Samedi 19 novembre
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Le mercredi 16 novembre 2016 :
Mr Alain, dans ses commentaires, avait demandé que le slave note sur sa cuisse gauche la date de la corvée hebdomadaire. Il
faisait part à Maître Michael de cette sollicitation qu’il, malheureusement, s’empressa de valider ! J’arrivais donc au bureau un peu en avance pour chercher un feutre pour cette nouvelle
contrainte. J’essayais sur la paume de la main les stabilos que j’avais mais le résultat n’était pas concluant. Je cherchais donc un feutre noir ou bleu sur les autres bureaux. Je trouvais un
marqueur noir chez le directeur que j’empruntais. Un groupe avait réservé une salle pour une formation. Mon malheureux pénis devait être gorgé car à chaque pas que je faisais, je sentais les
picots de la cage pénétrer dans le gland et la verge. Plus ils pénétraient et plus mon pénis se gonflait et plus je les sentais pénétrer et exciter mon pauvre gland ! Cette torture devenait un
cercle vicieux et je maudissais cette cage car ce n’était pas la première fois que ça arrivait ! Ce supplice me donnait une envie grandissante de me masturber, de jouir et me vider enfin les
couilles…. Je haïssais cette maudite cage de chasteté et cette abstinence forcée !
J’avais, en avance, rangé dans une des poches
frontales de ma sous-veste, mon téléphone portable et dans l’autre, j’introduisais le marqueur. Je m’installais à mon poste et
commençais mon travail. Les collègues
me saluaient au fur et à mesure qu’ils arrivaient. Le groupe arriva aussi et s’installa dans notre salle de réunion. De mon poste de travail, je voyais un défilé permanent de personnes allant aux
toilettes. Je ne comprenais pas pourquoi, certaines y retournaient plusieurs fois. Dans la matinée, une envie d’uriner se fit sentir. Je terminais ce que je faisais. Ne pouvant plus attendre, je
me décidais à m’y rendre. Je rentrais dans les toilettes hommes et je compris de suite le problème. Il n’y avait plus de lumière ! L’ampoule avait rendu l’âme…. Étant libre, je passais dans les
toilettes des femmes. Il n’y avait plus que celle-ci de disponible ! Elle était prise d’assaut ! J’avais, à
peine, fermé la porte à clé que déjà
une personne essayait d’entrer. Je l’entendis pénétrer à coté et ressortir aussitôt lorsqu’elle se rendit compte du manque de lumière. J’allais être plusieurs fois dérangées ! Je maudissais la
corvée hebdomadaire ! Je posais sur le bord du lave-mains le marqueur et le téléphone. Je m’empressais à me déshabiller et je posais, au fur et à mesure, mes vêtements sur le bord du lavabo. Avec
le marqueur, comme l’avais demandé Mr Alain, je notais sur ma cuisse gauche la date du jour soit le 16-11 ! Je relevais la lunette et je m’assaillais avec le portable d’une main. Le robinet
ouvert, je vidais ma vessie avec soulagement. J’en profitais pour prendre les premiers clichés. Une nouvelle personne essaya d’ouvrir la porte. Impossible d’uriner tranquillement ce matin !!! Je
sentais le froid du carrelage malgré les chaussettes aux pieds. Il fallait que j’accélère le mouvement mais avant, je devais me soulager entièrement. Je continuais en sentir les picots exciter
mon malheureux gland ce qui faisait gonfler mon pauvre pénis encore plus martyrisé par ces pics ! Je haïssais de plus en plus cette cage qui, non seulement m’empêche de me masturber mais en plus
maltraite ma pauvre petite queue, ce qui augmente encore plus ma frustration, mon humiliation et mon
avilissement. Je maudissais aussi mes
Masters de m’avoir imposer cette cage ! Ma vessie enfin vidangée, je la séchais avec du papier toilette. Je me relevais et je prenais en photo cette maudite cage de pieds puis en gros plan avec
mon malheureux pénis maltraité. Je faisais un dernier cliché de pieds lorsqu’une nouvelle personne essaya d’ouvrir le porte des toilettes femmes. Je devais accélérer le mouvement. Je me dépêchais
à me rhabiller et à ranger dans les poches frontales le marqueur et le téléphone. Je tirais la chasse d’eau et je m’empressais à me laver les mains. Une nouvelle personne était déjà à la porte.
Je lui demandais encore 30 secondes le temps que je m’essuie les mains. J’ouvrais enfin la porte et je me retrouvais devant une femme. Je la priais de bien vouloir m’excuser d’avoir dû aller dans
ces toilettes. Elle me répondit qu’elle comprenait. Je retournais à mon bureau mais à chaque pas je sentais les picots pénétrer et exciter mon malheureux pénis et ma pauvre verge. Encore plus
humiliant, dégradant et frustrant. Impossible de ne pas penser à mes Maîtres ! Je sentis alors, une goutte d’urine couler le long de ma cuisse. Mon malheureux pénis, étant maltraité et gonflé un
maximum, avait dû bloquer cette dernière réserve d'urée. Je maudissais cette ampoule grillée qui m’avait forcé d’utiliser les toilettes des femmes et qui m’avait obligé de me
presser pour la
réalisation de la contrainte hebdomadaire. Je reprenais le travail mais les problèmes n’étaient pas terminés ! Le midi, je rentrais chez moi pour déjeuner. Etant seul, j’en profitais pour passer
à la salle de bain. Avec du savon, j’essayais d’ôter l’inscription sur la cuisse. Malheureusement le feutre que j’avais emprunté était un marqueur indélébile ! Impossible de faire disparaître
cette maudite date avec seulement du savon ! Je prenais un "scotch-britch" et après l’avoir savonné, je frottais pour faire disparaître cette nouvelle contrainte. Ma malheureuse cuisse rougissait
et chauffait de plus en plus. Les picots maltraitaient toujours mon pauvre gland et mon pénis éprouvé ! Je pensais, pour la semaine prochaine, je devais trouver un autre feutre car ce marqueur
était le point d’orgue de mon humiliation, de ma frustration et de mon avilissement du jour !
Je dois tout de même remercier mes Masters de me faire
évoluer dans ma soumission.
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