regagnais mon domicile à 18h30. Suivant les ordres que j’avais et comme d’habitude, dès que je rentre chez moi, je me déshabille pour être nu car je n’ai plus le droit aux vêtements à mon appartement.

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        Le plug N° 9 sorti, je mouillais du trou comme un ruisseau. J’avais aussi envie de vider ma vessie. J’allais aux toilettes, je séchais mon trou et j’urinais assis comme une salope sur la faïence de la cuvette. Même chez moi je n’ai pas le droit à la lunette et quand je suis seul, je dois laisser la porte ouverte. Je n’arrive pas à m’y habituer. Avec le temps, je trouve ça de plus en plus humiliant et dégradant. Je prenais des clichés assis sur le trône et mon gland compressé dans la cage.

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        Je retournais dans la chambre et je préparais un nouveau suppositoire car je ne contrôlais plus mon trou. il ne faisait que pousser. Je m’inquiétais pour le plug suivant le N° 10 car il est énorme et je n’ai jamais pu le prendre à cause de sa base monstrueuse. Pour calmer une nouvelle fois mon côlon, je préparais un suppositoire et je positionnais le téléphone au sol. Je m’accroupissais et, tout en prenant des clichés témoins, j’introduisais le suppositoire. Je dus l’introduire bien profondément car mon trou ne cessait de pousser. C’est de plus en plus frustrant, humiliant et avilissant de prendre des clichés de chaque petite étape ! Je maudis les instructions de mes Maîtres et surtout les humiliations des clichés !

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        J’attendais un instant que mon orifice se calme et je graissais le plug N° 10. je le présentais à ma petite fleur et, difficilement en forçant, je l’introduisais progressivement. Je devais mettre les deux mains pour pouvoir le mettre en place dans mon malheureux trou. Comme je devais aussi prendre des clichés comme preuve, chaque fois que je l’introduisais un peu, je devais stopper pour prendre un cliché. Je sentais mon cul en feu ! J’avais l’impression qu’il allait exploser ! Avec grande difficulté, je l’introduisais progressivement. Enfin, je le mettais en place et je prenais un cliché avant de mettre le bloc-plug en place pour le maintenir en position dans son trou.

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 48---Le-Plug---10---B----.-.jpg  49---Le-Plug---10---B----.-.jpg

 50---Le-Plug---10---B----.-.jpg  51---Le-Plug---10---B----.-.jpg

        Lorsqu’il fut enfin en place et que mon trou se calmait doucement j’allumais mon ordinateur pour rédiger mon rapport car je dois le poster avant de me coucher. J’essayais de m’asseoir mais mon trou se rebellait. Je me positionnais donc sur le bord de ma chaise pour ne pas m’assoire sur ce mastodonte ! Je traitais les photos en réduisant la taille des clichés pris. Plus je les voyais défiler et plus j’avais honte de devoir les publier sur le blog. Lorsque le rapport sera publié, je serai vraiment humilié comme jamais je n’ai été. Je continuais la rédaction de se maudit rapport en ayant hâte de terminer mais je voyais les heures tournées et mon trou de plus en plus explosé ! J’avais de plus en plus de mal à me concentrer pour écrire cet exposé. Enfin j’arrivais à la fin ! J’allais pouvoir le mettre en ligne et l’annoncer à mes Masters.

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Lundi 19 septembre 1 19 /09 /Sep 08:25

Donnez vos idées :

        Le slave que je suis devra bientôt descendre son carton de sous-vêtements à la cave. Vous pouvez faire vos propositions de tenue, comment et quand je dois le faire. Mes Maîtres vous remercient par avance de vos propositions.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Instructions - Ecrire un commentaire - Voir les 6 commentaires
Dimanche 18 septembre 7 18 /09 /Sep 06:44

Suppression des doublures.

            Plusieurs visiteurs avaient émis l’idée de supprimer la doublure du boxer de bain. Mes Maîtres leurs répondaient. Quand ils m’informèrent de leur décision de supprimer la doublure, j’ai eu le malheur de demander confirmation que seul le boxer de bain était concerné. Ils me demandaient pourquoi ? Je leurs disais qu’il y en avait aussi dans le string de bain et le boxer blanc. Ils ordonnaient alors d’enlever toutes les doublures. Je me maudissais alors d’avoir demandé cette confirmation. Ils me commandaient aussi de faire la progression de Mr Alain44 qu’il avait proposée. Je prenais donc connaissance de ce message. Il demandait de prendre en photo 1) le sous-vêtement à l’envers avant transformation, 2) après avoir enlever la doublure, 3) le sous-vêtement à l’endroit, 4) en le portant avec les cages. Pour cette dernière demande, mes Masters ordonnaient de prendre qu’avec la cage que je porte actuellement car la clef du cadenas est dans un bloc de glace au congélateur. Je trouvais cette progression encore plus humiliante et 01 - Boxer Bain - B - -.-dégradante de faire des photos à chaque étape. Je maudissais cette proposition et surtout, moi-même d’avoir eu le malheur de demander la confirmation du boxer de bain. À contre cœur, samedi en début d’après-midi, je me mettais à l’ouvrage en espérant ne pas déraper et faire un accro dans un des sous-vêtements. Je commençais par le boxer de bain.

