Vendredi 17 février
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Le mercredi 08 février :
L’hôpital avait téléphoné la veille pour demander la possibilité
de repousser de 24 heures l’IRM programmé ce jour. J’avais répondu qu’il n’y avait pas de problème pour moi. C’est ainsi que je partais au bureau, soulagé de ne pas avoir à effacer rapidement
l’inscription du jour. Par contre les invités, malgré le froid, n’avait que ralenti leurs amusements…. Le plug N°04 continuait à jouer avec le premier anneau du côlon en montant et redescendant
entre les deux boules. Mon trou en faisait tout autant en poussant et je sentais ma petite fleur s’ouvrir partiellement jusqu'à ce que le bloc-plug joue son rôle. À chaque pas, mon malheureux
gland se faisait empaler par les pics de la cage ce qui l’excitait et provoquait une érection involontairement continue et contrariée par cette dernière. Si seulement il n’y avait que la journée
où tout ce petit monde faisait les 400 coups…. Les nuits étaient, elles aussi, devenues un enfer où je me réveillais régulièrement en sur-saut au beau milieu de cauchemars. Mon gland surexcité
par ses empalements et ma petite fleur en feu à force de pousser en vain en s’amusant avec son convive. Mes nuits étaient, en alternance, contrariées par ces réveils intempestifs à cause des
festivités et des périodes d’insomnies où je n’arrivais plus à trouver le sommeil avec mes hôtes qui ne cessaient pas, un instant, leurs tortures. Je me réveillais généralement en avance et
continuellement avec un sentiment de fatigue générale. Il faisait toujours aussi froid la nuit et l’aube était gratifiés de gelées matinales. Une mince épaisseur de givre recouvrait la nature et
les véhicules qui devaient être grattés et dégivrés.
J’arrivais au bureau sur ces réflexions. Je saluais les collègues
présents et je gagnais mon poste. Je posais, sur le dossier de mon fauteuil, ma veste, mon bonnet et mon écharpe. Je cherchais dans le dernier tiroir du bureau, sous mes dossiers, le marqueur
méprisable. Je le rangeais avec mon portable dans les poches frontales de ma sous-veste. Tous les outils étaient prêts pour la corvée hebdomadaire dévalorisante et dégradante. J’essayais de ne
pas trop y penser et je me mettais au travail. Malheureusement les invités, avec la chaleur ambiante, redoublaient de vigueur ! Le plug excitait mon malheureux trou qui ne cessait de pousser.
L’anneau du côlon n’en finissait pas de monter et descendre des boules ! Mon pauvre petit gland continuait à être empalé sur les pics, ce qui l’excitait et provoquait une érection incessante,
contrariée par cette maudite cage ! Je faisais mon possible pour ne pas trop y penser en retenant des gémissements et en tentant de ne pas trop maudire mes Masters et les commentaires des
visiteurs. Régulièrement, je regardais les vas et viens des collègues dans le couloir. J’attendais le moment ou j’aurai la vessie pleine et envie d’uriner.
En milieu de
matinée, je sentais le désir monter. Je me décidais donc à réaliser la besogne imposée. Je scrutais plus attentivement le couloir. Ne voyant personne à l’horizon, je me décidais à me lever et me
rendre aux toilettes. Je refermais rapidement la porte derrière moi et je la verrouillais. Je posais sur le bord du lave-mains le téléphone et le marqueur. Je commençais à me déshabiller une
nouvelle fois à contre-cœur. Lorsque je quittais mes chaussures, je sentais le froid glacial du carrelage monter dans les mollets malgré les chaussettes. Une nouvelle fois, je maudissais le
commentaire qui avait réclamé que je ne porte plus ces dernières pour ce labeur ignoble. Je déposais mes vêtements pliés sur le bord du lavabo. Maître Michael avait ordonné que j’exécute les
commentaires réclamant que je fourre complètement au moins une chaussette dans ma malheureuse bouche
et la seconde, que je l’accroche sur moi. Je terminais
donc par les ôter et j’en mettais une en attente sur le lavabo avec le reste de mes affaires et la seconde, je l’enfilais dans le harnais en exposition.
