Mercredi 19 octobre
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Une douche
ignominieuse.
Mardi matin, mes Masters me demandaient d’uriner dans une
bouteille toute la journée. Le soir en rentrant chez moi, faire de même. Prendre la bouteille et la vider sur moi dans la douche. À contre-cœur, je préparais une bouteille et, avant de partir au
bureau, j’urinais une première fois. Le midi je faisais de même en rentrant déjeuner. Le soir je renouvelais l’opération à mon grand désespoir. Je me déshabillais et je changeais de plug pour
enlever la ceinture. Je posais celui qui tient seul dans ma petite fleur et j’attrapais mon courage à deux mains. Je prenais un premier cliché de la bouteille et de son contenant d’urine de la
journée. Une fragrance ammoniaqué s’en émanait. Je réglais mon appareil pour prendre plusieurs clichés à la suite. Lorsque tout était prêt, je lançais le compte à rebours. Je montais dans la
baignoire et je prenais d’une main la bouteille d’urine d’où émanait cette odeur nauséabonde et pestilentielle d’ammoniaque. Un sentiment de honte et d’humiliation montait en moi et j’avais envie
de tout interrompre et de stopper là ! J’approchais la bouteille de mon corps et lorsque j’entendis le premier cliché, je me la vidais sur moi.
Un relent de dégoût montait dans mes narines. L’odeur
ammoniaqué m’enrobait et me faisait frissonner de froid et d’écœurement. Je m’interdisais de maudire les commandements de mes Maîtres mais je n’en pensais pas moins. Je finissais de vider
entièrement la bouteille lorsque la dernière photo s’enclenchait. Mon corps était enrobé d’effluves nauséabonds, pestilentiels et fétides. Un frison de répugnance d’écœurement secouait tout mon
être, de la tête aux pieds. Je m’empressais à prendre la pomme de douche et je me rinçais une première fois. J’avais l’impression que l’odeur ammoniaquée avait pénétré touts mes pores. Je me
savonnais énergiquement afin d’essayer d’enlever ces effluves putrides et écœurants qui émanait de moi. Après m’être savonné et rincé plusieurs fois pour ôter toutes les odeurs pestilentielles,
nauséabondes et répugnantes, je prenais une dernière douche bienfaitrice. Bien que je me sois douché plusieurs fois, j’avais toujours l’impression de porter en moi cette odeur ammoniaquée de
l’urine. Pendant toute cette douche je m’étais senti de plus en plus humilié frustré et avili. Je me forçais, à contre-cœur, à ne pas maudire et mépriser mes Masters et leurs directives
humiliantes dégradantes et déshonorantes. J’essayais, je me forçais surtout à me convaincre que c’était pour le bien du slave qu’ils faisaient cela.
Merci à mes Masters et aux visiteurs de prendre du temps pour le
slave que je suis.
Par Bâstard a KC slave n°411-103-335
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Publié dans : Humiliations
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