 

 02---Boxer-Bain---Sans-Doublure---B----.-.jpg  03---Boxer-Bain---Recto---B----.-.jpg

            Je continuais avec le boxer blanc. J’enlevais une première moitié. Je regardais le travail et ce que je craignais arriva. J’avais donné deux petits coups de ciseaux trop loin. Je me maudissais encore plus et tout en supprimant la seconde moitié de la doublure, je réfléchissais à la suite à donner. Je ne pouvais pas demander à mes Masters d’en acheter un autre et je ne pouvais pas aller à une visite avec ces deux trous. Je prenais donc du fil blanc, une aiguille et j’essayais de réparer au mieux. Je me souvenais alors d’une réflexion que ma grand-mère me disait quand j’étais enfant :04 - Boxer Blc - B - -.- "Il vaut mieux une reprise mal faite qu’un accro bien fait !" Je priais que cette réparation ne se voie pas trop. Terminé, j’inspectais mon travail. L’accro se voyait plus et la réparation à peine. Je continuais les instructions avec ce boxer et je le prenais en photo suivant la proposition de Mr Alain44.

 

 05---Boxer-Blc---Sans-Doublure---B----.-.jpg  06---Boxer-Blc---Recto---B----.-.jpg

            Je prenais le string une dernière foi intacte. Je continuais ma funeste tâche en étant encore plus attentif pour ne pas refaire la bêtise précédente car ce serait plus 07---String-Bain---B----.-.jpgcompliquer de le repriser. Heureusement pour le slave que je suis, mes ciseaux n’avaient pas dérapé. La doublure enlevée, je prenais mon malheureux string détérioré avec sa doublure à coté. Puis, je le mettais à l’endroit et je prenais un nouveau cliché.


 


 08---String-Bain---Sans-Doublure---B-----jpg  09---String-Bain---Recto---B----.-.jpg

            Pour terminer cette humiliante tâche, je devais porter chacun de ses sous-vêtements endommagés. Je prenais une photo de face et une de dos. J’avais eu l’autorisation de poser la ceinture et son plug pour mettre à la place le plug N° 3 qui tient seul. J’ôtais le N° 9 pour introduire le nouveau. Mon pauvre trou se mit à pousser de telle manière que je n’arrivais pas à garder ce nouveau venu. Je prenais un nouveau suppositoire pour le calmer. Lorsqu’il commença à faire effet, j’introduisais ce nouvel appendice. Quand ma petite fleur l’avait enfin accepté, je continuais les instructions ! Je débutais par le boxer de bain puis le boxer blanc reprisé et je terminais par le string de bain avec toujours le plug dans mon trou. De devoir porter ces sous-vêtements sans plus de doublure, je maudissais ceux qui avaient fait cette suggestion, mes Maîtres de les avoir validées et encore plus moi-même d’avoir demandé confirmation ! Je me sentais une nouvelle foi frustré, humilié et avili de devoir prendre toutes ces photos !

 10 - Boxer Bain - Recto - B - -.-  11---Boxer-Bain---Verso---B----.-.jpg

 12---Boxer-Blc---Recto---B----.-.jpg  13---Boxer-Blc---Verso---B----.-.jpg

 14---String-Bain---Recto---B----.-.jpg  15---String-Bain---Verso---B----.-.jpg

            Je rédigeais mon rapport humiliant et avilissant. Lorsque j’eus terminé, je me souvenais d’une demande de Mr Alain44. Je recherchais les références de la cage silicone avec des picots. Je copiais la photo pour la lui faire voir et je recherchais un cliché de l’intérieure de la cage fait précédemment. Si vous avez besoin du lien pour la voir, je peux vous la transmettre par courriel ou en cliquant sur ce lien. Ce n’est qu’une proposition parmi tant d’autres, il y a plusieurs sites qui en proposent.

06 - Cage Picots - B - -.-

03 - Cage Picots - B - -.-

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Samedi 17 septembre 6 17 /09 /Sep 08:57

La série du slave :

        À la demande de Master Phœnix, de visiteurs du blog du bastard et sur commandement de Master Éric et Maître Michael , ses Masters, le slave à fait l’inventaire des plugs en sa possession.

00 - Tous Les Plugs - -.-Inventaire des dimensions des plugs :

N° du plug Longueur Total en cm Longueur Insérable en cm. Largeur Maximale en cm Largeur Minimale de la Base en cm
1 10 9 4,5 3
2 14 12,5 4,5 4
3 12 11 5,5 2,5
4 14 12 5,5 3,5
5 16 14,5 6,9 4,1
6 16 15,5 7 4,2
7 32 / 12 10 6 3
8 16,5 14,5 7 4
9 12,5 10,5 7 5
10 12,5 10,5 8 6
11 24 22,5 6 3,8
12 (Gonflable) 13,5 / 16 13 / 15,5 4,5 / 9 3,3
13 18 16 8,5 5,5

