Dimanche 6 novembre
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Récit du 2 novembre.
Mr Alain ayant fait une demande
dans un de ses commentaires, dors et avant, j’intitulerai la date du jour où l’exposé se rapporte pour une meilleure lecture des visiteurs. Ainsi pour toutes les activités revenant régulièrement,
une nouvelle catégorie est créée : "Labeurs hebdomadaires". Les rapports hebdomadaires y seront enregistrés. Je prie aussi mes Masters et les visiteurs de bien vouloir me pardonner pour le
retard pris dans l'édition des rapports depuis 10 jours.
Mercredi matin ayant une réunion, je ne pouvais me rendre
tranquillement aux toilettes pour prendre les clichés commandés. Le midi, je me rendais comme tous les jours, au chevet de la personne hospitalisée et je mangeais mon sandwich en sa compagnie. Je
fais la même visite le soir après le travail. Je ne repars que lorsqu’elle a dîné comme elle vient de sortir du coma après y être restée une semaine. L’après-midi, je devais donc trouver un
moment tranquille pour y aller. J’avais une envie grandissante d’uriner mais un collègue était en face de moi. Je priais qu’il s’absente un instant pour me soulager et exécuter le labeur
hebdomadaire. Me voyant dandiner sur ma chaise il me dit :
-
- Tu ne vas pas bien ? Tu as un problème ?
-
- Je dois avoir des problèmes digestifs, rien de grave je te remercie.
Je lui répondais honteux et frustré. Il travaillait toujours sur son dossier. Quand allait-il
s’absenter ? Du coin de l’œil, je le voyais enfin rassembler son dossier et se lever avec. J’attendais encore quelques secondes et je me levais en prenant mon portable que j’enfilais dans une des
poches de poitrine. Je fermais la porte à clef des toilettes. Je posais le mobile sur le lavabo et je me déshabillais. En enlevant les chaussures, je sentais le froid du carrelage monter dans mes
chevilles malgré les chaussettes. Enfin j’allais pouvoir soulager ma vessie. Lorsque je fus nu, je relevais la lunette des toilettes pour m’asseoir sur la faïence. J’avais d’une main mon
téléphone et je prenais un premier cliché tout en urinant. J’en profitais pour en prendre un second. Je ne pouvais plus stopper la fontaine ! Que du bonheur de pouvoir enfin vider ma
vessie mais
quelle humiliation et frustration de devoir photographier le moment ! Je poussais, malgré moi, un "Ouf !" De soulagement. Je dus le lâcher trop fort car le collègue frappa à ce moment là à la
porte pour demander :
-
- Ça va ? Tu ne te sens pas bien ?
-
- Non, tout va bien merci ! Seulement mon transit qui se débloque….
Je me sentais encore plus humilié frustré et avili qu’il soit passé à ce moment là devant les
toilettes et qu’il m’ait entendu. Je me maudissais de ne pas avoir été plus discret ! Je faisais de même pour les instructions hebdomadaires ! Cela devient de plus en plus humiliant et dégradant
de devoir réaliser ce rapport sans se faire prendre par les collègues. Quand ma vessie était enfin vidée, je prenais du papier toilette pour sécher le bout de la cage. Je me
levais et je prenais
mon malheureux pénis enchâssé et maltraité par les picots intérieurs. Je les sens de plus en plus pénétrer dans mon pauvre gland et ma malheureuse verge. Cette cage, non seulement m’empêche de me
masturber mais torture aussi mon pauvre pénis éprouvé. Lorsque j’avais les photos commandées par mes Masters et les visiteurs, je me rhabillais. Je me lavais les mains après avoir tiré la chasse
d’eau des toilettes. Je sortais et je regagnais mon bureau. Mon collègue leva la tête sans rien dire mais avec un grand sourire qui en disait long. Je baissais la mienne déshonoré et frustré. Je
maudissais une fois de plus cette corvée hebdomadaire. Honteux, lésé et avili, je reprenais mon travail quotidien.
Je dois tout de même remercier mes Masters de me faire évoluer dans la soumission et dans la direction qu’ils désirent.
Par Bâstard a KC slave n°411-103-335
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Publié dans : Labeurs Journaliers
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