Mercredi 7 décembre
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Le mercredi 23 novembre :
En arrivant au bureau j’avais mon malheureux trou tout excité. Il n’arrêtait pas de
pousser et j’avais oublié de prendre des suppositoires pour le calmer mais la ceinture empêchait le plug de sortir ! J’avais eu du mal à conduire jusqu’au travail avec mon pauvre trou dans cet
état. De plus, cette excitation s’était propagée à mon pauvre pénis en cage. À chaque pas, je sentais les picots exciter mon malheureux gland qui obligeait la verge à se gonfler encore un peu
plus. Un vrai cercle vicieux, cette situation frustrante, humiliante et dégradante !
Je regagnais mon poste de travail tout
en saluant mes collègues déjà concentrés sur leurs besognes. J’avais dans la poche de ma sous-veste un feutre noir ordinaire trouvé chez moi. J’avais fait un essai concluant. Pour enlever les
marques avec celui-ci, un peu de savon sur un gant de toilette suffisait. Il n’y avait pas besoin de frotter pour enlever le marquage que je devais dorénavant écrire sur la cuisse. Je le
conserverai bien précieusement d’autant plus que ce midi j’aurai qu’un petit laps de temps pour ôter la date car je déjeunerai avec des cousins et l’après-midi j’avais rendez-vous chez le
cardiologue. Je devais réaliser la prestation hebdomadaire impérativement ce matin. Une journée bien chargée en contraintes et humiliations de toutes sortes ! La journée allait être très longue,
frustrante et dégradante. J’attendais le moment où j’aurai envie d’uriner pour aller aux toilettes et réaliser cette corvée avilissante. En attendant, je me mettais au travail. Je vérifiais les
animations et les manifestations de la semaine prochaine. Je passais des appels téléphonique pour vérifier que tout serait prêt le jour et à l’heure prévu. Enfin, une envie commença à titiller ma
vessie. Je terminais ce que je
faisais pour rien oublier. Je vérifiais le portable et le feutre dans la poche
frontale de la sous-veste. J’observais les allers et venus de mes collègues pour attendre un instant où je pourrai m’éclipser discrètement aux toilettes. Après une attente fructueuse, je me
retrouvais seul. Je vérifiais qu’aucun collègue n’était en approche. Je me décidais d’en profiter pour me rendre aux toilettes discrètement. Je refermais derrière moi la porte à clef pour éviter
tout malentendu ! Je posais le feutre et le téléphone sur le bord du lavabo. Je me déshabillais encore une nouvelle fois en stockant mes affaires sur le bord du lave-mains. Dès que je mis les
pieds sur le carrelage, je sentis son froid glacé à travers mes chaussettes. Un petit frisson me secoua de la tête aux pieds et l’envie d’uriner devenait encore plus irrésistible. Avec le feutre,
j’écrivais sur la cuisse gauche la date du jour soit le 23-11 pour confirmer que la servitude a bien été réalisée en temps et en heure. Le port du holter aurait pu suffire comme certification. Je
m’empressais à lever la lunette des toilettes, à contre-cœur et je m’assaillais sur la faïence de la cuvette car l’envie devenait de plus en plus pressante. Dès
que je fus assis j’ouvrais le robinet
et, avec soulagement, la vessie se vidait progressivement. J’en profitais pour prendre les premiers clichés. Devoir faire cette contrainte toutes les semaines, à date régulière, est de plus en
plus frustrante, humiliante et dégradante ! Au fur et à mesure que je me soulageais, mon pauvre trou se mit à pousser. Heureusement la ceinture empêchait le plug de sortir ! Mais quelle
humiliation et avilissement de ressentir un soulagement en urinant et en même temps la petite fleur s’exciter sur le plug ! Je n’avais toujours pas de suppositoires pour calmer le côlon. Je
faisais mon possible pour l’apaiser sans faire de bruit et de gémissement. Mais quelle frustration de sentir son trou excité et ne pouvoir en profiter et se masturber ! À regret, je calmais tout
ce petit monde et je séchais les gouttes d’urine sur le bout de la cage. J’allais me lever lorsqu’une personne essaya d’entrer. Je ne bougeais pas pour ne pas faire de bruit. Je l’entendis
utiliser celle des femmes. J’attendais quelles que secondes et je me levais
discrètement. Je prenais de nouvelles
photos de mon pauvre pénis emprisonné dans sa cage et du slave en pieds. Quand j’avais terminé de photographier, sans faire de bruit, je m’empressais de me rhabiller pour la quatrième fois de la
matinée. J’avais l’impression de faire que ça : me déshabiller et me rhabiller ! Quelle frustration et humiliation ! Je tirais la chasse d’eau et je me rinçais les mains. En me séchant les mains,
j’entendis la porte voisine s’ouvrir. Je patientais encore un instant que mon voisin s’éloigne. Je pouvais enfin sortir pour rejoindre mon poste. J’inspectais autour de moi avant de le regagner
mais, à chaque pas que je faisais, je sentais les picots exciter mon malheureux gland qui devait faire gonfler un peu plus le pauvre pénis qui s’empalait sur les pics. Encore et toujours ce
cercle vicieux ! Je me remettais à l’ouvrage en m’assaillant et en espérant que tout mon petit monde se calmerait.
Je dois tout de même remercier mes Masters de me faire évoluer
bien que je maudisse encore parfois certaines directives frustrantes, humiliantes et dégradantes.
Par Bâstard a KC slave n°411-103-335
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Publié dans : Labeurs Journaliers
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