        Actuellement le slave a porté en permanence, cette semaine, le numéro 8. aujourd’hui, samedi, il va mettre le N° 9 dans son trou et demain dimanche il introduira le N° 10. Son pauvre trou commence à devenir un vrai abîme. Le but est de porter et de garder 24h/24h le numéro 13 pour que sa petite fleur puisse prendre tout ce que ses Masters décideront et devenir un vrai hangar à bite. Malheureusement, ce matin, sa petite fleur ne cesse pas de pousser. Il a du mal à le contrôler plus son trou s’ouvre. C’est vraiment frustrant, humiliant et dégradant car c’est aussi arrivé au bureau dans la semaine. Étant souvent assis, le slave bloquait sa respiration pour éviter des gémissements et devenait tout rouge. Il eut plusieurs réflexions lui demandant ce qu’il lui arrivait. Il répondait qu’il avait des problèmes de digestions ne pouvant pas dire la vérité…. Il maudissait en silence le but de ses Masters et se sentais de plus en plus humilié, déshonoré et avili !

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Jeudi 15 septembre 4 15 /09 /Sep 08:21

Humiliation !

        Ce matin, je faisais part à mes Masters d’une réflexion d’un collègue. Trop content ils m’ordonnèrent de la publier. Malheureusement, c’est encore plus humiliant déshonorant et dégradant !!!
        Étant plugué en permanence avec des plugs de plus en plus gros et ayant été assis une partie de la journée, mon malheureux trou se mettait à pousser. Je me levais donc pour aller aux toilettes en me tenant, d’une main, une fesse. Un collègue me voyant me lançait :

  •  "Pourquoi marches-tu de la sorte ? On dirait que tu as un manche à balais dans le cul !"

        Honteux et frustré, je ne savais quoi répondre sur le coup. Au bout d’un instant qui me parut une éternité, je lui répondais :

  •  "Je dois aller aux toilettes. J’ai une envie pressente…."

        Frustré, humilié et avilis, je me rendais aux toilettes. Je sortais le plug de son trou et j’introduisais un suppositoire pour calmer le côlon. Je réintroduisais le plug dans la petite fleur. Après avoir mis un papier absorbant au bout je remettais la ceinture "Bloc-plug" en place. Ce matin, je faisais part à mes Masters de mon infortune d’hier et ils me commandèrent de la publier sur le blog et de ne plus mettre de papier absorbant. Je leur faisais part que j’allais tâcher le pantalon, ils rétorquèrent :

  •  "Tu mets ça sur le blog sous-merde ! Obéis bâtard et publies-le salope !"

        Honteux, une nouvelle fois humiliée et avilie, je rédigeais mon rapport.

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Mercredi 14 septembre 3 14 /09 /Sep 08:06

Doublure ?

        À la demande de Master Phénix, voici le boxer de bain avec la doublure. Il faut savoir que si je la supprime, les cages que je dois porter risque de se voir encore plus. Suivant les commentaires, mes Maîtres prendront leur décision.

01 - Boxer Bain - B - -.-

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Mercredi 14 septembre 3 14 /09 /Sep 06:04

Prochaine visite médicale.

        Vu l’attitude du slave depuis quelque temps, ses Masters ont décidé qu’il portera le string qui a été choisi. Il sera totalement rasé et il ira dans cette tenue :

  14 - String - Recto - B - -.-  15 - String - Verso - B - -.-

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Dimanche 11 septembre 7 11 /09 /Sep 15:52

Les Cages de chastetés.

          Le slave s’est complètement rasé : La tête, le torse, le pubis, les jambes, les aisselles et les bras.

 01---Rasage---A----.-.jpg  02---Rasage---B----.-.jpg  03---Rasage---B----.-.jpg

 04---Rasage---B----.-.jpg  05---Rasage---B----.-.jpg  06---Rasage---B----.-.jpg

07 - Rasage - B - -.-

          Voici les cages du slave. Vous pouvez choisir celle qu’il devra porter prochainement. Actuellement il est sous cage (cage B) depuis le 16 juillet soit 57 jours.
          Cages sans possibilités de mettre un plug urétral et / ou un ballestrecher (Cages A – B ou C)

17 - Cages Sans Plugs - B - -.-

          Cages avec possibilité de mettre un plug urétral et / ou un ballestrecher (Cages D ou E). Vous pouvez aussi choisir le plug urétral et l’embout (A ou B) à poser sur un bout du plug urétral et l’autre avec l’embout à visser sauf pour le plug urétral en métal.

18---Cage-Metal---Legende---B----.-.jpg

15---Plugs-Uretrals---Legendes---B----.-.jpg

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  • : Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335
  • Le blog de Bâstard a KC Sous Merde n°411-103-335
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  • : Sous-Merde propriété de Master Eric et Maître Mickaël. Il fait aussi ce que les Visiteurs demandent. Ce n'est pas un mâle mais une sous-merde, et il doit être traité comme tel. À la disposition de tous les Maîtres et slaves au Téléphone, en Web-cam sur Smboy ou Skype... Prises de photo et rapports publiés ensuite sur le blog sous le contrôle de ses Maîtres.
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