Dimanche 15 janvier
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Le mercredi 11 janvier :
Après une nuit toujours mouvementée où je faisais des cauchemars,
je me levais de très bonne heure car je devais faire un nouveau lavement. Je buvais un café et je passais à
la salle de bain.
Je remplissais d’eau les boyaux. Je serrais les fesses pour garder le liquide le plus longtemps possible. Bien que je le fais depuis des années, c’est toujours aussi frustrant humiliant et
dégradant de réaliser tous ces lavages ! Pendant ce temps, je me connectais et je saluais Maître Michael qui était en ligne. À mon grand regret, il m’annonçait de nouvelles instructions pour la
journée sur proposition de Mr Alain. Je devais changer la ceinture contre le harnais, insérer dans la petite fleur un nouvel invité et me raser intégralement, en intégrant le récit dans le
rapport du jour. Je lui faisais remarquer en vain que mes poils sur les jambes et les bras se voyaient à peine comme ils étaient châtains très clair presque blond. Malgré mes pour-parler, il ne
voulut rien savoir et annonçait des sanctions en cas de non-réalisation de cette humiliation. De temps en temps, je devais m’absenter et je me rendais aux toilettes pour évacuer le liquide. Je
retournais à la
salle de bain, je me rasais la tête, et à contre cœur, je continuais par les jambes et les bras. Je terminais par les aisselles. Tout en réalisant cette instruction et en
méditant que je devais incorporer dans le rapport ces directives, je ressentais, de plus en plus, des sentiments d’humiliations, de frustrations et d’avilissement. Ils étaient accrus en pensant
qu’il avait commandé de photographier chaque étape de la corvée et de les intégrer dans le récit !
Après avoir pris une bonne douche en faisant un nettoyage à fond
de la cage, j’enfilais le harnais. Je choisissais le plug N°06 d’une longueur totale de près de 17,00 Cm, 15,5 Cm insérable, une base de 4,2 Cm et une largeur maximale de 7,00 Cm. Mon petit trou
allait souffrir ! Je passais aux toilettes pour vider la vessie et je
profitais d’insérer dans le côlon, un suppositoire afin de calmer
le premier anneau. Accroupi, je graissais le nouveau venu et je le présentais à ma petite fleur. À son contact, il l’ouvrait de plus en plus et vint buter contre l’anneau. Je forçais la pression.
Je le sentis s’entrouvrir et monter sur le cône. Pendant ce
temps, l’anus s’ouvrait un maximum avant de gober ce monstre. Je le
bloquais avec le harnais car mon trou poussait et l’anneau jouait avec son nouvel amusement ! À chaque étape, je prenais des clichés à contre-cœur. Terminé, je me relevais et un dernier cliché
avec le harnais bloquant ce
nouvel invité qui explosait ma rondelle et qui s’amusait avec le
premier anneau du côlon. Quand tout le monde avait pris sa place, je m’habillais. J’en profitais pour prendre une paire de chaussette propre car je devrai les rouler pour les mettre dans ma
bouche. Je n’avais pas envie d’une paire qui avait
été portée plusieurs jours. C’était suffisamment humiliant et
dégradant comme cela ! J’enfilais le maillot de corps et le jeans. Lorsque le pull était passé, je m’apercevais que la boucle de devant du harnais s’apercevait trop. Je prenais la sous-veste que,
pour une fois, je boutonnais. Je pouvais ainsi cacher le bourrelet que produisait celui-ci.
J’éviterai ainsi des réflexions ou des questions déplaisantes !
J’en profitais pour ranger dans les poches frontales le marqueur et le téléphone. Je terminais à peine de m’habiller qu’une nouvelle fuite d’urine s’écoulait le long de la jambe. Ces fuites et
ces sécrétions inopinées deviennent de plus en plus frustrantes, humiliantes et
dégradantes ! L’heure du départ avait sonné et j’enfilais une veste
après avoir mis une écharpe au coup et un bonnet pour les froidures extérieur.
Je sortais et le froid vint cingler le visage mais ne calma pas l’anneau qui montait et descendait sur le nouveau venu ! Je
m’apercevais que je marchais un peu en canard avec l’appendice qui obstruait mon malheureux trou. Je faisais alors plus attention à ma démarche pour éviter des remarques désobligeantes. Le froid
n’avait pas non plus calmé la cage et ses picots qui venaient s’empaler sur mon pauvre gland excité qui provoquait des érections contrariées. À chaque pas, je sentais chaque pic sur mon
malencontreux gland et l’anneau qui jouait avec le nouveau convive. De plus avec les bretelles du harnais, le nouvel intrus était très bien bloqué et le bloc-plug ne pouvait plus prendre de jeux,
ce qui évitait de trop exciter la
petite fleur. C’était le seul avantage par apport à la ceinture qui
arrivait à bouger, à prendre du jeu ce qui augmentait l’excitation du trou et de ses habitants qui, par-là même, était toujours aussi humiliant frustrant et désagréable. Je souhaitais que cet
immobilisme atténue les sécrétions fortuites. Je devais juste faire attention à ma démarche comme le plug ne pouvait plus avoir de jeu dans son nouveau harnachement. Je devais juste boutonner la
sous-veste pour mieux dissimuler la grosseur sur le ventre et très certainement dans le dos. J’arrivais enfin sur le lieu de travail et je commençais par saluer les quelques collègues déjà
présents. Arrivé à mon bureau, je posais ma veste, l’écharpe et le bonnet sur le dossier du fauteuil. En m’assaillant, je sentais un filament humide s’accrocher sur le devant de la cuisse.
