Dimanche 4 décembre
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Pose du holter.
En premier, je prie mes Masters et les visiteurs du blog de bien
vouloir m’excuser pour le retard que j’ai pris dans la rédaction
et la publication de mes rapports. J’ai reçu du
monde chez moi pour visiter la personne hospitalisée. De plus, j’avais des dossiers en retard, des manifestations à organiser cette semaine et de nouveaux examens à réaliser que je vous
communiquerai dès que j’ai les dates.
Mardi 22 novembre, j’avais rendez-vous pour la pose du holter
pendant 24 heures. Je me rendais donc à l’hôpital. Maître Michael m’avait demandé de porter le boxer blanc pour cette pose. J’arrivais et je passais rapidement aux toilettes pour me changer.
J’enlevais
tous les attributs du slave et j’enfilais rapidement le boxer ayant pris du retard. Je montais en cardiologie où une infirmière m’accueillait. Elle m’introduisait dans
une pièce de visite et me demandait de me mettre torse nu et baisser un peu mon pantalon. Je posais mes affaires sur la table d’auscultation. Je baissais mon jeans et elle commença à installer
l’appareil. Elle débutait en posant les patchs sur le torse et s’aperçu que j’étais rasé de près. Tout en les posant, elle me faisait la remarque avec un petit sourire en coin. Honteux et
humilié, je lui répondais d’une voix hésitante, après un instant d'incertitude, que c’était pour le lendemain quand elle devra les enlever pour éviter d’arracher les poils. Malheureusement, elle
remarquait aussi que mon pubis était lisse comme le reste du corps et la bosse dans le sous-vêtement provoqué par la cage. Elle souriait de plus belle !
Je me sentais très mal à cet instant. Elle
installait une ceinture où elle accrochait l’appareil. Elle branchait tous les patchs au boîtier et, avec du sparadrap, elle faisait tenir toutes les connexions sur le torse. Lorsqu’elle eut
terminé, elle m’invitait à me rhabiller. Je m’exécutais sans dire un mot. Après
avoir mis mon maillot de corps, je remontais mon
pantalon par-dessus le boîtier. Je terminais en enfilant mon pull à col roulé et ma veste. Je la saluais et nous nous donnions rendez-vous le lendemain à la même heure pour enlever l’appareil et
faire les examens avant la consultation. Je m’empressais à m’enfuir de ce service où je m’étais sentis très
humilié, frustré et avili par les regards, les
sourires narquois et les réflexions de l’infirmière. Je regagnais le rez-de-chaussée et me dirigeais vers les toilettes pour la deuxième étape de mon humiliation du jour. À chaque pas que je
faisais, je sentais mon malheureux pénis torturé par les pics de la cage. Encore plus humiliant, ces pics stimulaient mon pauvre gland ce qui augmentait
mon excitation. Après avoir fermé la porte à clé
je me déshabillais une nouvelle fois suivant les ordres que j’avais reçus. Je prenais les premières photographies avec le boxer que j’avais été autorisé à porter avant de l’enlever sans savoir
quand je pourrai le porter de nouveau. Malgré le froid du carrelage que je le sentais, à travers les chaussettes, remonter dans mes mollets. Mon pauvre pénis était toujours mal traité par les
picots. Je prenais la
cage en gros plan. Je préparais le plug N° 04 par terre après l’avoir lubrifié. Je positionnais le portable à coté et après avoir pris ma petite fleur en photo. Je
commençais l’introduction de la première boule. Je sentais mon trou s’ouvrir
et le gober. Je continuais à pousser pour rentrer la
deuxième tout en faisant de nouveau clichés à chaque
étape. Devoir tout photographier augmentait ma frustration, mon humiliation et mon avilissement. Lorsqu’il fut en place, je m’empressais à fermer la ceinture
pour le maintenir en place. Enfin, j’installais le collier et sa médaille autour du coup. Quand tous les attributs du slave ont été remis en place, je me rhabillais une nouvelle fois. Je sortais
de l’hôpital et me dirigeais vers ma voiture pour regagner mon bureau.
Merci à mes Masters pour cette nouvelle étape.
Par Bâstard a KC slave n°411-103-335
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Publié dans : Les Consignes
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