Je relevais, à contre-cœur, le couvercle et la lunette des
toilettes. Je prenais l’ignoble
marqueur et je m’assaillais sur le bord de la cuvette pour
inscrire la date du jour sur ma cuisse gauche. Je commençais à écrire le "L" lorsqu’une personne essaya d’ouvrir brusquement la porte des toilettes et jeta un juron quand elle ne s’ouvrit pas. Je
l’entendis entrer et refermer rapidement la porte voisine. Le bruit sourd de la poignée et de la porte qui résistait m’avait fait sursauter, mon cœur se mit à battre la chamade et ma main, avec
le maudit feutre indélébile, avaient dérapé. Pour rattraper la rature, j’allais devoir écrire en très gros sur mon infortunée cuisse. Je rectifiais donc le "L" pour que la rature se voie le moins
possible et je continuais, à mon grand désespoir, d’inscrire la date du jour dans les mêmes dimensions. J’étais
tellement perturbé par tout le branle bas que le voisin
avait fait que je ne contrôlais plus vraiment ma main et elle inscrivit la date du jour beaucoup plus gros que je ne l’aurai souhaité : "Le 08 - 2". J’allais avoir des difficultés à la
faire disparaître. Heureusement que le rendez-vous de
l’IRM avait été reporté, j’allais avoir 24 heures pour supprimer toutes traces sur ma jambe. Mon palpitant battait toujours aussi fort et rapidement. Je prenais un premier cliché de cette maudite
date et je m’assaillais sur la faïence glaciale de la cuvette, n’ayant plus le droit à la lunette. Avec le temps, c’est de plus en plus dégradant, humiliant et frustrant. Quand est ce que cette
corvée se terminera-t-elle ?
Je vidangeais ma vessie et je prenais des photos pour le rapport.
Terminé, je séchais le bout de la cage et du gland en espérant qu’il n’y aura pas trop de fuites ignominieuses.
J’immortalisais, ensuite, le convive dans ma petite fleur
et sa ceinture de sécurité. Je continuais par des gros plan de cette maudite cage avec mon malheureux pénis enchâssé dans cette boîte siliconée et mon malencontreux gland empalé sur les pics. À
reculons, je prenais la chaussette en attente. Je la roulais comme demandé et j’ouvrais grand ma bouche pour prendre, à regret, ce bâillon odorant. Je réalisais les derniers clichés de pieds, du
harnais, des chaussettes et de la prison de mon pénis. J’’entendis, dans la pièce voisine, l’eau du lavabo couler, puis la chasse d’eau et la porte s’ouvrir. Mon voisin partait et je n’avais
aucun moyen de savoir qui s’était soulagé en urgence. Je m’en
fichais mais je craignais qu’il guette ma sortie et me
fasse une réflexion. Je devais accélérer le mouvement car je prenais de plus en plus de temps pour réaliser cette maudite corvée dégradante.
Quand toutes les photos étaient dans la boite pour illustrer et
confirmer la réalisation de ce labeur, je me rhabillais en hâte. Mon pauvre trou et mon malheureux pénis étaient toujours martyrisés par les convives présents. Je baissais la lunette, le
couvercle et je tirais la chasse d’eau. Je me rinçais les mains rapidement et je me les séchais. Je rangeais dans les poches frontales de ma sous-veste le téléphone et le marqueur délictueux.
Après une vérification rapide des lieux, je sortais avec
empressement, heureux de fuir cette pièce de débauche en maudissant en silence mes Masters et les commentaires des visiteurs qui en rajoutent quotidiennement.
En me rendant à mon poste, je sentis sur ma cuisse une coulure qui
descendait le long de ma jambe. Encore une nouvelle fuite d’urine ! Elles deviennent de plus en plus fréquentes, frustrantes, dégradantes et humiliantes, d’autant plus que je n’ai plus le droit
de porter de papier absorbant pour les retenir. J’abominais et je haïssais de plus en plus toutes ces interdictions qui ne font qu’augmenter mon avilissement, mon désarrois et ma frustration. Je
retrouvais mon poste et je reprenais place. Je frottais
les jambes l’une contre l’autre pour éponger le restant de cette fuite involontaire et honteuse.
Après quelles que minutes sur mon travail, un collègue vint me
demander si j’avais des problèmes et si j’avais déjà eu des résultats des médecins. Ce devait être lui qui était entré en trombe dans les toilettes voisines. Je lui répondais qu’il n’y avait rien
de grave mais avec les examens que j’étais en train de réaliser, j’en saurai plus au bilan. Hypocritement, je le remerciais pour sa courtoisie. Il acquiesçait et me proposait généreusement de me
confier à lui si
j’en avais besoin. Bien sûr je lui fais confiance mais
comment pourrai-je lui révéler la raison réelle de mes séjours de plus en plus long aux toilettes ? J’espère qu’il ne pense que ce n’est qu’à cause des mes nouveaux examens. Si par malheur ils
apprenaient ce que je faisais réellement dans ces lieux, ils seraient
très surpris et/ou pourraient certainement ne pas
comprendre….
C’est pourquoi, des sentiments mitigés me tiraillaient. Je
remerciais mes Masters de me faire évoluer dans le sens qu’ils désirent tout en maudissant et méprisant certaines évolutions et certaines résolutions prises suite aux commentaires des
visiteurs.
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