Dimanche 19 février
7
19
/02
/Fév
12:10
IRM :
La veille, en rentrant chez moi, j’essayais d’effacer la
date de la corvée du jour. Ayant eu un problème, j’avais dû faire une inscription beaucoup plus grosse qu’à l’habitude. Après un premier nettoyage le midi, il restait des traces malgré le
scotch-britch et le savon. Je recommençais l’opération, le soir, sans pouvoir tout faire disparaître. Ce jeudi matin, en prenant ma douche, je renouvelais l’opération pour arriver à effacer,
enfin, toutes les traces. En faisant ma toilette, je maudissais ce marqueur rebelle. Je me promettais de faire plus attention à l’avenir et de ne plus jamais écrire aussi gros et trop de mots.
Pour la matinée au bureau, j’avais placé dans mon petit trou le plug N° 06. Ma pauvre rondelle était plus que dilaté car la base était juste à la limite ! Devant prendre ma voiture pour me rendre
à l’hôpital, l’après-midi, après avoir déjeuné, je le remplaçais avec le N° 04. Je m’apprêtais à partir et suivant les instructions, je disposais dans ma sacoche, le short blanc, le lubrifiant et
la clé pour ouvrir le collier. Je préparais mes papiers et ma prescription médicale. J’enfilais ma veste, mon bonnet, mon écharpe et mes gants comme le froid sibérien persistait. Le thermomètre
n’arrivait pas à atteindre les - 5°C au plus chaud de la journée.
Je partais en avance car je devais gratter le givre sur la voiture
bien que l'on soit à la mi-journée. Malgré le froid ambiant, le plug jouait toujours avec mon petit trou et l’anneau du côlon en faisait autant avec les deux boules. Mon malheureux gland était,
lui aussi, martyrisé et embroché par les pics de la maudite cage de chasteté. Ces empalements continues, l’excitait et provoquait une érection continue mais contrarié par cette détestable
dernière. Je mettais le chauffage au maximum. Lorsque les vitres et le pare-brise étaient dégagés, je démarrais. Heureusement que j’étais parti en avance car la circulation était intense. Elle
était aussi perturbée, soit par les engins municipaux de salage, soit par le plug qui stimulait ma petite fleur, soit par la cage qui enflammait mon pauvre gland avec des érections contrecarrées
par celle-ci. J’arrivais à destination et j’utilisais la première place de stationnement que je trouvais.
Arrivé dans le hall d’entré, je me dirigeais vers les toilettes pour enlever les attributs du slave que je rangeais dans ma sacoche
et je préparais le short. Après m’être présenté à la secrétaire, j’attendais mon tour dans la salle d’attente. Un aide soignant venait me chercher après une quinzaine de minutes de patience. Il
me faisait entrer dans une des cabines en me demandant de me mettre en sous-vêtement et en
m’annonçant que le médecin allait
venir me voir. Je m’empressais à sortir le short de la sacoche. J’enlevais en premier mes chaussures et mon pantalon pour pouvoir l’enfiler avant qu’une nouvelle personne ne vienne et me voit
avec cette maudite cage. Mon cœur se mit à battre la chamade et mes mains tremblaient d’appréhension. Je posais rapidement le jeans sur le dossier de la chaise et encore plus rapidement,
j’enfilais le short. Je poussais, intérieurement, un "Ouf !!!" de soulagement. Malheureusement, les pics continuaient d’empaler mon pauvre gland, ce qui l’excitait et provoquait une maudite
érection contrariée. Je maudissais, une nouvelle fois, les instructions humiliantes et dégradantes que j’avais reçu pour ces examens ! Je continuais à ôter mes pulls et mon maillot de corps.
J’étais en train de ranger ce dernier sur la chaise lorsqu’une personne frappait à la porte et entra.
Elle se présentait, c’était le médecin. Il m’invitait à m’asseoir et il en faisait autant sur un tabouret. Il avait besoin de
renseignements que je lui donnais. Il m’annonça, à ma grande joie, que je pouvais remettre le pantalon mais en enlevant la ceinture et ce qu’il y avait dans les poches pour qu’il n’y ait pas de
métal. Le
questionnaire terminé, il m’avisait qu’un technicien allait venir me chercher dans un instant. Rapidement et avec un grand soulagement, je prenais le pantalon que je
m’empressais de le remettre. Je déposais la ceinture sur le siège avec le contenue des poches.
