Mardi 14 février
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Le mercredi 1er février.
En me rendant au bureau, je repensais aux instructions de la
journée. Comme j’avais rendez-vous pour un scanner l’après-midi, je devais réaliser, impérativement, la corvée hebdomadaire le matin même pour pouvoir effacer ce midi la date du jour sur la
cuisse. En marchant, je ressentais les pics de la cage empaler mon malheureux gland ! Cela l’excitait et provoquait une érection contrariée par cette maudite cage. Je rageais après mes Masters
qui m’avaient, la veille, fait changer de cadenas. Maître Michael avait demandé que je me masturbe mais quand je commençais à sentir mon jus monter, il avait ordonné de stopper !!! J’avais eu
vraiment du mal à obéir et à ne pas continuer tellement j’étais excité ! Depuis la veille, je ne pouvais enlever de mon esprit ces sentiments de frustrations, d’humiliation et d’avilissement
d’avoir du ainsi arrêter. Je m’étais remis à maudire mes Masters de faire durer cette abstinence inhumaine ! Devoir ainsi stopper en cours de masturbation, après plus de 6 mois
d’abstinence, est d’une barbarie ignoble.
J’en étais sur ces réflexions en arrivant devant la porte du
bureau. Heureusement le froid ambiant avait calmé un temps l’invité dans ma petite fleur. Mon pauvre trou avait eu un petit temps de répit. Je saluais les collègues déjà présents et je gagnais
mon poste de travail. Je posais, sur le dossier de mon siège, ma veste, mon écharpe et mon bonnet. Je prenais place dans mon fauteuil et je vérifiais le téléphone portable dans la poche frontale
de ma sous veste. Je recherchais dans un tiroir, sous mes dossiers, le marqueur sélectionné pour inscrire la date du jour. Je le maudissais car il est vraiment indélébile et difficile à enlever
sur la peau. Je réprouvais la demande de Master Phénix de devoir utiliser ce marqueur et encore plus ces commentaires et ses demandes futures. Je me commençais mon travail en attendant d’avoir
envie d’uriner. En m’assaillant sur le siège, j’avais réveillé mon petit trou. Le plug N°04 qui le bouchait, jouait avec le premier anneau du côlon qui montait et redescendait entre les deux
boules de l’invité. Ma petite fleur essayait de pousser en vain. Étant assis, mon petit trou ne pouvait expulser son intrus. Debout, il n’aurait, non plus, pu faire autrement avec le bloc plug
ajouté au harnais.
J’essayais de
me concentrer sur mon labeur afin d’oublier un peu tout ce petit monde qui ne pense qu’à jouer ! En milieu de matinée, l’envie d’uriner se faisait de plus en plus intense. Je vérifiais, depuis un
certain temps, les aller et venus des collègues. Je regardais une dernière fois avant de me décider à me lever. Ma main vérifiait le portable et le marqueur en place dans les poches thoraciques
de ma sous veste. Avant d’entrer aux toilettes, je jetais un dernier coup d’œil au couloir et je refermais, derrière moi, la porte à clef. Je posais, sur le bord du lave-mains, le téléphone et le
feutre. Je commençais à me déshabiller et je rangeais mes vêtements pliés sur le lavabo. Lorsque j’enlevais mes chaussures, je ressentais le froid pénétrer dans mes pieds malgré les chaussettes.
Lorsque je dus les ôter, la froidure fut encore plus intense et remontait dans mes jambes. Je détestais cet ordre de ne plus rien
porter aux toilettes du bureau ! Je les
mettais en attente avec mes vêtements. Je relevais, à contre-cœur, le la lunette des toilettes. Le couvercle étant déjà relevé. Je prenais le marqueur et j’inscrivais sur ma cuisse gauche la date
du jour : "Le 1 – 2". Je faisais attention d’écrire un peu plus gros qu’à l’habitude mais pas trop car le midi, je devais
effacer cette inscription.
Je reposais le feutre et je prenais d’une main le téléphone pour
les étapes suivantes. J’immortalisais en premier ce graffiti sur ma cuisse. Je continuais en m’assaillant sur le trône et je commençais à vider ma vessie. Tout en me soulageant, je prenais les
clichés suivants. Lorsque tout était évacué, je me relevais et je roulais mes chaussettes que je fourrais dans ma bouche. Devoir les porter ainsi augmente d’autant plus les humiliations, les
frustrations et les avilissements que je ressentais. Je maudissais, une fois de plus, le commentaire qui avait proposé cette instruction ! Comme preuve et à la demande des messages sur le blog,
je photographiais ces chaussettes, le harnais et la cage. Je réalisais différents clichés de pieds et en plus gros plan comme preuve de la
réalisation
de la corvée du jour. Quand tout était dans la boite, je reposais l’appareil et je me rhabillais avec soulagement.
J’étais en train de remettre mon pantalon lorsqu’une personne
essaya d’ouvrir la porte. Une nouvelle fois je maudissais cette prestation qui me prenait de plus en plus de temps ! Je lui demandais encore deux minutes. J’avais presque terminé. Personne ne
répondit. Comme je n’entendais plus de bruit, j’en déduisais qu’elle attendait. Je me pressais à terminer de m’habiller et je rangeais dans les poches frontales de ma sous veste, le marqueur et
le téléphone. Je tirais la chasse d’eau et je refermais la lunette et le couvercle. Je me rinçais les mains et je me les séchais. Avant de sortir, je vérifiais une dernière fois que je n’oubliais
rien et j’ouvrais la porte. Je me retrouvais nez à nez avec un collègue. Je
lui laissais la place toute chaude. J’espérais qu’il
n’avait rien entendu de suspect. Je regagnais mon poste. En marchant le plug s’était remis à jouer ainsi que les pics de la cage qui empalaient mon pauvre gland. Ce midi je devrai me dépêcher à
effacer l’inscription sur la cuisse. J’avais fait attention de ne pas trop écrire pour moins de difficultés.
Je dois tout de même remercier mes Masters pour m’avoir fait
passer une nouvelle étape.
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