C’était la première sécrétion de la journée ! Contrairement aux autres jours où elles démarraient dès le saut du lit et ce, grâce au harnais qui empêchait de prendre du jeu. Il permettait au plug
en
place de stimuler encore plus le côlon et à la cage d’exciter mon pauvre pénis emprisonné. Comme il était bien bloqué et n’avait pas de jeu, il bougeait que très peu
quand je voulus m’asseoir et me mettre au travail. Si le harnais est un peu plus contraignant, parfois je dois bouger légèrement les bretelles qui endolorissent mes omoplates, il évite à l’invité
d’exciter mon anneau. Mon petit trou allait rester plus calme tout au long de la journée. Cela m’évitera des situations ambiguës et déplaisantes.
Je savais que le matin nous serions peu présent car était
programmé pour le soir une réunion et pour suivre, une rencontre avec le tirage des rois. J’allais donc profiter de cette matinée tranquille pour exécuter cette corvée hebdomadaire. J’attendrais
d’avoir besoin de vider ma vessie. C’est ce qui arriva en milieu de matinée. Je vérifiais que personne n’était en vu et que tout le
matériel était en
place dans les poches. Je pouvais me rendre aux toilettes. Je refermais la porte à clef derrière moi et je posais sur le lave-mains le mobile et le marqueur. Je me déshabillais et je posais sur
le bord du lavabo mes vêtements pliés. Lorsque j’enlevais les chaussures, je sentis le froid du carrelage à
travers mes
chaussettes. J’attendais d’être complètement nu pour me décider à les ôter. Je les posais un instant avec mes affaires. Je relevais le couvercle et la lunette des toilettes, je prenais le
marqueur et je m’assaillais sur le bord de la cuvette. Je notais la date du jour sur ma cuisse gauche soit le "Le 11 - 01" en faisant attention de ne pas faire de trop grosses lettres et
chiffres. Je me relevais et je prenais le portable. Je photographiais l’écris du jour. Je m’asseyais de nouveau et je commençais à vidanger ma vessie tout en prenant les clichés suivant. Je
ressentais le froid de la faïence glacer mes petites fesses ce qui augmentait mes sentiments d’humiliations, de frustrations et d’avilissement de devoir réaliser cette besogne
hebdomadaire ! Terminé, je séchais les dernières gouttes sur la cage.
En me relevant, je photographiais mon malheureux pénis emprisonné
dans son cachot. Je m’accroupissais pour faire de même avec le plug qui dilatait ma pauvre petite fleur. Etant bien bloqué par le harnais, il n’avait pas pris de jeu ce qui évitait qu’il joue
avec l’anneau, et ne pouvant exciter son hôte, il évitait des excrétions inopinées. Je prenais mes chaussettes que je roulais suivant les instructions des visiteurs et je les enfilais dans ma
bouche. Je les tenais entre mes dents. Heureusement, j’avais pris une paire propre, ce qui était un peu moins humiliant et dégradant. Je continuais à faire des photos du slave avec ses
socquettes, son harnais et de pieds. Je prenais un dernier cliché de la cage et des jambes. Je pouvais me rhabiller !
J’enfilais en premier mes chaussettes puis mon maillot, le jeans, le pull et la sous-veste. Je disposais dans les
poches frontales de ce dernier, le téléphone et le marqueur que je rangerai dans mon bureau jusqu’à la semaine prochaine. Je tirais la chasse d’eau et je baissais la lunette et le couvercle. Je
me lavais les mains et je me les essuyais. Avant de sortir, je vérifiais que je n’avais rien oublié dans la pièce. Je déverrouillais la porte et je sortais des
toilettes. Je regagnais mon poste de travail. À chaque pas, je sentais les pics de la cage empaler mon malheureux gland. Heureusement, le plug ne bougeais pas ce qui évitait d’exciter l’anneau
intérieur et, surtout, mon pauvre trou ne poussait plus. Merci au harnais ! Bien qu’il soit un peu plus humiliant et dégradant de le porter car il faut cacher les grosses boucles, il évite au
plug de prendre du jeu et de s’amuser avec ses hôtes en provoquant des fuites ou des excrétions fortuites. L’inconvénient était bien minime par apports aux avantages qu’il procurait. Il empêchait
les inviter de déranger, de perturber ou d’exciter leur logeur. Dans un tiroir, je cachais le marqueur et je reprenais mon travail.
Merci à mes Masters pour cette nouvelle étape.

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