Le blog de Bâstard a KC Sous merde n°411-103-335
Bienvenu sur le blog de Bâtard a KC : Sous merde N° 411-103-335. Sous le contrôle de ses Masters, il doit faire ce qui est demandé sans rechigner. N’hésitez pas à
laisser des commentaires sur les différents articles qu'il publie sous les ordres de ses Masters.
Il fait aussi ce que les males demandent de faire après avoir reçu la validation de ses Masters. Ce n'est pas un male mais un slave, une sous-merde, un bâtard et il
doit être traité comme tel.
Sous cage de chasteté, seuls ses Maîtres décident de ses jouissances afin de le purger de son jus pourris qui ne sert à rien.
N'hésitez pas à laisser des commentaires dans les différents articles publiés ici par notre slave ou nous même. Ça l'humilie encore plus. Le site ayant un bug, vous
pouvez lui envoyer vos commentaires qu’il nous fera suivre. Son adresse est bastardakc@hotmail.fr ou en
suivant ce lien
Notre slave est a dispos de tous mâles souhaitant l'utiliser et autres en Cam ou réel aussi avec prises de photos et rapports ensuite publiés sur le blog. Même les
soumis peuvent l'utiliser car son statut est inférieur à eux et leur doit respect et leur obéir aussi
Au bureau
portable que je glissais discrètement dans une poche du pantalon de treillis. Je
faisais attention que personne ne me voit entrer aux toilettes. Je fermais la porte derrière moi. Je sortais le téléphone de la poche que je posais sur le rebord du lavabo. Je me déshabillais
mais étant pieds nus depuis le matin, instruction de Maître Michael, je ressentais le froid du carrelage dès que j’enlevais mes chaussures. J’enlevais le pull et le maillot que je posais sur le
rebord du lavabo. Je faisais de même pour le treillis. Je trouvais ça toujours autant humiliant et dégradant de devoir se mettre ainsi nu pour faire ses besoins. Je m’asseyais sur les toilettes
après avoir relevé la lunette. Je prenais mon mobile et je commençais à uriner. J’en profitais pour prendre les premiers clichés comme commandés. Quand j’eus terminé, je séchais le bout de la
cage avec du papier toilette. Je me levais et je prenais de nouvelles photos debout. Lorsque j’avais
terminé, je me rhabillais rapidement. Je tirais la chasse d’eau quand une personne
essaya d’entrer. Je lui demandais une minute et je me pressais à me laver les mains et de ranger le portable dans une poche. Je m’essuyais les mains et je sortais. Je saluais le collègue qui
attendait et je retournais à mon bureau j’espérais qu’il ne m’avait pas vu entrer et le temps que j’étais resté aux toilettes. Dans l’après-midi je recevais un appel téléphonique m’annonçant
l’hospitalisation en urgence d’une personne très proche ce qui allait me faire prendre beaucoup de retard le reste de la semaine.
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