Le blog de Bâstard a KC Sous merde n°411-103-335

Bienvenu sur le blog de Bâtard a KC : Sous merde N° 411-103-335. Sous le contrôle de ses Masters, il doit faire ce qui est demandé sans rechigner. N’hésitez pas à laisser des commentaires sur les différents articles qu'il publie sous les ordres de ses Masters.
Il fait aussi ce que les males demandent de faire après avoir reçu la validation de ses Masters. Ce n'est pas un male mais un slave, une sous-merde, un bâtard et il doit être traité comme tel.
Sous cage de chasteté, seuls ses Maîtres décident de ses jouissances afin de le purger de son jus pourris qui ne sert à rien.
N'hésitez pas à laisser des commentaires dans les différents articles publiés ici par notre slave ou nous même. Ça l'humilie encore plus. Le site ayant un bug, vous pouvez lui envoyer vos commentaires qu’il nous fera suivre. Son adresse est bastardakc@hotmail.fr ou en suivant ce lien
Notre slave est a dispos de tous mâles souhaitant l'utiliser et autres en Cam ou réel aussi avec prises de photos et rapports ensuite publiés sur le blog. Même les soumis peuvent l'utiliser car son statut est inférieur à eux et leur doit respect et leur obéir aussi

Vendredi 20 janvier 5 20 /01 /Jan 13:12

Rendez-vous de janvier :

01 - Docteur - D - -.-        Comme toutes les nuits, je faisais des cauchemars et je me réveillais plusieurs fois. Je me levais une nouvelle fois avant l’aube et voyant l’heure nocturne, je me décidais à me recoucher un moment. Bien mal m’a pris car, pour une fois, je m’endormais plus profondément. Je me réveillais en sur-saut et voyant l’heure, je comprenais de suite que j’étais en retard. J’allais 02 - Docteur - D - -.-devoir faire très vite la toilette pour pouvoir me raser complètement car, la veille, Maître Michael avait prévenu que si un seul poil dépassait, il y aurait des sanctions !

        Je me faisais un café bien corsé pour me réveiller et je passais de suite à la salle de bain. Je me rasais la tête, le torse et le pubis. Je regardais les jambes et les bras qui n’en avaient pas besoin. Je passais à la douche après m’être lavé les dents. Il était déjà 07h20 ! Je m’habillais rapidement avec le harnais qui bloquait le plug n°04, le collier et la cage qui était, malheureusement, toujours en place ! Elle continuait à mal-traiter mon malheureux pénis et mon pauvre gland empalé sur ses picots. J’enfilais le boxer blanc comme l’avaient commandé mes Masters. La météo annonçant de grand froid, je mettais plusieurs couche pour me protéger. Je 03 - Docteur - D - -.-prenais aussi le téléphone portable que je rangeais dans la poche frontale de ma sous-veste. J’éteignais mon ordinateur portable que j’avais oublié la veille. J’enfilais rapidement mon bonnet, mon écharpe, ma veste et une paire de gants. Je sortais et j’appelais l’ascenseur.

        Je regardais l’heure et je compris que j’avais du retard. Mon pauvre gland était toujours martyrisé par les picots de la cage et qui empêchait à mon malheureux pénis d’avoir une érection correcte. Le plug s’amusait aussi avec le premier anneau et la petite fleur qui l’accueillait. Je sortais et un blizzard glacial vint cingler mon visage ! Les -8°C ambiants mais en ressentit –12/-13°C calma d’un coup tout mon petit monde pour un certain temps. Je démarrais ma voiture et je réglais le chauffage à fond. Je prenais le grattoir pour décoller la glace sur le par brise et sur les vitres 04 - Docteur - D - -.-des portières. Je m’assaillais et l’invité du côlon, qui s’était calmé un moment, se réveilla et se remit à jouer malgré le froid ambiant. Je démarrais et je partais pour mon rendez-vous. Je prenais encore un peu plus de retard car ma bretelle de sortie était bouché. Je prenais mon mal en patience ! Je défaisais les boucles du harnais et j’ôtais le plug. Je retirais aussi le 05 - Docteur - D - -.-collier. Enfin arrivé au parking, je me garais à l’écart. Je terminais d’enlever le harnais et je rangeais le-tout dans ma pochette. Il faisait un froid de canard malgré le chauffage. Le véhicule n’avait pas eu le temps de vraiment se réchauffer. Heureusement que dans le bouchon, j’avais pu enlever la plus part des attributs de slave. J’arrivais à la consultation avec plus de dix 06 - Docteur - D - -.-minutes de retard. J’entrais et je m’excusais. Le médecin me rassurait alors en me confiant qu’elle avait, elle aussi, été retardé par les encombrements. Le secrétaire arriva sur ces entre-faits. Ce qui me rassura, je n’étais pas seul en retard.