Une troisième personne me faisait entrer dans une pièce où la
température était un peu fraîche. J’appréciais d’avoir pût remettre mon jeans. Il débutait par me mettre une charlotte. Ensuite, il me proposait de m’allonger sur la table avec la tête sur un
emplacement spécifique. Comme la séance serait bruyante, il m’installait un casque avec de la musique. Il m’expliqua qu’il allait baisser une grille, de ne pas prendre peur. Effectivement, une
protection grillagée, comme les footballeurs américains ont sur leurs casques, venait d’être placé sur mon visage. Il y avait un petit miroir qui me permettait de voir mes jambes. Le programme
d’une
émission radio se diffusait dans les écouteurs. Un bruit sourd se fit entendre
quand l’examen démarra et étouffait la musique émise. Je restais ainsi allongé une petite demi-heure quand, avec soulagement, le brouhaha cessa. La musique stoppa aussi et un silence bruyant les
remplaça. J’étais toujours prisonnier de ce masque, allongé sans pouvoir bouger.
Le technicien releva la grille et enleva le
casque. Mes oreilles
continuaient de bourdonner de ce silence assourdissant. Il fut stoppé quand la personne me proposa de me relever. Elle me raccompagna à ma cabine et elle m’invita à me rhabiller en attendant le
médecin. Je m’aperçus que mes battements de cœur étaient toujours aussi rapide et résonnaient dans mes oreilles. Je refermais la porte derrière moi et je me rhabillais rapidement comme je
n’avais que les
bricoles posées sur la chaise, la ceinture et le haut à remettre. Je renfilais ma veste et mon écharpe. Mes gants et mon bonnet, je les laissais en attente dans ma sacoche.
Le médecin entra après avoir frappé à la porte et me donnait un premier compte rendu favorable de cet examen. Après s’être salué, je prenais mon sac à l’épaule et je sortais. Au passage, je
souhaitais une bonne journée à la secrétaire et je retournais aux toilettes.
Elles étaient toutes occupées. J’allais faire un petit tour dans le hall d’accueil et je revenais quelles que minutes plus tard.
Une porte était entrouverte. J’entrais après avoir vérifié qu’il n’y avait personne et je la refermais à clef. Une nouvelle fois, je posais le téléphone sur le lave-mains et je sortais les
attributs du slave de la sacoche. Sur le lavabo, je posais le collier, le lubrifiant, le plug, le harnais, je le déposais sur
le carrelage. J’accrochais aux patères
de la porte, le sac et mes vêtements au fur et à mesure que je me déshabillais une nouvelle fois. Lorsqu’il ne me restait plus que mes chaussettes qui me protégeaient que très légèrement du froid
glacial du carrelage et le short blanc, je le prenais en photo avec le portable. À regret, je l’enlevais et je prenais des clichés de la maudite cage qui, avec ses pics détestables, empalent mon
malheureux gland. Cette torture inhumaine l’excitait et provoquait une érection continue et contrariée par cette horrible prison qui enchâsse mon pauvre pénis et lui empêche
toute masturbation et toute éjaculation. Il condamne mon sexe à une abstinence inhumaine de près de sept mois !!! Cette prise de vue permettra aux Masters et aux visiteurs de constater que le
maudit cadenas est toujours le même.
Je lubrifiais légèrement le plug que je présentais à mon petit trou. Progressivement il l’ouvrait et pénétrait dans le côlon
jusqu’à ce qu’il bute contre le premier anneau. Après une nouvelle pression, celui-ci gobait la boule supérieure et ma petite fleur en faisait autant avec ce nouvel invité. Ayant oublié de mettre
le harnais pour que ce convive ne bouge plus, je l’enfilais à la hâte. Je continuais, tout ce temps, à prendre des clichés comme ordonnés par les Masters. Après un instant, je m’apercevais que
les sangles de la poitrine n’étaient pas correctement mises. Je les réajustais et je tenais les dernières photos.
Quand tous les attributs du slave étaient en place, je me
rhabillais une nouvelle fois. Je me lavais les mains et je me les
séchais. Je rangeais dans le sac le
reliquat sur le lave-mains, le lubrifiant, la clef du collier et le short blanc. Le téléphone regagnait la poche frontale de la sous-veste. J’enfilais mon bonnet, mon écharpe, ma veste et mes
gants. Par principe et pour que l’on ne puisse pas se poser des questions sur mon passage aux toilettes, je tirais la chasse d’eau, je baissais la lunette et le couvercle. Je vérifiais une
dernière fois les lieux avant d’ouvrir et de sortir. Je regagnais ma voiture pour retourner terminer ma journée au bureau.
Pour une fois, cet examen s’est mieux déroulé et surtout moins
humiliant dégradant et avilissant malgré le port de la cage. Il y en
a encore un qui, je le crains, ne se
déroulera pas aussi bien qu’aujourd’hui…. Je n’ai pas encore terminé de maudire les instructions des Maîtres et les commentaires des visiteurs. Tout de même merci à mes Masters pour cette
nouvelle étape.
Derniers Commentaires