        Je passais directement dans son cabinet. 07 - Docteur - D - -.-Je lui donnais mes papiers puis elle m’invita à me déshabiller. Lorsque je me retrouvais en boxer, elle me remerciait d’avoir une tenue "plus descente !". Je remerciais Maître Michael d’avoir consenti que le slave porte ce sous-vêtement moins humiliant. Elle aperçut tout de même la cage et le cadenas mais heureusement 08 - Docteur - D - -.-elle ne faisait aucune allusion à son sujet. Lorsqu’elle eu terminé, elle m’autorisait à me rhabiller. Je m’empressais à lui obéir pendant qu’elle remplissait le renouvellement de l’ordonnance. Terminé, nous nous saluions et je passais voir le secrétaire pour ma prochaine visite.

        Je regagnais ma voiture dans un froid 09 - Docteur - D - -.-intense. La température extérieure était toujours de –8°C ! Je gagnais le parking de la galerie commerciale et je me rendais aux toilettes avec ma sacoche à l’épaule. Je refermais à clef la porte et je vérifiais sa condamnation. Il ne faisait guère plus chaud qu’à l’extérieur. Je vérifiais la température sur mon 10 - Docteur - D - -.-téléphone qui affichait à peine +11°C. La femme de ménage avait dû ouvrir la porte de secours adjacente un certain temps pour qu’il fasse si froid. Il ne devait pas faire longtemps qu’elle l’avait refermée. La corvée de remettre les attributs du slave allait être plus difficile avec ce froid ambiant glacial ! Je commençais à me déshabiller pour la seconde fois de la journée. Au fur et à mesure que j’ôtais un vêtement, je sentais l’ambiance glacée me refroidir. Je devais enlever mes baskets et quand je posais les pieds sur le carrelage, je commençais à frissonner de froid malgré le port des chaussettes. Le sol n’était pas froid mais gelé ! Je devais accélérer le plus possible le mouvement ! Chaque minute qui passait me glaçait un peu plus et des frissons parcouraient tout mon corps, de la tête aux pieds !

11 - Docteur - D - -.-        J’avais préparé le téléphone sur le distributeur de papier toilette et je prenais les premiers clichés avec le boxer. Rapidement je le retirais et j’enfilais ensuite le harnais pour pouvoir bloquer au plus vite l’intrus dans mon pauvre petit trou. Je le photographiais et je posais le téléphone à terre. Je lubrifiais rapidement le plug et après avoir pris un cliché de la petite fleur, je le faisais pénétrer progressivement dans son garage. Lorsque la première boule butta contre l’anneau, je forçais la pression et il la goba. Ma petite fleur en faisait autant avec son invité. À chaque étape, je prenais une nouvelle photo pour le rapport. Elles deviennent de plus en plus humiliantes, frustrantes et dégradantes ! Je fermais le harnais en 12 - Docteur - D - -.-bloquant l’intrus sur l’anneau cockring et je faisais de même sur la fermeture de devant. Mon malheureux gland, malgré le froid ambiant, était toujours et encore maltraité par les pics de la cage qui l’empalaient ! Je prenais les dernières photographies après avoir mis le collier autour du coup du slave.

        Je posais rapidement le téléphone et j’essayais de me rhabiller encore plus vite que je n’avais enlevé mes vêtements. Je m’empressais à remettre mes chaussures car j’avais de plus en plus froid et je grelottais encore plus. Je craignais d’attraper froid avec l’épidémie de rhume ! Je sentis une goutte perler au bout du nez. Je m’empressais à me moucher et à terminer de m’habiller. Quand j’avais tout revêtu, je rangeais le boxer dans la sacoche et le téléphone dans la poche frontale de ma sous-veste. Je vérifiais que 13 - Docteur - D - -.-je n’oubliais rien et je m’empressais de m’enfuir de ce lieu glacial et inhospitalier.

        Je regagnais ma voiture et je me rendais au bureau. Au passage, je déposais l’ordonnance à la pharmacie où je récupèrerais le soir mes prescriptions. J’avais remis le chauffage du véhicule à fond mais je n’arrivais pas à me réchauffer pour autant. Il me faudrait plusieurs heures pour arriver à retrouver ma température malgré les couches d’oignon que je portais.

        Merci à mes Masters de m’avoir permis de porter le boxer et pour cette nouvelle étape dans l’éducation du slave. Malgré cela, le froid glaciale ambiant avait rendu l’exercice encore difficile, frustrant, humiliant et avilissant.

Par Bâstard a KC slave n°411-103-335 - Publié dans : Chez le Médecin - Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
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  • : Sous-Merde propriété de Master Eric et Maître Mickaël. Il fait aussi ce que les Visiteurs demandent. Ce n'est pas un mâle mais une sous-merde, et il doit être traité comme tel. À la disposition de tous les Maîtres et slaves au Téléphone, en Web-cam sur Smboy ou Skype... Prises de photo et rapports publiés ensuite sur le blog sous le contrôle de ses Maîtres.
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